Objet:
            Re: Simple Bavardage
     la date:
            Mon, 6 May 2002 07:17:20 -0400
        De:
            "idylle fred" <[email protected]>
         A:
            "vision_globale" <[email protected]>
 Références:
            1
 
 
 

Mon cher Jacques
Entre "inititié" pas de chi-chi , mieux vaut donc se tutoyer car le vous est trop lourd à traîner derrière soit
sur le Net.
 Mes informations sont assez ancienne vu que je suis un peu isolé sur mon île de la Caraïbe. JJe ne serai
pas plus long Aujourd'hui car je dois me rendre ce matin à Pointe à Pitre à quelques 60 km de là. Dès
mon retour peut-être demain je vais mettre en première ligne sur ma page répertoire l'adresse de ton beau
site. Je connais l'affaire de Nibiru et j'ai le livre La 12è Planète de Sitchin. Je ne connaissais pas ce
dernier ouvrage  LE TESTAMENT DE RAMPA et je vais essayer de le trouver car c'est bizarre que je
n'en ai jamais été averti de sa parution . Mais sur Artivision toutes les informations arrivent en temps
voulu.Je t'expliquerai cela plus tard. je possède deux lettres inédites de Rampa et je les mettrai en ligne un
jour proche.
 Voici un autre site sur cet auteur :
http://perso.wanadoo.fr/lobsang.rampa/
 
Voici aussi un texte non diffusable qu'un ami écrivain m'a transmis sur cet auteur en nov 2001:
 

Mes carnets de recherche : n° 60

                     DU TRANSFERT DE L'AME DE RAMPA

                                        Christian Sastre

                                            KKKKK

 

Ô nombre, toi qui traques la vie !

Je me suis laissé dire qu'il ne fallait pas prendre trop au sérieux les écrits de T. L. Rampa. J'ai mis
quelque temps pour comprendre la raison pour laquelle Rampa était discrédité par l'intelligentsia
intellectuelle de l'Occident. Certes, ses témoignages sur la vie au Tibet n'ont jamais été pris en défaut.
Même ses études au monastère de Lhassa, effectuées pour acquérir le titre de lama, sont d'une exactitude
incontestable.

En fait, avec la parution de son livre L'ermite, dans lequel il est question d'extra-terrestres, Rampa semble
être allé trop loin dans les révélations sur ce sujet ô combien tabou.

C'est vrai que la lecture de sa vingtaine d'ouvrages m'a suffisamment impressionné, au point de raviver
quelques réminiscences d'un passé lointain, réel ou imaginaire.

La transmigration est possible

Dans un temps futur, il peut arriver un moment, une circonstance imminente et favorable, où un Initié aux
lois les plus nobles de l'esprit, doit absolument poursuive sa mission sur la Terre. Il change donc de corps,
tout comme s'il déshabillait son être astral pour le revêtir d'un nouvel habit… mais qui a déjà été utilisé
par une autre personne.

Ce transfert immédiat d'un corps à un autre semble déjà s'être effectué dans les temps bibliques. En effet,
G. H. Williamson démontre que David, 2ème roi hébreu, prit le corps d'Ahmose I, pharaon de la 18è
dynastie égyptienne. De plus, afin qu'il soit efficacement aidé dans sa mission, l'épouse de David,
Bethsabée, transmigra dans le corps de la reine Tahpnès, épouse d'Ahmose I.

Dans le Nouveau Testament, c'est exactement le même phénomène qui se passe lorsque Matthieu raconte
que Jean-Baptiste "vit l'Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui." Et Luc précise
même : "Le Saint-Esprit descendit sur lui sous forme corporelle comme une colombe."

Pour que la transmigration se réalise dans de parfaites conditions, le corps du donneur doit donc présenter
des caractéristiques qui soient, sinon analogues dans les détails, dans tous les cas identiques dans leur
synthèse vibratoire. Si cet équilibre n'était pas respecté, l'harmonisation ne saurait être obtenue. Le
phénomène de rejet se déclarerait et les deux corps étrangers, celui physique de l'un et celui astral de
l'autre, se repousseraient.

Est-il osé d'espérer que ce modeste Carnet de recherche puisse amener certains chercheurs à prendre
conscience que la fréquence vibratoire ou vitale d'un individu devrait être calculée afin de réussir toutes
les transplantations d'organes ? Une greffe ne doit en aucun cas être soumise à quelque aléa que ce soit.
La méthode reste à découvrir. Celle développée ici n'en est qu'une approche. Toutefois, elle démontre
que rien n'est impossible, surtout lorsqu'une personne comme Lobsang Rampa ouvre un tel chemin.

Découverte d'un homme consentant

Les nombres permettent parfois de découvrir l'harmonie intime des influences que rayonnent les êtres
vivants. Le croire est une chose ; le constater en est une autre. En effet, la confrontation numérologique
du nom de Lobsang Rampa avec celui de l'Anglais dont il aurait pris possession du corps par
transmigration, laisserait supposer que cela s'avère du domaine du possible.

Il faut avoir lu le livre de L. Rampa Histoire de Rampa, particulièrement le chapitre qui traite du transfert
du corps astral de Rampa, pour se rendre compte du problème complexe que les lamas tibétains ont dû
résoudre.

Ayant, par ailleurs, appris le nom exact de l'Anglais qui a accepté de donner son corps, une comparaison
numérologique m'a conduit à constater des résultats surprenants qui ne sauraient s'appuyer sur la simple
loi du hasard.

Cela se passe au Tibet. Les lamas supérieurs de L. Rampa désirent qu'il démontre à l'humanité
occidentale que la transmigration d'un corps à un autre (appelée métempsycose par erreur) est possible
sans qu'il soit nécessaire pour cela de mourir puis de renaître afin de tout réapprendre. La réincarnation se
moque du temps mais l'être humain, quant à lui, et aussi évolué soit-il, n'en a jamais assez.

Il lui a donc fallu quitter son corps, corps qu'il a laissé au Tibet, et prendre possession du corps d'un
Anglais. Pour répondre à la question de savoir comment a été découvert et contacté cet Anglais du nom
de Henry Hoskins, voici résumé l'événement qui a déclenché le processus de contact.

M. Hoskins, dépressif, voulait en finir avec la vie. Pourtant, vers la fin de 1947, il éprouve le besoin de
modifier son comportement ; il adopte un mode de vie oriental. Puis, le 9 février 1948, Cyril Hoskins
demande le changement de son nom. Par acte déclaratif légal, il s'appelle désormais Carl Ku'an Suo,
nom auquel il renonce définitivement le 6 mars 1963. Après quoi, son nom est Tuesday Lobsang
Rampa.

Le 13 juin 1949, Hoskins grimpe à un arbre situé dans son jardin avec l'intention de photographier de
près un jeune hibou perché en bout de branche. Celle sur laquelle il s'avance, pourtant prudemment, casse
car elle est pourrie. A la suite de cette chute, il se retrouve hors de son corps, dans l'univers astral, assez
étrange pour lui.

C'est alors qu'il voit un lama tibétain traverser la pelouse et venir vers lui : "Ma présence vous surprend,
dit-il, je suis ici parce que j'ai été attiré par vous. J'ai laissé mon corps à cet instant précis et j'ai été
attiré vers vous parce que vos propres vibrations vitales sont un harmonique fondamental de celui
pour lequel j'agis. Je suis donc venu, je suis venu parce que j'ai besoin de votre corps pour quelqu'un
qui doit continuer à vivre dans le monde occidental, car il doit accomplir une tâche qui ne souffre pas
d'interruption."

Ce n'est qu'après grande tergiversation et mûre réflexion que l'Anglais accepta.

Difficultés évidentes

Le corps astral de Lobsang Rampa a délaissé son propre corps physique pour ensuite animer celui d'un
autre homme. Pourtant Rampa a vécu de nombreuses années dans son premier corps. Il s'est façonné
lentement au cours de ses tribulations. Il en a été de même pour cette autre personne anglaise qui a cédé
son corps ou sa dépouille à l'âge de quarante ans pour les besoins d'une science spirituelle dont le niveau
et le but lui échappaient totalement.

Lobsang Rampa aurait-il pu s'incorporer dans le corps d'une femme ? C'est une question à laquelle il est
facile de répondre. Etant donné qu'il quittait un corps d'homme, son corps astral avait bien sûr acquis des
habitudes d'homme. Son être psychique n'a pas eu le temps de se dépouiller des scories qui se forment
naturellement pendant une incarnation. De plus sa formation de lama ne se prêtait guère à ce genre de
dilemme.

Mais il convient surtout de considérer le point de vue des ésotéristes.

L'entité astrale est neutre dans son expression sexuelle. L'être psychique est androgyne. Peut-être que,
malgré tout, grâce à sa volonté, Rampa aurait réussi à s'installer dans un corps féminin. Toutefois, sa
haute spiritualité et son grand développement des facultés psychiques lui interdisaient pareille éventualité.

Une des grandes vérités qui se constate lorsqu'on étudie la vie des grands saints ou des grands initiés, c'est
que la plupart expriment l'état positif, actif et masculin que manifeste l'homme. Il ne pourrait en être
autrement sous peine de ne pouvoir réaliser pleinement sa mission, celle, dans le cas présent, de prouver
la transmigration.

Mentionnons que Rampa reste en rapport psychique avec son propre corps demeuré au Tibet. Il écrit :
"La difficulté était de ne pas perdre la liaison avec mon propre corps, toujours au Tibet, car je
voulais que mes propres molécules de chair fussent éventuellement transférées." Cela n'apparaît pas
une opération facile puisqu'il indique que la substitution des molécules lui pose un sérieux problème. Au
terme de cette opération, le corps de l'Anglais est téléporté ailleurs afin qu'il retourne à la poussière.

Pour ceux qui seraient enclins à ne voir là qu'une simple affaire de possession, la permutation de
molécules de chair rend cet exploit beaucoup plus apte à l'étude scientifique qu'à la superstition diabolique.

L'épreuve est bien pénible pour Lobsang Rampa ! Il doit s'y prendre à deux fois pour s'adapter à cette
nouvelle enveloppe. Car ce n'est que lorsque sa corde d'argent a été nouée, tout comme celle du cordon
ombilical du bébé qui vient de naître, que les tentatives douloureuses d'intégration commencent.

Une remarque relative à cette fabuleuse expérience vaut la peine d'être relevée : le fait qu'un initié de
l'envergure psychique de Lobsang Rampa soit parvenu à remplacer une entité qui avait sombré au cours
de sa vie dans un comportement des plus "pessimistes". Or, c'est ce qui s'est pourtant passé d'une façon
extraordinaire.

Deux solutions peuvent être envisagées pour expliquer la réussite de cette transmigration hors du
commun. N'oublions pas que le corps de l'Anglais n'a pas été préparé comme cela paraît avoir été le cas
dans un lointain passé pour d'autres missionnés.

La première réside dans la grande force psychique de L. Rampa qui a su maîtriser le corps dont il avait
besoin pour sa mission. C'est possible, mais insuffisant car son magnétisme d'une telle vitalité aurait
engendré le phénomène de rejet.

Tout en possédant une aura extrêmement pure, il s'est immiscé, avec l'aide de ses confrères évoluant en
astral, dans un corps dont les vibrations ne semblaient pas rayonner à la même fréquence que les siennes.
Il faut dont supposer que la fréquence vitale de L. Rampa se situait sur une octave supérieure à celle de
H. Hoskins. Si l'harmonique fondamental de Rampa était, par exemple, la note fa, celui de l'Anglais devait
également être un fa, mais situé sur une octave moins élevée.

N'oublions pas que Lobsang Rampa, lama tibétain, a pratiqué depuis l'âge de sept ans tous les exercices
de réalisation psychique et de purification spirituelle.

Par contre, personne ne mentionne nulle part, que ce soit Rampa ou d'autres chercheurs et critiques qui se
seraient penchés sur la vie de Hoskins, que ce dernier ait appris de telles techniques d'évolution
personnelle. Tout au contraire. Car, c'est bien à la suite de multiples expériences et circonstances sociales
démoralisantes qu'il en était venu à envisager le suicide. Cela démontre une personnalité à l'opposé de
celle de Rampa.

La numérologie à la rescousse

La seconde solution se découvre par l'application des nombres ou plutôt grâce à la numérologie. Cette
méthode met en lumière la raison pour laquelle il y a vraiment eu accord et pourquoi le rejet ne s'est pas
manifesté. Ces deux personnalités de culture pourtant opposée ne se sont pas repoussées.

En numérologie latine, chaque lettre de l'alphabet est définie par un nombre précis qui suit le cycle du
novenaire. Accordons les lettres aux chiffres, ainsi sera-t-il plus facile de connaître les correspondances.

1   2   3  4  5  6   7   8   9

a  b  c  d    e   f    g   h    i

j    k   l    m   n   o   p   q    r

s    t   u    v    w   x   y  z

Afin que l'analyse numérologique soit complète, il est nécessaire d'utiliser les dénominations de l'état civil
qui, dans les pays anglo-saxons, sont souvent au nombre de trois, soit deux prénoms et le nom. Alors que
l'état civil du lama est Tuesday Lobsang Rampa, celui de l'Anglais est Cyril Henry Hoskins.

Plaçons sous les lettres le nombre correspondant et réduisons à un chiffre le total trouvé pour chaque
nom. Nous procéderons ainsi pour toutes les voyelles et les consonnes.

t  u e s  d  a y        l o b s a n g      r a m p a

2  3 5 1  4  1 7        3 6 2 1 1 5 7    9 1 4  7 1

           23           +           25         +         22          = 70

           5             +           7           +           4           = 16 ==> 7

Voyelles    : 16 + 7 + 2   = 25 ==> 7

Consonnes : 7 + 18 + 20 = 45  ==> 9

 

C  Y  R  I  L    H  E  N  R  Y     H O S  K  I N  S

3  7  9 9 3         8  5   5  9  7       8   6  1  2  9   5   1

       31       +            34            +                32                  = 97

        4        +              7            +                 5                   = 16 ==> 7

Voyelles    : 16 + 12 + 15 = 43   ==> 7

Consonnes : 15 + 22 + 17 = 54   ==> 9

Il apparaît ici une coïncidence remarquable qui nous laisse pantois. Le total numérologique (appelé
nombre d'expression) des deux entités, se réduit à 7 en passant par 16. Ce même nombre 16 est, pour les
deux cas, l'addition des nombres 4, 5 et 7 avec une simple permutation pour 4 et 5.

Mais là où le hasard est vraiment à rejeter, c'est lorsque nous poursuivons l'analyse des voyelles comme
des consonnes. En effet, les voyelles présentes dans T. L. Rampa totalisent 25 qui se réduit à 7 et celles
dans C. H. Hoskins donnent 43, nombre se réduisant également à 7. Quant au total des consonnes, nous
trouvons respectivement 45 et 54, deux nombres qui se réduisent à 9.

Le doute n'est plus permis. Ou bien les lamas tibétains connaissaient le rapport qui existe entre les lettres
et les nombres, tel que la numérologie occidentale (appelée aussi kabbale latine) l'applique. Ou bien, par
un procédé qui nous échappe, les lamas ont exactement découvert quel corps physique pouvait être utilisé
afin que le corps astral de T. L Rampa puisse l'occuper et y habiter en parfaite harmonie.

Ce dernier cas paraît le plus plausible Or, bien que nous ne connaissons pas tout sur les techniques
tibétaines d'investigations astrales, les nombres mettent en évidence ces accords avec l'aide de la
numérologie. C'est une technique dont les Tibétains ne devaient même pas se préoccuper, si ce n'est pour
découvrir l'harmonique fondamental qui est une synthèse vibratoire de l'être.

L'observation de ces faits est incroyable. Les nombres dans leur réduction à un chiffre, apparaissent
identiques tant pour l'un que pour l'autre. Seuls diffèrent les nombres définissant l'état civil à consonance
anglaise de celui à consonance tibétaine. Chaque nom cristallise la façon dont se sont déroulés les
événements vécus. Ces deux personnages ayant habité des pays fort dissemblables, les conditions
géographiques, raciales, culturelles et autres aboutissent à l'apparition de nombres secondaires différents.

Importance du changement de nom

Le nom est un élément fondamental de l'être. Vivre dans le plan objectif de la matière nécessite une
personnalité adaptée aux expériences de l'existence.

De tout temps, le nom s'est imposé comme un catalyseur de la personnalité. Prononcer le nom d'une
personne, c'est influer, volontairement ou non, sur l'harmonie verbale qui s'établit ainsi. La kabbale
phonétique, lorsqu'elle est judicieusement appliquée, permet d'émettre des sons dont la fréquence
vibratoire est en harmonie, d'une part, avec le but éventuellement poursuivi, d'autre part, avec celui qui
les prononce.

Lobsang Rampa voulait un accord parfait entre sa personnalité et le corps qu'il adoptera lors de
transmigration.

Aussi peut-on mieux comprendre que les lamas tibétains aient demandé à l'Anglais de changer de nom.
Toutefois, il ne s'est pas immédiatement appelé T. L. Rampa.

Il est possible que la fréquence vibratoire de la prononciation de Carl Ku'an Suo n'était pas tout à fait
adaptée à la personnalité de T. L. Rampa. Ou, ce qui paraît probable, il était nécessaire de passer par une
phase intermédiaire pour élever suffisamment la vibration fondamentale de Hoskins.

En transposant le nom Carl Kuan Suo, qui a temporairement remplacé celui de C. H. Hoskins, il semble
évident qu'il faut chercher autre chose que l'harmonie numérologique. Une autre raison a impliqué ce
changement de nom qui, bien qu'intermédiaire, a tout de même duré plus de quinze années.

C A R L       K U A N    S U O

3  1  9  3       2  3 1  5      1 3 6

      16      +        11     +   10     = 37

        7      +         2       +    1       =10   ==> 1

Voyelles    : 1 + 4 + 9   = 14   ==> 5

Consonnes : 15 + 7 + 1 = 23   ==> 5

La somme numérologique du nom complet donne 37 qui se réduit à 10 ==> 1. L'interprétation que l'on
peut en donner est une personnalité qui s'impose par son originalité et sa puissance. Âme de chef
qu'aucun obstacle ne sautait arrêter. Avec le 5 qui apparaît au total des voyelles et à celui des consonnes,
se confirme la hardiesse et l'esprit vif, des activités nouvelles qui s'affirment par des créations originales.
N'est-ce pas là un terrain propice pour que s'enracine la personnalité de T. L. Rampa ?

Cela tendrait à confirmer qu'une orientation nouvelle, toute empreinte de fermeté, s'est déclenchée dans
l'existence de Hoskins devenu Kuan Suo.

Lorsque la personnalité d'Hoskins a définitivement été remplacée par celle de Rampa, les vibrations
fondamentales des deux entités se trouvaient dès lors en parfaite harmonie. Et Rampa a dorénavant fait
usage de son nom qui était jusque là considéré comme un pseudonyme. En effet, si l'on se reporte à la
bibliographie, on observe que ses trois premiers ouvrages sont publiés sous le nom de T. L. Rampa, alors
que son état civil était encore Carl Kuan Suo.

Une transmigration réussie

La transmigration n'a été efficiente que parce que la synthèse vitale des voyelles et celle des consonnes,
qui détermine l'expression commune de Hoskins et de Rampa, s'accordaient dans une vibration identique.

Quant à l'interprétation numérologique, elle n'est pas le but de ce Carnet de recherche. Une telle analyse
devrait d'ailleurs tenir compte des dates et des lieux de naissance, qui sont inconnus plus particulièrement
pour L. Rampa.

L'essentiel était de faire ressortir le fait que la numérologie occidentale permet effectivement de découvrir
l'intime harmonie qui lie les êtres vivants entre eux.

Le cas de Tuesday Lobsang Rampa n'a pas failli à la règle numérologique.

Annexe : Bibliographie de T. L. Rampa (en langue française)

Ouvrages de Rampa

Titres                                                    Editions                               1ère année d'édition

 

Le 3è œil                                         Editions J'ai lu n° A 311                        1957

Lama médecin                                   Albin Michel                                     1959

Histoire de Rampa                             Editions J'ai lu n° A 210                    1960

Les secrets de l'aura                         Editions J'ai lu n° A 256                     1966

La robe de sagesse                            Editions J'ai lu n° A 277                     1966

La caverne des Anciens                        Editions J'ai lu n° A 226                  1967

Les clés du nirvanã                               Editions J'ai lu n° A 298                  1969

L'ermite                                                   Editions de l'Homme                    1971

Vivre avec le lama                                     Livre de poche n° 5339               1971

Les univers secrets                                     Editions de la Presse                 1972

Pour entretenir la flamme                            Editions de l'Homme               1972

Crépuscule                                                  Editions J'ai lu n° A 326            1972

La 13è chandelle                                            Editions de l'Homme              1972

Les lumières de l'astral                                  Editions de la Presse             1974

C'était ainsi                                                      Editions Stanké                     1976

Je crois                                                               Editions Stanké                    1977

Les 3 vies                                                        Editions J'ai lu n° A 375          1978

Dictionnaire de Rampa                                Le Livre de poche n° 5249        1979

Rampa, le Sage du Tibet                                     Editions Stanké                   1980

Ouvrages de San Ra-ab Rampa, Mme Rampa

Le monde de Rampa                                         Editions Stanké                      1979

Ma vie avec Rampa                                          Editions Stanké                       1980

Ouvrage critique de Alain Stanké, l'éditeur de Rampa

Rampa, imposteur ou initié ?                           Editions Stanké                      1980

 
 
 
Donc cher Jacques vives amitiés tropicales et à bientôt pour la suite de ma lettre.
Fred
PS :voici le dernier message que je viens d'envoyer à l'AXE qui simplement est le sous ensemble d'amis
très sérieux à qui s'adresse les modifications de mes articles.
Bien chers amis de L'AXE
 
En fonction de la parution d'un article sur la Lune dans la revue Science&vie  d'Avril 2002, j'ai
modifié mon article à :
http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/myslune.html  comme suit :

II Quelques mystères lunaires non résolus.

  Jetons donc un coup d'œil furtif sur certains de ces mystères :

1°) - La différence de densité moyenne 3,33g/cm3 pour la Lune et 5,5g/cm3 pour la Terre, ainsi que la
composition des roches lunaires, bien moins riches en métaux que celles de notre bonne Terre, semblent
éliminer l'hypothèse que la Lune ait été à l'origine arrachée de la Terre. Cette hypothèse a pourtant, en
ce moment, la très grande faveur des scientifiques, qui pour cela font intervenir le choc de la Terre
avec une planète presque aussi grosse que Mars, choc qui transformerait d'abord la Terre en une
planète avec un anneau comme Saturne puis dans le temps record incroyable d'une année l'anneau
devrait réaliser son accrétion pour former la Lune. 27 simulations numériques de différents centres
de recherches réalisés pour vérifier cette hypothèse ont abouti au même résultat. (voir la revue Ciel et
Espace n°333 de Février 1998).

...début de ajout ici..

Ce qui est surprenant, c'est qu'une revue qui se veut sérieuse comme Science&Vie  dans son n°  1015
d'Avril 2002 dans un article  intitulé "Retour sur la Lune" en page 60, nous écrit les paragraphes
suivants:

" D'autres part, les scientifiques voudraient  comprendre le rôle qu'a joué notre satellite dans la
stabilisation de la rotation de la Terre, un  facteur déterminant pour l'essor de la vie . (Tiens, tiens
c'est exactement ce que dit l'article soi-disant  bidon  de la revue "Pour la Science"   d'Avril 2000 voir
à ce sujet notre surprenant article : http://perso. wanadoo.fr /fidylle/docs/Roselune.html )

  Si l'on sait déjà qu'elle est née il y a environ 4,5 milliards d'années du choc d'un planétoïde qui a
heurté  la Terre et en a arraché un morceau, on ignore si elle s'est détachée d'un seul coup ou si elle
s'est formée à partir d'une multitude de petits éclats de notre planète."

   Donc comme vous le voyez l'auteur Valérie Greffoz de cet article, n'y va pas par quatre chemins: La
thèse de la Lune arrachée de la Terre est une fois pour toute admise et "on le sait déjà" .....un point
c'est tout.

    Compte tenu de cette accrétion incroyable citée plus haut et faite en une année, nous pensons ....   fin
de l'ajout...

qu' il est alors préférable pour l'instant d'admettre que la Lune pourrait venir d'ailleurs. Mais comment
a-t-elle pu être capturée par la Terre pour se placer sur une orbite formant un cercle presque parfait,
nécessitant un freinage rigoureux lors de la satellisation, alors que les satellites des autres planètes
décrivent généralement des ellipses plus ou moins étirées? La probabilité d'une telle capture est donc
pratiquement nulle.

 

Vives amitiés tropicales:

fred

fin du message à L'AXE
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