Enfin de très bonnes nouvelles de Benjamen
Fulford :
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Vaccin contre le COVID-19 => SubstanceGéniqueProblème
http://www.zejournal.mobi/index.php/news/show_detail/21834
L’ancien vice-président et directeur
scientifique de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, et le Dr
Wolfgang Wodarg, spécialiste des poumons et parlementaire
allemand, ont déposé une
demande urgente auprès de l’Agence européenne du
médicament pour demander la suspension immédiate de toutes
les études sur le vaccin contre le SARS-CoV-2 – en
particulier l’étude BioNtech/Pfizer sur le BNT162b (numéro
EudraCT 2020-002641-42).
Yeadon et Wodarg affirment que les études devraient
être interrompues jusqu’à ce qu’une étude de conception soit
disponible, répondant à une série de graves
préoccupations en matière de sécurité exprimées par un nombre
croissant de scientifiques renommés qui sont sceptiques quant
à la rapidité avec laquelle les vaccins sont mis au point,
selon le journal allemand 2020 News.
D’une part, les pétitionnaires
demandent qu’en raison du manque connu de précision du test
PCR dans une étude sérieuse, un séquençage dit de Sanger
soit utilisé. C’est la seule façon de faire des
déclarations fiables sur l’efficacité d’un vaccin contre le
Covid-19. Sur la base des nombreux tests PCR de qualité très
variable, ni le risque de maladie ni l’éventuel
bénéfice d’un vaccin ne peuvent être déterminés avec la
certitude nécessaire, c’est pourquoi le fait de tester le
vaccin sur des humains est contraire à l’éthique en soi.
–2020 News
Ils soulignent également les préoccupations
soulevées dans des études antérieures portant sur d’autres
coronavirus, notamment (via 2020 News) :
- La formation d’anticorps dits “non
neutralisants” peut entraîner une réaction immunitaire
exagérée, en particulier lorsque la personne
testée est confrontée au vrai virus “sauvage” après la
vaccination. Cette amplification dite dépendante des
anticorps, l’ADE, est connue depuis longtemps grâce à des
expériences de vaccins corona chez les chats, par exemple.
Au cours de ces études, tous les chats qui avaient
initialement bien toléré la vaccination sont morts après
avoir attrapé le virus sauvage.
- On s’attend à ce que les vaccins produisent
des anticorps contre les protéines de pointe du SARS-CoV-2.
Cependant, les protéines de spicule contiennent
également des protéines homologues de la syncytine,
qui sont essentielles à la formation du placenta chez les
mammifères tels que l’homme. Il faut absolument exclure
qu’un vaccin contre le SARS-CoV-2 puisse déclencher une
réaction immunitaire contre la syncytine 1, car
sinon une stérilité de durée indéterminée pourrait
survenir chez les femmes vaccinées.
- Les vaccins à ARNm de BioNTech/Pfizer
contiennent du polyéthylène glycol (PEG). 70% des personnes
développent des anticorps contre cette substance – cela
signifie que de nombreuses personnes peuvent développer
des réactions allergiques, potentiellement mortelles, à la
vaccination.
- La durée beaucoup trop courte de
l’étude ne permet pas une estimation réaliste des effets
tardifs. Comme dans les cas de narcolepsie après
la vaccination contre la grippe porcine, des millions de
personnes en bonne santé seraient exposées à un risque
inacceptable si une autorisation d’urgence était accordée et
que la possibilité d’observer les effets tardifs de la
vaccination suivait. Néanmoins, BioNTech/Pfizer a
apparemment soumis une demande
- d’approbation d’urgence le 1er décembre
2020.