"La Treizième Chandelle" Par TUESDAY LOBSANG RAMPA -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm, 1997. {(pages 50 à 52)(Extrait 02)} .
« Dans le tohu-bohu des arrivées de l'astral à ce monde que nous appelons Terre, des confusions se produisent. Naître est une épreuve traumatisante qui fait appel à un mécanisme délicat qui peut facilement être perturbé. Prenons l'exemple d'un bébé sur le point de venir au monde. Pendant la grossesse, sa mère a négligé son alimentation et a eu une mauvaise hygiène de vie. L'enfant n'a donc pas reçu ce que nous pourrions appeler un rapport chimique équilibré. Par manque d'un élément chimique, le développement de certaines glandes a pu être arrêté. Disons que le nouveau-né allait être une fille, il nai^t, en fait, garçon, un garçon doté des tendances d'une fille.
« Les parents, se rendant compte qu'ils ont un malheureux mollasson, pourraient attribuer son tempérament à l'excès de faiblesse dont ils font preuve à son égard. Ils essayent de lui enfoncer dans la tête un peu de bon sens d'une manière ou d'une autre pour le rendre plus viril; c'est peine perdue. Si les glandes sont différentes de ce qu'elles devraient être, le garçon reste une fille dans un corps de garçon.
« À la puberté, le garçon peut ne pas se développer de façon satisfaisante ou encore il le peut en effet, selon toutes les apparences extérieures. À l'école, il fait partie des poules mouillées; le malheureux n'y peut rien.
« Quand il atteint l'âge d'homme, il s'aperçoit qu'il est incapable de "faire les choses qui viennent naturellement"; au lieu de cela, il cout après les garçons. Il le fait naturellement parce que tous ses désirs sont ceux d'une femme. Sa psyché est de nature féminine mais, par un malheureux concours de circonstances, son corps est masculin.
« Il devient
alors ce qu'on appelle familièrement une "tapette", il a des
tendances homosexuelles. Plus la psyché est féminine, plus
forts sont les penchants homosexuels.
« Si une femme a une psyché masculine, elle ne s'intéressera pas aux hommes mais aux femmes, parce que sa psyché, qui est plus proche du Sur-Moi que son corps physique, transmet des messages déroutants au Sur-Moi et celui-ci renvoie une sorte de commandement: "Mets-toi à l'oeuvre, montre-nous ce que tu sais faire!" La pauvre malheureuse psyché masculine éprouve de la répulsion à l'idée de "montrer ce qu'elle sait faire" avec un homme. Tout l'intérêt de la femme se concentre donc sur une femme et l'on a ainsi le spectacle d'une femme qui fait l'amour à une femme. Ces relations sont dites lesbiennes du nom d'une île grecque où c'était "la chose qu'on faisait".
« Il est absolument vain de condamner les homosexuels; ceux-ci ne sont pas des scélérats. On devrait plutôt les classer parmi les malades atteints de trouble glandulaires et si la médecine avait l'intelligence voulue, elle s'efforcerait de remédier à ce mal.
« Un médecin
à l'écoute de ses patients homosexuels pourra prescrire des
extraits glandulaires qui amélioreront beaucoup leur état
et leur redront la vie supportable. Malheureusement, la génération
actuelle de médecins parait se préoccuper uniquement de gagner
de l'argent, aussi faudra-t-il chercher longtemps avant de trouver un bon
docteur. Les homosexuels sont des gens très malheureux parce qu'ils
sont en pleine confusion; ils ignorent ce qui leur est arrivé, ils
savent que les gens se moquent d'eux mais ils ne savent pas empêcher
ce qui est l'impulsion la plus forte que connait l'être humain, à
savoir l'instinct de reproduction.
« Les psychanalystes ne sont pas d'un grand secours, parce qu'il leur faut des années pour accomplir ce que la moyenne des gens feraient en quelques jours. Il suffirait d'expliquer clairement aux homosexuels qu'ils souffrent d'un déséquilibre glandulaire et, alors, ils sauraient généralement s'adapter à cette situation. De toute façon, on est en train de revoir les lois pour éviter que les homosexuels ne soient exposés à de cruelles persécutions et à l'emprisonnement.
« Il existe des moyens de venir en aide à ces gens. Il faut leur témoigner une véritable compréhension : une personne beaucoup plus âgée que l'intéressé(e), éprouvant une profonde sympathie pour le (la) malade, lui expliquera avec précision ce qui est arrivé. Les homosexuels peuvent avoir recours soit à des médicaments qui refoulent l'impulsion sexuelle, soit à des injections d'hormones, de testostérone par exemple, qui aideront le corps à s'adapter sexuellement.
« L'important, c'est de ne jamais, jamais condamner un homosexuel : ce n'est pas sa faute, il est puni pour une faute de la Nature. Peut-être sa mère s'était mal alimentée, peut-être y avait-il une incompatibilité d'ordre chimique entre la mère et l'enfant. Quoi qu'il en soit, de quelque point de vue que l'on se place, les homosexuels ne peuvent être guéris que par une vraie compréhension, une sympathie véritable et, si possible, le recours judicieux à des médicaments. »
**************************
"La Treizième Chandelle"
Par TUESDAY LOBSANG RAMPA -> « The thirteenth candle »
-- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 ×
18 cm, 1997. {(pages 55 à 71)(Extrait 03)} L'homosexualité
-> deux longs témoignages. [Voir
dans le livre]
**************************