Pour ceux que cela intéresse:
Citons pêle-mêle, quelques exemples de ces artefacts hors du temps :
1- Les piles électriques de Bagdad.
http://marcogee.free.fr/i/piles/pile1.gif
http://marcogee.free.fr/i/piles/piledesc.gif
2- La machine d'Ancythère ( mécanisme à engrenage ).
http://marcogee.free.fr/i/ancy/ancyschema.gif
3- Les crânes de cristal.
http://marcogee.free.fr/i/crist/crist2.gif
http://marcogee.free.fr/i/crist/crist1.gif
4- Nanotechnologie à l'ère glaciaire en Oural.
http://marcogee.free.fr/i/nano/nano1.jpg
http://marcogee.free.fr/i/nano/nano2.jpg
http://marcogee.free.fr/i/nano/nano3.jpg
http://marcogee.free.fr/i/nano/nano4.jpg
5- Ecriture sur le site préhistorique de Glozel.
http://marcogee.free.fr/i/glozel/glozel_1.gif
http://marcogee.free.fr/i/glozel/glozel_2.gif
http://marcogee.free.fr/i/glozel/glozel_3.gif
6- Pierres gravées
d'Ica.
http://marcogee.free.fr/i/ica/poisson.gif
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http://marcogee.free.fr/i/ica/nazca.jpg
http://marcogee.free.fr/i/ica/cabrera2.jpg
http://marcogee.free.fr/i/ica/musee.jpg
http://marcogee.free.fr/i/ica/fake.jpg
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http://marcogee.free.fr/i/ica/cheval.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/prim.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/dino1.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/dino2.gif
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http://marcogee.free.fr/i/ica/map2.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/map3.jpg
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http://marcogee.free.fr/i/ica/deluge.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/vol1.gif
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http://marcogee.free.fr/i/ica/trans.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/pdesang.gif
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http://marcogee.free.fr/i/ica/cerv3.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/cerv4.jpg
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http://marcogee.free.fr/i/ica/coeur2.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/coeur3.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/op1.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/op2.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/op3.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/op4.gif
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http://marcogee.free.fr/i/ica/op7.gif
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http://marcogee.free.fr/i/ica/op9.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/op10.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/op11.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/op12.gif
7- Reproductions d'objets volants (en Egypte, en Amérique Centrale...).
http://marcogee.free.fr/i/ov/plan.gif
http://marcogee.free.fr/i/ov/1709.gif
http://marcogee.free.fr/i/ov/sibiu1.gif
http://marcogee.free.fr/i/ov/sibiu2.gif
http://marcogee.free.fr/i/ov/bij_top.jpg
http://marcogee.free.fr/i/ov/bij_profil.jpg
http://marcogee.free.fr/i/ov/bij_front.jpg
http://marcogee.free.fr/i/ov/plan1.gif
http://marcogee.free.fr/i/ov/plan2.jpg
http://marcogee.free.fr/i/ov/plan3.jpg
http://marcogee.free.fr/i/ov/pilote.gif
http://marcogee.free.fr/i/ov/fusmex.gif
http://marcogee.free.fr/i/ov/aeroglis1.jpg
http://marcogee.free.fr/i/ov/aeroglis2.jpg
http://marcogee.free.fr/i/ov/dagazt.gif
http://marcogee.free.fr/i/ufo/hist1/fuseeturc.gif
8- Les cartes antiques (Piri Reis, Oronteus Fineaus, Zeno...).
9- Objets fossiles de plusieurs millions d'années !
10- Métallurgie d'avant-garde.
11- Enigme de l'éclairage dans l'ancienne Egypte (les lampes perpétuelles).
12- La Pierre de Dashka ou la
carte
du créateur
Que vous trouverez à l'adresse suivante:
Puis en allant à "Archéologie"
Pour ceux que cela intéresse:
Citons pêle-mêle, quelques exemples de ces artefacts hors du temps :
1- Les piles électriques de Bagdad.
http://marcogee.free.fr/i/piles/pile1.gif
http://marcogee.free.fr/i/piles/piledesc.gif
Les piles électriques de
Bagdad
En 1938, un archéologue autrichien, le
Dr Wilhelm König, s'est penché sur un "objet cultuel" reposant
au fond
des caves du musée de Bagdad.
Il s'agit d'un petit vase en terre cuite de
15
centimètres de hauteur sur environ 7,5 centimètres de diamètre.
Emergeant du bouchon bitumineux, une tige en
fer est insérée à l'intérieur d'un cylindre
en cuivre et isolée de
celui-ci à sa base par un tampon en bitume
; le cylindre de cuivre étant soudé avec son capuchon par
un alliage
plomb/étain.
Plusieurs de ces piles ont été trouvées
dans les ruines de Khujut Rabu, ville Parthe, aux alentours de
Bagdad.
Les
Parthes, farouches guerriers, ont dominé
la région entre 250 av. J.C. et 230 ap. J.C. .
Dix autres piles furent découvertes plus
tard à Ctesiphon.
Le cuivre porte une patine bleue
caractéristique
de la galvanoplastie à l'argent.
On pense donc qu'elles sont beaucoup plus
anciennes
car on a retrouvé également des vases en cuivre plaqués
argent dans un site Sumérien vieux d'au
moins 2500 ans av. J.C.
Différents spécialistes ont reproduit
la pile en utilisant du jus de raisin comme électrolyte et ont
effectivement obtenu un courant électrique,
suivant les expérimentateurs, entre 0,5 et 1,5 volts.
1
: Tige en fer.
2
: Bouchon en asphalte.
3
: Vase en terre cuite.
4
: Electrolyte.
5
: Cylindre de cuivre.
6
: Tampon isolant en asphalte.
7
: Capuchon en cuivre.
8
: Fil de masse.
On peut donc supposer qu'il y a plusieurs
centaines
d'années, les inventeurs ou tout au moins les utilisateurs se
sont servis de ces piles pour "arnaquer"
leurs
contemporains en leur vendant du cuivre au prix de l'argent. On
imagine alors fort bien pourquoi cette
découverte
est restée secrète...
La Machine
d'Ancythère
Les Crânes de Cristal
Nanotechnologie
Glozel Pierres gravées d'Ica
Les figurines
d'Acambaro
Objets Volants Les Cartes
Antiques
La carte du créateur Objets
Fossiles
Métallurgie Enigme de l'éclairage
dans l'ancienne Egypte Les Lampes
Perpétuelles
les
Murs Vitrifiés Les cylindres de
fer fossilisé
2- La machine d'Ancythère ( mécanisme à engrenage ).
http://marcogee.free.fr/i/ancy/ancyschema.gif
Le mécanisme d'Ancythère
En 1900, des pêcheurs d'éponges découvrent
l'épave d'un navire romain, à 42 mètres de profondeur,
près de la
côte nord de l'île grecque d'Ancythère.
Parmi les nombreuses amphores, statues en
bronze
et en marbre, ils ramenèrent des pièces de bronze
corrodées, enchâssées dans
les restes d'une boîte en bois qui ne sera pas conservée.
L'ensemble mesure environ 21 centimètres
sur 16 pour 5 d'épaisseur.
Une fois dégagées de leur gangue
de calcaire et de corail, les inscriptions permettent de dater
l'ensemble
vers 80 av.J.C., ce qui est en accord avec
l'âge
des divers objets domestiques retrouvés, en dépit de la plus
haute antiquité de certaines des statues.
Les roues dentées et les graduations font
penser tout d'abord à un astrolabe et il est référencé
comme tel au
musée d'Athènes.
Jusqu'au jour où un physicien anglais à
l'esprit ouvert et curieux ( eh oui ! Cela existe, j'en ai même
rencontré
),
le Dr Price, ne se contenta pas de cette
explication
sommaire.
Ainsi, par application d'une désoxydation
électrolytique, il mit en évidence les cadrans, les aiguilles,
une
vingtaine d'engrenages ( découpés
dans des plaques de bronze de 2 millimètres d'épaisseur )
et les différentiels
du mécanisme manuel.
Voici un schéma du mécanisme :
Et voici une photo prise aux rayons X ( en 1971 ).
Il apparaît donc que ce mécanisme
est en fait un " antique ordinateur grec" permettant de décrire
avec une
très grande précision les mouvements
des astres, en particulier du soleil et de la lune.
Curieux objet dans le supposé désert
technologique des grecs !
Notons au passage qu'au IIe siècle av.
J.C., Héron d'Alexandrie avait écrit un traité de
construction
d'automates hydrauliques, et qu'auparavant,
au
IVe siècle av. J.C., Archytas de Tarente aurait fait voler un
"oiseau mécanique".
3- Les crânes de cristal.
http://marcogee.free.fr/i/crist/crist2.gif
http://marcogee.free.fr/i/crist/crist1.gif
Les crânes de cristal
En 1924, Anna Le Guillon Mitchell-Hedges a
17
ans lorsque avec son père adoptif, l'explorateur anglais
Frederick Albert Mitchell-Hedges, ils
découvrent
un crâne en cristal de roche dans les ruines d'un temple de
la cité Maya "des pierres tombées"
à Lubaantùn, au Belize. ( 1 )
En dehors de l'absence des sutures
crâniennes,
c'est une reproduction quasi parfaite d'un crâne humain féminin.
( 2 )
Il pèse 5 kg . Il est composé de
deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant exactement
à la partie
supérieure.
Les propriétés optiques du crâne sont étonnantes :
éclairé par le
dessous, la lumière jaillit par les orbites.
Frappé à l'arrière
par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense (
susceptible de
mettre le feu )
jaillit des orbites, du
nez
et de la bouche.
Certaine de son authenticité, Anna accepte
de confier le crâne à une équipe de scientifiques spécialisés
dans la
cristallographie de la société
Hewlet-Packard.
Après 6 mois de tests, les conclusions
tombent :
Il est constitué d'un
quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium
"piézo-électrique"
anisotrope( 3 ).
Les deux morceaux sont
taillés
dans le même bloc de cristal de roche.( 4 )
Aucune trace
d'instrument,
ni marque microscopique quelconque. ( 5 )
Sans trace d'usinage, il
est
impossible de dater sa fabrication ( le cristal ne vieillit pas
).
Avec une technologie
moderne
au diamant il faudrait un an de travail pour obtenir l'aspect
extérieur
( avec des traces
d'usinage,
ce que ce crâne n'a pas ! ), quant aux effets prismatiques, leur
reproductibilité
est encore plus
difficile.
La fabrication manuelle
aurait
requis 300 années de labeur continu !
Un chercheur de l'équipe aurait déclaré
:
" Ce sacré truc ne devrait même
pas exister ! "
Il existe d'autres crânes de cristal, dont
la découverte ou l'acquisition ne sont également jamais
clairement
établies.
Nick Nocerino, propriétaire d'un crâne
de cristal baptisé "Sha-Na-Ra" a fondé un institut de recherche
parapsychologique afin d'étudier leurs
propriétés "psy".
Jo Ann Parks est détentrice de "Max" et Norma Redo est la propriétaire du crâne à la croix reliquaire.
En 1996, tous les trois ont accepté de prêter leur crâne au British Muséum à fin d'expertise.
Cinq crânes ont été étudiés,
les trois précédemment cités, ainsi que celui du British
Muséum et celui du
Smithonian Institute.
Un gobelet de cristal daté d'au moins 500
ans av. J.C., et un crâne moderne fabriqué en 1993 en Allemagne
par
Hans-Jürgen Henn ont servi de témoins.
Le crâne du British Muséum et celui du Smithonian Institute portent des traces d'usinage.
Quant au crâne à la croix reliquaire,
les dents ont été retouchées ainsi qu'évidemment
le trou que les espagnols
ont percé pour y introduire la croix.
Et... silence ! Pour "Max" et "Sha-Na-Ra" : "No Comment" !!!
Depuis, les autorités du British Muséum
refusent obstinément non seulement de livrer leurs conclusions
mais
également de dire pourquoi !!!
Nous avons là un nouvel exemple de la démission des scientifiques devant un objet impossible.
Une légende Maya est attachée à
ces crânes de cristal : lorsque les treize crânes seront réunis,
ils révèleront le
secret de la vie.
Selon leur tradition, ces crânes leur ont
été transmis par les Atlantes qui les tenaient des Initiateurs
venus du
ciel !!!
Ces crânes seraient-ils
les ancêtres des boules de cristal ?
Une espèce de support
d'information, venu du fond des âges, pouvant se mettre en
résonance
avec le
cerveau humain ?
Un briquet sophistiqué
?
Ou bien un simple objet
décoratif
pour honorer les ancêtres ?...
4- Nanotechnologie à l'ère glaciaire en Oural.
Nanotechnologie
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Pour voir d'autres photos sans quitter cette page... 1 2 3 4
A partir de 1991, des prospecteurs d'or,
puis
des expéditions scientifiques ( mandatées par l'institut
central
de recherche scientifique de géologie
et de prospection de métaux précieux et non-ferreux de Moscou
), ont
découvert des objets, métalliques,
spiralés pour la plupart, dont la taille varie de 3 centimètres
pour les plus
gros à 3/1 000e de millimètre !!!
Des milliers de ces artefacts ont été
trouvés sur de nombreux sites dans la partie orientale des
montagnes
de
l'Oural, sur les rives de plusieurs cours
d'eau
dans des couches sédimenteuses datant du pléistocène
supérieur,
à des profondeurs variant de 3 à
12 mètres.
Ces objets ont été étudiés
par l'Académie des Sciences russe de Syktyvka, Moscou et St
Petersbourg,
ainsi que
par un institut scientifique d'Helsinki en
Finlande
:
Les plus gros de ces objets sont en cuivre,
tandis
que les plus petits sont en tungstène ( point de fusion de
3410°c. ) ou en molybdène ( point
de fusion de 2650°c. ).
En fonction du site et de la profondeur où
ils ont été trouvés, l'âge de ces objets est
estimé entre 20 000 et
318 000 ans !!!
L'Institut de Moscou a publié un rapport
d'expertise n° 18/485 du 29/11/96 qui conclut :
"Les données obtenues permettent d'envisager
la possibilité d'une technologie d'origine extra-terrestre."
5- Ecriture sur le site préhistorique de Glozel.
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http://marcogee.free.fr/i/glozel/glozel_2.gif
http://marcogee.free.fr/i/glozel/glozel_3.gif
Glozel, petit hameau de la montagne
Bourbonnaise,
est situé sur la commune de Ferrières/Sichon dans l'Allier
à
une vingtaine de kilomètres au sud-est
de Vichy.
Le 1er mars 1924, dans le champ Duranthon (
rebaptisé
plus tard le champ des morts ), un jeune agriculteur de
17 ans, Emile, et son grand-père, Claude
Fradin, font une découverte impossible qui déclenche l'une
des plus
violentes controverses archéologiques
du XXe siècle car elle remet en cause ce que l'on savait sur les
origines
de l'écriture.
En défrichant un morceau de terrain, l'une
des vaches tirant la charrue tombe dans un trou, à l'intérieur
duquel
Emile trouve des ossements humains. Avec la
découverte
de ce tombeau, ils pensent avoir mis la main sur un
trésor, les premières fouilles
se font à coups de pelle et de pioche. Ils trouvent divers
objets,
des urnes, des
vases, des haches et des tablettes gravées.
Ils brisent les urnes mais elles ne contiennent que de la terre,
déception, le trou est rebouché
et l'avoine est semée.
Au cours de l'été, la Société
d'Emulation du Bourbonnais se déplace, recueille des
échantillons
et les envoie au
Dr Capitan des Beaux-Arts.
A l'époque, le Dr Capitan, l'abbé
Breuil et le conservateur du musée des Eyzies, M. Peyroni,
composaient
le
triumvirat incontournable de la préhistoire.
Entre temps, en 1925, Antonin Morlet,
médecin
à Vichy, passionné d'archéologie, entend parler de
la découverte
et se rend sur place avec son épouse.
Fasciné par ce qu'il trouve, il obtient le droit de publication
sur les
objets qui restent la propriété
de M. Emile Fradin.
13 mois après avoir reçu les premières
pièces, le Dr Capitan se rend sur place. "Vous avez là un
gisement
merveilleux..", il demande au Dr Morlet un
rapport
détaillé.
Mais au lieu d'envoyer son rapport, le Dr
Morlet
le publie le 23 septembre 1925 sous le titre "Nouvelle station
néolithique". Morlet est convoqué
par Capitan, furieux, "...mettez mon nom à la place de celui
d'Emile
Fradin..",
( fait rapporté et publié par le
chanoine Cote, "Glozel, 30 ans après", 1959 ; toutes les
personnes
"baignant"
dans le milieu scientifique savent
l'importance
d'avoir son nom au sein d'une publication ) ; Morlet refuse.
Puis l'abbé Breuil écrit un article
en faveur de Glozel mais sans citer le nom du Dr Morlet, qui à
son
tour
s'insurge et accuse l'abbé de vouloir
s'approprier la découverte. L'abbé se retournera alors lui
aussi contre
Glozel.
On est bien loin des argumentations
scientifiques
!
Les grands pontes de la préhistoire, tout
d'abord très favorables à Glozel, pris de cours par cette
fabuleuse
découverte, se retrouvant "hors jeu",
prennent alors position contre Glozel.
D'autant plus qu'à cette même période
un éminent épigraphiste, René Dussaud, vient de publier
officiellement
que l'écriture est née en Phénicie,
1
600 ans av. J.C. ( après la mise à jour du sarcophage du
roi Ahiram de
Byblos, recouvert d'inscriptions ).
Or le Dr Morlet estime les tablettes gravées
à 5 ou 6 000 ans av. J.C..
Les deux découvertes sont contradictoires
et cela va déclencher une véritable guerre chez les hommes
de
science. Les glozeliens et les
anti-glozeliens
s'affrontent, Glozel devient l'affaire Dreyfus de l'archéologie.
Et dans cette guerre, tous les coups ( bas
) sont
permis, lettres anonymes, injures, etc. ; un jour le Dr Morlet
surprend même miss Garrod, secrétaire
de l'abbé Breuil, en flagrant délit de truquage lors d'une
enquête sur
place de la Commission des fouilles ( nommée
par le Dr. Capitan, impartialité quand tu nous tiens !!! ).
Le Dr Morlet, Emile Fradin sont traînés
dans la boue, tout est mis en oeuvre pour les déshonorer,
"calomniez,
calomniez, il en restera toujours quelque
chose".
Le Président de la Société
Préhistorique de France se rend à Glozel, il paye 4 francs
pour entrer dans le musée
( mis en place sommairement par Emile Fradin
pour satisfaire le nombre croissant de visiteurs, curieux de
voir
ces fantastiques objets si controversés
), puis il prétend qu'on lui montre des choses fausses. Il porte
plainte
contre X pour "entreprise pécuniaire pour
montrer les produits d'une mystification".
Le 25 février 1928, la police de
Clermond-Ferrand
fait une descente pour perquisitionner chez les Fradin ;
leur but, trouver l'atelier où Emile
fabrique
ses objets. Ils brisent les vitrines, certains objets, ils
molestent le
pauvre Emile et emportent plus de 200
objets,
soit disant pour les faire dater mais à l'époque il n'y a
aucun
moyen pour faire cela.
Le 4 juin 1929, Emile Fradin est inculpé
d'escroquerie, le juge d'instruction va le cuisiner pendant les
63
heures de l'interrogatoire.
On veut qu'il avoue avoir fabriqué ces
objets, mais ce jeune paysan du Bourbonnais, ignorant tout de la
préhistoire, a sa conscience pour lui,
il n'a pas fabriqué ces objets surgis de la nuit des temps.
Son courrier est ouvert, il est constamment
surveillé
par la police qui veut le surprendre en flagrant délit de
fabrication et vérifier s'il enterre
lui-même
les objets.
Finalement, deux ans plus tard,
l'inculpation
finit par un non-lieu.
Emile Fradin peut enfin profiter de la vie,
il
se marie et a des enfants.
Le Dr Morlet continue ses fouilles, toujours
à ses frais, pendant 16 ans. Il trouvera plus de 3000 objets,
jusqu'en 1941 où la loi Carcopino est
votée. Il est désormais interdit de fouiller le sol français
sans
l'autorisation de l'Etat. Ceci met fin au
fouilles
de Glozel.
Le Dr Morlet meurt en 1966, il ne verra pas
la
reconnaissance de Glozel.
En 1972, Henri François, ingénieur
au Commissariat à l'Energie Atomique, en visite à Glozel,
fait des
prélèvements et les envoie à
3 laboratoires étrangers pour datation. On utilisera la méthode
de datation au
carbone 14 pour les os gravés et la
thermoluminescence
pour les céramiques et la terre cuite.
Pour les trois laboratoires indépendants
,les résultats sont clairs et irréfutables, Glozel est ancien
!
Henri François écrira à
Emile Fradin :
"...Seuls quelques attardés mal informés
pourront encore prétendre que vous êtes un faussaire, les
regroupements des mesures faites
indépendamment
dans chaque laboratoire sont parfaits et
indiscutables..."
Les résultats sont les suivants :
les ossements ont entre
15
000 et 17 000 ans,
les céramiques ont
5 000 ans,
les tablettes gravées
ont 2 500 ans.
En 1974, une équipe du Centre de Recherche
Nucléaire de Grenoble passe le site au magnétomètre,
montrant
qu'il existerait encore des objets enfouis.
En 1975, après un congrès d'archéométrie
tenu à Oxford, la lumière est enfin faite sur l'authenticité
du site.
L'Etat reconnaît l'authenticité
de Glozel, mais la communauté scientifique continue de douter.
De 1983 à 1990, de nouvelles fouilles sont
entreprises, bizarrement, à plusieurs kilomètres du champ
des
morts, ensuite, aucun résultat n'est publié
(?).
Alors pourquoi ?
Je cite M. Remy Chauvin, biologiste, "père
spirituel des hérétiques en France" :
"...S'ils ne publient pas c'est qu'ils ont
probablement
trouvé des choses qui les ennuient, alors pourquoi ?
De quoi a-t-on peur ?
On a peur de contrarier quelques vieux
professeurs,
on a peur de démolir les théories en cours ?
Mais, est-ce que les théories scientifiques
sont des monuments religieux ?
Qu'y a-t-il donc à Glozel qui soit
responsable
d'une telle levée de boucliers ?
Faisons donc des fouilles méthodiques
et raisonnées à l'endroit où Emile Fradin les fit
! ..."
M. Emile Fradin s'est vu proposé des sommes
fabuleuses pour ses découvertes mais il n'a cédé aucun
objet. Le 16
juin 1990, il reçut les Palmes Académiques.
En 1995, suite à la diffusion d'une
émission
télévisée, le résumé provisoire
des recherches précédentes est enfin
publié mais ne révèle rien,
si ce n'est ce que l'on savait déjà, qu'il y a une grande
disparité dans l'âge des
objets de Glozel.
Plus de 3000 objets ont été retrouvés,
des poteries, des tablettes gravées, des pierres polies, des
bijoux
en
os, des têtes de flèches, des aiguilles,
et il ne semble pas que les signes écrits aient été
superposés à des
gravures animalières antérieures.
Tous les ossements, humains ( n'appartenant
pas
à des squelettes d'homme moderne ), et d'animaux ( ayant été
transformés en outils, bijoux, certains
portant des signes d'écriture ), tous, présentent une
fossilisation
avancée.
Les haches en pierre polie ont leur tranchant trop peu usé et sont donc certainement votives.
Les galets, gravés notamment de splendides
rennes, ont soulevé l'admiration des spécialistes en art
préhistorique.
Les objets en céramique, idoles, vases
mortuaires aux masques étranges dépourvus de bouche et les
fameuses
tablettes couvertes d'inscriptions toujours
inconnues,
ont été fabriqués dans un four ovale qui fut tout
d'abord pris pour une tombe.
Même s'il n'y a plus de doute sur l'authenticité du site, Glozel conserve encore de nombreux mystères.
En effet, sans doute à cause de la très
forte radioactivité naturelle de la région, les datations
sont
extrêmement disparates, et on a du mal
à comprendre et à fortiori à expliquer la présence
sur le même lieu,
d'objets âgés de 17 000 ans, de
5 000 ans, de 2 500 ans, de 1 500 ans, et même du moyen âge
!
Reste également l'énigme de l'écriture
que l'on retrouve sur des os gravés de 17 000 ans, toujours non
déchiffrée...
Elle présente de grandes ressemblances
avec :
des formes très
anciennes
de l'écriture phénicienne.
Mais aussi avec un
certain
nombre d'inscriptions alphabétiformes retrouvées dans des
sites
magdaléniens, au
Portugal,
en Roumanie et en France.
Glozel serait peut-être un ancien lieu de
culte, magique, où auraient été regroupés des
objets de diverses
provenances ? ...
On ne pourra lever le voile du
mystère
que si
l'on étudie sérieusement
et systématiquement
ce
site exceptionnel.
GLOZEL
Introduction
Cette
station, découverte fortuitement en 1924 par des paysans de
l'Allier (un
grand-père
et son petit fils, alors qu'ils réalisaient un
labourage de ce terrain afin
de
le transformer en pacage), fera grand bruit, verra se presser
les noms
les plus
prestigieux,
attirera les foules, mais aussi ...les foudres! Des rivalités
et des
combats
mesquins d'hommes éminents viendront ternir les découvertes
nombreuses
de pièces très originales. L'intérêt
pour ce site en sera dérangé,
amenuisé
, voire brouillé... trop de personnes se complaisant
à le maintenir en
marge.
Une
littérature abondante sera produite; la seule bibliographie
française représente
déjà
plus de 85 pages !
Localisation
Le
hameau de GLOZEL dépend de la
commune
de Ferrières sur Sichon, canton du
Mayet
de Montagne, situé à une vingtaine de
kilomètres
de Vichy, au Nord du massif des
Bois
Noirs et à l'ouest des Monts de la
Madeleine
(extrémité septentrionale du
Massif
Central, communément appelée:
Montagne
Bourbonnaise).
Presque
tous les objets découverts au
Champs
des Morts se trouvent au Musée de
GLOZEL,
sur lequel veille amoureusement
"l'inventeur"
du site, Emile FRADIN, 91 ans
en
cette année 1998.
Des
découvertes d'objets similaires furent effectuées aux
alentours (à Moulin Piat,
à
2,5 km au Sud; chez Guerrier, à 3 km sur la rive droite
du Vareille; à Puyravel
à
10 km en amont, sur la rive opposée).
Dès
1924, le Dr Morlet, médecin à Vichy, archéologue
amateur averti, mena des
fouilles
pendant plusieurs années. Il cessa en 1941, date de la
nouvelle législation
réglementant
les fouilles archéologiques. Il prétendit
qu'il s'agissait d'une "nouvelle
station
néolithique".
La
géologie de cette région est très complexe et délicate
à aborder, en particulier
pour
les analyses archéométriques, car ce sous sol est en
grande partie constitué
de
terrains radioactifs, très chargés puisqu'ils contiennent
en quantité de l'uranium
à
l'état naturel. Cela rend donc les résultats des
analyses difficiles à exploiter, sans
que
de nouvelles approches aient été réalisées,
afin de déterminer l'impact et les
répercussions
possibles sur les résultats obtenus.
(d'après
une carte établie par le Dr CHABROL)
© Copyright 1998, C.D.I.R.E.H Glozel / Contact - http://www.gerbeaud.com/glozel
6-
Pierres gravées
d'Ica.
Mise à jour le 19/07/00
Les pierres d'Ica
http://marcogee.free.fr/i/ica/poisson.gif
1) La première curiosité des pierres
d'Ica réside dans l'emplacement même où ces pierres
ont été trouvées. En
venant de la mer, ou en longeant les côtes
péruviennes, lorsque vous voyez le "Chandelier des Andes", vous
suivez la direction qu'il indique vers les
fameuses
lignes de Nazca et vous survolerez Ica, petite ville à 300
kilomètres de Lima.
( Cela est bien entendu dû au hasard !
;-) )
http://marcogee.free.fr/i/ica/candle.jpg
http://marcogee.free.fr/i/ica/nazca.jpg
2) La deuxième curiosité, est la
manière dont ces pierres ont été déclarées
fausses. Celles-ci ne seraient qu'un
canular monté par un simple paysan péruvien
illettré !
Il semble que des pierres noires gravées
aient été ramenées en Espagne par les premiers conquistadors
du Pérou
au XVIe siècle, puis d'autres auraient
émergé en 1908, mais ne possédant pas de références
à leur sujet, nous
n'en tiendrons pas compte.
L'histoire officielle des pierres d'Ica
commence
donc en 1966, à l'anniversaire du Dr Javier Cabrera
Darquea, médecin et professeur de biologie,
maintenant, également gardien du temple à l'instar de M.
Emile
Fradin pour Glozel.
A cette occasion donc, le Dr Cabrera se fit
offrir
par un indigène, une petite pierre gravée comme presse
papier, sur cette pierre était gravé
un poisson ( voir photo en haut de page ). Ce petit cadeau
anodin allait
modifier le
cours de sa vie. Le biologiste croit
reconnaître
sur le dessin une espèce disparue depuis plusieurs millions
d'années. Intrigué, il va alors
devenir le premier client du soi-disant faussaire et commencer
sa collection
pour
amasser jusqu'à présent plus de
15 000 pierres, de la taille d'une tomate jusqu'à certaines
pesant
plus de 200
kilogrammes.
Les huaqueros, pilleurs de tombes,
commencent
alors à vendre certains galets aux touristes toujours avides
d'antiquités.
Les autorités péruviennes, ne voulant
pas que leur pays ne devienne l'Egypte de l'Amérique du sud et
voir
ses
richesses archéologiques pillées
par les étrangers, en vertu des lois nationales et
internationales
sur la
protection du patrimoine, arrêtent le plus
gros vendeur dans son échoppe.
Il est emmené et incarcéré
à Lima pour pillage du patrimoine national, il risque un grand
nombre
d'années de
prison, voire la perpétuité. Le
fermier, même s'il est illettré, comprend vite la situation
:
ou bien il révèle
l'endroit où il a trouvé les pierres pour atténuer
sa peine,
ou bien il reconnaît
qu'il les a lui-même fabriquées, auquel cas aucune charge
ne peut être reconnue contre
lui.
Evidemment il signe des aveux complets ; il
a
fabriqué toutes les pierres, elles sont fausses, il a trompé
les
touristes. L'affaire est entendue, tout le
monde
est satisfait.
D'autant plus qu'au moment de cette
affaire, la
BBC avait dépêché une équipe de reporters pour
un documentaire
retentissant sur cette fantastique
découverte
et la déconvenue après ces aveux est de taille. En l'espace
de
quelques jours, l'information fait le tour
du
monde, les pierres d'Ica ne sont qu'un canular de plus destiné à
exploiter la crédulité des touristes
en mal de merveilleux.
Les ardents défenseurs du dogme établi
ont pu alors se faire valoir en arguant du fait qu'ils avaient
bien entendu
flairé le coup, sans même s'être
déplacés pour étudier in situ ces galets, trop fantasques
pour être vrais.
Mais, on peut se demander si ces scientifiques rigoureux et rationnels, ne se sont pas à leur tour laissés berner.
Il reste plusieurs points à éclaircir :
Les galets sont en
andésite,
une roche volcanique vieille de 80 millions d'années,
extrêmement
dure et
oxydée sur sa couche
extérieure, ce qui rend néanmoins la gravure possible. Or,
les incisions qui font la
gravure sont elles aussi
oxydées
et ont été expertisées par un laboratoire allemand
comme extrêmement
anciennes ( une datation
exacte
est impossible dans l'état actuel de nos connaissances ).
Il serait donc très
intéressant de savoir comment et surtout pourquoi ce paysan
illettré
se serait
compliqué la tâche
à ce point juste pour donner à des faux une apparence
authentique
d'une manière aussi
subtile en n'oxydant que
les
incisions !
Un autre argument en
faveur
de l'authenticité de ces pierres gravées, tient dans leur
nombre.
Même en ne tenant compte
que des 15 000 pièces détenues par le Dr Cabrera, ( et il
estime qu'il en a été exhumé entre
40 000 et 50 000, avec ce
qui a été vendu aux touristes, ce qui est toujours conservé
par les habitants et dans le musée d'Ica ) :
ce
pauvre paysan aurait dû se mettre au travail dès son adolescence
à raison de 10 heures par
jour
et cela sans interruption pendant plus de 40 ans, belle
constance et une
sacrée suite dans les
idées,
pour récolter in fine quelques dollars !
ou
bien, ce fermier est le dirigeant de gros ateliers de
fabrication qu'il
serait quand même assez
difficile
de dissimuler, et de conserver secrets, les paysans locaux ayant
une seconde
activité, ce qui
ne
serait pas passé inaperçu, alors que les quelques faux,
décelables,
qui sont fabriqués, le sont en
plein
jour à la vue de tous.
Un autre point
remarquable
tient dans la diversité des sujets dessinés sur ces pierres
et les connaissances
nécessaires pour imaginer
toutes ces gravures qui font de ce paysan illettré un érudit
hors-pair.
3)La troisième curiosité des "glyptolithes" ( nom donné à ces galets gravés par le Dr Cabrera qui les étudie depuis près de 40 ans ), tient dans ce que ces gravures nous apprennent et qui font qu'elles sont rejetées sans appel possible par la communauté scientifique, tellement ce qu'on y voit est en désaccord avec tout ce que l'on nous a appris.
Par exemple, on y voit pêle-mêle, des hommes domestiquant des dinosaures, combattant d'autres dinosaures, des espèces animales disparues, des hommes regardant les étoiles à l'aide de longue-vues, regardant des pétroglyphes ou des fossiles avec des loupes, des cartes stellaires, des cartes de la Terre telle qu'elle était il y a 13 millions d'années, des opérations chirurgicales stupéfiantes, décrites étape par étape, des césariennes, des transplantations d'organes, du coeur, des reins et même du cerveau (?), etc...( voir page suivante )
Evidemment, tout cela ne cadre absolument pas avec ce que nous croyons savoir sur le passé. Pourtant, plus qu'un simple fouillis descriptif, ces pierres selon le Dr Cabrera, nous racontent une histoire sur notre passé.
En résumé, sans trop entrer dans des détails fantastiques, une "humanité" nous a précédés. Elle avait atteint un niveau technologique très avancé, mais elle s'est vue anéantir par une catastrophe cosmique, chute d'une météorite ou d'une comète. Les rescapés ont dû repartir à zéro, et ont alors gravé ces galet comme témoignage de leurs connaissances, pour la postérité.
Pris de manière isolée, ces galets
n'ont aucun sens , mais si on fait le rapprochement avec les
autres découvertes
impossibles de ce site, notamment en paléontologie, on peut y
apercevoir
les bases d'une nouvelle préhistoire sans avoir à remettre
en cause l'ensemble des connaissances scientifiques parcellaires
que nos
chercheurs ont âprement amassées au fil du temps et sans faire
appel obligatoirement, mais sans en rejeter la possibilité pour
autant, à des interventions extérieures "inconnues".
Pendant des années, le Dr Cabrera a harcelé
son pourvoyeur pour connaître l'emplacement d'où il tirait
ces
pierres, qu'il ramenait avec parcimonie,
puis
par paniers entiers.
Dans un premier temps, il a réussi à
apprendre qu'à la suite d'une crue très importante de la
rivière Ica, un pan
important de la montagne s'était effondré,
révélant alors plusieurs grottes, dont le paysan tenait à
garder
l'emplacement secret.
Après ses "aveux officiels", le harcelement
s'est poursuivi, pour savoir cette fois quand, comment et
pourquoi il
aurait gravé tous ces galets. Mais
,évidemment,
toutes ses réponses furent contradictoires, confuses et
évasives.
Finalement, le Dr Cabrera serait parvenu à
se faire emmener sur les lieux, et selon ses dires, aurait
pénétré
dans
une grotte qui contiendrait, toujours selon
ses
estimations plus de 100 000 pierres.
Depuis, le Dr Cabrera s'est déclaré
prêt à révéler cet emplacement seulement à
une équipe de
scientifiques dûment mandatée pour
effectuer des recherches sérieuses. Mais voilà, puisque les
pierres sont
déclarées fausses, jusqu'ici, aucun
scientifique n'a eu le courage, l'audace de braver l'interdit,
de risquer
sa
carrière, sa réputation, pour entreprendre
leur étude.
Alors, peut-être pour encore quelques
années,
la mémoire de notre passé va sommeiller au fond d'une
grotte, en espérant que celle-ci ne soit
pas pillée.
Quelques échantillons des pierres gravées
d'Ica :
Voir également les pages sur les :
Fossiles
impossibles
Empreintes
impossibles
Objets
fossiles impossibles
Objets
fossiles impossibles(2)
Les Piles Electriques de
Bagdad
La Machine d'Ancythère Les Crânes
de Cristal Nanotechnologie
Glozel
Les
figurines d'Acambaro Objets
Volants
Les Cartes Antiques La carte du
créateur
Objets
Fossiles
Métallurgie Enigme de l'éclairage
dans l'ancienne Egypte Les Lampes
Perpétuelles
les
Murs Vitrifiés Les cylindres de
fer fossilisés
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http://marcogee.free.fr/i/ica/op9.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/op10.gif
http://marcogee.free.fr/i/ica/op11.gif
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Les objets fossiles impossibles
http://marcogee.free.fr/
Archéologie
1851
Les objets sortis des entrailles de la terre qui sont exposés dans les musées sont ceux qui s'inscrivent parfaitement dans la lignée orthodoxe de la science officielle.
Ceux qui vont suivre sont ces "objets hors contexte", appelés OOPs ou OOPARTs ( Out-Of-Place ARTifacts ) outre Atlantique, qui viennent remettre en cause cette belle architecture simpliste.
Malheureusement, beaucoup de ces objets ont disparu ( ou bien on les a laissés disparaître quand ils étaient trop gênants ), et pour la plupart il ne nous reste que leur description lors de leur découverte.
Peuvent-elles être considérées comme des canulars ?
On remarquera plusieurs éléments :
Ces gens tout à fait respectables n'ont gagné que le ridicule, en réponse à leur honnêteté et leur courage d'avoir rendu publique leur trouvaille.
Ces découvertes fortuites se sont produites la plupart du temps devant témoins. Enfin, on a du mal à imaginer que des plaisantins se soient donnés la peine d'incruster des objets dans la roche, ( il faudrait aussi qu'ils nous disent comment ils auraient procédé ), sans jamais se dévoiler, ( où serait alors le plaisir de la farce ? ), juste pour mettre dans l'embarras les scientifiques du XXe siècle !
Voici donc quelques-unes de ces découvertes impossibles :
Au XVIe siècle, en 1572, un clou en fer fut trouvé dans la roche d'une mine du Pérou, il mesurait 18 centimètres. Il fut offert au Vice-roi espagnol du Pérou comme souvenir. La couche géologique dont il a été extrait est estimée entre 75 000 et 100 000 ans. ( 1 )
Entre 1786 et 1788, près
d'Aix-en-Provence, plusieurs trouvailles ont été faites dans
une carrière de calcaire, dans laquelle les
couches
de roche alternent avec des strates de sable et
d'argile.
A une quinzaine de mètres sous le niveau du sol, dans une couche
de sable, des ouvriers trouvèrent tout d'abord
des bouts de colonnes et des blocs déjà taillés ;
plus bas, des pièces métalliques faisant penser
à
des pièces de monnaie, des manches d'outils en bois pétrifiés,
une grande planche de bois également
pétrifiée.
Et tout cela daterait de 300 millions d'années, si l'on admet
que
les théories classiques de la géologie, quant
à la formation des roches d'une part et du délai de
pétrification
d'autre part, sont exactes.
En 1844, en Ecosse, entre les rivières Tweed et Rutherford, des ouvriers trouvèrent un fil d'or incrusté dans la roche à 2,5 mètres de profondeur. Il fut exposé au siège du journal local, le Kelso Chronicle. ( 2 )
Un autre clou en fer a été retrouvé, au milieu du XIXe siècle, en 1845, dans un bloc de pierre de la carrière écossaise de Kingoodie, sa tête mesurait 2,5 centimètres. Elle était en contact avec une couche de gravier et légèrement corrodée, alors que le reste du clou était prisonnier de la roche. ( 3 )
En 1851, à Dorchester ( Massachusetts ), au cours d'une opération de minage, les deux parties d'un vase ont été arrachées de la roche dynamitée. Ce vase fait 11,3 centimètres de hauteur, il est en alliage de zinc, à très forte teneur d'argent semble-t-il, et finement décoré ; âge estimé, 100 000 ans ( voir photo en haut de page ). Il a, à l'époque, voyagé de musée en musée, puis a disparu... ( 4 )
La même année,
dans le même Etat, à Springfield, monsieur De Witt brisa
accidentellement
un morceau de quartz aurifère qu'il avait
ramené
de Californie. A l'intérieur, se trouvait un
clou
en fer forgé de 5 centimètres, légèrement corrodé,
absolument droit
avec une tête
parfaitement
formée. La pierre est âgée d'un million
d'années. ( 5 )
Toujours en 1851, dans le Comté de Whiteside ( Illinois ), deux objets en cuivre ont été remontés d'une profondeur de 36 mètres lors d'un forage. Ils ressemblaient à un hameçon et à une bague, âgés d'environ 150 000 ans.
En 1865, un morceau de
feldspath,
retiré d'une mine de Treasure City ( Nevada ), contenait les
restes
oxydés d'une vis effilée.
La pierre est âgée
de 21 million d'années. ( 6 )
En août 1870, à
Lawn Ridge près de Peoria ( Illinois ), avec deux autres
compagnons,
J.W. Moffit trouva une pièce dans les gravas
du
puits artésien qu'ils étaient en train de
forer.
Le Professeur A. Winchell étudia l'objet composé d'un alliage
de cuivre non identifié à l'époque. Malgré
la morsure du temps, la pièce ronde présentait des arêtes
bien découpées et une épaisseur remarquablement
uniforme. Le dessin,
représentant
un visage féminin surmonté d'une couronne, semblait avoir
été gravé à l'acide. Sur
l'autre face, un animal aux longues oreilles pointues avec une
longue queue
effilochée, était accompagné d'un
autre ressemblant à un cheval. Sur le pourtour des deux faces,
les
caractères d'une écriture inconnue se
laissaient
deviner. Trouvée à plus de 30 mètres
de profondeur, elle pourrait être âgée de 100 000 à
150 000 ans. ( 7 )
En automne 1885, un objet cubique a été trouvé dans un bloc de charbon du tertiaire ( datant de 60 millions d'années ) dans une mine en Allemagne. Le parallélépipède a été étudié par le Dr A. Gurlt. D'après les publications faites en 1886 sur cet objet, il est interprété tout d'abord comme une météorite fossile, et semble avoir été "retravaillé, usiné" !... L'objet fait 7 centimètres sur 7 sur 4,5 , et a une densité de 7,75. Quatre de ses faces sont parfaitement planes, les deux autres, opposées, sont légèrement convexes. Une rainure profonde en fait le tour à mi-hauteur. Endommagé par les différents prélèvements effectués, on en fera un moulage en plâtre au début du siècle. En 1910, il disparaît de l'inventaire du musée de Salzbourg où il était conservé. On le retrouve exposé de 1950 à 1958, au musée national d'Oberosterreichisehes de Linz ( Autriche ), où est également conservé le moulage. Il est maintenant la propriété de M. O.R. Bernhardt du musée Heimathaus de Vöcklabrück, en Autriche. Des études complémentaires effectuées par divers instituts scientifiques de Vienne, en 1966-67, 1973 et 1986, concluent définitivement que l'objet en fonte, n'est pas une météorite et a été coulé dans un moule. Cet objet a-t-il été réellement trouvé dans du charbon ou bien est-il issu d'une fonderie de l'époque ? ( 8 )
En 1891, à Morrisonville en Illinois, en cassant un gros bloc de charbon, madame S.W. Culp trouva une petite chaîne en or, d'environ 25 centimètres de longueur, dont les extrémités étaient encore prisonnières dans deux morceaux séparés. ( 9 )
7- Reproductions d'objets volants (en Egypte, en Amérique Centrale...).
Les Objets volants
La gondole volante de
Gusmâo
La fusée de Sibiu Les avions de
Bolivie
Les planeurs égyptiens
Insolite
Le premier objet volant, "plus lourd que
l'air"
et mécanique, est attribué aux frères Wright en 1903,
après que
Clément Ader ait fait voler son Avion
en 1897 ! ( Déjà, la puissance des média américains
).
L'ingénieur allemand Lilienthal leur avait
auparavant ouvert la voie en faisant voler ses planeurs ( il se
tua au
cours de son 2000e vol en 1896 ).
La première élévation humaine dans les airs est due aux frères Montgolfier, en ballon en 1782.
Avant cela, le vol est une impossibilité, un rêve ou une légende...
vers le haut de la page
En 1708, à Lisbonne, un père jésuite
brésilien, de retour de Bolivie demanda officiellement au roi du
Portugal
Joâo V, l'autorisation de fabriquer un
engin volant après lui avoir expliqué les bénéfices
potentiels de cette
nouvelle invention. Cet engin volant
pourrait
emporter 12 hommes et faire 200 miles nautiques en 24 heures,
( vitesse impressionnante pour l'époque,
mais en fait environ 15 kilomètres par heure ).
La réponse fut favorable, il obtint même une pension importante pour ses travaux le 17 avril 1709.
Le fuselage était fait en plaques de fer
recouvertes de nattes de paille, 2 globes de fer contenant de la
magnétite reposaient sur des colonnes.
Sur l'étrange maillage étaient
fixées un grand nombre de perles d'ambre qui "par une opération
secrète
maintiendraient l'aéronef en l'air. La
chaleur du soleil sur les nattes disposées le long de l'aéronef
tirerait celui-ci vers l'ambre."(?)
Le 5 août, Bartholomeu Lourenço de
Gusmâo fit voler son engin devant le roi et sa cour mais il prit
feu en l'air ;
Le 30 octobre, nouvel essai de la "gondole
volante",
cette fois couronné de succès.
Promu académicien et aumônier royal,
Gusmâo dut stopper ses essais à cause de l'Inquisition qui
jugea l'invention
satanique. ( 1 )
vers
le haut de la page
M. Doru Todericiu, professeur des Sciences
et
Techniques à l'Université de Bucarest, exhuma en 1961, un
vieux
manuscrit de la bibliothèque de Sibiu
( Roumanie ).
Le troisième cahier de cet ouvrage est
l'oeuvre de Conrad Haas, chef du dépôt d'artillerie de Sibiu,
entre 1550
et 1570.
Ce manuscrit est un compte rendu du lancement d'une fusée à étages et d'une "lance volante" ( missile ? ). ( 2 )
L'expérience aurait eu lieu en 1555, devant des milliers de témoins et aurait été un succès (!?!).
Parmi les inventions de Conrad Haas figurent :
Fusées à 2 et
3 étages ( 1529 ).
"Maisonnette volante" (
1536
).
Systèmes d'ignition
des étages à carburant solide ( 1555 ).
Ailettes de stabilisation
en forme d'ailes delta ( 1555 ).
vers le haut de la page
On a retrouvé en Bolivie ( 3 ) , en
Colombie
et en Amérique Centrale, une vingtaine de bijoux en or,
fabriqués
par les Qimbayas, d'environ 5 centimètres,
datant du Ve au XIe siècle.
Ils sont répertoriés officiellement comme reproductions zoomorphiques :
Un insecte ou un oiseau
? Leurs
ailes sont toujours situées au-dessus de leur corps !
Une raie ? Elles n'ont
pas
de nageoire caudale !
Un poisson ( volant ) ?
Ils
ont des nageoires en forme d'aile de libellule, pas en forme
d'aile delta
!
Contrairement
à la dérive des avions, leur nageoire caudale est symétrique
( vers le haut et vers le
bas
) !
A vous de vous faire une idée :
Coïncidences ? Gusmâo fit son avion
après son retour de Bolivie, pays proche du Pérou où
sont situées les fameuses "lignes" de Nazca ( même s'il s'avère
qu'elles auraient fait de
bien piètres pistes d'atterrissage )...
vers
le haut de la page
En 1898, on a trouvé dans une tombe à Saqqarah en Egypte, un objet ailé daté de 200 ans av. J.C..
Comme les avions n'existaient pas dans
l'ancienne
Egypte, il fut répertorié comme figurine d'oiseau en bois
et
classé sous le n° 6347 dans le "rayon
jouets" au sous-sol du musée du Caire.
Il demeura ignoré jusqu'en 1969, quand
le Dr Khalil Messiha qui étudiait les maquettes des anciens
égyptiens,
fut intrigué par cet oiseau bizarre.
Aux formes
aérodynamiques
comparables à nos planeurs modernes.
Qui a une queue verticale
et non horizontale.
Avec comme inscription :
"don
d'Amon", le dieu du vent.
L'objet en sycomore léger
pèse 39 grammes, fait 14 centimètres de longueur pour 18
d'envergure.
Ses ailes sont en dièdre
inverse, ce qui procure une grande stabilité en vol.
Il est parfaitement
"centré"
; son centre de gravité se situe au tiers de la corde de l'aile.
Il peut donc voler !!!
Comme l'ont démontré les répliques
en balsa qui ont été faites, en y rajoutant une pièce
fendue à l'endroit
marqué sur la queue faisant office de
gouverne de profondeur.
Il est maintenant étiqueté comme
maquette d'avion, ainsi qu'une quinzaine d'autres artefacts
ailés,
et a fait
l'objet d'une exposition spéciale dans
le hall central du musée du Caire en 1972.
Il y a 2200 ans, qui pouvait avoir de telles connaissances aérodynamiques ?
Comment ont-ils obtenu ce savoir ? observation ? voyance ? ...
A noter que les égyptiens étaient
connus pour faire des maquettes de leurs projets de construction
ainsi
que des
objets familiers au mort afin de les placer
dans
sa tombe pour l'éternité.
Un récipient à sifflet en terre cuite trouvé dans une tombe à Teotihuacan ( Mexique ) :
Une fusée au musée de Mexico ??? :
Figurine Maya représentant une espèce
de véhicule volant ou un aéroglisseur (?) piloté par
un étrange
personnage...
Un couteau de cérémonie Aztèque au manche orné d'un homme volant ?
Découverte en Turquie et très controversée, cette "fusée" :
Les
Ancients Spationautes
8- Les cartes antiques (Piri Reis, Oronteus Fineaus, Zeno...).
9- Objets fossiles de plusieurs millions d'années !
10- Métallurgie d'avant-garde.
11- Enigme de l'éclairage dans l'ancienne Egypte (les lampes perpétuelles).
12- La Pierre de Dashka ou la carte
du créateur
Que vous trouverez à l'adresse suivante:
http://marcogee.free.fr/
Puis en allant à "Archéologie"