03- L'HISTOIRE DE RAMPA
Par TUESDAY LOBSANG RAMPA
Paris : Éd. J'ai Lu,©1963,
1971,1980,
1981,
1984, 1986.
Paris : Éditions A. Michel, 1972, ©1963.
©1960-> en anglais
- {L'HISTOIRE DE RAMPA: (pages 247 à 253)(Extraits)}[50] Le Changement de corps physique 1.
... Puis, un peu de temps avant la fin du mois, ... on m'appela de nouveau au Pays de la Lumière Dorée.
Assis en face de tous ces Hauts Personnages, je pensai assez irrespectueusement que cela ressemblait à un briefing pendant la guerre!
- Oui, c'est bien un briefing! Et qui est l'ennemi? La puissance du Mal qui cherche à empêcher l'accomplissement de notre Tâche.
- Tu rencontreras beaucoup d'hostilité, tu seras en butte aux calomnies, dit un autre.
- Tes pouvoirs métaphysiques ne seront ni altérés, ni perdus pendant ta transformation, déclara un 3e.
- ceci est ta dernière incarnation, me dit mon Guide bien-aimé, le Lama Mingyar Dondup, quand tu seras au terme de l'existence que tu vas prendre, tu retourneras chez toi... chez nous.
Je reconnaissais bien mon Guide à cette conclusion encourageante. Ils continuèrent à m'expliquer ce qui allait arriver. Trois lamas, voyageurs de l'Astral, m'accompagneraient jusqu'en Angleterre et effectueraient l'opération consistant à couper la Corde d'Argent de cet homme pour me l'attacher, à moi. La difficulté était de ne pas perdre la liaison avec mon propre corps, toujours au Tibet, car je voulais que mes propres « molécules de chair » fussent éventuellement transférées. Je retournai donc sur la Terre, et, avec mes trois compagnons je me rendis astralement en Angleterre.
L'homme m'y attendait.
- Je suis décidé à aller jusqu'au bout, dit-il.
L'un des lamas se tourna vers lui:
- Il va falloir que vous vous laissiez tomber brusquement de cet arbre, comme vous l'avez fait la première fois que nous avons pris contact avec vous. Il faut que le choc soit rude, car votre Corde est très fortement attachée.
L'homme grimpa à quelques mètres du sol, puis se laissa tomber et etterrit avec un « bang » satisfaisant. Pendant un instant, j'eus l'impression que le temps s'était arrêté. Une voiture qui passait s'immobilisa, un oiseau qui volait demeura figé dans l'espace. Un cheval qui tirait une charette stopa, les deux sabots levés, et ne les posa pas. Puis tout se remit en mouvement. La voiture repartit brusquement, à bonne allure. Le cheval se mit à trotter et l'oiseau, au-dessus de nos têtes, fila comme une flèche. Les feuilles frémissaient et s'agitèrent, l'herbe, balayée par le vent, ondula.
**********