Pour ceux que cela intéresse:

Citons pêle-mêle, quelques exemples de ces artefacts hors du temps :

  1-  Les piles électriques de Bagdad.

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 2-   La machine d'Ancythère ( mécanisme à engrenage ).

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 3-   Les crânes de cristal.

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  4-  Nanotechnologie à l'ère glaciaire en Oural.

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  5-  Ecriture sur le site préhistorique de Glozel.

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    6-  Pierres gravées d'Ica.
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  7-  Reproductions d'objets volants (en Egypte, en Amérique Centrale...).

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  8-  Les cartes antiques (Piri Reis, Oronteus Fineaus, Zeno...).

 9-   Objets fossiles de plusieurs millions d'années !

 10-   Métallurgie d'avant-garde.

 11-   Enigme de l'éclairage dans l'ancienne Egypte (les lampes perpétuelles).

  12-  La Pierre de Dashka ou la carte du créateur
 

Que vous trouverez à l'adresse suivante:

http://www.ldi5.com/

Puis en allant à "Archéologie"
 
 
 

 Pour ceux que cela intéresse:

Citons pêle-mêle, quelques exemples de ces artefacts hors du temps :

  1-  Les piles électriques de Bagdad.

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http://marcogee.free.fr/i/piles/piledesc.gif

Les piles électriques de
                              Bagdad
 

Pile de bagdad
 
 

En 1938, un archéologue autrichien, le Dr Wilhelm König, s'est penché sur un "objet cultuel" reposant au fond
des caves du musée de Bagdad.

Il s'agit d'un petit vase en terre cuite de 15 centimètres de hauteur sur environ 7,5 centimètres de diamètre.
Emergeant du bouchon bitumineux, une tige en fer est insérée à l'intérieur d'un cylindre en cuivre et isolée de
celui-ci à sa base par un tampon en bitume ; le cylindre de cuivre étant soudé avec son capuchon par un alliage
plomb/étain.

Plusieurs de ces piles ont été trouvées dans les ruines de Khujut Rabu, ville Parthe, aux alentours de Bagdad. Les
Parthes, farouches guerriers, ont dominé la région entre 250 av. J.C. et 230 ap. J.C. .
Dix autres piles furent découvertes plus tard à Ctesiphon.

Le cuivre porte une patine bleue caractéristique de la galvanoplastie à l'argent.
On pense donc qu'elles sont beaucoup plus anciennes car on a retrouvé également des vases en cuivre plaqués
argent dans un site Sumérien vieux d'au moins 2500 ans av. J.C.

Différents spécialistes ont reproduit la pile en utilisant du jus de raisin comme électrolyte et ont
effectivement obtenu un courant électrique, suivant les expérimentateurs, entre 0,5 et 1,5 volts.

Description d'une pile de bagdad
 

                                1 : Tige en fer.
                                  2 : Bouchon en asphalte.
                                  3 : Vase en terre cuite.
                                  4 : Electrolyte.
                                  5 : Cylindre de cuivre.
                                  6 : Tampon isolant en asphalte.
                                  7 : Capuchon en cuivre.
                                  8 : Fil de masse.
 
 

On peut donc supposer qu'il y a plusieurs centaines d'années, les inventeurs ou tout au moins les utilisateurs se
sont servis de ces piles pour "arnaquer" leurs contemporains en leur vendant du cuivre au prix de l'argent. On
imagine alors fort bien pourquoi cette découverte est restée secrète...
 
 
 

  La Machine d'Ancythère      Les Crânes de Cristal      Nanotechnologie      Glozel     Pierres gravées d'Ica
   Les figurines d'Acambaro      Objets Volants      Les Cartes Antiques      La carte du créateur      Objets
    Fossiles      Métallurgie      Enigme de l'éclairage dans l'ancienne Egypte      Les Lampes Perpétuelles
                       les Murs Vitrifiés      Les cylindres de fer fossilisé

 2-   La machine d'Ancythère ( mécanisme à engrenage ).

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Le mécanisme d'Ancythère

Pièce N°1Pièce N°2Pièce N°3
 
 

En 1900, des pêcheurs d'éponges découvrent l'épave d'un navire romain, à 42 mètres de profondeur, près de la
côte nord de l'île grecque d'Ancythère.

Parmi les nombreuses amphores, statues en bronze et en marbre, ils ramenèrent des pièces de bronze
corrodées, enchâssées dans les restes d'une boîte en bois qui ne sera pas conservée.

L'ensemble mesure environ 21 centimètres sur 16 pour 5 d'épaisseur.
Une fois dégagées de leur gangue de calcaire et de corail, les inscriptions permettent de dater l'ensemble
vers 80 av.J.C., ce qui est en accord avec l'âge des divers objets domestiques retrouvés, en dépit de la plus
haute antiquité de certaines des statues.

Les roues dentées et les graduations font penser tout d'abord à un astrolabe et il est référencé comme tel au
musée d'Athènes.

Jusqu'au jour où un physicien anglais à l'esprit ouvert et curieux ( eh oui ! Cela existe, j'en ai même rencontré ),
le Dr Price, ne se contenta pas de cette explication sommaire.
Ainsi, par application d'une désoxydation électrolytique, il mit en évidence les cadrans, les aiguilles, une
vingtaine d'engrenages ( découpés dans des plaques de bronze de 2 millimètres d'épaisseur ) et les différentiels
du mécanisme manuel.

Voici un schéma du mécanisme :

Shéma du mécanisme

Et voici une photo prise aux rayons X ( en 1971 ).

Pièce passée aux rayons X

Il apparaît donc que ce mécanisme est en fait un " antique ordinateur grec" permettant de décrire avec une
très grande précision les mouvements des astres, en particulier du soleil et de la lune.

Curieux objet dans le supposé désert technologique des grecs !
Notons au passage qu'au IIe siècle av. J.C., Héron d'Alexandrie avait écrit un traité de construction
d'automates hydrauliques, et qu'auparavant, au IVe siècle av. J.C., Archytas de Tarente aurait fait voler un
"oiseau mécanique".

 3-   Les crânes de cristal.

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Les crânes de cristal
 

Crâne de Mitchell-Hedges vue de faceCrâne de Mitchell-Hedges vue de profil
 

En 1924, Anna Le Guillon Mitchell-Hedges a 17 ans lorsque avec son père adoptif, l'explorateur anglais
Frederick Albert Mitchell-Hedges, ils découvrent un crâne en cristal de roche dans les ruines d'un temple de
la cité Maya "des pierres tombées" à Lubaantùn, au Belize. (  1 )

En dehors de l'absence des sutures crâniennes, c'est une reproduction quasi parfaite d'un crâne humain féminin.
(  2 )
Il pèse 5 kg . Il est composé de deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant exactement à la partie
supérieure.

Mâchoire

Les propriétés optiques du crâne sont étonnantes :

    éclairé par le dessous, la lumière jaillit par les orbites.
    Frappé à l'arrière par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense ( susceptible de mettre le feu )
    jaillit des orbites, du nez et de la bouche.

Certaine de son authenticité, Anna accepte de confier le crâne à une équipe de scientifiques spécialisés dans la
cristallographie de la société Hewlet-Packard.
Après 6 mois de tests, les conclusions tombent :

    Il est constitué d'un quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium "piézo-électrique"
    anisotrope(  3 ).
    Les deux morceaux sont taillés dans le même bloc de cristal de roche.( 4 )
    Aucune trace d'instrument, ni marque microscopique quelconque. ( 5 )
    Sans trace d'usinage, il est impossible de dater sa fabrication ( le cristal ne vieillit pas ).
    Avec une technologie moderne au diamant il faudrait un an de travail pour obtenir l'aspect extérieur
    ( avec des traces d'usinage, ce que ce crâne n'a pas ! ), quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité
    est encore plus difficile.
    La fabrication manuelle aurait requis 300 années de labeur continu !

Un chercheur de l'équipe aurait déclaré :
" Ce sacré truc ne devrait même pas exister ! "

Il existe d'autres crânes de cristal, dont la découverte ou l'acquisition ne sont également jamais clairement
établies.

Nick Nocerino, propriétaire d'un crâne de cristal baptisé "Sha-Na-Ra" a fondé un institut de recherche
parapsychologique afin d'étudier leurs propriétés "psy".

Jo Ann Parks est détentrice de "Max" et Norma Redo est la propriétaire du crâne à la croix reliquaire.

En 1996, tous les trois ont accepté de prêter leur crâne au British Muséum à fin d'expertise.

Cinq crânes ont été étudiés, les trois précédemment cités, ainsi que celui du British Muséum et celui du
Smithonian Institute.

Un gobelet de cristal daté d'au moins 500 ans av. J.C., et un crâne moderne fabriqué en 1993 en Allemagne par
Hans-Jürgen Henn ont servi de témoins.

Le crâne du British Muséum et celui du Smithonian Institute portent des traces d'usinage.

Quant au crâne à la croix reliquaire, les dents ont été retouchées ainsi qu'évidemment le trou que les espagnols
ont percé pour y introduire la croix.

Et... silence ! Pour "Max" et "Sha-Na-Ra" : "No Comment" !!!

Depuis, les autorités du British Muséum refusent obstinément non seulement de livrer leurs conclusions mais
également de dire pourquoi !!!

Nous avons là un nouvel exemple de la démission des scientifiques devant un objet impossible.

Une légende Maya est attachée à ces crânes de cristal : lorsque les treize crânes seront réunis, ils révèleront le
secret de la vie.
Selon leur tradition, ces crânes leur ont été transmis par les Atlantes qui les tenaient des Initiateurs venus du
ciel !!!

    Ces crânes seraient-ils les ancêtres des boules de cristal ?
    Une espèce de support d'information, venu du fond des âges, pouvant se mettre en résonance avec le
    cerveau humain ?
    Un briquet sophistiqué ?
    Ou bien un simple objet décoratif pour honorer les ancêtres ?...
 
 

  4-  Nanotechnologie à l'ère glaciaire en Oural.

Nanotechnologie
 

Nanotechnologie 1

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Agrandie 100 fois

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Agrandie 500 fois

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Agrandie 100 fois
 

                 Pour voir d'autres photos sans quitter cette page... 1    2    3    4

A partir de 1991, des prospecteurs d'or, puis des expéditions scientifiques ( mandatées par l'institut central
de recherche scientifique de géologie et de prospection de métaux précieux et non-ferreux de Moscou ), ont
découvert des objets, métalliques, spiralés pour la plupart, dont la taille varie de 3 centimètres pour les plus
gros à 3/1 000e de millimètre !!!

Des milliers de ces artefacts ont été trouvés sur de nombreux sites dans la partie orientale des montagnes de
l'Oural, sur les rives de plusieurs cours d'eau dans des couches sédimenteuses datant du pléistocène supérieur,
à des profondeurs variant de 3 à 12 mètres.

Ces objets ont été étudiés par l'Académie des Sciences russe de Syktyvka, Moscou et St Petersbourg, ainsi que
par un institut scientifique d'Helsinki en Finlande :
Les plus gros de ces objets sont en cuivre, tandis que les plus petits sont en tungstène ( point de fusion de
3410°c. ) ou en molybdène ( point de fusion de 2650°c. ).

En fonction du site et de la profondeur où ils ont été trouvés, l'âge de ces objets est estimé entre 20 000 et
318 000 ans !!!

L'Institut de Moscou a publié un rapport d'expertise n° 18/485 du 29/11/96 qui conclut :
"Les données obtenues permettent d'envisager la possibilité d'une technologie d'origine extra-terrestre."
 

  5-  Ecriture sur le site préhistorique de Glozel.

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idole

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Os gravé

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tablette
 

Glozel, petit hameau de la montagne Bourbonnaise, est situé sur la commune de Ferrières/Sichon dans l'Allier à
une vingtaine de kilomètres au sud-est de Vichy.

Le 1er mars 1924, dans le champ Duranthon ( rebaptisé plus tard le champ des morts ), un jeune agriculteur de
17 ans, Emile, et son grand-père, Claude Fradin, font une découverte impossible qui déclenche l'une des plus
violentes controverses archéologiques du XXe siècle car elle remet en cause ce que l'on savait sur les origines
de l'écriture.

En défrichant un morceau de terrain, l'une des vaches tirant la charrue tombe dans un trou, à l'intérieur duquel
Emile trouve des ossements humains. Avec la découverte de ce tombeau, ils pensent avoir mis la main sur un
trésor, les premières fouilles se font à coups de pelle et de pioche. Ils trouvent divers objets, des urnes, des
vases, des haches et des tablettes gravées. Ils brisent les urnes mais elles ne contiennent que de la terre,
déception, le trou est rebouché et l'avoine est semée.

Au cours de l'été, la Société d'Emulation du Bourbonnais se déplace, recueille des échantillons et les envoie au
Dr Capitan des Beaux-Arts.
A l'époque, le Dr Capitan, l'abbé Breuil et le conservateur du musée des Eyzies, M. Peyroni, composaient le
triumvirat incontournable de la préhistoire.

Entre temps, en 1925, Antonin Morlet, médecin à Vichy, passionné d'archéologie, entend parler de la découverte
et se rend sur place avec son épouse. Fasciné par ce qu'il trouve, il obtient le droit de publication sur les
objets qui restent la propriété de M. Emile Fradin.

13 mois après avoir reçu les premières pièces, le Dr Capitan se rend sur place. "Vous avez là un gisement
merveilleux..", il demande au Dr Morlet un rapport détaillé.

Mais au lieu d'envoyer son rapport, le Dr Morlet le publie le 23 septembre 1925 sous le titre "Nouvelle station
néolithique". Morlet est convoqué par Capitan, furieux, "...mettez mon nom à la place de celui d'Emile Fradin..",
( fait rapporté et publié par le chanoine Cote, "Glozel, 30 ans après", 1959 ; toutes les personnes "baignant"
dans le milieu scientifique savent l'importance d'avoir son nom au sein d'une publication ) ; Morlet refuse.
Puis l'abbé Breuil écrit un article en faveur de Glozel mais sans citer le nom du Dr Morlet, qui à son tour
s'insurge et accuse l'abbé de vouloir s'approprier la découverte. L'abbé se retournera alors lui aussi contre
Glozel.
On est bien loin des argumentations scientifiques !

Les grands pontes de la préhistoire, tout d'abord très favorables à Glozel, pris de cours par cette fabuleuse
découverte, se retrouvant "hors jeu", prennent alors position contre Glozel.
D'autant plus qu'à cette même période un éminent épigraphiste, René Dussaud, vient de publier officiellement
que l'écriture est née en Phénicie, 1 600 ans av. J.C. ( après la mise à jour du sarcophage du roi Ahiram de
Byblos, recouvert d'inscriptions ).
Or le Dr Morlet estime les tablettes gravées à 5 ou 6 000 ans av. J.C..

Les deux découvertes sont contradictoires et cela va déclencher une véritable guerre chez les hommes de
science. Les glozeliens et les anti-glozeliens s'affrontent, Glozel devient l'affaire Dreyfus de l'archéologie.

Et dans cette guerre, tous les coups ( bas ) sont permis, lettres anonymes, injures, etc. ; un jour le Dr Morlet
surprend même miss Garrod, secrétaire de l'abbé Breuil, en flagrant délit de truquage lors d'une enquête sur
place de la Commission des fouilles ( nommée par le Dr. Capitan, impartialité quand tu nous tiens !!! ).
Le Dr Morlet, Emile Fradin sont traînés dans la boue, tout est mis en oeuvre pour les déshonorer, "calomniez,
calomniez, il en restera toujours quelque chose".

Le Président de la Société Préhistorique de France se rend à Glozel, il paye 4 francs pour entrer dans le musée
( mis en place sommairement par Emile Fradin pour satisfaire le nombre croissant de visiteurs, curieux de voir
ces fantastiques objets si controversés ), puis il prétend qu'on lui montre des choses fausses. Il porte plainte
contre X pour "entreprise pécuniaire pour montrer les produits d'une mystification".

Le 25 février 1928, la police de Clermond-Ferrand fait une descente pour perquisitionner chez les Fradin ;
leur but, trouver l'atelier où Emile fabrique ses objets. Ils brisent les vitrines, certains objets, ils molestent le
pauvre Emile et emportent plus de 200 objets, soit disant pour les faire dater mais à l'époque il n'y a aucun
moyen pour faire cela.

Le 4 juin 1929, Emile Fradin est inculpé d'escroquerie, le juge d'instruction va le cuisiner pendant les 63
heures de l'interrogatoire.
On veut qu'il avoue avoir fabriqué ces objets, mais ce jeune paysan du Bourbonnais, ignorant tout de la
préhistoire, a sa conscience pour lui, il n'a pas fabriqué ces objets surgis de la nuit des temps.

Son courrier est ouvert, il est constamment surveillé par la police qui veut le surprendre en flagrant délit de
fabrication et vérifier s'il enterre lui-même les objets.

Finalement, deux ans plus tard, l'inculpation finit par un non-lieu.
Emile Fradin peut enfin profiter de la vie, il se marie et a des enfants.
Le Dr Morlet continue ses fouilles, toujours à ses frais, pendant 16 ans. Il trouvera plus de 3000 objets,
jusqu'en 1941 où la loi Carcopino est votée. Il est désormais interdit de fouiller le sol français sans
l'autorisation de l'Etat. Ceci met fin au fouilles de Glozel.
Le Dr Morlet meurt en 1966, il ne verra pas la reconnaissance de Glozel.

En 1972, Henri François, ingénieur au Commissariat à l'Energie Atomique, en visite à Glozel, fait des
prélèvements et les envoie à 3 laboratoires étrangers pour datation. On utilisera la méthode de datation au
carbone 14 pour les os gravés et la thermoluminescence pour les céramiques et la terre cuite.
Pour les trois laboratoires indépendants ,les résultats sont clairs et irréfutables, Glozel est ancien !
Henri François écrira à Emile Fradin :
"...Seuls quelques attardés mal informés pourront encore prétendre que vous êtes un faussaire, les
regroupements des mesures faites indépendamment dans chaque laboratoire sont parfaits et
indiscutables..."

Les résultats sont les suivants :

    les ossements ont entre 15 000 et 17 000 ans,
    les céramiques ont 5 000 ans,
    les tablettes gravées ont 2 500 ans.

En 1974, une équipe du Centre de Recherche Nucléaire de Grenoble passe le site au magnétomètre, montrant
qu'il existerait encore des objets enfouis.

En 1975, après un congrès d'archéométrie tenu à Oxford, la lumière est enfin faite sur l'authenticité du site.
L'Etat reconnaît l'authenticité de Glozel, mais la communauté scientifique continue de douter.

De 1983 à 1990, de nouvelles fouilles sont entreprises, bizarrement, à plusieurs kilomètres du champ des
morts, ensuite, aucun résultat n'est publié (?).

Alors pourquoi ?
Je cite M. Remy Chauvin, biologiste, "père spirituel des hérétiques en France" :
"...S'ils ne publient pas c'est qu'ils ont probablement trouvé des choses qui les ennuient, alors pourquoi ?
De quoi a-t-on peur ?
On a peur de contrarier quelques vieux professeurs, on a peur de démolir les théories en cours ?
Mais, est-ce que les théories scientifiques sont des monuments religieux ?
Qu'y a-t-il donc à Glozel qui soit responsable d'une telle levée de boucliers ?
Faisons donc des fouilles méthodiques et raisonnées à l'endroit où Emile Fradin les fit ! ..."

M. Emile Fradin s'est vu proposé des sommes fabuleuses pour ses découvertes mais il n'a cédé aucun objet. Le 16
juin 1990, il reçut les Palmes Académiques.

En 1995, suite à la diffusion d'une émission télévisée,  le résumé provisoire des recherches précédentes est enfin
publié mais ne révèle rien, si ce n'est ce que l'on savait déjà, qu'il y a une grande disparité dans l'âge des
objets de Glozel.
 
 

Plus de 3000 objets ont été retrouvés, des poteries, des tablettes gravées, des pierres polies, des bijoux en
os, des têtes de flèches, des aiguilles, et il ne semble pas que les signes écrits aient été superposés à des
gravures animalières antérieures.

Tous les ossements, humains ( n'appartenant pas à des squelettes d'homme moderne ), et d'animaux ( ayant été
transformés en outils, bijoux, certains portant des signes d'écriture ), tous, présentent une fossilisation
avancée.

Les haches en pierre polie ont leur tranchant trop peu usé et sont donc certainement votives.

Les galets, gravés notamment de splendides rennes, ont soulevé l'admiration des spécialistes en art
préhistorique.

Les objets en céramique, idoles, vases mortuaires aux masques étranges dépourvus de bouche et les fameuses
tablettes couvertes d'inscriptions toujours inconnues, ont été fabriqués dans un four ovale qui fut tout
d'abord pris pour une tombe.
 
 

Même s'il n'y a plus de doute sur l'authenticité du site, Glozel conserve encore de nombreux mystères.

En effet, sans doute à cause de la très forte radioactivité naturelle de la région, les datations sont
extrêmement disparates, et on a du mal à comprendre et à fortiori à expliquer la présence sur le même lieu,
d'objets âgés de 17 000 ans, de 5 000 ans, de 2 500 ans, de 1 500 ans, et même du moyen âge !

Reste également l'énigme de l'écriture que l'on retrouve sur des os gravés de 17 000 ans, toujours non
déchiffrée...
Elle présente de grandes ressemblances avec :

    des formes très anciennes de l'écriture phénicienne.
    Mais aussi avec un certain nombre d'inscriptions alphabétiformes retrouvées dans des sites
    magdaléniens, au Portugal, en Roumanie et en France.

Glozel serait peut-être un ancien lieu de culte, magique, où auraient été regroupés des objets de diverses
provenances ? ...

   On ne pourra lever le voile du mystère que si
   l'on étudie sérieusement et systématiquement
                        ce site exceptionnel.

                    GLOZEL

                    Introduction

                    Cette station, découverte fortuitement en 1924 par des paysans de l'Allier (un
                    grand-père et son petit fils, alors qu'ils réalisaient un labourage de ce terrain afin
                    de le transformer en pacage), fera grand bruit, verra se presser les noms les plus
                    prestigieux, attirera les foules, mais aussi ...les foudres! Des rivalités et des
                    combats mesquins d'hommes éminents viendront ternir les découvertes
                    nombreuses de pièces très originales. L'intérêt pour ce site en sera dérangé,
                    amenuisé , voire brouillé... trop de personnes se complaisant à le maintenir en
                    marge.

                    Une littérature abondante sera produite; la seule bibliographie française représente
                    déjà plus de 85 pages !

                    Localisation

France - Vichy
                        Le hameau de GLOZEL dépend de la
                                               commune de Ferrières sur Sichon, canton du
                                               Mayet de Montagne, situé à une vingtaine de
                                               kilomètres de Vichy, au Nord du massif des
                                               Bois Noirs et à l'ouest des Monts de la
                                               Madeleine (extrémité septentrionale du
                                               Massif Central, communément appelée:
                                               Montagne Bourbonnaise).

                                               Presque tous les objets découverts au
                                               Champs des Morts se trouvent au Musée de
                                               GLOZEL, sur lequel veille amoureusement
                                               "l'inventeur" du site, Emile FRADIN, 91 ans
                                               en cette année 1998.

                    Des découvertes d'objets similaires furent effectuées aux alentours (à Moulin Piat,
                    à 2,5 km au Sud; chez Guerrier, à 3 km sur la rive droite du Vareille; à Puyravel
                    à 10 km en amont, sur la rive opposée).
 
 

                    Dès 1924, le Dr Morlet, médecin à Vichy, archéologue amateur averti, mena des
                    fouilles pendant plusieurs années. Il cessa en 1941, date de la nouvelle législation
                    réglementant les fouilles archéologiques. Il prétendit qu'il s'agissait d'une "nouvelle
                    station néolithique".

                    La géologie de cette région est très complexe et délicate à aborder, en particulier
                    pour les analyses archéométriques, car ce sous sol est en grande partie constitué
                    de terrains radioactifs, très chargés puisqu'ils contiennent en quantité de l'uranium
                    à l'état naturel. Cela rend donc les résultats des analyses difficiles à exploiter, sans
                    que de nouvelles approches aient été réalisées, afin de déterminer l'impact et les
                    répercussions possibles sur les résultats obtenus.

                    (d'après une carte établie par le Dr CHABROL)
 

                  © Copyright 1998, C.D.I.R.E.H Glozel / Contact - http://www.gerbeaud.com/glozel

 6-   Pierres gravées d'Ica.
 
 

Mise à jour le 19/07/00

                 Les pierres d'Ica

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Un paléo-paléontologue ?
 
 

1) La première curiosité des pierres d'Ica réside dans l'emplacement même où ces pierres ont été trouvées. En
venant de la mer, ou en longeant les côtes péruviennes, lorsque vous voyez le "Chandelier des Andes", vous
suivez la direction qu'il indique vers les fameuses lignes de Nazca et vous survolerez Ica, petite ville à 300
kilomètres de Lima.
( Cela est bien entendu dû au hasard ! ;-) )

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Le Chandelier des Andes
 

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Une des innombrables lignes de Nazca
 
 
 

2) La deuxième curiosité, est la manière dont ces pierres ont été déclarées fausses. Celles-ci ne seraient qu'un
canular monté par un simple paysan péruvien illettré !

Il semble que des pierres noires gravées aient été ramenées en Espagne par les premiers conquistadors du Pérou
au XVIe siècle, puis d'autres auraient émergé en 1908, mais ne possédant pas de références à leur sujet, nous
n'en tiendrons pas compte.

L'histoire officielle des pierres d'Ica commence donc en 1966, à l'anniversaire du Dr Javier Cabrera
Darquea, médecin et professeur de biologie, maintenant, également gardien du temple à l'instar de M. Emile
Fradin pour Glozel.

A cette occasion donc, le Dr Cabrera se fit offrir par un indigène, une petite pierre gravée comme presse
papier, sur cette pierre était gravé un poisson ( voir photo en haut de page ). Ce petit cadeau anodin allait modifier le
cours de sa vie. Le biologiste croit reconnaître sur le dessin une espèce disparue depuis plusieurs millions
d'années. Intrigué, il va alors devenir le premier client du soi-disant faussaire et commencer sa collection pour
amasser jusqu'à présent plus de 15 000 pierres, de la taille d'une tomate jusqu'à certaines pesant plus de 200
kilogrammes.

Les huaqueros, pilleurs de tombes, commencent alors à vendre certains galets aux touristes toujours avides
d'antiquités.

Les autorités péruviennes, ne voulant pas que leur pays ne devienne l'Egypte de l'Amérique du sud et voir ses
richesses archéologiques pillées par les étrangers, en vertu des lois nationales et internationales sur la
protection du patrimoine, arrêtent le plus gros vendeur dans son échoppe.

Il est emmené et incarcéré à Lima pour pillage du patrimoine national, il risque un grand nombre d'années de
prison, voire la perpétuité. Le fermier, même s'il est illettré, comprend vite la situation :

    ou bien il révèle l'endroit où il a trouvé les pierres pour atténuer sa peine,
    ou bien il reconnaît qu'il les a lui-même fabriquées, auquel cas aucune charge ne peut être reconnue contre
    lui.

Evidemment il signe des aveux complets ; il a fabriqué toutes les pierres, elles sont fausses, il a trompé les
touristes. L'affaire est entendue, tout le monde est satisfait.

D'autant plus qu'au moment de cette affaire, la BBC avait dépêché une équipe de reporters pour un documentaire
retentissant sur cette fantastique découverte et la déconvenue après ces aveux est de taille. En l'espace de
quelques jours, l'information fait le tour du monde, les pierres d'Ica ne sont qu'un canular de plus destiné à
exploiter la crédulité des touristes en mal de merveilleux.

Les ardents défenseurs du dogme établi ont pu alors se faire valoir en arguant du fait qu'ils avaient bien entendu
flairé le coup, sans même s'être déplacés pour étudier in situ ces galets, trop fantasques pour être vrais.

Mais, on peut se demander si ces scientifiques rigoureux et rationnels, ne se sont pas à leur tour laissés berner.

Il reste plusieurs points à éclaircir :

    Les galets sont en andésite, une roche volcanique vieille de 80 millions d'années, extrêmement dure et
    oxydée sur sa couche extérieure, ce qui rend néanmoins la gravure possible. Or, les incisions qui font la
    gravure sont elles aussi oxydées et ont été expertisées par un laboratoire allemand comme extrêmement
    anciennes ( une datation exacte est impossible dans l'état actuel de nos connaissances ).
    Il serait donc très intéressant de savoir comment et surtout pourquoi ce paysan illettré se serait
    compliqué la tâche à ce point juste pour donner à des faux une apparence authentique d'une manière aussi
    subtile en n'oxydant que les incisions !

    Un autre argument en faveur de l'authenticité de ces pierres gravées, tient dans leur nombre.
    Même en ne tenant compte que des 15 000 pièces détenues par le Dr Cabrera, ( et il estime qu'il en a été exhumé entre
    40 000 et 50 000, avec ce qui a été vendu aux touristes, ce qui est toujours conservé par les habitants et dans le musée d'Ica ) :
        ce pauvre paysan aurait dû se mettre au travail dès son adolescence à raison de 10 heures par
        jour et cela sans interruption pendant plus de 40 ans, belle constance et une sacrée suite dans les
        idées, pour récolter in fine quelques dollars !
        ou bien, ce fermier est le dirigeant de gros ateliers de fabrication qu'il serait quand même assez
        difficile de dissimuler, et de conserver secrets, les paysans locaux ayant une seconde activité, ce qui
        ne serait pas passé inaperçu, alors que les quelques faux, décelables, qui sont fabriqués, le sont en
        plein jour à la vue de tous.

    Un autre point remarquable tient dans la diversité des sujets dessinés sur ces pierres et les connaissances
    nécessaires pour imaginer toutes ces gravures qui font de ce paysan illettré un érudit hors-pair.
 
 
 

3)La troisième curiosité des "glyptolithes" ( nom donné à ces galets gravés par le Dr Cabrera qui les étudie depuis près de 40 ans ), tient dans ce que ces gravures nous apprennent et qui font qu'elles sont rejetées sans appel possible par la communauté scientifique, tellement ce qu'on y voit est en désaccord avec tout ce que l'on nous a appris.

Par exemple, on y voit pêle-mêle, des hommes domestiquant des dinosaures, combattant d'autres dinosaures, des espèces animales disparues, des hommes regardant les étoiles à l'aide de longue-vues, regardant des pétroglyphes ou des fossiles avec des loupes, des cartes stellaires, des cartes de la Terre telle qu'elle était il y a 13 millions d'années, des opérations chirurgicales stupéfiantes, décrites étape par étape, des césariennes, des transplantations d'organes, du coeur, des reins et même du cerveau (?), etc...( voir page suivante )

Evidemment, tout cela ne cadre absolument pas avec ce que nous croyons savoir sur le passé. Pourtant, plus qu'un simple fouillis descriptif, ces pierres selon le Dr Cabrera, nous racontent une histoire sur notre passé.

En résumé, sans trop entrer dans des détails fantastiques, une "humanité" nous a précédés. Elle avait atteint un niveau technologique très avancé, mais elle s'est vue anéantir par une catastrophe cosmique, chute d'une météorite ou d'une comète. Les rescapés ont dû repartir à zéro, et ont alors gravé ces galet comme témoignage de leurs connaissances, pour la postérité.

Pris de manière isolée, ces galets n'ont aucun sens , mais si on fait le rapprochement avec les autres découvertes impossibles de ce site, notamment en paléontologie, on peut y apercevoir les bases d'une nouvelle  préhistoire sans avoir à remettre en cause l'ensemble des connaissances scientifiques parcellaires que nos chercheurs ont âprement amassées au fil du temps et sans faire appel obligatoirement, mais sans en rejeter la possibilité pour autant, à des interventions extérieures "inconnues".
 
 

Pendant des années, le Dr Cabrera a harcelé son pourvoyeur pour connaître l'emplacement d'où il tirait ces
pierres, qu'il ramenait avec parcimonie, puis par paniers entiers.

Dans un premier temps, il a réussi à apprendre qu'à la suite d'une crue très importante de la rivière Ica, un pan
important de la montagne s'était effondré, révélant alors plusieurs grottes, dont le paysan tenait à garder
l'emplacement secret.

Après ses "aveux officiels", le harcelement s'est poursuivi, pour savoir cette fois quand, comment et pourquoi il
aurait gravé tous ces galets. Mais ,évidemment, toutes ses réponses furent contradictoires, confuses et évasives.

Finalement, le Dr Cabrera serait parvenu à se faire emmener sur les lieux, et selon ses dires, aurait pénétré dans
une grotte qui contiendrait, toujours selon ses estimations plus de 100 000 pierres.

Depuis, le Dr Cabrera s'est déclaré prêt à révéler cet emplacement seulement à une équipe de
scientifiques dûment mandatée pour effectuer des recherches sérieuses. Mais voilà, puisque les pierres sont
déclarées fausses, jusqu'ici, aucun scientifique n'a eu le courage, l'audace de braver l'interdit, de risquer sa
carrière, sa réputation, pour entreprendre leur étude.

Alors, peut-être pour encore quelques années, la mémoire de notre passé va sommeiller au fond d'une
grotte, en espérant que celle-ci ne soit pas pillée.
 
 

Quelques échantillons des pierres gravées d'Ica :
 
 

Voir également les pages sur les :

                                  Fossiles impossibles
                                 Empreintes impossibles
                                Objets fossiles impossibles
                               Objets fossiles impossibles(2)
 
 
 

  Les Piles Electriques de Bagdad      La Machine d'Ancythère      Les Crânes de Cristal      Nanotechnologie
   Glozel     Les figurines d'Acambaro      Objets Volants      Les Cartes Antiques      La carte du créateur
 Objets Fossiles      Métallurgie      Enigme de l'éclairage dans l'ancienne Egypte      Les Lampes Perpétuelles
                       les Murs Vitrifiés      Les cylindres de fer fossilisés

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Dr Cabrera dans son muséeMusée du Dr Cabrera

Faussaire à l'oeuvrePaléo-paléontologue ?

EquidéPrimates ?

DinosaureChasse au dinosaure
 

StegosaureCarte

CarteCarte
 

L'astronomeVol sur Ptérodactyle ?

TransfusionPrise de sang
 

CésarienneOpération du cerveau ?
 

Opération du cerveau ?Opération du
        cerveau ?
 
 

Opération du cerveau ?Opération du
        coeur ?

Opération du coeur ?Opération du
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Opération du coeur ?Opération du
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Opération du coeur ?Opération du
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Opération du coeur ?Opération du
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Opération du coeur ?Opération du
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Opération du coeur ?Opération du
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Vase en forme de cloche

Les objets fossiles   impossibles
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Archéologie

                                1851

Les objets sortis des entrailles de la terre qui sont exposés dans les musées sont ceux qui s'inscrivent parfaitement dans la lignée orthodoxe de la science officielle.

Ceux qui vont suivre sont ces "objets hors contexte", appelés OOPs ou OOPARTs ( Out-Of-Place ARTifacts ) outre Atlantique, qui viennent remettre en cause cette belle architecture simpliste.

Malheureusement, beaucoup de ces objets ont disparu ( ou bien on les a laissés disparaître quand ils étaient trop gênants ), et pour la plupart il ne nous reste que leur description lors de leur découverte.

Peuvent-elles être considérées comme des canulars ?

On remarquera plusieurs éléments :

    Ces gens tout à fait respectables n'ont gagné que le ridicule, en réponse à leur honnêteté et leur courage  d'avoir rendu publique leur trouvaille.

    Ces découvertes fortuites se sont produites la plupart du temps devant témoins.     Enfin, on a du mal à imaginer que des plaisantins se soient donnés la peine d'incruster des objets dans la   roche, ( il faudrait aussi qu'ils nous disent comment ils auraient procédé ), sans jamais se dévoiler, ( où  serait alors le plaisir de la farce ? ), juste pour mettre dans l'embarras les scientifiques du XXe siècle !

    Voici donc quelques-unes de ces découvertes  impossibles :

    Au XVIe siècle, en 1572, un clou en fer fut trouvé dans la roche d'une mine du Pérou, il mesurait 18  centimètres.  Il fut offert au Vice-roi espagnol du Pérou comme souvenir.    La couche géologique dont il a été extrait est estimée entre 75 000 et 100 000 ans. ( 1 )

    Entre 1786 et 1788, près d'Aix-en-Provence, plusieurs trouvailles ont été faites dans une carrière de    calcaire, dans laquelle les couches de roche alternent avec des strates de sable et d'argile.    A une quinzaine de mètres sous le niveau du sol, dans une couche de sable, des ouvriers trouvèrent tout    d'abord des bouts de colonnes et des blocs déjà taillés ; plus bas, des pièces métalliques faisant penser à    des pièces de monnaie, des manches d'outils en bois pétrifiés, une grande planche de bois également    pétrifiée. Et tout cela daterait de 300 millions d'années, si l'on admet que les théories classiques de la géologie, quant    à la formation des roches d'une part et du délai de pétrification d'autre part, sont exactes.
 
 
 

    En 1844, en Ecosse, entre les rivières Tweed et Rutherford, des ouvriers trouvèrent un fil d'or incrusté    dans la roche à 2,5 mètres de profondeur.    Il fut exposé au siège du journal local, le Kelso Chronicle. ( 2 )

    Un autre clou en fer a été retrouvé, au milieu du XIXe siècle, en 1845, dans un bloc de pierre de la    carrière écossaise de Kingoodie, sa tête mesurait 2,5 centimètres. Elle était en contact avec une couche    de gravier et légèrement corrodée, alors que le reste du clou était prisonnier de la roche. ( 3 )

    En 1851, à Dorchester ( Massachusetts ), au cours d'une opération de minage, les deux parties d'un vase    ont été arrachées de la roche dynamitée.    Ce vase fait 11,3 centimètres de hauteur, il est en alliage de zinc, à très forte teneur d'argent semble-t-il,    et finement décoré ; âge estimé, 100 000 ans ( voir photo en haut de page ).    Il a, à l'époque, voyagé de musée en musée, puis a disparu... ( 4 )

    La même année, dans le même Etat, à Springfield, monsieur De Witt brisa accidentellement un morceau de    quartz aurifère qu'il avait ramené de Californie.    A l'intérieur, se trouvait un clou en fer forgé de 5 centimètres, légèrement corrodé, absolument droit
    avec une tête parfaitement formée.    La pierre est âgée d'un million d'années. ( 5 )

    Toujours en 1851, dans le Comté de Whiteside ( Illinois ), deux objets en cuivre ont été remontés d'une    profondeur de 36 mètres lors d'un forage. Ils ressemblaient à un hameçon et à une bague, âgés d'environ    150 000 ans.

    En 1865, un morceau de feldspath, retiré d'une mine de Treasure City ( Nevada ), contenait les restes    oxydés d'une vis effilée.
    La pierre est âgée de 21 million d'années. ( 6 )
 
 

    En août 1870, à Lawn Ridge près de Peoria ( Illinois ), avec deux autres compagnons, J.W. Moffit trouva    une pièce dans les gravas du puits artésien qu'ils étaient en train de forer.    Le Professeur A. Winchell étudia l'objet composé d'un alliage de cuivre non identifié à l'époque. Malgré    la morsure du temps, la pièce ronde présentait des arêtes bien découpées et une épaisseur remarquablement
    uniforme. Le dessin, représentant un visage féminin surmonté d'une couronne, semblait avoir été gravé à    l'acide. Sur l'autre face, un animal aux longues oreilles pointues avec une longue queue effilochée, était    accompagné d'un autre ressemblant à un cheval. Sur le pourtour des deux faces, les caractères d'une    écriture inconnue se laissaient deviner.    Trouvée à plus de 30 mètres de profondeur, elle pourrait être âgée de 100 000 à 150 000 ans. ( 7 )

    En automne 1885, un objet cubique a été trouvé dans un bloc de charbon du tertiaire ( datant de 60    millions d'années ) dans une mine en Allemagne.    Le parallélépipède a été étudié par le Dr A. Gurlt. D'après les publications faites en 1886 sur cet objet,    il est interprété tout d'abord comme une météorite fossile, et semble avoir été "retravaillé, usiné" !...    L'objet fait 7 centimètres sur 7 sur 4,5 , et a une densité de 7,75. Quatre de ses faces sont parfaitement    planes, les deux autres, opposées, sont légèrement convexes. Une rainure profonde en fait le tour à    mi-hauteur.    Endommagé par les différents prélèvements effectués, on en fera un moulage en plâtre au début du siècle.    En 1910, il disparaît de l'inventaire du musée de Salzbourg où il était conservé.    On le retrouve exposé de 1950 à 1958, au musée national d'Oberosterreichisehes de Linz ( Autriche ), où    est également conservé le moulage.    Il est maintenant la propriété de M. O.R. Bernhardt du musée Heimathaus de Vöcklabrück, en Autriche.    Des études complémentaires effectuées par divers instituts scientifiques de Vienne, en 1966-67, 1973 et    1986, concluent définitivement que l'objet en fonte, n'est pas une météorite et a été coulé dans un moule.    Cet objet a-t-il été réellement trouvé dans du charbon ou bien est-il issu d'une fonderie de l'époque ?    ( 8 )

    En 1891, à Morrisonville en Illinois, en cassant un gros bloc de charbon, madame S.W. Culp trouva une    petite chaîne en or, d'environ 25 centimètres de longueur, dont les extrémités étaient encore prisonnières    dans deux morceaux séparés. ( 9 )

  7-  Reproductions d'objets volants (en Egypte, en Amérique Centrale...).

Les Objets volants
 

Planeur
 
 
 

    La gondole volante de Gusmâo     La fusée de Sibiu     Les avions de Bolivie     Les planeurs égyptiens
                                     Insolite
 
 

Le premier objet volant, "plus lourd que l'air" et mécanique, est attribué aux frères Wright en 1903, après que
Clément Ader ait fait voler son Avion en 1897 ! ( Déjà, la puissance des média américains ).

L'ingénieur allemand Lilienthal leur avait auparavant ouvert la voie en faisant voler ses planeurs ( il se tua au
cours de son 2000e vol en 1896 ).

La première élévation humaine dans les airs est due aux frères Montgolfier, en ballon en 1782.

Avant cela, le vol est une impossibilité, un rêve ou une légende...

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Aéronef de Gusmao
 
 

En 1708, à Lisbonne, un père jésuite brésilien, de retour de Bolivie demanda officiellement au roi du Portugal
Joâo V, l'autorisation de fabriquer un engin volant après lui avoir expliqué les bénéfices potentiels de cette
nouvelle invention. Cet engin volant pourrait emporter 12 hommes et faire 200 miles nautiques en 24 heures,
( vitesse impressionnante pour l'époque, mais en fait environ 15 kilomètres par heure ).

La réponse fut favorable, il obtint même une pension importante pour ses travaux le 17 avril 1709.

Le fuselage était fait en plaques de fer recouvertes de nattes de paille, 2 globes de fer contenant de la
magnétite reposaient sur des colonnes.
Sur l'étrange maillage étaient fixées un grand nombre de perles d'ambre qui "par une opération secrète
maintiendraient l'aéronef en l'air. La chaleur du soleil sur les nattes disposées le long de l'aéronef
tirerait celui-ci vers l'ambre."(?)

Le 5 août, Bartholomeu Lourenço de Gusmâo fit voler son engin devant le roi et sa cour mais il prit feu en l'air ;
Le 30 octobre, nouvel essai de la "gondole volante", cette fois couronné de succès.

Promu académicien et aumônier royal, Gusmâo dut stopper ses essais à cause de l'Inquisition qui jugea l'invention
satanique. ( 1 )

                                                                        vers le haut de la page
 
 
 
 

M. Doru Todericiu, professeur des Sciences et Techniques à l'Université de Bucarest, exhuma en 1961, un vieux
manuscrit de la bibliothèque de Sibiu ( Roumanie ).

Le troisième cahier de cet ouvrage est l'oeuvre de Conrad Haas, chef du dépôt d'artillerie de Sibiu, entre 1550
et 1570.

Ce manuscrit est un compte rendu du lancement d'une fusée à étages et d'une "lance volante" ( missile ? ). ( 2 )

L'expérience aurait eu lieu en 1555, devant des milliers de témoins et aurait été un succès (!?!).

Parmi les inventions de Conrad Haas figurent :

    Fusées à 2 et 3 étages ( 1529 ).
    "Maisonnette volante" ( 1536 ).
    Systèmes d'ignition des étages à carburant solide ( 1555 ).
    Ailettes de stabilisation en forme d'ailes delta ( 1555 ).
 
 

                                                                        vers le haut de la page

Fusées à 2 et à 3 étages duExtrait du manuscrit du musée de Sibiu
 
 

On a retrouvé en Bolivie ( 3 ) , en Colombie et en Amérique Centrale, une vingtaine de bijoux en or, fabriqués
par les Qimbayas, d'environ 5 centimètres, datant du Ve au XIe siècle.

Ils sont répertoriés officiellement comme reproductions zoomorphiques :

    Un insecte ou un oiseau ? Leurs ailes sont toujours situées au-dessus de leur corps !
    Une raie ? Elles n'ont pas de nageoire caudale !
    Un poisson ( volant ) ?
        Ils ont des nageoires en forme d'aile de libellule, pas en forme d'aile delta !
        Contrairement à la dérive des avions, leur nageoire caudale est symétrique ( vers le haut et vers le
        bas ) !

A vous de vous faire une idée :

Vue de dessusVue de
        profil

Vue de face

Coïncidences ? Gusmâo fit son avion après son retour de Bolivie, pays proche du Pérou où sont situées les fameuses "lignes" de Nazca ( même s'il s'avère qu'elles auraient fait de
bien piètres pistes d'atterrissage )...

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Planeur égyptien
 

En 1898, on a trouvé dans une tombe à Saqqarah en Egypte, un objet ailé daté de 200 ans av. J.C..

Comme les avions n'existaient pas dans l'ancienne Egypte, il fut répertorié comme figurine d'oiseau en bois et
classé sous le n° 6347 dans le "rayon jouets" au sous-sol du musée du Caire.

Il demeura ignoré jusqu'en 1969, quand le Dr Khalil Messiha qui étudiait les maquettes des anciens égyptiens,
fut intrigué par cet oiseau bizarre.

    Aux formes aérodynamiques comparables à nos planeurs modernes.
    Qui a une queue verticale et non horizontale.
    Avec comme inscription : "don d'Amon", le dieu du vent.
    L'objet en sycomore léger pèse 39 grammes, fait 14 centimètres de longueur pour 18 d'envergure.
    Ses ailes sont en dièdre inverse, ce qui procure une grande stabilité en vol.
    Il est parfaitement "centré" ; son centre de gravité se situe au tiers de la corde de l'aile.

Il peut donc voler !!!
Comme l'ont démontré les répliques en balsa qui ont été faites, en y rajoutant une pièce fendue à l'endroit
marqué sur la queue faisant office de gouverne de profondeur.

Il est maintenant étiqueté comme maquette d'avion, ainsi qu'une quinzaine d'autres artefacts ailés, et a fait
l'objet d'une exposition spéciale dans le hall central du musée du Caire en 1972.

Photo d'Erich Von DänikenPhoto d'Erich
        Von Däniken

Il y a 2200 ans, qui pouvait avoir de telles connaissances aérodynamiques ?

Comment ont-ils obtenu ce savoir ? observation ? voyance ? ...

A noter que les égyptiens étaient connus pour faire des maquettes de leurs projets de construction ainsi que des
objets familiers au mort afin de les placer dans sa tombe pour l'éternité.
 
 

Un récipient à sifflet en terre cuite trouvé dans une tombe à Teotihuacan ( Mexique ) :

Pilote

Une fusée au musée de Mexico ??? :

Fusée ?

Figurine Maya représentant une espèce de véhicule volant ou un aéroglisseur (?) piloté par un étrange
personnage...

Aéroglisseur ?Aéroglisseur ?
 

Un couteau de cérémonie Aztèque au manche orné d'un homme volant ?

Couteau de cérémonie aztèque

Découverte en Turquie et très controversée, cette "fusée" :

Fusée Turque
                                Les Ancients Spationautes

 8-   Les cartes antiques (Piri Reis, Oronteus Fineaus, Zeno...).

 9-  Objets fossiles de plusieurs millions d'années !

  10-  Métallurgie d'avant-garde.

11-    Enigme de l'éclairage dans l'ancienne Egypte (les lampes perpétuelles).

12-  La Pierre de Dashka ou la carte du créateur
 

Que vous trouverez à l'adresse suivante:

http://marcogee.free.fr/

Puis en allant à "Archéologie"