Bien
à vous
Pierre
De Châtillon
1
février 2009
La
revanche des Bâtards
"Malheur
au siècle, témoin passif d'une lutte
héroïque,
qui croirait qu'on peut sans péril, comme sans
pénétration
de l'avenir, laisser immoler une nation! Cette faute, ou plutôt
ce
crime, serait tôt ou tard suivi du plus rude châtiment."
Relation
du voyage de la commission scientifique de Morée dans le
Péloponnèse,
les Cyclades et l'Attique
Préface
Quand
la cause est diabolique, tous les efforts le sont aussi. Donner plus de
la même chose, n'améliorera rien, seul le petit peuple est
capable de mettre fin à ce carnage, qui n'a que trop duré.
Beaucoup,
ne liront pas ce que j'écris, car je donne, et ce qui est
donné
n'a aucune valeur dans notre monde. C'est bien
qu'il
en soit ainsi et c'est la raison, pour laquelle j'ai écrit un
livre
qui ne sera jamais terminé, ni publié, ni vendu, mais
donné.
Celui qui est incapable de distinguer l'attracteur à mouches du
reste, celui qui est incapable de se détacher de la forme pour
apercevoir
le fond, disparaîtra bientôt.
Je
ne suis qu'un inculte, sans éducation, sans prétention ni
aucune lettre de noblesse, qui méprise le mensonge, la haine, la
violence, la guerre, la domination et l'hypocrisie.
Je
suis une tête de cochon et d'une intolérance maladive aux
compromis d'apparence.
Quand
j'ai compris qu'il y avait deux éducations, deux lois, deux
savoirs
et deux classes d'individus qui peuplent la planète, j'ai aussi
compris à quelle classe j'appartenais.
Je
n'ai aucun tabou, ni d'hésitation à aborder des sujets
comme
science, Dieu, divin ou religion, ni plus qu'à critiquer ce
monde
de pseudo connaisseurs et de spécialistes qui nous dirige.
Ai-je
un seul doute sur la validité de ce que j'écris ?
Aucun
!
À
cette lecture, vous aurez à choisir selon votre conscience.
Introduction
Batard,
batard!
Vulguaire
:Personne
quelconque, le commun des mortels, la masse.
Dans
mon livre « Bouleversements climatiques de l’Atlantide au
vingtième
siècle » je décrivais le chaos de
société
à venir, celui dans lequel nous sommes, à travers
le rétablissement
d’une très ancienne histoire très différente de
celle
que nous connaissons.
Le
22 décembre 2007, je rendais public mon article « J’accuse
»
http://www.incapabledesetaire.com/edito3/aaaccuse.htm
Dans
lequel, je décrivais que l’histoire, ainsi que la
géographie
avaient été manifestement trafiquées.
La
dernière partie de l’article : « Le diable est dans les
détails
» donnait la description d’une histoire ancienne
différente,
basée sur les anciennes cartes marine et les découvertes
du « Nouveau Monde ».
Dans
l’ensemble, ces textes couvrent l’ancienne histoire d’une façon
passablement précise jusqu’au déluge il y a 5000 ans, et
d’une façon moins précise dans la période qui
s’étend
jusqu’à nous.
Ce
texte vise à corriger ces erreurs, en plus d’ajouter une
précision
inégalée dans le dernier 5000 ans, redessinant notre
perception
de l’histoire et notre conception du mot mensonge.
Quand
j’ai compris que l’or et les richesses étaient bien peu de
choses
en égard du savoir, je croyais avoir saisi la motivation
derrière
un mécanisme qui s’appropriait le savoir au fil du temps, pour
dominer
le reste du peuple.
Puisqu’ils
enfournaient tout par la force, rien n’expliquait le maniérisme
pris à l’égard du peuple.
Non
seulement il y avait une couleuvre à s’enfiler, mais il fallait
se la faire volontairement.
Des
agissements au fil du temps, qui n’était pas sans rappeler celle
du chasseur qui ne désire surtout pas éveiller les sens
de
la proie somnolente .
Ce
maniérisme suggérait une peur viscérale, celle que
quelque chose soit découvert, ou ne s’éveille avant le
temps,
qui bouleverserait incontestablement l’issue d’un plan dessiné
exclusivement
pour pallier à cette éventualité.
L’enrôlement
des idées engageait la loyauté à l’égard du
système, de la compagnie, de la secte, de la religion, de
l’argent,
de la performance, de l’image,
le parc humain ne contenait plus que
des moutons et des lions, mais tous ayant l’apparence de moutons... le
rêve de tout lion.
Pourquoi
fallait-il nécessairement que dans ce grand plan
machiavélique,
«
l’homme » demeure identifié comme le principal
orchestrateur
de ses propres malheurs alors que les maux ne sont que l’oeuvre de
certains
? Un trou idéologique qui prenait manifestement l’apparence du
grand
frère mal intentionné, posant des gestes hypocrites
à
l’égard d’un plus jeune, pour soulever l’ire paternelle.
Dans
mon article sur l’énergie libre, je décrivais le concept
« amour-résistance », à l’origine de cette
grande
théorie de l’univers appelé Dieu. Aucun mysticisme. Une
théorie
de la science philosophique, à une époque où les
mots
«
Dieu » et « religion » ne soulevaient pas
de tabous.
Conservons-en
simplement, que la plante, jugée inutile pour un agriculteur,
sera
arrachée, et qu’une autre, jugée utile, sera au contraire
fertilisée par le fermier. Un exemple qui n’a rien à voir
avec la décision humaine, puisque de telles symbioses existent
partout
dans la nature.
La
croisée éthérique dans laquelle nous sommes, est
aussi
le moment ou s’engage ce choix, une direction évolutive qui
affecte
tout. « Amour ou résistance » dans
l’altruisme,
engageront une destinée qui sera supportée par Dieu et
ses
grandes lois immuables d’une façon imparable.
Poursuivre
ce plan, impliquait donc qu’il soit réalisé avec
l’assentiment
de la plus grande populace possible, à certains moments
précis
du calendrier coïncidant avec ces fameuses croisées
célestes,
au risque de voir se soulever une remise en question populaire de
l’ordre
établi, qui n’aurait de cesse.
Il
fallait donc à tout prix assurer l’harmonie et le consensus
même
factice, en évitant la contestation durant ces périodes,
signe que notre engagement était à l’amour, lire
alignement
des idées, un dessein qui sera aussi supporté par
l’effort
divin.
Ne
pas avoir de résistance est pour eux, un impératif.
Pour
y arriver, ils ont dû tronquer l’histoire aux glorieux Romains en
plus de nous laisser qu’une vague idée de tout ce qui s’est
produit
avant le 17e siècle.
Pour
y arriver, ils ont dû faire disparaître des pans entiers
d’histoires
et de calendrier, raccordant comme au cinoche, les différents
bouts
entre eux.
Pour
y arriver, ils ont dû faire disparaître de la population
une
valeur chère aux anciens, celle d’un arbre
généalogique
qui identifie les ancêtres depuis l’origine de l’homme.
Pour
y arriver, ils ont du livrer une guerre constante au savoir et aux
cultes
populaires comme ils l’ont fait en Allemagne ou au Vietnam ou en Irak
ou
en Corée ou au Chili ou en Israël.
Pour
y arriver, ils ont dû égorger des millions de personnes,
hommes,
femmes et enfants, rasant au sol des régions entières
avant
de contraindre la population à l’esclavage, non sans avoir
oublié
de prendre ses richesses au passage.
Pour
y arriver, ils ont du détruire et censurer des milliers de
livres
révélant des bribes de savoir, ce savoir si
précieux
qui permettrait de comprendre.
Pour
y arriver, ils ont dû éduquer ceux qui restaient, que tout
ce qui venait avant, n’était que balivernes et
imbécillités,
instaurant du coup l'obscurantisme.
«
Mais son origine remonte au premier jour où des hommes instruits
voulurent assurer à leurs connaissances, un caractère
surnaturel
et à un prix incommunicable, pour paraître eux-mêmes
supérieurs à l’humanité, et dominer sur les restes
des mortels.
Quels
furent, sur l’esprit humain, en général, et d’abord sur
la
science elle-même et sur les hommes qui la cultivaient, les
effets
de ces habitudes jalouses, et si contraires à la philosophie
libérale
qui se fait aujourd'hui un noble devoir du soin de répandre les
lumières ? Cette disposition générale dut surtout
s’appliquer à l’étude des sciences occultes : on ne
cherchait
que des moyens de produire des merveilles et tout ce qui ne devait pas
y conduire semblait peu digne d’attention.
D’une
telle méthode, il ne peut que résulter des connaissances
partielles, interrompues par de vastes et importantes lacunes et non
pas
une science dont toutes les parties enchaînées entre elles
se rappellent mutuellement, en sorte que la connexité de
l’ensemble
préserve les détails de tomber dans l’oubli.
Chaque
secret, chaque connaissance pouvait se perdre isolément et
l’habitude
du mystère rendait chaque jour le danger plus probable. Ceux qui
douteraient de notre assertion peuvent la vérifier sur des faits
modernes »Histoire
des sciences occultes
«
Les anciens tournaient toutes les sciences du côté de
l’utilité.
Tout ce qui n’était pas intéressant pour les arts, pour
la
société était négligé. Ils
rapportaient
tout à l’homme moral et ne croyaient pas que les choses qui
n’avaient
point d’usage fussent dignes de l’occuper. »
Discours sur la manière de traiter l’histoire naturelle -
Oeuvres
de Buffon.
«
Un livre a été publié, il y a moins de 200 ans,
pour
établir que l’on doit écrire en latin et non pas en
français
les ouvrages savants, parce qu'on a produit de grands maux en
communiquant
au peuple les secrets des sciences »Belot.
Apologie de la langue latine, etc. 1637
Pour
y arriver, ils ont dû effacer notre histoire parce que si nous
avions
su ce qu’ils ont fait, jamais nous ne consentirions à lever le
regard
sur ces animaux.
La
surface habitable de la planète étant un paramètre
très variable qui passait de tout à pratiquement rien de
façon soudaine, la sélection des élus,
destinés
à la nouvelle terre d’accueil, devenait à chaque fois un
casse-tête sanglant. Avec la perte de l’histoire, disparaissait
le
savoir populaire concernant le déplacement des portes
d’Hercules.
Sous
divers prétextes, la réduction de population pouvait
maintenant
être planifiée sur de longues années
précédant
les changements, cachant au regard les causes véritables, pour
assurer
une place privilégiée à celui qui savait.
Cette
stratégie ouvrait la porte à une opportunité en
or,
qui s’étendait sur les quelques siècles
précédant
les évènements dramatiques de fin d’époque.
L’accroissement
démesuré de la population, permettait la mise en place
d’une
société industrielle à développement
limitée
dans le temps et qui demeurerait sous domination directe par tous les
moyens
possible, sans jamais franchir certaines étapes du
développement
intellectuel, prémisse indispensable à susciter un saut
de
paradigme réputé assassin.
Histoire
effacée
Si
ce n’est pas une surprise de constater que l’Emporium romain a
caché
ce qui venait avant eux, ça l’est de constater la masse
d’histoire
gigantesque qu’ils ont pu cacher sous ce joug de la censure.
«
Rasés, médecin arabe, non seulement il déposa,
comme
un gage, une quantité considérable de vaisselle, niais
encore,
il fui obligé de nommer un seigneur pour lui servir de caution
dans
l'acte par lequel il s'engageait à rendre ses livres à la
Faculté. Dans le XIe. siècle, on inventa le papier dont
tout
le monde se sert aujourd'hui, et cette nouvelle invention , en
augmentant
le nombre des manuscrits, facilita singulièrement l'étude
des sciences.
Plusieurs
siècles avant l'intention de l'imprimerie, différents
gouvernements
avaient défendu les manuscrits et les avaient fait livrer aux
flammes.
Cela est arrivé souvent chez les Grecs et les Romains. À
Athènes les ouvrages de Protagoras furent prohibés et
tous
les exemplaires que l'on en put découvrir furent
brûlés
par le crieur public. À Rome, le sénat fit brûler
les
livres de Numa trouvés dans son tombeau, parce qu'ils
étaient
en opposition avec la religion de l'état. Goname le peuple de
Rome
était extrêmement superstitieux et que les livres des
astrologues
l'entretenaient dans cette disposition, le sénat fit souvent
supprimer
ces ouvrages par le préteur. L'empereur Auguste fit brûler
tout à la fois plus de vingt mille exemplaires de ces ouvrages
des
astrologues.
Il
avait commencé par le livre du satirique Labienus : ce fut le
premier
ouvrage condamné au feu et Auguste fit une loi contre les livres
de ce genre. Sous Tibère, le sénat condamna aux flammes
l'ouvrage
de l'historien Crétius. Antiochus Épiphane fit
brûler
les livres des juifs et dans les premiers siècles de
l'ère
chrétienne, les livres des chrétiens furent
traitées
de la même manière. Kusèbe nous apprend que
Dioctétien
fit brûler la Bible. Après que la religion
chrétienne
fut établie, le clergé exerça contre les livres
qui
ne s'accordaient pas avec les dogmes reçus le même genre
de
proscription. Ainsi, les livres d'Anus furent condamnés au feu,
et Constantin menaça de mort ceux qui en recèleraient. Le
concile d'Éphèse obtint de l’Empereur Théodose II
que les livres de Nestorius fussent brûlés et chaque
siècle
vit renouveler la même persécution.» Nouveau
dictionnaire des origines, inventions et découvertes
L’histoire
de l’homme « civilisé » sur la planète
débute,
il y a plus ou moins 350,000 ans. C’est à partir de ce moment
que
s’élève la communauté et qu’il délaisse
pour
la première fois la caverne et la massue, pour prendre
conscience
de lui-même et de ce qui l’entoure.
Ces
hommes furent dits de la génération «
Pré-Adamique
», mais cette expression n’est pas exacte. Il faudrait dire
générations
préadamiques, puisqu’elles furent légions.
Bien
que le lecteur intéressé pourra faire le tour de cette
tranche
d’histoire disparue dans mon livre, il est bon d'ajouter que le dernier
chapitre de ces générations préadamiques en fut
aussi
le plus célèbre, l’Atlantide ou Atlantis, qui fut
détruite
par un cataclysme il y a 12,000 ans.
L’Atlantide
était la nomination du continent américain. Elle a
contenu
une civilisation, qui a possédé jusqu’à 300
millions
d’habitants et un développement similaire au nôtre.
Société
inhumaine, dominatrice et guerrière, ces raisons furent souvent
avancées, comme celles ayant conduit à son jugement de
destruction
divine.
Suivant
la destruction de l’Atlantide, la planète fut longtemps
inhabitable.
Quelques groupes survivaient ici et là sur les hauts plateaux,
donnant
naissance à des communautés nouvelles. Les bassins de
population
réduits, facilitèrent la reproduction de
caractéristiques
biologiques et d’habitudes de vies singulières.
Les
humains prirent des voies différentes et changèrent.
Certains
groupes dégénérèrent. C’est à cette
époque que notre mythologie et la réalité se
confondent
le plus. Des géants, des nains, des anthropophages, certains
hommes
prirent une couleur de peau différente ou développaient
des
habitudes de vies honnies des leurs. Les anciens suggéraient que
les dauphins ou les gorilles, seraient de ces humains qui ont
dégénéré
au cours de cette période.
Suivant
les changements de la Terre, la chaleur et la sécheresse qui
s’ensuivit
devinrent globales. La pluie cessa pendant de longues décennies,
pendant que le niveau des nappes phréatiques s’enfonçait
de plus en plus, comme c'est le cas présentement, jusqu’à
faire disparaître la majorité des sources d’eau de la
planète
pour n’en laisser que quelques-unes, sur une terre qui fut
appelé
par la suite « le Paradis terrestre »
Histoire
de la génération adamique.
La
génération adamique démarra il y a 7000 ans sur le
toit du monde, les terres rouges.
À
l’époque où la patrie mère de l’humanité
vit
nos ancêtres à tous pour la première fois, la terre
n’était qu’une croûte de terre sèche, incapable de
supporter la vie terrestre à l’exception d’un territoire
minuscule
du pôle entouré de gigantesques montagnes
infranchissables,
l’Île d’Ellesmere, qui fut appelé dans de nombreuses
civilisations,
le Paradis Terrestre.
Deux
individus, Adam et Ève, furent les originaux. Adamique ou
préadamique
n’était pas une référence à une
génération
précédente, mais un concept idéologique
éduqué,
référant à une évolution plus ancienne,
donc
sous-développée. Une vision comparable à
l’idée
moderne que nous possédons sur les néandertaliens.
La
notion adamique faisait référence à une
civilisation
qui s’était hissée dans l’échelle de
l’humanité,
tout en reléguant le préadamique dans une échelle
de classement qui variait de la divinité au démon
inhumain
selon son ancienneté. Une architecture sociale
catégorisant
dans la colonne « diabolique » sous le coup d’un
sévère
interdit, les réalisations prodigieuses de la
société
préadamique, dont les reliques fantomatiques d’un autre age
jonchaient
le sol de la planète, autorisant tous les excès.
Une
société agraire d’hommes, semblables à nous, au
savoir
très développé en dépit de cette enfance de
société et refusant en toute connaissance de cause, une
direction
de société technologique.
Bordé
du côté de l’Europe par la mer Artique, l’homme de
l’époque,
incapable de naviguer, se développa là où la terre
le poussait. Il colonisa ainsi les terres environnantes adjacentes
à
son territoire, envers le Grand Nord canadien.
La
race adamique vécut de cette façon durant près de
1000 ans, « alors que Dieu était à ce moment
sous
le sol du Paradis Terrestre. » Kolbrin.
Un
troupeau humain, muni d’un véritable petit manuel d’implantation
du parfait colon au Paradis terrestre. Brochette de loi de vie simple
établie
d’un point de vue connaisseur, qui offrait un cadre de vie
articulé
autour d’un développement humain et qui, du même jet
offrait
un rempart naturel contre l’arbre de la science et du savoir.
Le
dédale de la science et du savoir. L’accession au savoir qui
n’était
pas maîtrisée par la société, engageait une
spirale incessante, qui égrenait toujours les mêmes
étapes
et menait toujours au même endroit.
L’homme
se lançait dans une conquête du savoir
débridée,
dont l’issue était toujours la même, puisque le savoir
finissait
toujours par devenir l’objet de sa propre puissance, échappant
au
passage le fameux « un pour tous », pour ne laisser
que le « Tous pour un ».
Du
luxe et de l'opulence des riches, survient la loi de l'Airain. La
loi d'airain de l'oligarchie, est un concept utilisé en
sociologie
pour qualifier la tendance de toute organisation à
sécréter
une élite oligarchique. C'est notamment le cas au sein des
partis
politiques. En politique, c'est aussi la division entre une
minorité
dirigeante et une majorité dirigée. L'organisation est la
source d'où naît la domination des élus sur les
électeurs,des
mandataires sur les mandants, des délégués sur
ceux
qui les délèguent. Toute organisation engendre des
relations
de domination. Des processus de différenciation interne et de
division
du travail se mettent en œuvre, et à mesure que l'organisation
partisane
se développe, on voit émerger une bureaucratie
peuplée
par des dirigeants professionnels. Ceux-ci vont s'appuyer sur la
maîtrise
des ressources collectives dégagées par l'organisation et
vont développer des savoirs faire qui leur permet de recueillir
des mandats et des responsabilités. Ils deviennent presque des
chefs
inamovibles. Cela signifie que l'organisation crée des
dirigeants,
qui deviennent indépendants des masses et coupés de leur
contrôle. C'est un processus de captation du pouvoir. Qui dit
organisation,
dit oligarchie.
Si
l’argent et l’or faisaient fonctionner le royaume aujourd’hui, le
savoir
en assurait la pérennité.
Un
jour ou l’autre, il finissait nécessairement par y avoir un
petit
malin qui comprenait que son pouvoir, son luxe et celui de sa
descendance,
ne tenaient qu'à une équation simple dans laquelle il ne
suffisait que de multiplier le nombre de sujets par la quantité
de ressource qu’il pouvait leurs subtiliser sans révolte tout en
s’assurant une position imprenable.
Le
maximum de plumes, avec le minimum de cris. L’exploitation
caractérisée
démarrait.
Inéluctablement,
l’exploité et l’exploitant se polariseraient et deviendraient
rapidement
des animaux différents.
«
Lorsque le génie demanda au lion quel serait son premier
souhait,
il répondit qu’il désirait que tous les sujets de son
royaume
soient transformés en génisse. »
La
protection et le respect de la loi, furent remis aux Adams, qui le
firent
plutôt « religieusement », établissant
une relation de domination sur les Èves.
Les
Èves trahirent la loi divine et entraînèrent
l’homme
dans leurs sillages, occasionnant le péché originel, ce
qui
eut pour effet d’expulser Dieu du sous-sol de la terre qu’ils
occupaient.
Prétexte
social, l’endroit, l’époque, une technologie adaptée, un
comportement inadapté, une allégorie?
Quoiqu’il
en soit, en quittant il changeait la donne. Il fut dit que Dieu
n’était
pas satisfait de sa création et qu’il raya l’humanité de
la surface de la Terre, pour ne laisser comme tant de fois dans
l’histoire,
qu’un endroit réduit possédant un environnement viable,
d’ou
l’humanité pouvait reprendre pied.
Survient
alors un homme doté d’inspiration « divine »
qui, à une époque où l’homme ne possède pas
la connaissance de la navigation, reçoit l’ensemble du savoir
concernant
les grands cycles, en plus d’un plan de montage décrivant la
construction
d’un navire qui ne s’appelle pas navire, mais « Arche »,
avec à son bord tout le gréement du colonisateur,
Noé.
Une
puissante redoute, faisant office de pont d’arche au moment du passage
d’un monde à l’autre. Un véhicule qui servirait à
faciliter le passage d’une petite portion de l’humanité en
direction
d'un Nouveau Monde durant cette période de grandes
perturbations,
une période similaire à celles que nous vivons
actuellement.
«
Solidement élu »
dira t’on, au vu de la masse gigantesque d’informations que l’individu
reçoit. On ne peut qu’être surpris d’une telle
capacité
humaine, si on estime le niveau de civilisation présumé
de
ce peuple à celui prétendu par la société
moderne.
D’autre part, L’Arche était une construction imposante et on ne
peut qu’être étonné de la richesse d’un Noé,
qui possède manifestement beaucoup de moyens pour entreprendre
une
telle réalisation.
Le
faire, à une époque où la navigation n’existait
pas,
sans aucune intelligence du sujet, relève du pur délire.
Va
pour l’invention du rasoir à 5 lames, mais à la lecture
de
ces textes, on ne peut s’empêcher d’avoir l’impression incongrue
de le retrouver dans les mêmes couches géologiques que le
silex bifaces.
Les
fameuses révélations divines conduisant à la
réalisation
de l’Arche, se firent en réponse au péché
originel,
celui pour lequel Adam et Ève mangèrent du fruit de
l’arbre
du savoir et furent expulsés du Paradis Terrestre. L’Arbre du
savoir
auquel Ève et Adam puisèrent, était une
référence
au savoir préadamique.
Ce
principe qui n’a pas été contesté alors, ni
contesté
depuis, le départ de Dieu n’avait sûrement pas
freiné
cette ardente quête du savoir.
Seulement
voilà que le combat de David survenu plusieurs
générations
plus tard, et la carte de Hereford, nous enseigne que les géants
ont survécu bien après le déluge de Noé. La
génération préadamique ne s’est pas
terminée
avec le déluge, ni plus qu’avec l’histoire fabuleuse du combat
de
David contre Goliath.
Doté
d’une stature, d’une puissance physique et d’une durée de vie
bien
au-delà de l’homme moderne, doté de la puissance
formidable
héritée de la science de leurs ancêtres, il y a
fort
à parier qu’ils ne sont pas étrangers à la
création
de la génération adamique et à certaines
rectifications
de notre société de l’ancienne histoire.
De
plus, le raffinement d’un tel plan et l’intelligence qu’a
nécessitée
la mise en place d’un échafaudage aussi vaste enjambant les
âges,
laisse un doute quant à sa possible provenance d’une forme de
vie,
à durée aussi limitée que la nôtre. Bien
qu’on
veuille voir à cet endroit une fracture dans le temps, elle
apparaît
sous cet angle beaucoup plus comme un chevauchement. Et c’est de ce
chevauchement
que Noé apparaît en relation divine.
Le
déluge biblique fut appelé déluge pour signifier
l’extraordinaire
singularité d’un tel évènement. Si des auteurs
modernes
et beaucoup de scientifiques de salon, appliquent à ceci
l’étiquette
facile de « mythe » à l’égard de
l’expérience
des 300 dernières années et s’il est facile d’en
réduire
la portée à un village côtier détruit par
les
quelques vagues d’un tsunami pépère ayant fait des
grosses
peurs, rien n’est plus faux.
Bien
qu’il faille tenir compte d’une glaciologie différente et plus
importante
que celle d’aujourd’hui redisposant les terres arabes en
quantité
réduite, le résultat fut simplement une abomination, hors
de proportion avec ce que l’homme moderne est en mesure d’imaginer. La
mer couvrit soudainement l’ensemble des terres habitables,
au-delà
des plus hautes montagnes, laissant la planète dans un
état
de délabrement total.
Nous
devons nécessairement présumer d'une certaine limite dans
l’évaluation de ces gens. Parler de la planète comme
terrain
de comparaison à une époque aussi lointaine serait peu
réaliste.
Il faut donc raisonnablement réduire leurs univers aux terres
habitables
et aux chaînes de montagnes environnantes, quelques milliers de
kilomètres
carrés d’après les cartes de la Terre Sainte.
Les
montagnes prenaient aux yeux de ces gens une importance infiniment
supérieure
à celle que nous possédons. Le recul des glaciers et la
bascule
des plaques tectoniques modifiaient sans cesse le cheminement et les
caractéristiques
des cours d’eau, rendant impossible le repérage maritime au long
terme sur ces seuls attributs. Au regard d’un marin sur la mer, chaque
crique et chaque bras de mer sont susceptibles d’être une
embouchure
de rivière, qu’il faut visiter pour en établir la
référence.
Il n’y avait qu’une seule vraie référence qui ne
changeait
jamais de place dans la navigation à vue, la montagne.
Avant
même l’invention du parchemin et du papier, les navigateurs
commerciaux
eurent besoin de cartes, permettant de mémoriser la forme de la
côte. C’est à ces fins qu’étaient utilisés
les
objets cartographiques sous forme de déités,
représentant
le territoire de la nation, dans laquelle la découpe du
personnage
et sa position, reflétaient le dessin de la côte et les
limites
de la royauté. Comprendre ensuite qu’ils pouvaient s’appuyer sur
le soleil et une infinité de formations d’étoiles pour
aller
dans la bonne direction et atteindre ladite côte, n’était
plus qu’une formalité.
Le
soleil, la multiplicité des étoiles dans le ciel et
l’infinité
des appuis qu’elles offraient, permettait à tout bon navigateur
d’arriver dans la bonne région. Les objets cartographiques et
les
montagnes faisaient le reste du travail.
Mais
les montagnes étaient importantes pour plusieurs raisons. Le
danger
constant qu’encourraient les cités antiques d’être
attaquées,
prêtait au plateau ou au sommet de montagne, une position facile
à défendre et quasi imprenable. La vaste majorité
des montagnes utilisées étaient tronquées et
aménagées
en cités, qui servaient de plus de réserve alimentaire et
de dernier refuge en cas d’attaque pour la communauté
dépendante
qui se développait en dessous.
D’une
part, la pression atmosphérique élevée de la
planète
réduisait les écarts entre des régions au climat
tropical
et celles au climat glaciaire, rétrécissant d’autant les
endroits susceptibles de porter la vie. Très tôt, ils
apprirent
à tirer parti de la fraîcheur apportée par les
montagnes
de la plaine pour construire leurs refuges. Ils pouvaient ainsi
profiter
d’eau fraîche et de glace en tout temps de l’année.
Mais
encore, la recherche d’un lien d’illumination divin,
considéré
comme un trésor incomparable, était une constante
préoccupation.
Cette capacité d’induction étant en relation directe avec
la présence d’un éther pur que le sommet des montagnes
favorisait
nettement par l’angle d’incidence solaire, précédant le
lever
de soleil et la température plus fraîche. L’ermitage,
cette
retraite au sommet d’une montagne, visait à profiter de cette
même
induction durant des périodes ou les cités cessaient
d’exister.
De
tout temps et encore à l’époque moderne, les descendants
de la noblesse européenne qui s’installèrent en
Amérique,
se réservaient tous les sommets en retrait des villes, ou ils se
construisaient de véritables refuges.
Alors
qu’on ne retrouve rien de notre ancienne histoire au-delà de
quelques
millénaires, il existe néanmoins quelques artefacts
impeccables,
qui nous en sont parvenus.
Des
artefacts toujours enluminés d’une aura religieuse et attirant
beaucoup
d’engouement, qui se distinguent par leurs très grandes
conformités
à l’ancienne histoire. Une conformité quasi magique,
tout
à fait impossible.
Ainsi,
si l'on considère que les réseaux de montagnes
apparaissant
sur les anciennes cartes de la Terre Sainte devront être
représentés
avec beaucoup de détail et de précision ; que les
côtes
et le réseau hydrique apparaissant sur les anciennes cartes, ne
seront aujourd’hui en rien comparables à la côte
réelle
; que le climat de la Terre-Sainte a nécessairement
évolué
; que le mont Ararat se démarquant par sa hauteur, doit
nécessairement
se retrouver dans l’environnement immédiat de la Terre Sainte et
à distance raisonnable d’une région de départ
située
aux alentours de l’actuel Nord canadien ; si on considère que
l’homme
d’alors n’avait pas d’intérêt pour les terres
situées
en deçà du quarantième parallèle, l’actuel
État de Palestine en Cisjordanie et sa ville de Jerusalem, ne
pouvaient qu'être des faux.
Le
Vatican et Jerusalem, sont de ces d’endroits plus vrais que nature,
dignes
d’une mise en scène hollywoodienne.
Simple,
cette nouvelle Jerusalem dans cet état Palestinien,
ce Vatican dans cette Rome, cette ancienne Grèce
et
toute l’histoire jusqu’à la fin de la période classique,
ne pouvaient pas s’être déroulés à l’endroit
ou ils sont.
Ce
ne sont que des simulacres Hollywoodiens, qui furent
créés
que pour éluder le commun et qui, jusqu’à une
époque
relativement récente, étaient sans intérêt
pour
nos ancêtres.
Ancien
Mandala tibétain avec 6 climats identifiés
Selon
les époques et en excluant 2 climats en deçà du
38e
parallèle, qui furent créés par les modernes, de 2
à 7 climats existaient. La définition de ces «
climats
» était beaucoup plus vaste qu’elle ne l’est
aujourd’hui
et indiquait une échelle de la valeur de l’éther, qui
trouvait
son apogée au pôle Nord et décroissait ensuite
jusqu’au
38ième parallèle, pour n’avoir plus de valeur ensuite.
Ce
septième climat, le moins intéressant de cette
échelle,
entourant la terre ne descendait pas au dessous de la côte nord
de
la Méditerranée ou de la Caroline du Sud.
Valeur
profondément établie, il ne serait jamais venu à
l’idée
de quiconque de s’établir ailleurs que dans les plus hautes
terres
fertiles possible, de façon à bénéficier au
maximum de cette inspiration divine induite que nous appelons
couramment
intuition, ainsi que d’un climat apportant un peu de fraîcheur.
Ces
climats, cet éther ne variait pas qu’en latitude, mais aussi en
longitude, laissant apparaître une de ces crêtes au dessus
de la côte ouest-américaine (1), de l’Europe (2), une
troisième
au-dessus du Tibet (3) et une dernière au dessus de la
côte
est américaine (4), tous lieux des plus hautes chaînes de
montagnes du monde, des reliefs occasionnés justement par cet
éther.
Suivant
la lente ronde des planètes, ces crêtes se produisaient en
succession, attribuant pour de courtes périodes une
poussée
d’éther importante à la latitude donnée et plus
encore
dans une région circonscrite apparaissant au zénith du
soleil
lors de son passage dans ces régions, impliquant une crête
mensuelle, une crête annuelle et une mégacrête se
produisant
au fil des grands cycles.
Cette
énergie vitale en quantité démesurée, se
retrouvait
dans l’air et dans la pluie, s’imprimait dans le sol pour se diffuser
ensuite
lentement. Cette rosée « bénie »
était
consommée avec respect et parcimonie. Dans les périodes
les
plus intenses, elle donnait lieu à une eau extrêmement
nourrissante,
qui se corrompait rapidement, et qui fut appelée dans l'histoire
la manne ou Mâna.
Ces
régions devenaient des endroits de prédilection pour
l’ermitage
et les sanatoriums.
Véritable
Eldorado du moine ou du noble, cette distribution d’énergie
divine
pouvait être prédite en suivant la ronde des
planètes
selon l’astrologie chaldéenne. La venue de ces portails de temps
et de location, faisait l’objet de beaucoup de recherche et d’analyse.
Les gens qui y avait la chance de s’y baigner étaient
révérés,
écoutés, questionnés, touchés comme des
saints
et étaient en mesure de réaliser des prouesses
étonnantes,
qui n’ont rien de la magie.
Ce
sont ces gens à l’inspiration divine appelés «
saint» dont
témoignent la bible et d’autres anciens textes, que nous
qualifierions
simplement « d’intelligents comme un singe », au vu
de notre savoir moderne.
Mais
les trois axes de chute n’étaient que similaires. Si
l’illumination
des autres terres produisait leurs lots de saints et il n'y aura
qu'à
évaluer les populations qu'elles couvrent pour s'en assurer,
elles
ne possédaient pas la richesse de celle de la côte est
américaine.
Appelé
Terre Sainte non pas à cause de son appartenance sectaire ou
tribale,
mais parce que cette terre, de par sa localisation, avait produit plus
de ces saints individus, que toute autre terre de la planète.
Saint
: Origine de l’ancien français « sain » et
signifiant
incorruptible.
Pourquoi
donc se donner tant de mal pour faire disparaître 20,000
kilomètres
carrés alors qu’il aurait été beaucoup plus facile
de ne pas s’en préoccuper ? Pourquoi toute cette mise en
scène
et ces tueries, pourquoi tout cet acharnement sur l’histoire et
pourquoi
dépenser autant de temps à nous faire croire que tout ce
cirque est légitime, alors qu’il était manifestement
beaucoup
plus simple de tout raser et de se reproduire une nouvelle
génération
d’individus, qu’ils seraient à même d’éduquer
à
leur main et qui pourrait-être laissée dans l’ombre de
l’histoire
?
Nabuchodonozor,
Alexandre, les Romains. Déportation des populations locales.
Croisement
avec certaines lignées héréditaires, inapte
à
bénéficier de l’induction pour créer. Mise
à
mort des premiers-nés visant à éliminer toute une
couche de la population, prédisposée par leur naissance
à
bénéficier de cet effet.
Ce
n’est pas faute de ne pas avoir essayé, mais en dépit de
toutes leurs tentatives, de leurs efforts, de leurs puissances, leurs
artifices
et leurs richesses, ils en furent tout à fait incapables
à
ce jour. Quoi qu’ils firent, ils n’arrivèrent pas à
contenir
cette vague d’éveil, durant laquelle des individus et parfois
des
cités entières, acquéraient tout d’un coup, des
aptitudes
singulières à la perception de leurs environnements et
à
la compréhension du monde qui les entourent.
Bienveillant,
présence remarquable, fine intelligence, brillant orateur,
attrayant
à l’oeil et à l’oreille, sensible et empathique, ces
individus
parlaient de choses que la population avait le goût d’entendre et
d’une façon agréable à entendre. Elles avaient le
goût d’écouter.
Un
magnétisme humain incontestable, inexplicable.
Galiens
transportant une grappe de vigne.
Une
soudaine poussée de vie étonnante.
Pour
ajouter à l'irritation de la classe des maîtres, il y
avait
de plus cette sempiternelle obsession pour ces illuminés
à
travers les âges, d’obliger à un retour et une remise en
question
sur un choix fondamental de l’organisation de société, «
Un pour tous » ou « Tous pour un ».
Famille,
cellulaire, animale, cérébrale, humain, ce choix est si
fondamental,
qu’il concerne l’organisation de la vie elle-même, quelle qu’elle
soit. Votre foi, votre rate, votre cerveau n’ont pas à
quémander
au reste le sang indispensable qui les nourrit et leur permet de faire
leur travail. Au contraire, tous partagent un bassin de nourriture,
dans
lequel ils puiseront pour assurer leur viabilité ou poursuivre
leur
activité, en rapportant le maximum de bénéfices
à
l’ensemble. Dans cette organisation « Un pour tous »,
nous en dirons simplement que tous les besoins de base sont
assurés
pour une masse d’individus, qui devront en échange pourvoir
à
la tâche et ajouter à la communauté à
laquelle
elles appartiennent.
Mais
notre organisation de société n’est pas un « un
pour tous », mais un « tous pour un ». Ce
type d’organisation, ne peut-être comparé autrement,
qu’avec
certains parasites qui s’abreuvant de sève ou de sang,
étrangleront
le passage abreuvant les organes de l’hôte, de façon
à
limiter minimalement le passage du liquide nourricier, pour en
conserver
l’utilisation à leur usage propre.
Notre
société est axée sur la possession. C’est la
raison
du système d’économie, de lois et d’élitisme que
nous
possédons. La gestion de la possession. Comme la possession est
au centre de notre univers, l’humain reste accessoire et n’est plus
cultivé
que pour assouvir le centre de la société, la possession.
Les
lois du marché sont précisément comme les lois de
la jungle dans laquelle, il n’y a que le sommet de la chaîne
alimentaire
qui est roi et maître. La possession n’est pas une fin, elle est
un processus et ce processus engage absolument à la mise en
place
de classes de société, en surenchérissant la
concentration
des possessions. Une direction qui ne peut aboutir ultimement que dans
une course à deux vitesses, l’unique
maître-propriétaire
et les soumis.
Une
lignée de lion qui ne s’éteindra plus jamais.
Au
contraire, une société humaine « un pour tous
»
n’est plus axée sur la possession des choses, mais sur le
développement
des gens. Comme la réserve d’énergie, de sang, de
sève
ou d’argent appartient à tous, il n’y a plus de possession.
L’argent
représentant un moyen d’échange devient inutile à
l’intérieur de la communauté qui est un organisme entier
et ne deviendra nécessaire qu’avec des organismes
extérieurs,
comme une autre communauté.
S’il
n’y a pas d’argent, il n’y a pas d’économie et pas de
système
de lois de possession. Chaque enfant est cultivé avec soin et
chaque
individu participe bénévolement au bien-être de sa
communauté, en apportant sa contribution en fonction de ses
aptitudes,
au fur et à mesure que les besoins se présentent.
Ces
communautés attachées en « tous pour un
»
ont toujours existé. Tous les villages du monde
possédaient
une organisation similaire jusqu’à l’orée du 20e
siècle.
Beaucoup de petits villages et communautés du monde,
possèdent
encore aujourd’hui une telle structure. Ces communautés
reposaient
sur une liste de lois morales simples qui étaient dites «
de Dieu », sous la supervision d’un patriarche local, que
la plupart des gens simples et honnêtes mettent en oeuvre de
toute
façon.
Elles admettaient une loi d’égalité, dans
laquelle, si un a droit à une portion de gâteau, l’autre
aussi,
tout comme dans une famille étendue.
Pensons
à ces communautés Amish, ou Quakers, à Lycurge de
l'ancienne Grèce ou même cette fameuse « Utopia
»
(voir le texte Utopia), qui n’a rien d’une utopie et qui avait
réussi
à pousser cette structure à un autre niveau, englobant un
ensemble de communautés dans une grande société,
promulguant
les mêmes valeurs et les mêmes règles.
Toujours
à l’origine de mouvement beaucoup trop rassembleur aux yeux des
conquérants, qui voyaient de très mauvais oeil
l’implantation
d’une philosophie n’autorisant pas d’autres maîtres que le livre
ou le Dieu et le patriarche, et pour lesquels l’idée de
travailler
pour un autre en échange d’argent n’était qu'esclavage,
la
mise en place d’une telle philosophie signifiait la mort de tout
élitisme
héréditaire. Un véritable assassin du tous
pour
un, tout devait être fait pour enrayer ce mouvement, seul
écueil
à la grande mise en place finale et sans appel du pouvoir ultime
éternel, le grand rêve romain, le nouveau dieu, le
totalitarisme.
En
ajoutant une masse incessante de nouveaux venus en provenance de
l’extérieur
dans une communauté étendue impossible appelée «
ville », et en obligeant la communauté à les
recevoir
et à les supporter comme les leurs, l'Empire les alourdissait
d’individus
oisifs, facilitant la corruption de l’esprit communautaire et
l’instauration
d’un régime tous pour un.
En
dépit de cette corruption, l’impact des fenêtres
d’illuminations
était si important, que malgré tous les efforts de la
classe
noble à ce jour et en dépit de toutes leurs sciences, ils
furent incapables de contrôler le phénomène et de
combattre
de face le soulèvement populaire résultant.
Devant
cette impuissance et pour éviter toute contamination avec le
reste
de l’empire, il choisissait la stratégie du blocus, en isolant
totalement
la région touchée, tant que le contrôle de la
situation
n’était pas repris par l’intermédiaire d’un sarclage et
d’un
nettoyage systématique des « contaminés ».
C’est
ce qu’ils ont fait à plusieurs reprises et c’est ce qu’ils
feront
encore !
Ainsi,
par la guerre, par l’économie, par la maladie, par le
dépeuplement,
par le piratage, par la criminalité, par la destruction, ils
briseront
l’Amérique et la couperont des autres continents. Ils la
diviseront
en petites royautés pour isoler le rayonnement de ce
prétendu
mal, autant qu’il soit possible de le faire. Ceci est la raison des
frontières
et des enclaves linguistiques comme le Québec, offrant un
rempart
de protection supplémentaire contre cette contamination
d’idées.
Beaucoup
de documents significatifs de l’histoire sont ainsi
réfugiés
dans une langue ou l’autre, inaccessibles à moins d’en payer le
prix fort. C’est la prophétie du colosse de Babylonne qui, tout
invincible de métal, possède
néanmoins
un talon d’argile qui mènera à son effondrement en
pièces.
Une
prophétie, un plan, une tactique, une stratégie de
guerre,
un poison violent, qui a été utilisé aussi souvent
que nécessaire et qui emmure à chaque fois un peu plus
haut,
l’expression de cette force.
Un
plan ultime, dans lequel serait appliqué un grand tour de magie
qui ferait disparaître la Terre Sainte.
«Comme
on savait, par les récits des chrétiens arabes et coptes,
que le christianisme un peu grossier de ces peuples lointains
permettait
l'alliance du sacerdoce avec la dignité royale dans la personne
du souverain, ce dont on a la preuve par les témoignages des
auteurs
coptes et arabes, tel que Sévère, évêque
d'Aschmounaïn,
et Abou-Selah, il n'en fallut pas davantage pour transporter dans les
régions
centrales de l'Afrique les États du prêtre Jean, qu'on ne
savait plus où placer, et qu'on n'avait jamais bien connus.
Comme
la géographie plaçait aussi dans l'Inde ces pays de
l'Afrique,
et qu'on regardait comme certain que le prêtre Jean avait
régné
dans l'Inde, l'illusion fut complète, et l'on put dès
lors
regarder comme constant que c'est de l'Orient même,
c'est-à-dire
de l'Égypte et de la Syrie que vint l'opinion erronée qui
plaçait le prêtre Jean en Afrique.» Relations
des quatre voyages entrepris par Christophe Colomb
Un
plan dans lequel l’illuminé divin des Anciens, ne deviendrait
rien
de plus qu’un illuminé de la psychiatrie, vêtu
d’une
camisole de force et prêt à partir pour l’asile.
Le
savoir, jusqu’alors propriété de la noblesse, fut
successivement
nettoyé pour ne laisser au commun, que ce qui serait utile
à
l’établissement de la société industrielle
à
venir, sans plus.
Le
traquenard de la géographie et de l'histoire
Selon
l’histoire officielle, alors que la terre était plate et que les
navires pouvaient tomber dans le néant, Colomb «
cherchait
un passage pour l’Inde située dans l’Orient » et
aboutit
par erreur sur les côtes de l’Amérique, qu’il appela
«
Inde ».
«
Il
est à remarquer que les nombreuses pièces
relatées,
lettres ou indications du moyen âge, qui se rapportent au
prêtre
Jean, ne manquent pas de placer son royaume dans l'Inde ou dans la
Grande-
Inde. On l'appelle Rex Indorum, dominator et imperator Indice, et son
pays,
Major pars Indice, ou la Grande-Inde (Hist. hierosol., liv. I, chu p.
76,
et Plan Carpin, chap. 5).Relations des quatre voyages entrepris
par Christophe Colomb.
En
réalité, les « Indes » comme nous les
connaissons
aujourd’hui, n’ont jamais existés avant la découverte de
l’Amérique et était appelé l'Inde ou Linde.
Les
anciennes cartes de navigation montraient un océan Pacifique,
recouvert
de glace en partant de la côte de Chine jusqu’à celle de
l’Amérique,
ne laissant que les zones cotières dégagées comme
le Ceyland et l’île de Taprobane, qui ne furent nommées
«
Inde Orientale», qu’à partir d’une époque
récente.
Comme la chape de glace recouvrait l’Inde et la grande mer, il devenait
facile d’en donner le même nom aux deux extrémités.
« Inde » devint « Indes », un combiné de
l’Inde orientale, territoire appelé jusqu’alors « Ceyland
», et l’Inde occidentale, l’Amérique.
Le
«
Christ of Colomb », il va sans dire un nom d’emprunt dont il
n'existe pas de représentation, savait parfaitement où il
allait. Il cherchait un passage pour l’Inde situé en orient de
l’Europe,
et que c’est précisément ce qu’il trouva.
«
Le 30 juillet, il devine que la terre est proche, mais l'eau et les
provisions
commencent à manquer, et il songe à virer de bord,
lorsque
le mardi 31 juillet, à midi, un matelot à son service
personnel,
signale de la hune, à l'ouest, trois pics de montagne
reliés
à la base. Colomb se trouvait à la pointe sud-est de
l'île
de la Trinité.
L'Amérique
avait été découverte
avant Colomb, mais le
secret
en avait été bien gardé. »
Oscar
Wilde.
À
partir de ce jour, l’Orient cessait d’être une direction, pour
devenir
un endroit.
À
quoi bon conquêtes et guerres, puisqu’après sa
disparition,
il n’y avait plus qu’à découvrir et posséder
l’Amérique.
Ces
changements engageaient rapidement à la popularisation d’un
autre
nom pour les Indes Orientales et furent appelés «
Amérique
», qui n’était qu’une évolution du mot «
Amerech », lui-même dérivé du mot «
Armorique », un territoire qui fut plus tard assimilé
à une province française.
«
Dans la Gaule Celtique, une partie portait le nom d’Armorique, et les
peuples
qui l'habitaient s'appelaient Armoricains. Suivant l'abbé
Déric,
ce mot « Armorique » vient des mots bretons « Ar –
Moor
– rich », province située sur la côte bretonne
». Le
Lycée Armoricain
«
S'il est vrai que saint Gildas ait prêché
l'évangile
en Irlande sous le Roi Ammerick qui ne commença à
régner
qu'en 56o, il faut qu'il soit retourné en ce pays de l'Armorique
où il s'était retiré en 527. Pour saint Gildas,
surnommé
l'albanien, il ne peut avoir prêché en Irlande dans le
temps
dont nous parlons, puisqu'il était mort.» Vies
des pères, des martyrs et des autres principaux saints
Alléluhia,
une nouvelle Terre Sainte naîtrait du désert.
Les
Indes, Armorique, Amerech, Galilée étaient partie
intégrante
de l’Asea d’origine, l’endroit ou était situé la Terre
Sainte,
berceau d’accueil de l’humanité et identifié sur la carte
de Le Danois par le nom de « Vinhland » à la
frontière
du Vermont et du Québec.
Cette
carte montrait une bien curieuse planète. Une planète qui
ne comprend qu’une seule communauté humaine d’apparence
complexe,
ce griffonnage situé à la hauteur du Vermont. Le reste
étant
constitué d’avant postes, qui prennent l’apparence de comptoirs
commerciaux.
L'Empire Normand
Le
reste, était simplement biffé du savoir.
Hérésie
Il
y a 5000 ans, suivant d’une porte d’Hercules particulièrement
sévère
ayant transféré la calotte polaire au-dessus de l’Europe
et de l’Asie qu’elle recouvrait en grande partie, le Pacifique
d’aujourd’hui
était alors couvert de glace qui le rendait inaccessible
à
la navigation autre que côtière.
L’impeccable
verdure du Sahara, période au cours de laquelle avait
été
construite les grandes pyramides, était disparue depuis
longtemps
ne laissant que désert et sable.
À
l’exception de quelques îles de la Mediterranée et de
l’Atlantique;
à l'exception d’une étroite bande de côtes à
la lisière sud de l’Europe continuellement
déchirée
entre la glace, l’eau et le désert; à l'exception de
l’actuel
désert de Gobi qui donna naissance à la race asiatique;
à
l'exception des îles du cercle de feu; le « vieux »
continent
était peu habitable.
En
Amérique la chape de glace du pôle s’étendait du
Pacifique,
jusque dans les grandes plaines du Canada, ou elle se greffait à
un espace verdoyant englobant l’Ontario, le Québec et les
états
de la nouvelle Angleterre.
Au
sud, la montée des eaux avait commencé à engloutir
les grandes plaines entre la côte mexicaine et les îles, ne
laissant que la côte d’un Yucatan et d’un golfe du Mexique
étendu.
Le reste de l’Amérique n’était qu’un désert
profond,
incapable de soutenir la vie.
Dans
sa phase la plus sévère, les portes d’Hercules nous
laissèrent
avec une planète qui n’avait guère plus de 10 à
15%
des terres cultivables actuelles, rétrécissant d’autant
le
parc humain qu’elle est en mesure de supporter.
Tout
ceci ne se produit pas au hasard. La quantité d’éther
reçu
par la planète varie peu au fil des longues périodes et
dirige
l'ensemble du climat, mais la dimension de la surface qu'elle affecte,
variera et changera son intensité en relation. La ronde
planétaire
modifiera par bonds successifs la projection de l’éther au cours
d’une période de 5000 ans, passant d’un rayonnement intense sur
une petite surface rendue très luxuriante, à un
rayonnement
couvrant la quasi-totalité de la planète, mais avec une
intensité
relâchée cette fois, supportant moins bien la vie, comme
c’est
le cas présentement.
Bien
qu’il y ait aussi une variation séculaire modifiant
légèrement
les aires, le tout se joue en 5 grandes étapes de 1000 ans.Chacune
de ces « Portes d’Hercules » remodelant
radicalement
la face utilisable de la planète en quelques décennies
à
peine, à grands coups d’inondations, de pluie, de froid, de
chaleur.
Le
peu d’informations que nous possédons sur ce sujet, porte
à
croire que l’ensemble se joue en 7 étapes de 1000 ans et inclut
une première période de 400 ans avec une chaleur et une
sécheresse
incomparable à travers toute la planète, ne laissant
aucune
source d’eau potable à l’exception du pôle Nord.
Nous
en sommes présentement à la toute fin de la
septième
étape.
Bien
que ceci ne soit mentionné nulle part, il est aujourd'hui
plausible
de croire que cette sécheresse planétaire n'affectait pas
non plus le pôle Sud. D'une part, la datation du centre de la
chape
de glace démontre une durée nettement supérieure
aux
grandes crises climatiques et implique qu'il y a à cet endroit
une
glace quasi éternelle. De plus, d'anciennes cartes comme celle
de
Piri reis, qui laisse apparaître une terre partiellement
dégagée
et connue, ainsi que des artefacts retrouvés par une
équipe
scientifique russe en périple sur le pôle Sud il y a une
décennie,
laisse croire que cet endroit servit de refuge durant cette
période
de grande sécheresse.
Ce
changement de la nature des terres, passant de cultivables à une
totale stérilité, soit par l’eau, le soleil, le froid,
furent
à l’origine de toutes les grandes migrations humaines que la
planète
a connues.
Ce
qui était l’eldorado lorsqu’une nouvelle région
verdoyante
s’ouvrait, devenait un enfer lorsque l’inverse se produisait et
déversait
ailleurs des milliers de réfugiés du climat et engendrant
frictions et guerres incessantes entre les groupes culturels pour la
possession
des terres.
Cette
seule raison fut à l’origine de la construction des multiples
murailles
construites à travers les âges. Le mur d’Antonin, la
muraille
de Chine ne sont d’aucune utilité pour contenir une
armée.
À l’instar de celle séparant Israel de la Palestine et
cette
autre, sur la frontière États-Unis-Mexique, elles n’ont
pour
but que d’empêcher les grands mouvements humains faisant suite
aux
nombreuses famines ayant constellés l’histoire.
De
plus, la valeur ajoutée par la Terre Sainte, qui au contraire
des
autres joyaux ne pouvait être emportée dans les bagages
des
rois, compliqua grandement le puzzle final.
Quelque
part autour de l’an -1000, à l’approche de l’une de ces fameuses
portes, il fut décidé par l’association des puissants, de
faire soigneusement disparaître la Terre Sainte de la culture
populaire.
Ceci avait comme avantage de conserver ces matières royales
entre
les mains de gens prédisposés à s’en occuper, les
rois, et permettait du même coup de mettre une sourdine populaire
sur l’approche des grands changements, qui occasionnaient toujours
beaucoup
de perturbations dans la société.
Ce
privilège de la connaissance de la vraie histoire, était
ensuite redonné sous le sceau d’un secret hermétique,
à
une classe privilégiée au gré de chaque roi, qui
évidemment
incluait toujours leurs propres descendants et leurs favoris.
Ainsi
à l’ouverture des nouvelles terres, chacune des royautés
se voyait attribuer une seconde terre dans cette nouvelle
région,
dont les caractéristiques générales étaient
similaires à la royauté existante et sur laquelle, chacun
des rois aurait la responsabilité de nettoyer les autochtones
les
plus réfractaires et celle de construire un réseau de
cités,
imitant à la perfection la royauté d’origine, mais cette
fois avec une nouvelle populace tirée des autochtones, à
qui leurs racines furent enlevées.
Rien
de nouveau sous le soleil, l’élite est blanche. À
l’exclusion
de quelques endroits, la plupart des pays du Monde, sont sous la
domination
d’une élite à la peau délavée, qui va
même
comme en Argentine et au Brésil, jusqu’à s’enfermer dans
des ghettos de luxe entourés de palissades en plein centre des
villes
et villages. Pour eux, comme pour nous et le reste de la
planète,
ce sont des Argentins et des Brésiliens, puisqu’ils y sont
nés,
mais pour la population descendante des autochtones, ils sont d’une
autre
couleur, ce sont des blancs. Ils y occupent tous les postes
d’influences
au gouvernement et sont collectivement propriétaires de tout ce
que le pays produit.
Au
contraire, Cuba et le Vénézuela ne font plus partie de
ces
pays. Leurs révolutions visaient directement l’expulsion de
l’élite
dite « Impérialiste » des commandes du pays. Ce
faisant,
ces pays parias s’alignaient dans un « axe du mal» au
vu de l'Empire qui n'en profitait pas et se retrouvaient par la suite
et
encore aujourd’hui au ban du commerce international.
Castro
et Che Guevara, les auteurs de la révolution cubaine,
étaient
eux-mêmes des enfants de cette élite blanche, qui furent
écroués
pour leurs idées révolutionnaires. Ils laissèrent
à Cuba une démocratie qui, au contraire de celles de
l’Empire
de l’Ouest, ne possède pas les mécanismes de corruption
permettant
d’outrepasser les volontés du peuple.
Lorsque
le Che, fort de ce succès, repartit en Bolivie avec
l’idée
d’y faire la même chose, il fut capturé et aussitôt
assassiné froidement sous les ordres du général
Barrientos,
ancien pilote américain et allié de la CIA.
Profitant
des quelques décennies de grandes perturbations du passage du
1000
et des particularités des anciennes cartes marines, ils
n’avaient
plus qu’à rééduquer la nouvelle
génération
de marins, à une nouvelle cartographie et une nouvelle Terre
Sainte
«
Hollywoodienne ».
À
la fin du cycle de 5000 ans, moment où la dimension des surfaces
habitables s’effondrait pour se recentrer sur la Terre Sainte, chaque
roi
avait alors la responsabilité de déterminer ceux qui
allaient
posséder un sauf-conduit pour la terre d’origine, ainsi que le
sort
du reste de la populace en famine qui s’accrochait
désespérément
aux terres colonisées.
Grâce
aux famines, à l’injection de maladies contagieuses, aux guerres
factices et à un constant harcèlement, il était
possible
de réduire la population et fermer le territoire. C’est
précisément
ce qui se passe aujourd’hui sur le pourtour de la
méditerranée
et dans les pays orientaux.
Avantage
collatéral non négligeable, ils avaient compris depuis
longtemps
que les mines étaient des centaines de fois plus productives
lorsqu’elles
étaient pratiquées au-dessus des sites, autrefois
occupés
par les anciennes villes et dont les fondations reposaient à
quelques
mètres sous la terre. Cette profusion extraordinaire
n’était
rendue possible que par l’élément de surprise,
apporté
par la soudaineté des grands changements climatiques qui
dévastait
brutalement la région, en repoussant les habitants avec
suffisamment
de brutalité, pour qu’ils n’aient pas le temps d’emporter leurs
richesses.
Les
grands changements ramenant essentiellement les mêmes
configurations
fluviale et climatique d’une fois à l’autre, il ne fut pas
très
long avant qu’un petit malin ne comprenne que la réalisation des
villes à des endroits stratégiques qui seront
éventuellement
détruits par les changements à venir, représentait
de l’argent en banque, qui n’aurait pas été autrement
récolté,
en plus d’effacer rigoureusement toutes traces physiques d’une ancienne
ville. Une particularité qui n’était pas à
dédaigner
lorsque venait le temps d’effacer l’histoire et de tromper tout le monde.
Imperator
Indice - L’Emporium était né.
Cette
expérience des différentes configurations
planétaire,
signifiait aussi qu’ils avaient répété ce
même
stratagème à plusieurs reprises, rajoutant pelure
par-dessus
pelure sur le secret, compliquant d’autant la localisation des
anciennes
cités.
Une
quête insoluble, tant que le stratagème et les motivations
n’étaient pas connus.
Ainsi,
il fut possible de délier cet imbroglio et d’identifier quatre
de
ces grandes poussées de développement en plus d’une
douzaine
de migrations importantes ayant eu comme objectif, l’occupation des
nouvelles
terres, spécialement préparées à ces fins.
Dans
le premier chapitre temporel de cette saga, le flot d’éther, qui
de toute façon n’est pas en quantité suffisante pour
couvrir
adéquatement la totalité de la planète, perd ses
franges
d’inférences et est recentré sur quatre bandes
longitudinales,
qui sont associés deux à deux par le
phénomène
de résonnance planétaire et qui offrent des crêtes
d’énergies similaires.
L’axe
3-4 recevra plus d’énergie que l’axe 1-2. De tous les axes, lebras
4 est celui qui en recevra le plus au moment de ce premier
millénaire.Pour
chaque bras de la croix, l’énergie atteindra une
intensité
de crête dans une large zone entre le 40ième et
le 50ième parallèle, surfaces les plus
susceptibles
de porter la vie à ces périodes, le reste étant
partagé
entre la glace et le désert stérile.
Un
niveau de la mer particulièrement bas, contenu à
l’intérieur
des grands bassins océaniques, laissait paraître une
côte
beaucoup plus étendue qu’elle ne l’est aujourd’hui.
Les
deux surfaces les plus vivifiées, donc les plus susceptibles de
porter la vie, se retrouvaient sur la côte est Américaine,
couvrant le Québec et une partie de la Baie d’Hudson, et
à
l’opposée sur le nord de la Chine et la Mongolie, couvrant la
plus
grande partie de l’actuel désert de Gobi, berceau de la race
asiatique.
Le
reste de la planète était laissé à la
remorque
d’un éther résiduel pauvre et instable, cette chaleur
charriée
par les courants marins et aériens, qui transparaissait dans les
profondes vallées et d’étroites bandes
côtières,
coincées entre le sable et la glace.
Ce
n’est pas un phénomène unique, mais ce à quoi la
terre
ressemble, pendant au moins un millénaire tous les 5000 ans.
Aussi
loin qu’il soit possible de remonter, ces quatre régions ont vue
naîtres toutes les générations d’hommes, de toutes
les époques de la planète. À moins que les
paramètres
des différends planétaires ne changent, elles verront
aussi
toutes celles à venir.
Poussé
par les glaces qui descendaient du pôle et qui découpaient
chirurgicalement ces régions, Noé, inspiré d’une
vision
reçu de Dieu, n’a pas pu s’échouer dans une autre
région
que celle de l’Amérique, la zone 4, location du mont de
l’Arar-at,
signifiant la Genèse.
La
carte du Hereford nous avait déjà appris beaucoup. Le
fameux
Alérion, ce gigantesque labyrinthe naturel de pierre qui
n’existe
qu’à deux endroits de la planète. (Voir J’accuse)
J’ai
démontré comment les Romains avaient orchestré la
réalisation de la copie d’un segment de la côte est
américaine,
sur la côte de l’actuelle Angleterre, qui n’était alors
qu’un
caillou nu sous la glace. La facilité avec laquelle une telle
magouille
fut orchestrée, laissait transparaître une maîtrise
dans la réalisation qui n’avait pu être acquise que par
l’expérience.
Cette
étape, ne visait pas à cacher l’objet de ce cirque, mais
servait à dissimuler les traces permettant de retrouver
l’ancienne
Jerusalem. Sous cet angle, elle n’est qu’un chapitre du parcours
historique
visant à racoler tout ce qui pouvait être ramené
à
l'Angleterre.
Si
le fabuleux monde de Walt Disney fut inventé quelque part, c’est
à cet endroit. C’est tout ce que l’Angleterre et le nord-ouest
de
l’Europe sont. Un décor de carton-pâte mis en place
à
la sauvette, dès que la glace s’est dégagée
suffisamment
pour libérer un peu de terre fertile.
Comme
nous l’avons vu sur la carte des projections éthériques,
cette région bordant la mer du Nord possédait un climat
viable
il y a plus de 5000 ans. C’est à ce moment que furent
réalisés
les anciens monuments de l’Angleterre, comme Stonehenge et tant
d’autres,
par les communautés phrygiennes de l’époque.
Autrement,
les évènements étaient assez flous. On apprenait
qu’en
partant d’un changement de cap navigable pour le commun, une censure
des
cartes maritimes existantes et un piratage incessant des mers qui avait
pour but d’écumer tous ceux qui connaissaient le
stratagème
et traversaient l’Atlantique, ils finirent par rediriger la
majorité
des marins envers l’ancien continent.
La
Terre Sainte, Oz, Avalon, l’Arcadie, Babylone, la Grèce,
l’Égypte,
la Rome et autres régions de l’époque classique
sombreraient
dans l’oubli pour tous, à l’exception de la classe
impériale,
qui demeurait propriétaire de ces terres et continuait à
les fréquenter comme on fréquente le chalet
d’été
ou la succursale provinciale de commerce.
Incidemment,
beaucoup de cultures et d’époques ont réalisé des
cartes géographiques de la Terre-Sainte. Chacune des douze
tribus
d’origines possédait la leur, sans oublier que
l’établissement
du secret à travers les âges, avait sans doute largement
contribué
à la rédaction de nombreuses autres.
Douzes
tribus est en réalité la quantité exprimée
dans les Écritures saintes. Les Égyptiens et les Coptes
en
parlaient en terme de « territoire » qui était de
quatorze
et passèrent ensuite à treize, à la suite de
conquêtes.
Elles
sont sans doute les plus anciennes cartes existantes, puisqu’elles
n’utilisaient
pas encore de repérage de direction. Beaucoup furent
réalisées
à une époque ou un repérage planétaire, que
ce soit par les étoiles ou la boussole, n’était pas
encore
utile.
C’est
en comparant les multiples cartes de la Terre Sainte, qu’il est
possible
d’en comprendre un peu plus sur la perspective de l’époque.
Toutes
ces cartes possèdent des caractéristiques similaires. La
dimension et la forme du territoire, ainsi que les principales
cités
et autres constructions à grand déploiement sont toutes
sur
un même modèle approximatif.
Mais
là s’arrête toute comparaison possible. La glace, le
désert
et le réseau fluvial eux changeaient constamment. Ils
changeaient
tellement en fait, qu’ils avaient manifestement été
notés
au fil d’une très longue période, au cours de laquelle
des
déserts devenaient des forêts et des fleuves voyaient
leurs
morphologies complètement transformées.
Mais
pas les montagnes. Les montagnes ne changeaient pas. Elles pouvaient
à
la rigueur disparaître parce qu’une référence de
navigateur
avait changé au fil du temps, caractérisant une montagne
plutôt que l’autre. Elles pouvaient aussi disparaître parce
que la référence d’origine était disparue dans la
croûte de glace inaccessible, ou qu’elle n’était pas aussi
haute que singulière aux yeux des navigateurs et qu’elle avait
été
engloutie avec la montée des eaux, mais ce n’était
généralement
qu’exception et elles constituaient une référence
essentielle
à la navigation.
Seulement
voilà, sur les différentes cartes de la Terre Sainte, les
montagnes aussi changeaient de place. Il n’y avait pas que des
montagnes,
des chaînes de montagnes entières et d’autres
caractéristiques
tout aussi singulières, n’apparaissaient simplement plus au
même
endroit, d’une carte à l’autre.
Un
peu comme si la topologie même de la croûte terrestre avait
soudainement changé du tout au tout, laissant un
fac-similé
parfait de ce qui était très visible, mais ne
possédant
plus les caractéristiques importantes.
Il
fallait se rendre à l’évidence, l’histoire nous avait
laissé
plus d’une Terre Sainte.
En
dépit de l’importance que la tradition des anciens accordait
à
la lignée ancestrale, nous possédons pour la plupart
d’entre-nous,
une lignée héréditaire qui s’embrouille
au-delà
de 400 ou 500 ans. Nous avons été éduqués
par
des livres, dont toutes les références furent
tirées
de manuscrits appartenant à une classe « noble »,
seule capable de se payer les manuscrits du savoir. Notre histoire
n’offre
que bien peu de précision au-delà de 400 ou 500 ans et
devient
carrément absente à l'époque
précédant
l'arrivée des Romains. Nous avons affaire à un empire
suffisamment
puissant, pour diriger des destinées humaines de force, mais
aussi
de gré.
Toute
ville, n’est rien d’autre que le produit d’un comptoir de traite
commerciale
qui a eu suffisamment de succès pour agglomérer une
population
et une historiette locale à travers le temps et qui s’axera sur
des témoins véritables de l’histoire.
2
ou 3 siècles à peine seront nécessaires pour en
faire
une ville moderne comme nous les connaissons, portant le nom choisi,
quel
qu’il soit. Il devenait facile de raccrocher ces racines après
celle
des autochtones qui étaient en place avant l’arrivée de
cette
ville, et de pomper dans cette ancre historique des millénaires
d’histoire nouvelle.
Mais
qu’est-ce donc qu’une ville, si ce n’est rien de plus qu’un endroit qui
peut porter n’importe quel nom et qui deviendra le centre d’une
agglomération
et propriétaire d’un point additionnel sur les cartes
géographiques
de ceux qui incidemment, les impriment?
Il
existe 25 endroits de par le monde appelés « Eureka
»,
cette énigmatique parole prononcée par Archimède.
Loin
d’être des plus impressionnante, cette quantité de villes
homonymes est en relation directe avec le désir de l’Empire
d’occulter
un endroit ou l’autre. Ainsi, la ville sainte de Jerusalem était
constituée de plusieurs cités. Ces cités
étaient
en quelque sorte des banlieues d’habitations regroupant les
différentes
ethnies. Une de celle-ci était la ville de Salem.
Suivant
le bannissement des juifs de la Terre Sainte par les Romains, la ville
de Salem était un boulet, qui devait disparaître plus que
tout autre, à cause de son appartenance juive. Il existe
aujourd’hui
dans le monde une soixantaine de villes, villages ou endroits
appelés
« Salem ». Si on y ajoute les variantes, comme les «
New Salem » ou les « Salem Township » on en arrive
à
plus de 120 Salem dans le monde. Le plus curieux est que la plupart se
prétendront l’originale ou se réclameront un lien avec la
Salem d’origine. Ajoutons-y qu’il n’y a qu’une seule cité
portant
le nom de Jerusalem.
Pour
s’assurer que le pot aux roses ne soit pas éventuellement
découvert,
il n’y avait qu’à prétendre que la terre était
nouvellement
découverte, ainsi elle n’avait pas d’histoire.
L’actuel
nom Cree, affecté aux Indiens Cree du Nord du Québec, est
un nom laissé par les nouveaux arrivants. « Cree »
est
en réalité le diminutif de Cristinaux, ce qui signifie
Chrétien
dans l’ancien Français. Ce nom apparaît sur plusieurs
cartes
géographiques provenant des premiers découvreurs.
La
Terre Sainte
«
Entre dans l'arche, toi et toute ta famille, car je t'ai vu seul juste
à mes yeux parmi cette génération. De tous les
animaux
purs, tu prendras sept paires, le mâle et sa femelle; des animaux
qui ne sont pas purs, tu prendras un couple, le mâle et sa
femelle
et aussi des oiseaux du ciel, sept paires, le mâle et sa femelle,
pour perpétuer la race sur toute la terre. Car
encore sept jours et je ferai pleuvoir sur la terre pendant quarante
jours
et quarante nuits et j'effacerai de la surface du sol tous les
êtres
que j'ai faits. »
Une
fois l'arche terminée, Noé monta à bord avec toute
sa famille et les animaux, et ce jour-là jaillirent toutes les
sources
du sol, un grand abîme, et les écluses du ciel s'ouvrirent.
La
pluie tomba ensuite sans discontinuer sur la terre pendant quarante
jours
et quarante nuits. Les eaux finirent par couvrir les plus hautes
montagnes,
qu'elles dépassèrent même de plus de quinze
coudées.
Toutes les créatures vivantes s'éteignirent, et seuls
Noé
et les siens survécurent.
Noé
décida alors d'envoyer en éclaireur un corbeau, qui alla
et vint en attendant que les eaux ait séché sur la terre.
Il fit ensuite sortir la colombe, laquelle ne trouva aucun endroit
dégagé
des eaux où poser ses pattes et revint auprès de lui. La
tentative fut renouvelée après sept autres jours et cette
fois la colombe revint avec « dans le bec un rameau tout
frais
d'olivier » , ce qui apprit à Noé que le
niveau
des eaux avait enfin diminué. Il lâcha la colombe une
nouvelle
fois après une semaine, et l'oiseau ne revint plus.
Ce
signal annonçait la fin de l'épreuve.
Finalement,
au bout de 220 jours de navigation, l'arche vint s'échouer sur
le
mont Ararat et les eaux refluèrent encore quarante autres
journées,
avant que n'apparaisse le sommet des montagnes environnantes.
Alors,
Dieu parla à Noé :
«
Sors de l'arche, toi et ta femme, tes fils et les femmes de tes fils
avec
toi. Tous les animaux qui sont avec toi, tout ce qui est chair,
oiseaux,
bestiaux et tout ce qui rampe sur la terre, fais les sortir avec toi :
qu'ils pullulent sur la terre, qu'ils soient féconds et
multiplient
sur la terre. »
Satisfait
de ce comportement, Dieu se résolut pour sa part à ne
plus
jamais maudire la terre à cause de l'homme et à ne plus
jamais
détruire toute vie de cette manière. En signe de cette
promesse,
Dieu mit un arc-en-ciel dans les nuages et déclara: «
lorsque
j'assemblerai les nuées sur la terre et que l'arc
apparaîtra
dans la nuée, je me souviendrai de l'alliance qu'il y a entre
moi
et vous et tous les êtres vivant. À
l'arrivée
des eaux, seuls les êtres vivants réfugiés sur
l'arche
de Noé purent survivre, et tous les autres trouvèrent la
mort. » (Genèse 7:21)
L’allégorie
de ce Dieu, qui prend la décision de ne plus jamais
détruire
de vie de cette manière, est une allusion directe aux conditions
planétaires nécessaires à la
génération
d’un déluge. Celles-ci ne se reproduiront plus avant une
très
longue période et puisque ce mouvement des planètes
était
le résultat d’une volonté dites « divine
», le
sort résultant l’était aussi.
Sans
l’apport de cet illuminé qu’était Noé, il n’y
aurait
plus eu d’humanité. Que cet énoncé ne soit que
partiellement
vrai, ne change rien aux croyances légitimes qu’ont
démontrées
ses descendants par la suite. Pour eux, Noé était
l’élu,
le père de l’humanité, le choisi de Dieu.
L’ancêtre,
le patriarche, ce père d’une humanité qui
possédait
un culte profond des ancêtres, a échoué son bateau
dans la montagne où il a continué de pourrir depuis...
Définissons
ce qu’est une construction imposante. L’Arche possédait 137
mètres de long, 26 de large et 16 mètres de haut.
Une
telle construction n’est pas unique dans les anales de l’histoire
puisqu’au
tournant du 13e siècle, les navires de la flotte
impériale
des trésors chinois possédaient des dimensions
similaires. Ici,
il est possible de juger de ces proportions, lorsque comparées
à
l’un des navires utilisés par Colomb pour la traversée de
l’Atlantique. Construire un tel navire en bois aujourd’hui, est une
prouesse
qui relève de l’ingénierie technique.
Même
en métal, un tel navire est loin du rafiot. On parle d’une
réalisation
simplement gigantesque, même à l’époque moderne et
qui se rapproche d'un petit transatlantique.
Alors
qu’on ne retrouve rien de notre ancienne histoire, un cowboy texan plus
allumé que les autres, aperçoit sur une montagne, qui
incidemment
s’avère porter le nom biblique d’Ararat en Arménie, les
restes
d’un navire encore tout à fait visible, là ou ils doivent
être.
Wow!
Une
prétention, pour le moins culottée.
Considérant
l’importance d’un tel évènement du type « fin
du
monde » comme celui qui venait de se produire et
considérant
l’importance de l’Arche, une des seules reliques en provenance de
l’Ancien
Monde, n’auraient-ils pas fait un temple et des rassemblements pour les
protéger et les vénérer ? Des églises et
des
villages pour les priers? N’y auraient-ils pas eu au cours des
âges
des aventuriers qui seraient arrivés aux mêmes conclusions
faciles, engageant une course au secret comme pour tout le reste? Ces
temples
auraient été détruits par les guerres et
conquêtes
et ils n’auraient pas détruit les reliques saintes,
véritable
objet de vénération ?
Comme
la nouvelle Jerusalem, l’état de Palestine, Rome, le Vatican, la
Mecque, la terre des Angles, ça puait l’arnaque. Un attracteur
à
maringouins. Il ne manquait plus que des motels, des épinglettes
et des dépliants publicitaires pour en faire une destination
familiale
toute saison.
Une
comparaison entre les anciennes descriptions Bibliques et la carte de
la
Méditerranée biblique prétendue, permet vite de se
rendre compte du ridicule de certaines descriptions, qui ne
correspondent
absolument pas au terrain actuel. Il existe de nombreuses aberrations
qui
furent assez bien documentées par les anciens historiens et
complètement
mis à l'écart par les nouveaux.
Je
citerai celle dans laquelle un roi de cité dut parcourir plus de
3000 kilomètres pour prendre le commandement de ses propres
troupes
et revenir attaquer une cité voisine immédiate de la
sienne.
Ou encore Nazareth en Cisjordanie, cette cité où serait
né
le Jésus des Romains, n’a jamais existée avant les
croisades
du premier millénaire. Elle fut construite de toutes
pièces
autour de cette période, à partir d’un petit village de
la
Palestine moderne.
Un
argument de fond, qui au contraire d'être débatu, fut
utilisé
par toute une génération d’académiciens pour
démontrer
que l’histoire de Jésus de Nazareth n’était que pure
invention.
Simple,
si la véritable Arche de Noé avait été
à
cet endroit, nous ne l’aurions jamais su.
Mais
ces décors de cartons-pâtes préfabriqués,
sont
néanmoins bien utiles par les indices supplémentaires
qu’ils
procurent sur la configuration de l’endroit véritable.
N’oublions
pas qu’à-la-Walt Disney, ces décors visaient à
offrir
aux navigateurs et autres aventuriers, un parc thématique
crédible
et pour y arriver, il devait nécessairement afficher les
endroits
vedettes de la course et des caractéristiques
singulières,
d’une crédibilité raisonnable au vu du navigateur.
Ainsi,
l’analyse détaillée de la grande région
arménienne,
siège du mont Ararat, nous montre un de ces parcs
thématiques,
regroupant sur un petit territoire possédant une topologie et un
réseau fluvial caractéristique, un ensemble de
cités
aux noms d’origines bibliques.
Des
parcs thématiques identiques, regroupant topologie et
réseau
fluvial similaire, ainsi qu’un ensemble de cités aux mêmes
noms d’évocation biblique, mais coloré d’une
époque
différente et d’une traduction locale, apparaissent aussi en
Roumanie,
en Slovaquie, en Turquie, en Cisjordanie, en Angleterre, en France, en
Nouvelle Angleterre, en Virginie, au Nouveau Brunswick, en Ontario et
au
Québec.
Chaque
fois qu’une mutation de planète se produisait, libérant
de
nouvelles terres, on en profitait pour y pousser des colons et ouvrir
une
succursale de parc thématique. De la même façon,
d’autres
parcs thématiques possédant un éventail de
caractéristiques
et de cités différentes, mais ayant tous en commun
d’être
des segments de la Terre Sainte d’origine prise à
différentes
époques avec les noms afférents, se retrouvaient tous
reproduits
ici et là, dans les mêmes grandes régions que
celles
mentionnées.
De
plus, la quête devait présumer que la Terre Sainte
originale,
en plus de regrouper en un seul endroit l’ensemble de ces fragments et
étant soumis au passage du temps et à la censure, ne
posséderait
pas elle-même, beaucoup des attributs originaux.
À
l’exception d’une officielle plus vraie que la vraie et que l’on sait
maintenant
fausse, on se retrouvait avec des copies difformes de la Terre Sainte
un
peu partout. Tous possédant des petits bouts de la
vérité,
mais une seule d’entre elles, verrait des différences
attribuables
à un changement de la morphologie du territoire au fil du temps.
En
plus des mers, qui découperont les côtes autrement et
d’une
façon parfois radicale, la planète entière reprend
une position différente, un peu à l’exemple d’un ballon
de
plage que l’on souffle. Durant les périodes de grands
changements,
les variations de tensions brisent les plaques tectoniques de la
croûte
terrestre, pour en orienter l'horizon en relation avec cette nouvelle
étape,
modifiant du coup radicalement tout le réseau hydrique d’une
façon
connue et prédictible, telle qu’elle fut déjà dans
un lointain passé.
Guatémala
Ceci
a débuté en 2006 et en 2007 alors que des
détonations
similaires à des booms supersoniques, furent entendues sur de
grands
territoires de la Floride et du Texas, sans laisser de trace sur les
séismographes.
À l’instar de l’os cassé qui se brise sans cesse, ces
détonations
se produisent lorsque les plaques tectoniques sont brisées par
la
tension imposée à la planète laissant de tels vides.
Nous
ne possédons pas suffisamment d’informations pour
déterminer
la vitesse d’évolution du phénomène, mais comme
ceci
doit encore se produire à plusieurs endroits, il est plus que
probable
que la prochaine décennie en apportera son lot.
Dans
la géographie moderne, les montagnes sont diluées dans
une
mer de montagnes qui ne faisaient assurément pas partie du
porte-folio
des descendants de Noé. De plus, il est manifeste qu’aux yeux du
caravanier ou du navigateur de l’époque, les montagnes ont
possédés
une importance qui s’est transformée au fil du temps.
Les
cités d’origines n’existent plus depuis longtemps, mais elles ne
sont pas disparues. Nous devons nous rappeler que tout ceci est l’objet
de cette manoeuvre et qu’autrement, il n’aurait pas été
nécessaire
de recréer toutes ces répliques.
Nous
parlons d’un joyau. Des gens savaient et ils ont toujours su. Les
graines
de l’arbre ne tombent jamais très loin de son tronc et tout
n’est
pas disparu.
Par
ailleurs, les particularités naturelles sont plus difficiles
à
copier dans un quelconque parc thématique. Rocher ou cap de
montagne
de forme singulière, profonde vallée, une baie dont
l’accès
nécessite un cheminement particulier, sont des exemples de ces
particularités
qui marquent l’oeil du voyageur et sont souvent associées aux
noms
des populations qui l’entourent, rendant plus persistent à
travers
le temps les bribes de l’histoire.
Anciennes
cartes
Notre
éducation nous force à regarder ces cartes d’un point de
vue moderne.
Suivant
cette éducation moderne, il nous est impossible de placer cette
Terre Sainte au Québec par exemple, puisqu’il y fait trop froid,
il n’y a pas de désert, les côtes sont différentes,
il y a des lacs, des mers et des rivières qui n’existaient pas.
Des immuables, comme le climat.
En
fonction de nos connaissances, de notre éducation et surtout de
toutes les évidences qui nous sont offertes, nous ne pouvons
donc
situer cette terre raisonnablement, qu’à un seul endroit sur la
planète, la mer Méditerranée. Après un
temps,
l’éducation est bien ancrée et l’immuable n’est plus
questionné.
Il n’y a que ce qui se présente de nouveau, qui est jugé
en regard de notre référence immuable.
Bien
normal, car ce sont des immuables. Tel un arbre, plus les immuables
seront
plantés jeunes, plus ils seront rigides, résistants au
changement.
Une
courte vue caractérisée.
C’est
du haut de cette solide montagne d’immuables appris en bas âge,
que
nous observons et jugeons la vie. Nous jaugeons une carte à
partir
de la forme générale de la région qu’elle
représente
en relation avec les masses d’eaux qu’elle contient. C’est ainsi que du
premier coup d’oeil, nous sommes en mesure d’établir l’endroit
auquel
cette région appartient, parce que la relation unissant la
quantité
et la disposition des terres, de fleuves et des lacs, sont les
mêmes
et sont dans la même direction. De cette manière, quelle
que
soit l’échelle à laquelle nous observons le territoire,
dans
la mesure où nous sommes capable de recadrer une partie de ces 2
informations contrastantes, nous serons en mesure de localiser
l’endroit.
À l’inverse, nous sommes incapables de résoudre cette
équation
dès que cette relation change, puisque la base de notre jugement
éduqué, est cette relation.
Il
faut de plus tenir compte du point de vue des anciens navigateurs ou
caravaniers,
qui construisaient des références pour leurs propres
besoins
avant de les assembler et d’en faire des cartes.
Les
anciens navigateurs possédaient leurs propres perspectives, qui
s’étaient échafaudées au fur et à mesure
des
nécessités.
Comme
nous l’avons vu, les cités ne se développaient pas
n’importe
ou. Eau de qualité, nourriture abondante, protection contre les
menaces, site facilitant les échanges avec les autres
cités,
étaient des paramètres de base permettant la survie d’une
cité antique. Comme aujourd’hui, cet effet était
réalisé
en construisant les cités sur la plaine immédiate
à
la montagne des ancêtres assurant du même coup eau,
commerce,
nourriture, en plus d’une solide redoute de montagne, dans laquelle les
habitants pouvaient se réfugier en cas d’attaque.
Tel
un représentant de commerce qui effectue sa tournée
client,
les navigateurs commerciaux d'antan établissaient
différents
circuits des cités portuaires, où ils étaient
susceptibles
de fourguer leurs marchandises le plus rapidement possible pour en
retirer
du profit et ainsi retourner acheter une autre cargaison de biens.
Les
cartes des anciens navigateurs n’avaient pas pour objet de faire
connaître
la topologie de la terre à un éventuel aventurier ou
à
un historien moderne, mais d’offrir dans un format le plus simple
possible,
un rappel de la route à suivre pour aller de « A
»
à « B », prochaine cité sur la voie
navigable.
La profondeur des terres n’avait pas d’importance et le relief
d’arrière-plan
en avait, que s’il procurait des précisions
supplémentaires
sur le parcours.
Ainsi,
la carte navigateur n’était pas dédiée au commerce
intérieur ou au savoir général, mais visait
à
procurer à un navigateur un outil simple, facilement
reproductible,
qui éclairait « une route de travail »,
s’apparentant
beaucoup plus à un triptyque montrant un chemin à suivre
par segments utilisables, qu’une carte géographique.
Carte
de Peutinger
Jusqu’à
la géographie moderne, l’identification des rivières
visait
deux objectifs: permettre d’atteindre une cité qui serait sur un
affluent et un point d’articulation de la côte.
Le
point d’articulation était une technique normalisée des
navigateurs
d’époques permettant de reproduire une côte suffisamment
redressée,
pour l’enchâsser ou même d'en mettre plusieurs dans un
format
utilisable. Ils y parvenaient en représentant les
rivières
et les fleuves, qu’ils utilisaient ensuite, comme pivot d’angle pour
linéariser
la côte. Chaque segment de côte inter-rivières,
possédait
donc le format de la côte représentée avec son
relief
caractéristique, mais pas sa direction générale
qui
n’avait en réalité que peu d’importance pour le
navigateur
à vue.
Advenait-il
qu'un groupe de nouvelles cités s’ouvrant sur un affluent, il
n’y
avait plus qu’à produire un triptyque supplémentaire
représentant
les cités et la voix à prendre pour s’y rendre, et de la
graver au bon endroit sur la carte objet ou de la greffer au bon
endroit
dans la pile de cartes, lorsque les cartes furent d’utilisation
courante.
De
la même façon, la marchandise était ensuite
distribuée
à l’intérieur des terres par des caravaniers qui avaient
eux, le besoin de baliser leurs routes en utilisant les montagnes
intérieures.
Par
la suite arriva le système de repérage aux étoiles
et à la boussole, qui apportait une amélioration sur la
géographie,
mais qui avait comme conséquence de réduire la
perspective
des cartes, en changeant le rapport des distances nord-sud &
est-ouest
en plus de les déformer à l’approche du pôle Nord.
Ainsi, quel que soit l’endroit de la côte qu’il atteignait, il ne
faisait que la longer jusqu’à une référence
connue,
d’où il pouvait tirer son chemin.
De
la même façon qu’un caravanier n’avait pas à
connaître
les sinuosités de la piste ou la forme du lac pour effectuer sa
tâche. Il n’avait qu’à avancer sur cette piste,
jusqu’à
ce qu’il croise le bord du lac ou de la mer et poursuive sa route de
cet
endroit.
Cette
différence de perception entre notre vision moderne et la leur
est
importante, car elle permet d’expliquer les différences et
similitudes
existantes entre les cartes de la Terre Sainte provenant des diverses
cultures.
Instruire la géographie moderne comme immuable, n’était
qu’une
façon comme tant d’autres de tirer parti de ces
différences,
pour poursuivre le mensonge.
Le
déluge n’est pas si exceptionnel au regard de certaines
anomalies
terrestres, mais il y a eu plus d'un déluge. Suivant les grands
changements de climat du pôle Nord ayant mené à
l’expulsion
d’Adam et Ève du Paradis, la ligne des glaciers s’est mise
à
descendre, englobant dans un premier temps une grande région
autour
de l’île d’Ellesmere.
La
lente glaciation referma ensuite un gigantesque mur de glace tout
contre
la Baie D’Hudson, enfermant une phénoménale
quantité
d’eau salée et l’empêchant de se vider en dépit de
la baisse du niveau de la mer. Au fil de la glaciation qui gagne vers
le
sud, cette masse d’eau fut repoussée contre la ligne de
séparation
des eaux, jusqu’à ce qu’elle se fraye un chemin par une autre
face
du continent.
Une
lente et inexorable avancée, créant une mer d’eau
salée
intérieure, qui s’élèvera tôt ou tard au
rang
d’une perpétuelle menace en suspens, susceptible d’occasionner
beaucoup
de dommages pour les populations environnantes .
Caractéristique
de choix, la mer Asphaltique était aussi appelée mer
morte.
Cette mer intérieure aux eaux salées, était morte
et incapable de supporter la vie. Dans la version officielle moderne,
ce
rôle vertueux est joué par la mer Morte, un grand lac
d’eau
salé qui achève de sécher au fond d’une cuvette
située
en dessous du niveau de la mer en Palestine moderne. Cette
concentration
de sel résultant de l’action du soleil empêche la vie,
phénomène
à l’origine de son nom de Mer Morte.
La
Mer Morte n’est pas unique. Le grand lac salé de Salt Lake City
aux États-Unis, est une autre de ces anomalies ou l'on retrouve
le fond d’un lac d’eau salé, dans une cuvette entouré de
montagnes à 1200 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Suivant
un évènement aussi catastrophique que celui du
déluge,
propulsant des quantités d’eau massive dans toutes les
vallées
et cuvettes de montagnes et de glacier, de telles masses d’eau
salées
ont rendu toutes les décharges d’eau douce, inutilisable pour
une
longue durée. Entourés de ce mur de glace qui bouche les
vallées, de nouveaux lacs et même de nouvelles mers
intérieures
sont créés.
Tous
ces trous deviennent des poches d’eau salées, qui n’auront pas
d’endroit
où s’épancher et qui dans de nombreux cas, persisteront
durant
plusieurs siècles, inondant épisodiquement les lacs
intérieurs
d’eau douce et les terres fertiles qu’ils contaminent.
Mer
Morte n’est pas le bon mot. La Bible parle d’une mer morte bien
sûr,
mais une mer morte appelée Lac Asphaltique ou Asphaltide, la Mer
Morte appartenant en propre à la Palestine d’aujourd’hui. Le lac
Asphaltique possédait la réputation d’être mort et
de ne posséder aucune vie. Des
qualificatifs
qui dépassaient les attributs de la mer morte dans le sens que
non
seulement elle ne contenait pas de vie, mais était nocive
à
la vie, ce qui ne pouvait être que le simple fait du degré
de salinité.
Des
eaux souffrés, contenant des gaz dits «
méphitiques
», qui communiquaient à l’air une odeur pestilentielle.
Des
résidus qui s’exsudaient en masse du fond du lac après de
longue période, étaient ramassés par les riverains
et utilisés dans toute la Judée pour se chauffer et
s’éclairer.
Si
les auteurs modernes s’entendent généralement sur du
bitume,
d’autres en éliminent simplement la possibilité en
relevant
l’odeur épouvantable que le produit exhalait et qui
disparaissait
après le séchage au soleil. Il était dit que des
maisons
construite de cette matière, ne résistaient pas à
l’action du temps.
Flavius
Josephus qui était du pays, en donnait une description qui
mérite
réflexion : De son temps, le lac de Sodome n’avait aucun
poisson.
« L’eau en était si légère, que les
corps
les plus lourds ne pouvaient aller au fond. ».
Bien
qu’il soit possible de croire ici à une mauvaise
interprétation
de notre physique moderne, ceci s’apparente beaucoup plus à une
mauvaise traduction.
De
toutes les cuvettes naturelles ayant retenue ces lacs d’eaux
salés,
certaines étaient déjà des lacs d’eau douce
alimentés
par des affluents, qui virent simplement leur eau, être d’un seul
coup remplacé par de l’eau salée provenant du
Déluge.
Pour
ces lacs, l’action ne se limitait pas à un dépôt
d’eau
salée qui terminera sa vie en séchant. Les affluents qui
les nourrissaient en eau avant, poursuivirent leurs tâches par la
suite, déversant dans ces bassins salins une quantité
d’eau
douce, qui pourrait être vue comme un élément
régénérateur,
mais ce n'est pas le cas.
Les
deux types d’eaux, l’une douce et l’autre salée, ne
possèdent
pas la même densité et ne se mélangeront pas. L’eau
douce beaucoup plus légère, s’étendra sur
toute
sa surface du bassin d’eau salée comme le ferait une pellicule
plastique,
avant de se retrouver dans une décharge du lac. Le lac
Asphaltique
était un des affluents du Jourdain. De nombreuses
communautés
vivaient au long de cet affluent et bénéficiaient de
cette
eau en partant de la décharge même du lac. Une eau
empoisonnée
aurait rendu toute vie impossible.
Ainsi
alimentée par les affluents du lac, la réserve saline
pouvait
durer des siècles. Durant cette période, la pellicule
d’eau
douce ayant l’effet d’un isolant, le bassin salin de la cuvette
emmagasinera
de la chaleur sous l’action du soleil.
Véritable
accumulateur de chaleur, la température du bassin salin
dépassera
rapidement celle où un baigneur risque les brûlures et
dans
laquelle la vie ne peut survivre. Les affluents livrant au lac une eau
riche de sédiments et de vie aquatique qui, incapable de sortir
du lac, meurent en se déposant au fond du bassin où ils
cuisent
à feu doux dans un marmiton d’eau salé sous pression. En
plus de nous donner une piste concernant l’origine du pétrole,
ceci
explique les raisons pour lesquelles les exsudations de cette
matière,
ne survenaient qu’après de longues périodes, moment
où
cette matière était suffisamment gorgée de gaz
pour
se décoller du plancher et remonter à la surface en
plaque.
Il
est possible de croire que suivant un évènement de
l’intensité
de celui du Déluge biblique, de tels macérateurs à
pétrole situés dans des poches furent très
nombreux
et sûrement pas limités à un seul endroit. Une
perspective
qui incidemment, allait à l’encontre de notre éducation
moderne.
Au
vu de l’ensemble des anciennes cartes de la Terre Sainte, sa
première
phase peut-être décrite ainsi :
Une
grande plaine d’approximativement 100 kilomètres sur 400,
bordée
d’un côté par une mer appelée Grande Mer,
Méditerranée
ou Galilée selon les époques. Cette grande plaine est
parsemée
de petites montagnes groupées et elle est traversée d’un
côté par deux chaînes de montagnes
parallèles,
encadrant une plaine donnant sur la Grande Mer.
À
l’autre extrémité de cette première chaîne
de
montagnes appelées montagnes de l'Anti Liban, se trouve un
groupe
de montagnes remarquables par leurs hauteurs et des sommets
couronnés
de blanc toute l’année. C’est sur la plus haute de ces montagnes
que l’Arche de Noé s’échoua. (le cercle bleu) Sa
progéniture
se développa sur ces montagnes, fournies abondamment en eau
fraiche par les neiges éternelles du sommet.
Des
lacs au pied des montagnes donnaient ensuite naissance au fleuve
Jourdain
qui se rendait jusqu’à la grande mer, après avoir
traversé
la plaine de la Terre Sainte, qu’elle fertilisait en débordant
tous
les ans. Le Jourdain ne se rendait pas à la grande mer
directement,
mais la suivait parallèlement pendant un moment, avant de
bifurquer
à 90° dans sa direction.
À
l’endroit de cette bifurcation, il existe le lac Genesareth, qui fut
aussi
appelé le grand lac Tiberiade suivant la conquête romaine,
dans lequel se jettent deux autres affluents. Un de ces affluents
provient
du lac Asphaltique ou mer des Moabites, avant d’arriver à
l’opposé
du Jourdain dans le lac Genesareth. Un troisième affluent, de
moindre
importance, provenait de la direction opposée à la grande
mer.
Suivant
les traumatismes du déluge et les différences de climat,
l’homme ne s’installa pas immédiatement dans la plaine. Les
montagnes
étaient les lieux de prédilection des hommes d’alors.
Chaque
montagne possédant les prérequis, était
aménagée
pour y recevoir la cité.
Certains
de ces endroits possédant des avantages supérieurs en cas
de menace, étaient considérés comme lieu de refuge
ultime pour les cités environnantes de la région en cas
d’attaque
et aménagée en conséquence.
Tous
les saints hommes de la bible, ont gravité autour du lac
Genesareth.
La dépouille de beaucoup d’entre eux y repose et le paysage est
le témoin de leurs histoires. C’est à cet endroit que
beaucoup
plus tard Jésus de Nazareth sera crucifié sur la montagne
du calvaire par les Romains. Un endroit si sacré en fait, qu’une
cité fantastique fut mise en place à la
célébration
de ces ancêtres, Jerusalem.
Jérusalem
était une grande cité. Jouxtée de sa banlieue
immédiate,
sa population a pu atteindre 5 ou 6 millions d’individus à
certaines
époques. Elle était entourée d’une imposante
fortification
de trente mètres de hauteur et suffisamment large pour que deux
chariots à chevaux puissent y circuler de front.
L’ensemble
de l’oeuvre atteignait 80 kilomètres de long.
Considéré
comme un joyau pour les raisons décrites, elle était
constamment
l’objet d’attaques et fut conquise, détruite et reconstruite
à
de nombreuses reprises, déportant à chaque fois les
habitants
en colonne, pour devenir des esclaves au nouveau maître.
Dans
les temps forts, l'ensemble de la Terre Sainte a contenu une
soixantaine
de millions d’individus. Ses habitants étaient répartis
en
cités, dont chacune appartenait à un groupe de
cités
possédant des mises en commun.
Joseph
l’historien louant la fertilité de la Galilée, remarque
qu’il
n’y avait pas un seul morceau de terre, qui ne fut cultivée.
«
On y voyait partout de gros Bourgs dont le moindre renfermait quinze
mille
habitants. On conclut que chaque ville murée renfermait
quatre-vingt-dix
mille personnes. En donnant à chaque tribu soixante villes de
cette
force, vous retrouves cinq millions cinq cent vingt milles personnes,
lesquelles
multipliés par douze départements font 66,240,000
personnes.
»
Un
chiffre, dont l’importance nous est confirmée par Benjamen de
Tudèle,
un moine juif espagnol qui parcourut le monde au treizième
siècle
pour en relever le peuple hébreu et qui mentionne que la
population
juive de la Terre Sainte « atteint environ six ou sept
millions
d’habitants, soit le sixième de ce qu’elle était avant la
dispersion. »
«Je
ne sais si Fuller a autant de raison de pousser une partie de cette
Nation
de l'autre côté de la Mer Caspienne, sur les Bords du
fleuve
Araxus, où il prétend qu'ils prirent le Nom des Cadufiens
& des Geles car, il ne se fonde que sur la Conformité
des
Noms qui ne suffit pas pour établir cette Colonie. Ce savant
soutient
que le Nom de Geles est Chaldéïque, & signifie
des
Étrangers ou Fugitifs, et que ce Titre convenait aux Juifs que
Dieu
avait chassés de leur Païs, à cause de leurs
Péchés.
Les
Cadufiens avaient un peu altéré le Mot de Cadoschim, qui
signifie Saints et ce Titre était affecté par les Juifs,
qui s'appelaient la Nation Sainte. Enfin, Arsareth, la plus
célèbre
de toutes les Villes bâties fur le fleuve Araxus, portait un Nom
hébreu car ce Mot signifie la Ville des Reliques, ou des
Restes
d'Israel. Il n'est pas étonnant que les Juifs fussent
mêlez-là
avec les Médes sur les Frontieres du Païs, pour le
défendre
contre les Attaques fréquentes de l'Ennemi. Si ces Conjectures
étaient
bien fondées, les Juifs auraient rempli une grande
Étendue
de Païs.
Il
fallait même qu'ils y fussent très puissants, puisqu'ils
changèrent
l'ancien Nom des Villes & du Païs, pour donner ceux de
fugitifs,
de Reliques et de Saints. Comment n'ont - ils point changé les
Noms
du Fleuve Chabaras & de Gozan de l'autre côté de la
Médîe,
où ils étaient encore plus nombreux?
Si
leur Puissance et leur Nombre étaient si considérables
pour
ensevelir les Habitants du Païs , comment ne les y a-t-on- pas
connus?
Sans appuyer sur toutes ces Remarques, il y en a une décisive
qui
suffit car, les Cadusiens étaient des Peuples beaucoup plus
anciens
que les Juifs transportez dans la Médie, puisque Ninus les
comptait
déjà au nombre de ses Sujets. La Guerre s'alluma depuis
entre
ces Peuples & les Médes et Parfode , l'un de leurs Chefs,
battit
le Roi des Médes qui venait fondre sur eux avec quatre-vint
milles
Hommes. Ils furent soumis aux Perfes sous le Regne de Cytus. Il faut
donc
ôter aux anciens Juifs dispersés le fleuve Erash, la Ville
d'Arsareth,& le Païs des Geles et des Cadusiens, qu'on
leur a donné mal à propos. »Histoire
des Juifs depuis Jesus Christ jusqu’à présent.
Une
phase de changement particulièrement sévère, aux
alentours
de l’an 0, changea le visage la Terre Sainte et de Jerusalem. Une autre
en 500 redessina rivières et fleuves en arrachant au passage la
moitié de la ville de Jerusalem.
«
Un jour, Saint-Guenolé, saisi d'enthousiasme et comme les
prophètes
ou la sibylle de Cumes, prononça d'une voix sombre, ces mots
devant
le roi Gralon : Prince, le désordre est au comble, le bras de
l'éternel
s'élève, la mer se gonfle, la cité d'Is va
disparaître
: partons!
Gralon,
docile à la voix du saint homme, monte à cheval,
s'éloigne
à toute bride ; sa fille Dahut le suit en croupe.... La main de
l'Éternel s'abaisse et les plus hautes tours de la ville sont
englouties
et les flots pressent en grondant le coursier du saint roi, qui ne peut
pas s'en dégager.
...La
tempête cessa, l'air devint calme et le ciel serein, mais depuis
ce moment, le vaste bassin sur lequel s'étendait une partie de
la
ville d'Is fut couvert d'eau, c'est la baie de Douarnenez. »
Voyage
dans le Finistère
Une
autre crise climatique en 1000 au moment des croisades, acheva de
refroidir
brusquement la température.
Ceci
est à peu de choses près la description de la Terre
Sainte.
Force
est de constater que de nombreux endroits du monde, pourraient
correspondre
à une telle description. C’est la raison pour laquelle les
premières
cartes du monde, celles de la Terre Sainte, sont d’une très
grande
utilité.
Bien
que tout le Jourdain était reconnu, comme porteur de beaucoup de
saints hommes, la grande plaine fertile du Jourdain aboutissant dans le
lac Genesareth et à la cité de Jerusalem, fut le
siège
des grandes révélations de l’histoire.
La
crête idéale de l’effet couvrant une bande située
autour
du 45ième parallèle, c’est autour de cette
ligne
que s’était articulée la quasi-totalité des
illuminés
de l’histoire sainte.
La
localisation de la Terre Sainte
S’il
n’est jamais possible avec ces anciennes cartes d’arriver à une
conclusion facile sans une bonne dose d’analyse, quelques points
fermement
ancrés permettront à tous de s’orienter avec assez
d’assurance,
pour être en mesure d’en révéler les détails
et ainsi d’apprécier une histoire très différente.
Elle
aura aussi des répercussions personnelles, puisque comme la
plupart
d'entres nous à l’exclusion de la classe noble, nous ne sommes
pas
en mesure de retracer notre généalogie jusqu’au Roi
David.
Cette coupure dans la généalogie populaire n’est pas sans
raison puisque la tenure du livre des ancêtres, comme il se
pratiquait
auparavant et comme il se pratique encore dans certaines
communautés,
a eu un impact incisif sur le calendrier officiel de l’histoire et sa
poursuite
aurait permis la découverte de l’arnaque. Vous qui me lisez,
sachez
qu’il y a une raison à cette noirceur qui enveloppe votre
généalogie.
Il y a une raison au fait que vous ne connaissiez pas vos
ancêtres
au-delà de 200, 400, 600, 800 ans. Cette raison est la
même
que celle qui fait que notre histoire officielle fut tellement
tourmentée,
qu’elle n’en tient simplement pas debout.
Faudra
t’il se surprendre que l’ensemble des endroits à
caractères
« sacrés » furent camouflés sous des centre
de
ski, ou des montagnes à usage militaire restreint, ou des
terrains
de golfs et des parcs à condos de grand luxe?
La
localisation de la Terre Sainte reposera sur les points clés
suivants
:
Le
mont Arar-at, ou Mont de la Genèse sur lequel Noé
échoua
son arche et qui furent par la suite appelé les monts du Caucase
- La mer Asphaltique sur laquelle étaient établies les
villes
de Sodome et Gomorre - L’Égypte antique et le Liban - Le lac
Genesareth
et Jerusalem ou Hieropolis, cette magnifique cité qui a
été
trop longtemps oubliée - BrasDora, ce passage qui permettait
d’atteindre
l’intérieur de la Terre Sainte.
Dans
« J’accuse » j’avais déjà
démontré
l’importance du Québec dans ce grand scénario.
Définissons
le Québec. Avec 7 millions de populations, aucun autre endroit
de
la planète ne fait autant usage des noms de saints que le
Québec.
Aucun!
Sur
1794 villes et villages du Québec, 648 possèdent à
leurs noms le préfixe de « Saint ».
Saint-Adalbert,
Saint-Adelme, Saint-Adelphe, Saint-Adelphe-De-Champlain,
Saint-Adolphe-D'Howard,
Saint-Adrien, Saint-Adrien-D'Irlande, Saint-Agapit, Saint-Agnes,
Saint-Aime,
Saint-Aime-Des-Lacs, Saint-Aime-Du-Lac-Des-Iles, Saint-Alban,
Saint-Albert,
Saint-Albert-De-Warwick, Saint-Alexandre-D'Iberville,
Saint-Alexandre-De-Kamouraska,
Saint-Alexandre-Des-Lacs Saint-Alexis, Saint-Alexis-De-Matapedia,
Saint-Alexis-De-Montcalm,
Saint-Alexis-Des-Monts, Saint-Alfred, Saint-Alphonse-Rodrigez,
Saint-Alphonse-De-Caplan,
Saint-Alphonse-De-Granby, Saint-Amable, Saint-Ambroise,
Saint-Ambroise-De-Chicoutimi,
Saint-Ambroise-De-Kildare, Saint-Anaclet, Saint-Anaclet-De-Lessard,
Saint-Andre-Avellin,
Saint-Andre-D'Acton, Saint-Andre-D'Argenteuil,
Saint-Andre-De-Kamouraska,
Saint-Andre-De-Restigouche, Saint-Andre-Du-Lac-St-Jean,
Saint-Andre-Est,
Saint-Ange-Gardien, Saint-Anicet, Saint-Anselme, Saint-Antoine,
Saint-Antoine
De Tilly, Saint-Antoine-Abbe, Saint-Antoine-De-L'Isle-Aux-Grues,
Saint-Antoine-De-Lavaltrie,
Saint-Antoine-Des-Laurentides, Saint-Antoine-Sur-Richelieu,
Saint-Antonin,
Saint-Apollinaire, Saint-Apolline-De-Patton, Saint-Armand,
Saint-Arsene,
Saint-Athanase, Saint-Athanase-De-Temiscouata, Saint-Aubert,
Saint-Augustin,
Saint-Augustin-De-Desmaures, Saint-Augustin-De-Woburn,
Saint-Augustin-Deux-Montagnes,
Saint-Barnabe, Saint-Barthelemy, Saint-Basile,
Saint-Basile-De-Portneuf,
Saint-Basile-Le-Grand, Saint-Basile-Sud, Saint-Benjamin, Saint-Benoit,
Saint-Benoit-Du-Lac, Saint-Benoit-Labre, Saint-Bernard,
Saint-Bernard-De-Dorchester,
Saint-Bernard-De-Lacolle, Saint-Bernard-Partie-Sud,
Saint-Bernard-Sur-Mer,
Saint-Blaise, Saint-Blaise-Sur-Richelieu, Saint-Bonaventure,
Saint-Boniface-De-Shawinigan,
Saint-Bruno-De-Guigues, Saint-Bruno-De-Kamouraska,
Saint-Bruno-De-Montarville,
Saint-Bruno-Lac-St-Jean, Saint-Calixte, Saint-Camille-de-lellis,
Saint-Camille-De-Belchasse,
Saint-Canut, Saint-Casimir, Saint-Celestin,Saint-Cesaire,
Saint-Charles-Borromee, Saint-Charles-De-Bellechasse,
Saint-Charles-De-Bourget,
Saint-Charles-De-Drummond, Saint-Charles-De-Mandeville,
Saint-Charles-Garnier,
Saint-Charles-Sur-Richelieu, Saint-Christophe-D'Arthabaska,
Saint-Chrysostome,
Saint-Claude. Saint-Clement, Saint-Cleophas, Saint-Cleophas-De-Brandon,
Saint-Clet, Saint-Colomban, Saint-Come, Saint-Come-Liniere,
Saint-Constant,
Saint-Cuthbert, Saint-Cyprien, Saint-Cyprien-De-Napierville,
Saint-Cyprien-De-Temiscouata,
Saint-Cyrille-De-L'Islet, Saint-Cyrille-De-Lessard,
Saint-Cyrille-De-Wendover,
Saint-Damase, Saint-Damase-De-L'Islet, Saint-Damase-De-Matapedia,
Saint-Damase-Des-Aulnaies,
Saint-Damien, Saint-Damien-De-Brandon, Saint-Damien-De-Buckland,
Saint-David,
Saint-David-D'Yamaska, Saint-David-de-Falardeau,
Saint-Denis-De-Brompton,
Saint-Denis-De-La-Bouteillerie, Saint-Denis-Sur-Richelieu,
Saint-Didace,
Saint-Dominique, Saint-Dominique-Du-Rosaire, Saint-Donat,
Saint-Donat-De-Rimouski,
Saint-Edmond, Saint-Edmond-Les-Plaines, Saint-Edouard,
Saint-Edouard-De-Fabre,
Saint-Edouard-De-Frampton, Saint-Edouard-De-Lotbiniere,
Saint-Edouard-De-Maskinonge,
Saint-Edouard-De-Napierville, Saint-Elie-D'Orford, Saint-Eloi,
Saint-Elphege,
Saint-Elzear, Saint-Elzear-De-Bonaventure, Saint-Elzear-De-Temiscouata,
Saint-Emile, Saint-Emile-De-Suffolk, Saint-Emond-De-Grantham,
Saint-Ephrem-D'Upton,
Saint-Ephrem-De-Beauce, Saint-Ephrem-De-Tring, Saint-Epiphane,
Saint-Esprit,
Saint-Etienne-De-Beauharnois, Saint-Etienne-De-Beaumont,
Saint-Etienne-De-Bolton,
Saint-Etienne-Des-Gres, Saint-Eugene, Saint-Eugene-De-Bellechasse,
Saint-Eugene-De-Grantham,
Saint-Eugene-De-Guigues, Saint-Eugene-De-Ladriere, Saint-Eusebe,
Saint-Eustache,
Saint-Evariste-De-Forsyth, Saint-Fabien, Saint-Fabien-De-Panet,
Saint-Faustin,
Saint-Felicien, Saint-Felix-D'Otis, Saint-Felix-De-Dalquier,
Saint-Felix-De-Kingsey,
Saint-Felix-De-Valois, Saint-Ferdinand, Saint-Ferreol-Les-Neiges,
Saint-Fidele,
Saint-Flavie, Saint-Flavien, Saint-Fortunat, Saint-Francois,
Saint-Francois-D'Assise,
Saint-Francois-D'Orleans, Saint-Francois-De-La-Riviere-Du-Sud,
Saint-Francois-De-Montmagny,
Saint-Francois-De-Pabos, Saint-Francois-De-Sales,
Saint-Francois-Du-Lac,
Saint-Francois-Montmagny, Saint-Francois-Xavier-De-Brompton,
Saint-Francois-Xavier-De-Viger,
Saint-Frederic, Saint-Fulgence, Saint-Gabriel,
Saint-Gabriel-De-Brandon,
Saint-Gabriel-De-Kamouraska, Saint-Gabriel-De-Rimouski,
Saint-Gabriel-De-Valcartier,
Saint-Gabriel-Lalement, Saint-Gedeon, Saint-Gedeon-De-Beauce,
Saint-Georges,
Saint-Georges-De-Cacouna, Saint-Georges-De-Champlain,
Saint-Georges-De-Clarenceville,
Saint-Georges-De-Windsor, Saint-Georges-Est, Saint-Georges-Ouest,
Saint-Gerard,
Saint-Gerard-Des-Laurentides, Saint-Gerard-Majella, Saint-Germain,
Saint-Germain-De-Grantham,
Saint-Germain-De-Kamouraska, Saint-Gervais, Saint-Gilbert,
Saint-Gilles,
Saint-Godefroi, Saint-Gregoire, Saint-Gregoire-De-Greenlay,
Saint-Guillaume,
Saint-Guillaume-D'Upton, Saint-Guillaume-De-Granada,
Saint-Guillaume-Nord,
Saint-Guy, Saint-Henri, Saint-Henri-De-Levis, Saint-Henri-De-Taillon,
Saint-Hermas,
Saint-Hilaire-De-Dorset, Saint-Hilarion, Saint-Hippolyte,
Saint-Honore-De-Beauce,
Saint-Honore-De-Chicoutimi, Saint-Honore-De-Temiscouata, Saint-Hubert,
Saint-Hubert-De-Riviere-du-loup, Saint-Hugues, Saint-Hyacinthe,
Saint-Hyacinthe-Le-Confesseur,
Saint-Igace-De-Stanbridge, Saint-Ignace-De-Loyola, Saint-Irenee,
Saint-Isidore-De-Clifton,
Saint-Isidore-D'Auckland, Saint-Isidore-De-Laprairie,
Saint-Jacques-De-Dupuy,
Saint-Jacques-De-Horton, Saint-Jacques-De-Leeds,
Saint-Jacques-De-Montcalm,
Saint-Jacques-Le-Majeur-De-Causapscal,
Saint-Jacques-Le-Majeur-De-Wolfestown,
Saint-Jacques-Le-Mineur, Saint-Janvier, Saint-Jean,
Saint-Jean-Baptiste,
Saint-Jean-Baptiste-De-L'Isle-Verte, Saint-Jean-Baptiste-De-Rouville,
Saint-Jean-Baptiste-Restigouche,
Saint-Jean-Batiste-De-Nicolet, Saint-Jean-Chrysostome,
Saint-Jean-D'Orleans,
Saint-Jean-De-Brebeuf, Saint-Jean-De-Cherbourg, Saint-Jean-De-Dieu,
Saint-Jean-De-La-Lande,
Saint-Jean-De-La-Lande-De-Beauce, Saint-Jean-De-Matha,
Saint-Jean-Des-Piles,
Saint-Jean-Port-Joli, Saint-Jean-Sur-Richelieu, Saint-Jerome,
Saint-Jerome-De-Matane,
Saint-Jérusalem, Saint-Joachim-De-Courval,
Saint-Joachim-De-Shefford,
Saint-Joachin-De-Montmorency, Saint-Joseph-De-Beauce,
Saint-Joseph-De-Blandford,
Saint-Joseph-De-Clericy, Saint-Joseph-De-Coleraine,
Saint-Joseph-De-Ham-Sud,
Saint-Joseph-De-Kamouraska, Saint-Joseph-De-La-Rive,
Saint-Joseph-De-Lanoraie,
Saint-Joseph-De-Lepage, Saint-Joseph-De-Maskinonge,
Saint-Joseph-De-Sorel,
Saint-Joseph-Des-Erables, Saint-Joseph-Du-Lac, Saint-Jovite,
Saint-Jude,
Saint-Jules, Saint-Jules-De-Beauce, Saint-Julien,
Saint-Just-De-Bretenieres,
Saint-Juste-Du-Lac, Saint-Justin, Saint-Lambert,
Saint-Lambert-De-Lauzon,
Saint-Lambert-De-Levis, Saint-Laurent, Saint-Laurent-D'Orleans,
Saint-Lazare,
Saint-Lazare-De-Bellechasse, Saint-Leandre, Saint-Leon,
Saint-Leon-De-Chicoutimi,
Saint-Leon-De-Standon, Saint-Leon-Le-Grand, Saint-Leon-Le-Grand,
Saint-Leonard,
Saint-Leonard-D'Aston, Saint-Leonard-De-Portneuf, Saint-Liboire,
Saint-Liguori,
Saint-Lin-Laurentides, Saint-Louis, Saint-Louis-De-Blandford,
Saint-Louis-De-France,
Saint-Louis-De-Gonzague, Saint-Louis-De-Gonzague-Du-Cap-Tourmente,
Saint-Louis-De-Terrebonne,
Saint-Louis-Du-Ha-Ha , Saint-Luc-Dijon, Saint-Luc, Saint-Luc-De-Matane,
Saint-Luc-De-Vincennes, Saint-Lucien,
Saint-Ludger,Saint-Ludger-De-Milot,
Saint-Magloire, Saint-Magloire-De-Bellechasse,
Saint-Majorique-De-Grantham,
Saint-Malachie, Saint-Malachie-D'Ormstown, Saint-Malo,
Saint-Marc-De-Figuery,
Saint-Marc-Des-Carrieres, Saint-Marc-Du-Lac-Long,
Saint-Marc-Sur-Richelieu,
Saint-Marcel, Saint-Marcel-De-L'Islet, Saint-Marcel-De-Richelieu
Saint-Marcellin,
Saint-Martin, Saint-Mathias-Sur-Richelieu, Saint-Mathieu,
Saint-Mathieu-D'Harricana,
Saint-Mathieu-De-Beloeil, Saint-Mathieu-De-Dixville,
Saint-Mathieu-De-Laprairie,
Saint-Mathieu-De-Rioux, Saint-Mathieu-Du-Parc, Saint-Maurice,
Saint-Maxime-Du-Mont-Louis,
Saint-Medard, Saint-Methode, Saint-Methode-De-Frontenac, Saint-Michel,
Saint-Michel-D'Yamaska, Saint-Michel-De-Bellechasse,
Saint-Michel-De-Napierville,
Saint-Michel-De-Rougemont, Saint-Michel-Des-Saints,
Saint-Michel-Du-Squatec,
Saint-Modeste, Saint-Moise, Saint-Narcisse,
Saint-Narcisse-De-Beaurivage,
Saint-Narcisse-De-Rimouski, Saint-Nazaire, Saint-Nazaire-D'Acton,
Saint-Nazaire-De-Dorchester,
Saint-Nazaire-Du-Lac-St-Jean, Saint-Neree, Saint-Nicephore,
Saint-Nicolas
Est, Saint-Noel, Saint-Norbert, Saint-Norbert-D'Arthabaska,
Saint-Norbert-De-Mont-Brun,
Saint-Octave, Saint-Octave-De-Dosquet, Saint-Octave-De-Metis,
Saint-Odilon,
Saint-Odilon-De-Cranbourne, Saint-Omer, Saint-Omer, Saint-Omer-L'Islet,
Saint-Onesime, Saint-Onesime-D'Ixworth, Saint-Ours, Saint-Pacome,
Saint-Pamphile,
Saint-Pascal, Saint-Patrice, Saint-Patrice-De-Beaurivage,
Saint-Patrice-De-La-Riviere-Du-Loup,
Saint-Patrice-De-Sherrington, Saint-Paul-D'Abbotsford,
Saint-Paul-D'Industrie,
Saint-Paul-De-Chateauguay, Saint-Paul-De-L'Ile-Aux-Noix,
Saint-Paul-De-La-Croix,
Saint-Paul-De-Montminy, Saint-Paul-Du-Nord, Saint-Paulin,
Saint-Philemon,
Saint-Philibert, Saint-Philippe, Saint-Philippe-D'Argenteuil,
Saint-Philippe-De-Neri,
Saint-Pie, Saint-Pie-De-Guire, Saint-Pierre, Saint-Pierre-Baptiste,
Saint-Pierre-D'Orleans,
Saint-Pierre-De-Broughton, Saint-Pierre-De-La-Riviere-Du-Sud,
Saint-Pierre-De-Lamy,
Saint-Pierre-De-Montmagny, Saint-Pierre-De-Sorel,
Saint-Pierre-De-Veronne-A-Pike-River,
Saint-Pierre-De-Wakefield, Saint-Pierre-Les-Becquets,
Saint-Pierre-Montmagny,
Saint-Placide, Saint-Polycarpe, Saint-Prime, Saint-Prosper,
Saint-Prosper-De-Dorchester,
Saint-Raphael, Saint-Raphael-D'Albertville, Saint-Raphael-De-Belchasse,
Saint-Raphael-De-L'Ile-Bizard, Saint-Raphael-Partie-Sud, Saint-Raymond,
Saint-Redempteur, Saint-Regis, Saint-Remi, Saint-Remi-D'Amherst,
Saint-Remi-De-Tingwick,
Saint-Rene, Saint-Rene-De-Matane, Saint-Robert, Saint-Robert-Bellarmin,
Saint-Roch-De-L'Achigan, Saint-Roch-De-Richelieu,
Saint-Roch-Des-Aulnaies,
Saint-Roch-Ouest, Saint-Rock-De-Mekinac, Saint-Romain,
Saint-Romuald-D'Etchemin,
Saint-Rosaire, Saint-Samuel, Saint-Samuel-De-Horton, Saint-Sauveur,
Saint-Sauveur-Des-Monts,
Saint-Sebastien, Saint-Sebastien-De-Frontenac, Saint-Severe,
Saint-Severin,
Saint-Severin-De-Beauce, Saint-Simeon, Saint-Simeon-De-Bonaventure,
Saint-Simon-De-Bagot,
Saint-Simon-De-Rimouski, Saint-Simon-Les-Mines, Saint-Sixte,
Saint-Stanislas,
Saint-Stanislas-De-Kostka, Saint-Sulpice, Saint-Sylvere,
Saint-Sylvestre,
Saint-Telesphore, Saint-Tharcisius, Saint-Theodore,
Saint-Theodore-D'Acton,
Saint-Theophile, Saint-Thomas, Saint-Thomas-D'Aquin,
Saint-Thomas-De-Joliette,
Saint-Thomas-De-Pierreville, Saint-Thomas-Didyme, Saint-Thuribe,
Saint-Timothee,
Saint-Tite, Saint-Tite-Des-Caps, Saint-Ubald, Saint-Ubalde,
Saint-Ulric,
Saint-Ulric-De-Matane, Saint-Urbain, Saint-Urbain-De-Charlevoix,
Saint-Urbain-Premier,
Saint-Valentin, Saint-Valere, Saint-Valerien, Saint-Valerien-De-Milton,
Saint-Vallier, Saint-Venant-De-Paquette, Saint-Vianney, Saint-Viateur,
Saint-Victor, Saint-Victor-De-Beauce, Saint-Victor-De-Tring,
Saint-Vincent-De-Paul,
Saint-Vital-De-Clermont, Saint-Wenceslas, Saint-Zacharie, Saint-Zenon,
Saint-Zenon-Du-Lac-Humqui, Saint-Zephirin, Saint-Zephirin-De-Courval,
Saint-Zotique,
Saints-Anges, Saints-Marthyrs-Canadiens, Sainte-Adele, Sainte-Agathe,
Sainte-Agathe-De-Lotbiniere,
Sainte-Agathe-Des-Monts, Sainte-Agathe-Nord, Sainte-Agathe-Sud,
Sainte-Agnes-De-Charlevoix,
Sainte-Agnes-De-Dundee, Sainte-Angele-De-Laval,
Sainte-Angele-De-Merici,
Sainte-Angele-De-Monnoir, Sainte-Angele-De-Premont, Sainte-Angelique,
Sainte-Anne-De-Beaupre,
Sainte-Anne-De-Bellevue, Sainte-Anne-De-La-Perade,
Sainte-Anne-De-La-Pocatiere,
Sainte-Anne-De-La-Rochelle, Sainte-Anne-De-Portneuf,
Sainte-Anne-De-Sabrevois,
Sainte-Anne-De-Sorel, Sainte-Anne-Des-Lacs, Sainte-Anne-Des-Monts,
Sainte-Anne-Des-Plaines,
Sainte-Anne-Du Sault, Sainte-Anne-Du-Lac, Sainte-Anne-Du-Lac,
Sainte-Aurelie,
Sainte-Barbe, Sainte-Beatrix, Sainte-Blandine,
Sainte-Brigide-D'Iberville,
Sainte-Brigitte-De-Laval, Sainte-Brigitte-Des-Saults, Sainte-Catherine,
Sainte-Catherine-De-Hatley, Sainte-Catherine-De-La-Jacques-Cartier,
Sainte-Cecile-De-Levrard,
Sainte-Cecile-De-Masham Sainte-Cecile-De-Milton,
Sainte-Cecile-De-Whitton,
Sainte-Christine, Sainte-Christine-D'Auvergne, Sainte-Claire,
Sainte-Clothilde-De-Horton,
Sainte-Clotilde-De-Beauce, Sainte-Clotilde-De-Chateauguay,
Sainte-Clotilde-De-Horton
Sainte-Croix, Sainte-Dorothee, Sainte-Edwidge,
Sainte-Edwidge-De-Clifton,
Sainte-Elisabeth, Sainte-Elisabeth-De-Warwick, Sainte-Elizabeth,
Sainte-Emelie-De-L'Energie,
Sainte-Emmelie, Sainte-Eulalie, Sainte-Euphemie-Sur-Riviere-Du-Sud,
Sainte-Famille,
Sainte-Famille-D'Aumond, Sainte-Felicite, Sainte-Felicite-De-L'Islet,
Sainte-Flavie,
Sainte-Flore-De-Grand-Mere, Sainte-Foy, Sainte-Francoise,
Sainte-Francoise-De-Lotbiniere,
Sainte-Genevieve, Sainte-Genevieve-De-Batiscan,
Sainte-Genevieve-De-Berthier,
Sainte-Germaine-Boule, Sainte-Germaine-De-L'Anse-Aux-Gascons,
Sainte-Germaine-Du-Lac-Etchemin,
Sainte-Germaine-Station, Sainte-Gertrude,
Sainte-Gertrude-De-Villeneuve,
Sainte-Gertrude-Manneville, Sainte-Hedwidge,
Sainte-Hedwidge-De-Roberval,
Sainte-Helene, Sainte-Helene-De-Bagot, Sainte-Helene-De-Kamouraska,
Sainte-Helene-De-Mancebourg,
Sainte-Henedine, Sainte-Irene, Sainte-Irene-De-Matapedia,
Sainte-Jeanne-D'Arc,
Sainte-Jeanne-D'Arc-De-Matane, Sainte-Jeanne-De-Pont-Rouge,
Sainte-Julie,
Sainte-Julie-De-Plessisville, Sainte-Julienne, Sainte-Justine,
Sainte-Justine-De-Newton
Sainte-Louise, Sainte-Luce, Sainte-Lucie-De-Beauregard,
Sainte-Lucie-De-Doncaster,
Sainte-Lucie-Des-Laurentides, Sainte-Madeleine,
Sainte-Madeleine-De-La-Riviere-Madeleine,
Sainte-Madeleine-De-Rigaud,Sainte-Marcelline,
Sainte-Marguerite-De-Dorchester,
Sainte-Marguerite-esterel, Sainte-Marguerite-Du-Lac-Masson,
Sainte-Marguerite-Marie,
Sainte-Marguerite-Station, Sainte-Marie, Sainte-Marie-De-Blandford,
Sainte-Marie-De-Monnoir,
Sainte-Marie-Madeleine, Sainte-Marie-Salome, Sainte-Marthe,
Sainte-Marthe-Du-Cap,
Sainte-Marthe-Sur-Le-Lac, Sainte-Martine, Sainte-Melanie,
Sainte-Modeste,
Sainte-Monique, Sainte-Monique-De-Nicolet,
Sainte-Monique-Des-Deux-Montagnes,
Sainte-Monique-Du-Lac-St-Jean, Sainte-Odile-Sur-Rimouski, Sainte-Paule,
Sainte-Perpetue, Sainte-Perpetue-De-L'Islet, Sainte-Petronille,
Sainte-Philomene-De-Fortierville,
Sainte-Praxede, Sainte-Rita, Sainte-Rosalie, Sainte-Rose,
Sainte-Rose-De-Watford,
Sainte-Rose-Du-Nord, Sainte-Sabine, Sainte-Sabine-De-Bellechasse,
Sainte-Scholastique,
Sainte-Seraphine, Sainte-Sophie, Sainte-Sophie-De-Levrard,
Sainte-Sophie-De-Megantic,
Sainte-Thecle, Sainte-Therese, Sainte-Therese-De-Gaspe,
Sainte-Therese-De-Gatineau,
Sainte-Therese-De-La-Gatineau, Sainte-Ursule, Sainte-Veronique
Sainte-Victoire,
Sainte-Victoire-D'Arthabaska, Sainte-Victoire-De-Sorel,
Salaberry-De-Valleyfield.
De
plus, sur les 1146 restantes, 111 possèdent dans leurs noms le
mot
« Saint », ou évoque d'une façon ou d'une
autre
la religion ou des locations nommées dans la Bible.
Abbotsford,
Alma, Amos, Ange-Gardien-De-Rouville, Baie-Sainte-Catherine,
Baie-St-Paul,
Baie-Trinite, Bernieres-Saint-Nicolas, Bethanie, Bonne Esperance,
Bonsecours,
Brebeuf, Cap-Saint-Ignace, Capucins, Chute-Saint-Philippe,
Deschaillons-Sur-Saint-Laurent,
D’israëli, East Angus, Esprit-Saint, Fatima, Gallichan, Gallix,
Grand-Saint-Esprit
,Havre-Saint-Pierre, Iles-de-la-Madeleine, Ange-Gardien,
L'Annonciation,
L'Anse-Saint-Jean, L'Ascension, L'Ascension-De-Notre-Seigneur,
L'Ascension-De-Patapedia,
L'Assomption, L'Avenir, L'Epiphanie, La Conception, La Presentation, La
Redemption, La Visitation, La Visitation-De- L'Ile-Dupas, La
Visitation-De-Yamaska,
La-Trinite-Des-Monts, Lac-A-La-Croix, Lac-Saint-Charles ,
Lac-Saint-Joseph,
Lac-Saint-Paul, Lac-Sainte-Marie, Lourdes, Lourdes-De-Joliette,
Lourdes-Du-Blanc-Sablon,
Magog, Maria, Mont-Apica Saint-Bruno, Mont-Carmel, Mont-Royal,
Mont-Saint-Gregoire,
Mont-Saint-Michel, Mont-Saint-Pierre, Mont-St-Hilaire, Namur,
Notre-Dame-Auxiliatrice-De-Buckland,
Notre-Dame-De-Bon-Secours, Notre-Dame-De-Bon-Secours-Partie-Nord,
Notre-Dame-De-Bonsecours,
Notre-Dame-De-Bonsecours-De-L'Islet, Notre-Dame-De-Grace,
Notre-Dame-De-L'Ile-Perrot,
Notre-Dame-De-La-Merci, Notre-Dame-De-La-Paix,
Notre-Dame-De-La-Salette,
Notre-Dame-De-Lorette, Notre-Dame-De-Lourdes, Notre-Dame-de-Lourdes,
Notre-Dame-De-Lourdes-De-Ham,
Notre-Dame-De-Montauban, Notre-Dame-De-Pierreville,
Notre-Dame-De-Pontmain,
Notre-Dame-De-Portneuf, Notre-Dame-De-Saint-Hyacinthe,
Notre-Dame-De-Stanbridge,
Notre-Dame-Des-Bois, Notre-Dame-Des-Monts,
Notre-Dame-Des-Neiges-Des-Trois-Pistoles,
Notre-Dame-Des-Pins, Notre-Dame-Des-Prairies,
Notre-Dame-Des-Sept-Douleurs,
Notre-Dame-Du-Bon-Conseil, Notre-Dame-Du-Lac, Notre-Dame-Du-Laus,
Notre-Dame-Du-Mont-Carmel,
Notre-Dame-Du-Nord, Notre-Dame-Du-Portage, Notre-Dame-Du-Rosaire,
Notre-Dame-Du-Sacre-Coeur-D'Issoudun,
Ogden, Petit-Lac-Sainte-Anne, Petite-Riviere-Saint-Francois,
Pointe-A-La-Croix,
Precieux-Sang, Riviere-Pentecote, Riviere-Saint-Jean,
Riviere-Saint-Paul,
Sacre-Coeur, Sacre-Coeur-De-Crabtree Sacre-Coeur-De-Jesus,
Sacre-Coeur-De-Marie,
Sacre-Coeur-Saguenay, Tres-Saint-Redempteur, Tres-Saint-Sacrement,
Val-Saint-Gilles,
Vercheres, Ville-Marie.
Et
sur les 1135 restantes, beaucoup ont des noms évoquant diverses
locations mentionnées dans la Bible, mais cette fois avec une
déformation
si prononcée, qu’elles en sont pratiquement
méconnaissables.
«
Si ces Conjectures étaient bien fondées, les Juifs
auraient
rempli une grande Étendue de Païs. Il fallait même
qu'ils
y fussent très puissants, puis qu'ils changèrent l'ancien
Nom des Villes & du Païs, pour donner ceux de fugitifs, de
Reliques
et de Saints » –
Histoire
des Juifs depuis Jesus Christ jusqu’à présent.
BrasDora
J’avais
aussi identifié l’importance de cette ville de l’histoire et sa
relation avec Le BrasD’or ou encore Labrador, la portion de terre
située
au nord-est du Québec et remis à la province de Terre
Neuve
lors de négociation entre les gouvernements concernés.
En
réalité, ces négociations se firent à
travers
un mystérieux organisme appelé « Le Conseil
privé
», un ramassis de choisis auxquels participe la noblesse au
besoin.
Ici
aussi il y a eu glissement. Voici ce qu’en dit l’histoire :
«
Dor » ou « Dora » était une ville de
Phénicie
située dans une espèce de péninsule, à
l’endroit
où se situe le mont Carmel. On ajoute qu’elle portait
déjà
ce nom au moment ou les Israélites entrèrent dans le pays
de Canaan.
Dora
passa, avec la Phénicie, au pouvoir des Perses, ensuite
d’Alexandre
et de ses successeurs rois d'Égypte. Elle fut prise par la
Syrie,
avant d’être ruinée par les juifs et reprise par les
Romains
sous Pompée en 94 av. J.-C..
En
l’an 500 après J.C., au moment de la destruction de Jerusalem
par
les éléments et au moment de l’ouverture des nouvelles
terres
sur la côte européenne et sur le pourtour de la
Méditerranée,
elle tombe en désuétude.
D’or,
Dor, Dora, BrasDor, BrasDora, sont des noms de cités appartenant
à diverses cultures, mais identifiant tous le même
endroit.
« BrasDora » formait un assemblage intéressant
puisque
le mot « Dora » est en plus la traduction chypriote du mot
français « bras ».
La
carte de la Terre Sainte, nous indique deux « Bras D’or
»,
ces deux promontoires qui précèdent une grande plaine, la
terre de la Tribu des Ephraïms, siège de la Samarie.
Un
de ces promontoires fut le siège de la tribu de Dan sur la terre
d’Avalon et l’autre, la plaine de Gaza de la tribu de Simeon, qui
devint
terre des Phillistins.
Véritables
colonnes d’Hercules de l’Amérique, « Bras d’Or »
n’identifiait pas à l’origine une ville, mais bien une terre
particulièrement
riche, encadré de deux affluents permettant l’accès au
continent
intérieur de la Terre Sainte et de deux promontoires qui
s’avancent
dans l’Océan.
Incidemment,
voici un second « Bras d’Or » dont le nom était
encore
utilisé couramment au siècle dernier :
«
CAP-BRETON - Des animaux monstrueux ont autrefois
fréquenté
les eaux et les rivages de l'île du Cap-Breton. On trouve au fond
des rivières qui se jettent dans le Bras-d'Or,
près
de leurs embouchures, des restes de très grands animaux, qui,
selon
toute apparence, vivaient dans les environs. Quelque temps après
qu'on eut commencé à s'établir sur les bords du
Wagmatcook,
on trouva dans le lit de cette rivière, une mâchoire
extraordinaire.
» Journal
historique et politique l’Observateur 1830 Tome 1
Mais
encore:
«
D'autres
canaux ont été proposés ; nous n'en citerons que
deux
: le CANAL de 11 milles anglais qui doit joindre la baie Verte,
enfoncement
du golfe de St-Laurent au Cumberland-Bason , enfoncement de la baie
Fundy
; la dépense est estimée à 70,000 liv. sterl. pour
le rendre navigable pour des navires qui tirent 8 pieds -, le CANAL DE
L'ILE CAP BRETON , qui doit ouvrir une communication entre le Bras-d'Or
et la baie de St-Pierre, on a estimé sa dépense à
17,100 livres sterling. » Abrégé de
géographie
d’Adrien Balbi 1812
La
grande plaine d’Avalon porte aujourd’hui le nom de péninsule et
d’isthme d’Avalon et elle est située à Terre Neuve.
Elle
est cette grande plaine de la péninsule de Terre-Neuve qui fait
face à l’Atlantique. Si l’on brise la côte
représentée
sur la carte de la Terre Sainte, on rencontre un premier BrasDora
à
l’extrémité de la péninsule d’Avalon à la
pointe
de Terre Neuve, à l’endroit de l’actuelle Saint-Jean.
«
Comment le duc de Bourgogne tint la journée de Passy, et comment
il fit assiéger la ville et forteresse d'Avalon.
Le
premier jour de septembre venu, le duc de Bourgogne, qui par avant
avait
demandé à ses parties de Bourgogne , tous ceux qui
l'avaient
accoutumé de servir, tint la journée pour la reddition de
Passy, dont dessus est fait mention. A laquelle journée ,
vinrent
en son aide , le seigneur de l'Ile-Adam, maréchal de France, de
par le roi... » Des
chroniques nationales françaises, du treizième au
quinzième
siècle.
«
Avalon. Cette île célèbre on le sait, est le pays
enchanté
dans lequel demeuraient la fée Morgan et ses sœurs suivant les
poètes
gallois, les romanciers de la Table-Ronde, et même quelques-uns
de
ceux du cycle des douze Pairs. C'est là que Morgan a conduit son
bien aimé Oger-le-Danois, pour l'élever.
...Cependant,
Arthur ne tarda pas à recevoir la nouvelle que Mordret son
neveu,
s'était emparé de la Grande-Bretagne, et avait
épousé
Genièvre sa femme. Il s'empressa de retourner dans son royaume
et
de marcher contre les révoltés. Mordret appela à
son
secours Childric roi des Saxons , et il attendit Arthur à son
débarquement.
Un
combat eut lieu , Arthur fut vainqueur ; mais il perdit Gauvain son
neveu.
Mordret s'enferma dans Winchester, d'où il se sauva
bientôt
en Cornouaille. Genièvre , infidèle , se jeta dans un
couvent
où elle expia ses fautes. Arthur passa en Cornouaille , et
Mordret
, fatigué de fuir , livra bataille auprès de Cambelan.
Les
deux armées y furent presque détruites ; Mordret y mourut
, et Arthur, mortellement blessé, disparut. On dit qu'il fut
porté
dans l'île d'Avalon, où la fée Morguan et ses sœurs
l'ont guéri, et qu'un jour il reviendra.
...les
triades représentent ce combat comme un des plus grands malheurs
qui ait frappé la race cambrienne ; aussi la mémoire
populaire
en a gardé le souvenir ; elle s'est plu à imaginer bien
des
fables à ce sujet. Une des plus célèbres est la
disparition
d'Arthur blessé mortellement.
Les
Gallois affirment que le héros doit revenir un jour, qu'il fut
porté
dans l'île d'Avalon, près de la fée Morguan, qui a
promis de le rendre à ses sujets, après une longue suite
d'années nécessaires à la guérison de ses
blessures.
La célébrité que cette tradition populaire attacha
au nom d'Arthur, fut une des premières causes de tous les
récits
romanesques dont le chef cambrien devint le sujet. Ce nom, connu de
chacun,
s'environna peu après d'une gloire qui augmenta sans cesse ; et
quand Geoffroi de Monmouth et Wace voulurent former une histoire
chevaleresque
et religieuse dans le goût de l'époque où ils
écrivaient,
Arthur fut le héros populaire »Le
roman de Brut.
L'île
Adam se situe sur la côte ouest de Terre-Neuve.
Le
mot « fleuve» pour désigner
l'embouchure
du Saint Laurent est un euphémisme. La surface comprise entre la
côte du Nouveau Brunswick et celle du Québec mesure plus
de
700 kilomètres de long sur 400 de large entre la Gaspésie
et Terre Neuve. Elle constitue une véritable mer
intérieure,
qui se rapproche en dimension, à celle de la mer Caspienne.
Lorsqu'on
réduit le fleuve à son expression la plus simple, tel
qu'il
existait à une époque aussi reculée, la mer
intérieure
disparaît et laisse place à une grande plaine,
séparée
par un fleuve aux dimensions cette fois raisonnable, dont l'embouchure
ne dépasse pas la cinquantaine de kilomètres au moment
d'arriver
à la grande fosse Atlantique. (En mauve sur la carte)
En
remontant ce fleuve appelé alors « Kishion » , nous
accédons à cette grande plaine basse, appelée la
Samarie.
À gauche, le Cap breton, dont la partie haute donnait un
repère
élevé sur le fleuve et était appelé le mont
Carmel. Il était entouré d'un bras de mer, qui
possède
une configuration d'apparence artificielle et fut possiblement
retravaillée
pour offrir un double accès.
La
pointe sud de la Nouvelle Écosse, séparée du
Nouveau
Brunswick par la Baie de Fundy, alors appelée la Manche, faisait
partie de la terre des Phoeniciens.
Le
mont Arar-At
Noé
aboutit sur le mont Arar-at, un mot qui signifie « Mont de la
Genèse
», une montagne appartenant à un groupe de montagnes
remarquables
par leur hauteur et la présence à leur tête de
neiges
éternelles. Elles conservèrent ce mérite
incontestable
et incontesté durant plusieurs des siècles qui suivirent,
à travers toute la descendance de Noé.
Le
déluge et ses conséquences désastreuses ne se sont
pas joués en une seule fois. Le salage des terres était
une
pratique connue depuis l’époque romaine pour stériliser
les
terres des conquis. En plus de laisser des dépôts d’eau de
mer qui empliront les cuvettes pour des décennies, sinon des
siècles
à venir, le sel se déposa partout, laissant une fine
croûte
de cristaux de sel qui devra être délavé par les
pluies
et laissera la terre dans un état de désolation qui
perdurera
des années.
Soumis
à la pluie, il est raisonnable de croire que le lavement graduel
de ce sel, aurait été plus efficace dans les hauteurs que
sur la plaine, où ce sel n’en finissait plus de se
dégorger.
Ajoutée à une radicalisation des contrastes de
températures,
les besoins d’eau fraîche et les craintes d’une éventuelle
répétition de ces évènements marquants, la
stérilité des terres fut manifestement au coeur des
raisons
qui poussèrent l’homme à s’installer en montagne au
début.
Ces
raisons évoluèrent. Noé était le proprio
d’une
terre neuve, qui ne contenait pas d’autres habitants ni d’autres
animaux.
Les choses ne demeurèrent pas ainsi et bientôt de
nouvelles
menaces surgiraient, qui obligeraient les hommes à s’accrocher
au
sommet des montagnes.
C’est
à cet endroit qu’il faut s’attendre de voir la prime
progéniture
de Noé. Tout près du patriarche sanctifié.
Cette
carte de la Terre Sainte n’est pas d’une première
génération
et laisse voir une Terre Sainte étendue. Dans la première
génération d’hommes, les élus de Dieu comme il
était
dit, les terres et la côte occupée, tenaient à
l’intérieur
de la zone ombragée. Une société agraire simple,
très
fermée, qui avait peu de commerce avec les tribus voisines et
principalement
axée sur cette bribe de Dieu reçue à travers les
révélations
de Noé.
En
assumant une forme qui s’approcherait grossièrement du
rectangle,
cette région délimite une zone de la côte est,
s’étirant
sur approximativement 1500 kilomètres de long par 500 de
profondeur.Un
rectangle dont l’une des extrémités est formée au
Nord-est par le Labrador et Terre-Neuve,et dont
l’autre
extrémité serait une ligne qui s’étend
approximativement
de la côte de l’actuel état de Virginie, jusqu’aux
collines
de l’Outaouais.
Pour
déterminer les limites de ce territoire au sud-ouest, nous
devrons
tenir compte de ces deux chaînes de montagnes qui apparaissent au
haut de la carte, donc au sud de la Nouvelle-Écosse
d’aujourd’hui.
Appelées
Montagnes de l’AntiLiban et du Liban, elles encadrent une plaine
donnant
sur la côte et adossée à une zone partiellement
montagneuse.
La plus au sud des chaînes appelées les montagnes du
Liban,
est plus large et n’atteint pas le bord de la côte. Celle de
l’AntiLiban
se sépare à deux endroits et laisse apparaître 2
défilés,
permettant de traverser la chaîne.
De
plus, 3 lignes pointillées délimitant les territoires
tribaux,
traversent la chaîne à autant d’endroits. À cette
époque,
de telles limites n’étaient pas le fruit d’une quelconque
négociation
ou tiré du hasard, mais le produit d’une
nécessité,
puisqu’elles marquaient le passage des pistes marchandes.
Ces
pistes caravanières sont importantes. À pied ou à
dos d’âne, avant que la navigation apparaisse les caravaniers
étaient
la seule façon de transporter les denrées d’une
cité
à l’autre, à travers le réseau de montagnes et de
rivières. Avoir une route facile, sécuritaire, bien
encadrée
et balisée de facilités permettant de se restaurer tout
comme
sont nos routes modernes était essentiel.
Quoiqu’on
en apprenne dans la culture moderne, aucune représentation
ancienne
des évènements survenus en Terre Sainte, ne laisse
apparaître
de chameau. S’accordant avec les nouveaux parcs thématiques de
la
méditerranée, seules les représentations
attribuables
au dernier millénaire laissent voir de ces animaux. Le cheval,
les
ânes et les mulets étaient les seuls animaux de traits
utilisés
pour le transport marchand à l’époque de la Terre Sainte.
Bête de trait ou de bât, le mulet et le bardeau faisaient
parti
de la vie courante des premiers peuples.
Ces
hybrides réalisés à partir d’un croisement entre
le
cheval et l’ânesse ou de la jument et de l’âne, naissaient
stériles et ne pouvaient se reproduire. Une utilisation aussi
répandue,
laisse croire que nous sommes en face de l’une des premières
grandes
arnaques commerciales du monde, dans laquelle celui qui
possédait
le cheval et l’ânesse était roi.
Les
routes de ces marchands étaient en fait si importantes, qu’elles
orientaient l’axe des cités qui se développaient, en
s’étirant
le long de ces pistes caravanières. Lorsque la population
explosait,
c’est sur les basses terres longeant ces routes marchandes, que les
nouvelles
cités essaimaient.
Sans
cesse détruite par le conquérant de passage et
reconstruite
par le peuple qui n’en finissait plus de mourir, c’est de ces
mêmes
cités, que sont émergées les villes modernes et de
ces mêmes routes marchandes, que sont nées les
premières
routes modernes.
C’est
le premier de ces défilés, rencontrés dans la
chaîne
de montagnes en partant de la côte, qu’il faudra traverser pour
se
retrouver dans la grande plaine, immédiatement en face des
gigantesques
montagnes sur laquelle Noé s’est échoué et au pied
desquels,
origine le Jourdain.
Les
Appalaches sont une grande chaîne de montagnes qui longe la
côte
est Américaine dans une direction nord sud sur plus de 1200
kilomètres.
Une vision qui manque de raffinement puisque les Appalaches,
appelées
autrefois les Alhéganis, sont des formations différentes
qui furent enfilées sous la même étiquette dans
l’éducation
populaire moderne. L’impression de continuité
prêtée
par l’éducation populaire n’est qu’une impression, puisqu’elles
sont constituées de grandes strates est-ouest empilées
les
unes sur les autres, qui se terminent à des distances
très
variables des côtes.
En
longeant la côte est de la Nouvelle Écosse vers le sud,
nous
dépassons la Baie de Fundy alors une basse terre qui n’avait pas
encore été noyée par les eaux. Notre route
croisera
le Mont Désert situé sur l’île du même nom,
seule
montagne visible sur tout l’horizon de la côte et un
repère
de navigation encore aujourd’hui. Après une plaine raboteuse sur
la côte du Maine, nous atteignons le New Hampshire, où
nous
rencontrons les premières grandes ondulations des Appalaches,
qui
tout comme sur la carte se rendent jusqu’à la mer.
Une
centaine de kilomètres plus au sud encore,
précédant
un promontoire qui s’avance dans la mer, apparaît la ville de
Sidon.
C’est derrière Byblus, qu’apparait loin de la côte, un
autre
segment des Appalaches beaucoup plus large, les Adirondacks.
L’intervalle
entre les deux chaînes de montagnes, encâdre les
côtes
du coeur de la Nouvelle Angleterre, le New-Jersey, le Connecticut, le
Rhode
Island, le Massachusetts, dans une grande plaine qui fait 200
kilomètres
sur 100. Sidon est aujourd'hui Boston et Byblus est New York.
En
tournant à 90°, à la hauteur du New Hampshire, pour
entrer
dans les terres au Sud du premier segment des Appalaches, nous arrivons
un enchevêtrement de pistes qui s’apparentent à celles du
plan et qui aboutissent au Québec, sur le grand territoire du
Haut
Saint-François, entre Sherbrooke et la Beauce.
Poursuivant
notre route, nous arrivons à un large défilé qui
traverse
entièrement la chaîne appalachienne, avant de
déboucher
sur le lac Champlain au Québec. Un peu plus au Sud, un second
défilé
permet d’entrer en terre canadienne, au sud du lac Ontario.
Avec
BrasDora, ces deux accès furent longtemps les seuls permettant
de
pénétrer l’intérieur de la Terre Sainte.
Le
défilé du lac Champlain nous amène à
travers
une profonde vallée à saveur helvète,
bordée
au nord est par les Montagnes à tête blanche, auquels
appartient
le mont Georges Washington, qui culmine à près de 2000
mètres
et le mont Madison, qui possède des reliefs manifestement
artificiels.
C’est sur ces montagnes que Noé échoua son Arche.
C'est
à proximité de ces montagnes que le lac Phiala donne
naissance
au fleuve de Jor et Dan, le Jourdain. Le lac Phiala, devenu par la
suite
le lac de Tiberiade, fut l'endroit de la première Caesare de
Phillippe
et est devenu maintenant le lac Georges dans l’état de New
York.
Comme
décrit dans l’histoire, ses eaux nourrissent une partie du
fleuve
Jourdain à travers le lac Champlain, qui lui même
alimentait
le lac Génareth et le Kishion, devenu par la suite le fleuve
Eleuthere,
s’élance ensuite vers le nord et est devenu aujourd’hui la
rivière
Richelieu et le Saint Laurent.
«
BELINA ou BELINAS, (N), Géogr. Ane, & Mod*, bourg de la
Turquie
en Asie, dans le gouvernement de Damas, au pied du mont Liban. Il a
pris
la place de l'ancienne Paneas, décorée d'un temple
à
l'honneur d'Auguste par Héro de premier, & nommée
Caesarea
Philippi à l'honneur de Tibère, par Philippe fils de ce
Hérode.
Le
fleuve du Jourdain qui sort de terre au voisinage de cet endroit,
à
quatre lieues du lac Phiala qui en est la source, donna lieu à
ce
Philippe de faire une expérience qui vérifie cette
source.
Ce prince, curieux de savoir d'où venait le Jourdain, &
soupçonnant
le lac Phiala d'en fournir les eaux, fit jeter dans ce lac de la paille
hachée, & observer en même temps le Jourdain sortant
de
terre. La paille en effet reparut dans le fleuve, & démontra
de la sorte le lieu de son origine. (D. G.) »Encyclopédie
ou dictionnaire universel raisonné des sciences
Cette
grande région, couvrant l’état de New York, celui du
Vermont
et le sud du Québec, constitue à lui seul, un
véritable
microcosme de la planète politique d’aujourd’hui, une Terre en
miniature.
Celle de cette époque et toutes celles à venir. C’est
à
cet endroit, il y a 1500 ans, que les maîtres du monde d’alors se
sont partagé la planète et ont décidé de
notre
sort, la population des « communs » qui naissait.
C’est
au pied de ces montagnes que se retrouvent les villes et villages qui
furent
les sièges des premières tribus, qui conservent encore
aujourd’hui
leurs noms d’origines aux consonances évocatrices.
Enosburgh,
Caledonia, Jericho, Hereford, Jefferson, Franklin, Albany, Rutland,
Essex,
Orléans, Champlain, Bethel, Canaan, Danby, Danville, Halifax,
Hollande,
Ira, Irasburg, Jamaica, Londonderry, Lunenburg, Mont Holly, Mont
Thabor,
Newark, New Haven, Orange, Peru, Salisbury, Shoreham, Saint-Alban,
Vernon,
Bethlehem, Salem, New London, Lebanon, Alexandria, Amsterdam, Andes,
Arcadia,
Argyle, Athens, Attica, Aurelius, Aurora, Babylon, Brutus, Canadice,
Canandaiga,
Candor, Caneadea, Chili, Cicero, Cuba, Danube, Decatur, Delhi, Denmark,
Dover, Duanesburg, Dunkirk, Ellisburg, Elmira, Ephrata, Esopus, Exeter,
Fabius, Fallsburg, Florence, Florida, Gallen, Gallatin, Genesee,
Geneva,
Genoa, German, Gilboa, Greece, Hague, Hamburg, Hebron, Huguenot, Ushua,
Ithaca, Java, Jerusalem, Junius, Lodi, Lyons, Lysander, Macedon, Malta,
Mexico, Milan, Minerva, Montezuma, Moravia, Moriah, Naples, Napoli,
Nassau,
New Albion, Newark Valley, Ogden, Olive, Paris, Persia, Poland,
Romulus,
Rhinebeck, Salamanca, Salem, Salina, Santa Clara, Smyrna, Sodus, Solon,
Sparta, Stockholm, Turin, Tyre, Ulysses, Venice, Vienna, Virgil, Wales,
Waterloo, Warsaw, Warwick, Washington, Tisbury, Cabotville, Darien,
Lisbon,
New London, Exeter, Scituate.
Certaines
de ces cités sont fausses. Tout comme nos noms de villes
modernes
apparaissant à plusieurs endroits de la planète, elles ne
furent créées que pour cacher l’arbre derrière la
forêt et dissiper les regards trop curieux. Seule une bonne
compréhension
de l’évolution de l’histoire permet de démêler
quelque
peu le bon grain de l’ivraie.
Les
légères modifications des horizons tectoniques,
engendraient
des changements importants du réseau hydrique. Une de celle-ci
était
la décharge d’eau des Grands lacs à la hauteur des chutes
du Niagara et plus particulièrement de la ville de Buffalo
où,
ce changement de niveau de quelques mètres, redirige la
décharge
des Grands Lacs, à travers le lac Michigan et le fleuve
Mississippi.
Les
Grands Lacs ne fournissant plus leur eau, le Fleuve Saint-Laurent se
retrouve
réduit à sa plus simple expression, alimenté que
par
la rivière Outaouais et la rivière Richelieu.
La
Mer Asphaltique
Que
l’eau salée ait été coincée par les glaces
qui descendaient contre la ligne de séparation des eaux ou
qu’elle
ait été conséquente à un Déluge
biblique
n'a que peu d'importance. Quoiqu’il en soit, une
phénoménale
quantité d’eau de mer s’est retrouvée coincée dans
une cuvette naturelle des montagnes du Bouclier Canadien formant un
gigantesque
lac de saumure sur lequel glissait une fine pellicule d’eau douce
provenant
des affluents.
Chauffée
par le rayonnement solaire, la saumure a atteint une température
de quasi-ébullition, cuisant à température et
à
pression constante toute matière provenant des affluents,
empêchant
toute vie et procurant aux riverains en plus de cette affreuse odeur,
cette
matière houilleuse.
Au
fil du temps, il est possible que la glaciation elle-même ait
contribué
à mettre fin à ce grand lac miasmatique pour en
rétablir
la première fraîcheur. Les restes de ce grand lac, sont
aujourd’hui
le lac Abitibi Témiscamingue, dont la décharge s’effectue
dans la rivière Outaouais, qui fut pendant longtemps
appelée
aussi le Jourdain, affluent du lac Genesareth.
La
topologie présente une cuvette fermée par le Bouclier
Canadien,
qui offre une capacité maximale s’approchant de beaucoup de
celle
indiquée dans les cartes de la Terre Sainte. C’est sur les rives
de ce lac aux eaux souffrées, qu’étaient construites cinq
villes de grandes richesses et de grande perversion appartenant aux
Moabites
et qui furent détruites au cours d’un grand cataclysme.
Sodome,Gomorre,
Zéboïn, Adama et Segor.
Joseph
nous en donne un aperçu de son époque.
«
Joseph donne au Lac de Sodome cinq- cents quatre - vingt stades de
longueur;
c'est à dire environ vingt-deux lieues; & cent cinquante
stades
de largeur, c'est à dire environ cinq lieues. »Amusement
Philologiques ou mélange agréable de diverses
pièces.
Si
on estime à partir de la lieue française, nous obtenons
un
lac de 80 kilomètres de long par 20 kilomètres de large,
soit les dimensions approximatives du lac Abitibi Témiscamingue,
tel qu'elles sont aujourd'hui.
Depuis
le début du siècle, cet endroit est au centre d’un
véritable
klondike en Abitibi-Témiscamingue. Comme d’usage lorsque de
«
riches
filons » venaient d’être découvert, les
sous-sols
furent soigneusement vidés, littéralement «
liquéfiés
» par les grandes minières, pour recueillir le
métal
laissé par le départ précipité des
habitants.
Quand
tu découvres, tu n'as pas besoin de conquérir!
-Version
officielle -
Le
nord-ouest du Québec est connu pour ses gisements d’or et de
métaux
usuels depuis la découverte du gisement Horne, au début
des
années 1920. Des
mines d’or, de cuivre et de zinc et quelques mines de nickel, de
molybdène
et de lithium ont été exploitées en Abitibi alors
que des mines d’or et de nickel ont été exploitées
dans la partie méridionale du Témiscamingue. On
dénombre
plus de 130 mines dans le corridor Rouyn-Noranda–Val-d’Or. Ce chiffre
augmente
à plus de 170 mines si on considère l’ensemble de la
sous-province
de l’Abitibi. Depuis maintenant près d’un siècle, ce
territoire
est la principale région minière du Québec.Gouvernement
du Québec
Le
grand lac Genesareth
Les
frontières naturelles dessinées au fil du temps
s’accommodaient
bien du flot en place jusque-là. Le lac de Genesareth,
appelé
par la suite le lac Tibériade au moment des conquêtes et
plus
tard la mer de Galilée, mesurait une trentaine de
kilomètres
sur dix.
Il
ne demeura pas un lac. L’arrivée soudaine des eaux en provenance
des grands Lacs il y a 1500 ans, changèrent tout et
transformèrent
un lac tranquille, en un torrent impétueux occasionnant de
nombreux
rapide et transformant un filet d'eau, en une chute imposante
appelée
aujourd'hui chutes du Niagara, arrachant au passage des rives qui
n’arrivaient
pas à s’adapter à autant de puissance.
C’est
en face de Beauharnois, de Saint Constant, de Varennes et de Sorel
près
de Montréal que les dégâts furent les plus
importants.
L’eau rugissante, arracha les terres autour de l’île Salaberry et
plus loin à Varennes et à Sorel. Les hautes rives et le
rempart
naturel de Saint Constant tenant bon, l’eau s’accumula à la
pointe
ouest de l’île de Montréal transformant en un fleuve, ce
qui
n’était auparavant qu’un grand lac calme et submergeant une
partie
des terres habitées.
Alors
que Montréal n’était que péninsule, l’eau trouva
une
dénivellation suffisante au nord, créant la
rivière
des Milles-Îles et transformant Montréal en une île.
Le
Lys
Voici
la seule explication officielle qui soit passée la
barrière
du temps, jusqu’à nous :
«
Le roi Grallon avait régné dans la superbe ville d'Ys;
ainsi
l'assure la légende: le roi Grallon est dans le tombeau d'Ys.
Celte
ville fut engloutie par un déluge vers l'an 411 en punition des
crimes de ses habitants. On assure que l'imagination la plus audacieuse
ne parviendrait jamais à retracer les écarts auxquels on
se livra dans cette coupable cité. L'infante , elle-même ,
oubliant la pudeur et la modération si naturelle à son
sexe,
y donnait l'exemple de tout genre de dépravations. L'heure de la
vengeance arriva. L'Océan sortit de ses abymes et dans peu
d'instants
Ys fut submergée. Le lendemain, le voyageur n'aperçut
qu'une
mer paisible et demanda en vain où était la ville d'Ys.
Ys
était la capitale des anciens Coriopit, dont le nom vient des
habitants
de la ville d'Ys , Kor ou Ker-Ys-Opé. II est fait mention de
cette ville dans l'anonyme de Ravenne sous le nom de Kris qui est
évidemment
une abréviation de Ker-ïs , ville d'Ys ; abréviation
qui donnerait à penser que le « ? » barré
des bretons était connu comme il l'est aujourd'hui des
Français
et des Allemands, quelqu'un promet de démontrer que le Port Idus
est l'ancien port d'Ys. Le roi Gralion se sauve seul du désastre
et alla fixer sa demeure dans le pays d'Argol au château de
Tevenec,
qui était alors un séjour enchanteur, la mer y venait
mourir
aux pieds de jardins délicieux. Là se trouvaient des
rosés
et des fleurs de toute espèce et en telle abondance, que si on y
eût apporté un mourant pour lui faire respirer le baume
qu'elles
exhalaient, elles l'eussent à l'instant rappelé à
la vie. Mais en outre, c'est qu'on ne mourrait jamais dans ce
château.
Le
roi Gralon devait y vivre toujours, mais il donna son palais pour y
fonder
un monastère et voilà justement pourquoi le roi Grallon
mourut
en 441. »
Vie
des pères des martyrs et autres principaux saints
Le
Lys est le symbole relatant des racines communes. Sous ses
différentes
formes, il apparaît dans l'histoire récente, dans toutes
les
cultures et est de tous les langages.
Bien
qu’il soit devenu un mot courant de notre langage, il est sous cette
forme
le produit d’un assemblage qui visait à l'origine à
symboliser
le mot qui fut occulté par la suite pour noyer le poisson.
Le
Lys d'origine devrait s’écrire « L’Ys » ou
« L’Is » en français et « His »,
« Js », « Jhs », « Hjs», «
This
», « Thjs », « Kris» ou « Keris
»
furent
différentes façon d’écrire cette syllabe à
travers les différents languages et le temps.
L’alphabet
est culturel. Il n’y a pas un alphabet pour tous. Dans l’Ouest, chaque
langue possède son alphabet préféré,
soutiré
des 26 lettres de l’alphabet. L’alphabet réduit sera toujours
choyé
et au coeur de la construction des mots dans cette langue, alors que
les
autres lettres seront systématiquement exclues. Sous cet angle,
l’alphabet moderne n’est pas architecturé, mais un amalgame
provenant
de diverses cultures, sans doute dû aux nécessités
impérialistes. Ainsi, I-Y, Q-C-K, offre des doublons phoniques
qui
ne seraient pas apparus dans une langue sans une influence
extérieure.
L’origine
des mots ne sont pas les alphabets, mais les syllabes. C’est dans
l’usage
que les mots sont construits, la notation ne vient qu’après un
usage
ancré.
Sous
la pression des échanges interculturels, des mots entiers sont
transportés
de langue en langue. Avec le temps ses syllabes deviendront
familières
et le mot sera intégré à la langue et des mots
s’ajouteront
utilisant ces syllabes et enrichiront le vocabulaire de la langue, en
fonction
des saveurs et tendances.
Écrites
d’une façon ou d’une autre en utilisant l’abcdère
préféré,
la plupart des syllabes se retrouvent dans la plupart des langues,
d’où
elles essaimeront avec le temps un bouquet de mots étroitement
intégrés
à la langue.
Telle
une dérive qui n’arrête jamais, l’intégration de
ces
syllabes dans le langage peut-être mesuré par
l’étendue
du foisonnement de mots dont elles sont à l’origine et la
façon
dont elles se sont intégrées. Par exemple
l’arrivée
soudaine dans une langue d’une série de nouvelles syllabes, est
généralement le résultat d’une conquête et
d’une
domination, qui force le peuple à intégrer les mots des
nouveaux
maîtres.
Il
existe toutefois certaines exceptions ou des syllabes
intégrées,
ne posséderont pas la même popularité et ne
donneront
pas lieu à un essaimage dans le nouveau langage.
Il
arrivera parfois que ces exceptions sont le fruit d’une réponse
sociale à la sauvagerie d’une nation conquérante. Des
syllabes
utilisées mais qui demeureront isolées et qui seront
intégrées
dans la langue sous une forme qui tendra plutôt à en faire
disparaître les origines.
Il
arrive aussi que certaines syllabes, qui possèdent pourtant des
racines très profondes dans le temps, n’essaimeront pas en de
nouveaux
mots. Curieusement, il est de ces syllabes qui furent
particulièrement
isolées dans tous les langages en dépit d’une origine
immémoriale
et d’une intégration qui n’avait pas pour origine la
conquête.
L’importance
de ces syllabes dans les différents langages, n’était
simplement
pas appareillée avec l’explication simpliste de l’ancienne
histoire.
Elle n’était pas isolée par l’antipathie du
conquérant,
mais par le respect du sacré et par la censure impériale.
L’ys,
est un diminutif de Lystria ou la terre de l’Ys. L’ys-tria
n’était
pas son évolution la plus récente.
Dans
sa prime origine, elle identifiait la cité d'Ys. Cette
cité était très importante car elle était
le
centre de la Terre Sainte, le bijou. La signification du mot provenait
de celle du mot "fer" dans la langue celte et servait sous cet angle
à
en identifier la force et la détermination des individus
derrière.
À l'exemple, l'épée des anciens francs qui
était
une référence à cette détermination
s'appelait
"francisque".
Chaque
roi de l'ancienne histoire, s'assurait de refléter dans leur nom
ou celui de leur territoire, leur appartenance à cette terre.
Ces
racines remontent à la terre de l’Ys représenté
dans
le mot grec "De-is" signifiant la cité de Dieu. La
désignation
de cette cité apparut à la suite de la Judée.
Avec
l’information que nous possédons de cette époque, il est
possible de croire qu’Atalant-is y ait été une
référence
dans un ancien temps. Vinrent ensuite Osir-is et
Is-is
de l’Égypte antique. Anub-is, Nefit-ys, Serap-is, Ap-is,
Cynopol-Is
la cité des chiens, qui étaient tous des variantes
utilisées
au fil du temps et des modifications du territoire égyptien,
suivant
les conquêtes ou autres. Lycurge (Lire L'ys-urge) fut un roi de
grèce
réputé pour la droiture de la société qu'il
mit en place pour les siens. Semiramis était la reine de
Babylone.
Hiéropolis la cité sainte, qui fut appelé par la
suite
"Ker-is-salem" devenue Jerusalem au fil des déformations
linguistiques.
Le
Chris ou Kris ou Keris sont des variantes grecques de ce nom. Les
Is-maëlites,
Is-aac, Is-aie et même Avalon était appelé dans la
langue bretonne « In-ys Afalon » (Roman le Brut)
Les
variantes religieuses étaient nombreuses. This ou Thjs
était
connue de Jesus, dont le nom est lui-même une déformation
de « Issus », le prophète de la mi-temps. Calice et
batisme en sont des déformations qui furent
intégrées
à la religion catholique romaine.
Des
mots importants du vocabulaire possèdent cette
référence
syllabique comme « Ystore » de la langue romane qui
signifie
« Histoire ». « Yst » est devenu « Oust
»
et « ystra », des mots qui signifient « sortir
».
Isle était un nom propre identifiant une région
fermée.
Issorba était un supplice en usage aux Xe et XIe siècle,
qui consistait à aveugler. Vice, altruiste, cynisme,
métropolis,
isoler, issue et Iris, sont tous des mots qui possèdent une
signification
directement interreliée à cet endroit d’origine et aux
intentions
impériales par la suite.
«
Is-rael » est
devenu littéralement le nom d'une pierre précieuse
identifiant
cette cité dans la langue romane, dont "Is-Royal" est
une
déformation et faisait référence à la
principauté
de cette cité.
Précision
d'importance toutefois, "roy" ou "roi" signifie dans
notre
language "le maître", le "Al" de Royal ou de Rael
,
est la déformation linguistique de "El" signifiant Dieu,
comme dans Elohim. Ainsi le "Ra" de Israel et sa
déformation
en "roy" de royal, apparaîssent comme ayant
été
à l'origine du honnissement des Israélites par les
populations
antiques, par leur référence au Dieu des
Ammonites-Égyptiens
"Ra",
de "Amon-Ra" et marquait le début de la
réfutation
du
"Deis" du peuple et dont le mot "Amen" qui a remplacé
le "Ainsi-soit-il" à la fin des prières, il y a quelques
décennies, en est une vicieuse déformation.
Jew-el
est une variante désobligeante de cette référence
à une pierre précieuse.
Des
noms de ville comme Istausse, qui est un nom propre et signifiait
«
Eustache » dans la langue romane. La
première
façon d’écrire Essex était Isex.
«
Les
anciens peuples du Devonshire étaient les mêmes que ceux
du
Cornouailles; leur principale cité était Isex, l'Isca
Dumnoniornm
de l'Itinéraire d'Antonin, qui prit ensuite le nom d'Excester,
et
qui porte aujourd'hui celui à l'Exeter. Ces diverses
dénominations
indiquent sa position sur l'Exe.»
Précis
de la Géographie Universelle
La
fleur de lys elle-même, s'est prêtée à une
abondante
exégèse au service de la propagande royale. La
signification
du lys héraldique fera couler beaucoup d'encre et produira
diverses
oeuvres littéraires. Ainsi Raoul de Presles (XIVe siècle)
explique que le roi de France « porte les armes de trois fleurs
de
lys en signe de la benite Trinité ; par l'ange de Dieu elles
furent
envoyez à Clovis, premier roi chrétien en lui disant de
faire
raser les armes aux trois crapaux qu'il portait sur son blason et
mettre
en place les trois fleurs de lys. » En 507
Clovis,
à la veille de sa victoire à Vouillé sur Allaric
II,
roi des Wisigoths d'Aquitaine, trouve en suivant une biche un
gué
sur la Vienne révélé par des iris qu'il arbore en
signe de future victoire, puis prend pour emblème.
Le
prince aux fleurs de lys (ou le "roi-prêtre") semble en
être
la représentation la plus ancienne. Sur cette fresque minoenne
datant
d'approximativement 1500 av J.C., le prince est coiffé d'une
couronne
formée par un ruban piqué de fleurs de lys et de trois
longues
plumes de paon qui s'échappent d'un des lys et il porte un
collier
de lys, emblème du pouvoir religieux.
Par
la suite, la première race des rois de France, conduites par 3
Dagoberts,
avaient croisés sur leur blason 3 sceptres représentant
les
royaumes d'Austrasie, de Neustrie et de Bourgogne furent dit par la
suite
comme l'origine du Lys.
Les
rois capétiens Louis VI et Louis VII ont ainsi introduit la
fleur
de lis mariale dans la symbolique du pouvoir royal. C'est par la suite
seulement qu'apparaîtra la première fleur de lys sur un
sceau
royal de Philippe Auguste 1180.
"II
paraît assez difficile de bien déterminer l'origine de ce
mot "Montjove". Robert Cenal Evêque
d'Avranches
dans une espèce d'Histoire de France qu'il dédia à
Henri II, donne une étymologie du nom de Montjove d'après
un Auteur Liégeois qu'il cite : il dit que Clovis se trouvant
dans
un extrême danger à la Bataille de Tolbiac contre les
Allemans,
invoqua Saint Denis, dont la Reine Clotilde lui avait parlé
plufîeurs
fois et qu'il cria : Montjove Saint Denis, comme voulant dire que si
Saint
Denis le sauvait de ce péril et lui faisait remporter la
victoire,
il serait désormais fon Jove, c'est à dire son Jupiter,
et
que de Mont-jove , qui fut depuis le Cri de Guerre des Français,
on en fît Montjoye.
M.
du Cange prétend que Montjoye est un vieux mot Français
qui
signifiait une colline et que c'est un diminutif de Mont. Il en
apporterait
plusieurs et croit que par Montjoye Saint Denis, il faut entendre le
Montmartre,
ou Saint Denis souffrit le martyre. Le sieur de Caseneuve, homme qui a
fort recherché les étymologies , est du fentiment de M.
du
Gange dans un petit Traité manuscrit que m'a montré M.
Foucault
Conseiller d'Etat, et qui, je crois , n'a pas été
imprimé:
mais j'ai peine encore à me ranger à cette opinion ; car
enfin Montmartre n'est point une colline, c'est
une
véritable montagne et elle est trop haute pour qu'on lui ait
donné
le nom de Montjoye, comme un diminutif du nom de Mont. Elle n'est nulle
part dans nos Histoires appellée du nom de Montjoye. Nos anciens
Historiens la nomment, "Mons Martis", "Mons Mercurii" ; et pour dire
cela
en passant, je doute fort si le nom de Montmartre ne tire pas
plutôt
son origine de Mons Martis, que de Mons Martyrum, quelque
autoritée
que soit cette étymologie par la piété des
Parisiens."
Histoire
de la milice Française et des changemens qui s'y font faits
depuis
l'établissement de la Monarchie Française dans les
Gaules,
jusqu'à la fin du Régne
Entre
les évènements climatiques ayant changés le visage
de la terre d'Ys en 411 et avant 1400, la Lys fut le nom donné
au
fleuve Saint Laurent, identifié sous ce nom par la ressemblance
entre son nouvel embouchure et celle de la fleur, avant de se retrouver
sous son nom flamand de rivière "Leie", situé
dans
le nord de la France et de la Belgique et qui prend sa source à
Lisbourg et se déroule sur ce qui est appelé aujourd'hui,
la
Plaine de la Lys et qui fut le lieu d'un dur affrontement entre Belges
et Allemands en 1940, appelé "La bataille de la Lys", tout
près
des villes de Herbecques, Hézecques, Rebecques, Ham, Ecques,
Belle
Croix, Lynde, La Madeleine, Lynde, St Elooi, Nazareth. Un parc
thématique
qui devait perdre son architecture et son savoir.
La
fleur de Lys apparait ensuite en 1211 sur l'écu du prince Louis,
futur Louis VIII. Ce n'est que lors du sacre de Philippe Auguste ou
dans
la deuxième moitié de son règne que la fleur de
lys
prend place dans les armoiries royales, sous la forme de l'écu
d'azur
semé de fleurs de lys d'or. Ces fleurs de lys d'origine mariale
donc divine sur fond d'azur identifiant le céleste, mettent en
scène
l'origine et le caractère sacré, divin, céleste de
la mission de la monarchie française.
Au
fil des influences culturelles, la Terre de l’Ys fut traduite par
Ystria,
Istria et Ystrie, des endroits qui furent pour la plupart
intégrés
à leur époque, à des parcs thématiques
bibliques
en Roumanie et en Cisjordanie. Après la conquête Saladine,
la terre devint l’Is-lam et suivant le retour des Français dans
le « Nouveau Monde », « Ys » s’est écrit
« Es » et l’Ystrie d’origine, référence
historique
de la Galatie antique et plus tard de la Gaule, est aujourd’hui
l’Estrie
au Québec, siège de Magog.
Par
exemple, Rabac en Istrie, région de Croatie, est
l’équivalent
thématique de Carac en Estrie. Une fenêtre de temps
ouverte
sur une période précise de la Terre Sainte,
précédant
les grands changements, avec quelques-unes des caractéristiques
de l’époque. Si nous en retranchons les cités qui ne sont
pas de la même époque que celle de l’implantation
originale,
nous obtenons une représentation du parc thématique
original,
offrant de précieux renseignements sur la géographie et
l’époque
représentée.
Tristan
et Ys-eult et la Pucelle d'Orléans qui devint Jeanne d'Arc de la
Lys pour les services rendu. Des légendes historique qui portent
beaucoup de cette histoire inconnue.
Autre
temps, autres cieux, même main et même corruption du savoir.
Mémoire
concernant l'histoire, les sciences, les arts, les moeurs, les usages
des
chinois, par les missionnaires de Pékin
nous apprends que lys était une unité de mesure et que
dix
lys faisait une lieue.
En
1999, le Québec, dont le drapeau comporte une fleur de lys
blanche,
décide officiellement de remplacer l'emblème floral
correspondant,
le Lilium candidum qui avait été choisi en 1963,
par
une plante indigène : Iris versicolor.
Le
SanGraal
Jérusalem
ou Ys, était le centre de la Terre Sainte. Son temple
était
considéré comme un joyau assurant à son porteur la
puissance et l’éternité d’un Roi David. Une puissance qui
ne pouvait être laissée entre les mains d’un seul homme
aussi
bienveillant soit-il et qui devait être encadrée à
tout prix.
Elle
n’était pas plus juive que musulmane que chrétienne, mais
en fut le centre et elle se partageait entre toutes les nations.
Une
terre qui soulevait l’envie et la jalousie des petits rois humains,
incapable
de plier à leur botte le vulgaire qui finissait toujours y par
revenir,
comme des mouches attirées par une lumière, qui finissait
par les brûler et occasionner beaucoup de remous.
Comme
convenu, sachant que le dernier millénaire apporterait sur la
Terre
Sainte un climat difficile limitant la multiplication des populations
et
sachant de plus qu’ils reviendraient de toute façon faire
quelques
croisades, histoire de s’assurer que le parc demeurerait sous
contrôle
avant la grande découverte de l’Amérique, ils
quittèrent
pour l’Europe.
L’objectif
n’avait jamais été de faire disparaître Jerusalem
des
yeux de tous, mais seulement de ceux du vulgaire, du commun, de
l’inculte,
voire du bâtard. Un inceste. Ce genre de crime honteux à
laquelle
tous participent, mais dont personne ne parle.
La
population de la cité de Jerusalem elle-même, atteignit 3
millions d’individus. Avec la banlieue, 2 millions d’individus
supplémentaires
s’ajoutaient. Ce n’était pas une petite
agglomération. Aux
fins de comparaison, Montréal aujourd’hui, compte une population
du même ordre.
Quelques
montagnes sacrées, immédiates à la cité,
furent
le théâtre d’évènements remarquables et sont
garnies des tombeaux des ancêtres, dont les noms ont
peuplés
l’histoire sainte.
Construire
une cité, capable de recevoir 3 millions d’individus dans notre
monde de facilité n’est pas une mince tâche. Le faire
à
une époque où la cité était le maillon le
plus
fort des communautés et constamment soumise aux agressions
sauvages,
à une époque où l’ensemble des marchandises
franchissait
les murs à dos d’homme ou d’âne, relevait purement du
défi.
Si
la protection, la nourriture et l’eau étaient des indispensables
pour la vie, le commerce donnait accès à des produits qui
la pimentait et la rendait plus attrayante. Les routes
caravanières
se sont établies à une époque ou l’homme
n’était
pas en mesure de naviguer. Les cours d’eau étaient loin
d’être
une ressource utilisable à cette époque et
représentaient
plutôt un frein au développement des hommes. Pour se
rendre
de place en place, les chemins confrontés à une
rivière,
la remontaient jusqu’à un endroit permettant de la traverser
à
gué.
Lorsque
la population s’accroissait, c’est au long de ces routes marchandes que
les habitants s’installaient, facilitant la mise en place
d’installation
plus permanente, visant à permettre la traversée, comme
le
radeau ou le panier d’osier encordé, ou le pont. En dépit
des impératifs marchands, l’eau était un indispensable et
les deux besoins devaient se concilier.
Comme
une cité de cette dimension ne pouvait obtenir l’ensemble de son
eau de consommation à partir de puits et qu’elle devait
nécessairement
compter sur un approvisionnement d’eau constant d’une qualité
populaire
aussi bonne que possible, les rivières étaient un absolu.
N’ayant
aucune autorité supérieure à laquelle
référer
en cas de coup dur, la cité ne peut généralement
compter
que sur elle-même. Elle retrouvait dans ses propres murs ou
à
proximité des bastions forts imprenables, souvent situés
sur des sommets, duquel les habitants pouvaient dans un dernier
recours,
défendre chèrement leurs vies et celles des leurs.
Cette
magnifique cité de Jerusalem, un joyau,était
en cinq parties. Le temple de David, la cité sainte et deux
banlieues
d’habitations appelées « Âcre » et «
Salem
», qui variait en dimension et location au gré des hautes
et basses périodes, et la montagne du Calvaire où fut
crucifié
Jesus de Nazareth.
La
cité était une terre vallonneuse traversée de
trois
rivières et située à l’ouest du lac Genesareth.
Elle
était entourée d’une imposante fortification de trente
mètres
de hauteur suffisamment large, pour que deux chariots à chevaux
puissent y circuler de front et qui atteignait 80 kilomètres de
long.
Un
des surplombs contenait le temple de David et une petite colline
à
proximité était appelée le mont Sion. À ne
pas confondre avec le mont Zion, qui était le pendant malin du
mont
Sion. En face de la cité, il y avait la montagne du Calvaire,
appelée
par la suite Mont Défiance, autour de laquelle les Romains
possédaient
leurs cités et sur laquelle furent crucifiés Jésus
et les larrons.
De
l’autre côté de Jerusalem, il y avait une montagne
importante,
révérée par sa fonction de tombeau aux saints de
l’histoire
chrétienne.
Le
lac Genesareth était dit sanctifié car tous les saints
hommes
de la bible y avaient été, et le paysage était le
témoin de leurs histoires. La dépouille de beaucoup
d’entre
eux y reposait.
Le
SanGraal est ce secret de l’ancienne histoire qui nous est parvenu
à
travers les actions des Templiers de l’histoire sainte. Un secret si
secret,
que personne n’en connaît la signification ou l’importance, sinon
que le secret, est un secret important.
Comme
nous aurions pu nous en douter, ce mot fut déformé.
Bien
des auteurs nous l’ont appris, « SanGraal » provient de
l’ancien
français et s’écrit en fait « Sang Real »,«
Real » signifiant "Royal" dans l’ancien
français.
Sous cet angle, le mot « Sang Royal » devenait une allusion
directe à la lignée royale de Jesus de Nazareth, qui se
poursuivait
jusqu’à notre époque moderne.
Une
corruption raccoleuse et enfantine digne de nos crapules.
Le
mot « Saint » de l’ancien français ne
s’écrivait
pas avec un « T », mais « Sain » et
possédait
une signification d’incorruptibilité.
Conséquence des patois
ou des traductions, « Sain » s’écrivait parfois
«
Sant » et « San » qui est devenu sa forme espagnole
comme
dans San Francisco ou San Pedro ou encore San Royal, la Ville d'Ys
Ys,
cette Jerusalem était bien là où elle devait
être.
Il n’y avait qu’à se pencher pour voir.
Jérusalem
s’appelait encore Jérusalem jusqu’à récemment. Le
calvaire s’appelle encore le calvaire et le Mont Calvaire s’appelle
encore
le Mont Calvaire. La terre ou le jeune Jesus marcha avec sa croix porte
encore son nom et Âcre, la banlieu d’habitation, porte encore ce
nom.
Et
cette montagne tant révérée, celle où
était
la dépouille de nombreux hommes saints de l’histoire et qui
était
de ce fait appelée « Royal » n’avait pas
changé
de nom et s’appelait encore aujourd’hui le Mont Royal, dans la ville de
Mont-Real.
Jerusalem
était devenu Saint-Jerusalem d’Argenteuil, aujourd'hui
Deux
Montagnes.
Alors
que les îles n’existaient pas et que le fleuve était
réduit
à quelques rivières, la cité de Jérusalem
et
sa banlieue couvraient l’ouest de Montréal jusqu’à Saint
Phillippe d’Argenteuil, dernière évolution de la Caesarea
Philippi la cité de Tibere, et de Saint Constant,
jusqu’à
Mirabel, soit une surface d’approximativement 150 kilomètres
carrés.
Le
Lac de Deux Montagnes, fut un plan d'eau que Champlain identifia sur
une
carte de 1612, comme le « Lac de Médicis » et
de ce fait, en identifiait la propriété à cette
famille
de la noblesse.
Cette
place incluait L'Île-Perrot, l’île de Montréal,
l’île
Jésus, l’île Bizarre, Deux Montagnes, Mirabel, Kanesatake,
Hudson Acre, Kanawage et Vaudreuil Soulanges.
Les
croisades de Montréal
«
Thierry, grand - précepteur des Templiers, dans une lettre qu'il
écrivit à Henri, roi d'Angleterre, lui rendit compte de
cette
étrange révolution ; et comme ces pièces
originales
sont d'une grande autorité pour l'histoire, nous avons cru que
les
lecteurs ne seraient pas fâchés de trouver ici une lettre
pleine des tristes circonstances de ces grands événements.
Sachez,
grand roi, lui dit ce Templier, que Saladin s'est rendu maître de
la ville de Jérusalem et de la tour de David; les
chrétiens
syriens n'ont la garde du Saint-Sépulcre que jusqu’au
quatrième
jour de Saint-Michel prochain; il est permis aux frères
Hospitaliers
de rester encore un an dans leur maison, pour prendre soin des malades;
les chevaliers de cet Ordre, qui sont dans le château de
Beauvoir,
se distinguent tous les jours par différentes entreprises qu'ils
font contre les Sarrasins ; ils viennent d'enlever deux caravanes aux
infidèles
; et ils ont trouvé dans la première, les armes et les
munitions
de guerre, que les Turcomans transportaient de la forteresse de la
Fere,
après avoir détruit cette place. Carach, voisin de
Mont-Royal,
le Mont-Royal, Saphet du Temple, un autre Carach, et
Margat,
qui appartiennent aux Hospitaliers, Castel-Blanc, Tripoli et Antioche,
se maintiennent encore contre tous les efforts des Turcs. Saladin a
fait
abattre la grande croix qui était posée sur le dôme
de l'église, bâtie à la place du temple de Salomon;
et, pendant deux jours, on l'a traînée ignominieusement
dans
les rues, foulée aux pieds et couverte de boue. Par une
espèce
de purification, on a lavé d'eau-rose, par dedans et par dehors,
cette église pour servir ensuite de mosquée, et on y a
proclamé,
à haute voix, la loi de Mahomet. Les Turcs, depuis la
Saint-Martin,
tiennent Tyr assiégé; un grand nombre de machines ne
cessent,
jour et nuit, d'y jeter de gros quartiers de pierres. »
- Roger de Hovcd. Histoire des chevaliers de Saint-Jean de
Jerusalem
- Lettre
du Grand Précepteur des Templiers Thierry, à Henri, roi
d'Angleterre,
Histoire des Chevaliers Hospitaliers, de S. Jean de Jerusalem
«
GODEFROI DE BOUILLON. L’an 1099
Godefroi
de Bouillon fut élu roi de Jérusalem, au refus du duc de
Normandie et du comte de Flandre, dans l'assemblée des seigneurs
croisés, tenu huit jours après la conquête de cette
place, c'est-à-dire le 3 juillet 1099. Mais avant son
élection
, les chefs de l'expédition, qui n'entendait point abandonner au
roi tout le fruit de leurs travaux, partagèrent le royaume de
Jérusalem
en quatre parties, qui devaient relever de la couronne, à la
manière
des grands fiefs de France : savoir, la seigneurie de Jérusalem,
la principauté d'Antioche, le comté de Tripoli et le
comté
d'Edesse. Les possesseurs de ces quatre parties avaient droit chacun
d'avoir
un connétable et un maréchal, avec cette
prérogative
de ne pouvoir être jugés que par leurs pairs, auxquels on
ajouta dans la suite le connétable et le maréchal du
royaume.
La seigneurie de Jérusalem, qui fut laissée au roi comme
la principale, d'où elle est appelée ordinairement par
Albert
d'Aix et par Guillaume de Tyr, le royaume, regnum, commençait
à
un petit ruisseau qui est entre Giblet et Baruth, villes maritimes de
Phénicie,
et finissait au désert qui est au-delà de Daroun, du
côté
de l'Égypte. Elle comprenait les villes de Jérusalem,
de Naples ou Naplouse, d'Acre et de Tyr, avec quelques autres
places,
bourgs et villages qui appartenaient spécialement au roi, et
formait
son domaine. Dans cette étendue de pays, il se trouvait aussi
trois baronnies qui relevaient immédiatement
du roi ; savoir, la principauté de Jaffa ou Juppé et
d'Ascalon,
de laquelle dépendaient les seigneuries de Rames , de Mirabel
et d'Ibelin ; la principauté de Galilée et de Saiette,
d'où
relevaient Césarée et Bethsan ou Bessans , et les
seigneuries
de Crac et de Montréal.
Les
propriétaires de ces baronnies avaient droit de monnaie et haute
justice, comme aussi les seigneurs de Rames , d'Ibelin , de Bethsan ,
de
Saint-Abraham, de Blanchegarde, d'Arsur, de
Château-Pèlerin,
de Caiaphas, de Caimond, de Scandelion, de Sur, de Bélinas, de
Baruth,
et quelques autres, qui tous étaient dans le ressort de la baronnie
de Jérusalem. Les comtes de Jaffa devaient au roi, en cette
qualité, vingt-cinq chevaliers, et autant à cause
d'Ascalon,
quarante à cause de Rames et de Mirabel, et dix à
cause d'Ibelin. Les princes de Galilée devaient cent
quatre-vingt-cinq
chevaliers ; tant à cause de la Galilée, que de
Césarée
et de Bethsan. Les seigneurs de Crac et de Montréal,
pour
ces deux seigneuries, étaient taxés à quarante
chevaliers.
L'évêque de Lidde devait dix chevaliers,
l'archevêque
de Nazareth six, et ainsi des autres. La ville de Naples était
taxée
à vingt-cinq, celle d'Acre à soixante-douze, celle
de Sur à vingt-huit. Les églises et les bourgeois des
villes
devaient encore un certain nombre de sergents et de gens de pied.
L'élection
faite après ce partage, d'une conquête qui n'était
que commencée, Godefroi fut mené en
cérémonie
à l'église du Saint-Sépulcre, mais il refusa
d'être
sacré solennellement, et de porter une couronne d'or dans la
ville
où le Sauveur du monde en avait porté qu'une
d'épines.
Plusieurs écrivains du temps prétendent même qu'il
refusa de prendre le titre de roi, et se contenta de celui
d'avoué
ce qui fait regarder à du Cange , dans ses notes sur l'Alexiade
, comme suspect un sceau de Godefroi, rapporté par Doutreman,
dans
la Vie de Pierre l'Hennite, et par Malbranq, dans son Histoire des
Morins,
où il paraît avec le titre de roi. Le 12 août
suivant,
il battit près d'Ascalon le calife d'Égypte, qui venait
avec
toutes les forces de son royaume tenter le recouvrement de
Jérusalem.
On fait état de cent mille mahométans qui périrent
à cette journée, qu'on n'ose presque appeler bataille,
tant
les infidèles y firent paraître de lâcheté.
Après
une victoire aussi complète, sans être fort glorieuse,
toute
la Palestine semblait devoir plier sous ses lois. Il échoua
néanmoins
devant Ascalon, qu'il assiégea ensuite. Mais il se
dédommagea
par la conquête qu'il fit de la Galilée, dont il donna la
principauté à Tancrède. Il soumit aussi les places
qui environnaient Jérusalem, et se procura un port à
Jaffa,
qu'il fit fortifier. II eût vraisemblablement étendu sa
domination
dans toute la Palestine, si Dieu lui eût accordé assez de
vie pour la subjuguer.
...Amauri
étant rentré en Égypte, reprend , non sans de
grands
efforts, les deux places conquises par les Syriens. Noradin cependant,
pour faire diversion, avait pénétré dans la
Palestine
et après une bataille gagnée le 10 août 1165,
où
il avait fait plusieurs prisonniers de distinction, s'était
rendu
maître du château d'Harenc et de Paneade, ou de
Césarée
de Philippe. Rappelé par ces échecs en ses états,
Amauri fait une sorte de paix avec Sirkouk. Ce vizir, et Saladin, son
neveu,
revenus de leur expédition d'Égypte, vont continuer celle
de Noradin en Palestine. Un siège de peu de jours les rend
maîtres
de l'importante place de Montréal, confiée aux Templiers
, que le roi punit de leur lâcheté par la corde.
...L’an
1192. Isabelle, sœur de Sibylle, reine de Jérusalem,
recueillit
sa succession qui lui était dévolue de plein droit. Elle
était mariée pour lors à Humphroi de Thoron,
gentilhomme
de Touraine, seigneur de Montréal on Montroyal, et
connétable
du royaume de Jérusalem. Conrad de Montferrat, à qui
la belle défense de Tyr avait, mérité la
seigneurie
de cette ville et de ses environs érigés en marquisat,
fit
casser ce mariage par un jugement ecclésiastique, et
épousa
la princesse. Son but était d'obtenir, avec sa main, le titre de
roi. Mais l'attachement de Conrad au roi Philippe Auguste fit que
Richard,
roi d'Angleterre, s'opposa à son couronnement. Conrad
néanmoins,
après le départ du monarque français , trouva
moyeu
de gagner le roi d'Angleterre. L'an 1192, Richard étant à
Ascalon, dit la chronique de Sicard, comme il songeait à son
retour,
et se trouvait embarrassé sur le gouvernement de la
Terre-Sainte,
s'informa de toute l'armée à qui plus sûrement il
pouvait
confier le pays conquis et celui qui restait à conquérir.
Les avis furent différents, car quelques-uns
préféraient
Gui, comme déjà sacré roi, quelques autres
l'invincible
marquis, et d'autres le comte de Champagne. Enfin, on élit le
marquis
en présence de toute l'année, qui confirme son
élection.
Le roi lui mande donc de venir recevoir le sceptre et les ornements
royaux.
Les lettres de Richard lui furent présentées le trois des
calendes de mai, (29 avril) et le même jour il fut tué
(à
Tyr) par des assassins. Voyez Conrad, Marquis de Monlferrat) Gui de
Lusignan
fut dédommagé de la perte du royaume de Jérusalem
par le don que Richard lui fit de celui de Chypre. ( Voyez les rois de
cette île. )
...
L'empereur Manuel lui fit demander sa main pour le césar Roger,
veuf alors de la princesse Marie Comnène, fille
aînée
de l'empereur Jean. Constance donna la préférence
à
Renaud de Chatillon, seigneur de Krac et de Montréal
dans
l'Arabie pétrée, qu'il avait de son premier mariage avec
Stéphanie, fille de Philippe de Naplouse, qui fut depuis grand
maître
des chevaliers du Temple. Renaud était petit-fils, par Henri son
père, de Gautier, seigneur de Châtillon-sur-Marne, au
diocèse
de Soissous, et d'Ermengarde de Choisi. Sa mère, nommée
aussi
Ermengarde, fille d'Albéric, dit Payen, Seigneur de Montjai,
hérita
de cette terre, que son époux joignit à celle de
Châtillon.
Renaud avait un frère aîné, Gautier II, avec lequel
il était venu a la Terre-Sainte en 1147, à la suite du
roi
Louis le Jeune, et qui fut tué l'année suivante par les
Turcs
dans les gorges de Laodicée, sans laisser d'enfants
d'Adèle
de Rouci, son épouse, fille de Hugues Cholet, comte de Rouci un
autre frère nommé Gervais, qui fut chanoine de Reims, et
une sœur, Elisabeth, femme de Thibaut de Crépi, seigneur de
Nanteuil-Haudouin.
Pienaud n'était donc pas un soldat de fortune, comme le
prétend
M. de Vertot, d'après Guillaume de Tyr.
...
La princesse Constance étant morte dans cet intervalle, Renaud,
à son retour, se remaria, vers l'an 1176, avec
Étiennette,
princesse
de Montréal et de Krac, veuve de Humphroi ll, seigneur de
Thoron,
connétable
de Jérusalem. L'an 1185, Baladin, pour se venger des pertes
fréquentes qu'il lui faisait essuyer, vint l'assiéger
dans
le château de Krac, au milieu des fêtes qu'il donnait pour
le mariage de Humphroi de Thoron, IIIe du nom, son beau-fils, avec
Isabelle,
sœur cadette de Baudouin, roi de Jérusalem. »
L'art
de vérifier les dates des faits historiques, des chartes, des
chroniques,
et autres anciens monuments, depuis la naissance de Notre Seigneur.
«
Le sultan du Caire, au nom de tous les princes de sa famille, envoya
des
ambassadeurs au camp des croisés pour leur demander la paix, il
proposait d’abandonner aux Francs le royaume et la ville de
Jérusalem,
et ne réservaient que les places de Karak et de Montréal,
pour lesquelles il offrait de payer un tribut....Les principaux chefs
de
l’armée chrétienne furent rassemblés pour
délibérer
sur les propositions des musulmans, le roi de Jerusalem, les barons
français,
anglais et hollandais, allemands, furent d’avis d’accepter la paix et
le roi
de Jérusalem rentrait par là dans son royaume ; les
barons
de l’occident voyaient finir une guerre qui les retenaient depuis trop
longtemps loin de leur patrie. » Histoire
des croisades.
Acres,
Accre ou Akra, était un autre des quartiers d’habitations. Située
en face de Deux Montagnes sur la rivière Outaouais, elle porte
aujourd’hui
le nom de Hudson Acre. Hudson en soi, est la déformation
du mot hébreu « Y-hud-ah »ou
fils de la Judée.
Oka
- Deux Montagnes
Ancienne
carte de la seigneurie du Lac-des-Deux-Montagnes [seconde moitié
du XVIIIe siècle]. (?) Pierre-Paul-François de Lagarde
[1729-1789]. SOURCE
: Archives du Séminaire de Saint-Sulpice, Montréal
Le
vocable Notre-Dame-de-Lorette fut en usage à Oka jusqu’en 1786,
avant d’être changé pour L’Annonciation et de redevenir
ensuite
Oka.
Au
lac des Deux Montagnes, la mission des Indiens prit le nom du lac des «
Deux Montagnes » , mais d’après la Commission de
toponymie
du Québec, les Indiens lui auraient donné le nom de
Kanesatake,
nom qui aurait rappelé «…l’ancien
site qu’occupaient antérieurement les Mohawks sur l’île de
Montréal, au pied du mont Royal». Ce que
confirme
le sulpicien André Cuoq.
Vers
la fin du régime français et jusqu'en 1945, les rapports
entre les Indiens de Kanesatake et les Seigneurs connurent des
périodes
difficiles chaque fois que les Indiens revendiquèrent le droit
de
propriété des terres qu'ils cultivaient, celui de la
seigneurie
ou encore d'une partie du territoire de cette dernière. C’est au
milieu des années quarante que le gouvernement
fédéral
achètera du Séminaire les terres occupées par les
Iroquois et d’autres espaces plus ou moins contigus. Vers la même
époque, le Séminaire se débarrassa du reste des
terres
qu’il possédait dans la seigneurie en les aliénants
à
une communauté religieuse, à un homme d’affaires belge et
au gouvernement du Québec.
Pour
trouver l’origine du nom Kanesatake, il faut remonter à la
mission
de la Montagne. En 1693, dans l’intention de déménager
éventuellement
les Indiens de la Montagne au Sault-au-Récollet, M. Vachon de
Belmont,
sulpicien, supérieur de la mission, avait loué puis
acheté
un terrain près de la rivière des Prairies, sur lequel il
fit construire un fort, puis une église et d’autres
bâtiments.
Le fort s’est d’abord appelé fort de Lorette avant de s’appeler
fort de Nazareth.
Dans
une allocution prononcée au Sault-au-Récollet, lors du
175e
anniversaire de l’ouverture de l’Église, Mgr Olivier Maurault
explique
la provenance du nom :
«Ici
vos premiers missionnaires voulurent honorer la sainte maison de
Nazareth,
plus tard transportée à Lorette [en Italie],
et où M. Olier, le fondateur de Saint-Sulpice, avait
été
guéri miraculeusement d’un mal d’yeux.»
Le
Calvaire est cette terre sacrée à la pointe d’Oka, que
les
Indiens de Kanesatake ont vaillamment défendu à main
armée
contre la Sureté du Québec et ensuite l’armée
canadiennes
en 1989, parce que le maire de la place avait décidé
d’agrandir
le terrain de golf local.
Des
images qui firent à l'époque le tour de la
planète,
alors que le représentant officiel de l’armée canadienne
faisait face à un des Indiens du blocus, appelé «
Lasagne
». Devant la menace, les Indiens effectuèrent un blocus
qui
empêchait aussi les résidents de sortir de l'endroit.
Devant
le sinistre en devenir, les citoyens qui tentèrent d'aider les
résidents
furent accusés et traduits devant les tribunaux, avec le plein
support
du gouvernement du Québec de l'époque, sous le premier
ministre
Robert Bourassa.
Deux
Montagnes, tout près du village appelé Domaine Royal,
possède
sur son territoire deux montagnes d'où elle tire son nom. Une de
ces montagnes, celle qui est la plus au nord, était le Golgotha,
l'endroit ou Jesus et les larrons furent crucifiés.
L'autre,
appelée la montagne du Calvaire, est la plus grosse des deux et
était appelée le mont Olives, dont le sommet est encore
un
lieu de procession à ce jour et occupé par 3 chapelles
que
l'on peut distinguer sur le sommet.
devra être
revu, puisque celui « Serpent Mound »Autour
de l'époque de Jesus, c'est au creux de cette montagne que les
Romains
étaient installés, et c'est sur le dessus de cette
montagne
que j'ai découvert un nouveau serpent taillé dans la
montagne,
similaire à celui du « Grand Serpent Mound » en
Ohio. Le titre de « grand » d'Ohio
ne fait que 380 mètres de long, alors que celui du Mont Olives
fait
plus de 1300 mètres de longueur.
Mais
les sous-sols n’avaient pas été vidés. De grandes
richesses demeuraient encore, rondissant les yeux de ceux qui savaient.
Grand-Brûlé,
Saint-Benoit, Mirabel, Saint Scholastique, Saint Colomban, Saint
Eustache,
le harcèlement était incessant.
Saint
Eustache s'écrivait Istausse en langue romane: Istausse de
Warfusée
était le fils d'Otton de Warfusée dont la princesse de
Lorraine
du duché de Moa, demanda la main pour sa fille aux alentours du
12ième siècle.
Revue Belge : Association Nationale pour
l'encouragement et le développement de la littérature en
Belgique
Maximilien
Globensky
est né à Verchères en 1793. Il est fils
d'émigrés
polonais et à l'age de 20 ans, il s'enrôle dans le
bataillon
des Voltigeurs canadiens sous le commandement du lieutenant-colonel de
Salaberry et participe à la bataille de Châteauguay,
Ormstown
et Lacolle en tant que sous-lieutenant. La guerre terminée, il
accède
au titre de lieutenant-colonel. Au cours de la même année,
il devient le premier voltigeur à se voir accorder une
demi-solde
jusqu'à sa mort. Suite à sa promotion, on lui attribue
aussi
500 acres de terres dans le comté de Buckingham, qu'il
échange
contre des lots situés dans le canton de Plantagenet dans le
Haut-Canada.
En
1834, Globensky se porte candidat contre deux patriotes à
l'élection
du comté des Deux-Montagnes qui se déroule à
Saint-André
d'Argenteuil. Utilisant de la violence et en faisant voter un grand
nombre
de citoyens n'appartenant pas au comté et n'ayant pas le droit
de
participer, il se retrouve en avance. Devant la rumeur qui s'enfle
parmi
les citoyens de Deux Montagnes, il se retire des élections. En
1837,
après les batailles de Saint-Charles et de Saint-Denis,
Globensky
reçoit l'ordre de former un groupe de soixante volontaires
recrutés
parmi les notables et les marchands de Saint-Eustache. Le
14 décembre 1837, lorsque les soldats britanniques tirent sur
les
Patriotes de Saint-Eustache, le rôle des volontaires de Globensky
est de barrer la route aux fuyards sur la rivière des Mille-Iles
et d'encercler le village. Le 15 décembre 1837, Colborne nomme
Globensky
commandant et il est alors chargé de maintenir l'ordre à
Saint-Eustache après le départ des troupes
anglaises vers
le village de Saint-Benoît. En 1838, l'armée coloniale
anglaise
fait de nouveau appel à Globensky pour lever un groupe de
volontaires
afin de combattre l'insurrection des Frères chasseurs, un groupe
de patriotes exilés visant à combattre la force coloniale
et il met fin à sa carrière dans la milice avec le titre
de lieutenant-colonel.
1837
et 1838 sont des périodes de grande noirceur dans l'histoire du
Québec. La répression,
les dénonciations et autres vexations sont quotidiennes. Les
bureaucrates
au pouvoir vont tout tenter pour montrer au peuple ce qu'il en
coûte
de s'attaquer à l'ordre établi.
En
décembre 1837, les militaires de Colborne et de la reine
Victoria,
après avoir incendié Saint-Benoît, semèrent
la terreur à Sainte-Scholastique. C'est en 1931, alors qu'elle
allait
bientôt avoir 99 ans, que Mme Valérie Lebuis a
raconté
ces tristes événements survenus en 1837. C'est en
frémissant
qu'elle racontait les horreurs commises par les soldats
déchaînés
et les regrettables actions auxquels ils se sont livrés dans le
village les militaires de Colborne avec l'appui de leurs amis
orangistes
d'Argenteuil. Ils ont complètement saccagé le petit
village
du Grand-Brûlé, mais ils se sont aussi livrés
à
des gestes dégradants dans l'église de Saint-Eustache,
tout
comme ils l'ont fait à Saint-Benoît.
À
Saint-Eustache, ils ont saccagé l'église après y
avoir
mis le feu. Ils y sont entrés avec leurs chevaux qu'ils ont fait
boire dans les vases sacrés, après y avoir bu
eux-mêmes
et aussi après avoir répandu sur le plancher ce qui
restait
des ornements sacerdotaux que le curé et son vicaire n'avaient
pu
sauver du massacre. Le témoignage de Valérie Lebuis vient
s'ajouter à celui du curé Paquin, à celui
d'Émélie
Berthelot et à celui de tous les chroniqueurs de l'époque.
Pour
mener à bien cette mission vengeresse, des hommes sûrs
sont
placés à Saint-Eustache. Parmi eux,
Frédéric-Eugène
Globensky, le frère de Maximilien.
En
1839, Frédéric-Eugène Globensky est nommé
magistrat
stipendiaire par William K. McCord ( Musée McCord) magistrat
et responsable de la police à Sainte-Scholastique. FE Globensky,
a le pouvoir de faire arrêter et d'emprisonner les
prévenus.
Il joue le rôle du juge de paix et possède la charge
administrative
des constables de police. Juge et parti.
Après
les événements de 1837-1838 cette l'administration ne
fait
plus confiance aux « policiers » issus du peuple et alors
élus.
Il installe dans les villages, des postes de police sous son
contrôle
direct. Les postes de police de Sainte-Scholastique, Saint-Eustache,
Sainte-Thérèse,
Terrebonne, Saint-Martin sont installés au même moment.
Des
arrestations d'ivrognerie, vol, trouble de la paix publique, à
partir
de ce moment, il n'y a plus d'arrestation concernant une
activité
politique ou subversive. Le crime de « haute trahison », si
fréquent en 1837 et 1838 n'est plus invoqué en 1839 et
1840
et on pourrait croire que tout est revenu à la normale et que
les
événements de décembre 1837 ont été
oubliés. Mais sa correspondance aux secrétaires civils
traitant
des rumeurs courants à travers les citoyens, démontre une
préoccupation constante du spectre de la rébellion.
«...la
police et la crainte des autorités les empêchent de se
montrer
ouvertement et quand même il y aurait tendance à un
changement
favorable, il y a trop de gens qui entretiennent nos habitants dans
leur
sentiment hostile au gouvernement ».
Parlant
d'un événement survenu à Saint-Benoît, il se
plaint des difficultés à avoir des renseignements de
cette
paroisse tout empirée de mauvais sujets. Les moyens mis en
oeuvre
par les Bureaucrates pour vexer la population qui a jadis pris partie
pour
les Patriotes seront multiples. Lors des audiences qui ont lieu pour
régler
la question des indemnités à être versées
à
ceux qui ont subi des pertes durant les événements de
1937,
il suggère de n'accepter comme témoins que ceux dont la
loyauté
au gouvernement a été prouvée. Il se propose en
juge
pour éclairer la lanterne des commissaires gui sont
chargés
d'étudier les réclamations.
Élément
plus évident, le magistrat Globensky et son confrère
McCord,
de Sainte-Scholastique, prennent la décision d'intercepter et de
retenir le courrier destiné aux habitants de Saint-Eustache et
reçu
par le bureau de poste du village. Globensky profite de son poste pour
favoriser les membres de sa caste, tel son frère Hubert
Globensky,
alors marchand au village. La correspondance des magistrats
conservée
aux Archives nationales du Québec ne comprend que les lettres
expédiées
par ces magistrats et non les réponses de l'administration. Les
ordres expédiés par le secrétaire civil aux
différents
postes n'y figurent pas non plus. Les rapports mensuels des
arrestations,
rédigés par les constables, n'ont pas été
conservés.
Les éléments disponibles nous permettent cependant de
constater
l'intense activité mise en oeuvre par l'administration pour
contenir
et contrôler le peuple, afin que ne puissent se
répéter
les événements des années
précédentes.
Le
harcèlement s’accentua, alors qu’à la fin des
années
1800, il fut décidé que les trains n’arrêtaient
plus
à la gare Sainte Scholastique, pourtant « Chef Lieu
»
de la région. Parce que le train de jour ne faisait que passer
sans
s'arrêter, juges, avocats, procureurs et témoins devaient
alors parcourir de longues distances en voiture depuis les villages
voisins.
Les avocats ne voulaient plus aller à Sainte-Scholastique et ce
sont eux qui plaidèrent pour le déménagement du
chef-lieu
à Saint-Jérome alors plus accessible.
En
octobre 1888, une dizaine d'avocats bien connus de la région,
adressèrent
par l’entremise de l’un des leurs, M. Edouard Lefebvre de Bellefeuille,
une requête au premier ministre afin que le gouvernement se
décide
enfin à faire de Saint-Jérôme le nouveau chef-lieu
tant attendu, au lieu de Sainte Scholastique. La mauvaise situation
géographique
et son éloignement, la rareté des moyens de
communications,
l'état de vétusté des édifices, le
dynamisme
de la ville de Saint-Jérôme et la nouvelle
répartition
de la population sur le territoire, étaient parmi les raisons
invoquées.
En conclusion ce regroupement d'avocats, représentés par
de Bellefeuille, suppliait le gouvernement « de
présenter aux Chambres, à leur prochaine session, la
législation
qui pourrait être nécessaire pour fixer dans la ville de
Saint-Jérôme
le chef-lieu du district de Terrebonne ».
Incidemment,
ce de Bellefeuille appartenait à l’aristocratie locale de
Saint-Eustache
et était le descendant direct d’Antoine Lefebvre de
Bellefeuille,
noble et premier seigneur de Deux-Montagnes. En 1922, Louis Alexandre
Taschereau
alors premier Ministre du Québec, présentait
lui-même
à l’Assemblé Nationale un projet de loi, visant à
retirer les pouvoirs de Sainte Scholastique.
En
1969, au moment de l'annonce de l'expropriation des terres de
Sainte-Scholastique
dans le but d’en faire un aéroport international qui
s’appellerait
Mirabel, politiciens fédéraux et aménagistes
patentés
avaient prévu et annoncé que ce village serait
rayé
de la carte et qu'il n'existerait plus en 1985. Il était
évident
qu’un aéroport comme celui de Mirabel, ne desservait en rien la
population. Beaucoup trop loin de la ville pour être en mesure de
desservir des intérêts commerciaux avec un minimum
d’efficacité,
elle était vouée à l’échec.
Aujourd'hui,
en dépit de toute l'histoire que cet endroit représente,
l'Église de Saint Eustache, avec l'accord vicieux de
l'église
catholique romaine, n'arrive plus à faire ses frais d'entretien
et est à vendre au plus offrant.
«
Scolastique : [ Philosophie et théologie enseignée au
Moyen-Age
par l’Université.] »
Après
être déménagé à Saint Eustache, Saint
Colomban mit par écrit les principes sévères du
monachisme
irlandais à destination des monastères gaulois. Les
œuvres
qu'il a laissées, connues sous le nom de Règles de Saint
Colomban, furent en usage dans de nombreux monastères.
Île
Perrot
L’île
Perrot est une île située au sud-ouest de la pointe de
Montréal.
Elle est tout ce qui reste de l’ancienne Salem. Une île toute de
pierre. Une pierre sédimentaire, rougeâtre. Il y en a
tellement,
que les gens qui ne les utilisent pas pour en faire des parures ornant
les terrains ou des murets pour les diviser, sont condamnés
à
payer pour s’en débarrasser.
Ces
roches de L'Île-Perrot et dans la grande région
l'entourant,
furent identifiées comme affleurement sédimentaire
naturel
du type « conglomérats précambrien de la
Formation
de Covey Hill, Groupe de Postdame », dans le document MM
85-02 - GEOLOGIE DES
BASSES-TERRES
DU SAINT-LAURENTet
préparé par
Y
Globensky de la Direction
Generale de la Recherche Geologique et Minerale du Québec.
Descendant
de Maximilien Globensky.
Des
affleurements pour le moins bien organisés. Les strates se
succèdent
avec les plus grosses pierres à la base et forment des
affleurements
qui prennent la forme de murets et de corridors
surélevés,
sur lesquels sont construites plusieurs des routes de l’île.
«
L’aube était encore loin lorsque je me suis embarqué. La
neige et le battement incessant des essuies-glace transformèrent
ce qui aurait autrement été une simple ballade, en un
voyage
éreintant. Je m’attendais à cette neige, mais je n’avais
pas le choix. Une tempête allait bientôt survenir, qui
revêtirait
le sol d’un épais manteau blanc et qui m’empêcherait de
voir
quoi que ce soit, repoussant cette activité aux calendes
grecques.
Les évènements se bousculaient et ne pourraient souffrir
d’une attente aussi longue.
Suivant
un dernier détour, je l’aperçus enfin de mes yeux. En un
instant, mon coeur s’est mis à battre la chamade et ma
respiration
s’est arrêtée. L’émotion était si intense
que
j’entendais le sang affluer à mes tempes et mes jambes
étaient
en guenilles. Incapable de conduire et je décidai de poursuivre
à pied.
Dans
un silence assourdissant qui enveloppait l’âme, les crissements
de
la neige sous mes pieds étaient comme des voix qui papillotaient.
Sous l’emprise d’une puissante émotion, mes pensées
tourbillonnaient
et la fatigue du voyage s’était envolée.
J’étais
ébahi. Là, devant moi, s’étendait la plaine, le
joyau.
Je la voyais enfin de mes yeux. Je pouvais sentir dans l’air, la vie
qui
avait animé cet endroit durant des millénaires. Je
pouvais
presque entendre leurs voix et ressentir leurs bonheurs et leurs
malheurs. À
ma droite, se découpaient les restes de l’enceinte,
témoin
éternel de cette époque.
J’approchai
ma main tremblante pour toucher ces grosses pierres rougeâtres,
réalisant
à peine qu’en le faisant, je devenais ainsi le premier
vulgaire
du monde moderne à franchir une porte dérobée
s’ouvrant
sur une arrière-scène, où tout n’était que
rouages et apparences et à laquelle seul le « personnel
autorisé
» avait accès.
Je
levais ainsi le voile sur un secret héréditaire, sous
lequel
gisaient 4000 ans d’histoire qui nous furent arrachés à
tous,
par une fourberie démentielle et des millions de morts et de
déportés
en colonnes, esclaves au nouveau maître. Et ça n’avait
jamais
bougé tout ce temps.
Au
loin, je pouvais apercevoir la montagne ou ces sauvages avaient
crucifié
ce petit gars qui avait tant enflammé le peuple par sa passion.
J’avais le coeur serré. Un ptit gars d’icitte tabarnak, que je
n'ai
pu m'empêcher de penser.
Ce
faisant, il marquait le passé d’une tache
indélébile
qui ne disparaîtrait jamais entièrement de l’histoire,
aussi
tordue soit-elle, un objectif visé.
De
l’autre côté, je voyais cette montagne majestueuse qui
avait
fait rêver tant d’hommes, qui avait soulevé tant de
convoitise
et occasionnée tant de destructions.Ce joyau, cette terre jadis
de mort et de sang était maintenant rendue terre d'élite
avec ses domaines. Aux mains des mêmes qui avaient menti et
magouillé.
Mon
Dieu! ai-je songé. Si vous aviez vu de vos yeux ce qu’ils en ont
fait !
«
Pauvre idiot vaniteux. » M’aurait sûrement lancé un
de ces anciens philosophes.« N’as-tu pas
suivi
son doigt pour venir jusqu’ici » .
J’aurais
été bien incapable de m’obstiner. »
Pierre
De Châtillon
Abbé
Saunière et le secret de Rennes-le-Château
En
1916 l’énigmatique prêtre du village de
Rennes-le-Château,
l’abbé Béranger Saunière investissait beaucoup
d’efforts
et d’argent pour créer un modèle d’argile d’une
région
qui était dite le Mont Calvaire, et montrant ce qui était
appelé la tombe du Christ et la tombe de Joseph d'Arimathie.
Tombé
dans l’oubli, ce n’est que récemment qu’il fut retrouvé
dans
une fonderie.
Les
recherches démontrent que Saunière dépensait
beaucoup
de temps et d’argent dans la ville de Lyons, effectuant des mesures
topographiques
et photographiques à l’aide d’instruments complexes et
inaccoutumés.
C’est aussi dans cette ville qu’il rencontra les membres des cercles
ésotériques
de Lyons comme les Martinistes.
Les
rumeurs coururent. Saunière y aurait découvert un
trésor
qui changea du tout au tout son train de vie. D’autres informations
laissent
au contraire croire que Saunière n’avait pas découvert de
trésor, mais qu’il avait plutôt découvert un secret
d’une grande importance.
Un
secret d’une puissance terrifiante et d’une importance vitale.
Il
appert toutefois que le relief de ce modèle ne ressemblait en
rien
à la géographie de Jérusalem en Israel en
Palestine,
mais serait plutôt celui d’un parc thématique entourant le
mont d’Or de Lyon, reproduisant la topographie de Saint-Jerusalem
d’Argenteuil
à Montréal et utilisant des noms de villes comme Miribel,
Saint Christ, Saint Colombe, Anjou, Saint Vallier, Beaumont-Monteux,
Bressac,
Beauchastel, Laval, Les Angles, Jonquières Saint-vincent, Saint
Étienne, Port Saint-Louis, Saint Gilles, Saint Georges,
Belleville,
Lissieu, Neuville sur Saone.
Ce
faisant, non seulement Saunière nous laissait de
précieuses
informations sur le relief de Jerusalem et de la cité romaine du
Mont Calvaire, mais il permettait aussi de connaître la position
précise de la tombe originale de Jesus.
La
citerne et les thermes des romains, les murs de la cité, la
tombe
de Joseph d'Arimathie et bien sûr, celle de Jésus.
Saunière
n’est pas devenu riche parce qu’il avait trouvé un trésor
quelconque. La menace qu’il représentait fut simplement
rachetée
par l’Empire. En façade, Saunière accepta manifestement
de
s’écraser, puisqu’on entendit plus parler de lui si ce n’est de
ses dépenses exubérantes, qui eurent comme effet
d’attirer
tous les regards des chercheurs de trésors.
À
dessein...ou non, ce faisant Saunière nous laissait une preuve
assassine
qui tuait définitivement cette farce misérable, ce cirque
hollywoodien, cet incessant génocide du petit monde, cette
tuerie
de l’histoire, qui n’avait déjà que trop duré.
Ys-Royal
C'est
à cet endroit que se fit la véritable conquête
d'Alexandre
et l'Ys était le véritable joyau à
conquérir.
Sa
tombe est située dans le jardin des Oliviers, qui se retrouve
autour
du centre de la ville de Mont Royal avec sa configuration en « X
» caractéristique, le coeur de la Terre Sainte, mais aussi
du nouvel empire romain avec ses demeures dignes de chateaux et ses
chefs
du monde financier, cette matière moabite honnie des anciens.
Beaucoup
de tombes patriarches se situent sur le Mont Royal. La tombe de Marie,
la mère de Jesus, se retrouve sur une île minuscule dans
le
fleuve au sud de l’île de Montréal.
Sommaire
de l'Ancienne Histoire
Ce
qui suit vise à donner un sommaire, permettant de se situer avec
l'Empire macédonien et romain. Rien n'en sera jamais parfait
«
Il reste encore à vous découvrir une des causes de
l'obscurité
de ces anciennes histoires, c'est que, comme les rois d'Orient
prenaient
plusieurs noms, ou, si vous voulez, plusieurs titres qui ensuite leur
tenaient
lieu de nom propre, et que les peuples les traduisaient les
prononçaient
différemment, selon les divers idiomes de chaque langue ; des
histoires
si anciennes, dont il reste si peu de bons mémoires, ont
dû
être par là fort obscurcies. La confusion des noms en aura
sans doute beaucoup mis dans les choses mêmes et dans les
personnes
; et de là vient la peine qu'on a de situer dans l'histoire
grecque
les rois qui ont eu le nom d'Assuérus, autant inconnu aux Grecs
que connu aux Orientaux.
Qui
croirait en effet que Cyaxare fût le même nom
qu'Assuérus,
composé du mot KY, c'est-à-dire seigneur, et du mot
Axare,
qui revient manifestement à Axuérus ou Assuérus ?
Trois ou quatre princes ont porté ce nom, quoiqu'ils en eussent
encore d'autres. Si on n'était averti que Nabuchodonosor,
Nabucodrosor,
et Nabocolassar, ne sont que le même nom ou que le nom du
même
homme, on aurait peine à le croire
...dont
la chose est certaine. Sargon est Sennachérib ; Ozias est
Azarias
; Sédécias est Mathanias ; Joachas s'appelait aussi
Sellum
; Asaraddon, qu'on prononce indifféremment Esar-Haddon ou
Asorhaddan,
est nommé Asénaphar par les Cuthéens ; et, par une
bizarrerie dont on ne sait point l'origine, Sardanapale se trouve
nommé
par les Grecs Tonos-Goncoléros. On pourrait vous faire une
grande
liste des Orientaux dont chacun a eu dans les histoires plusieurs noms
différents : mais il suffit d'être instruit en
général
de cette coutume. Elle n'est pas inconnue aux Latins, parmi lesquels
les
titres et les adoptions ont multiplié les noms en tant de
sortes.
Ainsi, le titre d'Auguste et celui d'Africain sont devenus les noms
propres
de César Octavien et des Scipion; ainsi, les Néron ont
été
Césars. La chose n'est pas douteuse, et une plus longue
discussion
d'un fait si constant vous est inutile. »
Discours
sur l'histoire universelle
Suivant
le déluge biblique, il resta deux grandes régions de
vies.
Le désert de Gobi et la Terre Sainte. Il est manifeste que les
habitants
du désert de Gobi devinrent la race tartare qui donna place aux
nations asiatiques d’aujourd’hui. L’existence d’au moins trois races
différentes,
mais aux caractéristiques asiatiques est probable au sortir du
désert
de Gobi.
Concevons
la Terre Sainte comme un pays, la Judée, qui fut partagé
entre les douze nations provenant des descendants de Noé. Comme
il fut mentionné, à l’exception de cette terre, peu
était
viable. Glaciers, déserts, montagnes et mers, encadraient
soigneusement
ce monde en miniature, qui se développa pratiquement en vase
clos
pour cinq cents ans.
Malgré
le refroidissement du climat, d’autres nations rémanentes des
anciennes
sociétés, comme les Égyptiens sur la Côte
nord-est
du Québec, les Hatties du Nord-ouest, les Arabes du grand
désert
de l'Ouest, les Moabites et les Babyloniens (ici la Baie James, voir
J'Accuse)
existaient aussi. Leur territoire n’était pas inclus dans la
découpe
de la Terre Sainte et pour ces raisons, ces nations ne pouvaient
accéder
à la charge d’officier de la Terre Sainte.
C'est
à cette époque qu'un combat oppose les Palestiniens de la
Judée et les géants Hittites quelque part au nord-ouest
de
la grande plaine de Lachute Mirabel et fut clos par le combat du Roi
David
contre le géant, un succès qui troubla les géants
de telle façon, qu’en apparence ils disparurent pour ainsi dire
de l’histoire ancienne.
Les
Moabites furent le peuple qui créa au moins 2 des grandes
cités
situées sur le lac Asphaltique (lac Abitibi
Témiscamingue),
Sodome et Gomorre.
Sodomite
possède aujourd’hui une signification étendue, mais
à
l’époque, pour les habitants de Judée, ce mot signifiait
le peuple du péché.
Avec
Babylone, ces cités furent manifestement les premières
construites
à des endroits vulnérables, susceptibles d’être
ravagées
par les changements climatiques du millénaire à venir.
Loth
et sa famille furent les seuls à se voir avisés par
révélation
divine de ce qui approchait. Ils quittèrent immédiatement
avant l’arrivée du grand cataclysme qui emporta les cités
et l’histoire nous apprend que l’épouse de Loth « se
retourna
pour regarder et fut transformée en statue de sel. »
Après
avoir fui Sodome, Loth se retrouve seul dans une caverne avec ses deux
filles :
«
L'aînée dit à la plus jeune: Notre père est
vieux et il n'y a point d'homme dans la contrée pour venir vers
nous, selon l'usage de tous les pays. Viens, faisons boire du vin
à
notre père, et couchons avec lui, pour que nous conservions la
race
de notre père. Elles firent donc boire du vin à leur
père
cette nuit-là et l'aînée alla coucher avec son
père.
Il ne s'aperçut ni quand elle se coucha, ni quand elle se leva.
Le lendemain, l'aînée dit à la plus jeune: Voici,
j'ai
couché la nuit dernière avec mon père faisons-lui
boire du vin encore cette nuit, et va coucher avec lui, pour que nous
conservions
la race de notre père.
Elles
firent boire du vin à leur père encore cette
nuit-là
et la cadette alla coucher avec lui. Il ne s'aperçut ni quand
elle
se coucha, ni quand elle se leva. Les deux filles de Loth devinrent
enceintes
de leur père. L'aînée enfanta un fils, qu'elle
appela
du nom de Moab. C'est le père des Moabites, jusqu'à ce
jour.
La plus jeune enfanta aussi un fils, qu'elle appela du nom de
Ben-Ammil.
C'est le père des Ammonites, jusqu'à ce jour. »
Cette
luxure, qui était pratique courante à Sodome et à
Gomorre, était la raison essentielle de cette inimitié
entre
Moabites et Judéens, raison aussi de ce qualificatif de peuple
du
péché.
Les
nouvelles terres remportées devinrent rapidement le siège
de nouvelles cités, et les montagnes devinrent le tombeau de
nombreux
patriarches. Ainsi Saint Jovite dans les Laurentides, est une
déformation
de « Saint-Jobite » puisque la tombe de Job et bien
d’autres patriarches de la Bible, se retrouve à
proximité,
au
sommet du massif du Mont-Tremblant, immédiatement sous le centre
de ski du même nom.
C'est
en 1400 avant J.C. que la puissante civilisation des Hittites prit
possession
de la Terre Sainte jusqu'à la mer médiane, l'Atlantique,
essentielle au commerce qui se développait et retranchant du
coup
une partie du territoire égyptien. (Les points blancs
identifient
les capitales des nations en cause)
Osir-is
et Is-is la terre des Égyptiens
Dans
l’Égypte antique, Isis est l’épouse d’Osiris et Seth en
est
son frère. Jaloux de son frère qui règne sur
l'Égypte,
Seth organise un complot et tend un piège à Osiris. Il
l'assassine
en le noyant dans le Nil. Isis, l'épouse d'Osiris, retrouve le
dieu
noyé, l'embaume et lui donne une sépulture dans le delta
du Nil. Seth retrouve la sépulture de son frère, et de
rage,
le dépèce et disperse les morceaux du corps dans toute
l'Égypte.
Isis, infatigable veuve, retrouve treize des quatorze parties de son
bien-aimé,la
partie manquante étant le sexe d'Osiris, dénommé
à
cette occasion son talisman. (Tal-Is-Man.) Puis Isis reconstitue
Osiris,
lui insuffle le souffle de la vie éternelle, et par sa magie
conçoit
avec lui un fils, Horus sur lequel Seth a tôt fait de reporter sa
jalousie.
Le
sexe est la Genèse et réfère à la terre
D'Ys,
la partie perdue. Sur son épaule, le bandier identifie les ports
d'entrés du pays, son coude gauche se place sur le port
principal,
appelé aujourd'hui la Baie Grosswater au Labrador d'aujourd'hui,
dont l'entrée est identifiée par l'île
Pompéi
de l'Ouest (île West Pompey). Le haut de sa coiffe marquant la
Terre
D'Adam, une terre qui revêt beaucoup d'importance pour
l'époque.
Anub-is, Nefit-ys, Serap-is et Cynopol-is, la cité des Chiens,
étaient
toutes des variantes utilisées au fil du temps et des
modifications
du territoire égyptien.
Les
relations égyptiennes hittites étaient conflictuelles. En
1296 avant J.C. le roi d'Égypte Sethi Ier reprend la cité
de Qadesh et se retire, laissant les Hittites reprendre la ville. Une
bataille
assure la paix de l'Égypte jusqu'au règne du fils de
Sethi,
Ramsès II.
Aux
environs de 1275 avant J.C. Ramsès II décide de
poursuivre
dans cette voie. Il rêve de la reconquête des territoires
jadis
soumis par son illustre ancêtre Thoutmôsis III. La
forteresse
de Qadesh est l'un des symboles de la présence hittite au
Proche-Orient
et malgré sa réputation d'être imprenable, elle est
l'objectif final de la campagne qui s'engage. L'expédition
Égyptienne
passe en Canaan, en Galilée remonte par la plaine de la Beqaa
pour
s'enfoncer jusqu'à Qadesh. L'armée hittite se trouve
derrière
Qadesh, sur la rive est de l'Oronte. (Fleuve Saint Laurent)
Le
chef hittite Muwattali demande l'armistice au Pharaon, qui lui est
accordé.
Le décès de Muwattali provoque une crise successorale
dont
profite Ramses pour punir ses vassaux palestiniens (la Judée -
Israel)
qui s'étaient ralliés aux Hittites.
En
1200 avant J.C., Nabuchodonosor le Babylonien redonna du lustre
à
son empire en combattant les habitants de la Saque (Saguenay), de
Qadesh
(Québec) et du Medès dans la Plaine de Ragau (Rigaud
ouest
de Montréal)
Devant
une nouvelle puissance montante, l'Assyrie, le successeur hittite n'est
pas enclin à relancer la guerre avec les Égyptiens et
préfère
signer la paix. Sa légitimité sur le trône hittite
est garantie, les deux rois promettant d'aider leurs successeurs
respectifs
à conserver leur pouvoir, et il reçoit la garantie d'une
aide face aux Assyriens.
En
dépit de la puissance des attaquants en cause, le noyau de
Palestinien
occupant la Terre Sainte résista vigoureusement jusqu'au
rétablissement
partiel de l'Empire Babylonien en 600 avant J.C.
De
conquête en conquête, la terre palestinienne
disparaît
graduellement pour ne plus exister au moment de la conquête des
Perses
en 450 avant J.C. .
L'Empire
Perse sous Cyrus était un modèle. Roi d'une grande
bonté
pour son peuple, il établit la monarchie et se servit d'eunuques
pour sa cour de conseiller. Il remet sur pied le Royaume d'Israël
et institua le courrier à travers le pays avec des postes
à
chevaux à intervalles réguliers. Il établit les
jeux
entre les populations et la permanence de l'armée.
Le
temps passe et les territoires fertiles s'accroissent. Profitant de ces
changements, les Perses, qui possèdent déjà leur
capitale
aux abords de ce nouveau marais entourant Babylone appelée «
Persepolis » signifiant métropole Perse,
établissent
une deuxième capitale au centre des voies fluviales navigables,à
proximité de la terre appelée alors le Medès et
transformée
par la suite du nom de Péloponèse, la première
terre
des Grecs.
Fait
notable pour le reste de l'histoire qui nous occupe, cette nouvelle
capitale
s'appelle «Pâros» qui est prononcée «Pârs»
et deviens par la suite la ville de Paris en Caledonie, des noms qui
demeurent
encore aujourd'hui. De plus, une seconde « Persépolis
»
satellitaire, fut créée plus tard, à la hauteur de
la ville de Washington.
Il
existait dans le Péloponèse quelques cités ayant
des
enceintes, mais la plupart des habitants vivaient selon un mode rural.
Le portrait que César et Tacite en ont fait rappelle celui que
nous
connaissons concernant les Indiens de l'Amérique d'aujourd'hui.
Ils ignoraient l'usage des vêtements, ceux de la côte est
se
couvraient seulement de peaux d'animaux. Tous se teignaient le corps en
bleu et au moyen d'une sorte de tatouage ils traçaient sur leurs
membres différentes figures d'animaux.
De
longs cheveux blonds couvraient leurs épaules ; leur religion
leur
défendait de se nourrir de poissons et de volatiles. Les
villages
agraires ne présentaient gu'un amas confus de huttes
entourées
de plantations qu'ils défendaient par de petits remparts de
terre
et de troncs d'arbres, à la manière des Celtes de la
Gaule.
Fiers et braves, ils se montraient dans les combats avides de carnage,
lorsqu'après de longues tentatives qui, depuis l'invasion de
César
jusqu'à l'arrivée d'Agricola, durèrent plus de
cent
trente ans, la Bretagne méridionale fut soumise, l'Île
entière
fût divisé en 17 petits états.
Sous
Lycurge le Grec, ils mirent en place une société
patriarcale,
dont tous les habitants étaient entraînés à
la guerre, dans laquelle la richesse n'existait pas et les biens
appartenaient
à tous.
Leur
société évolua et se divisa. À l'instar des
grandes sociétés, ils laissèrent le meilleur
d'eux,
mais aussi le pire.
Un
roi, qu’il soit voté ou non, comprend rapidement que son train
de
vie est en étroite relation avec ce qu’il peut ponctionner de la
masse totale de peuple sous sa botte. Comme la ponction a sa limite, la
seule façon d’accroître le train, demeurait
d’accroître
la masse de peuple sous la botte.
C’est
aussi à cette même époque que le mot « voté
» cesse d’être associé à la royauté.
Dorénavant,
elle cessera d’être une faveur donnée à des
individus,
qui ne devraient pas être autorisés à traiter une
telle
matière « royale », pour devenir purement
héréditaire.
Les attributs royaux se transmettraient de père en fils, et les
soldats des uns serviraient à mater le peuple des autres, quel
qu’en
soit le prétexte officiel, une situation qui n'a jamais
cessé.
Le
phoenix allait renaître éternellement.
C’est
sur cette seule clé que ce sont jouer toutes les guerres depuis
cette époque. Quelle que soit l’action, elle devait avantager
cet
agenda caché.
La
conquête macédonienne
Avec
Alexandre, les guerres changent et ne se pratiquent plus de la
même
façon. Les conquêtes ne se font plus sur des territoires
réduits,
mais occupent les mêmes limites que les royaumes
précédents
et démarrent toutes du Péloponèse, ou l'exclurent
des conquêtes.
À
ce moment survient la première évolution. L’Emporium,
cette
grande famille impériale, qui n’était en fait qu’une
alliance
des puissants dans un pacte visant à pérenniser leur
distinction
«
royale », s'organisa. Suivant la conquête
macédonienne,
on ne parlait pas des nouveaux conquérants, mais des empires
successeurs
d'Alexandre.
Une
nouvelle piste marchande très active se met en place dans les
montagnes
du Liban, de l’état de New York. Utilisant un
défilé
entre les villes d’Albany et d’Utica, dont les principales cités
d'affaires étaient Rome et Madrid dans l'actuel état de
New
York.
Cette
nouvelle piste marchande, donnait accès à l’État
de
New York de l’autre côté des Appalaches, et la
péninsule
des Grands Lacs. Ce corridor marque le développement de
cités
satellites portuaires, à très forte vocation marchande,
le
long de la côte du Massachusets.
Alors
qu'il n'y avait auparavant que deux accès possibles à la
Terre Sainte, celle passant près du mont Caucase le nouveau nom
du mont Ararat, et celle du Kishion, le fleuve Saint Laurent, cette
nouvelle
voie d'accès changeait tout.
Une
nouvelle cité s'établissait sur le
Péloponèse
à proximité de Paris, une cité appelée
London.
Ce second pole, fortement axé cette fois sur le commerce et les
lois de la possession, transforma rapidement un monde prônant les
valeurs divines en un monde bipolaire.
Un
monde bipolaire, une mise en scène dont la cité de
Jerusalem
ne faisait plus partie, puisqu'elle serait dorénavant
centrée
autour de deux pôles, appelés Londres au Medès et
Paris
en Chaldée. Une terre dont une des péninsules portait le
nom de Pointe aux Anglais et qui s'appellerait dorénavant, la
Terre
de l'Angle, ou l'Angle Land.
Elle
ouvrait une opportunité en or aux Macédoniens qui
pourraient
dorénavant recréer une réplique, un parc
thématique
de la Terre Sainte.
En
énumérant les cités et comtés de la
péninsule
ontarienne récupérés de la Terre Sainte et autres
noms de l'histoire, nous possédions la première
évolution.
Moriah,
Kossuth, Phillipsburg, Gotham, Monkton, Carminock, Kinburn, Varna,
Goshen,
Shipka, Highland Glenn, Aberarder, Camlachie, Erold, Mandamin,
Mandaumin,
Sombra, Baldoon, Electric, Tecumseh, Pike Creek, Elmstead, Amherstburg,
Cottam, Olinda, Ruthven, Sarum, Ostrander, Tillsonburg, Otterville, La
Salette Port Rowan, Nixon, Bishopgate, Etonia, Ayr, Drumbo, Wolverton,
Jarvis, Nover, Varency, Cayuga, Mount Olivets, Kohler, Blackheath,
Sinclairville,
Hannon, Vinemount, Bismark, Hewitt, Thorold, Virgil, Aldershot,
Strabane,
Mount Nemo, Shiloh, Dracon, Negah, Normanby, Neustad, Carlrushe, Zion,
Lothian, McIntosh, Arthur, Erin, Roman Lake, Alton, Amaranth, Proton,
Dornoch,
Aberdeen, Scone, Peabody, Marmon, Arendale, Arkwright, Scoth
Settlement,
Artemesia, Eugenia, Badjeros, Victoria corner, Loree, Creemore, Essa,
Ypres,
Bradford, Sharon, Lake Udora, Saintfield, Saguinaw, Mariposa, Bethany,
Dranoel, Ida, Cambray, Fraseburg, Medora, Parry Sound, Hekla,
Carnarvon,
Lochlin, Madoc, Consecon, Hillier, Brighton, Assumption, Yankee Bonnet,
Bethel, Arva, Crumlin, Eden, Cultus, Hemlock, Maiden, Dragon,
Petersbourg,
Schindelsteddle, Waldau, Ash, Bronte, Tottenham, Nobleton, Athlone,
Achill,
Adjala, Fintona, Enotville, Eramosa, Nenagh, Holstein, Kintore,
Nissouri,
Rebecca, Thorndale, Thames center, Uniondale, Lind, Ste Mary's, Ranoch,
Science Hill, Usborne, Hay, Hensall, Holiday, Avon, Culloden,
Ostrander,
Delmer, Courtland, Wyecombe, Lynedoch, Atherton, Farquhar, Cromarty,
Chiselhurst,
Vanastra, Goshen, St-Thomas, Chatam, Ruthven, Olinda, Klondyke, Oxley,
Vereker, Amherstburg, Romulus, Livonia, Royal Oak, Birmingham,
Commerce,
Rose township, Holly, Atlas, Flint, Genesee, Lochalsh, Jericho, Salem
corners,
Salem Cramahe, Salem Bruce, Salem Frontenac, Salem Mono, Salem
Clarington,
Salem Wellington.
En
y ajoutant celles qui conduiraient la planète dans les
évolutions
suivantes, nous arrivions à un microcosme du monde en devenir.
Turin,
Heidelberg, Hawkesville, Bamberg, Luxemberg, Hamburg, Luxemburg, Baden,
Washington, Tavistock, Formosa, Perth, Zurich, Port Frank, Invercairn,
Gallimere beach, Corunna, Dubuque, Dover, Tilbury, Windsor, New
California,
Mersea, Mount Carmel, Iona, Delaware, Sparta, Lyons, Springfields,
Sevile,
Vienna, Newark, Woodstock, Norwich, Delhi, Norfolk, Scotland, Mount
Vernon,
Falkland, Eagle, Hartford, Boston, Marburg, Nanticoke, Caledonia, Mont
Healy, Seneca, Empire corner Burnaby, Orangeville, Ceylon, Pomona,
Irish
Lake, Oxford, York, Waterloo, Windsor, Kent, Essex, Middlesex, Perth,
Wellington,
Dufferin, Damascus, Metz, Mimosa, Luther, Frankonia, Berkeley,
Gibraltar,
Ravenna, Swiss Meadows, Sunnidale, Angus, Manilla, Little Britain,
Valentia,
Mount Horeb, Cameron, Port Sydney, Paris, London, German Landing,
English
Line, Thames, Rochester, Dorchester, Corinth, Ville-Marie, Kebaoec, Le
petit Canada, Temiscaming, Saint Agatha, Medina, Zurich, Berkley,
Beverly
Hills, Franklin, Palermo, Northumberland.
Le
premier parc thématique de l’histoire était né. On
avait droit à la grande scène.
-Quand
tromper le peuple devient un sport, noyer le poisson devient un art -
Une
mise en scène dont il fallait évidemment couvrir les
traces,
il existe aujourd'hui 27 villes ou villages de Paris à travers
le
monde et 35 villes ou villages de London.
Voici
un exemple des noms en cours le long de la côte Atlantique (la
seconde
évolution) au moment de la colonisation, qui furent repris pour
concocter ceux d'Europe.
Gog
et Magog
À
gauche, Alexandre le Grand Macédonien accompagné par
Satan
qui l'aida à enfermer les peuples de Gog et Magog, et les deux
statue
en bronze soufflant des trompettes qu'il fit élever. Le vent
résonnant
dans les trompettes effraie les Tartares.
«À
l'heure actuelle, nous ne connaissons pas de pays sous le ciel
où
les chrétiens ne vivent pas. Ils sont même
retrouvés
dans les terres de Gog et Magog, qui sont une race hunnique et
appelée
Gazari (Khazars). Ils observent les lois du Judaïsme et sont
circoncis.
Les Bulgares comme les Khazars, sont désormais baptisés
dans
le christianisme » -
Christian
de Stavelot, dans l'Expositio Matthaeum Evangelistam (composée
vers 864)
G-og
et Mag-og furent au centre de cette guerre intestine, symbolisée
pendant longtemps par le mont Indépendance
et mont Défiance à Ticonderoga, le long du fleuve Hudson.
D'un coté Magog en Estrie et de l'autre la terre d'Og, qui
devint
au fil des traductions la terre d'Oz ou la Zéland d'origine
(Z-land),
et aujourd'hui la terre bordant le lac George dans l'état de New
York aux USA.
Le
lac Memphremagog
Nous
ne devons pas trop être surpris des stratagèmes
utilisés
pour cacher les reliques anciennes susceptibles de
révéler
l'ancienne histoire. Si celles restées sur la terre ferme
étaient
facilement détruites, il en était tout autrement de
celles
qui furent inondées et qui le demeurent à ce jour. Comme
il fut identifié dans mon livre avec la fameuse aventure du
commandant
Cousteau au détroit d'Aden, les mises en scène mettant en
vedette des monstres préhistoriques sous-marins furent souvent
utilisées
pour tenir le vulgaire à distance, un stratagème qui fut
aussi utilisé dans le lac Memphremagog
avec son fameux « Nessie ».
S'il
est possible de croire que le mont Indépendance
fut pendant un temps associé à cette guerre et au Mont
Gazirim,
ce nom comme bien d'autres évolua et devint par la suite le Mont
Royal de l'île de Montréal, suggérant l'idée
que le mont Défiance était devenu la Montagne du Calvaire
d'Oka.
Gog
était le mal incarné. Le Moloch.
«...Il
fut mentionné que les Hongrois constituaient le peuple de Magog,
mais il faut considérer attentivement les nations qui doivent
venir
avec les Hongrois : Moloch Tubal, les Perses, les Libyens, Gomer &
Togorma. Si les Hongrois sont Gog & Magog, où sont ces
nations
qui doivent venir avec eux ?
...Car
Moloch sont les Cappadociens selon Joseph, Tubal les Iberiens ou
Espagnols,
ou selon les Hébreux, les Italiens. Les Perles & les Libyens
ou Éthiopiens, sont des nations très connues ; Gomer font
les Galates ou Gallogrecs : Togorma, les Phrygiens. Les Juifs et
quelques
chrétiens judaïques disent que Gog et Magog sont les
peuples
de Scythies cruels et innombrables qui s'étendent au-delà
du mont Caucase.
...Qu'au
bout de mille ans, le diable les excitera pour venir dans la terre
d'Israel
& former un royaume contre les Saints, avec plusieurs autres
nations.
» Histoire
ecclésiastique
«
Les Bulgares, ou Voulgares, étaient une ancienne nation turque
ou
tartare qui vivait dans le 4e siècle sur le Volga, aux environs
de Casan, où l'on voit encore les ruines de leur ancienne
capitale.
Ils vinrent s'établir dans les pays entre le Don et le Bog,
auxquels
ils donnèrent le nom de seconde Bulgarie.
En
539, ils passèrent le Danube et s'emparèrent des rivages
de la mer Noire jusqu'à l'Hémus. En 678, ils
subjuguèrent
sept tribus slavonnes, et formèrent le royaume de la
Bulgarie-Noire,
dont Presth - laba, ou Perejaslav fut la capitale. Les Slaves soumis
à
eux étaient de la Severie sur les rivières Sem et Desna.
Plus nombreux que leurs maîtres, ils rendirent dominante leur
langue,
qui probablement tenait à celle des Antes ou des Russes, comme
le
nom de la capitale le démontre. Les Bulgares
pénétrèrent
en Thrace, en Macédoine, en Thessalie; un de leurs essaims
s'établit
dans le duché de Bénévent, et une bande fugitive
de
Bulgares périt en partie dans la Carinthie sous le fer des
Bavarois.
Leurs
guerres avec l'empire grec eurent le caractère le plus atroce ;
ils réduisaient des provinces entières à
n'être
que des déserts, qu'on appelait « forêt de Bulgares
» ; et de leur côté, les Grecs firent dans un seul
jour
brûler les yeux à 15,000 prisonniers bulgares.
Vers
l'an 1010, le royaume ou empire des Bulgares s'étendait sur la
Macédoine,
l'Albanie, la Servie, lorsque l'empereur Basile II détruisit
enfin
cette agrégation de peuplades, dont les restes sont
disséminés
à travers la Turquie.»Précis
de géographie universelle ou explication de toutes les parties
Le
commentaire de l'histoire ecclésiastique peut apparaître
étrange,
mais doit être considéré avec le recul de
l'histoire.
Avant l'an 1000, l'histoire de la tribu des Bulgares se déroule
sur le continent américain où ils pillèrent et
ravagèrent
sauvagement les sociétés qui les entouraient,
s'appropriant
les biens et le savoir, avant d'être envahis à leur tour
par
les Khosars.
Au
contraire de la tribu des Bulgares, qui n'avait que peu de
considération
pour ce qui était appelé alors l'art ancien, les Khosars
eux, y voyaient l'occasion d'assurer la pérennité de leur
royaume.
L'utilisation
de l'art ancien et des « prodiges » qu'elles
permettaient
de réaliser, un sujet que nous aurions appelé simplement
« science », mais qui était appelé
alors
« magie », leur permit de se forger une
réputation
de connaisseur auprès des autres sociétés d'alors.
Ils
y devinrent si efficaces qu'ils en reçurent le nom de mages ou
magiciens.
Pline disait que les mages étaient les princes des princes, les
rois des rois, car ils possédaient la magie.
Dans
le dernier millénaire, ils s'établirent à l'ouest
de la péninsule Italienne, sur le territoire actuel de la
Bulgarie,
la Serbie, la Croatie, la Bosnie, la Roumanie, le Montenegro, le
Portugal,
la Bohème, la Transylvanie en Hongrie et en Autriche, d'ou ils
occupèrent
le statut de noblesse et conservèrent le nom de « Magyar
».
Ils furent particulièrement présent en Autriche ou ils
constituèrent
la maison des Habsbourg, dont la devise est « Alles Erdreich
ist
Österreich untertan » (abréviation A.E.I.O.U.)
qui
signifie : «
Il appartient à l'Autriche de commander à tout l'univers
» et
fournirent à l'Europe de nombreux monarques.
Se
considérant comme des individus supérieurement
intelligents,
ils se convertirent à la religion juive pour supporter leur
objectif
et furent identifiés pour la suite de l'histoire sous le nom de
juifs Ashkenazi s'appliquant à la réalisation de leur
plan
de conquête appelé « Zionisme ».
Un
plan qui impliquait entre autres le nettoyage des juifs d'origines,
comme
ils le firent en mettant au point plusieurs religions incluant le
christianisme,
l'ensemble de la maçonnerie, le nazisme et les fausses « Israel
».
En occasionnant régulièrement l'éclatement des
pays
sous leurs tutelles, ils poursuivent leur travail de destruction de la
nation juive et assure la présence des leurs à travers la
planète.
Ils
sont aujourd'hui présents dans tous les pays du monde,
particulièrement
en Allemagne, en Russie, en Europe de l'Ouest, en Angleterre, en
Irlande,
en Asie, en Australie, aux Phillippines, en Afrique, au Canada et aux
États-Unis
avec une population de 1,563,081 individus. Les Juifs de descendance
étant
interdit de présence sur la terre d'Is-rael depuis la seconde
destruction
du temple, il faudra donc considérer que la plupart des «
juifs
américains » d’aujourd’hui, sinon tous, sont des
Ashkenazi.
Einstein,
Spinosa, Spielberg, Asimov, Freud, Meir, Trotsky, Tesla, n’en sont que
quelques exemples.
Ils
possèdent encore à ce jour un savoir occulté et
crains
de la petite noblesse, qui apparaît dans la langue du vulgaire
comme
du mysticisme.
Cette
décennie sera à surveiller. Ils sont maintenant
présents
à la tête de la France avec le président Sarkozy et
à la tête des États-Unis par filiation avec
l'épouse
d'Obama. De plus, en utilisant le gouvernement conservateur du Canada
comme
courte échelle, ils sont sur le point de compléter une
manoeuvre
politique au Canada, qui vise spécifiquement à attacher
les
Québecois dans les décisions politiques canadiennes
à
venir, avec Michael Grant Ignatieff, un bardé de diplômes
et de lettres de noblesse, la nouvelle tête du Parti
Libéral
et futur Premier Ministre du Canada.
La
terre du Moloch, qui en plus d'être un objet géographique
à la découpe de la terre de l'Angle, présentait
les
degrés de l'initiation au savoir occulté.
...
chacun des chefs étrangers les plus braves et les plus
redoutés
prit le titre de roi, et l'on vit s'élever successivement sept
royaumes
: ceux de Kent, de Sussex, de Ouest Anglie, de Wessex, de
Northumlerland,
d'Essex et de Mercie. Les
sept portes du Moloch. La terre du Mal.
Au
moment de l'empire perse, c'est sous Cambysse le roi
achéménide
que l'aristocratie est devenue une oligarchie. Darius son successeur,
établit
ensuite que ses conseillers seraient toujours au nombre de sept. Un
siècle
plus tard, alors que la grande Perse versait dans sa période
basse
et dans la décadence, ils obligèrent le peuple à
adorer
l'image des rois.
Curieusement,
l'aigle du symbolisme américain s'adapte assez bien sur la
même
forme, d'autant que le bec de ce même aigle repose sur une
cité
appelée Dracon.
«
À cette cause de divisions, se joignoit dans chaque parti la
haine
invétérée des pauvres contre les riches : les
citoyens
obscurs, accablés de dettes, n'avoient d'autre ressource que de
vendre leur liberté ou celle de leurs enfants, à des
créanciers
impitoyables ; et la plupart abandonnaient une terre qui n'offroit aux
uns que des travaux infructueux, aux autres, qu'un éternel
esclavage,
et le sacrifice des sentiments de la nature.
Un
très petit nombre de lois, presque aussi anciennes que l'empire,
et connues pour la plupart, sous le nom de lois royales, ne suffisoient
pas, depuis que les connaissances ayant augmenté, de nouvelles
sources
d'industrie, de besoins et de vices , s'étoient répandues
dans la société. La licence restait sans punition, ou ne
recevoit que des peines arbitraires : la vie et la fortune des
particuliers
étoient confiées à des magistrats, qui, n'ayant
aucune
règle fixe, n'étoient que trop disposés à
écouter
leurs préventions ou leurs intérêts.
Dans
cette confusion qui menaçait l'état d'une mine prochaine,
Dracon fut choisi pour embrasser la législation dans son
ensemble,
et l'étendre jusqu'aux plus petits détails. Les
particularités
de sa vie privée nous sont peu connues ; mais il a laissé
la réputation d'un homme de bien, plein de lumières, et
sincèrement
attaché à sa patrie. D'autres traits pourraient embellir
son éloge, et ne sont pas nécessaires à sa
mémoire.
Ainsi que les législateurs qui l'ont
précédé
et suivi , il fit un code de lois et de morale ; il prit le citoyen au
moment de sa naissance, prescrivit la manière dont on devoit le
nourrir et l'élever ; le suivit dans les différentes
époques
de la vie ; et fiant ces vues particulières à l'objet
principal,
il se flatta de pouvoir former des hommes libres et des citoyens
vertueux
: mais il ne fit que des mécontents ; et ses règlements
excitèrent
tant de murmures, qu'il fut obligé de se retirer dans
l'île
d'Égine, où il mourut bientôt après.
» Voyage
du jeune Anacharsis en Grèce
Jusqu’au
cinquième siècle, à l’exception de quelques
côtes
occupées par des autochtones, la glace et le froid rendaient les
terres d’Angleterre et de France impropres à la vie humaine.
«
Origine
du nom Bretagne : On a vainement cherché à jeter quelques
lumières sur l'origine des noms de Britannia et d'Albion que les
anciens donnèrent à l'île de la Grande-Bretagne...
» Précis de géographie universelle, ou
description
de toutes les parties.
Quelques
auteurs font venir Britannia
d'un mot celtique qui
signifie couleur,
parce
que les premiers peuples de cette contrée se peignaient le
corps,
d'autres, se fondant sur ce fait bien connu, que les Phéniciens
allaient chercher dans ce pays l'étain qu'ils livraient au
commerce,
ont prétendu que son nom primitif était Bratanac, qui
en langue phénicienne signifie pays de l'étain.
Au
cours des siècles qui suivent, la côte se transforme et
devient
un véritable empire commercial qui possède des routes
maritimes
à travers le monde et développe un commerce florissant
avec
l’ensemble des nations autochtones parsemant les côtes du reste
du
monde.
Angle
Land signifiait littéralement la terre de l'Angle. Elle fut la
première
évolution visant à faire disparaître la Terre
Sainte.
«...Depuis
le règne de ce prince (Sévère), la Bretagne
romaine
fut partagée en cinq provinces, mais au commencement du ve
siècle
les Romains, obligés d'évacuer l'île pour s'opposer
à l'invasion des Barbares dans les Gaules, abandonnèrent
les Britanni à leurs propres forces.
...
chacun des chefs étrangers les plus braves et les plus
redoutés
prit le titre de roi, et l'on vit s'élever successivement sept
royaumes
: ceux de Kent, de Sussex, de Ouest Anglie, de Wessex, de
Northumlerland,
d'Essex et de Mercie(Mersea). Tous étaient liés entre eux
par une association politique qui fut quelquefois troublée, mais
qui dura jusqu'au lXe siècle. Pendant cette organisation, que
l'on
appelle Heptarchie, les Angli tinrent presque toujours le premier rang.
...C'est
probablement ce qui engagea le roi de Wessex (isex), Egbert, qui
réunit
sous son sceptre toute la contrée, à lui donner le nom de
Angle-Land ( terre des Angles ), d'où plus tard les Anglais ont
fait Ingland, que nous avons traduit par Angleterre. Alfred le Grand
divisa
le premier
le royaume en comtés ; il ne comprenait point alors
la
principauté de Galles.
...Ces
îles sont les seuls débris que les souverains anglais
aient
conservés de l'ancien duché de Normandie. Les habitants y
jouissent de la plus grande liberté ; ils sont gouvernés
d'après leurs propres lois, qui ne consistent qu'en anciennes
coutumes
normandes. La langue française est la seule en usage au barreau
; aucun acte du parlement anglais n'a force de loi parmi eux, à
moins qu'il n'ait été soumis à l'approbation de
leurs
magistrats ; ils sont exempts du service naval et militaire ; leur
commerce
est libre de toute entrave, et à la faveur d'un port franc, ils
ont la faculté d'entretenir des relations commerciales,
même
en temps de guerre avec les ennemis de la Grande- Bretagne. Ce port est
celui de Saint-Helier, dans l'île de Jersey, petite ville qui,
avec
celle de Saint-Aubin et 12 villages ou paroisses, renferme une
population
de 29,000 âmes. Les églises sont les seuls monuments
remarquables
de l'île ; leur construction gothique est belle. Les abords de
Jersey
sont défendus par des tours et des batteries et par une forte
garnison.
»
Noyer
le poisson oui, mais l'Empire savait depuis longtemps que les richesses
du sous-sol n'étaient pas faciles à faire
disparaître
aux yeux du vulgaire autant qu'à ceux des hommes de religions,
qui
n'oubliaient pas le bijou qu'était Jerusalem. Les marins
n'étaient
pas dupes et des trésors d'ingéniosités devaient
être
déployés pour y arriver.
Dès
les Macédoniens, la côte ne se développe plus de la
même façon. Il ne semble plus exister de
compétition
réelle pour la possession des nouveaux territoires qui se
dégagent,
comme c’était le cas auparavant alors que les cités
étaient
situées en fonction des facilités offertes par la nature
et possédaient des noms nouveaux ou encore, suggérant le
statut satellitaire d’une grande cité comme « Londres
»
et « Londinum ».
Le
développement de la côte s’effectue en fonction d’un plan
organisé et structuré en treillis, paquetant dans une
même
région un assemblage de cités et d’endroits dont les noms
et la morphologie, se révélaient être une copie
grandeur
nature d’une portion de la Terre Sainte et des cités qu’elles
contenaient.
Leur
réalisation ne visait pas qu’à éluder le
navigateur
trop curieux, mais en sélectionnant soigneusement les endroits
en
fonction des similitudes de la côte Est américaine et de
celle
qu’affectera les futurs parcs thématiques européens, ils
démontraient ainsi que l’ensemble de cette planification,
s’étendait
sur plus de 2500 ans et dépassait de beaucoup la magouille
crapuleuse
des voyous de service.
Bretagne,
Grande Bretagne, Haute Bretagne, Basse Bretagne, Bretagne romaine,
Britania,
Normandie, Albion, Angleterre, Angle-land.
Exeter,
York, Londres, Paris, Saint Albans, Linlcoln, Mercier, Salisbury,
Winchester,
Mercie (Mersea), Chester, Lavaltrie. Quand ce n'est pas une ville ou un
village, c'est une rue de banlieue. En fait, lorsqu'on compare les
cités
d'origines à partir de la carte d'Angleterre des origines, les
deux
sont une copie quasi parfaite, à l'exception des modifications
de
la phonétique des différents langages, des nouvelles
cités
et de la direction qui change. (Voir, J'accuse)
«
La foi peut transporter des montagnes »
Les
noms des cités et autres repères furent changés,
mais
la Terre Sainte ne disparut pas. Toujours sous la tutelle de l’Empire,
de nouvelles générations se succédaient, et des
navigateurs
étrangers avec des navires chargés de pèlerins
continuaient
d’affluer.
Beaucoup
de cités et villages existaient avant l’arrivée de
Champlain
et avant la découverte du Nouveau Monde. Les habitants de ces
endroits
n’ont obtenu une légitimité héréditaire
officielle,
qu’après avoir été baptisé. Les noms de ces
endroits sont demeurés parfois les mêmes, d’autres, un
suffixe
ou un préfixe comme « Saint », furent
simplement
ajoutés, d’autres représentent une version traduite ou
déformée
provenant d’une autre langue.
Les
cartes anciennes, quel que soit le continent, sont très
précieuses.
Elles permettent d’obtenir un inventaire des premières villes et
de ce qui était important aux yeux des anciens navigateurs.
Ainsi
comme il fut abordé dans « J’accuse », la
comparaison
des anciennes cartes de la première génération de
la côte américaine et de celle de l’Angleterre par
exemple,
permettra de déterminer adéquatement la validité
et
la localisation d’une copie thématique, avec un match frisant la
perfection.
Entre
500 av. J.-C. et 100 apr. J.-C. ils recréèrent une
multitude
de ces endroits, toujours en utilisant la technique du treillis, et ils
y déversèrent de loyaux colons dans ce qui n’était
souvent rien de plus qu’un avant-poste commercial portant le nom d’une
cité célèbre.
Parce
que la succession de villes avait été
préalablement
disposée avec soin le long des repères visuels des
navigateurs,
cette succession de côtes entre le Nord du Québec et la
Virginie,
avec ses cités et autres endroits dénommés sur les
anciennes cartes des découvreurs, furent intégralement
reproduites
dans un parc thématique qui couvrait l’ensemble des côtes
de la Mer méditerranée, du Nil actuel jusqu’à la
péninsule
ibérique.
Les
deux côtes possédaient une longueur similaire de 3000
kilomètres
et possédaient de plus un relief similaire, incluant cette
excroissance
appelée « Italie » qu’une copie de Long
Island
à New York, ou encore cette autre appelée Grèce,
qui
était une copie de Barnstable au Massachuset. La Grèce,
l'Italie,
l'Égypte et la nouvelle Terre Sainte, recréent pour les
fins,
étaient essentiellement les mêmes et permettaient du coup,
de ramener le mont Ararat dans l'Arménie d'aujourd'hui.
Nouvel
endroit, nouvelles montagnes, nouveaux lacs, nouveau climat, nouvelle
race,
nouveaux bâtiments, nouveau départ. Quelques navires plus
tard, et les autochtones de la place se faisaient enfiler une classe
élitique
aux caractéristiques caucasiennes à peu de frais, une
véritable
machine à faire produire du peuple. Une réalité
encore
vraie aujourd’hui.
Toute
une nouvelle génération de navigateurs, pouvait
maintenant
être éduquée à cette nouvelle
réalité
qu’était la « véritable » côte
de
la Terre Sainte dans la Méditerranée.
Mais
la rumeur ne cessait pas et la Terre Sainte était encore
beaucoup
trop visible.
Okay!
OK! OC! Languedoc!
Une
autre évolution fut le Languedoc.
Château
de Quéribus, Mireval, La peyrade, Saint Nazaire, Montauban,
Albanya,
La Jonquera.
Elle
permettait ainsi de récupérer une autre tranche de
navigateurs.
C'est
aux alentours de l’an 800, que l’Emporium décida d’effectuer le
blocus complet de la Terre Sainte en établissant sur les
côtes
d’Angleterre et de France, un nouveau parc thématique
reflétant
les nouveaux noms de cités qui furent données aux
endroits
représentés dans la Terre Sainte. London et Paris
existaient
à nouveau et les Romains disparaissaient.
Bien
sur qu'il y avait du monde à ces endroits auparavant. Ils
feraient
parti de la nouvelle histoire, celle qui est toujours écrite par
les vainqueurs.
La
traversée de la grande mer fut interdite par la marine et les
corsaires,
les cartes de navigations et les livres censurées, la
connaissance
réelle de la Terre Sainte fut bannie du langage et du savoir
populaire
et les juifs, ceux qui possédaient la connaissance de leurs
racines,
furent interdits de séjour sous divers prétextes, ce qui
interdisait toute corruption du savoir dans ce qui allait être le
cocon d’où naîtrait la chrysalide, un bon et un
méchant
chef synthétique de peuple inconscient poursuivant le même
objectif, l’Angleterre et la France.
C’est
précisément ce qu’est le colonialisme et la
démocratisation
au canon. L’ouverture et la fermeture des terres. À
témoin,
les routes qu’ont suivies les guerres de l'histoire. Le savoir, le
pouvoir
et le droit de vie et de mort sur ses sujets, était donné
à ces hommes et comme « internationaux »,
il
l'est encore aujourd'hui.
Un
seul objectif était important. 200 ou 300 ans à s’assurer
que tout le savoir avait été extirpé de la
populace
grâce à un régime d’hérésie en
guerroyant
les plus religieux.
Ajoutons-y
une étiquette de « Moyen-âge » avec
une
histoire ténébreuse apparaissant dans quelques livres, et
hop! le tour était joué, il ne resterait qu’à
ridiculiser
ce qui dépasse sous une étiquette « Mythologie
–
no comments allowed ».
Le
même scénario fut repris avec la ville d'Orléans
dont
le fort et les vieux murs sont une copie conforme de celui de la ville
de Québec ou la Normandie avec son Briquébec, Honfleur,
Saint-Sauveur,
Berville sur mer, Saint Nicolas, Saint Eustache, La Trinité du
Mont,
Caudebec, Isneauville..
Toutes
les guerres passaient à ces endroits, histoire de s'assurer que
personne ne savait.
Le
même scénario de fermeture de l'Atlantique s'est reproduit
au moment des croisades et encore en 1390 au moment ou les Anglos
quittèrent
le Québec.
La
France, l'Angleterre, l'Italie, l'Allemagne, la Suisse, l'Inde, le
Portugal,
l'Espagne, l'Amérique, le Kanada, tous ont participé au
mensonge.
Les
juifs Polonais, sont de ceux qui n'ont jamais voulu lâcher leur
Torah
et qui n'ont jamais accepté cet « état »
d'Israel, ce jew-el factice, ce qui leur a valu l'ire de l'Empire
à
travers les âges et ce passage à tabac lors de la
Deuxième
Guerre Mondiale. «L'axe du mal » de Bush en est
rempli.
Facile
de tolérer un tel enfer pour ce petit peuple qui ne
désirait
que vivre comme nous, puisqu'au même moment on nous murmurait les
réponses à l'oreille.
La
Jewdée.
Le
terme « Premières Nations » ne
possède
pas la même signification pour tous...
Ils
se sont dépêchés de nous apprendre que les Indiens
étaient rouges et différents.
Aujourd'hui,
ils négocient le prix de leur silence, en vendant à la
pièce
les régions sacrées pour en faire des mines ou des
barrages
hydro-électriques comme celle de la Rivière « Romaine
»
au nord du Québec.
Exode
17 Murmures
à Rephidim le rocher d'Horeb
«1
Toute l'assemblée des enfants d'Israël partit du
désert
de Sin, selon les marches que l'Éternel leur avait
ordonnées;
et ils campèrent à Rephidim, où le peuple ne
trouva
point d'eau à boire. 2 Alors le peuple chercha querelle
à
Moïse. Ils dirent: Donnez-nous de l'eau à boire. Moïse
leur répondit: Pourquoi me cherchez-vous querelle? Pourquoi
tentez-vous
l'Éternel?
3Le peuple était
là, pressé par la soif, et murmurait contre Moïse.
Il
disait: Pourquoi nous as-tu fait monter hors d'Égypte, pour me
faire
mourir de soif avec mes enfants et mes troupeaux? 4 Moïse
cria
à l'Éternel, en disant: Que ferai-je à ce peuple?
Encore un peu, et ils me lapideront.
5 L'Éternel dit à
Moïse: Passe devant le peuple, et prends avec toi des anciens
d'Israël;
prends aussi dans ta main ta verge avec laquelle tu as frappé le
fleuve, et marche! 6 Voici, je me tiendrai devant toi sur le
rocher
d'Horeb; tu frapperas le rocher, et il en sortira de l'eau, et le
peuple
boira. Et Moïse fit ainsi, aux yeux des anciens d'Israël.»
Près
de la rivière Abitibi, appelée rivière Moose
par les Indiens, voici le Mont Chaudron en Abitibi Témiscamingue
au Québec et le rocher sur lequel Moïse frappa sa verge
pour
obtenir de l'eau.
Accessible
par un étroit sentier, on peut y apercevoir la Grotte dans
laquelle
Moïse se retira et ce qui fut appelé la « Marmite
des Géants » une relique probable de la
société
des géants qui s'y étaient installés.
Le
mont Sinaï, appelé aujourd'hui le mont Kekeco, qui peut
être
aperçu du mont Horeb.
Des
montagnes de rocailles, manifestement travaillées, plombent les
bases de ces monts.
La
Samarie
La
plaine de Samarie était dans ce qui est le lit du fleuve
Saint-Laurent
à son embouchure. Aujourd'hui, il n'en reste que ce qui
était
à l'époque quelques montagnes. Situées en face
de Longue-Pointe-de-Mingan,
les
îles Mingans en font partie.
Présenté
comme des formations naturelles résultantes des vents et de la
mer,
comment croire qu'il en soit autrement, puisqu'il n'y avait personne
avant
1492
Encore
des formations naturelles !
La
Minganie, c'est la Samarie !
Pas
qu'a cet endroit, la côte entière en est remplie.
Il
y a 2000 ans.
À
la mi-temps, comme disent les révélations des mormons
faisant
relation à la moitié de la grande période. La
venue
de ce prophète de la mi-temps, était connue depuis le
début
de ce grand cycle. Comme le disaient les anciens Chaldéens, les
cycles ne trompent pas.
Il
est né dans un village appelé Betlhéem,
aujourd’hui
une petite ville appelée Ville-Marie, situé sur la
rivière
Outaouais à 500 kilomètres au nord de Montréal.
C’est
à cet endroit qu’une fausse grotte imitant celle de Lourdes fut
construite, camouflant en réalité celle de la
nativité.
Il
vécut et fut confronté à ce qui était
déjà
un savoir antique et réprouvé par l’Emporium. Dans un
souci
d'objectif, les romains, lui ont demandé de cesser de
prêcher
dans les temples et ainsi de décrier la vérité
qu’il
prétendait.
«
La vérité est dans la tête de celui qui
écoute
»
Une
phrase chérie de la politique moderne. La perception de la
vérité,
fut un domaine particulièrement élaboré chez les
Romains,
autant que chez les nobles depuis.
Il
ne parlait pas de religion au sens où nous l'entendons !
Il
ne parlait pas de Dieu au sens où nous l'entendons !
Comment
les premiers descendants de Noé avaient-ils pu concevoir la
venue de ce
prophète appelé Jésus 2000 ans plus tôt ?
Comment
le Jésus lui-même avait-il pu brillamment concevoir que
son
refus de cesser de décrier l’administration en place, engagerait
des actions si atroces qu’elles imprimeraient la mémoire des
hommes
pour les 2000 ans à venir, et ainsi atteindrait l’objectif
d’éviter
que tout ceci ne tombe dans l’oubli 2000 ans plus tard ?
«
Regardant le Jésus de Nazareth... Je crois que le système
de morale et de religion comme il nous le laissa, est le meilleur que
le
monde a vu ou verra probablement; mais je soupçonne qu’il fut
corrompu
et a subi de nombreux changements, et j’ai, ainsi que la plupart de la
dissension actuelle en Angleterre, certains doutes quant à sa
pureté
divine. »Benjamin
Franklin
C'est
à cette époque de l'histoire, que le terme « Judée
»
fut remplacé par « Juif ». On passait ainsi
d'un
terme identifiant une Terre Sainte, à un autre identifiant
l'appartenance
héréditaire et religieuse. La Judée pouvait
maintenant
être effacée, pour être remplacée par des
caractéristiques
remarquables et facilement identifiables, une différence
importante
qui allait permettre le support des étiquettes haineux.
À
partir de sa conversion au christianisme, l'empire byzantin a
débuté
la conversion forcée des minorités
hétérodoxes
ou non chrétiennes à sa version du christianisme. Ainsi,
l'empereur Zénon qui règne de 474 à sa mort en 491,s'en
prend aux Juifs et aux Samaritains. Sous son règne, le temple
samaritain
est une seconde fois détruit de façon définitive.
Il ne sera jamais reconstruit.
Les
juifs furent interdits de séjour à Jerusalem par
l'Église
catholique romaine et il ne leur était pas permis de
posséder
des terres et de cultiver. Le prêt usuraire étant interdit
par l'Église catholique romaine, le réseau culturel et
religieux
élaboré, qu'ils entretenaient chez les leurs à
travers
le monde, devint rapidement un réseau de commerce et
d'échange,
qui occupa cette place laissée vacante.
Après
les invasions Germaniques et barbares dans l'empire romain, premier
effort
pour cacher la Judée du vulgaire, les communautés juives
qui se trouvaient à Cologne et sur le futur territoire de la
France
depuis déjà l'an 300, furent expulsées en 629 par
Dagobert Ier, le roi des Francs au moment ou les Romains
décidèrent
de s'y installer.
Les
Samaritains
En
réponse au refus de la place de la Torah orale et selon le
Deuxième
livre des Rois de la Bible, qu'on estime rédigée vers le
milieu du VIe siècle av. J.-C., la population du royaume de
Samarie
aurait été déportée vers d'autres
régions
de l'empire assyrien en punition de ses péchés. Elle
aurait
ensuite mystérieusement disparu. Ce seraient les dix tribus
perdues
d'Israël.
La
Bible affirme que des populations étrangères auraient
été
déplacées pour les remplacer sur leur territoire. Ces
étrangers
auraient créé une religion mélangeant influences
israélites
et païennes, donnant ainsi naissance aux Samaritains.
Les
nouveaux habitants de l’ancien royaume de Samarie devenu province
assyrienne,
sont décrits comme des étrangers, avec qui
l'Éternel
fit alliance, comme s'ils étaient les descendants des anciens
Israélites.
D'un côté, ces populations craignaient l'Éternel et
de l'autre ils continuaient en même temps de servir leurs dieux.
La population identifiée comme « samaritaine »
devient ainsi une population ambiguë, mélange
d'étrangers
païens et d'influences israélites, globalement
rejetées
de la communauté. Le vulgaire était né.
Dans
le Second livre des Rois, c'est toute la population ou presque qui a
été
déportée. Pour Sargon II, c'est une minorité. Il y
avait bien eu une première déportation dix ans plus
tôt,
quand le roi assyrien Teglath-Phalasar III avait conquis la
Galilée.
Selon les chiffres avancés par les textes assyriens le total des
deux déportations atteint environ 40 000 personnes, de 10
à
20% seulement du total des habitants. L'implantation de colons
étrangers
est indiquée plusieurs fois dans le reste du texte à
propos
d'autres conquêtes. Cette politique d'implantation de colons est
encore courante.
Dans
cette optique, les dix tribus d'Israël mystérieusement
disparues
ne seraient qu'un mythe inventé pour justifier l'exclusion des
Samaritains
de la communauté israélite : on ne rompait pas avec
d'autres
Israélites, on constatait leur disparition mystérieuse et
leur remplacement par des étrangers.
Aux
alentours de -330 av. J.-C., soit aux alentours de la conquête
d'Alexandre
le Grand, la population samaritaine a bâti au sommet de la
montagne
de Garizim un temple devenu le centre religieux du samaritanisme,
à
la façon du Temple de Jérusalem pour le judaïsme.
D’après
le livre des Macchabées, le temple est alors entouré de
fortifications
avant d'être détruit par le roi Hasmonéen Jean
Hyrcan
Ier vers -108 av. J.-C. qui était installé dans
l'actuelle
ville de Canandaigua au sud des Grands Lacs, dans l'état de New
York.
Deutéronome,
11, 29 - Et lorsque l'Éternel, ton Dieu, t'aura fait entrer dans
le pays dont tu vas prendre possession, tu prononceras la
bénédiction
sur la montagne de Garizim, et la malédiction sur la montagne
d'Ebal.
Deutéronome,
27, 12 - Lorsque vous aurez passé le Jourdain, Siméon,
Lévi,
Juda, Issacar, Joseph et Benjamin, se tiendront sur le mont Garizim,
pour
bénir le peuple ;
Josué,
8, 33 - Tout Israël, ses anciens, ses officiers et ses juges, se
tenaient
des deux côtés de l'arche, devant les sacrificateurs, les
Lévites, qui portaient l'arche de l'alliance de l'Éternel
; les étrangers comme les enfants d'Israël étaient
là,
moitié du côté du mont Garizim, moitié du
côté
du mont Ebal, selon l'ordre qu'avait précédemment
donné
Moïse, serviteur de l'Éternel, de bénir le peuple
d'Israël.
Juges,
9, 7 - Jotham en fut informé. Il alla se placer sur le sommet de
la montagne de Garizim, et voici ce qu'il leur cria à haute voix
: Ecoutez-moi, habitants de Sichem, et que Dieu vous écoute !
Après
la déportation forcée des Juifs de Judée, en 70 de
notre ère, puis suite à la dernière révolte
juive de Bar-Kokheba vers 133-135, la population juive fut
dispersée
autour de la mer Méditerranée, qui à cette
époque
était notre océan Atlantique. Bien qu’il
commençait
à y avoir des
juifs en Grèce, au sud de l'Italie, en
France,
en Espagne et en Afrique du Nord, la majorité de la population
était
toujours sur la Terre Sainte. La citoyenneté romaine leur est
accordée
en 212, mais ils eurent encore à payer un impôt
particulier
jusqu'en 363.
L'Église
puissante commença des persécutions contre les Juifs, ce
qui les poussa à émigrer toujours davantage vers l'est de
l'Europe. Charlemagne, au IXe siècle, redonna aux Juifs les
droits
dont ils jouissaient sous l'empire romain et ces conditions
favorisèrent
les communautés juives en France.
Les
juifs furent repoussés vers le nord de l'Europe puis il semble
qu'ils
se soient installés en Angleterre lors de la conquête
normande
en 1066 et le long du Rhin. Les Croisades puis les expulsions
d'Angleterre
en 1290 et de France en 1394, ainsi que de certaines régions de
l'Allemagne au XVe siècle, amenèrent les
Juifs
à migrer encore à l'Est en Pologne, en Lituanie et en
Russie.
À partir du XVe siècle, la communauté juive
polonaise
fut la plus importante de la Diaspora. Cela fut le cas jusqu'au drame
de
la Shoah.
Quand
le christianisme est devenu la religion dominante de l'empire romain,
les
Samaritains furent privés d'accès au mont Garizim. Marche
des conquérants et insulte suprême, une église
protégée
par des remparts fut construite au sommet du mont Gazirim et devint
l'une
des causes de la révolte samaritaine sous la direction de
Julianus
ben Sabar au sixième siècle. La répression sera si
terrible que la population samaritaine s'en retrouva pratiquement
détruite.
Malgré la destruction du temple, la montagne est restée
le
centre religieux des Samaritains jusqu'à nos jours.
Les
conversions massives à l'époque romaine enlèvent
au
judaïsme toute signification ethnologique et coupèrent tout
lien physique avec la Terre Sainte. La plupart des vulgaires du monde
et
des Juifs du pourtour de la méditerranée, sont le produit
de ces conversions.
Cette
répression ne s'est jamais arrêtée. En 1759 Wolf et
ses troupes, en plus de brûler au raz du sol toute l'Acadie et
toute
la Rive-Sud depuis Gaspé jusqu'à Québec, en plus
de
s'approprier les avoirs de tous, les soldats violèrent toutes
les
femmes qu'ils trouvèrent. Aujourd'hui, les Anglais viennent
faire
des parades à Québec et nos élus
considèrent
ça comme un spectacle.
Québec
Des
mosquées ? Des moulins à vent ? Québec moderne n'a
jamais eu l'air de ça. Tout ce que l'histoire dit, c'est que le
type qui a effectué cette représentation, l'a fait dans
son
imagination et n'a jamais visité la ville de Québec. Au
vu
des détails, cette représentation fut prise aux alentours
de l'an 1300.
Suivant
les changements d’étiquettes nominatives trop évidentes
des
villes et villages de la Terre Sainte, la portion du Québec
entourant
le fleuve Saint Laurent jusqu’à son embouchure, est devenue la
Terre
des Éques, une évolution de la nation Eneque, qui s’est
étirée
à travers les siècles.
L’utilisation
de cette nomination pour les Québecois, visait manifestement
à
résoudre la problématique de la ville de Québec,
une
ville associée à une caractéristique remarquable
de
l’environnement, la paroi du cap Diamant en surplomb de la voie
fluviale,
la rendant extrêmement difficile à reproduire dans une
cité
thématique et mémorable aux navigateurs.
Ce
surplomb d’une centaine de mètres sur lequel est construite la
ville
de Québec était extrêmement important. Ce plateau,
de deux kilomètres sur quinze, possédait des
caractéristiques
le rendant particulièrement facile à défendre.
Pour
ces raisons, les premières nations l’établirent en
redoute
appelée « Krack », refuge ultime en cas
d’attaque
pour les cités du coin. En plus des infrastructures de
protection,
la paroi nord du krack de Québec, donnant sur la terre, fut
creusée
pour obtenir une muraille plus abrupte et un canal reliant le Saint
Laurent
des deux cotés, fut creusé au bas de la falaise nord.
En
plus des dépendances de services et maisons à la base du
Krack, le plateau portait deux cités, une première dans
une
version réduite des vieux murs actuels et l’autre quelque part
sous
l’Université Laval et la ville de Sillery alors appelée
Sillerii.
Des communautés satellites existaient au Petit Village, au
carré
Jean Talon sur le plateau de Charlesbourg, sur le cap du Kent de
Montmorency
et sur le plateau Laurentien, dans un regroupement de cinq villes
disposées
en étoiles appelé pentapole, qui lui-même forme la
pointe d’un pentapole plus grand, grâce à d’autres
communautés. Une
méthode d’implantation provenant des Grecs et qui servait
à
maximiser la couverture de protection face à un ennemi.
De
par son emplacement, le Krack de Québec possède des
caractéristiques
particulières et remarquables aux yeux du navigateur, qui le
rende
difficile à reproduire dans une cité thématique.
De
plus, il possédait une signification historique d'importance
puisqu'il
fut sujet à de nombreuses conquêtes, et une signification
religieuse ayant été à une époque le refuge
d'Abraham, d'où fut tiré le nom des Plaines d'Abraham.
Ceci
explique la raison pour laquelle ils optèrent pour un changement
graduel du nom, plutôt qu'un changement soudain.
Du
même coup, l'architecture s'avérait problématique,
puisqu'elle reflétait l'âge de la cité et il
n'était
plus possible d'arguer la ville nouvelle. Ceci nous fournit des indices
sur la stratégie utilisée et les raisons des guerres
fantoches
qui s'y sont déroulées. L'architecture devait changer
constamment.
C'est
au cours de 2008 qu'une de ces architectures remarquables, le
manège
militaire de Québec, passa au feu. Un monument dont la
volonté
de réparation, n'est manifestement pas supportée par le
gouvernement
Kanadien.
Kadesh,
Kadech, Cadesh, Cades, Cedès, Cabach, Caboch, Kabach, Cabak,
Kabac,
Québec, furent au cours de la longue histoire et des
différents
langages, les multiples noms donnés
à
la ville.
Son
nom d’origine au moment de la Terre Sainte était « Kadesch
» qui fut aussi noté Cades dans d’autres langages.
Elle
fut soumise par Nabuchodonosor et ensuite assiégé par
l’Empereur
Tite durant quelques années avant d’être capable de la
conquérir.
Frustré de cette attente, il crucifia les 800 chefs de la
cité
avant de violer et d’égorger leurs femmes et leurs enfants
devant
eux. Il s’empara des biens, rasa les constructions et déporta le
reste des habitants.
Aussi
inexpugnable qu’était la réputation de ces
retranchements,
ils n’étaient qu’un autre sommet à conquérir pour
le puissant qui avait le temps et qui pouvait étirer les
sièges
guerriers sur des années. L’homme était brillant. Avec le
temps, de nouvelles méthodes de guerres étaient
inventées
et il finissait toujours par découvrir une faille dans la
cuirasse
qui lui permettait enfin de prendre le pied du conquérant.
Un
conquérant qui se retrouvait gonflé d’un sentiment
vengeur
à la vue de ces hommes qui étaient les premiers
responsables
de la mort de leurs frères perdus au combat. Une joie vicieuse
qui
ne lassait place à aucun remords, lorsque venait le temps de
tuer,
soumettre et violer femmes et enfants, avant de réclamer le
passage
sous le joug, ce portail sous lequel tous les habitants devaient passer
en laissant leurs avoirs.
Mercenaires
professionnels, les chefs de guerre et les hommes se divisaient le
butin
avant de quitter, en emportant avec eux les nouveaux esclaves, ne
laissant
plus que les ruines fumantes de la désolation.
Mais
les petits hommes venus du froid avaient la peau coriace et
étaient
durs à mourir.
Quelque
part entre 600 et les croisades de l’an 1000, la ville de Québec
prends le nom d’Orléans et le roi de l’époque se fait
probablement
construire une résidence secondaire à Saint
François
de l’île d’Orléans, qui n’est pas une île à
cette
époque, mais une extension de la côte,
séparée
par la rivière Montmorency.
Le
nom du promontoire continua malgré tout d’être
utilisé
par les anciens navigateurs, pour désigner l’endroit. Ils
procédèrent
au changement du « D » en « B
»,
donnant « kabak » ou « Kabach »
ou
« Cabach ».
C’est
aux alentours du 14e siècle que fut construit le parc
thématique
de l’Orléans française en vue de la fermeture de la mer
qui
se produirait en 1390. Le parc thématique reproduisait
intégralement
la vieille ville de Québec et ses murs.
Durant
la période Orléans, le nom du promontoire de Kabach
glisse
graduellement vers le nom de Caboch qui s’avérait
représentatif
du promontoire de Québec, ou que la forme du promontoire
contribua
à en populariser le sens sous la forme de caboche dans le sens
de
tête, ou comme cabochon, dans le sens de joyau brut ou poli, un
diamant
d’ou fut tirée la désignation du « Cap Diamant
».
Le
changement de l’Orléans officielle du territoire du
Québec
à celui de la France, fut à l’origine d’une grande
période
de révoltes à la fin du 14ièmeavec
Jeanne
d’Arc, une probable référence à Saint Jean
d’Âcre,
ville compagne de Jerusalem, ou encore la révolte des habitants
restants de la ville de Québec en apprenant ce qui avait
été
préparé de longue main et qui fut appelé la
révolte
des Cabochiens dans l’histoire, mais qui à l'origine
désignait
les cités du promontoire, mais qui fut par la suite
présentée
dans les livres des vainqueurs, comme une révolte sous la
commande
d’un dénommé « Caboch ».
Cette
époque est aussi le point tournant du changement de continent
dans
la littérature de l’histoire. Tout ce qui vient avant dans sa
version
intégrale concerne l’Orléans du Québec et ce qui
vient
après, glisse graduellement vers l’histoire de l’Orléans
française, jusqu’à produire une littérature
d’évènements
strictement française au moment de la fermeture de l’Atlantique
en 1390. Les diverses représentations du nom d’Orléans
sont
importantes, car elles identifient les possessions importantes de
l’empire
de l’époque.
Les
chéris les plus loyaux furent retirés et le pays des
Éques
fut fermé pendant un siècle, durant lesquels rien
n’était
autorisé à traverser la mer, sans un consentement
impérial.
Le
tour était joué. Il ne restait plus de pays à
conquérir,
mais un pays libre de liens qu’il n’y avait qu’à
posséder,
remplis de gens qui seraient heureux de les voir revenir avec leur
commerce
et qui s’empresseraient de demander à quel endroit signer pour
être
membre.
Autre
signe de cette intelligence concertée à travers le temps,
le nouveau nom deviendrait un simple glissement de « Kabach
» à « Kab éque »,
l’ancêtre
direct de notre Québec actuel. Au vu de l’importance
caractéristique
du promontoire et de sa ville dans la navigation de l’époque, il
n'est pas possible qu’un tel changement ait pu être
réalisé
d’une façon soudaine, mais fut le résultat d'un processus
infligeant aux mots concernés une modification à travers
le temps, visant en incurver les caractéristiques phoniques et
écrites,
pour les amener graduellement et sans heurt, à un point de
concomitance
d’ou ils pourront être mariés dans l’histoire,
empêchant
toute traçabilité. Cette technique, visible ici par
l’inversion
du D au B passant de Kadach à Kabach, lors d’une des
évolutions,
est symptomatique de cette intelligence concertée et visible un
peu partout, la main de l’Empire.
Cortereal
explora la côte de l’Amérique avant Colomb, mais les
côtes
de l’Amérique portaient déjà le nom de Cortereal
auparavant.
La Galilée était la Terre Sainte alors que l'un des
concepteurs
de l'astronomie moderne était Galiléo Galiléi. Le
premier
colon du Québec, fut un Hebert alors que les mêmes
régions
donnèrent lieu à une guerre apparaissant dans la Bible,
avec
un autre du nom de Heber. Christophe Colomb
était
un faux nom et ce nom signifiait littéralement le Christ de la
colombe.
La
Chine devint le Canal Lachine à Montréal, mais Chna
(prononcer
china) était le surnom donnée à la
Phénicie,
une abbréviation de Chanaan. Mais encore, plus tard lorsque
l'Amérique
fut interdite au commun, elle avait été surnommée
au temps de l'Empire Sassanide, le pays des Sins. (Pays des
Péchés)
Et cette liste est sans fin!
Bien
avant l’invention de l’Inde ou parfois de la Linde et par la suite les
Indes, Americo Vespucci venait effacer l’Armorique, pour actualiser le
mot Amérique.
«
Le mot Armorique signifiait dans l'ancienne langue celtique, pays
maritime.
L'Armorique dont il est ici question, comprenait, outre la province de
Bretagne , la Basse-Normandie, l'Anjou, le Maine et la Touraine; Tours
en était la capitale, et elle jouissait encore dans ces derniers
temps du titre de métropole. Saint Catien prêcha la foi
dans
ce pays, vers le milieu du troisième siècle ; mais
l'idolâtrie
n'en fut entièrement extirpée que par les missions des
moines
bretons. Plusieurs familles de la Grande-Bretagne ayant quitté
leur
patrie pour se soustraire à la fureur des guerres
occasionnées
par les révoltes de Carausius et d'Allectus, passèrent
dans
les Gaules, et s'établirent, avec la permission de l'Empereur
Constance,
sur la côte de l'Armorique. Il se fit une seconde transmigration
beaucoup plus nombreuse que celle dont nous venons de parler, sous la
conduite
du tyran Maxime, qui donna une partie de l'Armorique aux Bretons qui
l'avaient
suivi en 383.
...Après
la défaite de Maxime, les Bretons armoricains choisirent pour
Roi
Conan, surnommé Mériadec, secouèrent le joug des
Romains,
et surent maintenir leur liberté contre plusieurs
généraux
de l'empire , puis contre les Alains , les Vandales , les Goths et les
autres barbares. L'abbé Desfontaines, diss. p. 118, et dom
Morice
après lui, démontrent que l'Armorique formait un
état
indépendant avant l'année 421. Les diverses descentes des
Saxons dans la Grande-Bretagne, donnèrent lieu à une
troisième
transmigration de Bretons, qui ne se fit que successivement.
L'Armorique,
connue aujourd'hui sous le nom de Bretagne, a été soumise
aux Romains pendant 4oo ans, et a formé, pendant environ 75o
ans,
un état indépendant sous les titres de royaume, de
comté
et de duché. Clovis I s'en empara après la mort du Roi
Budic
, dont on l'accusa d'avoir été l'auteur. Ce malheureux
prince
laissa six fils , Howel, Ismael, évêque de
Ménévie
; Tifei, honoré comme martyr à Pennalum ; saint
Oudecéc
, évêque de Landaff; Urbien ou Concar , et Dinot, qui fut
père de saint Kinède. La Bretagne resta soumise aux
enfants
de Clovis , et ce fut par l'autorité de Childebert qu'on
éleva
saint Paul sur le siège de Léon en 512. Mais Howel , fils
de Buduc, ayant quitté la cour du Roi Arthur en 513, trouva le
moyen
de recouvrer une grande partie des états de son père. Ce
prince
, souvent appelé Rioval, c'est-à-dire le Roi Howel,
était
un vrai héros. Il fit ressentir les effets de sa
libéralité
aux églises et aux monastères. Il laissa en mourant
plusieurs
enfants, entre autres Howel II, qui lui succéda , Léonore
ou Lunaire , et Tudgual ou Pabutual , premier évêque de
Tréguier.
Ces deux derniers ont été mis au nombre des Saints.
(Voyez
D. Morice, t. I, p. i4 et 729.) Howel III, autrement appelé
Juthaël,
recouvra tout le royaume de ses pères. Le Roi Pepin fit la
conquête
du même pays. Les Bretons prirent trois fois les armes sous les
règnes
de Charlemagne et de Louis le Débonnaire , pour secouer le joug
de la France ; mais ce fut toujours inutilement. Louis le
Débonnaire
introduisit la règle de saint Benoit dans le monastère de
Landevenec : il est probable qu'elle fut aussi adoptée par les
autres
monastères de l'Armorique, où l'on suivait auparavant la
règle que les Bretons du pays de Galles avaient prise des moines
orientaux. Charles le Chauve fit la cession de la Bretagne en 858, et
depuis
il reconnut Salomon III pour Roi de ce pays. (Voyez dom Morice, et
l'abbé
Desfontaines.) Enfin, la Bretagne fut unie, en 1532, à la
monarchie
française, en vertu du mariage de Charles VIII avec Anne de
Bretagne,
lequel avait été célébré en 1491.
»Vie
des pères des martyrs et autres principaux saints
«
Dans la Gaule Celtique, une partie portait le nom d’Armorique, et les
peuples
qui l'habitaient s'appelaient
Armoricains.
Suivant l'abbé Déric, ce mot « Armorique »
vient
des mots bretons « Ar – Moor – rich », province
située
sur la côte bretonne.
Les
Venètes étaient les peuples les plus puissants des
Armoricains.
César s’arma contre eux à Angers et vint à bout de
les vaincres mais il éprouva de grands obstacles. Les
Venètes
étaient entourés au nord par les Curiosolites; à
l'ouest,
par les Ossismiens, et à l'est par les Namnetes et les Redones.
Suivant Strabon, c'est une colonie de Penètes armoricains qui,
environ 600 ans avant notre ère, alla s'établir en Italie
et fonda Venise. Les Venètes étaient un des six peuples
principaux
répartis sur le territoire de l'Armorique, passaient pour les
premiers
et les plus habiles navigateurs de l'Ancien Monde. Ils faisaient payer
un droit de passage à tous les vaisseaux qui naviguaient dans
l'Océan
Atlantique. Ainsi, ce n'est pas d'aujourd'hui que la raison du plus
fort
est réputée la meilleure.
Les
Druïdes enseignaient l'existence d'un seul Dieu et
l'immortalité
de l'âme. L'île de Saine située sur les côtes
de Bretagne, renfermait un collège sacré, composé
de neuf prêtresses. Ces prêtresses calmaient ou excitaient
à leur gré les tempêtes de l'Océan : elles
vendaient
le vent aux navigateurs, qui ne se mettaient jamais en mer sans le
consulter.
Le mont Saint-Michel renfermait également un collège
semblable.
Strabon parle d'une île située à l'embouchure de la
Loire, où se retiraient des femmes samnites : sans doute
c'était
là l'île de Saine. Pomponius indiqua la place au nord de
la
Bretagne, où se trouve encore aujourd'hui l'île de Sein.
L'opinion
la plus commune est que c'est là, la véritable île
de Saine. L'auteur des Marlyn pense que c'est Jersey.
Note
: Ceci devrait être lu « Guernsey ». Cette
Île
est située sur la côte de Terre Neuve, près de la
cité
de Saint Mary the Virgin.
On
connaît les chants des bardes et leur influence sur les moeurs
des
nations celtiques. Cette influence était telle que, dans une
contrée
qui jusqu'à nous a conservé la langue et les mœurs de la
Bretagne, on vit un grand prince échouer plusieurs fois dans la
conquête qu'il avait projetée, et ne réussir qu'en
faisant massacrer les bardes, qui entretenaient l'esprit belliqueux de
ses nouveaux sujets.
Geffroi
de Monmouth et l'auteur du livre d'Artur assurent que lorsque Conan et
Maxime se présentèrent dans la presqu'isle, qu'on a
depuis
appelée Bretagne (Brodingac) , les troupes commettaient tant
d'horreurs
et se montraient si cruelles que tous les habitants prenaient la fuite.
Ils ajoutent que les insulaires firent périr tout ce qu'ils
trouvèrent
de sexe masculin et ne gardèrent que les femmes. L'auteur de
l'histoire
dit en outre que Conan Mériadc, homme catholique et belliqueux,
voulut se fixer dans le pays dont il s'était emparé. Il
fit
occire[brûler] les habitants qui étaient tous païens.
Ses soldats
ne
gardèrent que quelques femmes auxquelles néanmoins ils
coupèrent
la langue, afin que par elles le langage breton ne fût pas
changé.
Lorsque Copan fut arrivé en Bretagne, vers 383 disent toutes les
légendes,
il écrivit à Dionoff roi de l'Isle de lui envoyer des
femmes
parlant breton. » Le
Lycée Armoricain
La
Chaldée
La
Chaldée se situait au Michigan. Elle incluait le Michigan actuel
en plus d'une grande partie du lac Michigan, qui n'était pas un
lac aussi important à cette époque.
Les
Chaldéens étaient des gens laborieux qui, probablement
à
la suite de l'effondrement de Babylone, avaient pu profiter des
millénaires
d'observations accumulés. (Certains auteurs de l'histoire
ancienne
parlent de 500,000 ans.)
Sans
doute pour cette raison, ils n'étaient pas
particulièrement
aimés du reste de la Judée et des autres
sociétés
de l'époque.
Abraham
et Nimrod étaient des Chaldéens
«
En dépit du fait que les écritures ont placé
exprès
Nimrod et Abraham
près l'un de l'autre, ils étaient assez
éloignés
dans le temps. Ils furent placés ainsi afin que les hommes
admirent
dans le premier ce qu'ils désirent et dans le second ce que Dieu
approuve et ce qu'il juge digne de sa complaisance et de son amour. Ces
deux hommes si différents sont les deux premiers citoyens de
deux
cités opposées fondées sur des amours contraires.
Alors que Nimrod prônait son amour propre et celui des richesses
terrestres jusqu'au mépris de Dieu, Abraham prônait
l'amour
de Dieu, jusqu'au mépris de lui-même.» Histoire
ancienne des Égyptiens, des Carthaginois, des Assyriens, des
Babyloniens,
des Medès et des Perses, des Macédoniens et des Grecs.
Bien
que nous possédions peu d'informations sur cette
société,
il est bon de dire que l'Ancien Testament est un répertoire de
l'astrologie
chaldéenne qui fut repris par la suite par Jesus.
C'est
en 2007 que Mark Holley, un professeur d'archéologie du
Collège
Northwestern Michigan, découvrait à Grand Traverse Bay au
Michigan, une série de pierre, arrangée en cercle sous
quinze
mètres d'eau, dont l'une d'entre elles possédait sur sa
surface
la gravure d'un mastodonte.
Une
histoire qui fut sans doute considérée comme une vision
apophénique
schizophrène, raison pour laquelle elle n'a pas fait la une des
nouvelles. Je suggère qu'ils y trouveront bientôt un
nouveau
«
Nessie ».
L'Islam
Les
musulmans ont comme prophète Mohamet. Un prophète qui
comme
les autres, est apparu au moment où ils étaient en
possession
de la Terre Sainte.
Dans
la ville de la Mecque, située sur le pourtour de la
Méditerranée,
ils y possèdent une relique Sainte appelée la
Ka'aba,
autour de laquelle ils s'assemblent tous les ans au mois de Ramadan,
dans
un pèlerinage qui porte le même nom, et que tout musulman
doit faire au moins une fois dans sa vie. Ils tournent alors sept tours
autour de cette pierre dans le sens contraire des aiguilles d'une
montre.
Recouverte
d'un brocart noir brodé de versets coraniques, c'est autour de
la
Ka'aba que les pèlerins effectuent les sept tours appelés
la circumambulation.
La
relique sacrée en question est une pierre qui y aurait
été
enchâssée par le prophète Mohamet lui-même,
à
la suite de la destruction du Temple et qui, par son ancienneté,
remonterait au temps d'Adam et Ève. Il n'est pas possible
à
quiconque n'est pas de confession musulmane, d'entrer dans la Ka'aba
et de voir cette pierre. Selon
le calendrier en vigueur, Mahomet vécut de 570 à 632,
soit
peu de temps après la destruction de Jerusalem.
La
prière musulmane se fait cinq fois par jour et ou que l'on soit
dans le monde, elle s'effectue toujours tournée vers la
Mecque. Au
contraire de l'éducation harcelante diffusée par les
médias
de l'Empire, les musulmans sont des gens à la fois doux et
fiers,
menant une vie simple. La
religion de l'Islam prône un grand respect de la vie et surtout,
de la vérité. Aussi loin qu'il soit possible d'analyser
dans
l'histoire, le prophète Mahomet semble aussi transparent et bien
intentionné, qu'a pu l'être Jésus ou Isaïe ou
Job ou
Moïse ou les autres du même acabit.
Ce
ne sont pas eux les coupables, mais ceux qui suivirent. La loi de
l'Airain
est partout.
Cela
dit, là aussi le petit peuple est à la remorque d'une
élite
manufacturée par l'Empire, qui n'a aucune hésitation
à
les diriger aveuglément en utilisant leur soumission à la
foi.
La
symbolique de la Ka'ba vide, signifie qu'il ne peut y avoir d'objet
d'adoration
pour le croyant et elle symbolise l'unité des musulmans qui
adorent
un Dieu unique et représente le lieu vers lequel se dirige la
prière.
Mais en tournant ainsi à sept reprises dans le sens contraire
des
aiguilles d'une montre, ils identifient clairement une symbolique
autre,
en reproduisant
ainsi la ronde des 7 planètes de l'ancien savoir autour du
Soleil,
un parcours absolument astrologique.
Aux
premiers temps de l'Islam, la prière était dirigée
vers Jérusalem. Les chrétiens et les juifs se
moquèrent
des musulmans et dirent : « Aujourd'hui ils se dirigent vers
Jérusalem
comme nous pour faire la prière, demain ils suivront notre
religion
! » Cette bravade eut l'effet
escompté
et Mahomet ordonna alors d'orienter la prière vers la Ka'aba,
pendant
son exil à Médina. Pas le Médina de l'Arabie
Séoudite
et pas le Jerusalem de la Palestine. Ceux-ci vinrent beaucoup plus tard.
Il
existe 29 Medina et 4 Medine dans le monde, un phénomène
qui est expliqué par la signification du mot, qui voudrait dire
«
ville ancienne », mais ceci fut un argument
déjà
utilisé pour la ville de Salem et n'est qu'une autre
façon
de noyer le poisson. En agissant ainsi, ils effaçaient de la
religion
musulmane, ce qui était le plus important et le ramenait
à
peu de chose près, au même aveuglement que le vulgaire de
l'Ouest. Au vu des époques et en dépit de l'exil
forcé
qu'il a dû subir, il est tout à fait douteux, qu'il ait
même
mis les pieds à l'extérieur de la Terre Sainte.
Bien
qu'il soit tout à fait possible que cette Ka'aba soit de la
génération
d'Adam, il faut se rappeler que la génération des
adamites
n'avait plus la faveur de Dieu et fut la raison de sa destruction.
Cette
pierre sacrée, est celle sur laquelle les cavaliers mettaient le
pied pour débarquer de leurs montures en arrivant au temple de
Jerusalem.
Ainsi,
le vulgaire, qu'il soit de confession catholique, musulmans ou autre,
n'est
que ça, un vulgaire et il a droit au même traitement.
Comme
nous le savons, la religion musulmane interdit la représentation
du visage de Mahomet.
Mahomet
lui-même ne l'interdisait pas et en disait :
Tolérer sans reproduire, condamner par la parole ou condamner
l'iconoclasme,
c'est-à-dire de l'adorer. De Mahomet à aujourd'hui, nous
sommes passés sur ce point, de la tolérance à
l'intolérance
et même à l'insurgence. Cette application
exagérée
des dires de Mahomet, fut effectuée longtemps après sa
mort,
par les différentes autorités religieuses qui se sont
succédé
à la conduite de la religion musulmane depuis.
Bien
qu'il soit possible d'en comprendre la motivation d'origine, qui visait
à éviter les erreurs précédentes en
fabriquant
des statues en or des individus, le jusqu'au-boutisme qui y fut
appliqué
depuis, suggérait des motifs autres et inusités, dont la
technique s'apparentait grandement à celles utilisées par
l'Empire de l'Ouest.
La
première tranche du dernier millénaire fut appelée
«
le moyen âge » et fut l'étiquette d'une
période
sombre, duquel il n'y a que fort peu d'informations qui nous en soient
parvenues.
De
plus, ce qui en existe était réservé il y a peu
à
la petite élite locale, puisque la vaste majorité de la
documentation
disponible était censurée par la religion, par les pays
eux-mêmes,
par la corruption, par la dilution dans une mer d'insanités, par
l'argent puisque certains de ces documents coûtaient et
coûtent
encore une fortune, et par l'éducation, car ces vieilles choses
provenant de gens « inéduqués, archaïques
et
obnubilés par leurs croyances » n'étaient
absolument
d'aucun intérêt pour nous, notre famille, notre vie, notre
carrière.
«
Internet ? On trouve n'importe quoi là dessus »
est la tirade préférée de la petite élite
menacée
par l'inculte vulgaire capable de lire par lui-même ces
mystérieux
signes qui apparaîssent dans les livres.
Faudra
t'il se demander pour quelle raison les boîtes à
courrier[courriel]
sont remplis de vendeurs de pilules ou de sexe ou de courriers
anonymes
vicieux et que tous essaient de planter des virus et des mouchards?
Aurait-il
été étonnant de constater que le nom des Indiens
Cree
du Québec était en fait un nom diminutif de «
Christinaux»
signifiant chrétien, avant même l'arrivée des «
découvreurs » ? Ou que la traversée de
la
Méditerranée par les navires des Croisés et de la
petite monarchie, prenait 40 jours? Ou que les
Iroquois Sénèques tiraient leurs noms de
Sénèque
l'ancien? Ou que la plupart des femmes du Québec furent à
une lointaine époque la raison et l'objet de la pratique des
harems
perses?
Ou
que l'histoire d'individus en guerre, se laissant berner par une
vulgaire
sculpture de bois sans même songer un instant qu'il y avait
anguille
sous roche, en furent si heureux qu'ils fêtèrent et burent
jusqu'à l'inconscience, n'avait aucun sens tant qu'on ne savait
pas que le présent en question était un gigantesque baril
de vin ?
On
ne trouve pas « n'importe quoi » sur Internet. On
trouve
tout ! Et pour la première fois de l'histoire, ces livres qui
étaient
interdits au petit peuple sont maintenant disponibles à tous.
Les
références de l'histoire et de la société,
les évènements, les gestes, les intentions, les
statistiques
et même les mensonges, sont maintenant accessibles à tous.
Pas
que quelques anomalies anodines ici et là, une orgie d'anomalies
qui ne cadrent pas avec la grande histoire imbécile qu'ils nous
ont concoctée. Un véritable parc thématique «
À-la-Hollywood »
Pas
de visage, pas de représentations, pas de preuves!
Alain Manesson
Mallet est un ingénieur français qui a vécu de 1630
à 1706. Soldat dans l'armée de Louis
XIV,
il a effectué un tour du monde duquel il a réalisé
plusieurs livres et cartes géographiques. Ses travaux sont
rigoureux
et au contraire de tous les géographes de l'époque, il a
produit des documents étonnants, qui allient anciennes ruines et
nouvelles cités, avec des références modernes
permettant
de s'y retrouver.
Cette
représentation de Mahomet, provient de Manesson Mallet et il
peut
être dit avec une grande confiance, que s'il l'a reproduite, il
s'était
assuré de la véracité de son modèle.
Nous
pouvons y voir un individu qui porte plusieurs couches de
vêtements,
en plus de deux capes manifestement épaisses, doublées
d'une
pelisse de fourrure dans la partie haute du corps, qui se replie pour
former
une large encolure. Son vêtement, cintré à la
taille
par un bout d'étoffe, lui permet de sortir ses mains pour
effectuer
une tâche par-dessus la ceinture sans que le vêtement ne
s'ouvre,
à la façon des Cosaques. Il possède sur la
tête
un turban turc par-dessus un second foulard épais et dans le
dos,
il est possible d'apercevoir une seconde fourrure jaune, qui
apparaît
faire office de capuchon. Ses pieds ne sont pas nus, mais
chaussés
de bottillon de peau ressemblant à des mocassins, dont le sommet
est constitué d'une épaisse bande d'étoffe.
A-t-on
l'impression de voir ici un homme, qui doit vivre dans un
désert
à des températures qui descendent rarement en bas de
30°
c à longueur d'année, avec des pointes qui frisent le 45?
La
plupart des représentations d'époques, comme celles des
croisades,
nous présentent des gens qui sont tous vêtus de multiples
épaisseurs d'étoffes lourdes, de capuchons, de gants en
plus
de la cotte de mailles et du casque, et parfois les chevaux
eux-mêmes
sont munis d'une grande couverture d'étoffe.
Et
pourquoi donc Mahomet ne serait-il pas un de ces menteurs de venteurs,
d'arracheurs de dents ?
Simplement
parce qu'il n'a rien caché. La représentation de Mahomet
en était une géographique, qui reproduisait comme tant
d'autres,
les limites du territoire Byzantin, tout comme le faisait le Colosse de
Babylone, l'ensemble de son corps démontrait la progression de
son
peuple à travers les époques.
Son
bâton de marche traverse la vallée de l'Outaouais et
pointe
sur Sana, ou il avait fait construire un temple qui fut détruit
par la suite et est appelé aujourd'hui « New England
Sana
acces ». Un peu plus bas, la cité de Mahomet,
appelé
aujourd'hui « Manomet ».
La
Mecque est une cité qui fut reconstruite à plusieurs
reprises.
La représentation de Mahomet nous apprend que l'originale semble
avoir été construite à la destruction de Babylone,
au début de l'époque perse, ou ils se sont
réinstallés
sur les rives de cette nouvelle mer située à
l'extrémité
de la plume de Mahomet. Ils se sont par la suite
développé
dans la haute plaine bordant les grands lacs situés au nord de
Winnipeg,
appelé aujourd'hui lac Winnipeg, lac Winnipegosis, lac Manitoba
et lac Cedar.
Au
moment de leur conquête, ils se retrouvent dans la vallée
de l'Outaouais encadrée des montagnes les Pyrénées
alors le nom donné aux montagnes des Laurentides, dans une
région
appelée aujourd'hui « Lamacaza », devenue
par
la suite le site d'une ancienne base de missile américaine,
à
proximité de la cité de Bethleheem, appelée
aujourd'hui
Ville-Marie, ville de la Nativité.
Ce
n'était pas un hasard que les Perses s'installent à cet
endroit.
N'oublions pas qu'ils étaient aguerris à la science des
«
dieux
»
et qu'ils savaient l'endroit ou le phénomène allait
frapper.
Suivant leur conquête du monde connu, le froid poursuivit sa
descente
et ils se réinstallèrent par la suite sous des cieux plus
cléments en Iowa, dont l'endroit est pointé par
l'épée
de Mahomet, le comté d'Allamakee (Allah Mecque),
jusqu'aux
cités appelée « Perse » et «Orient».
La
plus grosse fraude intellectuelle effectuée contre le petit
peuple
musulman, fut sûrement l'apparition de Lourdes dans les Hautes
Pyrénées françaises en 1858 et celle de
Fâtima
en 1917, dans le village portugais du même nom.
D'une
part, il faut savoir que Lourdes fut pour ceux qui allaient être
le coeur de la confession musulmane un endroit de grande
importance.
Selon
la légende, Lourdes tire son nom d’une histoire datant du
règne
de Charlemagne alors qu'en 778, un Sarrasin du nom de Mirat avait pris
la ville et s’y était retranché. Alors qu'il était
assiégé depuis de longs mois par l’armée de
l’empereur
Charlemagne, un aigle volant au-dessus du château et tenant dans
ses serres une énorme truite argentée, la fit soudain
tomber
au milieu des maures assiégés.
Mirat,
jeta la truite par-dessus les remparts. Charlemagne crut alors que les
sarrasins avaient assez de vivre et de vigueur pour soutenir encore
longtemps
le siège et décida de partir. Mais il lui fut fait une
proposition,
il pourrait garder la ville à condition de rendre les armes
à
la vierge. Mirat accepta et en posant les armes devant la vierge, il
décida
de prendre le nom de Louerda, qui signifie rose en Arabe, en l'honneur
de la vierge aux roses. C'est le nom arabe de louerda qui donnera plus
tard Lourdes.
Comme
il faut s'en douter, rien de tout ceci ne s'est passé dans la
Lourdes
des Hautes Pyrénées, mais bien à Notre Dame de
Lourdes
dans les Pyrénées, à une centaine de
kilomètres
de la ville de Winnipeg au Manitoba, le territoire des Perses. Quoi qui
se soit passé dans l'autre Lourdes ne fut qu'un spectacle
destiné
à induire en erreur et apporter la confusion.
Quant
à Fâtima, elle était l'une des filles du
Prophète
Mohamet, qui avait été promise au cousin de Mahomet, Ali,
considéré depuis comme le frère spirituel de
Mohamet.
Il demeura un personnage emblématique de l'histoire musulmane,
empreint
d'un charisme incontestable.
La
plupart des chaînes de transmission de la doctrine
ésotérique
soufie (sunnites) remontent à Ali qui est
considéré
tout comme par les chiites, comme détenteur des secrets divins
et
de la signification ésotérique de l'Islam, qui lui aurait
été transmis par Mahomet. Il fut de plus
considéré
comme le maître de la rhétorique arabe et est l'auteur de
nombreuses citations, sermons et réflexions qui ont
été
recueillis et écrits en un ouvrage appelé la Voie de
l'éloquence,
qui reste une référence dans la littérature arabe.
Les
deux premières prophéties de Fâtima furent
dévoilées,
mais la troisième ne le fut pas. C'est en 1981 alors que Jean
Paul
ll se rendait, en visite à Fulda il se faisait demander,
pourquoi
le Troisième Secret n’avait pas encore été
révélé,
celui-ci a répondu : «
À
cause de la
gravité
de son contenu, de façon à ne pas encourager la puissance
mondiale du communisme à perpétrer certains attentats,
mes
Prédécesseurs dans la Chaire de Pierre ont
préféré
diplomatiquement retarder son dévoilement. Mais qu'il soit
suffisant
à tous les chrétiens de savoir qu'il y a un message
où
il est dit que les océans inonderont des parties entières
de la Terre, que, par moments, des millions d'hommes périront...
»
Quelque
mois plus tard, c'est au cours d'une visite à Fâtima que
Jean-Paul
ll est poignardé par Mohamed Ali
Agca.
Au
vu de ses déclarations, il est encore possible de croire
à
la bonne volonté d'un Jean Paul II, qui se retrouvait
enrôlé
par le serment dans une organisation appartenant à l'Empire.
Mais
ce faisant, il participait néanmoins au crime d'avoir servi un
leurre
à la cause musulmane. Pas à tous, uniquement ceux qui ne
savent pas, le vulgaire.
Quand
la cause est diabolique, tous les efforts aussi bons soient-ils, le
seront
aussi!
«
Un mensonge n’a pas de sens, à moins que la vérité
ne représente un danger. » Alfred
Adler
Nulle
part ailleurs dans le Monde il n’y a une telle concentration
d’endroits,
de villes et de villages possédant des références
bibliques et religieuses
Nulle
part ailleurs dans le monde, il n’y a une telle quantité de
montagnes
au sommet équarri. Une telle évidence, qu’ils ont
dû
utiliser le prétexte de bases radar et de centres de ski pour
avoir
une éventuelle justification à ces surfaces planes,
existantes
sur les sommets québécois.
Nulle
part ailleurs dans le monde, il n’y a une telle quantité de
débris
au bas immédiat de ces hauts plateaux.
Nulle
part ailleurs dans le monde, il n’existe une telle quantité de
lacs
rectangulaires à la symétrie exemplaire sur des
élévations.
Nulle
part ailleurs dans le Monde, il n’existe une telle quantité de
montagnes
aussi inaccessibles. Absence de routes, propriété
privée,
propriété publique, justification militaire,
organisationnelle,
juridique, religieuse, empêchant l’accès où la
circulation
et encore bien moins les fouilles des curieux.
Bûcher
le Québec, faires des barrages hydro-électriques
où
vendre le sommet du mont Orford à des promoteurs la destinant
à
la construction de condos, ne sont que quelques-unes des façons
de noyer le poisson et de participer au plan.
Nous,
le petit peuple, ceux qui ne connaissons pas nos origines, sommes le
produit
et la victime d’une confrontation, une guerre qui dure depuis que le
monde
est monde.
Nous
le petit peuple, ne sommes pas dans l’estrade comme certains se
plaisent
à le dire, mais bien au centre de l’échiquier dont nous
sommes
les pièces, dans une partie entre des compétiteurs, dont
les motivations nous échappent.
Une
partie, dont nous ne sommes pas que les pièces et les outils,
mais
aussi l’enjeu.
Pendant
qu’on nous prêche la tolérance à la
différence
et qu’on nous oblige à marcher en rang au même pas, se
livre
au-dessus de nos têtes un combat sauvage et hypocrite pour nous
posséder
et nous exploiter, en semant la haine de la différence, le
phoenix
des Macédoniens.
Il
est possible d’exploiter un esclave un certain temps, mais il finira
inévitablement
par se rebeller. Pour être en mesure de l’exploiter tout le
temps,
il doit ignorer sa condition d’esclave. Éduqué à
cette
seule norme et sans référence autre, il croira que les
barreaux
de sa cage font parti des choses de la vie et le concept d’esclavage ne
prendra jamais naissance dans sa tête.
C’est
la raison des mensonges sur l’histoire. Ne pas avoir de
référence.
C’est le rôle de l’éducation moderne, de s’assurer que la
question de l’esclavage moderne demeure la normalité.
Doctrine
de la nullité des serments imposés aux rois
«
Aussi
les annales de l'univers rendent-elles témoignage que les rois
constitutionnels
ont toujours été, avec tous leurs confidents, tous leurs
courtisans, et bien souvent tous leurs ministres, dans un état
de
guerre habituelle contre les libertés de leur peuple. La
première
conspiration des rois d'Angleterre contre les lois commença en
1215,
avec l'octroi de la grande charte ; elle dura quatre cent
soixante-treize
ans, jusqu'à la révolution de 1688, qui plaça la
monarchie
sur d'autres fondements ; après elle, la lutte se renouvela par
des
moyens différents. C'est un principe de morale établi
parmi
les rois et leurs ministres, que les serments qu'ils ont
prêtés
à leurs peuples devant toujours supposer une contrainte, ne sont
d'aucune valeur ; et que toute concession pour limiter
l'autorité
royale est nulle de plein droit.»Histoire
des Français Jean Charles Léonard
Des
meurtriers de grand chemin, des voleurs à collet blanc qui
n’auront
aucune vergogne à trahir, dès que leurs bouches s’ouvrent
et à qui, il ne peut-être fait aucune confiance.
--
À qui il ne peut-être fait aucune confiance ! --
Confucius
disait à ce propos : « Ceux qui possèdent la
vertu
doivent parler, mais ceux qui parlent ne possède pas tous, la
vertue.»
Des
gens qui nous ont construit un système de valeur tordu,
basé
sur des richesses de métal qu'ils obtiennent à même
notre patrimoine et qui nous y éduquent depuis que le monde est
monde.
Des
gens qui se sont accaparés le savoir, dont ils ne nous
distillent
que ce qui leurs permets d’exploiter encore un peu plus le petit peuple.
Nous
ne sommes que des bons samaritains !
Tant
que nous serons en mesure de jauger de notre situation, nous sommes
susceptibles
de la comprendre et ceci fera de nous des individus dangereux. Quoi
qu’on
en dise ou qu’on en fasse, notre histoire demeurera vaseuse et visera
toujours
à nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
Il
y a peu de sujets qui comporte autant de peut-être, de probablement
et de possiblement que l'histoire.
Notre
société pourrait se comparer à la domination par
un
groupe de propriétaires terriens, constamment en
compétition
pour obtenir notre assentiment dans une direction supportant leurs
fins,
histoire de ne pas faire tourner le lait. Une partie d’échecs
à
12, 20 ou 30, dont nous ne sommes que les pions.
À
moins de redécouvrir une bibliothèque ancienne, il nous
sera
impossible de remettre le doigt sur notre histoire de peuple. Ces
dépôts
du savoir antique qui, soit par les hasards des temps, soit parce
qu’ils
furent sous la garde d’organisation sectaire durant toutes ces
époques,
existent encore aujourd’hui. Mais sont détruits, aussitôt
découvert.
Les
missionnaires furent les premiers à enterrer ou brûler
systématiquement
tout ce qui était « hérétique »,
incluant
le calendrier maya. Un fourre-tout qui servit beaucoup d’abus.
L’entrelacs
de cavernes creusé dans le Grand Canyon et des artefacts qu’ils
étaient réputés contenir, ne sont pas une
légende
et furent soigneusement documentés par un journaliste de
l’époque.
Ils sont aujourd'hui interdits d'accès !
Que
dire des témoignages d’autochtones sud-américains, qui
affirment
qu’après avoir rapporté aux autorités la
découverte
de l’un de ces repositoires des anciens, un archéologue du
«
Smithsonian Institute » fut délégué sur
place
et fut ensuite surpris dans une barque, en train de jeter par-dessus
bord
certaines des reliques .
Une
librairie de métal découverte dans une caverne du Panama
en Amérique Centrale datant de 5000 ans, dans laquelle
étaient
entassés des milliers de feuillets d’aluminium gravés de
caractères inconnus. Une découverte qui incidemment fit
disparaître
quelques personnes, en plus de précéder de peu l’invasion
du Panama et d’y enlever son leader officiel Noriega, l’accusant
d’être
à la tête d’un pays cartel infiltrant de la drogue aux
États-Unis.
Attaqué, enlevé, jugé et emprisonné par les
États-Unis, alors qu’elles étaient sous la
présidence
de Georges Bush père.
La
détente devient particulièrement sensible lorsqu’il est
question
de ce sujet.
Au
vu des méthodes de nettoyage de l’histoire utilisées par
l’Empire dans les anciens centres d’activités, il est tout
à
fait raisonnable de croire que de tels repositoires existent encore
aujourd’hui
et pourraient changer la donne en ce qui concerne la filiation
héréditaire.
En attendant de découvrir mieux, il est à tout le moins
possible
d’arriver à une paternité approximative par filiation
tribale
et une région probable de vie, où les nations ancestrales
ont
évolué.
Tout
ce qui s’échappe est perdu de l’histoire. Cette perte est
planifiée
avec une stratégie enjambant la portée de notre histoire
actuelle de 4 siècles, donc invisible à l’oeil du commun.
Ainsi, le vulgaire inculte est beaucoup plus facile à manipuler
et croira sans plus émettre aucun doute, qu'il est le plus
évolué,
le plus connaisseur et le plus civilisé de tout ce qui venait
avant.
Il
restera beaucoup à dire sur l'ancienne histoire. Il ne sera pas
possible de le faire sans mettre les bribes d'histoires que nous
possédons,
en relief avec les anciennes légendes et les anciens mythes. De
plus, les perpétuels changements de territoire, remettent en
question
toute la production des « spécialistes modernes »,
qui
ne font que patauger dans la même auge.
Il
fallait se rendre à l’évidence. Cette terre était
une terre différente, communiquant périodiquement
à
ses habitants, la fougue d’un seul animal sauvage et indomptable. Tant
de vigueur en fait, que leurs actions suggéraient
l’inutilité
de toute confrontation, qui allait même jusqu'à cesser les
conquêtes et éviter les campagnes durant ces moments.
Une
telle situation était intolérable aux yeux du dominant et
de l’assoiffé de possession
Divin
et maintenant
«
Sans doute, comme le dit David, les cieux racontent, et on entend leur
voix, quoiqu'il n'y ait en eux ni langage ni parole »Histoire
des institutions de Moïse et du peuple hébreu.
Suivant
l’ouverture des portes du Nouveau Monde, ils provoquèrent
artificiellement
des activités guerrières et des vagues d’immigrations,
beaucoup
plus importante que ce qui était réellement
nécessaire
pour assurer la postérité de l’histoire. Ça
pouvait
être aisément réalisé à peu de frais,
en débarquant pompeusement quelques filles du roi, comme la
France
fit lors de la colonisation du « Nouveau Monde ».
Les
raisons, en sont intimement liées avec la contamination
intellectuelle.
Oublions la couleur ou la langue, que la race des bovins soit Holstein
ou Jersaise, n’a en réalité que bien peu d’importance. Ce
qu’ils recherchent est une population, qui ne possède pas de ces
connaissances ou croyances concernant la réalité
historique
de la Terre Sainte, et qui est suffisamment obéissante pour
écouter,
lorsqu’ils ordonnent de cesser la curiosité.
Ils
sont à la recherche ultime d’une pureté intellectuelle.
qui
ne possédera plus de bribes de cette ancienne science les
rendants
capables de prédirent les venues des grandes catastrophes ou
encore
susceptible d’éveiller un lien historique, en raccommodant les
bouts
qui restent de l’histoire.
L’idéal
totalitaire serait de peupler la planète de cette classe
d’individus
et lorsque les périodes d’inductions surviennent initiant une
cohorte
de phénomènes sociaux étranges, traiter tout ce
qui
dépasse au cas par cas, prétextant toujours la cause de
premier
niveau et y remédiant avec un éventail de moyen qui
s’étale
entre le média impact, la répression policière ou
militaire, la démonisation par la religion officielle, la
ridiculisation
par la science officielle, allant ultimement jusqu’à bafouer les
droits individuels par la prison d’isolement, ou encore le traitement
de
faveur dans un asile psychiatrique pour cause d’illumination
schizophrénique.
Parallèlement,
il n’y avait qu’à trouver des méthodes qui permettraient
d’écrouer cette espèce d’induction, soit par
l’électricité,
puisqu’il était connu que les oscillations électriques
perturbaient
le phénomène, raison qui orienta le choix d’un courant
pulsé
lors de l’établissement des normes du monde électrique et
qui rendit tant d’habitants réfractaires à cet intrus au
moment du déploiement. Ajoutons-y les ondes radio, les
micro-ondes
et les antennes cellulaires.
Ajoutons-y
la chimie comme les fluors qui, tout comme les antidépresseurs,
le ritalin, les sucres et une peste de nouveaux produits mis en
marchés
au cours du dernier demi-siècle, inhibent des processus
cervicaux
responsables de cette induction, annihilant du coup toute la
créativité
fine de l’individu.
La
pression sociale, en cultivant des modes et des attentes et en
utilisant
judicieusement des pressions extérieures comme l’argent, le
travail,
la qualité de vie, l’appartenance. Il était possible
d’engendrer
un stress qui transpirait dans toute bonne famille, irritant les
relations
interpersonnelles et engageant l’esprit à un ruminage continuel
des pensées dans cet axe. Ceci n’a pas comme effet d’inhiber la
créativité, mais de la rediriger à un endroit
où,
bien qu’elle sera néfaste pour l’individu et ses proches, elle
ne
menacera pas le grand plan.
L’éducation
! L’éducation de société, puisqu’ils donnent de
l’importance
apparente à ce qu’ils souhaitent importants aux yeux du commun.
De l’abus de bonne foi. Ainsi, le citoyen moyen respectera l’agent de
police,
ou l’officier du gouvernement plus qu’il ne le ferait pour tout autre,
parce qu’il fait abstraction des qualités individuelles pour ne
conserver que la fonction apparente officielle, ou l’image
éduquée.
D’autre part, le statut de spécialiste dans une matière
ou
une autre, implique d'emblée un respect protocolaire de certains
sujets, qui ne peuvent être remis en question et dont la
connaissance
officielle repose sur une maigre brochette de spécialistes
offrant
un éventail de concept et théories étonnamment peu
variés. Quoi qu’il fasse ou qu’il pense, le spécialiste
devra
rester dans ses marques, au risque de se retrouver au banc des
ridicules
avec une crédibilité chancelante. Il sera de ce fait
incapable
de posséder autre chose qu’une vision courte de tout sujet
compris
dans son créneau, seul endroit autorisé pour exercer la
créativité.
Un
ingénieur en structure, aussi brillant soit il ne remettra pas
en
cause la théorie de la gravitation, même s’il travaille
avec
tous les jours. Le prix à payer pour avoir le droit d’exprimer
socialement
sa voix de spécialiste.
Mais
encore, l’éducation de société se divise en deux.
Ceux qui deviendront une pièce de l’usine et ceux qui
gouverneront
l’usine. La différence entre les deux est établie en
très
jeune âge. Si les aptitudes individuelles déterminent
l’importance
de la pièce de l’usine occupée, ce critère n’a
rien
à voir dans le choix de ceux qui la gouvernent. Le droit
d'arborer
l'uniforme blanc repose exclusivement sur l’appartenance et la
loyauté
à l’une des tribus ou à l’Empire directement à
travers
ses nobles, ces individus qui ont conservé leur filiation et qui
savent. Imagination ou pas, ils seront les seuls à
posséder
l’ensemble des pièces du puzzle, nécessaire à
comprendre
la grande image.
Ce
sont aussi des gens de cette même élite, qui occupent les
terres hautement favorables à l’établissement de ce
phénomène
et à l’accroissement de créativité. Tout village
ou
ville avait ainsi sa petite tribu d’élite, chargée de
surveiller
le bétail et qui rapportait tout écart au curé
responsable
du protocole dans ce genre d’évènements, jusqu’à
tout
récemment.
En
utilisant l’immigration, savamment dosée en fonction des
écarts
religieux, les enclaves résultantes polarisent les
communautés
qui sont conservées sous contrôle, prêtes à
exploser
si le besoin en venait à saborder le navire, avant de le
corriger
avec des manières plus brutales, supportant tous les
excès.
En
dépits de toutes les complexités qui sont
occasionnés
par une telle solution, ne visant qu’à diluer alors qu’il aurait
été si facile de tout nettoyer à coup
d’épées
et de chiens avant de repartir avec un nouvel Adam et Ève, la
solution
complexe fut retenue, car l’apparence de bonne foi et l’opinion
générale
qui en découle sont essentielles à notre enrôlement.
Adam
et Ève ne fonctionnaient simplement pas, ils l’avaient
déjà
essayé. Au contraire de la génération des
noétiques,
les adamites commirent le péché. C’est la raison
qu’attribuaient
les Anciens à la destruction de cette génération
par
le Déluge, issue de la main de Dieu.
Suivant
l’intervention divine, les adamites perdirent l’usage de l’induction
créative
alors appelé l’oeil de Dieu, l'Iris, oeil interne, lac interne,
troisième oeil.
Face
à cette étrange invention appelée fronde, qui
était
en mesure de foudroyer un opposant à distance, les géants
n’avaient plus à être confrontés à
proximité,
perdant ainsi l’avantage de leur force immense. À armes
égales,
tout ne restait plus qu’une question de fécondité,
signant
la fin éventuelle des géants à plus ou moins long
terme, incapable de rivaliser sous cet aspect.
«
Inspiré de Dieu, David tourna sa fronde et tua le géant.
»
«
Un brillant jeune patenteux, baveux et prétentieux, invente une
nouvelle arme efficace contre des envahisseurs menaçants »
– en serait la traduction moderne.
La
seule différence est la source de la créativité
qui,
dans la science moderne est prétendue déduite par un
mécanisme
de l’intelligence, alors que la source prétendue par les gens de
cette époque, n’appartenait pas au corps et était induite
de l’extérieur par un rayonnement
électromagnétique
variable et particulièrement bénéfique,
enveloppé
dans un concept philosophique appelé « Dieu
».
Ainsi, avoir une vision ou un songe, n’était finalement que
songer
à une bonne idée. Ils en traitaient une cause plus
profonde
que notre simple analyse de la relation entre la quantité de
neurones
et l’intelligence, instruisant que le résultat créatif
était
limité, tant qu’il était livré à
lui-même
de façon inductive.
Il
fallait être intelligent pour reproduire un radeau plus efficace,
mais touché de la grâce divine pour inventer le canot
d’écorce.
Un élan de créativité qui ne se produisait
qu’à
des moments précis, en accord avec des variations de ce
rayonnement
dont la cause quel qu’elle soit, était appelé Dieu.
Être
à la bonne place, au bon moment, prenait une tout autre
dimension.
Admettons
que dans un rôle de roi inspiré à demeurer à
son poste, nous nous efforcerons de conserver sous notre trône,
toutes
les machines à intelligence du royaume, quelle que soit leur
forme.
Les
Québécois d’aujourd’hui, ceux qui descendent des premiers
colons, ne descendent pas de colons venus pour coloniser, mais des
autochtones
blancs locaux, ayant accepté les termes et lois du nouvel
empire,
le respect des ordonnances royales, préalable sine qua non
à
traiter avec le nouvel arrivant.
Si
la Terre Sainte avait disparu de la culture populaire
européenne,
la saveur amère laissée par les Anglos n’était
manifestement
pas sortie de la culture des Québécois. Les familles
n’acceptaient
pas toutes ce nouvel arrivant, qui était parti un siècle
plus tôt en emportant avec lui un commerce essentiel, dont
faisaient
parti le vin, la laine, les chevaux et les ânes. Les 800 filles
du
Roi n’étaient que ça, un pompeux bonus de signature pour
jeunes mâles affamés. Des schismes familliaux survenus
à
la colonisation, démontraient que les discussions sur ce sujet
semblaient
passablement animées.
Quoi
de mieux qu’une conquête, sinon un conquis qui s’ignore!
Ainsi
est la méthode. Dans le dernier demi-siècle, sous
prétexte
d’une mondialisation et grâce aux politiques du libre
échange,
l’attrait de profits et de prix mirobolants «à-la-chinoise
», ils se sont tous donnés la
main
pour sortir les usines du Québec. En dépit des
coûts
du transport, ils sont maintenant en mesure de réintroduire les
mêmes produits à moindres coûts sur le marché
québécois, finissant de détruire la production
locale.
Le Jour
arrive où des évènements de tout ordre,
excédant
significativement
les normes établies par les spécialistes de tout acabit,
bousculent
les sociétés en place, justifiant une raréfaction
des produits et une explosion des prix, utilisant au passage les
nécessités
pour enclaver le petit peuple un peu plus haut à chaque fois.
Une
boîte à orgies pour spéculateurs. N’est-ce pas ce
qui
est en train de se produire ?
Divin
- Humain
Suivant
les croisades du tournant du dernier millénaire, les chevaliers
représentant de l’empire s’assirent autour de la même
table,
que ceux assurant le protectorat de Jerusalem et des affaires divines.
Ces
deux groupes d’hommes représentaient des valeurs
entièrement
opposées dans le spectre des idées.
Les
uns exigaient un système « tous pour un » et
les autres « un pour tous ». Les uns
débattaient
pour la possession matérielle et les autres, pour assurer
l’esprit
divin. Les uns souhaitaient des seigneurs hommes, les autres
l’interdisaient.
Les uns souhaitaient l’occultation des choses du divin, les autres
voyaient
en face d’eux des représentants du malin. Les uns souhaitaient
exploiter
l’homme, les autres le développer. Les uns souhaitaient piller
le
sous-sol de la planète, les autres le sanctifier. Les uns
voulaient
créer de grandes cités, les autres respecter la nature.
Lorsque
vient le temps de déterminer si le pillage du sous-sol de tels
lieux
est important aux yeux de l’Empire, il faudra se rappeler ce qui suit :
En juin 1953, trois chasseurs américains partent de
Hollidaysburg
en Pennsylvanie, pour se rendre chasser l’ours en Gaspésie. Les
trois chasseurs arrivent à Gaspé, obtiennent leurs permis
de chasse, achètent des provisions et partent pour la
forêt. Ils
sont retrouvés morts assassinés par balle et
décapités,
le 15 juillet de la même année. Les morceaux de corps sont
répartis sur plus de quatre kilomètres.
Il
s’ensuivit de ces morts, une des affaires judiciaires les plus
célèbres
au Canada. Par ses répercussions dans les médias, son
impact
politique et ses conséquences sur le système de justice,
et notamment sa contribution essentielle dans l'abolition de la peine
de
mort au Canada, elle reste une leçon vivante sur les abus
de pouvoir et la fragilité des systèmes judiciaires.
Quelques
jours après la découverte des meurtres, tous les yeux
sont
centrés sur cet évènement et la pression devient
intenable.
D’importantes associations étauniennes comme la «
Pennsylvania
Federation of Sportsmen’s Clubs » réclament haut et
fort
que la Gendarmerie royale du Canada s’occupe du cas.
Le
représentant de la Pennsylvanie au Congrès de cette
époque,
réussit à enrôler le State Department pour harceler
le gouvernement Duplessis, alors premier ministre du Québec.
Lui,
son solliciteur général Antoine Rivard et son adjoint
Charles-Édouard
Cantin s’occupent personnellement de l’affaire qui risque,
prétendent-ils,
d’avoir un impact négatif sur le tourisme. Le solliciteur
général
talonne de son côté la police pour avoir des
résultats
rapides.
Wilbert
Coffin un
pauvre type, prospecteur de son métier, ayant soupé et bu
quelques verres en compagnie des trois hommes ainsi que deux autres
étrangers,
est alors arrêté et traduit pour meurtre. C'est le
départ
d'une véritable histoire d’horreur. Un procès sans
justice,
basé sur une orgie d’irrégularités.
Une
histoire si étonnante qu’un journaliste du Québec ayant
enquêté
l’affaire, Monsieur Jacques Hébert, n’hésite pas à
dire que le solliciteur général de l’époque, les
procureurs
qu’il a sélectionnés et les policiers responsables de
l’enquête,
seront tous complice de collusions dans la pendaison de Coffin.
Les
textes de Monsieur Hébert font tellement de vagues, qu’un
rapport
gouvernemental appelé le « Rapport Brossard
»
rabroue Jacques Hébert en tant que membre de la «
mafia
intellectuelle » et réclame des procédures
contre
lui. En 1965 Jacques Hébert est arrêté et est
condamné
à 30 jours de prison et 3000 $ d’amende.
2
mois après les meurtres, suivant l’arrestation de Coffin, le
consul
américain envoie une lettre au « State Department of
Pennsylvania
» disant que l’enquête est en bonne voie.
Des
petits avocats juniors, qui soudoient le sergent de police responsable
de l’affaire pour devenir avocats de la défense. Une
enquête
menée par des capitaines de police venant directement de la
capitale.
Des rétractations de témoins concernant les preuves
clés
dans l’inculpation. Une note laissée par un des morts prouvant
hors
de tout doute raisonnable que Coffin ne pouvait pas être
impliqué.
Une interrogation sévère, sans même que le
prévenu
puisse être en mesure de consulter un avocat. Des jurés
qui
rendent un verdict de non-culpabilité qui est refusé par
le juge. Des preuves et des témoignages cachés par les
avocats
de la défense, des fausses preuves présentées aux
jurés par la police ou des preuves admises par ouï-dire.
Des
policiers qui allèrent même jusqu’à familiariser
avec
les jurés en allant au cinoche avec eux durant le cours du
procès.
Des preuves occultées par la couronne, prouvant que Coffin ne
pouvait
pas avoir tué ces hommes. Des promesses de réduction de
peine
par la police à des prisonniers, s’ils faisaient un faux
témoignage
contre Coffin. Des rétractations de faux témoignages. Des
inculpations de faux témoignages pour les avocats de la
défense.
Des procureurs et des policiers participant à des beuveries
durant
le procès. Des interventions politiques pour faire
accélérer
le procès. Des nominations politiques à n’en plus finir
pour
ceux qui ont «
collaboré ». Des
refus des
instances
légales comme la cour supérieure du « Kanada
» de reviser le procès. Mort suspecte de témoins
supportant
la version de Coffin et possédant des informations capitales.
Disparition
de documents clés ou de preuves permettant de le disculper.
Passage
sous silence d’aveux prétendus risibles du crime, permettant de
disculper l’accusé et l'internement de celui qui s’est
déclaré
coupable. Menace par un des avocats à un policier en
désaccord
avec le verdict. J'en oublie et j'en passe.
Le
28 août 1953, dans un procès
préliminaire,
Coffin est tenu criminellement responsable des meurtres. Le 12 juillet
1954 débute le procès de Coffin devant le juge
Gérard
Lacroix de la Cour du Banc de la Reine (juridiction criminelle)
à
Percé. Le verdict de culpabilité est rendu après
une
demi-heure de délibérations. Il est condamné
à
être pendu le 26 novembre de la même année et il y
aura
en tout sept sursis et est finalement pendu en février 1956.
Voici
le bout qui n’a jamais été mis en relief dans cette
histoire.
Bill
Coffin avait frappé le gros lot dans ses prospections. Il avait
en effet déposé des droits de prospections sur des lots
extrêmement
riches du secteur gaspésien et en cours de procès, il
demanda
à son père de « protéger la montagne
avec
sa vie »,
car elle était d'une très grande richesse
en minerai. Peu avant les meurtres, Coffin avait fait analyser un
échantillon
de sa terre et il avait manifesté à plusieurs, incluant
à
un de ses amis, mystérieusement mort par la suite,
l’importance
de ce gisement qu’il avait découvert.
Il
part ensuite pour Val D’or en Abitibi Témiscamingue, pour y
rencontrer
des individus nommés Hastie et Kyle courtiers en valeurs
minières,
qui acceptèrent de venir à Gaspé avec Coffin pour
inspecter ses droits de prospections. Par la suite, tout
disparaît
et il n’est plus possible de retrouver ses demandes de droits de
prospection.
Un an après sa mort, Noranda achète à gros
prix des concessions dans les alentours de celles où Coffin a
manifestement
trouvé le gros lot.
En
réalité, Coffin venait de frapper un coup au coeur de
l’empire,
en déposant des droits de prospections sur une terre au sous-sol
très riche, mais un territoire protégé par
l’Empire,
l’ancienne cité de « Dothan ».
Noranda,
Mulroney l’ancien premier Ministre du Kanada et « petit gars
du
peuple » comme il prenait plaisir à s'appeler
lui-même.
En
fait, les deux voulaient la même chose. Ils souhaitaient que tous
respectent Dieu, mais pour des raisons bien différentes.
«
Mais qui donc est le Dieu dont vous parlez et de quel droit
considérez-vous
votre vérité plus vraie que la nôtre ? »
dirent les empereurs aux chevaliers de la Terre Sainte.
La
discussion qui s’ensuivit, tourna principalement autour des
évènements
prophétiques, devant survenir à la fin du
millénaire
et concernant la venue du fils de l’homme et de celle de Dieu. Ces
évènements
prophétiques concernent le géant de Babylone ou celui de
l’Épître de Daniel qui est un géant indestructible
fait de diverses parties de métal et d’un peu d’argile dans le
talon.
À la fin des temps, avant le passage dans la nouvelle
ère,
une intervention de Dieu brise l’argile, entraînant au sol le
géant
qui se brise en morceaux.
Babylone
est l’Amérique et cette prophétie de l’époque
babylonienne
concerne une symbolique à deux niveaux. D'une part, elle
reflète
dans le temps, le sort auquel est condamné le continent
américain
et les sociétés qui l’occupent. Le géant de
métal
est une société humaine possédant une
réputation
d’invincibilité et de puissance qui fut architecturée
autour
de Babylone, ou de l’Atlantide, ou de l’Amérique, ou de la terre
des adamites. D'autre part, elle concerne directement l’organisation de
nos sociétés dans lesquels ce modèle philosophique
de géant fut copié, laissant un peu partout des « géants
» possédant des maillons d’argile, prêts à
s’effriter
sur commande.
Et
la commande est déjà lancée. En douteriez-vous ?
La
Table Ronde
"Table
ronde (chevaliers de la table ronde), imaginée pour
éviter
les disputes sur la préséance, et dont les romans ont
attribué
l'invention à un roi fabuleux d'Angleterre nommé Artus."
Voltaire
Les
sacrifices, qui nous apparaissent une pratique si barbare, et qui
étaient
si chère aux peuples anciens pouvaient s'apparenter à une
joute visant à dissiper l'ennemi. Avec les Perses ou les
Macédoniens
et les autres par la suite, le sacrifice demeurait, mais faisait
dorénavant
parti de guerres planifiées.
Ainsi,
le peuple n'était plus éveillé, par ces
évènements
si marquants dans une éventuelle petite histoire. Les
motivations
de la guerre au contraire, pouvaient paraître légitimes au
regard de l'histoire des vainqueurs, et ne retenaient pas
d'évènements
aussi caractéristiques que ces apparentes boucheries, tout en
parvenant
au même résultat. Ce furent les propos du texte de Platon
« Allégorie de la caverne », qui n'avait pas
à voir avec de quelconques jeux d'ombres dans une caverne, mais
concernait cette concertation des rois de l'époque, visant
à
effacer ce qui était important pour le peuple, pour le
représenter
d'une autre façon en assurant l'occultation des causes
réelles.
C'est
quelque part dans cette époque qui enjambe près d'un
millénaire,
que cette stratégie fut mise au point et faisait
disparaître
les symboles sacrés, si évocateurs des secrets qu'elles
renfermaient,
pour être remplacés par des statues d'individus investis
de
la puissance royale, devant lesquels le peuple devait se prosterner.
Les
fondations de villes, une pratique manifestement importante aux yeux
des
anciens et visant à inscrire les calendres du temps et symboles
sacrés dans la cité elle-même, ne disparurent pas,
mais furent par la suite réalisés à l'insu du
peuple
(voir le texte « Fondations de villes »).
Tout
comme aujourd'hui, les normes d'ingénieries visant les
structures
ne tiennent pas compte d'évènements climatiques ou
géologiques
exceptionnels parce sciemment tenus à l'écart des
quelques
siècles d'expérience humaine, c'est aussi à cette
même époque que furent insérées des lois et
des normes, qui ne tenaient plus compte des grands changements de la
planète
survenant à intervalles réguliers. Des pratiques qui
visaient
spécifiquement la fragilisation de la société des
hommes, aux moments clés.
Cette
oligarchie dont nous trouvons les premières traces sous
Cambysse,
500 ans avant notre ère, n'a jamais cessé et s'est
poursuivie
avec l'empire romain et cette fabuleuse histoire des louves à
l'origine
de la cité de Rome. L'acharnement de l'empire romain sur la
véritable
histoire et le calendrier fut sans égal, allant jusqu'à
se
repousser dans le temps, ainsi que l'histoire qui venait avant eux,
pour
s'assurer qu'il n'y aurait pas de liens entre eux et la classe noble
qui
a poursuivi leur tâche. Comme l'homme tendait à mettre au
rancart ces grands changements planétaires, c'est pour s'assurer
de la réalisation de leurs plans appelés alors «
tétrarchie
», que l'empereur Dioclétien laissa un
grand
régulateur
sous la forme d'un empire religieux appelé : «
église
catholique romaine ».
La
tétrarchie était la réalisation de cette entente
des
rois de l'époque pour la dominance de la Terre Sainte. Ainsi,
chaque
nouvel âge voyait venir un diabolique conquérant qui
repoussait
le précédant dans la guerre, tout en rasant au sol les
architectures
trop évocatrices du règne précédent, sans
oublier
d'élaguer ceux qui en savaient trop. L'ancienne élite
disparaissait
sans perdre la face et la nouvelle pouvait prendre la relève et
imposer un joug un peu plus sévère, auquel le peuple
finirait
par se conformer. Ainsi tour à tour, l'ensemble des participants
à cette tétrarchie prenait le relais avec un peuple sans
mémoire à exploiter, en plus de pouvoir profiter du bijou
pendant une époque.
Le
maintien du « plan » et du changement d'ère,
était conservé sous la juridiction de ce grand
régulateur
du leg Romain, l'Église catholique romaine, dont ils furent au
centre
de toutes les étapes depuis. Leur rôle est donc clé
à toutes les étapes du déroulement de leur plan
depuis
cette époque. Ils n'ont jamais disparu ! Le Vatican
d'aujourd'hui,
que ce soit en termes d'organisation ou d'individus, est un descendant
direct des conquérants romains d'alors et chargé de leurs
exécutions testamentaire.
Avec
cette "Arche d'Alliance" ils furent au centre des croisades et
principaux
orchestrateurs de la disparition de la Terre Sainte et de Jerusalem et
des actions, manipulations et mutations de la Tetrarchie qui devint
après
les dernières croisades, la Table Ronde.
Sur
ces deux représentations de la Table Ronde, prise à deux
époques différentes, il est possible de constater
l'évolution
simplement par la quantité de participants ainsi que leurs
tenues.
Nous passons de la période chevaleresque, dans laquelle les
chefs
entraînaient leurs peuples et étaient les premiers
à
monter aux barricades, avec la période des rois
génétiques
avec caps et couronnes. Au centre de la table, le Graal porté
par
deux dragons, symbolisant l'objet prétendu de cette tâche
dite « divinement inspirée ».
Dans
la première représentation, le justaucorps de l'officier
central, donne l'impression d'une sphère flottante au-dessus du
Graal. Dans la seconde représentation, une sphère de
couleur
arc-en-ciel, enveloppe le Graal que les dragons ne portent plus, mais
qu'ils
encadrent. L'impression résultante de la première
représentation,
déchirée entre le justaucorps et la sphère,
étaient
et sont encore, au coeur des stratagèmes de déformation
des
symboles utilisés par l'empire et visant à
éconduire
le vulgaire, qui lui n'y aura vu que la protection accordée
à
la Terre Sainte et un justaucorps, alors que cette sphère
représente
le plan de domination de l'empire. L'évolution résultante
implique que l'occultation du Graal était réalisée
et que les efforts étaient dirigés sur la sphère,
la planète.
Il
serait difficile d'énumérer ceux qui ont fait partie et
qui
ont ensuite quittés la table ronde. Il faut savoir que cette
stratégie
de peuple, tirée d'écrits provenant de Moïse, par la
suite de Jesus et par la suite de Merlin, fut déformée et
tordue aux fins de certains et ne plaisait pas à tous.
"Il
reste encore à vous découvrir une des causes de
l'obscurité
de ces anciennes histoires, c'est que, comme les rois d'Orient
prenaient
plusieurs noms, ou, si vous voulez, plusieurs titres qui ensuite leur
tenaient
lieu de nom propre, et que les peuples les traduisaient les
prononçaient
différemment, selon les divers idiomes de chaque langue ; des
histoires
si anciennes, dont il reste si peu de bons mémoires, ont
dû
être par là fort obscurcies. La confusion des noms en aura
sans doute beaucoup mis dans les choses mêmes et dans les
personnes
; et de là vient la peine qu'on a de situer dans l'histoire
grecque
les rois qui ont eu le nom d'Assuérus, autant inconnu aux Grecs
que connu aux Orientaux.
Qui
croirait en effet que Cyaxare fût le même nom
qu'Assuérus,
composé du mot KY, c'est-à-dire seigneur, et du mot
Axare,
qui revient manifestement à Axuérus ou Assué rus?
Trois ou quatre princes ont porté ce nom, quoiqu'ils en eussent
encore d'autres. Si on n'était averti que Nabuchodonosor,
Nabucodrosor,
et Nabocolassar, ne sont que le même nom ou que le nom du
même
homme, on aurait peine à le croire...
...
Sargon est Sennachérib ; Ozias est Azarias ;
Sédécias
est Mathanias ; Joachas s'appelait aussi Sellum ; Asaraddon, qu'on
prononce
indifféremment Esar-Haddon ou Asorhaddan, est nommé
Asénaphar
par les Cuthéens ; et, par une bizarrerie dont on ne sait point
l'origine, Sardanapale se trouve nommé par les Grecs
Tonos-Goncoléros.
On pourrait vous faire une grande liste des Orientaux dont chacun a eu
dans les histoires plusieurs noms différents : mais il suffit
d'être
instruit en général de cette coutume. Elle n'est pas
inconnue
aux Latins, parmi lesquels les titres et les adoptions ont
multiplié
les noms en tant de sortes. Ainsi, le titre d'Auguste et celui
d'Africain
sont devenus les noms propres de César Octavien et des Scipion ;
ainsi, les Néron ont été Césars. La chose
n'est
pas douteuse, et une plus longue discussion d'un fait si constant vous
est inutile. »
Discours
sur l'histoire universelle
En
dépit de mes recherches et de ma bonne volonté, il n'est
pas possible de discriminer raisonnablement l'un ou l'autre des pays de
l'Ouest et du Moyen-orient à l'exception des Irlandais et des
Gaulois.
Il
est plus difficile de trouver sur terre une nation plus têtue que
les Irlandais
Lorsqu'ils
furent expulsés de leurs territoires, situé dans la ville
de Dublin à Thunder Bay en Ontario, les Irlandais se sont
retrouvés
sur ce caillou de l'Atlantique, appelé aujourd'hui l'Irlande.
Possédant
une organisation de société qui ne permet pas la
corruption
par l'Empire, ils n'ont jamais accepté une société
à deux vitesses, impliquant que les secrets de l'ancienne
histoire
seraient limités à une élite et ils n'ont jamais
oublié
leur très ancienne histoire .
Ceci
leur a valu un harcèlement incessant de l'Empire par les romains
et ensuite les anglais. La liste des crimes commis contre ce peuple
serait
interminable.
À
la lecture de leur histoire, on ne peut qu'avoir un grand respect pour
ces têtes de cochons qui n'ont jamais lâché.
Irlandais,
je me courbe très bas devant votre ténacité sans
pareil
et les souffrances que ceci a values à votre peuple !
La
nation gauloise s'est défendue jusqu'à son dernier
souffle
de ce tueur d'histoires. Cette nation fière, qui par leur savoir
n'avait rien à envier aux mages, était située dans
la cité de Seneca, aujourd'hui Seneca - Haldiman au nord du lac
Érié en Ontario.
Ces
guerriers redoutables n'avaient de cesse de harceler et de combattre
farouchement
les Romains, qu'ils détestaient à en mourir, se
proclamant
libres et égalitaires.
"...L'argent
faisait tout à Rome. Jugurtha, roi de Numidie, souillé du
meurtre de ses frères que le peuple romain protégeait, se
défendit plus longtemps par ses largesses que par ses armes ; et
Marius, qui acheva de le vaincre, ne put parvenir au commandement qu'en
animant le peuple contre la noblesse. » Discours
sur l'histoire universelle
Ils
furent dans cette guerre de tranchées les derniers combattants
de
l'empire romain, si bien qu'à leur disparition, la Gaule
narbonnaise
reçut le nom de province romaine, l'empire romain occupa peu
à
peu toutes les terres et toutes les mers du monde connu.
Lors
de la prétendue découverte du Nouveau Monde, leurs
descendants
existaient encore sur les terres de leurs ancêtres et
étaient
appelés par l'Ouest, les Indiens Sénèques de la
nation
iroquoise. Ils ne démentaient pas leurs origines.
Voici
un extrait de la gazette française de Saint Louis de 1856
En
1784 eut lieu au fort de Skuyler un
congrès
général des peuplades indiennes, auquel
assistèrent
Jaquette Rouge et la Fayette. Jaquette
Rouge entraîna la plupart de ses compatriotes dans le parti des
États-Unis.
Son discours produisit un effet électrique dans toute
l'assemblée;
les guerriers trépignaient, grinçaient des dents,
brandissaient
leurs haches d'armes ou se levaient convulsivement à chaque
phrase
qui tombait des lèvres de l'orateur. Quand il eut fini sa
harangue,
tous les Iroquois jurèrent haine aux Anglais et amitié
aux Étatsuniens. Ce fut
dans cette mémorable séance que
Jaquette Rouge prononça ce mot célèbre : Il ne
faut pas enterrer le tomahawk ! voulant dire qu'il fallait, pour
l'honneur
de son pays, que les Iroquois prissent part à cette grande
guerre,
où ils jouèrent un rôle si brillant et si terrible.
Quarante et un ans plus tard, la Fayette
revint à Buffalo. Tous les personnages notables du pays vinrent
lui rendre hommage. Dans le nombre se trouvait Jaquette Rouge. Le
général
français, qui n'avait pas oublié la magnifique
séance
de 1784, demanda ce qu'était devenu le jeune Iroquois dont il
avait
admiré l'éloquence. - « II est devant vous,
» - dit Jaquette Rouge en sortant des rangs et tendant la main au
héros des deux mondes. Celui-ci observa que le temps les avait
bien
changés l'un et l'autre depuis leur première entrevue. -
« Il m'a plus maltraité que vous, répondit le
sachem
; il vous a laissé tous vos cheveux, mais moi, - regardez.
»
- Et ôtant son couvre-chef indien, il fit voir au
général
sa tête entièrement chauve.
Washington
demanda un jour à Jaquette Rouge pourquoi les Iroquois
n'adoptaient
pas les usages européens. - « Ne sommes-nous pas tous
frères
? » ajouta-t-il. - « Oui, répondit le
sachem,
les Indiens sont frères des Anglais comme les loups sont
frères
des chiens ; mais le chien se fait au joug et à la chaîne
; le loup préfère sa liberté. »
Les
missionnaires protestants firent vainement les plus grands efforts pour
convertir Jaquette Rouge ; il persista jusqu'à la mort dans la
religion
de ses pères. La première fois que les missionnaires
vinrent
prêcher dans sa tribu, il les écouta jusqu'au bout avec la
plus profonde attention ; puis il prit la parole à son tour, et
voici ce qu'il leur dit :
«
Frères, écoutez-moi. Il y eut un temps où nos
pères
possédaient seuls cette grande île. Le. Grand Esprit
l’avait
faite pour l'usage des Indiens. Leur empire s'étendait du soleil
levant au soleil couchant. Le Grand Esprit avait créé le
bison et le daim pour les nourrir ; il avait créé l'ours
et le castor pour les vêtir ; il avait répandu ces animaux
par tout le pays et nous avait appris à les chasser ; il avait
fait
tout cela pour ses enfants rouges, parce qu'il les aimait. Mais un
mauvais
jour se leva sur nous ; vos ancêtres traversèrent les
grandes
eaux et débarquèrent dans notre île ; ils
étaient
en petit nombre, ils ne trouvèrent ici que des amis ; ils nous
dirent
qu'ils avaient quitté leur pays pour échapper aux
méchants
et pour pratiquer librement leur religion ; ils nous demandèrent
un petit coin de terre. Nous eûmes pitié d'eux, nous leur
accordâmes ce qu'ils nous demandaient, et ils s'établirent
parmi nous. Nous leur donnâmes du blé et de la viande :
ils
nous donnèrent en échange du poison (de l'eau-de-vie).
Ils
écrivirent à leurs compatriotes d'outre-mer ; d'autres
hommes
blancs abordèrent dans notre île. Nous ne les
repoussâmes
pas : nous ne leur supposions pas de malice ; ils nous appelaient leurs
frères ! nous les crûmes et leur cédâmes une
autre portion de terrain. Enfin, le nombre des hommes blancs augmentant
toujours, il leur fallut notre île tout entière. Nos yeux
s'ouvrirent alors, nos coeurs
devinrent
inquiets. Des guerres éclatèrent ; on paya des Indiens
pour
combattre les Indiens, et nous nous entre-déchirâmes pour
vous.
Frères,
autrefois notre empire était très grand et le vôtre
très-petit ; vous êtes devenus une puissante nation, et
nous
avons à peine de la place sur la terre pour y étendre nos
couvertures ; vous vous êtes emparés de notre pays, vous
nous
avez imposé vos lois. Mais cela ne vous suffit pas ; vous voulez
nous imposer votre religion.
Frères,
vous nous dites qu'il n'y 'a qu'une bonne manière d'adorer Dieu.
S'il en est ainsi, pourquoi n'êtes-vous pas d'accord entre vous
sur
ce culte si simple ?
Frères,
nous ne cherchons pas à détruire votre religion ni
à
vous l'ôter ; nous voulons seulement garder la nôtre.
Frères,
vous nous avez dit que les hommes blancs ont tué le fils du
Grand
Esprit. Nous ne sommes pour rien dans ce crime ; il ne regarde que vous
; c'est à vous d'en faire pénitence. Si le fils du Grand
Esprit était venu parmi nous, loin de le tuer, nous l'eussions
bien
traité.
Frères,
vous nous avez dit que vous avez prêché à des
blancs
de ce pays. Ces blancs sont nos voisins ; nous les connaissons. Nous
attendrons
de voir quel effet vos leçons produiront sur eux. Si nous
trouvons
qu'elles leur ont fait du bien, qu'elles les ont rendus honnêtes
et moins enclins à tromper les Indiens, nous reviendrons sur
votre
proposition.
Frères,
vous venez d'entendre notre réponse à votre discours ;
c'est
tout ce que nous avons à vous dire pour le moment. Comme nous
allons
vous quitter, nous vous donnerons la main en souhaitant que le Grand
Esprit
vous accompagne dans votre voyage et vous ramène sains et saufs
parmi vos amis. »
Alors,
les chefs s'approchèrent des missionnaires pour leur serrer la
main
; mais ceux-ci refusèrent ce témoignage de sympathie et
déclarèrent
qu'il ne pouvait y avoir rien de commun entre les enfants de Dieu et
les
enfants du diable. Cette réponse, que l'on traduisit aux chefs
indiens,
les fit sourire, et ils reprirent tranquillement le chemin de leurs
loges.
Jaquette
Rouge mourut vers 1824, au sein de sa tribu,
vénéré
et admiré de toute l'Amérique. Sa vie avait
été
celle d'un héros, sa mort fut celle d'un sage.
Compte-t-on
en Europe beaucoup d'orateurs dont le talent ait cette puissance et
le coeur
cette vertu ?
Histoire
de permettre à tous de déterminer sa descendance, voici
une
des cartes d'origine, qui apparaît comme déterminante sur
les régions accordées aux différentes tribus, au
moment
du partage du vieux continent.
·Descendant
de Gomer France, Espagne, Allemagne
·Descendant
de Javan Péloponèse, Turquie
du Sud, Angleterre, Andalousie
·Descendant
de Hittim Thrace Macédoine, Bulgarie,
Roumanie, Italie, Serbie, Croatie,
Slovénie, Montenégro, Albanie, Hongrie,Autriche,
RepubliqueTchèque
·Descendant
de TartareMongolie, Chine
·Descendant
de MadaïGrèce
·Descendant
de Tubal Kazakhstan, Finlande, Suède,
Norvège, Estonie,
Pologne, Bielorussie,Lettonie, Lituanie
·Descendant
de Canaan Palestine
·Descendant
de Arphadax Syrie
·Descendant
de ShebaOman,
·Descendant
de ShebaYemen
·Descendant
de HavilahIrak, Koweit Jordanie
·Descendant
de ScythiaMer Caspierre à l'Oblast de
Volvograd
·Descendant
deBetherArménie,
Azerbaïdjan
·Descendant
de Mesrech Georgie, ,Moscou
·Descendant
de Magog Turmékistan, Uzbekistan,
Kazakhstan Uzbekistan,
Altay(Mongolie)
·Descendant
de Ashkenazes Mer Noire (Mer des Ashkenazes)
Turquie du Nord,
Istanbul,
·Descendant
de Shem Pakistan, Inde, Tibet, Myanmar ou
Birmanie
·Descendant
de Sabatéen Qatar, Ash sharqiyah
·Descendant
de Cush, AshurIran
·Descendant
de Anamim Niger
·Descendant
de Phut Sahara occidental, Maroc,
Mauritanie,
Algérie, Tunisie,
Libye
·Descendant
de Ham Égypte
·Descendant
de Dan Péninsule arabique,
Émirats
Arabes Unis
·Descendant
de CushÉtriopie
Il
est évident que les choses ont changé depuis, de nombreux
pays furent conquis et les limites territoriales ne sont plus les
mêmes.
Il sera néanmoins possible de se faire une idée sur sa
descendance,
en plus d'être à même de déterminer les
victimes
des guerres depuis le dernier demi-millénaire et même
anticiper
le passage des guerres à venir.
La
construction de la société géante et sa
destruction
ne relevait pas du hasard et n’était pas des choix humains. Sa
construction
démarrait à une époque ou l’homme était le
plus vulnérable à cet effet d’entraînement et sa
destruction
se produisait au moment ou il perdait entièrement cette
vulnérabilité,
laissant une multitude de petites sociétés, en lieu de la
grande. La conséquence n’est pas de laisser une
société
brisée. Ceci est une apparence prêtée par l’endroit
d’où la scène est observée.
Suivant
une intervention divine modifiant radicalement la nature, la
société
des hommes se métamorphose en un format acceptable aux normes
divines,
aussi dites « les lois naturelles » qui conduisent
le
développement de la vie. Les textes autour
de ce sujet, n’autorisent aucun doute sur la réalisation des
évènements.
Ils
rapprochent le scénario de développement des individus ou
de la société, à celui d’une chenille se
transformant
en papillon. À un moment de sa vie, sous la résultante
des
forces de la nature, la chenille sent le besoin de s’entourer d’un
cocon
dans lequel, la chrysalide sera coupée du monde
extérieur,
pendant qu’elle se transformera en papillon, avant de briser son cocon
et de s’en éjecter.
Les
grands cycles étant de 1000 ans, les sociétés des
hommes sont dans leurs enfances de l’an 500 à 900 de chaque
millénaire.
Elles se transforment en chrysalide entre 900 et 1000 de chaque
millénaire
et poursuivent ensuite leurs routes en papillon, jusqu’à l’an
500
du millénaire suivant. (Voir le mystère Chrétien).
Nous
sommes donc à la toute fin de cette période de
transformation
et notre société est aveugle au monde extérieur,
une
réalité qui ne nous est pas accessible. Après un
temps
dans ce cocon, le dernier siècle, la chrysalide finit par
perdre
de vue son souvenir du monde extérieur et elle finira même
par mettre en doute sa réalité jusqu’à s’en
construire
une nouvelle, mais cette fois adaptée à
l’intérieure
de cet univers connu et fermé, en faisant abstraction
entièrement
du monde extérieur. « Induction - Déduction
».
Nous
devrons bientôt quitter notre cocon, muni d’aptitudes de vie
insoupçonnées
à ce jour, dont nous ne réalisons pas la portée,
un
changement aussi important que celui existant entre la chenille et le
papillon.
Ces nouvelles aptitudes apporteront un nouveau regard sur notre
société
qui deviendra soudainement archaïque et entraînera une
société
à l’architecture différente, basée sur ces
nouveautés.
Telle
la chrysalide, ce processus de changement laissera place à deux
produits bien différents. Un très vivant et gorgé
de nouvelles aptitudes et l’autre, la vieille structure qui fut
nécessaire
à la transformation biologique de la chrysalide de chenille
à
papillon, maintenant inutile. Sous cet angle, le pouvoir divin a
instauré
un changement, qui laissera une tranche de la société
actuelle
inutile, telle une vieille usine pourrissante.
Dans
l’optique philosophique, le fameux pouvoir divin était
responsable
de l’enclenchement de toutes les phases, incluant celle du
démarrage
des contractions. La grande noirceur imposée par la
présence
d’un cocon n’était pas un plan humain, mais une volonté
divine
que les humains s’efforcèrent de respecter.
«
N’est-il donc pas vrai que la sortie de ce cocon de grande noirceur est
le produit et le produit unique d’un signal d’origine divine ? -
N’est-il
donc pas souhaitable d’appuyer et de supporter l’effort divin en y
ajoutant
l’effort des humains et lorsque le désir divin est de mettre en
place un cocon de grande noirceur, n’est-il pas raisonnable de croire
que
l’homme fait bien, en appuyant l’effort divin et en s’assurant que
l’enveloppe
de ce cocon, soit la plus sombre parmi les plus sombres ? - N’est-il
donc
pas raisonnable de croire, que supporter la volonté divine de
mettre
en place un cocon de grande noirceur, serait d’étouffer tout ce
qui risquerait de corrompre ce processus divin, comme le savoir ancien
et les anciennes choses sacrées, qui pourraient le
réveiller,
à un moment insoupçonné?- Ne serait-il donc pas
raisonnable
de retrancher de cette terre tout ce qui rappelle l’histoire divine et
de la peupler d’incultes incapable de comprendre la route suivie ?
»
Tenue
à l’intérieur d’un contexte aussi étroit, une
telle
argumentation relevait d’un gros bon sens et autorisait les fervents
religieux
à appuyer la volonté divine, tout en acceptant de se
mettre
volontairement au rancart pendant le dernier millénaire.
Mais
l’argumentation de ces spécialistes de la dialectique
était
fallacieuse. puisqu’elle instruisait que la diffusion de la parole
divine
et des exploits qu’elle supportait, devait cesser. Elle impliquait de
fait,
le choix de ne plus respecter les lois morales communiquées par
Dieu, pour le remplacer par un respect et un support à ce que
Dieu
semblait
vouloir réaliser, déformant ainsi un motif dont
l’intelligence
«
divine » ne peut-être perçue à notre
niveau,
pour un motif apparent, substituant à cette volonté
divine
prétendue par les anciens.
Manifestement,
de gré ou de force, les chevaliers de Jerusalem se
plièrent.
Savaient-ils
que l’empire avait le dessein caché de tromper la volonté
divine ? Savaient-ils qu’ils allaient réaliser un cocon plus
vrai
que nature en recréant de multiples parcs thématiques de
Jerusalem ? Ou encore qu’ils allaient occulter à ce point
l’histoire
divine? Ou qu’ils allaient tenter de provoquer un accouchement
prématuré
du cocon par la destruction des tours du World Trade Center et ainsi
polariser
la population dans ce qui était une croisade à leur
bénéfice
?
Savaient-ils
que cette polarisation ne fonctionnerait pas?
Le
cocon de notre société est l’Empire. Sous cet angle,
l’Empire
et ses soldats du malin, ne sont que les outils de la destinée
divine,
qui furent utilisés à leurs détriments pour la
réalisation
d'un cocon, qui n’aura bientôt plus aucune utilité ni
importance
et qui ne sera en finale, que matière résiduelle sans
importance,
le second dieu, instruisant de fait, le sort qui s’y rattache.
Autrement
la volonté divine, quelque soit la signification qu’on lui
prête
et la loupe d’interprétation à travers laquelle on la
regarde,
peux réaliser des choses qui ne s’expliquent pas par notre
raisonnement
moderne à cause d’un lien manquant dans le concept moderne de
l'intelligence
et de la science.
Ce
lien ne manque pas partout, mais seulement dans le savoir populaire.
«
Le cerveau humain ne fonctionne à peine qu’à 10 % de ses
capacités. »Albert
Einstein
Notre
cerveau n’est pas une masse grise, mais l’assemblage de milliards de
cellules
appelés neurones. La quantité de ces neurones ne varie
pas
dans une vie et sont toujours en activité. Chacun de ces
neurones
pourrait être comparé à un individu très
simple,
ayant la capacité de prendre des décisions très
simples.
Comparables à un groupe d’individus qui argumentent face
à
une prise de décision, en additionnant les neurones, ces prises
de décisions simples se cumulent jusqu’à construire et
produire
les idées, les perceptions et les sensations.
Tous
ces neurones travaillent, mais pas nécessairement sous la
responsabilité
du conscient. Une grande quantité travaillent dans l’ombre et
une
énorme quantité ne possédant pas de coordination,
travaillent dans le vide et gobent de l’énergie en produisant un
résultat ou une décision qui sera inutile à notre
vie et rejeté, avant même de passer au conscient. Comme le
brillant orateur qui entraînera la foule à des actions,
l’intelligence
d’un individu pourrait se mesurer en établissant la
quantité
de neurones, qu’il est à même d’entraîner à
se
pencher sur une tâche à un moment donné, laissant
sur
la touche ceux qui ne réagissent pas aux demandes.
Sans
guidance, ces individus s’assembleront en bandes de façon
erratique
et causeront des problèmes. De la même façon, ces
neurones
s’assembleront pour produire des pensées erratiques ruminantes,
formant un bagage ajouté à la prise de décision de
l’individu et se traduisant dans ses décisions et son
comportement.
Ce
bagage n’est pas toujours négatif et la magie produit parfois
des
aptitudes, qui viendront compléter l’intelligence de l’humain
d’une
façon qui aurait été insoupçonnable, une
créativité
débridée.
Quand
ce bagage est négatif et qu’il n’est pas invalidé avant
d’atteindre
le conscient, nous obtenons un individu au comportement erratique et
imprédictible,
qui n’est rien de moins qu’une menace pour toute communauté et
la
matière première de tous les crimes.
100
tueries d'écoles sont survenues depuis le dernier quart de
siècle,
auparavant un tel crime n'existait pas. La vaste majorité de ces
crimes diaboliques sont survenus sur le territoire étatsunien,
selon
un intervalle précis et régulier de 90 jours, raisons
pour
lesquelles les statistiques des crimes ne sont pas publiées et
au
contraire conservées dans les mains de spécialistes
attestés.
Cette
force, peut solidariser ou désolidariser les individus d’un
objectif
commun.
Soudainement,
tous les milliards de neurones attellent leurs puissances individuelles
à la réalisation de la même tâche. Aussi vrai
pour les individus neuronaux dans le cerveau humain, que pour les
individus
dans la communauté, créant une synergie saisissante qui
entraîne
une passion démesurée à la réalisation d’un
coup de génie.
À
l’inverse, lorsque le besoin s’en faisait sentir, comme lorsque Dieu
détruisit
Babylone et qu’il causa la « confusion des langages » en
retirant aux habitants la capacité de se comprendre, cette force
divine peut aussi désaligner et causer un formidable
antagonisme,
entre les individus d’une communauté, annihilant toute fonction
concertée.
Être
à la bonne place au bon moment, était recevoir une dose
de
cette coordination, qui lançait au galop un troupeau de chevaux
sauvages, fonçant alors comme un train infernal dans une seule
direction.
Mais
comment une telle puissance, véritable trombe en furie,
incontrôlable,
inexplicable, produisant un génie et une passion toujours
à
la limite des forces humaines et à la fine pointe de notre
intelligence
; une puissance qui, soit par son travail ou par le respect qu’elle
inspire,
est à l’origine des plus grandes créations toutes
catégories
confondues du monde moderne ; un phénomène si
menaçant,
qu’elle obligea les descendants de Nimrod à mettre en place une
magouille infernale, qui s’étirait sur des millénaires et
qui n’avait aucune hésitation à malmener le petit monde
pour
mettre en place une politique de domination et de taxage ; aucune
hésitation
à faire souffrir l’inculte, le pauvre et l’opprimé pour
aiguiser
leurs images et atteindre leurs fins, comment un « véritable
don divin » peut t’il avoir occasionné tant de
misères
humaines ?
Pour
l’expliquer, reprenons l’excellente comparaison philosophale de la
chrysalide
et du cocon.
Tous
n’appartiennent pas au papillon qui s’extirpera du cocon. De toute la
matière
biologique qui sera utilisée à la transformation de la
chenille
au papillon, une partie de cette matière première
assistera
la chrysalide elle-même, dans son travail de transformation.
L’autre
partie ne travaillera pas à la construction de la chrysalide,
mais
à un objectif autre. Un second mécanisme biologique se
mettra
en marche et aura comme tâche de réaliser un cocon, un
processus
si différent de la transformation de la chrysalide, que la
matière
qui la compose sera sacrifiée et pourrira derrière
lorsque
le papillon s’envolera.
Le
divin ne faisant rien au hasard, à traduire par « La
nature
étant par définition économe de ses efforts
».
En
dépit de cette différence, le cocon est loin d’être
inutile dans la réalisation finale.
Sans
même que cette seconde réalisation en soit consciente, ou
soit consciente de la grande finale la laissant sur le carreau, elle
participera
à la transformation de la chrysalide en assurant les bons
dosages
d’air, de lumière et de température, rendus
nécessaires.
Aussi
différentes puissent être le rôle accordé
à
ces matières, aussi différent puisse être le sort
qui
leurs est réservés, elles sont toutes les deux issues de
mécanismes biologiques appartenant à la même
chrysalide
et collaboreront en fin de ligne à la grande
réalisation.
Rien
de tout ceci ne sera réalisé par l’intelligence, mais
sera
le tribut de simples mécanismes internes engageant cette
direction
à la fin duquel sortira la divine réalisation.
L‘antagonisme
apparent, entre la matière vivante de la chrysalide et celle
morte
du cocon, est une nécessité à la
réalisation
finale.
Nous
sommes étroitement concernés par la matière
première
et le fonctionnement de ces mécanismes biologiques qui
filtreront
cette matière première, pour en faire d’un
côté
le cocon et de l’autre le papillon. Nous sommes cette matière
première
et le processus de séparation de la matière est
engagé
depuis le début de la construction de ce cocon soit, environ le
dernier millénaire dans les derniers 7000 ans, d’une
façon
plus aiguë le dernier siècle dans le dernier
millénaire
et encore plus aiguë la dernière décennie dans le
dernier
siècle, occasionnant depuis la crête la plus intense
depuis
7000 ans.
La
périodicité réelle, est celle prêtée
à Dieu pour la construction du monde, qui est en
réalité
une allégorie, indiquant un calendrier planétaire de
cette
force dont la période de construction du cocon est le jour du
repos
de Dieu, soit 1 journée sur 7 ou encore 1 septième, quel
que soit l’orbite planétaire sélectionnée. Elle
est
la même que dans le calendrier de la semaine sainte
répertoriée
dans le Nouveau Testament avec la mort du Christ le vendredi et sa
renaissance
le dimanche.
La
disparition de la force divine à un moment où la
transformation
la plus importante prend place dans le changement de la chrysalide ou
celle
de la société des hommes, implique que le processus
d’alignement
des individus et individus neuronaux n’est pas perceptible ou est
inexistant
durant cette période, retombant sur des mécanismes
biologiques
purement déductifs et incapable de tenir compte d’une induction
possible, comme ceux imposés par l’ensemble de l’Empire dans
notre
société moderne, puisque le cocon doit faire son travail
d’isolement.
Lorsque
la journée est terminée, cette force
divine-électromagnétique-extraterrestre
se réanime, instruisant au magnifique papillon de s’expulser du
cocon et de s’envoler, laissant sur place une structure pourrissante,
qui
fut crée d’une intelligence biologique qui n’a pas disparu et
s’est
mise en hibernation dans le papillon même, ou elle demeurera
jusqu’à
ce qu’elle soit requise à nouveau.
Mais
qu’est-ce donc que le cocon et la chrysalide en devenir dans notre
société
? Qu’est-ce donc que la différence si fondamentale entre cette
matière
humaine ci ou celle-là dans notre société, qui
fait
qu’elle se retrouvera à un endroit plutôt qu’à
l’autre?
Chaque
brin de vie, chaque ensemble de vie est marqué d’une orientation
fondamentale, qui déterminera si elle deviendra cocon ou
chrysalide,
tous pour un, ou un pour tous.
Tout
ce qui n’est pas un pour tous, d’une façon suffisante,
n’est
pas retenu par la chrysalide pour sa transformation et sera
intégré
au cocon.
L’avarice,
la vanité, la jalousie et tout le reste des péchés
de l’éventail moral laissé par les anciennes religions,
qui
sont tous des indicateurs de cet équilibre un pour tous et tous
pour un, deviennent un bulletin, qui pointe notre orientation
fondamentale.
Tous
aiment, comme il se doit. Les efforts de tous, contribueront au grand
plan
comme il se doit. À cet égard, tous possèdent un
caractère
divin. L’objet de cet amour seul change. L’amour de soi ou l’amour de
l’autre
seul, détermineront la position à partir de laquelle,
nous
contribuerons à ce grand effort instruisant du coup notre sort
et
celui de nos semblables.
Pour
l’ensemble de cette grande période de noirceur, les
mécanismes
biologiques et sociaux serviront à réaliser une foule de
tâches aussi diverses les unes que les autres et tous s’efforcent
de participer au résultat final, l’émergence d’un
papillon.
Avec
du recul, l’ensemble du processus de changement appelé
cocon-chrysalide
pourrait être comparé à celui d’un filtre
biologique,
chargé de séparer deux matériaux aux
propriétés
différentes et néanmoins essentielles au changement, dont
un seul matériau demeurera cocon et l’autre s’envolera, quelque
soit la signification précise de ce terme, au moment
ordonné
par le divin.
Un
produit de l’hérédité et du terreau de culture.
Henry
Agard Wallace, 33ième président des États-Unis
était
aussi un grand croyant. Il estimait dans ses écrits que l'interventionnisme
de Roosevelt durant la Seconde guerre mondiale, avait quelque chose en
commun avec le corporatisme fasciste. Il définissait notre
monde,
comme étant assujettis à un renouvellement cyclique par
l'intervention
d'un Messie et que
l'Amérique, avait été choisit par Dieu pour
établir
le futur Nouvel Ordre des Âges.
Tous
ne sont pas construits du même bois. Pour ces raisons et en
fonction
de l’orientation, une partie de la population est incapable de
profiter
de cet effet de coordination divine, qui deviendra courant à
l’expulsion du cocon. Ils n’ont pas à en profiter. Ils n’ont
aucun
besoin de l’induction, ils n’ont été créés
et ne seront utilisés, que pour une période
limitée,
justement à cause de ces aptitudes déductives. Un
processus
esclave qui ne possède aucun intérêt autre, que les
raisons pour lesquelles il fut créé et le temps durant
lequel
il fournira le service escompté.
Ce
cocon, qui vu de notre niveau s’apparente à un parasite, n’est
que
le produit d’une autre facette de notre société humaine,
indispensable à notre développement et notre passage
à
tous dans une prochaine génération, les uns comme
papillon
et les autres, comme contribution.
Notre
organisme sociétal effectuera un travail d’autant plus
réussi,
qu’il filtrera adéquatement les uns des autres, pour s’assurer
d’un
classement exempt de fautes et posséder le cocon le plus cocon
possible
d’une part, et le papillon le plus papillon possible d’autre part.
Ce
cocon impérial, qu'il possède une soutane, des titres ou
des lettres de noblesse, tentera tout pour s’assurer que cette bande de
chevaux sauvages qui ruminent dans nos têtes, ne soit jamais
libre.
En contrariété par le stress, par les émotions,
par
une constante séduction de toutes nos faiblesses, ils ne
s’arrêtent
pas et ruminent constamment. La prise de connaissance de ce faux monde,
n’est que l’un des nombreux signaux indiquant que les contractions sont
maintenant débutées. Rien n’est encore joué. Le
cocon
est encore matière vivante étroitement reliée
à
ce papillon prêt à la sortie. Des efforts et de
l’énergie
seront nécessaires pour se désengluer de cette
matière,
briser le cocon et sortir. Assis sur le fil du rasoir, chacune de nos
pensées,
chacune de nos décisions seront déterminante pour juger
de
notre nature et notre appartenance au papillon en devenir, ou celle du
cocon.
Ce
n'est que lorsqu'un individu se sent à l'abri des yeux et du
jugement
de ses pairs, qu'il révèle sa vraie nature.
Médias,
argent, vitesse de société, même l’éducation
fut orientée de façon à rediriger en bas
âge,
ceux qui avaient les aptitudes déductives souhaitées et
les
autres. La viabilité du papillon, sera le produit de
l’antagonisme
existant entre la chrysalide et le cocon. Ce délicat
équilibre
serait-il brisé, que le résultat final en serait
perturbé.
Et
maintenant ?
Ce
serait une tâche gigantesque que de décrire tous les
moyens
utilisés, pour faire disparaître cette matière
«
royale
» des yeux du petit peuple.
Pas
des yeux des royaumes ennemis, comme nous pourrions le croire dans
notre
monde de compétition, les pays ennemis ne sont pas des ennemis
autrement
que dans la croyance populaire. Pas aux yeux des individus
malintentionnés,
puisqu’il est aujourd’hui manifeste que cette catégorie
d’individus,
se sont coltinés une place de choix à la tête de
notre
société.
Toute
cette magouille machiavélique n’a toujours eu comme objectif,
que
de s’assurer que, ce qui était caché le soit des yeux du
peuple et s’assurer que la tribu qui gère la destinée de
la planète depuis des lustres, puisse continuer de le faire
encore
et encore, en toute impunité.
Le
mouvement d’entraînement mondial souhaité par les
évènements
du 9-11 ne s’est pas réalisé et cessa après
quelques
mois. C’est à ce moment que l’Empire a compris que cette partie
du plan ne fonctionnerait pas. Ils ont du mordant, n’en doutons point.
Il n'y a qu'à constater le nettoyage qu'ils sont en train de
réaliser
sur le pourtour de la Méditerranée, question de supporter
le dessein divin.
Depuis
1945 qu’ils préparent le spectacle hollywoodien à venir.
C’est à l’époque de Roswell que tout ceci commence avec
un
scénario à l’eau de rose dans lequel se plantent des
soucoupes
volantes un peu partout. De 1945 à 1952, apparaît une
vague
d’OVNI sans précédent sur l’Amérique et ailleurs
dans
le monde. Au même moment, le marché est inondé de
films,
de séries télés, de livres et de bandes
dessinées
à la saveur galactique introduisant le concept d’invasion des
martiens
et inventant le genre science-fiction pour tous.
En
1955, tout cessa. Les vagues d’ovnis ont cessé, les
écrasements
ont cessé, les séries télé SF cessent,
même
les livres et les bandes dessinés tendent à changer et
abordent
ce sujet d’une façon différente. Ils jugèrent que
la matière à mythe était à point.
Il
y a 25 ans, Hollywood éduquait en un tour de main la jeunesse du
monde, que les « autres » au contraire des
méchants
et ridicules martiens, pouvaient être gentils. Les ET
étaient
gentils eux ! Du même coup, le mot « martien
»
devenait out et le mot « extra-terrestre » bien
meilleur.
Le peuple venait d’être éduqué et les gentils
extra-terrestres
envahissaient notre vie.
Internet
arrive et coïncide avec une nouvelle vague de
phénomène
ET, comme l’enlèvement des gens ou des bovins, ainsi que des
films
et des séries télé SF dans lesquels le gentil ET,
n’est plus aussi gentil. De ce jour les ET sont des méchants,
ils
envahissent la planète, tuent des hommes, prennent possession de
leurs biens, de leurs corps, leurs sociétés et les font
souffrir
par toute sorte de méthodes.
Mais
«
extra terrestre » a ceci de particulier qu’il ne
désigne
pas un être, mais tout ce qui provient de l’espace, incluant
cette
illumination qui était appelée «
météore
» par les Anciens et qui est portée par le
rayonnement
électromagnétique de l’espace, avant de nous parvenir
jusqu’à
la terre.
Elle
fut dénommée « Divine », elle est
devenue
par la suite « céleste » et elle est
maintenant
devenue « extra-terrestre ». Ils pouvaient ainsi
rencontrer
leurs objectifs et planter le mythe de demain. Les dieux sont
maintenant
envahisseurs.
La
télésérie « Battlestar Galactica »
est un bel exemple de cette fraude intellectuelle qui n'a de cesse. Un
capitaine qui s'appelle Adama, la terre rouge, des cataclysmes aux 3600
ans, la Torah, la quête d'une terre idéalisée
disparue
et des Silons qui possèdent la particularité de
renaître
avec leurs mémoires des vies d'avant. Si on en retranche la
quête
spatiale et les robots, on obtient une copie quasi parfaite de
l'ancienne
histoire, avec Adam des terres rouges, les cataclysmes et Sion.
Une
exception significative toutefois, les Silons, ces individus qui ont la
faculté d'avoir conscience de leurs âmes, sont l'ennemi
à
abattre.
L’explication
de ces choses n’est pas une divinité philosophique ou un
processus
comportemental de la sociologie moderne. Ces termes, aussi
chargés
soient-ils, ne représentent que la planchette du savoir visant
à
communiquer un point de vue qui embrasse le plus large horizon
possible.
Il
y a une science derrière tout ceci, mais comme les
théories
des « Faraday de Dieu » n’étaient pas
souhaitables,
le domaine ne produira jamais de spécialistes. Une tâche
aveugle
qu’il est impossible de résoudre, parce que prétendue
impossible,
inexistante, nulle et non avenue.
Réponse
d’un scientifique auquel nous apprenons quelque chose d’inédit
ayant
une influence dans son domaine ? « Moi je ne crois pas
à
ça ». Croire ? Comme dans Dieu de remplacement ? Comme
dans gourou ?
La
science n’y peut rien. L'expert pointu, qui écrit les livres et
dirige le savoir est déjà membre d'une confrérie, les
autres, les milliers d'autres qui l'enseignent, se reposent
paresseusement
sur leurs loyautés, ayant appris de leurs maîtres
adorés,
quels étaient « les bons livres » sur
lesquels
ils pouvaient s'asseoir et combien fastidieux il serait de
répéter
le travail que d'autres ont fait auparavant.
Un
système esclave prétendu infaillible et rendu
volontairement
myope par la spécialisation, dans lequel le sel ne sera toujours
que du NaCl et de l'eau du H2O, dont la plus grande réalisation
serait d’être parfaitement à même de nous
démontrer
que la roue à partir d’un modèle en bloc Lego, ne
fonctionne
simplement pas. Tant qu’il existera un spécialiste de la farine,
un de la levure, un de l’eau et un du sel, il faudra attendre que
quelqu’un
plus haut dans la chaîne de l’intelligence, leurs ordonnent de se
mélanger pour qu’ils soient enfin à même de
découvrir
éventuellement le pain.
Quand
le titre est tout, le reste n’est rien. Quand l'apparence est tout, le
reste n'est rien.
Des
outils limités oui, victime de tabous culturels oui. Mais ils ne
sont pas de mauvaise foi. En réalité, peu le sont.
N’est-ce
pas ce qui fut notre sort à tous ?
En
1900, 5000 pèlerins par ans venaient de partout dans le monde
pour
visiter le Mont Calvaire et la grotte de la naissance de Jésus
à
Ville Marie. Ils participaient aux processions prenant place autour
des centaines de petites chapelles aux origines mystérieuses qui
parsèment le Québec.
Aujourd’hui,
quelques centaines à peine le font. Cette population est
maintenant
très âgée et n’a pas de relève dans un
savoir
qui nous apparaît archaïque et ridicule. Manifestement, le
processus
de nettoyage se poursuit.
À
l’instar du club de Golf D’Oka qui voulait s’agrandir, tout ceci n’est
plus que la proie des richards, seul capable aujourd'hui de se payer
cette
traite, telle une parade militaire des conquérants. Le
Québec
est devenu une résidence d’été de richards,
où l’on se rend, comme on irait à la messe le
septième
jour de la semaine.
Est-il
si surprenant de constater ce harcèlement constant sur tout ce
qui
fut notre histoire et notre culture ? Si surprenant de constater
l’expulsion
de la morale de nos communautés ? Si surprenant de constater la
lente agonie des symboles, croix, sapin de Noël et autres ?
«
Si la croyance ne peut être réconciliée avec la
pensée
rationnelle, elle doit être éliminée comme un
archaïsme
provenant de précédents stages de culture et
remplacés
par la science des faits et des théories, qui sont intelligibles
et peuvent être validés »Erich
Fromm
Étape
#1-Assis sur des spécialistes interprètes dont le travail
est de réduire, on finit par ne plus comprendre.
Étape
#2-Du haut de notre intelligence moderne et insurpassable, on ne
comprend
pas et puisqu'on ne comprend pas, c'était donc des
imbécillités
culturelles et sans importance.
Les
dauphins ne sont pas intelligents puisqu'ils ne peuvent s’exprimer dans
un français intelligible.
La
science est un fourre-tout, un mot beaucoup trop galvaudé dans
lequel,
tout ce qui est en mesure de prononcer par coeur une formule
quelconque,
s'abroge aussi la prétention de la vérité et le
droit
de la dire sans être interrompue.
Jusqu’à
récemment, nos sociétés vivaient une vie simple.
Une
vie dans laquelle le couteau à prélart n’avait pas encore
été inventé, parce que le prélart n’avait
pas
encore été inventé. Pas de prélart, pas
intelligent
? Mais quelle prétention de croire que nous possédons «
LA » vérité, et que cette vérité
invalide nécessairement toutes celles venant d’avant ?
Un
cri de ralliement ?« Vive
l’économics,
la croissance et fuck the rest »?
Les
choses sont simples « Fromm », si tu ne peux pas
réconcilier
la croyance avec la pensée rationnelle, tu n’as pas fait ta job
de scientifique et par conséquent, c’est toi et toi seul, qui
vient
de faire passer le langage des dauphins à un simple
gargouillement
de la culture populaire.
«
Monsieur, Monsieur, à quoi servait cette chose qu’ils
inséraient
dans le volant avant de démarrer avec la voiture ?
Ah
mon garçon, c'est un mythe ancien, ces gens étaient
très
religieux. La Klé était un talisman magique indispensable
au véhicule. Chaque véhicule avait son talisman
béni,
sans lequel jamais personne ne se serait permis de partir avec le
véhicule.
Dans leurs croyances primitives, la Klé était une sorte
de
symbole passe-partout. C’est grâce à la Klé que le
véhicule fonctionnait et qu’il cessait de fonctionner. La
Klé
servait même pour chasser les influences néfastes et
empêcher
d'être volé. »
Climat,
argent, guerres, chicanes, ce qui se passe autour ne s’arrêtera
pas,
bien au contraire.
Au
cours des prochaines années, la situation n’ira qu’en
s’aggravant.
Notre société actuelle, qui ne tient déjà
qu’à
un fil savamment orchestré, s’effondrera littéralement.
Vos
attentes de sociétaire, dites et non dites, ne seront plus
satisfaites.
Tous participeront à cette chicane. Les griefs et les motifs
d’insatisfactions
ne manqueront pas et ils donneront cours à la haine et à
la violence, au loin dans les autres sociétés, mais aussi
ici tout près de nous, dans notre quotidien.
À
un moment ou à un autre, viendra l’envie de pointer l’un ou
l’autre
du doigt, en le désignant de coupable. Se faire justice et se
laisser
aller à la violence et la haine, sera se laisser entraîner
dans cet inexorable effet Lemming et se diriger tout droit dans
l’ornière
centrale de ce plan. Ce serait une très grave erreur. Une erreur
impardonnable qui déterminera de quelle race vous êtes,
car
il y a ici bas une race qui sera bientôt inutile.
«
Le jour viendra ou, la génération mystique d’un
Jésus
à partir du ventre d’une vierge par la volonté de
l’être
suprême qui l’a enfanté, sera classée au même
endroit que celle de Minerve dans l’esprit de Jupiter. Mais nous
pouvons
espérer que l’aube de l’âge de raison et celle de la
liberté
de pensée dans ces états unis, en termineront avec cet
échafaudage
artificiel et qu’ils nous ramèneront à l’époque
des
doctrines d’origines de ce grand vénéré
réformateur
des erreurs humaines. »Thomas
Jefferson (1743-1826)
Je
vous ai montré le crime de l'histoire, mais ne doutez jamais de
la puissance et de la rancoeur éternelle de ces sauvages. Si
vous
en doutez vous pourrez toujours vous rappeler ce qui suit:
Suivant
les attaques incessantes de l'Empire, les Irlandais se
retrouvèrent
un peu partout et le Québec fut une terre d'acceuil pour ces
gens
de valeur. Au jugé de la croix celtique qui orne le centre-ville
de Québec et qui fut offerte par la nation Irlandaise, les
Québécois
et les Irlandais tissèrent des liens étroits qui ne se
sont
jamais démentis.
Certains
se refirent une cité dans une petite vallée,
située
près du Krack de Québec. Lorsque le "Nouveau Monde" fut
réouvert
à nouveau, beaucoup d'Irlandais souhaitaient se
réétablir
dans ces mêmes communautés qui avaient vu naître
leurs
ancêtres. Mais l'empire, qui souhaitait s'assurer que tout ceux
qui
allaient habiter sur la terre nouvelle, n'étaient que des
vulguaires
les soumirent à de nombreuses contraintes, incluant celle d'une
quarantaine sur une petite île, appelée "île Madame,
tout près de Québec.
Beaucoup
de ces familles se réinstallèrent dans les villages
d'origine
et comme la cité d'origine était une terre
réservée
à l'Empire, ils se reconstruisirent un village tout près
appelé Shannon.
C'est
en 1914, sous le prétexte d'une des guerres simulacres de
l'Empire,
que l'ancienne terre, sur laquelle la cité avait
été
construite, voyait arriver un envahisseur sous la forme d'une base
militaire
canadienne appelée Valcartier.
Toujours
inconditionnel à l'égalité des membres de leur
peuple,
ils furent là aussi soumis à la main de l'Empire qui
n'oublie
jamais.
En
2000, SNC TEC, une filiale de SNC Lavallin, partenaire du gouvernement
canadien dans l'exploitation des usines sur la base de Valcartier,
découvre
que l’eau d’un puits privé, situé à
l’extérieur
des limites de la base, est contaminée au
trichloréthylène.
Inquiets
de cette situation, les citoyens de Shannon, qui tirent pour la plupart
leur eau de consommation de puits, font effectuer des analyses de
l'eau,
pour s'apercevoir que le niveau de trichloréthylène
présent
dans l'eau de leurs puits, dépasse hautement les normes de
toxicités
établies, impliquant que la nappe phréatique sous leurs
villages,
et par conséquent les puits des habitants, sont
contaminés.
En
1999, des données obtenues notamment par les ministères
fédéral
et provincial de l'Environnement et par la Direction de la santé
publique, démontraient que la concentration de TCE dans l'eau
alimentant
Shannon, était 180 fois supérieure à la limite
autorisée. Il
n'en faut pas plus pour que les citoyens du petit village fassent le
lien
entre une quantité hautement anormale de problèmes
intestinaux,
de cancer et plus particulièrement de cancer de cerveau, survenu
sur leurs territoires depuis 20 ans.
Récemment,
une étude du gouvernement canadien effectué en 1978 et
obtenue
grâce à
la loi d'accès à l'information, démontrait que les
ministères fédéraux de l'Environnement du Canada
et
de la Défense canadienne avaient été
prévenus
dès 1978, que des eaux usées renfermant des
matières
toxiques, étaient déversées dans un étang
en
contact avec la nappe phréatique de la place et constituait une
pratique inacceptable.
Non
seulement cette situation fut tenue occultée pendant 20 ans,
mais
en 1994, le terrain où s'effectuaient les déversements
toxiques
fut remblayé discrètement, laissant en place le produit
toxique,
qui a continué de s'écouler dans la nappe, sans qu'aucune
décontamination ne prenne place.
Aujourd'hui,
la zone couverte par ce poison toxique, s'étire
sur environ cinq kilomètres de distance et se déverse
dans
la magnifique rivière Jacques-Cartier, à l'ouest de la
base
de Valcartier, de plus en plus près d'autres zones d'habitations.
«
Autrefois, on pendait les voleurs aux croix. Aujourd’hui, on pend des
croix
aux voleurs. Et chacun est content. » Louis-Ferdinand
Céline auteur
français
Maintenant
? Et bien maintenant c’est le temps de montrer à ces coprophages
caractérisés, que l’on sait et ce que l'on
désire.
J'aimerais
offrir mes plus sincères remerciements et mon plus profond
respect,
aux gens qui par leur soutien indéfectible et leur propre
recherche,
ont contribué à la réalisation de ceci.
Bien
à vous
Pierre
De Châtillon
1
février 2009
Références
: Les
références qui furent nécessaires à la
réalisation
de ce travail, font partie de la liste ci-jointe. Je me suis fait un
point
d'honneur à sélectionner, autant qu'il était
possible
de le faire, des lectures de langue française qui sont à
la portée de tous et qui ne proviennent pas de «
spécialiste
» moderne ou gourou avaleur de piastre. Elles constituent
une
véritable bibliothèque de l'histoire en plus d'un
régal
de l'esprit, qui ne sera plus disponible d'ici peu.
Ces
références ne sont plus soumises à de quelconques
droits d'auteurs et sont disponibles gratuitement en ligne à
l'une
ou l'autre des librairies suivantes :
La
librairie de livres numérisés de Google :
http://books.google.ca/bkshp?hl=fr&tab=wp
La
librairie de livres numérisés de Gallica:
http://gallica.bnf.fr/
Bien
que tous ces documents ne possèdent pas la même importance
dans mes recherches, j'ai jugé utile de les y joindres.
A
Biblical and theological dictionary by Thomas Watson
A
complete concordance to the Holy Scriptures of the old and new Testament
A
Defence of Quakerism
A
Etymological Dictionary of the Scottish
A
guide to German books before 1601
A
History of England from the First Invasion by the romans
A
new and comprehensice system of the Newtonian Philosophy astronomy and
geography
A
Popular history of France from the earliest time. By M. Guizot
A
Sketch of a Tour on the Continent
A
study of Pueblo architecture: Tusayan and Cibola By Victor Mindeleff
Abrégé
chronologique de l'histoire générale d'Italie
Abrégé
de l'histoire générale de Languedoc
Abrégé
du dictionnaire universel françois et latin ou Dictionnaire
trévoux
Aeschylus
Alciphron
or Minute Philosopher in seven dialogues
Almanah
historique et chronologique de Languedoc
An
Essay on the Nature Design and Origin of Sacrifices
An
Essay on the Origin of Evil
An
Historical Geography of the Old and New testament
Anglo
saxon chronicle
Annales
de chimie et de physique
Annales
de l'imprimerie des Alde
Annales
de philosophie chrétienne
Annales
des Lagides ou chronologie des rois Grecs d'Égyptes
Annales
des sciences naturelles
Annales
d'Espagne et de Portugal
Annuaire
historique, généalogique et héraldique de
l'ancienne
noblesse de France
Antiquities_of_the_Jews
and their customs illustrated
Archives
des découvertes et des inventions
Astronomie
solaire d'Hipparque
Athenian
Sport or two thousand paradoxes
Autorité
de Grégoire de Tours
Awful
esposure or the Atrocious prot formed by Certain individuals against
the
clergy and nuns of lower canada
Bibliotheque
angloise ou Histoire littéraire de la Grande Bretagne
Bibliothèque
choisie des Péres de l'église grecque et latine
Bibliothèque
des Croisades
Bibliothèque
italique ou Histoire littéraire de l'Italie
Bibliothèque
orientale ou dictionnaire universel des peuples de l'Orient
Bibliothèque
sacrée ou Dictionnaire universel historique, dogmatique
canonique,
géographique et chronologique des sciences ecclésiastiques
Bibliothèque
universelle des sciences, belles-lettres et arts
Biographie
universelle ancienne et moderne
Blackwoods
Edinburgh Magazine
Brief
Remarks on the History, Authority, and use of the Sabbath
Catalogue
de livres manuscrits et imprimés sur la Franc-maçonnerie
et les sociétés secrètes
Catalogue
des livres de la bibliothèque des ci-devant soi-disant
Jésuites
du collège de Clermont
Célèbres
Peintures et Sculptures des Musées étrangers
Chevraeana
Choix
de chroniques et mémoires sur l'histoire de France
Christophe
Colomb, son origine, sa vie, ses voyages, sa famille et ses descendants
Chronique
de Frédégaire
Chronique
de Jean de Stavelot
Chronique
de Normandie
Chroniques
de J Froissart
Chroniques
d'Enguerrand de Monstrelet
Chronologie
de l'histoire sainte et des histoires étrangères qui la
concernent
depuis la sortie d'Égypte jusqu'à la sortie de Babylone
Classement
chronologique des origines à 1799
Codices
Graeci et Latini Duce Scatone de vries
Collection
des meilleures dissertations notices et traités particuliers
Collection
des mémoires relatifs à l'histoire de France, histoire de
Normandie
Complot
d'Arnold et de Sir Henry Clinton contre les États-Unis
d'Amérique
Conjectures
sur les mémoires originaux de la Genèse
Considerations
sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence
Correspondance
de l'empereur Maximilien et de Marguerite d'Autriche
Cours
de philosophie
Cours
D'études historiques
Cours
d'histoire naturelle ou tableau de la nature
Des
effets de la religion de Mohammed
Des
pierres tombées du ciel, lithologie atmosphérique
Des
sciences occultes ou essai sur la magie, les prodiges et les miracles
Dictionaire
de l'Ancien Régime et des abus féodaux
Dictionary
of the Bible
Dictionary
of the Holy Bible
Dictionnaire
abrégé d' antiquités
Dictionnaire
classique de l'antiquité sacrée et profane
Dictionnaire
complet de tous les lieux de la France et de ses colonies
Dictionnaire
de la langue sainte contenant tous les origines ou les mots
hébreux
Dictionnaire
de la noblesse contenant les Généalogies, l'histoire et
la
Chronologie des familles nobles de France
Dictionnaire
de théologie
Dictionnaire
des auteurs classiques grecs et latins
Dictionnaire
des beaux arts
Dictionnaire
des ouvrages anonymes et pseudonymes
Dictionnaire
géographique de la Bible
Dictionnaire
géographique portatif
Dictionnaire
hébraïque contenant toutes les origines des mots
hébreux
Dictionnaire
historique critique chronologique géographique et
littéral
de la Bible
Dictionnaire
historique et critique
Dictionnaire
philosophique par Voltaire
Dictionnaire
pour l'intelligence des auteurs classiques grecs et latins tant
sacrés
que profanes
Dictionnaire
universel de la langue françoise, avec le latin et manuel
d'Orthographe
et de néologie
Dictionnaire
universel historique, critique et bibliographique
Discours
historiques critiques théologiques et moraux
Discours
sur l'histoire universelle
Dissertations
on the Prophecies
Dissertations
sur les prolégomènes de Uvalton
Ducatiana
ou remarques de feu M Le Duchat
Edouard
III roi d'Angleterre en_Belgique
Encyclopdie
des gens du monde
Encyclopdie
élémentaire ou introduction à l'étude des
lettres
des sciences et des arts
Encyclopdie
ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des
métiers
Encyclopédie
des gens du monde
Encyclopédie
des voyages
Encyclopédie
méthodique ou par ordre des matières
Encyclopédie
monastique ou histoire des monastères
Esdras
Essai
historique et critique sur les atlantiques
Essai
sur cette question : Quand et comment l'Amérique a t'elle
été
peuplé d'hommes et d'animaux
Essai
sur les moeurs et l'esprit des nations
Essai
sur l'histoire de la cosmographie
Essays
and Treatises on Several Subjects
État
des colonies et du commerce des Européens dans les deux Indes
Études
statistiques sur Rome
Eucologe
ou livre d'église
Europe
païenne
Exhortation
pressante aux trois ordres de la province du Languedoc
Explication
du mystère de la Passion de notre Seigneur Jesus Christ
Explication
historique des fables
Extraits
des auteurs grecs concernant la géographie et l'histoire des
Gaules
Fables
de M. De Florian
Famille
sans Nom Jules Vernes
Gargantua
et Pantagruel
Géographie
ancienne sacrée et profane
Géographie
moderne
Glossaire
de la langue romane
Grammaire
arabe
Guerre
des Gaules
Harivansa
ou Histoire de la famille de Hari
Heinrich
Cornelius Agrippa: Of Occult Philosophy
Herodotus
Histoire
abrégée de la littérature romaine
Histoire
abrégée des différens cultes
Histoire
ancienne de l'Orient jusqu'aux guerres médiques
Histoire
ancienne des peuples de l'Orient
Histoire
ancienne des Égyptiens, des Carthaginois, des Assyriens, des
Babyloniens,
des Mèdes et des Perses, des Macédoniens, des Grecs
Histoire
critique des pratiques superstitieuses
Histoire
critique du Vieux Testament
Histoire
critique et apologétique de l'Ordre des Chevaliers du Temple de
Jerusalem, dit Templiers
Histoire
de Bretagne
Histoire
de Constantinople
Histoire
de France depuis l'établissement de la Monarchie
françoise
dans les Gaules
Histoire
de la conquête de l'Angleterre
Histoire
de la décadence et de la chute de l'Empire romain
Histoire
de la filiation et des migrations des peuples
Histoire
de la Gaule méridionale sous la domination des
conquérants
germains
Histoire
de la jurisprudence romaine
Histoire
de la législation
Histoire
de la littérature grecque profane
Histoire
de la Louisiane
Histoire
de la Médecine depuis son origine
Histoire
de la milice françoises
Histoire
de la philosophie hermétique
Histoire
de la réformation de la Suisse
Histoire
de la république de Venise
Histoire
de la Révolution française
Histoire
de la Russie ancienne
Histoire
de la vie de Jésus Christ
Histoire
de la vie et des ouvrages de Voltaire
Histoire
de la vie et des poésies d'Horace
Histoire
de la vie et du règne de Louis XlV
Histoire
de la ville de Vienne durant l'époque gauloise
Histoire
de l'Amérique
Histoire
de l'astronomie ancienne
Histoire
de l'Irlande ancienne et moderne
Histoire
de littérature de l'Académie Royale
Histoire
de Polybe
Histoire
de Saladin
Histoire
de Saladin Schoubeck
Histoire
d'Égypte dans les premiers temps
Histoire
des animaux d'Aristote
Histoire
des Chevaliers Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem appelez
depuis
les Chevaliers de Rhodes et aujourd'hui les Chevaliers de Malte
Histoire
des Chevaliers Malte
Histoire
des chevaliers romains
Histoire
des comtes de Flandre
Histoire
des controverses et des matières ecclésiastiques
traitées
dans le quatorzième siècle
Histoire
des croisades
Histoire
des ducs de Bourgogne de la maison de Valois
Histoire
des empereurs romains depuis Auguste jusqu'à Constantin
Histoire
des Français
Histoire
des Juifs depuis Jesus Christ
Histoire
des Juifs écrite sous le titre d'Antiquités
judaïques
par Flavius Josephus
Histoire
des Juifs et des peuples voisins
Histoire
des Kosaques
Histoire
des navigations aux Terres australes
Histoire
des ordres monastiques religieux et militaires, et des
congrégations
séculières
Histoire
des origines de la langue française
Histoire
des ouvrages des savants
Histoire
des Républiques italiennes du moyen âge
Histoire
des révolutions d'Espagne
Histoire
d'Hérodote
Histoire
du Bas Empire
Histoire
du Bas Empire en commençant par Constantin le grand
Histoire
du canal de Languedoc
Histoire
du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut
Histoire
du chevalier d'Iberville
Histoire
du christianisme et des églises chrétiennes
Histoire
du Concile de Trente
Histoire
du consulat et de l'Empire
Histoire
du culte des divinités d'Alexandrie
Histoire
du monde
Histoire
du monde sacrée et profane
Histoire
ecclésiastique
Histoire
ecclésiastique
Histoire
généalogique et héraldique des pairs de France,
des
grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du
royaume
Histoire
générale de l'Asie de l'Afrique
Histoire
générale de Napoléon Bonaparte
Histoire
générale de Portugal
Histoire
générale des voyages
Histoire
littéraire de la France
Histoire
littéraire des troubadours
Histoire
naturelle de Pline
Histoire
naturelle générale et particulière analytique et
raisonnée
Histoire
romaine
Histoire
romaine de m BG Niebuhr
Histoire
romaine de Tite Live
Histoire
romaine depuis la fondation de Rome jsuqu.à la bataille d'Actium
Histoire
universelle
Histoire
véritable des temps fabuleux
History
of the City of Chester
History
of the diocese of Montréal
Iceland
or the journal of a residence in that Island
Introduction
à la géographie de Srs Sanson
Introduction
à l'histoire de l'Asie, de l'Afrique et de l'Amérique
Itinéraire
descriptif historique et archéologique de l'Orient
Itinéraires
de la Terre Sainte
Johannes
Trithemius
John
Dee
Jordanes
The origin and deeds of the Goths
Journal
asiatique
Journal
des Savants
Journal
des sciences militaires
Journal
d'un voyage fait dans l'intérieur de l'Amérique
Septentrionale
Journal
d'un voyage fait par ordre du Roi dans l'Amérique Septentrionale
Journal
général de littérature de France ou
répertoire
méthodique
Jugemens
des savans sur les principaux ouvrages des auteurs
King
James Bible
La
Bible traduction nouvelle avec l'Hébreu en regard
La
France littéraire ou Dictionnaire bibliographique
La
Genèse
La
langue gauloise et la domination romaine
La
mythologie et les fables expliquées
La
perle de Grand prix, Extraits du livre de Moïse
La
Perse ou tableau de l'histoire, du gouvernement, de la religion, de la
littérature
La
philosophie de l'histoire
La
Raison du christianisme ou Preuves de la vérité de la
religion
La
religion des Gaulois tirée des plus pures sources de
l'antiquité
La
République des Hébreux
La
richesse de la Hollande
La
Sainte Bible ou l'Ancien et le Nouveau Testament
La
sainte Bible qui contient le vieux et le Nouveau Testament
La
sainte écriture de l'Ancien Testament
La
science des personnes de cour d'épée et de robe
La
Statue vocale de Memnon considérée dans ses rapports avec
l'Égypte et la Grèce
La
Suisse pittoresque et ses environs
La
vie de Notre Seigneur Jésus Christ
L'Afrique
de Marmol
L'ambassadeur
et ses fonctions
L'ancienne
géographie universelle comparée
L'art
de vérifier les dates
L'art
de vérifier les dates des faits historiques, des chartes, des
chroniques
L'art
des expériences ou Avis aux amateurs de la physique
L'Artiste
Beaux-arts et Belles-Lettres
Le
Canada sous la domination française
Le
Chef D'Oeuvre d'un Inconnu
Le
Grand Vocabulaire François
Le
Lycée armoricain
Le
Messie
Le
paradis perdu
Le
Pays lorrain
Le
Pour et contre de Prévost
Le
rêve de Scipio
Le
siècle de Louis XIV
Leçons
françaises de littérature et de Morale
Les
Antenors modernes ou voyages de Christine et de Casimir en France
pendant
le règne de Louis XlV
Les
antiquitez romaines de Denys d'Halicarnasse
Les
deux Babylones
Les
Erreurs de Voltaire
Les
grandes chroniques de France
Les
mémoires de messire Olivier de La Marche
Les
métamorphoses d'Ovide
Les
monuments antiques du Musée Napoléon
Les
penseurs de la Grèce histoire de la philosophie antique
Les
phénomènes d'Aratus de Soles et de Germanicus César
Les
sept livres des Miracles
Les
travaux de Mars ou l'art de la guerre
Les
vies des hommes illustres
Les
vies des hommes illustres de Plutarque
L'esprit
de l'encyclopédie ou choix des articles
Lettres
de Ciceron à Atticus
Lettres
de quelques juifs portugais
Lettres
de quelques Juifs Portugais Allemands et Polonais
Lettres
d'un François
Lettres
édifiantes et curieuses
Lettres
et Mémoires du Maréchal de Saxe
Lettres
sur divers sujets importants de la géographie sacrée et
l'histoire
sainte
Lexique
roman ou Dictionnaire de la langue des Troubadours
L'expansion
de l'influence sefarade dans les pays transpyrénéens au
Xl-Xlll
siècles
L'Iliade
Loix
municipale et économique de Languedoc
Macrobe
Magasin
encyclopédique ou journal des sciences des lettres et des arts
Mathilde
ou mémoires tirés de l'histoire des croisades
Mémoire
de l'académie royale des sciences et belles lettres
Mémoires
concernant les vies et les ouvrages de plusieurs modernes
célèbres
dans la république des lettres
Mémoires
concernant l'histoire, les sciences, les arts, les moeurs, les usages
des
Chinois par les Missionnaires de Pe-kin
Mémoires
de la Ligue
Mémoires
de la Société Royale académique de Savoie
Mémoires
de la Société Royale des Antiquaires de France
Memoires
de Messire Philippe de Comines
Mémoires
des sociétés savantes et littéraires de la
République
française
Mémoires
et correspondance de Duplessis
Mémoires
historiques et chronologiques sur l'Abbaye de Port-Royal-Des-Champs
Mémoires
historiques et géographiques sur l'Arménie
Mémoires
militaires et historiques pour servir à l'histoire de la guerre
depuis 1792 jusqu'en 1815 inclusivement
Mémoires
pour l'histoire des sciences et des beaux arts
Mémoires
pour l'histoire naturelle de la province de Languedoc
Memoires
pour servir a l'histoire de la Calotte
Memoires
pour servir a l'histoire ecclésiastique
Mémoires
pour servir l'histoire de la calotte
Mémoires
pour servir l'histoire des hommes illustres
Mémoires
pour servir l'histoire du jacobinisme
Mémoires
pour servir l'histoire ecclésiastique des six premiers
siècles
Mémorial
pour la fortification permanente et passagère
Mercure
de France
Messager
des sciences et des arts de la Belgique
Métrologie
ou traité des mesures, poids et monnaies
Moeurs
des sauvages américains comparés aux moeurs des premiers
temps
Moïse
de Khorène
Monuments
de l'ancien temps
Moyse
considéré comme législateur et comme moraliste
Musée
des variétés littéraires
Notices
and Descriptions of Antiquities of the provincia romana of Gaul, now
Provence,
Languedoc, and Dauphine
Notre
Dame de Paris
Nouveau
dictionnaire de poche français
Nouveau
dictionnaire des origines inventions
Nouveau
dictionnaire historique ou Histoire abrégée de tous les
hommes
de talents
Nouveau
dictionnaire portatif de bibliographie
Nouvel
abrégé chronologique de l'histoire de France
Nouvelle
biographie générale depuis les temps les plus
reculés
jusqu'à nos jours
Nouvelle
encyclopédie politique
Nouvelle
géographie universelle
Nouvelles
annales des voyages et sciences géographiques
Nouvelles
recherches bibliographiques pour servir de supplément au manuel
du Libraire
Observation
ecclésiastique des étoiles
Odyssey
Oeuvres
complètes de Ch. Rollin
Oeuvres
complètes du Vicomte de Chateaubriand
Oeuvres
de Boileau Despraux avec un commentaire par M. de Saint Surin
Oeuvres
de C. Sollius Appollinaris Sidonius
Oeuvres
de Rabelais
Oeuvres
de Virgile
Oeuvres
de Voltaire
Oeuvres_complètes
de Buffon
Où
est donc passe le Moyen Âge
Oeuvres
de M Gresset
Ouvres_complètes
de Montesquiau
Palestine
Or the Holy Land
Pentateuque,
Le Deutéronome
Philosophical
transactions of the Royal Society of London
Pièces
fugitives pour servir l'histoire de France
Pline
L'ancien Histoire Naturelle
Pratique
curieuse ou les oracles des Sibylles
Précis
de la géographie universelle
Précis
de l'histoire universelle
Primae
lineae breviarii antiquitatum Christianarum
Prophetae
minores perpetua annotatione
Proverbes
dramatiques
Ptolemy's
Tetrabiblos or quadripartite being four books of the influence of stars
Pythéas
de Marseille et la géographie de son temps
Quelques
éditions de la Sphère de Sacrobosco
Rapport
des Commissaires pour explorer le Saguenay
Recherches
géographiques et critiques sur le livre de Mensure orbis terrae
Recherches
historiques et géographiques sur le Nouveau Monde
Recherches
sur le culte de Bacchus symbole de la force reproductive de la nature
Recherches
sur le culte, les symboles, les attributs, et les monuments
figurés
de Vénus
Recueil
d'antiquités Égyptiennes, Étrusques, Grecques,
Romaines
et Gauloises
Recueil
de questions proposées à une société de
savants
Recueil
des voyages qui ont servi à l'établissement et au
progrès
de la compagnie des Indes orientales
Reflexions
critique sur la poésie et sur la peinture
Règne
de l'Empereur Domitien
Relation
des troubles qui ont régné dans la Ville de Genève
pendant l'année mil sept cent trente-quatre
Relation
du siège de Paris par Henri IV
Relation
du voyage de la commission scientifique de Morée
Relation
d'un voyage du Levant
Relation
d'un voyage du Levant
Relations
des quatre voyages entrepris par Christophe Colomb
Religions
de l'Antiquité
Révolution
française table alphabétique du moniteur
Révolutions
de Paris
Revue
belge
Revue
des deux mondes
Roman
history by Titius Livius
Sermons
Synonymes
françois
Système
de l'administration britannique
Système
tiré de l'Écriture sainte sur la durée du Monde
Table
alphabétique de l'histoire du bas empire
Table
générale des matières contenues dans l'histoire et
les mémoires de l'académie Royale des Sciences de Paris
Tableaux
historiques de l'Asie
Tablettes
chronologiques de l'histoire universelle sacrée et profane,
ecclésiastique
et civile
The
Ancient History of the Egyptians Carthaginians, Assyrians, Babylonians,
Medes and Persians, Mmacedonians and Grecians
The
Church history of Britain
The
Court of the GentilesThe Vanity of pagan
philosophie
The
Critical Review Or Annals of Literature
The
Crusaders
The
culture of the Teutons
The
Elder Eddas of Saemund Sigfusson
The
Genealogies Recorded in the Sacred Scriptures
The
Gentleman's Magazine
The
Gnostic Science of Alchemy
The
great empires of prophecy
The
Historical Evidences of the Truth of the scripture records
The
History of Banking in America
The
History of England from the Invasion
The
history of Gog & Magog
The
History of Rome
The
History of the Bucaniers of America
The
History of the Decline and Fall of the Roman Empire
The
History of the Jewish Church
The
History of Tom Jones a Foundling
The
Holy Bible containing the Old and New Testament and the Apocrypha
The
invasion of Europe by the Barbarians
The
Life of Lorenzo De Medici
The
Life of Sir Thomas More
The
Lord of the Isles
The
Missionary Gazetteer
The
Monthly Review or literary journal enlarged
The
New Annual Register Or General_Repository of history, politics and
literature
for the year 1806
The
New Mexico Historical review
The
North American Review
The
Persecution of the Jews in the Roman Empire
The
Pirate
The
Plays of William Shakspeare
The
Praiseworthy Virtues of the North
The
Sacred Manual containing a series of questions, historical, doctrinal
and
preceptive on the Sacred Scriptures
The
theory of celestial influence
The
treatise of Eusebius
The
Turbulent Career of a Monk of the Year 1000
The
Westminster Review
The
Works of John Locke
The
Works of Laurence Sterne
The
works of Samuel Johnson
The
Works of Sir Walter Ralegh
The
Works of the Rev Jonathan Swift
Traicté
des chiffres ou secrètes manières d'écrire
Traicté
des plus belles bibliothèques publiques qui ont
été
et qui sont à présent dans le monde
Traité
de la construction des chemins
Traité
de la sphère et du calendrier
Traité
de mécanique céleste
Traité
du beau
Travels
Through Turkey in Asia the Holy Land Arabia, Egypt and other parts of
the
world
Une
fête de Noël sous Jacques Cartier
Variations
on a Theme History as Knowledge of the Past
Victoires
conquêtes désastres revers et guerres civiles
Vie
de Dagobert Ier
Vies
des pères des martyrs et des autres principaux saints
Voiages
du RP Emmanuel Crespel, dans le Canada et son naufrage en revenant en
France
Voyage
autour de la mer Morte
Voyage
de la Grèce
Voyage
du jeune Anacharsis en Grèce
Voyage
du jeune Anacharsis en Grèce
Voyage
en Nubie et en Abyssinie
Voyage
littéraire de deux religieux bénédictins de la
congrégation
des Maures
Voyage
militaire dans l'Empire ottoman
Voyage_mystérieux
à l'isle de la Vertu
Voyages
de Jean Struys en Moscovie en Tartarie, en Perse, aux Indes et en
plusieurs
autres païs étranger
Voyages
de Rabbi Benjamin, fils de Jona de Tudèle en Europe, en Asie et
en Afrique depuis l'Espagne jusqu'à la Chine
Voyages
de Richard Pockocke en Orient dans l'Égypte l'Arabe
Voyages
du chevalier Chardin en Perse et autres lieux de l'Orient
Voyages
en Languedoc
Voyages
en Perse et autres lieux de l'Or
Vue
générale des progrès de plusieurs sciences
naturelles
Witnesses
to the Historicity of Jesus
Xenophon