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ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR
PRODUIRE SANS DETRUIRE
L'ENVIRONNEMENT
" Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais
simplement une crise d'Ignorance " B.Fuller
LA PLUS GRANDE DECOUVERTE DE TOUS
LES " TEMPS "
Page créée le 9 novembre
2002
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Eric JULIEN ( [email protected]
) Click here for english version
Le monde de l'ufologie s'interroge depuis
plus de cinquante ans sur la réalité des
ovnis. Les témoignages sont légions
mais l'explication vient à manquer. On refuse donc le
phénomène. Le témoignage
qui suit devrait nous réconcilier avec la logique du fait scientifique
que
nous dénions jusqu'alors à
ces apparitions à haute étrangeté. La réponse
proposée ici ne
manquera pas de remettre en question bien
des certitudes établies. Le professeur Joseph Allen
Hynek, grand ufologue américain,
d'abord très sceptique puis farouchement en faveur de
la réalité des ovnis écrivit
: " quand arrivera la solution à l'énigme des ovnis, je pense
qu'elle se révèlera être
non pas juste un pas de plus dans l'avancement de la
science, mais un saut quantique puissant
et inattendu. "
Cette phrase a fait le tour du monde ! Il
est des rendez-vous avec l'Histoire qu'il
faut, je le crois, ne pas manquer. Cet
article propose une solution inattendue. Mieux une
métaphysique ! C'est-à-dire
une physique englobant toutes les physiques : le temps
possède trois dimensions ! Le Sens,
la Densité et le Présent.
Vous vous souvenez certainement du film
Matrix dans lequel une poignée d'hommes et de
femmes étaient parvenus à
sortir de la réalité illusoire du monde. C'est précisément
ce que
nous allons faire, au moins par la pensée.
Nous allons sortir de la matrice un instant, le " temps "
de comprendre l'univers dans lequel nous
vivons tel que je l'ai perçu à
l'occasion d'une expérience personnelle
bouleversante, transcendante.
On ne peut expliquer les ovnis et les phénomènes
paranormaux avec nos moyens actuels
d'investigation, ni même avec l'interprétation
que nous avons de l'univers
qui nous entoure. Je rend hommage aux scientifiques
de la planète qui, tous les jours, connaissent
l'angoisse de la question à résoudre
et qui, lorsqu'ils se retournent, ne trouvent
personne pour leur chuchoter la solution.
Et pourtant, ils poursuivent leurs recherches avec
patience. Nous allons découvrir
ensemble ce qu'ils appellent un nouveau paradigme sans
lequel il est peut-être vain de chercher.
Avant que de sortir de notre monde pour
saisir les incroyables prouesses des ovnis, et la non
moins dérangeante parapsychologie,
je crois utile de vous faire partager une série
d'observations étonnantes. Mais
avant, voici une brève présentation de mon parcours
professionnel.
Je suis avant tout un technicien du transport
aérien, un besogneux de la connaissance scientifique
à l'intelligence tout à fait
moyenne. Après cinq ans dans l'armée de l'air
comme contrôleur aérien militaire
(vigie et radar), j'ai gagné ma vie dans le monde des
médias spécialisés
(économie et bourse) pour financer une formation de pilote professionnel.
Une
fois la licence de pilote en poche, j'entre
dans l'aviation d'affaires,
d'abord sur biturbopropulseurs puis sur
biréacteurs. La guerre du Golf passe par là et
quelques compagnies aériennes disparaissent,
dont la mienne. Je vais ensuite à
l'université et en ressort avec
un diplôme d'études supérieures spécialisées
(troisième cycle) en sciences économiques.
Aussitôt une compagnie aérienne
m'embauche en qualité de chef d'escale
de permanence. Quatre ans et demi et une
promotion plus tard, je suis coopté
par l'aéroport dans lequel je travaillais. En charge des
ressources aéroportuaires, à
la direction de l'exploitation, je fais un break de deux ans sur
l'île de la Réunion puis reviens
dans un aéroport plus grand dans lequel je travaille
toujours.
Mes contacts avec les ovnis ont été
relativement nombreux, soit directement soit indirectement,
mais surtout sous des formes très
variées. Je me contenterai ici d'en faire une courte liste :
1977 : apparition d'une boule lumineuse
orangée dans le ciel de Toulon, prodigieuse
accélération, virage à
90° puis disparition (moins de trois kilomètres de distance).
1983 : apparition d'un écho radar
filant à 28 000 km/h d'Est en Ouest, au Nord de
Reims, sur mon écran panoramique
(25 kilomètres au plus près).
1984 : apparition d'une soucoupe sur la
base aérienne de Reims alors que j'y
résidais (rapportée par un
collègue contrôleur) (moins de 200 mètres).
1990 : apparition, lors d'un rêve
éveillé, du plan technique d'un ovni, entouré de
trois créatures non humaines (voir
plus loin).
Décembre 2001 : apparition d'une
soucoupe à 300 mètres de notre résidence de
villégiature sur l'île Maurice
(rapporté par ma fille).
Février 2002 : apparition d'une lumière
très rapide (moins de 200 mètres) à la verticale de
la
maison sur l'île de la Réunion.
Mars 2002 : expérience de transcendance
précédée par l'apparition d'un grand
bruit, identique à l'une des observations
d'ovni faite par mon épouse. Bruit à la
verticale de la maison. C'est le fruit
de cette expérience qui est rapporté dans cet article.
Octobre 2002 : ballet de lumières
(entre dix et quinze), entre nos deux maisons, à l'ouest
d'Arras ressemblant à un combat
aérien silencieux avec des mouvements erratiques
pendant vingt-cinq minutes. Passage au-dessus
de l'une de nos maisons d'un
vaisseau triangulaire, possédant
une lumière à chaque angle, à vingt mètres
du toit. Taille
approximative de l'engin : quinze mètres
(rapporté par ma femme et deux de mes enfants).
Le détail de ces observations et
événements ayant déjà fait l'objet de rapports
dans
d'autres médias ou sites internet,
il est inutile d'en faire un développement ici.
Entrons dans l'expérience, ou plutôt
les deux expériences majeures de mon point de vue.
ACTE I : LE VAISSEAU.
En 1990, lors d'une sieste, je me trouve
projeté dans un décor étrange dans lequel se
trouvent trois entités non-humaines,
c'est-à-dire n'appartenant pas à notre race.
Bien que je ne pus les voir, je savais
intimement leur statut d'extraterrestres. Ce décor
consistait en une projection de plan qui
semblait vivant dont les parties étaient actives. J'y
vis quatre corps de technologies :
un rotor tournant à une vitesse proche
de la vitesse de la lumière, inscrit dans une chambre de
vide.
un réseau supraconducteur qui formait une partie de la cellule et les liaisons intérieures.
un tore périphérique (cercle
de section circulaire) dans lequel circulait, en boucle fermée et
à très
grande vitesse, quelque chose de nature
probablement plasmatique.
un cristal au centre qui rayonnait puissamment et accordait les fréquences de l'appareil.
En voici le schéma simplifié :
En superposition de cette vision vinrent des informations pour le moins étranges :
- Le temps est discontinu (non linéaire).
- Il est un " sous-état " de la matière.
- Les vaisseaux peuvent venir du " FUTUR " comme du " PASSE ".
- Ils pilotent le cristal soit " mécaniquement
", soit " psychiquement " (apparition possible
d'interférences humaines dans ce
dernier cas).
Le pilote du vaisseau manipule deux commandes :
a. Une fréquence (méga-onde du CRISTAL)
b. Une " trajectoire énergétique "
Le tore donne la cohérence temporelle
au vaisseau. Le cristal donne la cohérence ondulatoire
(mise en œuvre des harmoniques) à
l'ensemble des particules inscrites dans le champ
produit par le tore et dans les limites
physiques de la cellule. L'apparition du champ de
force variable autour du vaisseau précède
localement le vaisseau (sorte de projection de
l'espace-temps). Le disque en rotation
est extrêmement léger. La rotation initiale du disque
est fournie par le tore. Le disque restitue
ensuite son énergie au tore une fois un certain seuil de
vitesse dépassé. Le vide
est la clé dans la " mutation " de l'état de la matière,
et donc de sa
" localisation ".
TRES IMPORTANT : le niveau vibratoire (conscience)
du pilote et des occupants est primordial
(risque de décorporation accidentelle).
Ce qui est important à retenir dans
cette expérience, que je qualifie de rencontre du cinquième
type, est que la communication est faite
par télépathie. L'information est instantanée,
puissante et plus-que-réelle. Il
n'est pas aisé de la traduire par de simples mots tant notre
état de conscience est alors élargi.
La rencontre rapprochée du cinquième
type, ou RR5, fut, pour moi, une information technique de
première importance. Elle est courante
mais souvent mal interprétée par ceux à qui cela arrive,
comme souvent le sont les perceptions extrasensorielles.
A ces aspects techniques, il faut ajouter ceci :
- Les ovnis maîtrisent les technologies du temps et de l'antigravitation.
- Les ovnis, dits psychiques, sont de la
même nature que les ovnis matériels mais dans un état
différent.
- Le phénomène ovni est d'origine extraterrestre.
- Il existe de nombreuses races extraterrestres.
- Parmi ces races, peu sont venues nous visiter.
- Parmi ces dernières, certaines ont un but lumineux et altruiste, d'autres non.
- Une menace extraterrestre pèse sur les hommes quand ils auront maîtrisé le temps.
- Cette menace est liée à notre comportement belliqueux.
- La fraternité des hommes devra devenir internationale.
- Cette menace sera amoindrie par une collaboration
avec les entités bienveillantes.
ACTE II : LE TEMPS 3-D.
Un phénomène étrange
s'est produit le 7 mars 2002 (un jeudi soir) assez tard (23h30) dans
la maison que nous habitions sur l'île
de la Réunion. Tandis que je dormais, mon épouse a
entendu un bruit intense suivi aussitôt
des aboiements des chiens du quartier (zone de campagne
très calme). Ce bruit ressemble
de très près à celui qu'elle avait entendu lors de
son
expérience ovni près de Gap
: comme un fil de fer qui tournoie très rapidement avec des bruits
saccadés, tels des claquements.
Le son était si grand qu'elle songea immédiatement à
un
hélicoptère qui allait s'écraser
sur nous. Toutefois, le " volume " du bruit était tel
qu'il dépassait de très loin
en taille les pales d'un hélicoptère. Elle
s'attendait donc à un choc terrible,
mais celui-ci ne vint pas. Le son a rapidement disparu.
Elle est allée regarder par la fenêtre
mais aucun voisin ne manifesta le moindre mouvement. Puis
les aboiements prirent fin.
Mon épouse me raconta tout cela le lendemain vers 11h00.
Je me levais à 4h30 et me mis écrire
durant trois heures. En effet, les visions que j'avais
eues en 1990 ont repris leur intensité
en compréhension sans que des images elles-mêmes ne
s'imposent. Je sentais un ordre impérieux
de transmettre.
De nouvelles informations me sont parvenues
dont l'une d'elles va bouleverser
notre vision du monde et les équations
des physiciens. Elle donne une cohérence prodigieuse à
tous les phénomènes ovnis
et paranormaux :
L'unité de temps se dilate ou se contracte !
Les univers parallèles ne sont pas autre chose qu'un défilement de temps différent.
En fait, le temps possède trois dimensions
! Nous ne pouvons pas lire ce qui suit sans une bonne
dose de concentration car c'est un peu
ardu. Mais s'il était facile de sortir de la
matrice nous l'aurions déjà
appris. Voici donc la triple nature du temps :
LE SENS DU TEMPS : S-Time.
Direction de l'écoulement du temps
. C'est une séquence du temps qui établit la relation entre
causes et effets. De façon triviale,
c'est la flèche du temps.
Elle décrit la transformation apparente
de la matière et des événements. Le sens du temps
n'est
pas linéaire mais discontinu. Le
sens du temps possède deux directions pouvant être
représentées par l'axe graphique
d'une fonction. La mieux admise est donc la flèche naturelle du
temps allant du passé au futur.
La seconde direction va du futur vers le passé. Celle-ci est plus
délicate à interpréter
car elle se produit au-delà d'une vitesse d'écoulement déterminée
(voir la
densité plus bas). Le mot-clé
de la S-Time est : transformation. C'est donc le sens de la variation
des unités de temps lors d'un échange
d'informations ou d'un mouvement.
Unité de temps : quantum temporel (Qt). Notion introduite en septembre 2002.
LA DENSITE DU TEMPS : D-Time.
Fluidité de l'écoulement du
temps. C'est une quantité relative de temps qui affecte le comportement
de la matière et des événements.
Elle décrit leur vitesse de transformation.
La densité du temps n'est pas linéaire
mais discontinue, donc fractale. Elle implique que les
événements sont plus ou moins
nombreux dans des quantités de temps déterminées par
convention. En d'autres termes, dans une
densité de temps D, il y a moins d'informations que dans
une densité D+1. La D-time peut
être représentée par un axe graphique décrivant
le passage d'une
densité à une autre. Le mot-clé
de la D-Time est : vitesse (de transformation). C'est une
quantité d'unités de temps
lors d'un échange d'information ou d'un mouvement. Elle s'entend
aussi comme le nombre d'informations ou
la quantité de mouvement possibles par unité de temps
conventionnelle (seconde). La densité
temporelle est la clé de la science de demain.
Unité de temps : quantum temporel (Qt). Notion introduite en septembre 2002.
Il faut comprendre que dans une seconde,
il existe une quantité variable d'unités de temps. Plus la
densité de temps est élevée
plus le nombre de quantas de temps est élevé (nous y reviendrons).
Mais toutes les densités de temps
s'écoulent en même temps, y compris dans le passé et
le
futur qu'il ne faut pas confondre avec
l'information transmise. Plus il y a de densité
temporelle plus loin l'on va dans le passé
et le futur.
LE PRESENT DU TEMPS : P-Time.
Alignement des Quantas dans les fréquences
harmoniques. La variation de P-Time affecte le
caractère cyclique des événements
quand il reviennent à leur point initial. Le Présent ne dépend
ni
du Sens ni de la Densité du temps
mais il est le lien entre eux. C'est un nombre commun d'unités
de temps entre des densités de temps
différentes au cours d'une transformation en position
d'équilibre. On passe d'une densité
à une autre grâce au présent. Le mot-clé est
ici :
permanence (pas de transformation).
Unité de temps : quantum temporel (Qt). Notion introduite en septembre 2002.
Le présent tel que nous le concevons
habituellement n'existe pas ! Il est une illusion et une
convention de langage. Il ne sera toujours
qu'un passé ou futur immédiat jusqu'au
temps de Planck (10-43 seconde) puisque
ce n'est qu'un problème
d'échelle. Cette grande vérité
est à méditer longuement. Très longuement.
Pour résumer, le temps 3-D. est un
hologramme dans lequel notre conscience évolue par bonds
successifs dans trois directions simultanées.
Loin d'être gratuit et spéculatif, le temps 3-D
est scientifiquement vérifiable.
Du reste, c'est ce que nous faisons tous les jours…grâce à
l'informatique ! Comme monsieur Jourdain…Mais
dans mon expérience le mental ne vient
qu'après…
Voici les croquis que j'ai immédiatement
jeté sur le papier à 4h30 du matin :
Le sablier évoque parfaitement la
densité du temps. Chaque graduation représente une densité
temporelle. Pour faire court, nous pourrions
dire qu'une densité supérieure à la convention
" seconde " serait une fraction de celle-ci
pendant laquelle se produiraient autant de choses
(actions).
Restons sur la densité du temps,
clé essentielle de notre destin tant scientifique que spirituel.
D'ailleurs, ne serait-elle pas l'anneau
de leur mariage, une arche d'alliance ?
Le destin futur est en partie " visible
" pour ceux qui expérimentent la précognition. On rétorquera
qu'il faut bien attendre que l'événement
ait lieu pour déclarer qu'il y a eu
prémonition. Notons au passage quel
e seul travail des scientifiques est bien de décrire ce qui va
avoir lieu par le truchement des équations
! Ils ne peuvent en être certains que lorsque cela a
effectivement eu lieu mais ils savent d'avance
ce qu'il adviendra à un pourcentage
d'incertitude près ! Comme les médiums
! C'est cet " infime " écart entre
prémonition et fait qui laisse la
place au libre arbitre…quantique. La difficulté vient du fait que
ce
pourcentage d'incertitude grandit COMME
LE DEGRE DE LIBERTE de la chose étudiée.
Qu'est-ce qui fait qu'il a lieu ou non ?
La liberté ! Plus une créature a de degrés de
liberté, a fortiori celle du temps,
moins elle est contrainte. Il est probable qu'il ne vous a pas
échappé que la prédictibilité
des phénomènes minéraux était supérieure
à celle des végétaux,
dépassant de très loin celle
relatives aux humains. Je vous laisse le soin de méditer sur ce
qui suit
cet " emballement ".
Qu'il me soit permis une digression opportune
! La méthode scientifique se fonde sur la
reproductibilité d'un phénomène,
d'abord par l'expérience, puis par la
modélisation des causes génératrices.
Ainsi naissent les équations grâce auxquelles on décrit
l'univers. Mais toujours, l'expérience
précède le modèle (sauf en mathématique
pure). Lorsqu'une équation est proposée
officiellement c'est qu'elle a été
passée au crible de l'observation
afin de ne pas être démentie. L'équation ne décrit
pas la réalité, elle décrit
ce qui est admissible.
Ainsi Newton a-t-il précédé Einstein sans que ce dernier n'enlève rien
au premier mais le situe dans un contexte
relatif. C'est bien ce qui est proposé ici. La
densité du temps relativise l'ensemble
des équations !
Mais que se passe-t-il au regard des degrés
de liberté croissants ? Doit-on en rester à la "
reproductibilité " du fait scientifique,
celle qu'a secrété la philosophie des lumières du
17ème siècle ? Ne sommes-nous
pas au 21ème siècle ? N'avons-nous pas compris que
degrés de liberté croissants
et reproductibilité sont incompatibles ?
Le facteur " t " (pour temps) est souvent
représenté dans un repère orthonormé par l'un
des axes d'une fonction. La vitesse, puis
l'accélération sont décrites avec la même
unité de temps, la seconde. Or,
celui qui mesure décrète ce qu'est l'unité de temps
puisqu'il est observateur. Ainsi fait-on
varier la distance (et la vitesse de transformation de
celle-ci) et non le temps pour les quantifier.
Mais un nouveau paradigme surgit pour étudier la
mécanique et ses effets relativistes.
Pour faire un saut quantique (sans mauvais jeu de mots), il est
nécessaire d'introduire la notion
de densité de temps et faire muter cette sacro-sainte
linéarité en valeurs discontinues
dès lors que nous nous enfonçons dans la matière pour
tenter
d'en comprendre la nature. Le bilan énergétique
en sera lourdement affecté.
La dualité corpusculaire/ondulatoire de la matière est au cœur même de ce nouveau paradigme.
Lorsqu'un ovni s'envole, il nous apparaît
en accélération prodigieuse. Mais
c'est une apparence ! Quelle que soit la
constitution physique des occupants de ces
machines, ils ne pourraient pas subir sans
dommages ces accélérations foudroyantes. Ce
n'est donc pas la " variable espace " qu'il
faut étudier mais la " variable temps ".
Exemple : si l'accélération
d'un objet nous paraît être de 100m/s2, elle est en réalité,
pour ses occupants, de 10m/s2 parce que
leurs secondes changent de densité. En d'autres
termes, la première de leur seconde
sera la même que la nôtre, puis la suivante dilatera pour
devenir une de nos minutes, et ainsi de
suite pour, en fait, n'accélérer que très peu. Mais
l'illusion que nous en aurons sera une
prodigieuse accélération…jusqu'à leur
disparition dans une autre densité
de temps, les rendant ainsi invisibles à nos yeux COMME NOUS
LE SOMMES POUR LES PLANTES EN PASSANT DEVANT
SANS S'ARRETER.
Nota : l'information selon laquelle l'énergie
devient un vecteur dans un temps à
trois dimensions est issue de Roland Lehouc,
astrophysicien au service d'astrophysique
du CEA.
Ces deux courbes représentent la
dilatation absolue et relative du temps, autrement dit la création
et la créature (qui perçoit
la création).
Les trois dimensions d'espace (longueur,
hauteur, profondeur) et les trois dimensions du
temps (sens, densité, présent)
forment la perfection duale de la création . La relation entre
l'un et l'autre désigne l'évolution
. Les créatures migrent donc à travers les
espaces-temps dans une géométrie
fractale éclatante de génie.
Il n'aura échappé à
personne que le symbole de la pyramide, commune à plusieurs peuples
d'un lointain passé, dans une approche
en trois dimensions, tant pour l'espace que
pour le temps, est une coïncidence
pour le moins troublante. De même, les deux triangles inversés
ne représenteraient-ils pas une
" puissante " étoile à six branches cachant peut-être
une
signification ésotérique
connue il y a fort longtemps ? Nos ovnis ne semblent pas tomber de la
dernière pluie…surtout s'ils sont
à l'origine de ces symboles. L'Apocalypse
n'est-elle pas révélation
?
Les ovnis passent d'une densité temporelle
à une autre. L'un des points
fondamentaux de l'expérience est
cette vision des quatre états de la matière qui…se
dématérialise à mesure
que les fréquences augmentent. Un son cristallin est émis
pour permettre
le passage vers l'état invisible.
Le comportement dynamique d'un ovni qui
traverse les espace-temps peut aller de
l'invisibilité à la matérialisation.
Mais ce n'est pas toujours le cas. De plus, nos
technologies, radar notamment, interfèrent
et provoquent parfois des apparitions furtives.
Deux raisons majeures expliqueraient la
multiplication des observations d'ovnis depuis
près de cinquante ans.
l'utilisation de l'arme nucléaire,
véritable séïsme temporel pour d'autres
créatures attirant ces dernières
vers nous.
L'utilisation de technologies sophistiquées
par les humains faisant appel à
l'émission de hautes fréquences
à haute énergie. Cela participe, contre toute attente, à
l'élévation générale
de la fréquence vibratoire de la planète. Le vrai problème
est le
caractère chaotique de ces émissions.
Nous sommes donc à un stade de transition.
ACTE III : L'EXPLICATION GLOBALE.
A ce stade, il me faut indiquer que j'ai
poussé la réflexion. Ce qui suit est donc une tentative
de formalisation de ces concepts. Bien
sûr, des pans entiers de recherche s'ouvrent à
nous et les esprits scientifiques ouverts
trouveront matière à interpréter dans leur langage
cette
nouvelle discipline : la chronotique
! (terme inspiré par Thierry Archer).
Le temps est une énigme ! Il nous
paraît linéaire. Le passé précède le
présent…qui précède le futur.
Comment alors des gens peuvent-ils percevoir
le futur ?
N'est-ce pas là pour la science une
" méchante " difficulté que d'expliquer ce
phénomène ? Et ce ne sont
pas les exemples qui manquent. En vérité, tous les jours
sur Terre des
êtres humains perçoivent le
futur dans des rêves prémonitoires ou des " flashs ". La question
est
autrement plus complexe et éminente
que n'importe quel réglage de centrale atomique ou
manipulation génétique. Je
répète la question à ceux qui ne l'auraient pas entendue
:
Comment le futur peut-il précéder le présent ?
Nous connaissons tous la Caverne de Platon.
Et si le temps n'était que l'ombre de
ce qu'il semble être ?
Qu'est-ce que le temps tel que nous l'envisageons habituellement ?
Il existe deux types de temps : le temps mesurable et le temps psychologique.
Le temps mesurable est objectif !
C'est une convention universelle ! C'est-à-dire
un intervalle entre deux "
phénomènes " : avant/après.
En science, nous employons la seconde. Elle possède ses multiples
et ses subdivisions. Ce temps existe !
Il est très utile pour organiser quantité de choses et
d'équations.
Le temps psychologique est subjectif !
Parfois, telle expérience nous paraîtra
avoir duré une minute dans des circonstances déterminées,
telle autre dix, etc. Or, le temps mesuré
déterminera par convention le temps moyen et fixera dans
notre conscience les proportions admissibles.
80% de notre vie sont étalonnés sur le temps
psychologique. Curieusement, nous sommes
capables de nous réveiller à 6 heures piles si nous
faisons l'effort de le vouloir. Cette "
coïncidence " est désignée par le terme
" d'horloge interne ". Personne ne l'a
jamais vue mais c'est admis, mettant,
au passage, un peu plus d'eau à
notre moulin. Le temps psychologique est dit subjectif car
il semble imaginaire ! Mais s'est-on demandé
comment une chose aussi répandue,
l'imaginaire, n'existait pas en soi ?
J'ajouterai que certains cycles et la chronobiologie
sont à l'intersection des deux et
donnent corps à ce qui va suivre.
Voici ce que dit Roland Lehouc (astrophysicien
au Service d'astrophysique du CEA) : " Nous
percevons le temps comme unidimensionnel,
parce que nos pensées semblent se succéder les
unes après les autres dans un ordre
bien défini. Cet argument est subjectif. Le temps pourrait
paraître unidimensionnel sans l'être
réellement, un peu comme nous perdons la vision en relief en
fermant un œil : nous sommes alors entourés
d'objets plats et, seule l'habitude permet d'apprécier
encore les distances. "
Plus loin encore : " Avec trois dimensions
de temps et une dimension d'espace, seuls les tachyons,
des particules qui vont plus vite que la
lumière, existeraient. "
Puis : " De nombreux aspects de la physique
seraient assez différents avec un temps qui n'est pas
unidimensionnel. Par exemple, l'énergie
ne serait plus un nombre, mais un vecteur indiquant la
direction temporelle du déplacement,
au même titre que la quantité de mouvement d'un mobile est
un vecteur indiquant dans quelle direction
spatiale il se déplace. Comme la quantité de mouvement
se conserve lorsque le mobile n'est soumis
à aucune force, la direction temporelle suivie serait
aussi une constante du mouvement. En d'autres
termes, si deux observateurs se déplaçant selon
des directions temporelles différentes
se rencontrent, ils se sépareront inéluctablement pour suivre
leur trajectoire temporelle respective,
incapable de rester ensemble. Du point de vue d'un
observateur, l'autre apparaîtrait
et disparaîtrait aussitôt… " (NDA : comme le font les ovnis.)
Puis encore : " Autre conséquence
importante de la multidimensionnalité temporelle : certaines
particules ne seraient plus stables. Dans
un monde comme le nôtre, une particule ne peut se
désintégrer que si la somme
des masses au repos (la masse lorsque la particule est immobile) des
particules produites est inférieure
à la masse au repos de la particule initiale. Cette condition, qui
confère leur stabilité au
proton et à l'électron, disparaît dans un monde à
plus d'une dimension
temporelle. Par exemple, un proton pourrait
se désintégrer en un neutron, un positon et un neutrino
; un électron pourrait se transformer
en un neutron, un antiproton et un neutrino. La matière que
nous connaissons ne serait plus stable.
"
(NDA : c'est exactement la vision des états
de la matière que j'ai eue (voir encadré "
états de la matière ")).
De même qu'il existe une équivalence
entre masse et énergie, il existe une équivalence
entre espace et temps. Elle s'exprime de
manière simple. Le principe de simplicité du rasoir
d'Occkam dit que c'est l'explication la
plus simple qui l'emporte sur
les autres. Or, dès lors qu'il s'agit
de lier la théorie de la relativité et la théorie
quantique, nous voyons une montagne de
complexité s'ériger devant nous. Je crois, et
cela est fondamental, que plus il y a d'espace
moins il y a de temps, et inversement, moins
il y a d'espace plus il y a de temps. C'est
précisément la clé qui marie avec une
haute élégance infiniment
grand et infiniment petit. La difficulté est d'apprécier
la nature du
temps pour s'en convaincre.
Jean Heidmann, astrophysicien à l'origine
du projet SETI, avait déclaré que le Big Bang
n'était pas une explosion de matière
mais une dilatation d'espace. Cette différence
jetait souvent la confusion dans les esprits.
A la lumière du temps-3D, et en particulier de
l'une de ses dimensions, la densité
du temps, l'expansion de l'univers
n'est qu'apparente. Pour mémoire,
l'expansion de l'univers serait
due à un différentiel important
entre les forces thermodynamiques tendant à faire s'éloigner
la matière et les forces nucléaires
qui, au contraire, la rapproche. Le dilemme vient de ce que 90%
de la masse de l'univers reste cachée.
Ce constat vient de l'écart calculé entre les
forces thermodynamiques et les forces de
cohésion atomique. Le mouvement entropique ne serait
donc qu'une illusion. Une de plus. En effet,
force est d'admettre que tous les
espaces-temps coexistent. En effet, le
Big Bang est un dogme au sens où il est parfaitement
arbitraire de penser que la soupe primordiale
s'est accumulée en amas, en galaxies, en
étoiles et en planètes. Si,
comme on nous le propose, la matière se trouverait sur la surface
d'un ballon de baudruche cosmique pourquoi
ne serait-elle pas répartie équitablement sur
celle-ci ? On nous répond que la
gravitation a fait son oeuvre ! Or, nous ne connaissons pas la
nature intime de la gravitation sauf à
nous indiquer qu'elle est une courbure de
l'espace-temps. D'où l'idée
que la gravitation est liée à la densité de temps
et n'explique en aucune manière
la formation des corps célestes. Plus nous regardons loin
dans l'espace (densité de temps
plus faible) plus nous voyons les couches externes de
l'univers. Mais aussi plus nous regardons
loin, plus nous voyons dans le passé (sens du
temps remonté). Et dans ce cas nous
voyons les couches internes de l'univers. Ainsi, la
conjugaison entre couches externes et couches
internes nous rend l'entropie illusoire.
Lorsque que nous regardons une étoile,
nous apercevons une couche " interne " de
l'univers qui se traduit par une courbure
de l'espace-temps, ou en d'autres
termes, selon ma vision, un espace-temps
" supérieur " comparativement à l'espace-temps
qui l'entoure. Ainsi, l'étoile n'est
pas à la même position que son
environnement spatial. Les trous noirs
sont dans une densité de temps bien supérieure et il nous
est impossible de les voir dans notre espace-temps
puisque nous les devinons par calcul.
S'il est relativement aisé de concevoir,
à l'échelle astronomique, que par
contraction de l'espace-temps nous ayons
une différence de position entre une étoile et
son environnement, il devient moins évident
qu'il en soit de même dans l'infiniment
petit car des lois spécifiques y
ont lieu, dites contre-intuitives. Un indice devrait pourtant nous
guider. L'espace entre le noyau et les
électrons est, proportionnellement à leur taille, un
abîme de vide.
En réalité, l'univers est
fractal, c'est-à-dire qu'existent des " sauts "
d'échelles au sein desquelles des
lois de fonctionnement dédiées régissent
l'espace-temps considéré.
C'est le cas des quarks, des atomes, des molécules, des
cellules, des organes, des corps, des ensembles
de corps et des ensembles d'ensembles
qui sont autant d'espaces-temps. Nous vivons
au milieu d'un mille-feuilles
savamment cuisiné. Loin de moi l'idée
d'évoquer ici le Grand Pâtissier. Vous êtes
seul juge pour en apprécier la finalité.
Mon propos est de mettre en exergue le point commun de
ces échelles, ou de ces tranches
: le caractère ondulatoire des manifestations…c'est-à-dire
les vibrations car tout est vibration.
La matière a une dualité corpusculaire
/ ondulatoire. C'est précisément dans le passage de
l'un à l'autre, du corps vers l'onde,
que se manifeste l'augmentation
de la densité de temps, avec au
passage la perte de masse (neutrinos, photons, électrons,
tachyons). Là aussi une confusion
est née depuis Newton. La masse n'est pas la
gravitation même si les effets de
la nature nous en donne l'illusion dans notre densité de
temps. La masse est liée aux forces
de cohésion. L'une des plus grandes énigmes de la
physique est l ‘écart
d'échelle entre les interactions fortes, faibles et
électromagnétiques d'une
part, et la gravitation d'autre part. Pour mémoire, la
gravitation est 1040 moins élevée
que l'interactionforte.
Einstein a démontré, grâce
aux travaux de Riemann (géométrie non-euclidienne), que la
gravitation
est de nature géométrique.
De fait, la gravitation est strictement en relation avec les
espaces-temps. D'ailleurs, elle les traverse
puisqu'elle participe à leur modification.
La gravitation croit comme la densité
de temps. De même, elle est induite dans les forces
électromagnétiques. Or, la
reine des vibrations est l'onde électromagnétique dont le
spectre donne le vertige tant le nombre
de fréquences est astronomique.
La matière est un bouillonnement
de fréquences, même à faible température. A
zéro degré Kelvin,
les états (fonction d'état
en mécanique quantique) changent. Or, le rotor d'un ovni
" orbite " dans le vide…au zéro
absolu !
Nous commençons à sortir de
la matrice. Il faut véritablement s'extraire de sa condition
d'observateur pour comprendre que ce qui
nous semble sur le même plan, une pomme et
un caillou par exemple, ne le sont absolument
pas. Nous les voyons comme tel car nous
appartenons à un espace-temps "
supérieur ". En fait, nous sommes juste à la lisière
car, bien sûr,
des densités de temps supérieures
nous côtoient pour lesquelles nous sommes " physiquement "
confondus avec la pomme, ou le vers qui
s'y trouve. Que se passe-t-il lorsque nous
observons à l'aide d'un microscope
à effet tunnel ? Nous observons des
espace-temps " supérieurs " comme
l'astronome voient des espaces-temps " inférieurs "
par le truchement de son télescope.
La différence que nous attribuons à l'un et
l'autre est la proportion apparente des
objets.
Cette proportion est complètement
subjective ! Nous érigeons comme vérité l'idée
que ceci
est plus grand et cela plus petit. Même
si cela est vrai dans notre réalité, c'est une illusion
totale ! Nous comparons des objets incomparables,
chacun appartenant à son propre
espace-temps. Comment pouvons-nous imaginer
l'idée qu'un éléphant a de sa
propre taille ? Toute observation humaine
est subjective car elle procède d'un
anthropocentrisme intrinsèque. L‘analyse
comparative est un raccourci de notre intellect,
tant pour l'espace que pour le temps. Du
reste, notre culture et nos comportements ne
cessent de nous porter au jugement. Les
instruments de mesure eux-mêmes ne sont pas en
cause. C'est l'interprétation des
résultats, issu d'un artéfact appartenant à
un espace-temps déterminé,
qui nous plonge et nous cadenasse dans la matrice. Nous tentons
irrésistiblement, mais vainement,
de nous séparer d'un environnement auquel nous
appartenons !
Pourquoi toutes les ondes électromagnétiques
voyagent-elles à la vitesse de la lumière ? Pour la
raison simple que nos instruments ne peuvent,
du fait de leur espace-temps propre, mesurer autre
chose !
L'une de ces interprétations erronées,
à mon sens, est la constante de la vitesse de la
lumière. Comment savons-nous qu'elle
est constante ? En la mesurant dans notre
espace-temps. En effet, nous la mesurons
dans notre référentiel. Or, dans le même temps, si
je puis
dire, nous n'avons jamais expérimenté
par nous-mêmes ne serait-ce que la moitié de cette
vitesse. Autrement dit, nous ne connaissons
pas ce que pourrait être la perception, même
instrumentalisée, de cet autre référentiel.
Qu'est-ce que la vitesse, et plus encore
l'accélération, si ce n'est
une modification de l'espace-temps ? Pour
mémoire, Einstein avait indiqué
que plus l'on s'approche de la vitesse de la lumière,
plus le temps se dilate. Dans ce cas, encore
une fois selon ma vision, l'espace se contracte.
Donc la vitesse est une donnée instantanée
dans un référentiel, tandis que l'accélération,
lorsqu'elle est suffisamment élevée,
est un transfert d'un espace-temps vers un
autre. Nos technologies restent encore
faibles pour s'en rendre compte. Il y a un abîme
intersidéral entre une accélération
de 10 m/s2 et une accélération de 100 000m/s2 (voir
accélérateurs de particules
plus bas). C'est justement l'une des fonctions du rotor
de l'ovni vu en rêve qui accélère
prodigieusement.
Encore un petit effort ! La reconnaissance
de l'Etrange est à portée de secondes…et
d'Angströms. Dans la matière,
la lumière est " freinée " par les différents espaces-temps
que constituent les niveaux électroniques.
Pour nous affranchir d'un trop long exposé
sur l'état de la matière, je me bornerai à
présenter quelques points de repères
essentiels.
• Chaque niveau électronique a une
densité de temps propre qui correspond à l'espace
entre le noyau et l'électron. La
densité du temps de la matière est doncl a moyenne de ces
densités.
• Plus il y a de niveaux électroniques
plus la densité globale du temps est faible mais
l'énergie potentielle (nombre d'électrons)
est grande. Ainsi, la gravitation est due à
la valeur totale des espaces-temps électroniques.
La gravitation des grandes masses vient du
nombre total d'atomes concernés
(eux-mêmes composés d'une multitude
d'espaces-temps).
• Plus la densité de temps est grande
plus l'énergie est immédiatement disponible avec un
minimum d'énergie pour l'obtenir
par apparition de quantas de temps. D'où
un rendement supérieur à
1 possible. L'énergie libre pourrait provenir de cette explication.
• L'énergie potentielle croit comme
la distance (l'espace) et comme l'inverse
de la densité de temps. L'énergie
cinétique croit comme la densité de temps (donc
diminution de l'espace).
• L'augmentation de densité du temps
vient de la diminution de ces espaces . Plus il y a de
niveaux plus on peut capter le vide quantique.
• Le vide quantique est représenté
par ces espaces desquels on puise l'énergie.
L'augmentation de densité de temps
vient de la diminution de l'écart entre niveaux
électroniques.
• Comment diminue-t-on l'espace électronique ?
Par compression (réclame de l'énergie
= vecteur radial : méthode explosive) ou par vortex
sous vide (rotation haute vitesse = vecteur
tangentiel : méthode douce et progressive) faisant
apparaître des quantas de temps.
Des isotopes se transforment en énergie.
• La gravitation est grande pour les grandes
masses (ex. la Terre) car elles possèdent beaucoup de
particules. On peut obtenir la même
chose avec peu de matière en réduisant l'espace entre
noyaux et électrons. La distance
(=temps) estl e facteur de conversion de la gravitation.
Encore une fois, les mesures doivent prendre
en compte les écarts d'échelles. Nous
proposons donc une nouvelle théorie
: la Relativité Absolue ! Elle peut être énoncée
comme suit :
l'information structure l'espace-temps,
et inversement.
ACTE IV : QUANTAS TEMPORELS & VIBRATIONS.
Nous introduisons ici la notion de quantas
temporels qui nous avait été inspirée bien après
l'expérience de mars 2002. Un quantum
de temps est le plus petit grain de temps insécable.
Il a une valeur, en première approximation,
de 10-44 seconde, soit au-dessous du temps de Planck.
Considérons trois fréquences
appartenant à trois densités de temps différentes
et plaçons sur ces
ondes des quantas de temps.
En développant les quantas temporels,
on mesure les écarts de densité. On passe d'une
densité à une autre en passant
par la ligne (axe) du présent, c'est-à-dire par les points
d'harmoniques vibratoires. Pour se représenter
le Présent (P-Time) de façon géométrique,
si une seconde était la distance
de la Terre au Soleil, le Présent ne serait pas même visible
avec le
meilleur microscope du monde. Il n'est
donc pas étonnant qu'il puisse nous en
manquer des milliards chaque seconde. C'est
là que le temps psychologique prend toute
sa dimension…comme les rêves nocturnes
d'ailleurs, sièges d'une augmentation
vibratoire.
Il est essentiel de comprendre que chaque
quantum de temps est porteur d'une
information dans l'espace-temps qu'il occupe.
L'énergie et les
" messages " qui s'y trouvent vont donc
circuler de quantum en quantum, faisant des
bonds plus grands dans de faibles densités.
Plus les quantas sont espacés (basses fréquences)
plus la loi de cause à effet prédominera
(comme le karma). C'est pourquoi la physique
quantique ignore, dans certaines circonstances,
ce qui est l'effet ou la cause des états du
même nom. Une fois établis
sur de très hautes fréquences, en circulant suffisamment
loin vers
l'une ou l'autre des flèches du
temps (sens), comme peut le faire une partie de
nous-mêmes, nous pouvons voir le
passé (la mémoire lointaine) ou le futur…comme les ovnis.
Cette loi de la liberté explique
non seulement la différence entre les règnes mais aussi la
confrontation entre science et spiritualité.
Ne dit-on pas d'ailleurs qu'existent des
sciences " dures " très fiables
(faible liberté) et des sciences " molles " plus incertaines (haute
liberté).
En augmentant simultanément l'énergie
dans deux densités de temps différentes, il
manque proportionnellement plus de quantas
temporels dans la densité de temps inférieure.
L'univers, dans toutes ses réalités,
est une succession de gammes de fréquences
correspondant à des densités
de temps différentes (donc des espaces-temps différents).
ACTE V : LES OVNIS ET AUTRES MYSTERES EXPLIQUES
Intéressons-nous plus particulièrement
aux ovnis et expliquons-les à l'aune du Temps 3-D.
Voici donc une liste non exhaustive d'épiphénomènes
qui trouvent une nouvelle
cohérence globale.
Les accélérations prodigieuses
sont apparentes: l'unité de temps change.
Non seulement l'accélération
des ovnis, vus de l'extérieur, est une illusion due à un
différentiel de densité temporelle,
mais c'est aussi une diminution illusoire de sa taille, nous
donnant, un peu plus, l'impression qu'ils
sont loin. Diminueraient-ils
jusqu'à la taille d'une " luciole
" de crop circle ?
Les observations varient de fantomatiques à très matérielles: l'état de la matière change.
Les ovnis disparaissent sur place : la rotation du rotor dilate le temps sans changer de position.
L'environnement subit une aspiration : une gravité locale forte a lieu.
Les photos d'ovnis sont souvent floues : densité de temps intermédiaire.
Les ovnis sont furtifs : la détection radar dépend de la matérialité instantanée.
La perception des dimensions est relative
: Les vaisseaux sont plus grands à l'intérieur et
plus petits à l'extérieur.
Les ET varient de taille en fonction de leur densité propre.
La forme soucoupique est la plus intéressante
: l'économie de matière est dictée par le
rayon du tore.
Un faisceau lumineux attire des objets : le rayon gravitationnel est guidé par un champ.
Les ovnis changent de forme : l es 4 états existent en même temps dans le vaisseau.
Les témoins sont attirés par une lumière qui grossit ensuite: instant qui précède la matérialisation.
Les ET peuvent choisir les témoins
: une émission psychique inhibe les perceptions et
inversement.
Certains abductés évoquent
le temps manquant: le missing Time n'est autre qu'une
densité temporelle différente.
Des rayonnements de micro-ondes sont souvent
trouvées sur des lieux d'atterrissage
d'ovnis. Ils traduisent une matérialisation.
Avec des moyens nécessaires, nous pourrions
peut-être mesurer des rayons X et
gamma dans les apparitions " lumineuses " : les traces
physiques dépendent de la phase
de " matérialisation ".
Nous pouvons appliquer, bien entendu, le Temps 3-D aux phénomènes paranormaux.
Télépathie : transfert de
niveau temporel des ondes psychiques donnant l'apparence de
simultanéité.
Vitesse de la pensée : une partie de nous-mêmes est située dans une autre densité de temps.
Fantômes et ectoplasmes: états intermédiaires de densité temporelle.
Rêves : changement de densité
au cours de la nuit. Les rêves semblent extrêmement courts
et
comportent pourtant beaucoup de détails.
Rétro-précognition : rupture de densité temporelle partielle et glissement sur l'axe du sens.
Télékinésie et poltergeists : variation de la densité dans l'environnement.
La science possède aussi ses mystères. En voici quelques suggestions.
Perte d'informations des trous noirs : haute gravitation rime avec haute densité temporelle.
Arbitraire des constantes physiques : elles ne sont valables que dans notre densité.
Gravitation très faible par rapport aux autres forces : proportionnelle à la densité temporelle.
Incertitude d'Heisenberg : impossibilité
de mesurer à la fois la position et la quantité de
mouvement d'une particule car rupture de
l'écoulement du temps dans
l'expérience.
Inséparabilité des particules
: paradoxe entre l'expérience de pensée EPR
(Einstein-Podolski-Rosen), confirmée
par le théorème de Bell, et l'expérience
d'Aspect démontrant la nature contre-intuitive
de la mécanique quantique. Les quantas de
temps non visibles transmettent l'information
des propriétés particulaires sous forme
d'ondes.
Disparition des particules dans les accélérateurs
de particules : ceux-ci remplissent partiellement
le rôle du tore des ovnis. Les particules
disparaissent vers le centre géométrique des accélérateurs
de particules (densité de temps
+ gravitation).
Ces listes peuvent être complétées
à loisir. Il est des choses qui ne viennent pas immédiatement
à
l'esprit. Aussi, tous ceux qui s'intéressent
aux lois qui régissent l'univers
pourraient, s'ils ne sont pas encore convaincus
ou simplement interpellés, se plonger dans
la méditation pour tenter de nouvelles
sorties de la matrice car il n'est rien de plus
extraordinaire que de vivre soi-même
l'expérience.
Complément à l'article
S'agissant des preuves et des signes, j'en
ai donnés quelques-uns en fin d'article en faisant
référence aux trous noirs,
aux accélérateurs de particules et aux énigmes quantiques.
Notre
difficulté aujourd'hui est que nous
sommes limités, si j'ai bonne mémoire, à une échelle
temporelle
de 10^-15 seconde dans l'observation de
l'infiniment petit (on attend l'élaboration de faisceaux
laser à 10^-18 seconde), et encore
interprétons-nous déjà ce que nous "voyons" sans avoir
de
certitudes quant à la pertinence
de l'interprétation. Tu sais comme moi que le temps de Planck
(10^-43 seconde) est une déduction
mathématique. Nous n'en sommes donc qu'à mi-parcours, si
je puis dire.
La difficulté d'interprétation
de la gravitation dans l'infiniment petit, sur la base de la relativité
générale, vient de ce que
les échelles sont très différentes à la fois
en termes de "distance" et de
nombres d'atomes.
L'écart d'échelle entre la
gravitation et les autres interactions (10^40 plus élevée
pour l'interaction
forte) nous surprend et pose problème.
Si, comme je le suppose, la réduction de distance entre
noyau et niveaux électroniques est
bien génératrice de gravitation, nous sommes, jusqu'à
plus
ample informé, incapables de mesurer
cet écart dans nos expériences
quantiques puisqu'il nous est difficile
à la fois de provoquer cette "compression" (diminution des
distances électroniques) et mesurer
cet écart gravitationnel du fait de la méthode explosive
utilisée
(faisceau laser haute énergie bombardant
un atome). Nous n'avons ni les moyens ni le temps de le
faire (phénomène trop rapide).
Néanmoins, selon certains, nous devrions pouvoir vérifier
ou non,
avec le futur LHC du Cern (2007) si des
mini-trous noirs jaillissent dans certaines conditions. A
mon sens, il serait fécond de se
pencher sur la théorie du Dr Ning Lee de l'UAH (Alabama)
indiquant l'apparition de phénomènes
anti-gravitationnels dans les champs électromagnétriques
tournants, dont l'expérience, certes
controversée, du Dr Podkletnov donne un aperçu (perte de
2%
de la masse des "objets" se trouvant au-dessus
d'un rotor produisant un champ tournant). En fait,
pour moi, l'antigravitation est un différentiel
de gravitation comparativement à la masse (nombre
d'atomes) mise en jeu, et non pas une force
"opposée".
D'ailleurs, que signifierait une anti-courbure
de l'espace-temps ?
La Mécanique Quantique nous sert
la preuve intuitive (expression antinomique mais tellement
utilisée en MQ) de l'existence de
quantas de temps "non apparents" (supposés être dans de très
hautes densités de temps) sur un
plateau. En effet, toute la MQ est construite sur un principe
basique : les fonctions d'état assignent
aux particules des états discrets (spin,
charge et masse), c'est-à-dire des
bonds d'état (rien à voir, bien sûr, avec les bons
du trésor !(lol)).
C'est la définition même des
états quantiques.
Quelqu'un a-t-il jamais expliqué
ces discontinuités ? Non, on se contente de constater. Que se
passe-t-il entre deux états quantiques
qui, par la même occasion induisent des modifications
spatiales ? Personne n'en sait rien !
Je subodore que là se trouve la
dématérialisation de la matière, instantanée
certes, mais
dématérialisation tout de
même.
Lorsqu'on rapproche cette apparente "absurdité"
et notre incapacité temporaire (espérons-le) de
"voir" en-deçà de 10^-15
seconde (à convertir en longueur d'onde), on peut élégamment
en
déduire que la matière DEVIENT
INVISIBLE car elle se dématérialise, tandis que la nature
ondulatoire de la matière maintient
la "mémoire" des propriétés particulaires (théorie
des
supercordes et inséparabilité
des particules). Nous verrons plus loin comment la cohérence des
structures atomiques est conservée
même en cas de dématérialisation.
D'où l'idée, dans les ovnis,
du passage du corps vers l'onde une fois atteinte une certaine vitesse
d'écoulement du temps à la
périphérie du rotor ! L'émission de la fréquence
de rupture que
j'évoquais dans mon article précédent,
décrivant l'accès à l'invisibilité, c'est-à-dire
à la
dématérialisation, serait
la clé qu'il nous manque. Il faut noter que, pour moi, l'invisibilité,
tout
comme la lumière, ne signifie pas
que la matière ait totalement disparue mais qu'elle ait perdu sa
masse, et, qu'en conséquence, il
n'y a pas d'inertie qui empêcherait des vitesses élevées.
Cette fréquence de rupture devrait
se situer, avec l'énergie nécessaire, un peu en-dessous (en
terme de longueur d'onde) du seuil de "visibilité"
actuel, à savoir, converti en fréquence, aux
alentours de 100 000 gigahertz comme nous
allons le voir. Il est intéressant de noter que la lumière,
dont la fréquence se situe entre
4 et 7,5 10^14 hz, se trouve être à la limite de ce que nous
voyons
de l'infiniment petit aujourd'hui. Or,
je précise dans l'article que le troisième état de
la matière est
luminescent avant l'invisibilité
(le premier étant stable, le second étant instable). Avant
que de
conclure "CQFD", emporté que nous
serions par une séduction
précipitée, il est nécessaire
d'imaginer la fréquence d'un rotor tournant à très
haute vitesse. Outre
le fait que ce rotor n'est pas freiné
par son milieu environnant (chambre de vide), outre le fait que
les effets gyroscopiques purement inertiels
le maintiennent dans un référentiel spatial
extrêmement stable, induisant même
en soi un phénomène "d'antigravité" (effet freesbee),
outre le
fait qu'il n'existe aucun contact avec
toute autre matière en son centre puisqu'il serait évidé
(inutilité et même existence
de contraintes dans le cas d'un moyeu plein), outre le fait qu'il produit
des champs électromagnétiques
à haute énergie, le rotor est un
merveilleux émetteur de fréquences...relayé
par le cristal
Présentons une hypothèse.
Soit un diamètre de rotor de 5 mètres, la circonférence
est de 15,7
mètres. A 300 000 000 mètres/seconde
(vitesse de la lumière), vitesse limite supposée (nous
parlerons du dilemme de l'énergie
infinie pour une masse infinie un peu plus tard), notre fréquence
est d'environ 19 mégahertz (ou 19
millions de tours/seconde). C'est extrêmement
faible en terme de fréquence mais
très élévé en tours/seconde). Pour mémoire,
le rotor de
Podkletnov tournait à 5000 tours/minute
soit 230 000 fois moins vite pour une taille plus de dix fois
inférieure. En revanche, en doublant
notre rotor par un autre qui tourne en sens inverse et en
disposant des centaines de segments d'aimants
radiaux sur les deux rotors superposés, les
aimants radiaux ayant une épaisseur,
par exemple, d'un centimètre sur la
circonférence, on obtient : 15700
x 19 = 298300 Mhz que l'on multiplie à nouveau par 15700
(deuxième rotor), soit une fréquence
de : 4683310000 Ghz, c'est-à-dire près de 4,6 millions de
gigahertz. Soit, encore, une information
tous les 4,6 10^-18 seconde.
Il "suffit" de diminuer ce chiffre d'un
facteur de cent (soit 1% de la vitesse-lumière) pour
s'apercevoir que nous atteignons dix fois
notre limite actuelle d'observation. Donc, nos progrès en
matière de mesure vont rapidement
confirmer ou infirmer cette hypothèse de disparition matérielle
et rendre compte de la réalité
des quantas de temps. Et puisque nous ne
sommes qu'à 1% de la vitesse de
la lumière, l'énergie nécessaire ne croit pas de façon
inconsidérée la masse des
corps atomiques du rotor. L'explosion du rotor, que l'on pourrait
prévoir due à la force centrifuge
ainsi générée, pourrait être évitée
d'une part par la structure même
(pureté) du matériau utilisé
et l'action du tore évoquée plus bas. Enfin, selon ma vision,
les atomes
se transformant en ondes à partir
d'un certain seuil vibratoire (voir plus haut la fréquence de
rupture), la nature corpusculaire des atomes
n'a plus à être maintenue telle quelle, et, ce,
progressivement de la périphérie
jusqu'au centre du rotor à mesure que celui-ci accélère
(le rotor
diminuerait donc à vue d'oeil),
émettant, du même coup, une puissante
lumière (ce que nous voyons au centre
inférieur des soucoupes).
Pour le reste du vaisseau, on peut supposer
que le cristal (sorte de quartz) aligne les fréquences
harmoniques. Il est entendu, et il ne faut
pas l'oublier, qu'en augmentant les fréquences, on
augmente l'apparition des quantas temporels
dans la théorie qui nous intéresse, augmentant, par
la même occasion la masse d'information
accessible et, par voie de conséquence, l'énergie plus
immédiatement disponible qui y est
attachée, sachant, encore une fois, que l'espace se contracte
en même temps (dilemme actuel de
l'observation de l'infiniment petit). Le plus agaçant, il faut
l'avouer, est que plus on regarde dans
l'infiniment petit, plus justement il le devient (équivalence
espace vs temps).
Ceci nous conduit à évoquer
le paradoxe de Fermi. Ce dernier avait tout à fait raison d'opposer
à
l'idée de l'hypothèse de
la présence d'extraterrestres sur Terre, venus du confin de l'univers,
celle
des distances "infranchissables" du cosmos,
dès lors que nous restons enfermés
dans un référentiel spatial
non compressible. Selon ce paradoxe, soit les ET sont déjà
là, soit ils ne
peuvent en aucun cas y être. Dans
le premier cas, nous les aurions déjà vus depuis longtemps,
ce
qui ne semble pas être le cas pour
lui (ah bon ?). A la lumière de la relativité absolue selon
laquelle
l'information structure l'espace-temps
et inversement, l'espace se contracte à mesure que la
densité de temps augmente. Pour
les ET l'univers est "ridiculement" petit s'ils dilatent
"considérablement" le temps. Je
gage qu'ils ne le peuvent pas tous dans toutes les gammes de
dilatation...ce qui expliquerait, entre
autres, des comportements forts distincts de leur part (ils ne
sont pas tous à mettre dans le même
panier).
Ils ne peuvent nous apparaître que
s'ils en décident, c'est-à-dire que s'ils changent d'espace-temps
en réduisant leur densité
temporelle. Cette réduction se fait nécessairement au prix
d'une perte
considérable de quantas temporels
et donc d'informations par, tu l'auras deviné, une accélération
négative du rotor. Leur matérialisation
est donc une forme de "sacrifice" de
leur degré de liberté (ce
terme étant souvent attribué aux avatars). On peut comprendre
qu'ils ne se
précipitent pas pour nous serrer
la main, des fois qu'on leur y mettent des menottes. Pourtant,
c'est, je le crois, ce qu'ils acceptent
de faire (sacrifier des quantas temporels) pour prélever des
"échantillons" plus aisément
observables par ce moyen, ou, plus rarement, pour des contacts
physiques directs avec ceux dont ils savent
que le risque est nul ou presque (étude psychique et
comportementale). Les moins "doués"
d'entre eux doivent tout de même se faire surprendre de
temps en temps. Il y a fort à parier
que le plus simple, pour eux, est de capter nos signaux
psychiques (hautes fréquences) et
rester tranquillement "là" où ils se
trouvent (désolé pour cette
digression).
Pour en revenir aux distances astronomiques,
réputées infranchissables, le paradoxe de Fermi est
probablement le plus simple des paradoxes
à lever et à comprendre puisque ces distances
(univers à 15 milliards d'années-lumière)
n'ont de valeur que dans notre espace-temps (voir la
théorie des triangles inversés
pour laquelle "plus il y a de temps, moins il y a d'espace"). On sait
depuis 1905 (relativité restreinte)
que l'espace et le temps sont indissociables. Or, en introduisant le
temps tridimensionnel, l'impact sur la
géométrie espace-temps est évident, la notion de quantas
temporels venant éclairer cette
relation: pour chaque apparition de quantum
temporel disparaît un "quantum" spatial
(car il faut bien introduire aussi cette notion). On pourrait
exprimer ceci par Qt (quantum de temps)
et Qe (quantum d'espace). Nous aurions alors une
relation du type : S Qt = 1 / S Qe. Et
inversement, tout comme la relation qui unit fréquence et
longueur d'onde. Or, ceci n'est pas tout
à fait vrai en ce sens qu'il y a discontinuité. Donc, cette
relation ne peut être valable que
dans une fonction discrète (discontinue)(voir le texte initial).
Dans
ce cas, nous aurions une limite Sx Qt 1
/ Sy Qe, où x et y sont deux indices de maxima de
l'espace-temps considéré.
De proche en proche, nous définirions des Sx1, 2,...n Qt et des
Sy1,2,...n
Qe où n serait un espace-temps particulier.
Cette algèbre d'un nouveau genre
doit, il est vrai, être filtré par d'experts mathématiciens.
Nous avons dit que l'univers est fractal
(échelles d'espaces sans transitions linéaires). Il est
intéressant, pour le moins, de relier
les variations d'espace et de temps dans chacun des
espace-temps. En effet, nous pourrions
appeler "tension", le phénomène par lequel, dans un
espace-temps déterminé, on
voit une variation de quantas temporels, et ses corrolaires
masse/énergie, dans un même
référentiel spatial (comme celui qu'on étudie en physique
classique), ou inversement avec un même
nombre de quantas temporels pour une variation
d'espace. C'est ainsi qu'apparaissent les
notions d'énergies potentielle et cinétique propres à
chaque espace-temps (mécanique céleste,
mécanique classique, biologie, chimie, électronique,
etc). Il serait probablement extrêmement
séduisant de rapprocher cette notion de "tension" au sein
d'un même espace-temps, avec celle
de "tenseur d'Einstein" qui, du coup, verrait ses applications
multipliées par autant d'espace-temps
discontinus.
Je voudrais évoquer un instant la
nature de l'antimatière dont beaucoup y voient la manne
énergétique idéale.
A l'instar de Richard Feynman, physicien, qui avait vu dans l'antimatière
l'expression d'une remontée de temps
(flèche du temps inversée) par la matière, je crois
probable
cette possibilité. Feynman a, il
est vrai, fait marche arrière. Toutefois, il méconnaissait
la théorie du
temps tridimensionnel à laquelle
nous pouvons rattacher l'idée suivante : au-delà d'un certain
écoulement du temps (densité
temporelle), les quantas sont si rapprochés (car nombreux) que
l'information pourrait circuler en sens
inverse à la flèche naturelle de notre espace-temps. Cet
écoulement inversé des informations
(masse/énergie) se fait "normalement" sous forme d'ondes,
non matérialisées par des
particules. Or, il semble exister un état limite de la matière,
rendue
cohérente, capable de remonter ainsi
le temps. Cela est bref, et même très bref (on parle de
millième de seconde).
A la manière du courant électrique
qui circule non pas physiquement (les électrons ne se
déplacent que très peu) mais
de manière ondulatoire (transmission de chocs), les informations
(dont celles des états de la matière)
peuvent circuler à contre-courant, ceci étant à rapprocher,
en
parallèle, des fluctuations thermodynamiques
entropiques submillimétriques.
Nous savons tous qu'en deçà
de certaines valeurs, la cause et l'effet sont indiscernables en MQ,
autrement dit, l'écoulement du temps,
lorsqu'il est très dense, va influencer l'ordre d'apparition des
phénomènes sans le moins
du monde aller en contradiction avec les lois classiques car elles
n'appartiennent pas au même espace-temps.
En mécanique classique les quantas temporels sont
très espacés et la matière
suit des lois déterministes. Au contraire, en MQ, la matière
suit des lois
indéterministes, mais...statistiques.
Il faut se souvenir que la logique MQ est contre-intuitive. Une
fois acceptée celle du temps tridimensionnel,
les effets de ce dernier sont largement apparents. Du
coup, la MQ redevient plus intuitive, surtout
si l'on y ajoute la notion de transport d'informations
chère au Pr autrichien Zellinger
(orthographe incertaine).
Ainsi, donc, je prends comme hypothèse
que les charges électroniques et protoniques de notre
espace-temps pourraient refléter
la flèche du temps, flèche suivie par la matière dans
certains
espaces-temps contraints dont le nôtre,
par un manque de quantas de temps trop grand (comptés
en milliards).
On pourrait ainsi supposer, en première
approximation, que l'antimatière est l'expression de la
matière qui va en sens inverse,
et que l'on ne peut maîtriser que dans un champ électromagnétique
puissant, lequel évite que "deux
trains se percutent sur la même voie", le champ magnétique
lui-même, n'ayant que très
peu à voir avec le temps. Il faut noter que la production d'antimatière,
qui, du reste, est notoirement furtive,
est ridiculement faible par rapport à la matière environnante
(on parle de record avec seulement 50 000
atomes d'antimatière lorsque autour il y en a des
milliards de milliards).
La rencontre de la matière et de
l'antimatière produit une énergie colossale puisqu'elle correspond,
selon moi, à la compression instantanée
de deux espace-temps à flèche opposée qui s'annihilent.
On pourrait dire que c'est l'énergie
du Présent, qui lorsqu'elle est réduite habituellement à
un seul
quantum de temps (lorsque l'onde passe
par sa phase neutre) est très
faible, ou trop rapide (là encore).
Dans le cas de l'antimatière, on pourrait avoir à faire à
des paquets
de Présent matérialisé,
du fait d'un grand nombre relatif de quantas (qui d'habitude s'écoulent
les
uns après les autres) se rencontrant
instantanément, puisque de façon opposée. En d'autres
termes, ce sont deux vecteurs d'énergie
(admissibles dans le temps 3-D) qui se "percutent" de
front.
L'antimatière pourrait se trouver
dans le tore des ovnis ! Celle-ci, protégée par un puissant
champ
électromagnétique, même
en faible quantité, orbiterait à une vitesse vertigineuse
et assurerait deux
fonctions :
1) maintenir la cohérence temporelle
des particules du vaisseau (fonction des accélérateurs de
particules).
2) maintenir les ondes, une fois la matière
"dématérialisée", dans l'enceinte du vaisseau, les
contraignant ainsi à faire, si je
puis dire, du sur place plutôt que de se perdre dans l'espace ou
l'atmosphère. Ce phénomène
pourrait s'expliquer par une mise en harmoniques "inverse" des
ondes de la matière par les ondes
d'antimatière (les sinusoïdes se confondant, les unes dans
un
sens, les autres dans l'autre sens). Ces
ondes étant circonscrites, les propriétés particulaires
restent à leur propriétaire
(le vaisseau). J'avoue que cet aspect des choses est, pour l'heure, très
spéculative puisque c'est une hypothèse
sur une hypothèse.
Quoiqu'il en soit, la problématique
de l'antimatière est celle de sa provenance. Or, les théories
les
plus exotiques ont cours, en passant, notamment
par des univers parallèles qui se trouveraient
"ailleurs"...mais où ? Cette vision
des flèches temporelles opposées me semble bien plus
correspondre à une logique cohérente
sur la nature intrinsèque de l'univers multi-dimensionnel,
qui embrasse le nôtre en propre,
et ne rejette pas aux calendes grecques la découverte de
mondes, par définition, inaccessibles.
Les charges binaires (positif/négatif) correspondent
parfaitement à la dualité
du Sens du temps (D-Time = "du passé au futur" et "du futur au passé").
Je crois l'univers très cohérent
et crois que l'entendement scientifique n'est pas un vain mot. La
double tridimensionnalité de l'espace
et du temps m'apparaît s'inscrire dans le génie de la Nature
auquel nous sommes conviés à
participer.
Pour conclure, la matérialité
est une "simple" affaire d'espace-temps et de masse-énergie. Quatre
piliers de la fondation universelle !
La question finale pourrait être
: quel est le cinquième élément ?
TOUTE CRITIQUE DE CE TEXTE POURRAIT ETRE
UTILE AUX COMMUNAUTES
UFOLOGIQUES
ET SCIENTIFIQUES.
MERCI A VOUS TOUS D'APPORTER VOS COMMENTAIRES
ECLAIRES !
Amicalement, Eric.
[email protected]
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