"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm, 1997. {(pages 209 et 210)(Extrait 16)}.
« J'ai un problème et le voici: si une marionnette peut revêtir à sa guise un corps mâle ou un corps femelle, en fonction de ce qu'elle désire apprendre, pourquoi considère-t-on comme acquis le fait que l'entité qui fut le dalaï-lama s'incarnera toujours dans un homme? Pourtant, cette entité devrait certainement se modifier pour être à même d'apprendre d'un point de vue plus vaste que le seul point de vue masculin. Pourquoi la femme ne pourrait-elle aspirer au poste le plus élevé du lamaïste? Au Tibet où, si je ne me trompe, hommes et femmes sont égaux (ou, du moins, l'étaient avant l'arrivée des Chinois), pourquoi avoir établi cette discrimination? »
Une fois de plus, on peut en partie répondre à une question par une autre question: au cours de l'histoire universelle, a-t-on jamais considéré une femme comme le Dieu Suprême? Pouvez-vous, chers lecteurs, citer un seul cas où une femme ait été Le Dieu Suprême? Oui, sans doute, il y a eu des déesses, mais elles ont toujours été « inférieures », subordonnées aux dieux. Le dalaï-lama a, selon la croyance tibétaine, été un dieu sur terre; par contre, un dieu sur terre qui serait une déesse sur terre ne suffirait pas.
Il est venu sous la forme d'un homme, parce que les choses qu'il devait accomplir exigeaient qu'il vînt sous une forme masculine. Mais comment savez-vous que le Sur-moi du dalaï-lama n'a pas de marionnettes féminines en train d'apprendre? En fait, il a eu de ces marionnettes. En fait, de nombreuses choses ont été apprises par des intermédiaires féminins.
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