"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm, 1997. {(pages 206 à 208)(Extrait 15)} .
« Si l'homme en question doit être réincarné, retourne-t-il au même Sur-moi ou en reçoit-il un nouveau? Est-il en permanence une sorte de partie du Sur-moi? L'homme est-il soudain doté des autres neuf dixièmes de la conscience? »
Voici la réponse. Bien votre question est, en fait, celle-ci: est-ce le même corps ou esprit qui vient du Sur-moi? Supposons que vous vous fassiez une coupure à la main. Vous ne recevez pas, pour autant, une main nouvelle, n'est-ce pas? La main, ou plutôt la coupure, guérit parce qu'elle fait partie de votre personne, parce que votre cerveau lui impose la guérison; celle-ci se produit par la jonction des deux lèvres de la blessure. Les gens sont des entités complètes; et c'est ainsi que votre Sur-moi peut envoyer des prolongements de son être sur Terre; et ces prolongements - humains - sont une chose qui peut se comparer aux tentacules d'une pieuvre. Coupez un de ces tentacules et il recommencera à croître. Sapristi, sapristi! Que de confusion à propos de ce Sur-moi! Mais la question aura été quelque peu élucidée dans une partie précédente de ce livre. S'il est possible de jeter quelque lumière supplémentaire sur ce point, supposons qu'il existe une grande entité dotée de pouvoirs qui pour l'instant nous échappent. Cette entité possède la faculté de penser et, par là, de créer des prolongements d'elle-même partout où elle le désire - on les appelle des pseudopodes. De même, notre Sur-moi, tout en restant à une seule place, possède la faculté d'envoyer des extensions de son être principal, extensions qui lui restent attachées. À l'extrémité de ces extensions, il y a un noeud de conscience, conscience susceptible d'avoir connaissance des choses par le toucher, par la vue, ou par l'ouie, noeuds de conscience qui reçoivent simplement les sensations sur des fréquences différentes.
Nous percevons une chose , qu'elle soit immobile ou en mouvement. Nous la touchons et nous la percevons parce qu'une certaine vibration l'anime, vibration qui peut être reçue et interprétée par un de nos noeuds accordés à ce type de fréquence; en d'autres termes, nous sommes sensibilisés au sens du toucher.
Un autre objet
vibre beaucoup plus rapidement. Nous ne pouvons pas le sentir avec les
doigts, mais nos oreilles perçoivent la vibration que nous appelons
son. L'objet vibre dans cette gamme de fréquences qu'un noeud capable
de recevoir des fréquences plus élevées peut capter
comme un son aigu, un son intermédiaire, ou un son grave. Outre
ces fréquences, il en existe une gamme beaucoup plus élevée
que nous ne pouvons ni toucher ni entendre. Or des noeuds plus sensibles
encore que ceux évoqués jusqu'ici, des noeuds{transducteurs
en électronique} appelés yeux
peuvent percevoir ces fréquences ou vibrations et les résoudre,
dans le cerveau, en un type bien déterminé. Ainsi, grâce
à cette transformation, nous obtenons une image de la chose perçue.
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