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"Visages" et autres mystères de Mars
Jean Sider
Il n’y a des preuves au-delà du doute le plus raisonnable,
qui montrent que des structures non
naturelles existent
bien sur Mars dans la région
baptisée Cydonia.
Thomas van Flandern, astronome, avril
1998, in UFO,
vol. 15, n°8, 2000, Etats-Unis, pp. 32-33.
Introduction
Je pense que tous les lecteurs
connaissent plus ou moins l’affaire relative au « Visage »
qui a
été localisé
sur le secteur martien Cydonia. Il a été photographié
la première fois en 1976 par la
onde américaine Viking 1,
à partir de 1.873 kilomètres d’altitude au-dessus de la planète
rouge.
J’ai longtemps été
sceptique sur cette curiosité, mais depuis que j’ai obtenu divers
éléments
émanant de scientifiques
qualifiés, j’ai décidé de mettre ma réticence
aux oubiettes et de
revoir cette affaire avec un autre
état d’esprit. D’autant qu’en plus, une information nouvelle est
parvenue à ma connaissance
qui, si elle est authentique, devrait relancer un sujet qui mérite
amplement le détour.
C’est Tobias Owen, membre de
l’équipe du JPL (Jet Propulsion Laboratory, excroissance de
l’agence spatiale américaine)
chargée du traitement de l’image qui a découvert le Visage
sur le
cliché 35 A 72 pris par Viking
1. Il a été baptisé « Sphinx martien »
par certaines personnes, dont
des ufologues, et plus simplement
le « Visage » par d’autres. Selon la NASA, il s’agit d’une
anomalie naturelle essentiellement
due à une géologie spécifique et des jeux d’ombres
créés par la
lumière solaire rasante.
Curieusement, l’agence spatiale américaine a prétendu que
ce supposé
faciès humain était
né dans l’esprit de certaines personnes, en se basant sur une seconde
photo
prise dans des conditions différentes
d’éclairage, mais qui ne figurait pas dans les listes des clichés
mis à la disposition du public.
(UFO magazine, Etats-Unis, vol. 15, n°2, 2000, p. 36). Ce c’est
qu’un peu plus tard qu’elle fera
surface, comme on le verra un peu plus loin.
La controverse qui allait naître
par la suite devait alimenter les pages de certaines revues
spécialisées pendant
un quart de siècle, et elle se poursuit encore en 2002, notamment
sur des sites
Internet.
Vingt-deux ans après
Viking 1, le 5 avril 1998 très exactement, la sonde
Mars Global Surveyor, à une
altitude de 444 km du sol martien, prenait de nouvelles vues de cette
surprenante formation rocheuse.
Quelque temps après, un nouveau cliché du Visage de Cydonia
était diffusé à
la presse par la NASA. Il ne possède pas les caractéristiques
du premier pris par Viking
1. On n’y distingue plus les traits
d’un véritable visage mais uniquement une géologie tourmentée
qui
peut éventuellement évoquer
vaguement une tête humaine déformée. Or, selon
le Dr. Bob
Hieronimus, cette nouvelle photo
est le résultat d’un trucage car elle a été retouchée.
A l’en
croire, les spécialistes
du JPL, y ont fait disparaître les principaux éléments
pouvant identifier une
tête humaine.
Une exploration laborieuse
Depuis que l’exploration de
Mars a commencé il y a quarante ans, 32 sondes y ont été
envoyées par les Américains
et les Russes, ainsi que les Japonais qui en ont aussi expédié
une.
Sur ce nombre il y a eu 21 échecs
et 11 réussites, ce qui ne manque pas de surprendre. (UFO
Magazine, Vol. 15, n°2, 2000,
Etats-Unis, p. 17, article de Vicki Ecker « Showdown with the
Martian Menace »).
Certains chercheurs très
engagés sont allés jusqu’à soutenir que quelques succès
avaient été
transformés en ratages afin
d’éviter d’avoir à révéler au public des données
extraordinaires
gênantes pour l’establishment.
D’autres ont carrément attribué la responsabilité
de plusieurs de ces
fiascos aux équipages d’ovnis
La première opinion
est peu probable d’autant qu’il n’existe aucune preuve formelle pour
l’étayer. La seconde est
vraisemblablement fantaisiste, et provient probablement dees
paranoïaques de l’ufologie
américaine. Elle se base surtout sur un fait étrange qui
serait survenu
lors de la mission attribuée
à Phobos 2 en 1988. Juste avant de cesser d’émettre des images,
les
contrôleurs de Baïnokour
ont observé sur leurs écrans quelque chose d’anormal.. Graham
Hancock prétend à
ce propos:
«Sur la dernière
image transmise à la Terre, une curieuse ombre elliptique, en forme
de
cigare, longue de plusieurs kilomètres,
se dessinait sur le sol de Mars. (Graham Hancock, op.
cit., p. 95).
Rien ne dit que cette ombre
appartenait à un vaisseau extraterrestre, ni qu’elle est responsable
de
la supposée destruction du
satellite russe. Il pourrait s’agir d’une interférence fortuite
ayant créé un
dysfonctionnement. Toutefois, si
ce fait est authentique, il peut s’interpréter de plusieurs façons.
Il
pourrait par exemple s’agir d’un
leurre, un de plus, jeté en pâture aux Russes par l’intelligence
supérieure qui génère
les ovnis pour leur faire croire que des Extraterrestres surveillent nos
activités spatiales au point
de les perturber.
Effectivement cette intelligence
n’a nul besoin d’être dans l’espace pour ce faire, et encore moins
sur Mars. Comme elle est inorganique
--c’est du moins ce que je le suppose --il lui suffit d’être
présente dans le centre de
contrôle qui guide les sondes. Ou, pour être plus précis,
elle peut
pénétrer les appareils
qui restituent les images spatiales pour exercer sa manipulation. N’oublions
pas que cette intelligence est experte
dans l’art de tromper. Si elle est capable de laisser des leurres
sur pellicules photographiques et
les écrans des radars, elle peut en laisser sur des écrans
d’un
centre de contrôle spatial.
Dans un autre registre, on sait qu’elle peut aussi faire apparaître
des
images de personnes décédées
et des paysages très réalistes sur des écrans de télévision.
Il n’est
que de lire le premier livre de
Jean-Michel Grandsire et sa revue Parasciences &
Transcommunication pour s’en convaincre.
(Jean-Michel Grandsire, Contact: Guide pratique
de transcommunication, Editions
JMG, Parasciences hors-série, 1993, pp. 197-223. Adresse: 8
rue de la Mare, Agnières,
80290, Poix de Picardie).
Etant donné que cette
intelligence inconnue possède très probablement une nature
fluidique-énergétique,
et des pouvoirs puissants sur les particules élémentaires,
rien n’est plus facile
pour elle se réaliser une
telle performance.
Suspicions sur la NASA
Le gros problème auquel
nous sommes confrontés est le degré de crédibilité
que l’on peut
accorder à tout ce qui concerne
les communiqués de la NASA, tout comme des autres agences
étatiques américaines
d’ailleurs. Chose importante que je prouverai bientôt dans ce texte,
la NASA
est tenue de ne pas divulguer des
photos et des informations pouvant s’opposer à la politique de
désinformation de l’establishment.
Ceci concerne tout ce qui peut contrarier les dogmes
scientifiques, philosophiques, et
religieux en place. Dans le domaine spatial, c’est surtout valable
pour tout ce qui peut se rapporter
à l’existence d’une intelligence supérieure étrangère
à
l’humanité. En conséquence,
il n’y aurait donc rien d’étonnant au fait que la NASA aurait plus
ou
moins trafiqué les photos
mises à la disposition du public. C’est d’ailleurs ce que prétendent
de
nombreux chercheurs comme John Brandenburg,
Mark Carlotto, David Childress, Vincent
DiPietro, Richard Hoagland, Gregory
Molenaar, etc., tous des scientifiques, ainsi que l’auteur
bien connu Graham Hancock.
Déjà, en janvier
1953, le Robertson Panel, sous les auspices de la CIA, avait recommandé
à
l’USAF (imposé serait plus
juste) un « programme éducatif du public » en manière
d’ovnis. A
l’époque ces phénomènes
étaient associés par les masses à une intelligence
extraterrestre, même si
officiellement les autorités
laissaient croire le contraire. Dans leur rapport, les scientifiques de
cette
commission ont écrit ceci:
«Les efforts conjugués
de toutes les agences concernées conduisent à ce que le programme
devra avoir deux buts: l’éducation
et le debunking (démolition) [...]. Le but du debunking
devrait déboucher sur une
réduction de l’intérêt du public pour les soucoupes
volantes car elles
suscitent une forte réaction
psychologique. L’éducation pourrait être réalisée
par les médias
tels que la télévision,
le cinéma, et les articles populaires. La base d’une pareille éducation
serait de dire que si les observations
les plus marquantes étaient insolites de prime abord, elles
ont parfaitement été
expliquées par la suite. Comme dans le cas des tours de prestidigitation,
on
se pose beaucoup moins de questions
si le “secret” est connu [...] Les agences nationales de
sécurité devront prendre
des mesures immédiates pour ôter aux objets volants non identifiés
le
statut spécial qui leur a
été donné, et faire disparaître l’aura de mystère
qu’ils ont
malheureusement acquis ».
(Michael Hesemann, UFOs, The Secret History, Marlowe &
Company, New York, 1998, p. 75).
Graham Hancock, pour sa part,
a extrait cette phrase issue de ce même rapport:
« En ces temps de péril,
l’intérêt soutenu qui s’attache à la divulgation de
ces phénomènes
constitue une menace pour le bon
fonctionnement des organismes de protection du corps
politique » (Graham Hancock,
op. cit., p. 149).
La raison invoquée paraît
ridicule de nos jours, mais il y a cinquante ans nous étions en
pleine
guerre froide, ne l’oublions pas,
et les mentalités paranoïdes foisonnaient.
Le même auteur précise
que pour certains chercheurs, notamment les partisans inconditionnels
du complot, cette politique a été
décidée dès que les « soucoupes » ont
commencé à défrayer la
chronique. Ils n’ont pas tort. En
effet, j’ai démontré dans mon premier livre
que c’est exactement ce qui s’était
passé à la fin de juillet 1947 avec la création du
National Security
Council, et la mise du pied d’une
nouvelle structure de services de sécurité. (Jean Sider,
Ultra Top
Secret: ces ovnis qui font peur,
Axis Mundi, Paris, 1990.
Sur ce dernier point, Michael
Hesemann affirme que M. Albert Chop, chargé des relations
publiques avec la presse pour le
Pentagone à l’époque, devait avouer plus tard: « Nous
avions
reçu pour instructions d’œuvrer
pour une campagne nationale de debunking, qui a consisté à
publier des articles dans les journaux
et donner des interviews. À chaque fois, les rapports
d’observation d’ovnis étaient
ridiculisés » (Michael Hesemann, op. cit., pp. 74-75).
Le debunking de la NASA
Cette politique a ensuite été
appliquée en 1958 lorsque l’exploration spatiale a pris son essor.
Une étude a été
sponsorisée par la NASA par l’entremise de l’Institut Brookins.
Il s’agissait de
définir le comportement que
cette agence devait adopter à propos des informations à livrer
à la
presse concernant les découvertes
éventuelles des missions. Effectivement les dirigeants de la
NASA, probablement à
l’initiative du Pentagone, se sont
inquiétés des possibles effets causés par de possibles
contacts
avec des cultures extraterrestres.
Ce rapport, connu comme étant le House Report n°242, avec
pour titre Proposed Studies on the
Implication of Peaceful Space Activities for Human Affairs,
a été publié
par le Congrès américain en 1961. Il a été
exhumé de l’oubli par M. Stanley
MacDaniel qui l’a fait connaître
dans une brochure de son cru. Parmi les recommandations faites
figure celle suggérant que
l’on ne révèle pas au public les découvertes d’artefacts
extraterrestres
sur les planètes et satellites
explorés. Cette censure, car il s’agit bien d’une censure, était
justifiée
par la phrase suivante, page 79:
« Les dossiers collectés
en anthropologie contiennent de nombreux exemples de sociétés
bien
établies dans leur milieu,
qui ont été détruites lorsqu’elles ont été
contactées par d’autres
sociétés avec lesquelles
elles n’étaient pas familiarisées avant, et qui avaient des
idées et une
façon de vivre différentes.
Celles qui ont survécu à une telle expérience ont
dû payer chèrement
le prix des changements de leurs
valeurs, attitudes et comportements ». (Michael Hesemann, op.
cit., p. 481)..
Autrement dit, l’Institut Brookins
redoutait une menace culturelle. En fait, elle ne faisait que
suivre la politique du Pentagone
commencée avec l’instauration du secret sur les ovnis. Je
rappellerai que Gildas Bourdais
et moi-même nous avons publié dans nos divers ouvrages
respectifs, de nombreux documents
et informations prouvant que le secret sur les ovnis existe bel
et bien. Ceux qui prétendent
le contraire ne sont pas de vrais chercheurs. Ce sont uniquement des
gens qui ont le défaut d’agir
par esprit de contradiction, ou qui ont choisi de faire le jeu de
l’establishment.
Je reviendrai sur le rapport
de M. Stanley MacDaniel par ailleurs.
D’autre part, il existe une
preuve officielle montrant que la NASA n’a pas ce profil honnête
que
ses dirigeants affirment aux médias
quand elle est questionnée par le presse sur les données
collectées par ses sondes
martiennes. En effet, dans un autre domaine que celui qui nous intéresse
ici, elle a été prise
en flagrant délit de dissimulation de l’information par un membre
du Congrès
américain. Il s’agit du Représentant
du Michigan Howard Wolpe qui a révélé il y a
plusieurs
années que des enquêteurs
du Congrès avaient fait un constat ahurissant. En conduisant des
investigations sur un programme
de réacteur nucléaire spatial SP-100 dirigé par la
NASA, ils ont
découvert deux pages d’instructions
expliquant comment il était possible de contourner le
Freedom of Information Act. Cette
loi sur la liberté de l’information oblige, en théorie, à
divulguer tout document ne mettant
pas en cause à sécurité nationale à n’importe
quel demandeur.
Ces pages conseillaient de réécrire
ou de détruire les documents réclamés, ou encore de
les
mélanger et de caviarder
certains de leurs termes.(UFO Magazine, Vol.15, n°2, 2000, USA, p.
30.).
De plus, dans le deuxième
livre du chercheur Steven Greer, figure le témoignage de Mme Dona
Hare. C’est une ancienne employée
d’une firme sous-traitante de la NASA. Durant les années
1970 et 1971, elle a travaillé
dans l’immeuble n° 8 de l’agence spatiale pour le compte de la société
Philco Ford, qui avait un contrat
avec l’agence spatiale.
Un jour, elle est entrée
dans le laboratoire de l’immeuble, car elle avait accès à
la classification
top secret. Il s’agissait d’un laboratoire
équipé pour développer les photos et les films réalisés
par
les missions spatiales de la NASA.
Le responsable de ce service était aussi chargé de «
lessiver »
les photos qui devaient être
mises à la disposition du public. Par « lessiver »,
il faut comprendre le
travail suivant: faire disparaître
des photos tout ce que le public ne devait pas voir. Parmi les
choses qui devaient être «
lessivées », il y avait des ovnis.
Mme Dona Hare prétend
également avoir pu bavarder avec un homme qui faisait partie d’une
équipe chargée de
mettre les astronautes en « quarantaine », après chaque
mission. Selon les
confidences qu’il lui aurait faites,
certains de ces pionniers de l’espace ont signalé avoir vu des
ovnis suivre leur capsule en orbite
terrestre. De plus, l’un des équipages s’étant posés
sur la Lune
aurait vu trois ovnis sur le sol
de notre satellite. Ceux qui auraient été témoins
de ces faits auraient
été incités
à ne pas parler de ce qu’ils avaient vu et ont dû même
signer des déclarations certifiant
qu’ils s’engageaient à ne
pas les divulguer en public. (Steven Greer, Disclosure, Crossing Point
Inc., Crozet, VA, 2001, pp. 419-420).
Mark Carlotto, informaticien
spécialisé dans les techniques numériques de l’image,
a pu lui
aussi constater que les analyses
de la NASA de certaines de ses photos étaient très sujettes
à
caution. Il a également déclaré
ceci:
« Au lieu de répondre
positivement aux chercheurs qui lui ont demandé de refaire des clichés
plus performants du Visage, la NASA
a eu un comportement négatif. Elle s’est moquée de la
controverse sur cette anomalie et
elle continue à adopter une attitude malhonnête envers les
chercheurs privés »
(UFO magazine, Vol. 16, n°1, 2001, USA, p. 42, article du Dr. Bob
Hieronimus et son épouse
Zoh « Did JPL Deliberately Tamper with Evidence of a civilization
on Mars ? ».).
De nombreux chercheurs sont
persuadés que la NASA possède un programme secret sur Mars
et
que sa politique est motivée
par des intentions autres que le désir de faire avancer nos
connaissances scientifiques. C’est
surtout notable à travers ses comportements qui seront cités
ci-dessous.
Priorité au debunking
Le Visage maintenant bien connu
du secteur Cydonia fait environ 1,5 km de large. Il couvre
sur la photo originale 64 x 64 pixels.
Chaque pixel représente une surface de 47,70m x 47,20m.
Tout objet de taille inférieure
y est invisible. Cependant il existe des techniques numériques
du traitement des images très
sophistiquées qui permettent de reconstituer ce qui ne se distingue
pas au premier abord à l’œil
nu parce que les pixels contiennent des clés qui autorisent cette
performance. Des chercheurs possédant
le matériel adéquat ce sont alors employés à
« décoder » les
pixels. Le tandem DiPietro/Molenaar s’y est employé tout comme
Mark
Carlotto et bien d’autres. Pour
plus de détails techniques sur cette question, je recommande le
livre de Graham Hancock Le Mystère
de Mars, aux éditions du Rocher, sorti en 2000.
Or, en 1976, le porte-parole
de la NASA avait prétendu qu’il existait un autre cliché
du Visage
pris par Viking 1. A l’entendre
ce second document qui aurait été réalisé «
quelques heures
après » le cliché
35 A 72 sous un éclairage différent, prouvait que le Visage
« disparaissait ».
Bien entendu DiPietro et Molenaar
ont voulu y avoir accès. En fait, après une recherche
approfondie ils ont découvert
que cette photo ne figurait pas dans la liste officielle des clichés
enregistrés par la NASA,
comme si elle n’existait pas. De plus, l’expression « quelques heures
après » correspond
à la nuit totale sur le secteur Cydonia. Qui plus est, la sonde
orbitale se
trouvait à survoler une autre
région (Graham Hancock, op. cit., p. 100; et UFO Magazine, Vol.
15, n°2, op. cit., p. 38, 2000,
USA, article de Robert T. Leach « Taking Sides in the
Face Controversy »).
Cependant, quelques années
plus tard, Vincent DiPietro, ingénieur au Goddard Space Flight
Center (qui dépend de la
NASA), a réussi à retrouver cette deuxième photo du
site Cydonia que
l’on avait « oublié
» de mettre à la disposition du public. Il s’agit du cliché
70 A 13. Or,
contrairement à ce qu’avait
affirmé la NASA en 1976, ce cliché ne démontre en
aucune façon que
le Visage est une illusion d’optique
due à un jeu d’ombres et de lumière. Bien au contraire il
accrédite l’éventualité
d’une structure artificielle. De plus, il a été pris 35 jours
après le premier (et
non « quelques heures après
») avec la lumière solaire se situant à un angle différent.
En effet, le
premier nombre identifiant chaque
photo de Viking 1 indique le nombre d’orbites martiennes
faites, (ou de jours passés
en orbite martienne) au moment où le cliché est réalisé,
soit 70 - 35 =
35. Autrement dit, dans des conditions
différentes d’éclairage, cette autre photo montre le même
graphisme en forme de Visage (UFO
Magazine, Vol. 15, n°2, op. cit., 2000, p 36.).
On peut résumer cette
situation ainsi: dans son désir de démystifier le Visage,
la NASA a allégué
une photo qui a été
soustraite à la vérification publique. De même, elle
a sciemment donné de
fausses informations sur ce document.
Bref, elle a menti délibérément ce qui, dans notre
vocabulaire, s’appelle de la désinformation:
Richard Hoagland a examiné
environ 25.000 images de la planète rouge transmises par Mars
Global Surveyor. (sur les 67.000
réalisées). Il affirme dans une analyse de ces documents
être
absolument convaincu que de nombreuses
régions martiennes contiennent des structures dont
certaines semblent artificielles.
Il dit la même chose pour la Lune et Titan (un des satellites de
Saturne), mais ceci est une autre
histoire.
Au début de 2000, deux
pétitions réunissant plus de 3.000 signatures ont été
envoyées à la
NASA par l’association FACETS (Formal
Action Committee for Extra-Terrestrial Studies) pour
demander à l’agence de refaire
des clichés du Visage. Le JPL--Jet Propulsion Laboratory, je le
rappelle--qui supervise Mars Global
Surveyor, bien qu’ayant déclaré qu’il annoncerait à
l’avance
toute initiative de ce genre, ne
s’est toujours pas manifesté deux ans plus tard. (UFO Magazine,
Vol. 15, n°9, Etats-Unis, 2000,
p. 22, article de Peter Gersten « Incontrovertible Evidence of a
High Intelligence »).
Pourtant, Mars Global Surveyor
passe au-dessus de Cydonia toutes les six semaines ce qui ne
devrait pourtant pas poser de gros
problèmes au JPL.
(UFO magazine, vol. 15, n°8,
2000, USA, p. 32, article de Peter Gersten « FACETS: A new Player
in our 3-D Right to Know Game).
Ce qui veut dire que la NASA
persiste et signe dans sa politique de dissimulation à l’égard
du
public sur ses découvertes
martiennes.
Le debunking de Carl Sagan
Feu Carl Sagan aura été
un astrophysicien américain dont la célébrité
a largement dépassé les
frontières de son pays. Elle
est essentiellement due à son rôle de scientifique pourfendeur
des
phénomènes ovnis.
Il a participé à de nombreuses émissions télévisées
ponctuelles comme
Tonight Show, Forty-Eight Hours,
Nova, etc.. Il a aussi publié de nombreux articles de
debunking, comme on dit chez l’oncle
Sam, dont certains dans la revue Parade qui est lue par
quatre-vingts millions de lecteurs.
(Stanton T. Friedman, Top Secret/Majic, Marlowe &
Company, New York, 1996, p. 137).
Chose curieuse son comportement
aura été ambivalent. En effet, il pensait que l’humanité
n’était
pas seule dans l’univers et que
la recherche scientifique sur la vie extraterrestre devait être
considérée presque
comme une tâche sacrée (Brenda Denzler, The Lure of the Edge,
University
California Press, Los Angeles, CA,
2001, p. 75). D’ailleurs c’était l’un des partisans les plus
acharnés du programme SETI
censé rechercher la présence de vie intelligente dans l’univers
à
l’aide de plusieurs radiotélescopes.
D’ailleurs, dans les conclusions
du rapport de l’Institut Brookins évoquées plus tôt
dans mon
texte, il est fait mention d’une
citation de Sagan qui avait contribué au début de sa notoriété.
Il est
en effet l’auteur de la réflexion
suivante:
« Il est possible que
des créatures extraterrestres nous aient rendu visite dès
l’aube des
civilisations » (Raymond Fowler,
UFOs: Interplanetary Visitors, Bantam Book, New York,
1979, p. 299). En fait, cette phrase
se trouve imprimée initialement dans le House Report n°242,
lequel a été édité
par le Congrès américain en 1961, comme déjà
dit.
En réalité, Carl
Sagan restera dans la mémoire des chercheurs comme ayant surtout
été un
debunker grand pourfendeur d’ovnis.
Il aura été pour les Etats-Unis, ce qu’ont été
les
astrophysiciens Evry Schatzman et
Jean Heidmann pour la France. Du reste, dès 1966 on le voit
graviter dans les sphères
officielles chargées du debunking. Par exemple, il a fait partie
du Comité
O’Brien, bureau de consultants pour
l’Armée de l’air américaine, chargé d’évaluer
le programme
Blue Book. Ce travail devait déboucher
sur la Commission Condon en 1968, qui devait sonner
le glas du Blue Book. (Patrick Huygues,
Swamp Gas Times, Paraview Press, New York, 2001, p.
270).
Or, il se trouve qu’en 1985,
Carl Sagan publiait un article dans le magazine Parade visant à
démystifier le Visage de
Cydonia. A l’appui de son texte, il présentait la version truquée
d’un
cliché de Viking 1 sur lequel
de fausses couleurs donnaient l’impression qu’il n’y avait pas de
visage à voir. Ma source
précise d’ailleurs ceci:
« Si la NASA est tellement
sûre que le Visage n’est qu’une illusion ou une aberration de la
nature, pourquoi recourt-elle à
des moyens frauduleux afin d’en convaincre le public ? Le
trucage du cliché 70 A 13
qui illustrait l’article de Parade (on avait superposé à
l’image un
filtre coloré afin d’obscurcir
les détails qui risquaient de corroborer le contenu du cliché
35 A
72) est un acte non seulement anti-scientifique,
mais aussi barbare. Il est impossible de
défendre Sagan en affirmant
que cette image lui avait été fournie par la NASA, car Richard
Hoagland lui en avait montré
l’original avant la parution du papier. Sagan n’était donc pas
sans savoir que le 70 A 13 confirmait
le 35 A 72 » (Graham Hancock, Le mystère de Mars, le
Rocher, 2000, p. 155).
Cela ne vous rappelle-t-il
pas quelque chose ? Mais oui bien sûr, le Pentagone a agi de même
dans l’affaire de Roswell. Il a
publié un rapport voulant démystifier le fameux crash d’ovni
à
partir d’un ballon expérimental
du programme Mogul, et des mannequins largués pour tester des
parachutes afin d’expliquer les
cadavres des « ufonautes ».
Kevin Randle reproche à
Carl Sagan d’avoir dit, à propos des ovnis: « Ou est la preuve
? Où se
trouve la preuve physique ? »
(Kevin Randle, Project Moondust, Avon Book, New York, 1998, p.
242).
Il se pourrait bien qu’elle
se trouve sur Mars, mais encore faut-il savoir ce que l’on veut trouver
comme preuve en pareille circonstance.
En effet, des traces de structures artificielles très
anciennes sur Mars seraient certainement
les preuves d’une civilisation extraterrestre, mais ayant
disparu dans une catastrophe de
très grande ampleur. Elles ne seraient certainement pas des
preuves directes de l’existence
des ovnis.
Le rapport MacDaniel
M. Stanley MacDaniel est professeur
émérite et ancien directeur du département philosophie
à l’université de
Sonoma, Californie. En 1987 il commence à s’intéresser de
près à cette
affaire. C’est en 1993 qu’il publie
un rapport dans lequel il dénonce le comportement de la
NASA. Voici d’abord deux phrases
qui apparaissent dans sa préface à propos des photos de
Mars et leur analyse par la NASA:
« Chaque fois que j’ai
étudié un document de la NASA, j’ai été horrifié
par la qualité
incroyablement mauvaise du raisonnement
utilisé. J’avais de plus en plus de mal à croire que
des scientifiques ont pu concevoir
des raisonnements aussi défectueux, à moins qu’ils aient
suivi une sorte de programme secret
visant à détruire la vraie nature des données »
(Graham
Hancock, op. cit., p. 94, qui cite
Stanley MacDaniel, The McDaniel Report, North Atlantic
Books, Berkeley, CA, 1993, p. XVI).
Maintenant, voilà ce
qui est dit dans le corps du rapport MacDaniel, résumé à
quelques
paragraphes qui expliquent clairement
le comportement de la NASA:
« A propos du rapport
rédigé par l’Institut Brookins pour le compte de la NASA
[...] ce
document admet la possibilité
que des artefacts laissés à certaines époques dans
un lointain
passé par des formes de vie
intelligentes pourraient être découverts lors de nos activités
spatiales sur la Lune, Mars ou Vénus.
Au lieu de mettre l’accent sur la nécessité de faire tout
pour découvrir de tels éléments,
le rapport note que notre société pourrait être “désintégrée”,
ou “survivre seulement après
avoir payé chèrement le prix des changements de toutes sortes”.
Parmi les dangers qui seraient susceptibles
de survenir, selon le rapport, figurent les
changements de direction politique
et même le risque d’une révolution.
« Le degré de
répercussion politique ou sociale reposerait sur l’interprétation
des dirigeants
de leurs propres rôles, des
menaces sur leur avenir politique, et les occasions nationales et
personnelles de tirer parti des
modifications négatives ou positives intervenues chez autrui.
«Les réactions
incluent celles des groupes d’influence sur la politique, les mouvements
religieux fondamentalistes, les
sectes anti-scientifiques, et les bouddhistes[...] Le rapport
considère les réactions
potentielles de tels groupes comme représentant un facteur inconnu
qui
devrait être pris en compte
afin de mesurer les possibles conséquences sociales que leurs
actions produiraient si l’existence
d’une intelligence extraterrestre était annoncée.
« Plus significatif encore,
le rapport indique que le plus grand secteur d’inquiétude pouvait
être un impact sur les scientifiques
eux-mêmes. Il émet la possibilité pour que de tous
les
groupes, les scientifiques et les
ingénieurs pussent être les plus accablés par la découverte
de
créatures relativement supérieures.
Enfin, ces professions sont d’évidence les plus concernées
avec
la maîtrise de la nature,
plutôt qu’avec l’intelligence et la façon de penser du genre
humain; une
intelligence avancée pourrait
au minimum vicier toutes nos théories, ou encore posséder
une
culture et peut-être un intellect
inaccessible à nos scientifiques.
« Le rapport indique
qu’une telle perspective peut causer des bouleversements sociaux
majeurs, et un choc psychologique
qui peut affecter certains scientifiques, incluant d’éventuelles
attaques d’institutions ou d’hommes
de science par des groupes fondamentalistes et
anti-scientifiques. Il avance aussi
la possibilité pour que les scientifiques et autres responsables
puissent intervenir dans la divulgation
des informations concernant une intelligence
extraterrestre, et même de
leur permettre d’aller jusqu’à les supprimer[...]
« On suppose que les
réticences continuelles de la NASA à vouloir donner la priorité
à refaire
des photos du site Cydonia sur Mars
peuvent être influencées par les suggestions contenues dans
ce rapport ». (Stanley
MacDaniel & Monica Rix Paxson, The Case for the Face, Adventures
Unlimited Press, Kempton, IL, 1998,
pp. 207-208)..
Il y a aussi cette ahurissante
priorité qui est donnée à M. Michael Malin, le concepteur
et
l’opérateur des caméras
installées sur les sondes martiennes. Allergique à tout ce
qui pourrait
prouver une vie intelligente passée
sur la planète rouge, il a le pouvoir de choisir les sites
à
photographier. Mais cela va encore
plus loin, comme l’affirme Graham Hancock, jugez-en:
« Michael Malin [...]
jouit en outre d’un étrange privilège juridique: une période
“probatoire” se six mois, pendant
laquelle il a le droit de visionner les images avant qu’elles ne
soient divulguées auprès
du grand public » (Graham Handcock, op. cit., p. 94, qui cite The
MacDaniel Report, p.XVI.).
S’il y a encore des gens pour
croire encore que la NASA ne nous cache rien sur ses missions
spatiales, cela veut dire qu’ils
sont dans le camp des debunkers. Quand je dis cela, je ne veux pas
dire que le Visage de Cydonia est
une sculpture réalisée par des Extraterrestres. Je veux seulement
démontrer qu’on ne peut,
en aucun cas, accorder du crédit aux communiqués de presse
de cette
agence sur ses conclusions tirées
de certaines photos de Mars. Du reste, il en existe de plus
probantes que celle du fameux Visage
évoqué plus tôt. Certaines représentent des
structures
linéaires, rectangulaires,
tétradréiques, etc., qui évoquent irrésistiblement
des structures artificielles.
Encore faut-il posséder un
matériel performant spécialement adapté pour réaliser
des images à
haute résolution afin de
bien mettre en valeur ces particularités, ce qui n’est pas à
la portée de tout
le monde.
L’avis d’un éminent
astronome
En France, en dehors de feu
Pierre Guérin (décédé en 2000), tous les astronomes
et
astrophysiciens sont connus pour
nier les phénomènes ovnis et mépriser les ufologues.
Aux
Etats-Unis la situation est différente,
certains astronomes, à condition d’œuvrer à titre privé,
n’hésitent pas à faire
partie d’associations comme le MUFON et le CUFOS. Certains ont même
fait des enquêtes sur des
cas d’observation importantes et d’ abductions, tel l’astronome Walter
N. Webb. Il est maintenant retraité
mais il a passé 32 ans de sa carrière au Charles Hayden
Planétarium, Museum of Science,
de Boston. De même qu’il y a un astronome très connu aux
Etats-Unis qui s’intéresse
de près au Visage de Mars car il l’estime artificiel.
Il s’agit de
M. Thomas van Flandern, déjà
cité dans l’épigramme, ancien consultant du Jet Propulsion
Laboratory, et ancien directeur
du Celestial Mechanics Branch, Nautical Almanac Office,U.S.
Naval Observatory. Actuellement,
il est chef de la Metaresearch Fondation, à Chase, Maryland.
Au cours d’une interview, il a déclaré
ce qui suit --je résume ses propos à l’essentiel:
« On peut considérer
cette nouvelle manoeuvre de la NASA comme un acte frauduleux. Cette
photo très suspecte a subi
un traitement spécial à l’aide d’un filtre qui supprime des
détails sur
une image. On n’utilise pas ce filtre
pour les couleurs grises, mais seulement les noires et les
blanches, ou encore pour contraster
certaines bordures. Nous ne savons pas pour quelle raison
appropriée cette technique
a été utilisée pour le traitement de cette photo,
mais sur son site
Web, la NASA explique comment elle
a obtenu l’image qui a été livrée à la presse.
Beaucoup de
gens dans le monde ont vu seulement
cette image-là. Donc, quiconque d’entre eux la regarde est
d’accord pour dire qu’elle ne représente
qu’un tas de rochers et qu’ils ne sont pas artificiels.
Pourquoi les gens de la NASA ont-il
agi ainsi ? Je ne suis pas convaincu qu’il y a une
conspiration pour supprimer l’information
au public, mais c’est davantage une réaction de
gens accusés d’être
des conspirateurs. Ils ont voulu“ tuer” le Visage pour faire cesser la
controverse dans les médias
et ils ont réussi leur coup. Je crois qu’ils ont fait cela parce
qu’ils
s’étaient estimés
outragés car on les avait accusés d’être des conspirateurs
lors du cliché initial
de Viking 1, plutôt que dans
le but de nous dissimuler des données » (UFO Magazine, Vol.
16,
N°1, op. cit., p.40.)
Voici un résumé
de ce qu’une autre source fait dire à ce même scientifique:
« Lorsqu’on reconstitue
l’image initiale non altérée par les opérations de
filtrage grâce à la
technologie avancée d’un
ordinateur programmé pour le traitement des images, on s’aperçoit
que le cliché trafiqué
montre bien un visage d’humanoïde. D’autre part il y a certains éléments
sur ce cliché qui nous permettent
de prouver qu’ils ont une origine artificielle plutôt que
naturelle, car ce n’est pas un profil
mais une structure en trois dimensions. Effectivement, en
1976 nous avions été
impressionnés par la symétrie de cette structure, les yeux,
le nez et la
bouche visibles sur une image pourtant
à basse résolution. A l’époque nous avions déclaré
que
si le cliché de Viking montrait
les traits d’un visage artificiel, on pourrait en découvrir d’autres
sur des clichés à
haute résolution. C’est exactement ce qui s’est produit en avril
1998. Nous
avons découvert sur le cliché
de Mars Global Surveyor des traits secondaires propres à un vrai
visage qui ne se distinguaient pas
sur l’image prise par Viking 1. Par exemple, il y a un sourcil
au-dessus de l’oeil et un iris à
l’intérieur, ainsi qu’un autre oeil symétrique avec un sourcil
de
l’autre côté du Visage;
la bouche est constituée de deux lèvres séparées;
le nez a des narines à
son extrémité, etc..
Si le Visage n’était qu’une structure naturelle, ces nouveaux éléments
ne
seraient pas apparus. C’est donc
la preuve que le Visage est bien artificiel ».
« Si l’on se base sur les statistiques,
il n’y a qu’une chance sur mille milliards de milliards pour
que tout ceci corresponde à
un phénomène naturel sur la planète Mars ».
(UFO Magazine, Vol.
16, n°1, op. cit., pp. 42-43).
Le 5 avril 2001, M. Thomas
van Flandern a participé à un débat public au National
Press Club
de Washington, D.C. Là, il
a répété en détail ce qui a été
résumé ci-dessus de ses précédentes
déclarations. En plus, il
a ajouté un élément troublant. Il a précisé
que l’équateur de Mars, comme
indiqué par une précédente
position des pôles martiens il y a des millions d’années,
serait passé
directement à l’endroit où
se trouve le Visage de Cydonia., et celui-ci aurait été perpendiculaire
à
cet équateur. Il a également
confirmé qu’on pouvait voir sur certains clichés des structures
lisses
pareilles à des tunnels de
métro qui passent à travers le sol martien dans le sol, dotées
de stries
espacées. De même il
a montré des images sur lesquelles se distinguent des structures
triangulaires
et d’autres géométriques
(UFO Magazine), Vol. 16, n°3, 2001, 2001, USA, p. 10, article de
Stephen Bassett « Artificial
Structures on Mars: The Press Conference »).
Ce n’est pas moi qui l’affirme,
c’est un astronome très connu dans son pays, retenez bien cela
au passage. Je dis surtout cela
à l’attention des debunkers et autres « sociopsychologues
» qui
gravitent dans notre milieu. Il
serait vraiment étonnant qu’un astronome de grande réputation
puisse prendre un tel risque devant
les représentants de la presse nationale de son pays s’il n’était
pas sûr de ce qu’il avance.
Sur le site de Richard Hoagland,
on pouvait d’ailleurs trouver au printemps 2001 diverses
informations et photos de ces «
tunnels » signalés par l’astronome T. van Flandern. On y apprend
certains détails saisissants
sur ces structures tubulaires que laissent voir certains clichés
de Mars
Global Surveyor, dont le N°
M04-00291. L’un de ces « tubes » fait environ 1,6 km de long
sur
183 m de large. Il paraît
incrusté dans la paroi d’un canyon, et composé d’un matériau
translucide.
De plus, on peut distinguer une
sorte d’ossature interne cylindrique faite d’arcs qui pourraient être
des anneaux régulièrement
espacés. Aucun exemple géologique terrien ne peut rendre
compte de
pareilles anomalies. Pour plus détails
se reporter au site concerné. (
http://www.enterprisemission.com
)
A noter que M. Thomas van Flandern
soutient que Mars a été la lune d’une planète qui
a
explosé. L’une des deux hémisphères
martiennes aurait reçu de nombreux débris émanant
de
l’explosion (et non des astéroïdes
vagabonds, selon la théorie officielle). Les restes de la planète
détruite formeraient de nos
jours la ceinture d’astéroïdes située entre Mars et
Jupiter. Plusieurs
éléments accréditent
cette hypothèse. Le plus significatif semble être la présence
abondante de
l’élément Xenon-129
qui est trois fois plus forte que sur les autres corps où il a été
mesuré. Le
Xenon-129 est un sous-produit de
fission nucléaire de second ordre, et il n’est pas le résultat
d’un
processus naturel avec d’autres
éléments connus à l’intérieur des étoiles.
Les scientifiques estiment
qu’une supernova est à l’origine
de cet isotope dans notre système solaire. Son pourcentage triple
sur Mars viendrait de la planète
primordiale qui a fourni la ceinture des astéroïdes dont l’explosion
aurait impliqué une fission.
Les impacts des débris de cette planète auraient été
tellement puissants
que l’atmosphère de
Mars aurait été éjectée dans l’espace. En effet,
les données collectées sur la
planète rouge indiquent que
son atmosphère a été autrefois de 100 à 1000
fois plus épaisse qu’elle
ne l’est de nos jours. De même
son axe de rotation aurait basculé de 90°, car des traces indiquent
que ses anciens pôles se trouvent
sur son équateur actuel. (Stanley MacDaniel & Monica Rix
Paxson, op. cit., pp. 148-149).
D’autre part le grand scientifique
et auteur de science-fiction, Arthur C. Clarke, connu pour
être allergique aux ovnis,
s’est aussi manifesté à propos des photos de Mars Global
Surveyor. Au
début de 2001 il a déclaré
sur un site Space.com « Je suis bel et bien convaincu que nous avons
découvert de la vie sur Mars
» (Mufon UFO Journal, avril 2001, p. 10, in « Filers’ Files
»).
Puis en Juin de la même année,
à l’occasion de la conférence du Werner von Braun Memorial
il
a admis publiquement la même
chose. Toutefois il ne faisait allusion qu’aux traces de végétation
qui seraient perceptibles sur certains
clichés. (Mufon Ufo Journal, juillet 2001, p. 13, in «
Filer’s
Files »).
C’est mieux que rien mais il
faut espérer qu’il sera un peu plus courageux la prochaine fois...
Il faut numéroter les Visages
Il se pourrait que le Visage
du site Cydonia ne soit pas la curiosité « artistique »
la plus
significative pouvant être
le résultat d’une action intelligente. En effet, il existe apparemment
au
moins deux autres Visages du même
type. Ils sont beaucoup moins connus, mais ils méritent le
détour.
On peut trouver un Visage n°2
dans un ouvrage récent de Cynthia Turnage, prise par Viking
1
sur laquelle on reconnaît
facilement un faciès humain. Ce cliché porte le n° 086
A 10, et le site
photographié s’appelle Utopia.
(Cynthia L. Turnage, ET’s are on the Moon & Mars, Timeless
Voyager Press, Santa Barbara, CA,
p. 40-41).
Selon mon correspondant
Fred Idylle qui surveille de près
tout ce qui concerne d’éventuels artefacts extraterrestres, il aurait
été localisé
par le groupe privé Mars Research, P.O. Box 284, Glenn Dale, Maryland,
20769.
Cette « tête »--pour
autant qu’elle en soit vraiment une --est étonnante car elle paraît
être coiffée
d’un objet évoquant le némès
porté par les souverains de l’Egypte antique. Elle fait du reste
penser
immédiatement au buste du
sphinx de Gizeh:
: Comme il y aurait aussi des
structures pyramidales sur différents sites martiens, le lien avec
la
terre des pharaons a été
rapidement fait par Cynthia. Elle n’est pas la seule car Graham Hancock,
entre autres chercheurs, à
réagi de la même façon. Cynthia croit distinguer aussi
sur le même
cliché, un « sphinx
femelle », et un « gigantesque profil d’Inca », mais
dans ces deux derniers
cas, il est plus probable
qu’elle ait été emportée par son enthousiasme.
J’avais déjà
entendu parler d’un Visage n°3 par l’un de mes correspondants, mais
l’image qu’il
m’avait envoyée manquait
totalement de références. En effet, il émanait d’un
site Internet non
identifié et aucun détail
n’était donné. Toutefois, il apparaît dans une K7 vidéo
américaine titrée
Life on Mars ?, éditée
par Terra Enternainment en VHS au début de 2002. Sa durée
est de
soixante minutes et elle est en
couleur. Je l’ai acquise par l’intermédiaire de mon fournisseur
américain habituel, Arcturus
Books Inc. Elle montre une ribambelle de photos prises par Mars
Global Surveyor sur lesquelles des
structures artificielles sont censées se trouver. On peut y voir
bien entendu le Visage n°1 bien
connu, ainsi que le Visage n°3, pratiquement inconnu en France.
Ce dernier semble représenter
un visage d’aspect juvénile coiffé d’une sorte de couronne
ou doté
d’une chevelure fournie bien particulière.
Il a été identifié par l’astronome Thomas van Flandern
et
l’ex-astronaute Brian O’Leary. Il
est constitué d’une formation rocheuse longue d’environ deux
kilomètres dans la région
appelée Syrtis Major. D’autres images montrent diverses curiosités
martiennes que l’on peut interpréter
comme on veut. Toutefois j’admets que certains clichés sont
étonnamment évocateurs,
car ils suggèrent effectivement de possibles constructions, ou du
moins
ce qu’il en reste.
Quoi qu’il en soit de ces trois
Visages, ce n’est pas forcément sur eux qu’il faut se baser pour
déterminer s’il y a eu une
vie intelligente sur Mars en des temps très éloignés.
Le travail de sape de
la NASA ne permettra pas hélas
à la recherche privée d’être crédible aux yeux
du public. Comme
déjà évoqué,
il existe des photos prises par les sondes Viking et Mars Global Surveyor
qui
montrent à l’aide d’ordinateurs
spécialisés dans le décodage optique à haute
résolution ce qui
ressemble beaucoup à des
structures artificielles. Ce sont probablement ces éventuelles traces
d’intelligence extraterrestre qui
pourront apporter des preuves montrant qu’avant la Terre, Mars a
pu être habitée par
des êtres intelligents comme nous. Ils ont certainement été
anéantis lorsque des
astéroïdes géants
ont détruit leur planète.
Un Visage signalé il y a 6000 ans
Voici maintenant une information
toute récente puisqu’elle a été divulguée en
2002. Elle n’émane
pas des chercheurs spécialisés
sur Mars dont j’ai déjà cité les noms. En effet, elle
vient d’un érudit
qui s’emploie depuis trente ans
à traduire et interpréter à sa manière les
textes en caractères
cunéiformes qui figurent
sur des tablettes d’argile sumériennes. Ces documents anciens ont
été
exhumés par les archéologues
au cours de recherches étalées sur plus d’un siècle
sur divers sites
de l’ancienne Mésopotamie
(Sumer, Babylone, Akkad, etc.).
Il s’agit de M. Zecharia Sitchin,
bien connu aux Etats-Unis pour sa fameuse série d’ouvrages
intitulés The Earth Chronicles
(Les Chroniques de la Terre). Ce sont des spéculations
audacieuses basées sur des
écrits sumériens dont certains datent de plus de 6.000 ans.
Ces textes
sont censés décrire
l’histoire des Anunnaki, les "dieux" arrivés sur Terre en des temps
très
reculés pour l’exploiter.
A cette fin ils auraient créé (ou importé) la vie
sur notre planète, y compris
l’homo sapiens. Que les interprétations
et l’hypothèse de Z. Sitchin soient ou ne soient pas
crédibles, n’est pas important
dans le cadre de mon texte. Ce qu’il l’est, par contre, c’est un
élément qui figure
dans son dernier livre édité en 2002.
Il s’agit de la traduction
intégrale des « Mémoires et prophéties d’Enki
», contenues sur
quatorze tablettes. D’après
Sitchin, Enki était considéré comme le chef suprême
des dieux
sumériens. Toutefois cet
auteur estime qu’il s’agissait du commandant d’un corps expéditionnaire
extraterrestre disposant d’une technologie
très évoluée et venus d’une planète nommée
Nibiru.
Chose curieuse, Enki aurait
dicté les textes des quatorze tablettes à un scribe nommé
Endubsar, lui-même fils d’un
de ces « dieux » et d’une concubine. De plus plusieurs détails
divulgués par ce scribe dans
une « attestation » indiquent qu’il a reçu ces «
mémoires » dans des
circonstances qui rappellent curieusement
deux événements:
1- Moïse recevant les lois du dieu d’Israël Yahvé.
2- Une expérience paranormale
de type « enlèvement » (ou abduction).
Les textes racontent l’histoire
des Annunaki et leurs séjours sur Terre pour en exploiter les
richesses minières. Toutefois
ils ne se sont pas arrêtés là, puisqu’il est question
de Lahmu, nom
que les Sumériens avaient
donné à la planète Mars. Voici quelques extraits des
« mémoires »
d’Enki particulièrement significatifs:
«Le minerai à broyer et à écraser sera chargé [...].
«Puis il sera transporté sur Lahmu par vaisseaux-fusées [...].
«Sur Lahmu la construction progresse; les héros sont arrivés sur la base [...].
«Sur Lahmu les héros ont été rassemblés sous les ordres de leur fier commandant Anzu.
« Six cents sont restés
sur Terre, trois cents ont été regroupés sur Lahmu.
(Zecharia Sitchin,
The Lost Book of Enki, Bear
& Company, Rochester, VT, 2002, pp. 111).
Donc les Anunnaki auraient
aussi colonisé Mars. Un putsch s’étant produit en leur sein
sur
Terre, Alalu le chef des rebelles
aurait été exilé sur Lahmu où il serait mort
dans une grotte située
dans le flanc d’une montagne. Puis
il est écrit ceci:
«L’image d’Alalu a été sculptée au sommet de la grande montagne avec des rayons.
«Ils l’ont montré portant un casque d’Aigle, son visage étant découvert.
«Laissons pour toujours l’image d’Alalu regarder Nibiru qu’il a dirigée,
«Et vers la Terre là
où il a découvert l’or ! (Zecharia Sitchin, op. cit., p.
104).
Si Zecharia Sitchin, qui est
un érudit expert en langues mortes dont la langue sumérienne,
a
traduit fidèlement le texte
original, alors il y a lieu de considérer cette affaire avec un
maximum
d’attention.
Toutefois, ne nous faisons
pas trop d’illusions. La NASA, si on lui oppose cette traduction de
Sitchin, prétendra que cet
auteur a laissé vagabonder son imagination, influencé par
la controverse
sur le Visage n°1. De plus,
si la traduction est correcte; de quel Visage s’agirait-il ? Comme
expliqué ci-dessus on en
connaît trois, et il pourrait y en avoir d’autres non encore localisés,
pourquoi pas ?
Au passage je signale que si
l’on se fie à l’hypothèse de l’astronome T. van Flandern
citée plus
tôt, la planète Nibiru
de Z. Sitchin pourrait être celle dont les restes forment la ceinture
des
astéroïdes entre Mars
et Jupiter. D’autre part, plusieurs scientifiques commencent à envisager
sérieusement que la vie sur
Terre pourrait être l’œuvre d’une panspermie dirigée, comme
préconisé par le prix
Nobel de biologie Francis Crick dans les années 1970. Certains vont
même
jusqu’à se référer
à l’Epopée de Gilgamesh, le héros de Mésopotamie
qui aurait fréquenté les
« dieux ». C’est le
cas notamment de l’anthropologue Randolfo R. Pozos, de l’université
de
Califonie, à Berkeley. (Stanley
MacDaniel & Monica Rix Paxson, op. cit. , pp.165 et 167).
Histoires d’eau
A noter aussi un élément
supplémentaire qui vient renforcer cette hypothèse. Des traces
existent
sur Mars qui montrent qu’il y a
eu (et qu’il y a encore) de l’eau sur cette planète. Voici d’ailleurs
un extrait du rapport rédigé
par une équipe de l’Exobiology Program Office pour la NASA
chargée d’analyser les éléments
chimiques du sol martien:
«Le rôle joué
par l’eau dans l’évolution de la planète est l’un des aspects
les plus déroutants
de la géologie martienne.
Bien que l’eau liquide soit instable à la surface dans les conditions
actuelles, nous observons d’abondantes
traces d’érosion aquatique[...]D’autres traits fluviaux
semblent résulter d’une lente
érosion due à des eaux courantes ». (Graham Hancock,
op. cit.,
pp. 43-44, qui cite Carr & consort,
in « An Exobiological Strategy for Mars Exploration »,
NASA, janvier 1995).
Puis, quand les photos envoyées
par Mars Global Surveyor sont parvenues sous les yeux des
scientifiques, le dernier doute
qui pouvait subsister dans certains esprits s’est évanoui. Deux
articles bien documentés
et illustrés parus dans une revue spécialisée démontrent
cela facilement.
De nombreuses images prises à
une haute résolution montrent très nettement des traces d’érosion
et d’écoulements aquatiques.
(UFO Magazine, Vol. 15, n°8, 2000, USA, pp. 10-15, articles de
Ron Press « Water on Mars
Leaves Ufologists High and Dry » et de Vicky Ecker, « Mars’Watery
Potential Bodes Well for Future
Missions).
Tout récemment, la sonde
Mars Odyssey a transmis des informations précises confirmant la
présence sur la planète
rouge d’importantes quantités d’hydrogène et d’eau sous forme
de glace.
Grâce à des systèmes
spectroscopiques à haute résolution il a été
possible d’analyser les éléments
chimiques du sol martien. Cette
eau existe bel et bien sous forme de peroxydes dans des
dépressions sur l’hémisphère
nord et une partie de l’hémisphère sud de Mars. (Pour la
Science,
n°296, juin 2002, p. 19).
D’autre part, le télescope
spatial FUSE a permis d’établir avec certitude que l’eau présente
sur
Mars au moment de sa formation aurait
recouvert la planète d’un océan de 250 à 1000 mètres
de
profondeur. (Pour la Science, n°295,
mai 2002, p. 15).
Autre son de cloche, s’il faut
en croire FR.3 le 29 mai 2002 au Journal de 19h30, les quantités
d’eau sur Mars « seraient
plus importantes que sur la Terre ». C’est FR.3 qui l’affirme, pas
moi.
Sur Internet, divers sites
ont multiplié les communiqués sur cette affaire d’eau martienne,
certains parlant de « vastes
quantités d’eau ». L’un d’eux affirme même ceci:
« Selon les calculs effectués,
la glace constituerait entre 20 et 50% du sol, soit parfois plus de
50% du volume, ce qui représente
une quantité proprement impressionnante ». (
http://www.nirgal.net/choniques
)
Cependant il se pourrait que
l’eau liquide puisse exister aussi à des niveaux inférieurs,
là où la
température est au-dessus
de 0°. C’est ce que prétend Vincent Di Pietro, qui se base sur
deux
photos prises par Viking, n°775A10
et 775A11, prises à 4,5 secondes d’intervalle. Elles montrent
une ombre qui a évolulué
d’un cliché à l’autre. DiPietro estime qu’il s’agit d’un
geyser d’eau ou de
vapeur d’eau (S. V. MacDaniel &
M. Rix Paxson, op. cit., p. 29-30).
Un autre site privé
publie la photo n°7707 prise par Mars Global Surveyor, qui montre toutes
les
caractéristiques géologiques
relatives à la présence d’un lac. Il précise en outre
ceci: « L’eau dans
cette dépression est le reste
d’un grand lac, ainsi saturé de sels: la température de congélation
a
alors une valeur très différente
que le 0° de l’eau claire ». J’ai beaucoup apprécié
une réflexion
de l’auteur du texte de ce site,
concernant les tours de passe-passe de la NASA pour justifier cette
apparente présence d’eau,
jugez-en:
« Cela montre juste l’embarras
de l’interprète qui ne peut pas faire disparaître l’idée
de l’eau
liquide de l’image. En psychologie,
c’est une façon de détecter un mensonge ou un déni;
deux
explications différentes
sont données dans une situation qui finalement n’en demande qu’une.
Quand quelqu’un est incertain, il
tendra à ajouter une explication faible à une autre parce
que
qu’inconsciemment il pense devoir
accumuler des raisons faibles pour équilibrer l’explication
simple et forte qu’il refuse »
( http//pgrsel.multimania.com/htm/marslakef.htm ).
Que penser de tout cela ?
Dès lors, on peut imaginer
que l’eau a dû permettre l’implantation de la vie sur Mars. Du
coup, des êtres intelligents
ont pu émerger et fonder des sociétés organisées.
Et cette vie aurait
pu ensuite être « exportée
» vers la Terre. Cette panspermie aurait pu être dirigée
par une
civilisation martienne très
développée en technologies diverses à des époques
très reculées.
Toutefois, si l’intelligence qui
génère les phénomènes paranormaux, dont les
ovnis font partie,
se trouvait à l’œuvre sur
Mars avant l’apparition de la vie sur Terre, ce « transfert »
est
peut-être son oeuvre. En effet,
puisque la théorie de l’évolutionnisme n’est pas crédible,
comme
je l’ai démontré dans
mon dernier livre, la vie a pu être importée sur notre planète
à partir de
notre voisine Mars par cette intelligence
supérieure.
Le problème est que
si la Science, avec la bénédiction des gouvernements, dissimule
les preuves
de ce qui vient d’être exposé,
nous ne sommes pas au bout de nos peines. M. Michael
Zimmerman, professeur de philosophie
à l’Université Tulane estime que c’est la peur d’être
contrôlés par une intelligence
non humaine qui incite les pouvoirs dominants à discréditer,
démolir
et ridiculiser les phénomènes
qui suggèrent la présence d’une vie intelligente étrangère
à la nôtre.
(Stanley MacDaniel & Monica
Rix Paxson, op. cit, p. 160).
Les chercheurs qui s’insurgent
contre la censure étatique sur les éventuelles découvertes
d’artefacts martiens ou autres risquent
de continuer à crier dans le désert. La classe dirigeante
aidée de la Science, de la
Religion, mais aussi des grands médias qui lui sont inféodés,
aura
continuellement le dernier mot.
Pourtant, selon une information récente, il y a de plus en plus
de
scientifiques américains
qui ont été tellement impressionnés par le rapport
de M. Stanley
MacDaniel qu’ils commencent à
renâcler et à le faire savoir. Certains ont même fondé
le SPSR,
Society for Planerary SETI Research,
dont le président actuel est le Dr. Horace Crater. Cette
association publie de temps en temps
des articles dans le Journal of Scientific Exploration, et
plusieurs de ses membres interviennent
régulièrement dans les débats à la radio et
la télévision.
Cela se passe aux Etats-Unis, bien
sûr, parce qu’en France, nos « grosses têtes »
scientifiques
n’en sont pas encore là.
Ce qui signifie que le public américain, du moins une certaine partie,
est
tenu au courant de la situation
qui vient d’être détaillée ci-dessus. (UFO Magazine:Vol.
16, n°1,
2001, USA, pp. 38-39, article du
Dr. Bob Hieronimus et son épouse Zoh «Did JPL Diberately
Tamper with Evidence of a Civilization
on Mars ?).
Un conseil pour terminer: N’ACCORDEZ
JAMAIS LA MOINDRE ONCE DE CRÉDIT A
CE QUE DISENT LES ORGANISMES ÉTATIQUES
A PROPOS DES OVNIS ET DE
L’EXPLORATION SPATIALE DE NOTRE
SYSTÈME SOLAIRE. Ils ne sont pas payés pour
dire la vérité au
public dans ces domaines. Bien au contraire ils sont chargés de
cacher la vérité sur
tout ce qui s’oppose aux dogmes
en place dont se satisfont les gouvernants. C’est la même chose
pour la grande presse des pays industrialisés
qui sont à leurs ordres. Si certaines personnes doutent
de ce que je viens d’énoncer,
qu’ils lisent le livre du journaliste américain Terry Hansen. Il
y
raconte en détail comment
l’information est contrôlée aux Etats-Unis, et comment se
pratique la
censure sans que le public s’en
rende vraiment compte. C’est absolument ahurissant, révoltant, et
aussi édifiant. (Terry Hansen,
The Missing Times: News Media Complicity in the UFO
Cover-up, Xlibris Corporation, USA,
2000).
Jean Sider.
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Pour en savoir plus, prière
de me contacter:
Mr. Jean SIDER
3 Avenue Maxence
44760 LA BERNERIE
Lettre mise en page par
Idylle Fred, le
09/07/2002 .