Le sénateur Hatch, président du comité des relations étrangères du Sénat américain, a été interrogé sur l’entrevue qu 'il a accordée au Dr Dan Burisch, à propos des virus artificiels, des contacts extraterrestres et du traité TAU. IX.
de PR Web, http://www.prweb.com
Washington, (PR Web), 22 avril 2004 - Dan Burisch, le docteur en microbiologie confiné dans la zone 51 qui a parlé d'opérations secrètes et qui a exprimé sa volonté de témoigner publiquement, est en passe d'obtenir l'immunité et les auditions devant le Congrès qu'il demande.
Harry Dschaak et Sterling Allan ont pu rencontrer le Dr Burisch le 05 avril grâce à la complicité d'un contact à l'intérieur de la zone. Ils ont parcouru les États-Unis pour présenter son affaire à plusieurs membres du Congrès le 19 avril 2004.
Selon un rapport antérieur à propos de son envie de parler en échange de l'immunité, le Dr Burish a dit qu'il répondrait à toutes les questions s'il était cité à comparaître.
Dschaak et Allan se sont particulièrement tournés vers le sénateur Orrin Hatch (Utah) en raison de sa fonction de président de la commission judiciaire.
Ils ont aussi rencontré les équipes des sénateurs de l'Idaho, de l'Utah et du Nevada où Dschaak, Allan et le Dr Burisch habitent respectivement.
Des questions de sécurité sur le point d'être révélées
Un membre de l'équipe du sénateur Hatch, qui a rencontré Dschaak et Allan afin d'en savoir plus sur le sujet, a déclaré que cette affaire serait probablement du ressort du Select Commitcee on Security. Malgré un emploi du temps chargé, le sénateur Hatch a eu la courtoisie de passer brièvement dans la salle de conférence ou la réunion a eu lieu.
Le collaborateur du sénateur a prévenu Dschaak et Allan que des milliers d'affaires attendaient déjà une audience devant le Congrès.
Allan lui a répondu que le cas du Dr Bu-risch était suivi par des milliers de personnes à travers le monde et qu'il serait ravi de commencer une pétition qui puisse aider à démontrer le rôle dont est investi le Dr Burisch. La pétition de Allan donne la possibilité aux gens d'exprimer leur souhait de voir le Dr Burisch cité à comparaître devant le Congrès.
Le témoignage du Dr Burisch
La déposition de Burisch inclurait des preuves de la création d'un virus mortel et de l'existence d'une séquence génétique faisant office de signature (ce qui prouverait que le virus est issu d'un laboratoire). Ces organismes sont semblables au VIH et au SRAS qui proviennent, selon des chercheurs tels que Len Horowitz, de laboratoires.
Le témoignage comprendrait également un rapport couvrant une période de un an pendant laquelle, selon Burisch, on l'a affecté à l'étude d'un extraterrestre qui s'est porté volontaire pour un échange, dans le site ultra-secret S4 de la zone 51, au nord de Las Vegas (Nevada).
Le Dr Burisch peut également témoigner
avoir entendu que des sujets humains étaient et sont retenus dans
le S4, contre leur gré, et sont traités comme des rats de
laboratoire.
De plus, il affirme avoir vu des portes des étoiles
en marche. Les preuves doivent néanmoins être définies.
Le Dr Burisch déclare être au courant de travaux réalisés pour capturer des composants génétiques de maladies extraterrestres afin de les introduire dans des vecteurs microbiens pouvant viser les êtres humains. Pour Dschaak cela revient à créer une épidémie, semblable à celle du choléra, contre laquelle aucune immunité n'a été développée.
La partie la plus importante de son témoignage est peut-être sa connaissance d'un supposé traité Tau-IX qui existerait entre certaines factions extraterrestres et un groupe international d'hommes puissants, racistes et élitistes. Pendant la deuxième moitié du XXe siècle, cette cabale aurait utilisé les quelques informations extraterrestres disponibles pour exercer un contrôle croissant sur les affaires de la Terre, que ce soit des questions politiques, d'énergie, de technologie ou de santé.
Les membres de cette cabale garderaient ces avancées technologiques loin du profane tout en les utilisant à des fins personnelles. Le traité donnerait l'autorisation d'enlever des êtres humains.
Points de vue sur l'affaire Burisch
La journaliste d'investigation Linda Moulton Howe a donné, dans son reportage du 19 avril sur l'affaire Dan Burisch, des preuves désignant le président américain Harry Truman comme à l'origine du secret. Ce choix avait pour but de protéger le public de ce qu'il aurait considéré comme une situation choquante et qui aurait conduit à l'hystérie et la panique générales. Depuis, la politique officielle du gouvernement américain a été de nier toute implication ou connaissance de l'existence d'extraterrestres.
Howe soutient que si certaines informations méritent de rester secrètes pour des raisons de sécurité nationale, du fait de leurs implications militaires, le monde devrait au moins être au courant de l'existence d'une relation entre des extraterrestres et la Terre.
Un autre chercheur, Michael E. Salla (voir NEXUS
N° 25, mars-avril 2003) a récemment fait un reportage sur le
Dr Burisch et a obtenu un entretien le 16 avril. Il prétend que
plusieurs races d'extraterrestres ont visité ou habitent la Terre.
Il désirait savoir si le Dr Burisch avait été en contact
avec plus d'une espèce. Celui-ci a répondu qu'il n'avait
vu qu'une race, un spécimen de « Gris » nommé
J-rod. Selon lui, il y en avait trois de la même espèce :
deux mâles et une femelle. Celle-ci fut autorisée à
retourner d'où elle venait, les mâles sont morts.
Un groupe de recherche présidé
par Robert
Wood s'intéresse désormais à un document selon lequel des échanges auraient eu lieu entre un chef d'État important et le Dr Dan Burisch.
Bien que le Dr Burisch soit enfermé sous étroite surveillance, certains de ses supérieurs sont favorables à des révélations. Des conversations secrètes ont toujours lieu. Allan pense que les responsables vont faciliter l'accès au Dr Burisch quand la citation à comparaître sera sur le point d'arriver.
Selon Stephen Gréer, responsable du Disclosure Project (voir le livre Révélations, page boutique), le blindage du secret commence à se fissurer car des milliers de témoins se manifestent. Parmi eux, se trouvent des membres du gouvernement, de l'armée, de la CIA et du FBI. Le Dr Gréer perçoit l'affaire Burisch comme une « vitrine » pour l'ensemble des scientifiques et des agents impliqués dans tous les aspects de cette « kleptocratie », comme il l'appelle.!! affirme que cette élite ne souhaite pas que les faits soient révélés car les technologies avantageuses qui seraient à la portée de tous provoqueraient la perte de leur pouvoir.
« Chaque foyer pourrait avoir son propre
générateur d'énergie qui exploiterait les ressources
de la mer. Le problème de la faim dans le monde pourrait être
résolu en dix ans », déclare-t-il.
En plus des enquêteurs, une équipe
de chercheurs amateurs volontaires a suivi l'affaire Burisch et a reçu
une quantité considérable d'informations directement de la
source. Leur forum, sur le site http://www.godlikeproductions.com a récemment
été victime de faux messages qui ont empêché
les bons d'être reçus.
Spéculations à propos du travail du Dr Burisch
Dschaak pense que la raison pour laquelle le Dr
Burisch est protégé contre toute tentative d'assassinat,
malgré ses révélations passées et à
venir (qui causent habituellement la mort de celui qui les fait), c'est
qu'il travaille sur des technologies qu'il est le seul à pouvoir
développer. Le Dr Burisch veut s'assurer que celles-ci seront utilisées
à des fins pacifiques et non pour continuer l'oppression. Le projet
(«projet Lotus») concerne une «particule Ganesh»
qui peut guérir efficacement les cellules et les tissus endommagés
; il s'agit en quelque sorte d'une «fontaine de jouvence».
Allan imagine que si elle le peut, l'élite,
qui a des desseins plus sombres (avec des groupes d'extraterrestres), s'inoculerait
la particule de vie et éradiquerait des milliards d'humains non
immunisés contre la maladie mortelle. Selon Dschaak, « le
Dr Burisch a jusqu'au 15 mars 2005 pour présenter, à ceux
qui le détiennent, des notes écrites qui décrivent
en détails sa technologie. Ceux-ci rendront alors leur rapport à
un groupe de l'ombre qui entretient des liens supposés avec une
faction malveillante d'extraterrestres. » Les personnes qui retiennent
le Dr Burisch sont d'anciens membres du « comité de la Majorité
» que Dan surnomme «Maji».
Par conséquent, ainsi que Allan et Dschaak l'ont expliqué au collaborateur du sénateur Hatch, le laps de temps pendant lequel le Dr Burisch pourra comparaître sera bref. Beaucoup de ceux qui se sont intéressés au secret de l'histoire des extraterrestres savent que le temps est compté si les révélations ne sont pas faites. Le Dr Gréer compare cela au décollage d'un avion : « vous atteignez un point où soit vous vous envolez, soit vous vous écrasez sur la piste. »
Le Dr Burisch a déjà fait de nombreuses révélations. Des interviews filmées sont disponibles, comme l'interview de 68 minutes accordée à Bill Hamilton le 18 septembre 2002. Une autre interview filmée, plus professionnelle, réalisée par un ancien cameraman des informations de la chaîne Fox va bientôt être diffusée.
Mais il y a des révélations que le Dr Burisch ne veut pas faire avant d'avoir l'immunité. Il pense pouvoir justifier sa participation à ces projets mais craint que d'autres s'empressent de le juger et de l'accuser de crimes de guerre. Jusqu'à ce qu'il soit protégé de ces accusations, il ne souhaite pas révéler certains des faits dont il a connaissance. De plus, il veut respecter le serment qu'il a prêté ; une comparution lui donnerait une protection juridique pour parler librement, ainsi qu'il l'a toujours souhaité.
Il n'est pas préoccupé par la mort. Dschaak a vu le Dr Burisch affronter l'idée d'une mort prématurée il y a longtemps ; il est en paix avec lui-même. Nous avons déjà une mine d'informations avec les témoignages qu'il a fait. Il souhaite apparemment avoir la possibilité de confier l'ensemble de ses connaissances.Q
Remerciements :
La majorité des informations de cette publication ont été obtenues à la X-Conference tenue à Washington les 17-18 avril2004 et organisée par Stephen Bassett.
Voir le site Internet http://www.paradigmclock.com
également : http://www.aliendave.com/index.html
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Sujet: Re: La Zone 51 ou "Dreamland"
Mer 24 Oct 2007, 15:26
Un biologiste ayant travaillé à
l'Area 51 va témoigner?Le Dr Dan Burish ,
un microbiologiste de pointe qui affirme avoir
été employé dans le
cadre de “black project” (projets scientifiques
occultes) à l'Aire 51
va peut être bénéficié
d'une immunité parlementaire afin de pouvoir
révéler au Sénat et au grand
public ce qui se passe vraiment dans les
sinistres laboratoires de Dreamland. Burich tout
en restant dans le
vague avait déjà évoqué
dans la revue australienne Nexus certains
aspects de ses travaux top secrets à l'Aire
51, des travaux dont la
teneur fait froid dans le dos puisqu'il s'agit
ni plus ni moins de la
mise au point de virus fabriqués génétiquement
à l'aide de matériel
viral récolté sur le corps d'un
E.B.E, une entité biologique
extraterrestre. Burich affirme en outre, à
l'instar de William Cooper
qu'un “groupement humain international, raciste
et élitiste très
puissant” du genre Majestic 12 a bel et bien
signé un traité appelé
"Tau-IX" avec “des groupements extraterrestres”.
C'est le 22 avril
dernier que le Dr Burisch a publiquement fait
savoir qu'il était
d'accord de témoigner devant une commission
parlementaire qui lui
accorderait l'immunité. Le 19 avril, soit
trois jours auparavant,
l'affaire Burrish était présentée
à plusieurs membres du Sénat, des
sénateurs de l'Idaho, de l'Utah et du
Nevada ainsi que le sénateur Orin
Hatch , président de la commission d'enquête
du sénat
en matière judiciaire. On attend les réactions
officielles des
parlementaires… Karmapolis suivra ce dossier
de près et vous livrera
dans quelques semaines une traduction de l'une
des “confessions” du Dr
Dan Burisch.
source karmapolis.be
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A lire avec modération...!!!:
"Développé sur financement de la Direction des missiles et de l'espace de la Délégation générale pour l'armement, le réseau Graves s'appuie sur une architecture radar bistatique a balayage électronique. Les premiers essais du système prévu pour être opérationnel au début des années 2000 se sont déroulé en décembre 2004 après de nombreux retards. Il s'agissait de vérifier la capacité de ces outils à établir un catalogue d'éléments orbitaux à partir du traitement des mesures angulaires et de vitesse radiale collectées par le radar a partir d'un signal émis d'un site implanté au Nord de l'aérodrome de Broyes Aubigney Montseugny (70140) à 30 km à l'Est de Dijon, et dont la réception s'effectue sur l'ancienne ZL 26 du plateau d'Albion.
Destiné a détecter en moins de 24 heures les satellites d'orbite circulaire dont l'altitude sera comprise entre 250 km et 1.000 km, le réseau Graves est conçu, précise-t-on a l'Onera, autour d'un certain nombre de compromis, Positionné en France métropolitaine, il verra par exemple ses capacités de détection limitées vis a vis d'objets gravitant sur des orbites faiblement inclinées sur l'équateur. Mais l'on fait observer que ces dernières sont assez peu utilisées et que dans tous les cas le radar Graves sera en mesure de poursuivre 60 % des satellites. A titre indicatif une portée en altitude de 2000 kilomètres aurait permis d'élargir a 85 % le potentiel de détection du réseau Graves, mais un tel choix aurait conduit a l'installation d'émetteurs seize fois plus puissants.
Graves en revanche aura une très grande promptitude de détection. La détermination d'orbite s'effectuera des le premier passage du satellite. Quant a la zone de surveillance, elle aura la forme d'une couronne conique dont le site sera compris entre 10 degré et 30 degré, et sera couverte par un ensemble de huit faisceaux de 20 degré d'ouverture en site et 8 degré en gisement. Chaque faisceau balaye de façon continue a une vitesse parfaitement ajustée un secteur de 45 degré en azimut.
S'agissant du réseau de réception, il est constitue d'une couronne sur laquelle sont implantées 200 antennes élémentaires. Omnidirectionnelles en gisement, chacune de ces antennes peut assurer un recueil de signal en site de 10 a 50 degrés. Les satellites ne pouvant en fait être différencies que par leur position angulaire, leur vitesse radiale et plus particulièrement leur accélération, le radar Graves, précise-t-on a la direction de programme, nécessitera de colossaux moyens de calcul pour traiter l'important volume d'informations que nécessite la surveillance spatiale".................
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Voilà donc une chose qui dérange
"énormément" la zététique...!!
Le radar "Graves" est trés efficace pour
"détecter" tout ovni....
L'hallucination devient alors, "mesurable" et
"enregistrable"...C'est trés,trés ennuyeux...!!!