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Page 12
LA NOUVELLE HISTOIRE DU PASSÉ ET DU FUTUR
Le 01/12/99. ... Bravo,
vous êtes arrivés jusqu'à la fin de cette presque dernière
page. Je suis
vraiment
désolé pour vous, amis lecteurs, mais je vais abandonner
ce travail d'analyse
pendant quelque temps.
En effet
d'autres combats plus urgents me prennent en ce moment beaucoup de temps.
Il s'agit de l'Association YHAD-FRANCE (You Have A Dream)
Cette page n'est pas de moi. Je l'ai rajoutée début juin
2000 .
C'est un résumé du livre de Sitchin, par Roland Guétat,
[email protected]
A titre personnel, je
ne suis pas d'accord avec les datations de Sitchin, mais en fait cela n'a
que peu d'importance
sur l'ensemble de la démonstration que je tente d'amener sur ce
site, à
savoir que TOUS
les textes anciens, que nous appellons "légendes", parlent du passage
des
"dieux" sur Terre... et non pas de Dieu.
Qu'également
les Eglises, pour asseoir leur pouvoir temporel, nous montent d'énormes
bobards depuis quelques millénaires!
L’histoire de notre système solaire et de notre humanité
à la lumière
des textes sumériens
Roland Guétat
d’après le livre La douzième planète de l’archéologue
Sitchin
éd. Traces Oubliées. (épuisé)
-------------------------------------
Ce
pourrait être le titre d’un conte fantastique. C’est le titre d’un
livre édité par l’archéologue
Sitchin
en 1976, édition Traces Oubliées.
Sitchin
a déchiffré les tablettes d’écriture cunéiforme
de la civilisation sumérienne, première
civilisation
digne de ce nom, (dont se sont inspirées les civilisations successives)
et affirmait, 6
ans
avant que le satellite IRAS ne signale la course vers la Terre d’un astre
« inconnu
jusqu’alors
» (1982) et 12 ans avant que les ordinateurs de la NASA (1988) ne
calculent que son
orbite
passe entre Mars et Jupiter, l’existence d’une douzième planète
appartenant à notre
système
solaire...
Ce
sont 500 000 ans d’Histoire qui sont contenus dans ce livre extraordinaire
qui révèle que des
astronautes
bien plus sophistiqués que les nôtres sont venus sur terre
et ont fait chaque fois
brusquement
évoluer l’humanité, après en avoir été
les créateurs... Ceci est intitulé en sumérien
:
l’épopée de la Création.
Tout
ce qui nous est parvenu par bribes jusqu’à nos jours, notamment
à travers la Genèse
biblique
mais aussi d’autres traditions, s’éclaire d’une manière inouïe
avec les traductions
perspicaces
de l’archéologue. Enfin de l’archéologie qui ose décrire
le maillon manquant de
l’évolution
à rebrousse-poil du consensus de la pensée ambiante, et qui
répond aux questions
de
fond que tout un chacun peut se poser sans jamais obtenir traditionnellement
de réponses...
Comment
s’est constitué le système solaire ? D’où viennent
ses anomalies ? D’où proviennent
les
humains ? Ne sommes-nous que les fruits du hasard de l’évolution
? D’autres planètes
sont-elles
habitées ?
N’oublions
pas que nous sommes entrés depuis quelques décennies dans
la phase dite de
l’Apocalypse,
mot d’origine grecque qui signifie révélation. Et ce livre,
de même sans doute que
les
5 ou 6 autres qu’il a écrits depuis, en anglais, constitue bien
une révélation multiple.
Vous voulez en savoir plus ? Alors écoutez...
À
une époque lointaine, du Soleil ont émané Mercure
sur son orbite actuelle, puis une grosse
planète,
Tiamat, sur l’orbite des Astéroïdes, puis, sur leurs orbites
actuelles, Vénus et Mars.
Jupiter,
Saturne avec un satellite dénommé Gaga viennent ensuite.
En dernier naissent Uranus
et
Neptune. Evidemment tout cela prit beaucoup de temps...
Venant
de l’espace lointain, Nibiru (ou Mardouk ainsi rebaptisée plus tard),
n’était qu’une planète
à
peine née, crachant des flammes, émettant des radiations.
Dix corps célestes (le Soleil et ses
neuf
planètes) l’attendaient... Les planètes tournant dans le
sens contraire des aiguilles d’une
montre
sur le même plan, Mardouk faisait irruption dans le sens opposé.
Nibiru
passa d’abord près de Neptune qui l’attira dans le système
solaire. (Fig.1) Nibiru en fut
déformée
mais ce n’est qu’en avoisinant Uranus que s’échappèrent de
la voyageuse 4 satellites
appelés
vents. Saturne puis Jupiter provoquèrent le jaillissement de 3 autres
satellites et
incurvèrent
davantage son orbite vers le centre du système solaire, vers Tiamat...
De celle-ci
jaillirent
alors onze satellites dont le plus important Kingu. A ce moment-là,
Gaga se détacha de
Saturne.
Elle devint par la suite Pluton avec son orbite originale.
«
Mais les deux planètes n’entrèrent pas en collision, ce qui
constitue un fait d’une très grande
importance
astronomique : les satellites de Nibiru - et non Nibiru-même - s’écrasèrent
contre
Tiamat.
Ils déformèrent le corps de Tiamat » tandis qu’une
énorme décharge électrique émanée
de
Nibiru neutralisa Tiamat.
«
La première rencontre entre Nibiru et Tiamat la laissa fissurée
et sans vie » mais cela donne
l’explication
des comètes. « Nibiru, allant à grande allure dans
la direction opposée, sur son plan
orbital
propre, brisa, cassa les hôtes de Tiamat dont il fit de petites comètes
et leur imposa sa
force
de gravité. » Ce qui donne aussi le pourquoi de leur sens
orbital inverse. C’est à ce
moment-là
aussi que le point orbital solaire de Nibiru fut établi, «Nibiru
devait toujours retourner
aux
lieux de la bataille céleste. » (fig. 2)
Ainsi
3 600 ans plus tard Nibiru revint, ayant achevé sa première
révolution autour du soleil. » Il
frappa
lui-même Tiamat, la fendant en deux. Un de ses satellites «heurta
la moitié séparée
destinée
à devenir la Terre et la fit dériver jusqu’à une orbite
où aucune planète n’était encore
jamais
allée. La Terre avait été créée ! tandis
que Kingu entièrement dévasté, qui avait acquis
une
orbite indépendante lors du précédent passage de Nibiru,
la perdit et devint satellite de la
Terre
désormais appelé la Lune.
3 600
autres années plus tard, une autre destinée fut réservée
à l’autre moitié. Nibiru la frappa
et
la réduisit en mille morceaux. C’est là que furent créés
le Ciel et la Terre, les Astéroïdes
devenant
un bracelet martelé dans les cieux séparant les planètes
intérieures des planètes
extérieures.
Ces
événements nous donnent de surcroît l’explication de
la concentration des continents d’un
seul
côté tandis qu’à l’opposé existe une cavité
profonde, le lit de l’Océan Pacifique.
La
Terre donc reçut sa propre orbite autour du soleil (dont les saisons
résultent ) et son
mouvement
de rotation axiale (donnant le jour et la nuit ). Les concepts de la Bible
sont
identiques
:
Et Dieu dit :
« Qu’il y ait des Lumière dans le Ciel martelé,
afin de diviser le Jour et la Nuit ;
Et laissons-les être des signes célestes
et pour les saisons et pour les jours et pour les Années. »
Les
tablettes s’accordent avec la pensée des savants modernes sur la
période suivante. Une
fois
la Terre devenue planète, elle fut une boule bouillante de volcans
en éruption remplissant
les
cieux de brumes et de nuages. Dès que les températures commencèrent
à refroidir, les
vapeurs
se transformèrent en eau, divisant la face de la Terre en terres
sèches et en océans.
Après
quoi se situe le commencement de la vie sur Terre, dans les eaux, tout
d’abord puis les
créatures
qui nagent et les oiseaux qui volent. Alors seulement les créatures
vivantes selon leur
espèce
: le bétail et les choses rampantes et les bêtes apparurent
sur Terre, culminant avec
l’apparition
de l’homme.
Mais
si la vie apparut sur Terre, c’est pour avoir été fécondée
par Nibiru alias Mardouk, lors de
la
collision...
La
vie, conclurent les scientifiques, ne se développa pas sur les planètes
terrestres
aux
composants chimiques lourds, mais aux limites du système solaire.
De ses limites
du
système solaire, la Douzième Planète vint en notre
milieu, une planète rougeâtre,
rayonnante,
engendrant et irradiant sa propre chaleur, fournissant avec sa propre
atmosphère
les ingrédients indispensables à la chimie de la vie.
Si énigme il y a, elle réside dans l'apparition de la vie
sur Terre. La Terre fut formée il y
a
quelque 4 500 000 000 ans, et les scientifiques croient que les formes
les plus
simples
de vie y étaient déjà présentes, quelques centaines
de millions d'années
après.
Croire à l'apparition aussi rapide que cela de la vie découle
d'une simplicité
d'esprit
qui ne peut pas ne pas être dérangeante.
Nous
possédons également de nombreux indices prouvant que les
formes de vie les
plus
vieilles et les plus primaires, datant de plus de 300 000 000 d’années,
étaient
composées
de molécules d'origine biologique et non pas non biologique. En
d'autres
termes
cela signifie que la vie qui existait sur Terre, si peu de temps après
que cette
dernière
ne naquit, était elle-même une descendante d'une forme de
vie antérieure et
non
pas le résultat d'une combinaison de gaz et de produits chimiques
inanimés.
Tout
cela indique aux scientifiques stupéfaits que la vie, qui ne pouvait
pas se
développer
facilement sur Terre, ne s’y est tout simplement pas développée.
Dans un
article
pour le magazine scientifique Icarus (sept 1973) le prix Nobel Francis
Crick et le
Dr.
Leslie Orgel ont avancé la théorie selon laquelle «
la vie sur Terre pourrait être née
d'organismes
minuscules venus d'une planète lointaine ».
Ils ont propulsé leurs études hors du carcan des réticences
bien connues des
savants
pour ce qui est des théories actuelles sur les origines de la vie
sur Terre.
Pourquoi
n'existe-t-il qu'un seul Code génétique pour tout ce qui
vit sur Terre ? Si la
vie
a commencé dans un bouillon originel, comme le croient la plupart
des
scientifiques,
des organismes à Codes génétiques multiples
auraient dû se
développer.
De même, pourquoi le molybdène joue-t-il un rôle clé
dans les réactions
d’enzymes
qui sont essentielles à la vie lorsque qu'on sait que le molybdène
est un
élément
extrêmement rare ? Pourquoi les éléments qui sont très
abondants sur Terre,
tel
le chrome ou le nickel, sont-ils si peu importants dans les réactions
biochimiques ?
Cette
théorie bizarre avancée par Crick et Orgel ne se bornait
pas à dire que toute vie
sur
Terre pouvait être née d'un organisme d’une autre planète,
elle suggérait
également
qu'un tel ensemencement procédait d'un acte délibéré
- que des êtres
intelligents
habitant une autre planète lancèrent de cette planète
la semence de vie
sur
Terre dans le but d'y enclencher la chaîne de la vie.
Même sans l’aide des données que nous fournit ce livre, ces
deux éminents
scientifiques
avaient presque trouvé la vraie solution. Il n'y eut pas d'ensemencement
prémédité
; en revanche, il y eut une collision céleste : une planète
porteuse de vie, la
Douzième
Planète, accompagnée de ses satellites, entra en collision
avec Tiamat et la
brisa
en deux, créant la Terre à partir d’une des moitiés.
Lors
de cette collision, le sol fertile et l'atmosphère de la Douzième
Planète
ensemença
la Terre, lui donnant les toutes premières formes biologiques et
les
complexes
de vie dont on ne put pas s'expliquer autrement l'apparition si récente.
Si la vie sur la Douzième Planète a commencé ne serait-ce
que 1% plus tôt que celle
sur
la Terre, elle commença alors 45 000 000 ans plus tôt. Même
avec cette marge
infinitésimale,
des êtres aussi développés que l'homme auraient vécu
sur la Douzième
Planète
alors que la premiers petits mammifères venaient à peine
de faire leur
apparition
sur Terre.
Ayant
cette amorce de vie plus précoce sur la Douzième Planète,
il est vraiment
possible
que ses habitants aient été capables de voyager dans l'espace,
il y a déjà 500
mille
ans.
Seuls,
les Néfilim - tel est le nom donné dans les tablettes sumériennes,
purent
désigner
la terre sous le nom de la Septième planète, puisqu’ils venaient
de l’extérieur
du
système solaire. De Pluton à la Terre se comptent effectivement
7 planètes.
L’ÉPOPÉE DE LA CRÉATION
Nous
y apprenons que les «dieux » vinrent sur Terre conformément
à la décision de leur chef,
Mardouk
(version babylonienne) après que le sol de la Terre séchât
et durcît pour pouvoir s’y
poser
et entreprendre les premières constructions.
«
Quand du haut des cieux vous descendrez en assemblée, la nuit il
y aura un gîte pour chacun
de
vous. - Je l’appellerai Babylone - La porte des Dieux. »
Il
est donc clair qu’ils ne venaient pas sur Terre pour une simple visite
mais pour s’y installer
définitivement.
La Terre était à cette époque en pleine période
glacière qui commença il y a
quelques
600 000 ans. Le premier réchauffement eut lieu il y a 550 000 ans.
La seconde
glaciation
dura de 480 000 ans à 430 000 ans.
Premier
atterrissage il y a 450 000 ans environ. Le niveau des mers se trouvait
180 à 210 m
plus
bas que de nos jours. Une seule zone étroite et tempérée
de notre planète offrait les
conditions
favorable à la vie, du point de vue climatique. Celle du Nil, de
l’Indus et celle du Tigre
-
Euphrate. La terre des deux fleuves, la Mésopotamie, fut retenue
du fait de ses richesses en
pétrole,
car il est fait état que les Néfilim utilisaient abondamment
le pétrole et ses dérivés. On
sait
aussi qu’il amerrirent lors de leurs premières venues sur Terre,
(« les hommes-poissons »)
et
seule la Mésopotamie offrait deux mers : l’Océan indien au
Sud et la Méditerranée à l’Ouest
facilitant
son accès. Le Golfe persique n’était pas alors une mer mais
une étendue marécageuse
impropre
à l’amerrissage. Eridou « maison construite au loin »
fut la première base des Néfilim.
Cela
se fit sous l’égide du roi Enki, ainsi que 4 autres villes par la
suite. Il y eut des actions
d’assainissement,
de canalisation de rivière, de remblayage, de construction de digues,
d’assèchement
et de purification de l’eau.
Si
Enki atterrit sur Terre - comme nous ne pensons - à la fin de l’âge
des Poissons, il fut témoin
de
l’entrée, due à la précession, dans le Verseau, et
resta la durée d’une Grande Année (25
920
ans) jusqu’à ce que commença l’âge du Capricorne ;
alors il fut, en effet, seul à commander
sur
Terre pendant une prétendue durée de huit shar’s, soit 28
800 ans, le shar’s couvrant 3600
ans.
Pendant
qu’Enki œuvrait sur Terre en tant que pionnier, Anou (son père)
et son autre fils Enlil,
sur
la 12° planète en observaient les développements. D’après
les textes, le responsable de la
mission
sur Terre apparaît être Enlil. Dès qu’il fut décidé
de poursuivre la mission, Enlil lui-même
descendit
sur Terre. Une base spéciale, Larsa, fut construite. Cela s’est
produit avec l’entrée
dans
l’ère du Bélier. Une nouvelle phase de la colonisation commença
: il s’agissait de ramener
sur
Nibiru des cargaisons de grandes valeurs (Or - argent - cuivre...) Cela
nécessita l’envoi sur
Terre
de beaucoup de « main d’œuvre » d’outils et d’équipements.
Les
amerrissage ne suffisaient plus. Les transformations climatiques rendirent
l’intérieur des
terres
accessibles. C’est à ce moment que Larsa y fut construite, base
de contrôle et de guidage
sophistiquée
pour assurer les voyages allers et retours dans l’espace. Les Néfilim
disposaient
alors
d’un vaisseau spatial en orbite autour de la Terre et de navettes.
Enlil
resta à Larsa durant 6 shar’s (21 600 ans) tandis que l’on construisait
Nippour qui fut
établie
à l’âge du Taureau.
Il
est certain qu’Enlil y avait à sa disposition quelques instruments
hautement élaborés : « un œil
placé
très haut qui scrute la Terre » et « rayon élevé
qui fouille le cœur de toute la Terre ».
Nippour
était protégé par de redoutables armes : « aucun
dieu puissant ne peut approcher son
extérieur
»; « son bras » était « un vaste filet »
et en son centre était tapi « un oiseau à la course
rapide
», un oiseau à la « main » duquel les méchants
et malfaisants ne pouvaient échapper. Au
centre
de Nippour se trouvaient les quartiers généraux d’Enlil où
s’élevait le centre de
communication
de la mission de contrôle, l’endroit d’où les Announaki (espèce
de dieux
inférieurs)
qui vivaient sur Terre communiquaient avec leurs camarades dans leur vaisseau
en
orbite
autour de la Terre.
Dans
ce centre s’élevait un « haut pilier pointant vers le ciel
» par lequel « la parole d’Enlil
touchait
le ciel » ce qui avait pour effet que « l’abondance se déversât
sur la Terre » : matériaux,
nourritures
spéciales, médicaments et outils étaient apportés
par la navette dès que « l’ordre »
de
Nippour avait été lancé.
Dans
le centre de contrôle était une chambre mystérieuse
nommée DIRGA. Ce devait être le lieu
où
étaient conservées les cartes des étoiles, où
les ME (les télécommunications des
astronautes)
étaient reçues et transmises. Ce qui rappelle en tout point
la Mission de Contrôle
de
Houston qui suivait les astronautes lors de leur mission sur la Lune.
- 450 000 ans : atterrissage d’Enki sur Terre (ère des poissons)
à
l’ère de la Vierge Ninhoursag, (sœur d’Enki et d’Enlil) est placée
à la tête du centre médical
des
Néfilim à Shourouppak.
A l’ère
des gémeaux, Nannar / Shin, fils d’Enlil est installé à
Bad -Tibira, centre industriel.
Naissance
de jumeaux dans la famille d’Enki : Inanna /Ishtar et de Outou / Shamash
A l’ère du Taureau Nippour est établie
En
- 424 080, à l’ère du Bélier, Enlil prend le commandement
du lieu Enkidounou : le
«
commandement de la Terre est retiré à Enki qui est alors
nommé Ea, le Seigneur des eaux. »
Des 7 premières villes, Larak est la dernière confiée à Ninourta, fils d’Enlil
LE PLAN DES 7 CITÉS
LA RÉVOLTE DES ANNOUNAKI
Le
Monde d’En-Bas était l’hémisphère Sud où se
trouvait la terre d’Arali, « lieu des filons
brillants
». Les Néfilim connaissaient aussi l’Afrique australe vu les
sceaux représentant les
animaux
typiques de ces régions.
Ea
n’était pas le Seigneur d’une « profondeur d’eau » mais
le dieu chargé de l’exploitation des
minéraux
de la Terre.
AB.ZU
signifie source profonde originelle, pas nécessairement d’eau. Dans
le bassin du
Zambèze
des traces d’activités minières ont été datées
de 2000 av. JC jusqu’à 70 000 à 80 000
av.
J.C. ! Ce qui a fait supposer l’origine de l’homme moderne en Afrique.
Les
savants modernes divisent les activités de l’homme sur Terre en
4 âges : de pierre, du
bronze,
du fer ... Cependant toutes les traditions anciennes s’accordent sur la
séquence : or,
argent,
cuivre, fer. Il semble que les Néfilim vinrent sur Terre pour l’or
et les métaux associés,
peut-être
aussi d’autres métaux rares tel le platine qui permet de créer
des batteries. Peut-être
aussi
l’uranium et le cobalt « les pierres bleues qui rendent malades »
du Monde d’En-Bas.
Quelles
fut la main d’œuvre employé par les dieux ? Ce sont les Annunaki,
« dieux du ciel et de
la
Terre ». Dans les textes sumériens, ils sont décrits
comme des dieux subalternes ayant fait
partie
de la colonisation de la Terre, les dieux « qui accomplissent les
tâches ». Ils étaient de
véritables
astronautes encore appelés IGIGI. Shamash était le chef des
« aigles » dont les
navettes
voyageaient sans cesse entre les vaisseaux en orbite et la Terre.
Il
est vraisemblable que les Néfilim escomptèrent dans un premier
temps extraire les minéraux de
la
mer. Cela réfère aux « hommes-poissons » sous
les ordres d’Ea (Enki) qui utilisaient des
«
elipu ebiti » bateaux submergés. Par ailleurs, la Terre des
Mines était appelée auparavant
ARALI
« lieu des eaux des filons brillants » ce qui signifiait
possiblement une terre d’où l’or
pouvait
être extrait à la batée dans les rivières.
Ces
projets apparemment n’aboutirent pas car peu de temps après l’établissement
dans
l’hémisphère
Sud (Terre d’En-Bas et non les Enfers...) une tâche imprévue
et des plus dures fut
confiée
aux Announaki : descendre dans les profondeurs de la terre africaine pour
y extraire les
minéraux
nécessaires. Ce lieu d’exploitation minière KURNUGIA fut
interprété comme « terre du
non-retour
». Sa signification littérale était : « terre
où les dieux qui travaillent dans de profonds
tunnels
entassent les minerais ».
C’était
dans une ère où les hommes n’existaient pas encore, tel que
l’affirment les sources
anciennes.
Ishtar relate que les Announaki travaillaient dur, mangeant de la nourriture
mêlée à
l’argile
et buvant de l’eau impure.
Une
longue épopée commence ainsi : « Lorsque les dieux
comme des hommes devaient
travailler.
» Et ce travail harassant dura 40 « périodes »
(40 shar’s soit 40 x 3600 ans = 144 000
ans
) Les Announaki se révoltèrent et Anou en personne offrit
une solution : qu’un lulu, un
«
travailleur primitif » soit créé ! Cela fut accepté
sur-le-champ. Les dieux votèrent à l’unanimité
la
création du « Travailleur », « Homme sera son
nom » dirent-ils.
La
mutinerie des dieux avaient conduit à la création de l’homme.
Ce fut à Mami, la déesse des
naissances,
que fut confié cette tâche avec l’aide d’Ea.
LA CRÉATION DE L’HOMME.
Tous
les textes sumériens affirment que les dieux créèrent
l’homme pour qu’il accomplisse leur
travail.
Donnant l’explication des lèvres de Mardouk (dieu dont le nom a
été assimilé par la suite
à
la 12° planète, Nibiru, dans les textes mésopotamiens)
l’Épopée de la Création rapporte ainsi
la
décision :
«
Je créerai un Primitif inférieur - Il s’appellera Homme.
- Je créerai un travailleur primitif - sa
tâche
sera de servir les dieux - afin qu’ils soient plus à leur aise.
»
Le
mot communément traduit par « vénérer »
était en fait avod signifiant travailler. L’homme ancien
et biblique
ne « vénérait » pas son dieu, il travaillait
pour lui.
Et le seigneur Dieu * prit « l’homme »
et le plaça dans le jardin de l’Éden
pour qu’il le cultive et le soigne
dit
la Bible, au détail près d’une immense importance que les
textes sumériens parlent, eux, des
dieux.
(*) La volonté des rédacteurs de la Bible d’imposer le monothéisme
a conduit à la
falsification
des faits historiques quitte à les rendre obscures et incohérents
:
Et Élohim dit :
« Créons l’homme à notre image,
à notre ressemblance. »
Or
le mot Élohim signifie littéralement « divinitéS
» que la Genèse utilise pour parler de
«
Dieu »... Plus loin encore dans la Genèse : « Regardez
bien, l’homme est devenu l’un des
nôtres,
il connaît le bien et le mal. » À qui donc peut s’adresser
ce dieu unique dans la
perspective
monothéiste, et qui était le « nous » à
l’image desquels l’homme devait être créé et
le
fut, puis eut l’outrecuidance de devenir semblable à eux ?...
Le
premier homme (homo sapiens) fut appelé Adam parce qu’il fut créé
à partir de l’Adama, le
sol
de la Terre. Il était en d’autres termes, le « terrien ».
Il ne lui manquait qu’un certain
«
savoir » (référence à « l’arbre de la
connaissance » et une durée divine de vie (référence
à
«
l’arbre de vie »)
Sur
les illustrations anciennes la ressemblance entre les dieux (les Néfilim)
et les hommes est
évidente.
Mais
comment donc l’homme fut-il créé ? L’évolution peut
expliquer le cours général des
événements
qui se développèrent sur Terre; la vie et les formes de vie,
de la créature unicellulaire
jusqu’à
l’homme. Mais l’évolution ne peut pas expliquer l’apparition de
l’homo sapiens qui se
produisit,
pour ainsi dire, du jour au lendemain, étant donné les millions
d’années que demande
l’évolution,
et le manque de toutes traces d’étapes antérieures pouvant
indiquer un changement
progressif
à partir de l’homo erectus. L’hominidé du genre homo est
un produit de l’évolution.
Mais
l’homo sapiens est le fait d’un événement révolutionnaire
et soudain. Il est apparu de
manière
inexplicable il y a 300 000 ans, des millions d’années trop tôt
! Les savants n’ont
aucune
explication. Les textes sumériens et babyloniens en ont une ; l’Ancien
Testament aussi :
il
fut créé par les dieux.
Les
anciens textes citent précisément l’époque à
laquelle l’homme fut créé. Les Announaki se
révoltèrent
144 000 années terrestres (40 shar’s) après leur atterrissage
sur Terre il a quelques
450
000 ans, en période glacière. La création de l’homme
eut alors lieu il y 300 000 ans !
Le
point clé se trouve dans le conte qui montre Enki endormi, que l’on
vient réveiller pour le
prévenir
que les dieux ont décidé de former un Adam et qu’il était
de son devoir d’en trouver la
façon
; il répondit : « Cette créature dont vous avez prononcé
le nom - Elle EXISTE ! » et il ajouta
:
« Apposez sur elle l’image des dieux ; »
Les
Néfilim ne créèrent pas l’homme à partir de
rien. Il prirent une créature existante et la
manipulèrent
pour « y apposer l’image des dieux ».
C’est
un singe humanoïde qui dut être la créature initiale,
un homo erectus dont un conte
sumérien
dit ceci :
Lorsque l’humanité fut créée
Ils ne savaient pas manger le pain,
Ils ne connaissaient pas le port du vêtement
Ils mangeaient des plantes avec leur bouche comme des moutons
Ils buvaient l’eau des fossés »
Un tel animal humain est également décrit dans l’Epopée de Gilgamesh :
Des poils touffus recouvraient tout son corps
Ses cheveux étaient semblables à ceux d’une femme...
Il ne connaît ni gens, ni terres
Il côtoie les animaux sauvages aux points d’eau ;
Un chasseur dans le même texte raconte sa rencontre avec un tel être :
« Il remplissait les fosses que j’avais creusées
il détruisait les pièges que j’avais posés
les bêtes et les créatures de la steppe
il les a fait glisser de mes mains. »
De
nombreux sceaux cylindriques restituent l’image de l’homme singe ébouriffé
parmi ses amis,
les
animaux.
Pour
les Néfilim l’idée avait été de domestiquer
un animal qui conviendrait. Mais l’homo erectus
posait
un problème. D’un côté, il était trop intelligent
et sauvage pour ne devenir qu’une simple
bête
de somme docile. D’un autre, il n’était pas vraiment fait pour la
tâche : il fallait changer son
corps
physique, et son cerveau pour qu’il pût comprendre le langage et
les ordres. Il n’était pas
question
d’une lente domestication, vu l’urgence de la situation.
Des
textes anciens mentionnent que la divinité Bélus fit apparaître
divers «êtres hideux produits
par
un principe à double forme ». « Il y avait, en résumé,
des créatures avec les membres de
toutes
les espèces d’animaux dont il reste des dessins préservés
dans le temple de Bélus à
Babylone
» écrivait un certain Bésorus.
Il
est vraisemblable que ces êtres étaient le produit de manipulations
génétiques sortis des
laboratoires
biologiques des Néfilim, expériences sans succès commémorées
par l’art et les
statues.
Les
textes sumériens mentionnent aussi des êtres humains déformés
créés par Enki (Ea) et la
déesse
mère Ninhoursag. Après 6 tentatives imparfaites fut créé
l’homme parfait nommé Adapa.
Adam
par la Bible ou homo sapiens par nos savants. Grâce à ce produit
final, les Néfilim se
trouvaient
génétiquement compatibles avec les filles de l’homme, pouvaient
les épouser et avoir
des
enfants avec elles. Mais cette compatibilité n’aurait pu exister
si l’homme n’avait été
développé
à partir de la même «graine de vie » que les Néfilim.
Ce dont font état le concept
mésopotamien
et la Bible par le «mélange du sang d’un dieu et de l’argile
terrestre. Le lulu (le
Travailleur
primitif) signifie littéralement «celui qui a été
mélangé ». Le mot Adam en sumérien
pouvait
signifier «celui de la Terre », « celui de la terre rouge
foncée » et « celui fait de sang ».
Ea
et Ninhoursag travaillaient dans la maison de Shimti. Ce mot en sumérien
signifie «souffle
vent
vie » et Bit Shimti : la maison où est insufflé le
vent de la vie. Le mot akkadien pour traduire
DHI.IM.TI
était napishtu proche du terme biblique nephesh : « quelque
chose de fugitif dans le
sang
».
Pour
modeler l’homme à partir du «mélange d’argile »
il fallut l’aide d’une femme féconde et
capable
de porter un enfant ; Enki proposa les services de son épouse :
Ninki mon épouse déesse
sera celle à enfanter.
Dans le conte d’Adapa, Aniu parle d’Adapa (Adam) comme «la progéniture humaine d’Enki ».
Après
sa naissance, des dieux réclamèrent des répliques.
Ce qui renseigne sur le procédé par
lequel
l’humanité fut «créée ».
La
Bible par trop de «contractions » se met en contradiction avec
elle-même entre différents
chapitres
de la Genèse
Elohim créa l’Adam à son image... Mâle et femelle Il le créa
au
chapitre 5, idem. Mais au chapitre 2 «Adam était seul, Dieu
l’endormit et façonna la femme à
partir
de sa « côte ».
En
fait les contradictions disparaissant à la lueur des sources sumériennes
: les premières
tentatives
de créer un Travailleur primitif en mélangeant les hommes-singes
aux animaux
échouèrent.
Les Néfilim tentèrent ensuite le mélange avec eux-mêmes.
Après plusieurs échecs,
un
«modèle » Adapa/Adam fut créé. Il n’y
eut donc, en premier lieu qu’un seul Adam. Une fois
qu’il
se fut révélé viable, Adapa fut utilisé comme
modèle génétique ou «moule » pour la création
de
répliques qui ont été mâles et femelles. En
sumérien le mot TI signifiant «côte » et «vie
» cela
confirme
qu’Eve était faite de « l’essence vitale » d’Adam.
Puis
par le même procédé de transmission des gênes
de dieux fécondant des ovules d’homo
erectus,
transplanté dans des déesses porteuses, naquirent d’autres
homo sapiens.
Il
est vraisemblable que ces manipulations génétiques furent
accomplies dans le monde
d’En-Bas,
l’Apsu, c’est-à-dire au sud-est de l’Afrique, car c’est ce que mentionnent
de nombreux
textes.
Les
premiers homo sapiens furent affectés directement dans les Mines
et cela, par la suite
généra
de la discorde entre les dieux. En effet les Anounnaki de Sumer n’étaient
toujours pas
allégés
sans leurs tâches agricoles. Ils obtinrent satisfaction et «Adam
» fut placé dans le jardin
d’Eden
pour travailler et l’entretenir.
LA FIN DE TOUTE CHAIR
Si
l’humanité conserve inconsciemment la sensation qu’en ces premières
époques l’homme
vécut
une période de paix et de bonheur, c’est tout simplement par pure
ignorance !
L’arbre
de la Connaissance réfère à la prise de conscience
de la sexualité humaine qui s’oppose
à
la sexualité animale mue par des cycles précis purement et
naturellement dirigés pour la
reproduction
ou l’accroissement des espèces.
L’Arbre
de Vie réfère à la durée de la vie : le «vivre
pour toujours » de la Genèse est sans doute
abusif.
Les «immortels », les Néfilim ont été
caractérisés comme ayant une durée de vie de 120
shar’s
soit 3600 x 120 = 432 000 ans terrestres soit mille fois plus que les humains
de l’époque
qui
pouvait vivre semble-t-il 3 à 400 ans.
Dans
leur service aux Néfilim, les humains étaient complètement
nus, aussi bien lorsqu’ils
servaient
à ses dieux le boire et le manger que lorsqu’ils travaillaient dans
les champs ou sur les
chantiers.
Le
manque de «connaissance » signifit-il que nu comme un animal,
l’être nouvellement créé
copulait
comme ou même avec les animaux ? L’épopée de Gilgamesh
(textes sumériens)
suggère
que les mœurs sexuelles servaient à distinguer l’homme sauvage de
l’homme humain.
Ainsi
le processus consistant à «civiliser » l’humain animal,
Enkidou passa par une initiation
sexuelle
de plusieurs jours qui eut pour effet que ses amis, les bêtes sauvages,
détalèrent en le
voyant...
« A présent, il avait une vision, une plus grande compréhension...
La prostituée lui dit :
Tu as la connaissance maintenant Enkidou
Tu es devenu comme un dieu ! »
Tant
qu’il manquait la connaissance à Adam et Ève, ils vivaient
sans descendance dans le jardin
d’Éden.
Ce n’est qu’après l’acquisition de cette connaissance qu’Adam «
connut » Ève et qu’elle
conçut
et donna naissance (dans la douleur) à Caïn.
Il
n’est aucunement surprenant que les premiers représentants d’homo
sapiens fussent
incapables
de se reproduire, l’être nouveau étant un hybride, un croisement
entre deux espèces
différentes,
quoique ayant des relations entre elles ; comme une mule (croisement d’une
jument
avec
un âne), un mammifère hybride est stérile. Grâce
à l’insémination artificielle ou d’autres
méthodes,
il est possible de produire autant de mules que souhaité sans recours
à la jument et à
l’âne.
Les Néfilim se contentèrent-ils, tout d’abord de créer
des « mules humaines » dont ils
avaient
besoin ?
Sur
une gravure, on voit Enki avec Ninti, son épouse et collaboratrice
(la déesse mère) entourés
de
déesses subalternes et face à eux, des rangées d’êtres
humains dont le trait le plus frappant
est
qu’ils sont tous semblables, comme produits d’un même moule.
Un
ancien conte sumérien parle des mâles et femelles imparfaits
qu’Enki et Ninti firent naître au
commencement
: ils étaient dénués de sexualité. Une fois
le «modèle parfait » mis au point
(Adapa
/ Adam) Enki recourra aux techniques décrites dans les textes sumériens
: implantation
des
ovules traités génétiquement chez des déesses
porteuses. Cela indique que ce « modèle »
parfait ne pouvait pas procréer lui-même.
Le
Serpent de la Bible n’était certes pas un vulgaire serpent : il
pouvait tenir une conversation
avec
Ève, il connaissait la vérité au sujet de la «connaissance
» et il était d’un rang très élevé
pour
se permettre de dévoiler, sans hésitation, le mensonge de
la divinité... Enki a-t-il été
capable
de pourvoir les hybrides Adam et Ève d’un double ensemble de chromosomes
dans
leurs
cellules génétiques pour les rendre sexuellement «
normaux » ? Est-ce cette modification
que
le dieu Enki (le Serpent) apporta à l’humanité ?
Le
conflit entre le «Dieu » de la Bible et le « Serpent
» n’est qu’un écho du conflit qui opposa le
Néfilim
Enki (sous les traits du Serpents) et son frère Enlil. Enki avait
été le pionnier sur Terre et
il
dut céder sa place à Nippour à son frère Enlil,
tandis qu’il fut affecté au Monde d’En-Bas
(région
du Zambèze) pour organiser les opérations minières.
La
mutinerie des Announaki fut dirigée contre Enlil et son fils Ninourta.
Le Dieu défenseur des
mutins
fut Enki qui procéda à la création des Travailleurs
Primitifs. Et ce n’est que par la force
qu’Enlil
put en obtenir quelques-uns
Le
mot serpent vient de Nahash (serpent) qui provient de la racine NHSH =
«déchiffrer,
découvrir
». En conséquence Nahash pourrait vouloir dire «celui
qui peut déchiffrer, celui qui
découvre
les choses », une épithète qui convient à Enki,
le principal savant des Néfilim.
Un
texte mésopotamien confirme ces suppositions : le dieu qui accorda
la connaissance à Adapa
n’était
autre qu’Enki.
Il perfectionna pour lui une grande compréhension...
La sagesse - il la lui avait donnée
À lui, il avait donné la Connaissance
La vie éternelle, il ne lui avait pas donnée.
Donc:
A/
création du Travailleur Primitif
B/
création de l’homo sapiens
Après que l’homme eut acquis la connaissance, l’A.T.(Ancien Testament) cesse de le désigner par « l’Adam » et il adopte pour sujet Adam, une personne spécifique, le premier patriarche de la lignée du peuple biblique.
Cependant
cette prise de conscience de l’homme marqua aussitôt le début
du schisme entre les
dieux
et l’homme : celui-ci n’était plus un serf muet des dieux, mais
une personne se prenant en
charge.
Cette
séparation fut une décision des dieux eux-mêmes et
non des hommes : cela pour éviter
qu’ils
acquièrent également la capacité d’échapper
à la mort, raison de l’expulsion du Jardin
d’Éden,
en direction de l’est dans la chaîne de montagne de Zagros.
À
un moment donné, il fut permis aux humains bannis d’Éden
de revenir en Mésopotamie vivre
auprès
des dieux, de le servir et de les vénérer. Cela se déroula
au temps d’Énosh.
-----------
(Adam
/ Ève -> Caïn -> Enoch -> Méthuselah (= homme du missile)
-> petit-fils d'Abel -> arrière
petit-fils
à la 5° génération -> Lamech * -> Noah
---------
* À
ce stade Adam « connut » sa femme à nouveau et
engendra Seth -> Enosh -> Caïnan ->
Mahalal-El
-> Jared -> Énoch (qui à l’âge de 365 ans fut transporté
au Ciel par la Divinité, les
fameuses
Ascensions bibliques…).
Lamesh,
à propos de son fils avait dit : « Que celui-ci nous réconforte
de notre travail et de la
souffrance
de nos mains qu’impose le terre que la divinité a maudite ».
Lorsque Noé (Noah)
naquit,
l’humanité souffrait de grandes privations. Tout était en
place pour le déluge,
l’événement
monumental qui devait détruire de la surface de la Terre toute forme
de vie dont la
race
humaine.
La
divinité était affligé par le mauvais «désir
des pensées de l’homme ». L’homme semblerait-il,
après
avoir découvert la sexualité, était devenu un maniaque
sexuel ! Qui peut accepter le fait
que
la divinité ait pu décider d’annihiler l’humanité
simplement parce que les hommes firent trop
l
’amour à leurs femmes ? D’autant que les textes parlent éloquemment
et ouvertement des
rapports
sexuels des dieux... La cause du désir d’extermination des humains
devait tenir de
l’écœurement
lié à l’attitude grandissante de profanation des dieux eux-mêmes
:
Les fils des divinités
virent les filles des Terriens
et elle étaient compatibles
et ils prirent pour eux-mêmes
des femmes qu’ils choisirent.
L’esprit
des dieux, le perfectionnement génétique de l’humanité,
commençait à se détériorer.
L’humanité
s’était «égarée » revenant ainsi plus
près de ses origines simiesques. En se mariant
avec
les hommes et les femmes d’une descendance génétique de moins
en moins pure, les
dieux
se soumettaient eux-mêmes à cette détérioration.
La Bible souligne que Noé était «un
homme
juste... pur dans ses généalogies » raison pour laquelle
« Dieu » entreprit de la sauver
ainsi
que ses descendants et « chaque animal sain »...
Noé
fut prévenu seulement 7 jours avant le déjuge qui dura 150
jours (5 mois). Son arche
reposa
sur les Monts d’Ararat. Noé avait alors 600 ans mais ce n’est qu’un
an et 10 jours après
son
embarquement que Noé put sortir de son arche. Aussitôt il
construisit un autel pour offrir sur
le
bûcher des sacrifices à la divinité :
Et la divinité huma l’odeur appétissante
et se dit en son for intérieur :
Je ne maudirai plus jamais la terre sèche
à cause du terrien ;
car le désir de son cœur est le mal dès sa jeunesse.
Absurdités que ces déclarations successivement contradictoires de la «divinité »
L’épopée
de Gilgamesh (akkadienne) apporte un éclairage autrement satisfaisant
sur cet
épisode
biblique
Avant
l’élimination causée par le déluge, les dieux se réunirent
et votèrent l’élimination de
l’humanité.
Tout cela fut tenu secret mais Enki s’en fut trouver Utnapishtim, le souverain
de
Shourouppak
pour le prévenir de la calamité qui se préparait.
Enki parla à Utnapishtim caché
derrière
un paravent de roseau.
Détruis ta maison, construit un bateau !
Abandonne tes biens, cherche ta vie !
Renonce à tes affaires, maintiens ton âme en vie !
À bord du bateau, emmène la graine de toutes les choses vivantes
;
Le bateau tu construiras
Ses dimensions seront sur mesure.
Pourquoi
Enki prit-il le risque de défier les autres dieux ? Avait-il l’unique
souci de préserver sa
«merveilleuse
œuvre d’art » ou a-t-il agi dans une ambiance d’hostilité
grandissante entre lui et
son
frère aîné Enlil ?
Mais
comment Utnapishtim pouvait-il expliquer aux autres citoyens de Shourouppak
la
construction
d’un vaisseau de forme singulière et l’abandon de ses biens ? Enki
le conseilla :
Ainsi tu leur parleras :
J’ai appris qu’Enlil m’est hostile,
de sorte que je ne peux plus demeurer dans votre ville,
ni poser pied sur le territoire d’Enlil.
Par conséquent, je descendrai vers l’Apsu
pour demeurer avec mon seigneur Ea (Enki)
Les vers qui suivent suggèrent que la région souffrait d’une période de sécheresse ou de famine.
Si
Enlil voyait partir Utnapishtim « la terre aurait à nouveau
son plein d’abondantes récoltes ».
Cette
excuse sembla plausible. Ainsi trompés, les gens de la ville aidèrent
à la construction de
l’arche
en 7 jours...
Le
bateau fut lancé dans l’Euphrate. Utnapishtim embarqua toute sa
famille et ses proches,
«
quelques créatures vivantes qu’il possédait » mais
aussi l’équipe d’artisans qui l’avait aidé.
Selon
l’ordre d’Enki, Utnapishtim devait attendre un signal avant d’embarquer
lui-même :
Lorsque Samash qui ordonne un tremblement au crépuscule fera pleuvoir
un bouquet
d’éruptions,
embarque-toi sur le bateau, scelles-en l’entrée ! »
Samash
était la base des fusées. Au crépuscule, il y eut
un tremblement terrifiant. Utnapishtim
scella
le bateau tout entier. Aux premières lueurs de l’aurore, la tempête
arriva. Il y eut un
tonnerre
terrifiant. L’obscurité s’établit « changeant en noirceur
tout ce qui avait été lumière » et
«
la vaste terre se brisa comme un vulgaire pot ». Cela dura 6 jours
et 6 nuits. Puis « l'inondation
cessa.
L’immobilité s’était installée. Et toute l’humanité
était redevenue argile ». Utnapishtim
«
ouvrit la trappe ; la lumière éclairait mon visage ».
Il regarda autour de lui « le paysage était
aussi
plan qu’un toiture plate ».
Puis :
Une région de montagnes émergea ;
Le vaisseau s’immobilisa au Mont du Salut ;
Le Mont Nisir (le Salut - ou l’Ararat de la Bible) enserra rapidement le
bateau,
ne permettant aucun mouvement.
Utpanishim
envoya une colombe qui revint, puis un corbeau qui ne revint pas, alors
il lâcha tous
les
animaux et sortit lui-même, construisit un autel et offrit un sacrifice.
Une fois encore par rapport à la Bible la différence est manifeste. Il y a ici pluralité de dieux.
«
Les dieux sentirent l’odeur, les dieux sentirent la douce odeur. Les dieux
se regroupèrent comme
des
mouches autour du sacrificateur. »
Enlil
fut fou furieux de découvrir des hommes survivants. « Aucun
homme ne devait survivre à la
destruction
! » Enki fut accusé de trahison, mais il répondit :
«
Ce n’est pas moi qui ai dévoilé le secret des dieux. J’ai
tout simplement laissé un homme,
excessivement
sage, percevoir par sa propre sagesse le secret des dieux. Et comme en
vérité
ce
Terrien est si sage » Enki suggéra à Enlil de ne pas
ignorer ses capacités. Après quoi se tint
un
conseil des dieux.
Enlil
fut fortement influencé par Enki, lequel décida d’emmener
Utpanishim et sa femme dans le
«
Lointain » où ils seraient comme des dieux. Anou, Enlil «
leur donnèrent la vie, comme des
dieux,
les élevèrent à la vie éternelle ».
L’humanité
restante fut autorisée « à être fructueuse et
à se multiplier ». Les dieux livrèrent la
Terre
aux hommes.
QUAND LES DIEUX S’ENFUIRENT DE LA TERRE
En
1929, des fouilles conduites par Sir Leonard Wooley, mirent en évidence
une couche de
boue
séchée de 4 mètres d’épaisseur, entre deux
couches de débris de poterie et briques, ce
qui
indique l’activité humaine avant et après cet événement.
Cela peut bien correspondre au
Déluge,
à la date estimée de 2800 av. J.C.. D’après les textes
sumériens, ce phénomène affecta
«
les quatre coins de la Terre », et dans la suite de l’histoire humaine,
le déluge fut un point de
repère
: il y avait avant le déluge et après le déluge. Vu
l’importance de celui-ci, il ne pouvait être
une
crue locale du Tigre et de l’Euphrate, et jamais ni les hommes ni les dieux
n’avaient connu
auparavant
une pareille catastrophe.
Bien
que prévisible, le déluge était inévitable.
»Il s’est agi d’une calamité naturelle dans laquelle
les
dieux ne jouèrent qu’un rôle passif et non actif. Le secret
des dieux consistaient en la
connaissance
de l’approche de la planète Nibiru, laquelle aurait par sa forte
puissance
électromagnétique
la capacité de secouer la Terre dont le pôle Sud était,
à ce moment,
recouvert
d’une gigantesque calotte de glace instable sur sa base. Les Nephilim
partant à bord
de
leurs fusée, abandonnaient l’humanité qui périrait
naturellement avec une facilité bien
supérieure
à ce qu’ils pouvaient avoir imaginé pour ce faire. Notamment
la peste et autres
maladies
ainsi qu’un blocus.
Noé
ou Utpanishim ou encore Atra-Hasis ( l’extrêmement sage) s’était
plaint auprès d’Enki de
«
ces maux, vertiges, frissons et fièvre » qu’Enlil générait
contre l’humanité alors même qu’Enki
en
était le père. Et il semble bien que dernier répondit
positivement à sa demande tandis qu’Enlil
enrageait.
Il envisagea alors le recours à la famine, en provoquant le manque
de pluie.
« Que les eaux de la pluie soient retenues en haut ;
En bas, que les eaux ne surgissent plus de leurs sources.
Que le vent souffle et assèche le sol ;
Que les nuages s’épaississent et retiennent la pluie. »
Enki
reçut l’ordre de couper les ressources alimentaires de la mer en
en verrouillant l’accès. Et
cela
dura six « sha-at-tam’s » ce mot signifiant « passages
» ou une année d’Anou. Le reste de
l’humanité
en était venu au cannibalisme malgré l’intercession incessante
d’Atra-Hasis auprès
d’Enki
qui dut de sentir lié par la décision des autres dieux. Au
début, il ne répondit pas. Au
septième
passage, Atra-Hasis ordonna une campagne de désobéissance
totale à tout son
peuple
: « Ne vénérez pas vos dieux, ne priez plus vos déesses.
»
Enki
entreprit alors une action secourable très mal retransmise par les
textes, ce qui détermina
Enki
à vouloir l’arrêter sous le chef d’accusation d’avoir saboté
les plans de surveillance et de
garde.
C’est
alors que l’imminence du déluge s’offrit à point nommé
pour satisfaire le désir de la
majorité
des dieux de supprimer l’humanité. Enki fut contraint de prêter
serment de ne pas le
révéler
aux humains.
Enki
interpréta son serment. Ne pouvait-il pas parler à un mur
? Il fit donc venir Atra-Hasis au
temple,
se plaça derrière un paravent et prétendit parler
au mur et non à son Terrien dévoué. Il
dit
:
« Paravent de roseaux,
Fais attention à mes instructions.
Sur toutes les habitations, de toutes les villes,
Une tempête passera.
Ce sera la destruction de la graine de l’Humanité…
Ceci est la décision finale,
Le mot de l’Assemblée des dieux,
La parole énoncée par Anou, Enlil et Ninhoursag. »
Ce
subterfuge explique les réfutations qu’il fit par la suite lorsque
la survie de Noé/Utpanishim fut
découverte.
Il n’avait pas rompu son serment, un Terrien d’une extrême sagesse
avait découvert
le
secret du déluge par lui-même, en interprétant correctement
les signes.
Enki
conseilla à son serviteur de construire un vaisseau de navigation.
Il lui fournit des
instructions
précises. Il ne s’agissait pas d’une arche mais d’un submersible
(le mot biblique teba
venant
de la racine signifiant submergé ), d’un sous-marin, un bateau couvert
au-dessus et en
dessous.
«
Que le bateau, dit Enki soit un MA.GUR.GUR. Un bateau qui puisse se tourner
et se
retourner.
»
Atra-Hasis
prit, pour prétexte, la construction du « vaisseau d’Apsu
», un sulili (soleleth en
hébreu
désignant un sous-marin) afin de partir pour la demeure d’Enki pour
tenter d’infléchir la
colère
d’Enlil. Ainsi Atra-Hasis n’éveilla pas de soupçons.
Conscients
de cette calamité imminente, de son impact global, les Nefilim prirent
des mesures
pour
sauver leur propre vie en se réfugiant dans le ciel. Lorsque la
tempête qui précéda le
déluge
commença, ils montèrent à bord de leur navette spatiale
et restèrent en orbite autour de
la
Terre jusqu’à ce que les eaux aient commencé à redescendre.
Le
jour du déluge fut en fait celui où les dieux s’enfuirent
de la Terre. Le décollage des fusée fut
le
signe pour Utpanishim – (Atra-Hasis / Noé) et tous ceux qui l’accompagnaient
pour sceller
hermétiquement
le sous-marin.
Même
pour les dieux s’enfuyant à bord de leurs fusées comme des
torches, ce fut une scène de
dévastation
qui les affecta profondément, d’autant plus que leur condition de
vie à bord étaient
précaires.
Dans leur vaisseaux, les dieux étaient recroquevillés comme des moutons à l’abreuvoir.
Leur lèvres étaient fiévreuses de soif,
Ils souffraient des crampes de la faim.
La Déesse mère Ninhoursag, elle-même fut choqué par l’ampleur de la dévastation :
La déesse vit et elle pleura…
Ses lèvres étaient recouvertes de fièvre…
« Mes créatures sont devenues comme des mouches –
elles remplissent les rivières comme des libellules,
leur paternité leur fut prise par la mer déchaînée. »
Pouvait-elle
vraiment sauver sa propre vie alors que l’humanité, qu’elle avait
aidé à créer, était
en
train de mourir ? Pouvait-elle vraiment quitter la Terre ?
Car
les ordres donnés aux Nefilim se clarifient dès lors : «
Abandonnez la Terre, montez au
ciel
» . C’était à l’époque où la douzième
planète était au plus près de la Terre, à l’intérieur
de la
ceinture
des astéroïdes, comme le prouve le fait qu’il fut possible
à Anou de participer aux
conférences
cruciales qui précédèrent le déluge.
Dans
leurs vaisseaux, beaucoup de dieux et d’Anounnaki se désolèrent
et se rendirent compte à
quel
point ils étaient devenus attachés à la Terre ainsi
qu’à ses habitants. Ninhoursag et un
groupe
d’Anounnaki ébattait même du bien fondé de l’ordre
d’Anou.
Pendant
ce temps, Utpanishim, dont le sous-marin était piloter par Puzur-Amurri
(l’Occidental qui
connaît
les secrets), un batelier, devait conduire le submersible vers une destination
précise : le
Mont
Ararat. Ses pics étaient les plus hauts sommets de cette partie
du monde, il fallait donc
s’attendre
à ce qu’ils réapparaissent en premier.
La
version du Déluge de Bérossus rapportée par le Grec
Abydénus confirme le fait qu’une
destination
précise avait été assignée : « s’embarquer
immédiatement pour l’Arménie » - la terre
de
l’Ararat.
Dès
que Utpanishim eut pris pied sur terre, il tua quelques animaux et les
fit rôtir sur le feu. Il
n’est
pas surprenant que les dieux affamés et à bout de force «
accoururent comme des
mouches
autour de cette offre. »
Soudain,
ils comprirent que l’homme, la nourriture qu’il faisait pousser et le bétail
qu’il élevait,
étaient
essentiels. Quand Enlil arriva enfin, il vit l’arche et il fut furieux.
Mais la logique de la
situation
et les efforts de persuasion d’Enki eurent raison de lui ; Enlil fit la
paix avec ce qui
restait
de l’humanité et emmena Utpanishim dans son vaisseau vers la Demeure
Eternelle des
Dieux
: Nibiru.
La
baisse progressive des eaux et la réémergence de la terre
sèche et de la végétation fut
peut-être,
un facteur décisif dans la décision rapide d’Enlil de faire
la paix avec l’humanité.
Avec
le choc du déluge, les Nefilim craignirent que la Terre ne fût
plus jamais utilisable. Par la
suite,
ils virent qu’il n’en était pas ainsi. La Terre continuait à
être habitable et pour pouvoir y
vivre,
les dieux avaient besoin des hommes.
Qu’était donc la nature de la catastrophe du déluge ?
La
réduction des précipitations, la baisse du niveau de la me
et des lacs, le tarissement des
sources
d’eau souterraine furent des signes avant-coureur d’une ère glaciaire.
Puisque le
déluge,
qui mit fin brusquement à ces conditions, fut suivi par la civilisation
sumérienne et notre
propre
ère post-glaciaire, la glaciation en question aura été
la dernière.
Notre
conclusion, écrit Sitchin, est donc que les événements
du déluge sont liés à la dernière
ère
glaciaire terrestre et à son terrible dénouement.
Des
forages de la calotte glaciaire de l’Arctique ont permis d’établir
ce qui suit : la dernière ère
glaciaire
débuta il y a quelque 75 000 ans et connut un micro-réchauffement,
il y a 40 000 ans. Il
y
a environ 38 000 ans, une période plus âpre, plus froide
et plus sèche s’ensuivit. Puis il y a
13
000 ans environ, l’ère glaciaire se termina subitement et notre
climat tempéré actuel fit
rapidement
son apparition.
Les
conditions extrêmement pénibles durèrent selon l’épopée
d’Atra-Hasis, sept shar’s ou 25
200
ans. Les scientifiques ont retrouvé les traces d’une période
très difficile de 38 000 à 13000
ans,
soit étalée sur 25 000 ans. Une fois de plus, les preuves
mésopotamiennes et les
découvertes
scientifiques modernes se corroborent l’une l’autre.
A propos
de la théorie du Dr John T. Hollin, de l’Université du Maine,
théorie acceptée et
développée
par d’autres, du glissement de la calotte glaciaire de l’Antarctique dans
l’océan
provoquant
un gigantesque raz-de-marée, il es suggéré ceci :
au fur et à mesure de son
épaississement
la couche de glace retient, non seulement plus de chaleur terrestre sous
elle,
mais
forme au sol, par pression et friction, une couche boueuse et glissante.
Agissant comme un
lubrifiant
entre la couche de glace épaisse en haut et la terre ferme en bas,
cette couche
boueuse
finit tôt ou tard par faire glisser la calotte de glace dans les
océans qui l’entourent.
En
l’occurrence le raz-de-marée commençant dans les eaux de
l’Antarctique, se répandit vers le
nord
dans l’Atlantique, le Pacifique et l’Océan Indien. Se déplaçant
plus vite que les eaux, les
orages,
les nuages et les cieux enténébrés annonçaient
l’avalanche des eaux. L’épopée de
Gilgamesh
précise la direction d’où venait l’orage : du sud.
Lors
de son retour, la douzième planète, à l’instar de
la Lune dont l’attraction suffit à provoquer
les
marées, a eu un effet analogue quoique surmultiplié compte
tenu de sa taille, puisqu’elle est
aussi
volumineuse que Saturne. Les textes mésopotamiens et bibliques décrivent
à la fois
combien
la terre tremblait lors du passage du Seigneur Céleste à
sa proximité !
RESUME
Il y a
445
000 ans Les Nefilim, venant de la douzième Planète
et menés par Enki, arrivent sur Terre. Eridou –
la
station I de la Terre – est établie au sud de la Mésopotamie.
430
000 ans Les grandes
calottes glaciaires commencent à reculer. Climat clément
au
Proche-Orient.
415 000 ans Enki déménage à l’intérieur des terres et établit Larsa.
400
000 ans La grande période interglaciaire
s’étend sur tout le globe. Enlil arrive sur Terre,
établit
Nippour en tant que centre de Contrôle de Mission.
360
000 ans Les Nefilim érigent Bad-Tibira en tant
que leur centre métallurgique pour la fonte
et
le raffinement.
300
000 ans Les Anounnaki se mutinent. L’homme – le travailleur primitif
– est façonné par Enki
et
Ninhoursag
250 000 ans Les premiers homo sapiens se multiplient et gagnent d’autres continents.
100
000 ans Le climat se réchauffe de nouveau. Les
fils des dieux prennent comme épouses
les
filles de l’homme.
77
000 ans Ubartutu/Lamech, un humain de descendance divine prend
la respon-sabilité du
règne
à Shourouppak sous le patronage de Ninhoursag.
75
000 ans La malédiction de la
Terre – une nouvelle période glaciaire – commence. Des
types
d’hommes en pleine régression parcourent la Terre.
49 000 ans Le règne de Ziusudra (Noé) un « serviteur fidèle » d’Enki, commence.
38
000 ans La période climatique très dure
des « sept passages » commence à décimer
l’humanité.
L’homme de Néandertal de l’Europe disparaît ; seulement l’homme
de Cro-Magnon
(établi
au Proche-Orient) survit. Enlil, déçu par l’humanité,
projette sa perte.
13
000 ans Les Nefilim, conscients du raz-de-marée imminent déclenché
par l’approche de la
Douzième
planète, font le vœu de laisser l’humanité périr.
Le déluge se déverse sur Terre,
terminant
abruptement l’ère glaciaire.
LA ROYAUTE SUR TERRE
Après
le déluge qui avait balayé 120 shar’s de travail du jour
au lendemain, les Nefilim firent
feu
de leurs interdits envers l’homme et retroussèrent les manches.
Sans perdre de temps ils lui
apprirent
l’art de la culture et de l’élevage du bétail. Ils appliquèrent
à cette tâche leur
immense
savoir scientifique. Dans la Genèse, « semer et récolter
» sont présentés comme des
dons
divins accordés à Noé et à ses enfants dans
le cadre du contrat post-diluvien passé entre
l’Homme
et la Divinité. Ainsi « Noé fut le premier agriculteur
et il planta un vignoble ».
L’agriculture
débuta au Proche-Orient, dans les montagnes et non dans les vallées
et plaines encore trop
gorgée
de l’eau diluvienne où elle se poursuivit plusieurs générations
après. Des peuples arrivant de l’est (
de
la Mésopotamie), dit la Genèse, trouvèrent une
plaine dans le pays de Shinar (Sumer) et s’y
installèrent.
Enlil
sema des céréales dans le pays vallonné et il rendit
possible la culture dans les montagnes
en
endiguant les eaux des zones inondées. Plus tard, avec les dieux
Ninazou et Ninmada, il
étendit
les cultures jusqu’aux basses plaines si bien que Sumer, la terre qui ne
connaissait pas
la
graine, vint à la connaître.
Déjà
à l’époque, les toutes premières graines étaient
uniformes et hautement spécialisées. La nature
demande
des milliers d’années de générations de sélections
génétiques avant d’acquérir un modeste
degré
de sophistication. Or, on ne trouve nulle part sur Terre, l’époque,
le temps et le lieu où un tel
processus
progressif et très prolongé eût pu se produire. Ce
miracle botano-génétique ne trouve aucune
explication,
sauf si ce procédé est le fait d’une manipulation artificielle.
Ainsi du « spelt », une variété de
blé
à gros grains. Il est le produit « d’un mélange inhabituel
de gènes botaniques » ne résultant ni d’une
évolution
à partir d’une source génétique, ni de la mutation
d’une seule source. Toute la notion selon
laquelle,
en quelques milliers d’années, l’homme transforma les animaux en
les domestiquant est, elle
aussi,
entièrement discutable.
La
science ne peut pas expliquer non plus pourquoi le Proche-Orient devint
une source
constante
de nouvelles variétés de céréales, de plantes,
d’arbres, de fruits, de légumes et
d’animaux
domestiques. Les sumériens connaissaient la réponse. C’était
un don d’Anou, ainsi du
blé,
de l’orge et du lin.
Il
est curieux de noter que les phases évolutives de l’humanité
se font au rythme de 3600 ans
c’est-à-dire
qu’à chaque retour de la planète Nibiru, une nouvelle phase
civilisatrice commence.
11
000 ans Av. J.C. : l’agriculture ; 75 000 av. J.C. la culture néolithique
puis 3800 ans av. J.C. la
civilisation
sumérienne.
Il
semble que les Nefilim transmirent leur savoir à l’homme au compte
gouttes, respectant des
intervalles
conformes aux retours périodiques de la Douzième Planète
au voisinage de la Terre.
Dans
l’intervalle, il fallait un intermédiaire entre eux et les masses
humaines. Ils établirent un
pont
: la royauté sur Terre, c’est-à-dire un chef humain nommé
pour assurer le service des
Dieux
par les hommes et aussi canaliser les enseignements et les lois des dieux
au peuple. Les
textes
akkadiens et sumériens s’accordent à dire que les Nefilim
conservèrent « leurs droits
seigneuriaux
» sur les terres et firent reconstruire par les hommes les
villes d’avant le déluge,
telles
qu’elles aient été et planifiées. Eridou fut alors
la première à être reconstruite. Puis fut
construite
la première ville royale : Kish. Ce fut le départ d’une longue
dynastie dont la demeure
royale
se déplaça de Kish à Ourouk, Our, Awan, Hamazi, Aksak,
Akkad puis Ashour et Babylone,
puis
les capitales plus récentes.
La
« Table des Nations » biblique enregistre la propagation de
l’humanité, ses terres et
royaumes,
comme une croissance de la division de l’homme en trois branches : peuples
de la
terre
de Shem en Mésopotamie et au proche-Orient, ceux de Ham en Afrique
et région d’Arabie,
enfin
ceux de Japeth en Asie Mineure, Iran, Inde et Europe. Ces trois grand groupes
correspondent
sans doute à trois des « régions » où
la colonisation fut envisagée par les Néfilim.
Aux
alentours de 3200 av J.C. – mille ans après l’éclosion sumérienne
– la notion d’Etat, la
royauté
et la civilisation firent leur apparition dans la vallée du Nil
pour finalement donner lieu à
la
grande civilisation d’Egypte. On estime qu’il en a été de
même dans la vallée de l’Indus à la
même
époque. Les textes anciens tout comme les preuves archéologiques,
témoignent des liens
culturels
et économiques étroits existant entre ces deux civilisations
et celle plus ancienne de
Sumer.
Sans
leur « peau » de pierres , les pyramides reproduisent les ziggourats
mésopotamiennes et,
écrit
Sitchin, nous avons de fortes raisons de croire que l’architecte ingénieux
des pyramides
était
un Sumérien vénéré tel un dieu. Il s’agissait
d’Enki, devenu alors vieux dieu…
A ce
sujet, les Nefilim ne sont pas immortels. Il semble que leur durée
de vie soit de 120 shar’s,
120
de leurs années à eux ce qui leur confère en âge
d’homme une durée de vie de 120 x 3600
ans.
De
la civilisation de l’Indus, nous savons peu de choses. On y vénérait
le chiffre 12 comme le
chiffre
divin suprême, de même que le symbole de la croix – le signe
de la Douzième Planète.
Les
dieux y étaient décrits comme ayant l’apparence humaine arborant
des coiffures à cornes.
Si
ces deux civilisations (Nil et Indus) furent d’origine sumérienne
pourquoi leurs langues écrites
sont-elles
différentes ? En fait il n’en est rien et toutes deux ainsi que
le chinois et d’autres
langues
d’Extrême-Orient proviennent d’une source originelle dont on démontra
qu’il s’agissait
du
sumérien. Nous avons ainsi une seule langue qui pour une certaine
raison fut différenciée en
trois
langues : le mésopotamien, l’égyptien/hamitique et l’indo-européen.
Une telle différenciation
eût
pu se faire d’elle-même avec le temps, la distance et la séparation
géographique. Or les
textes
sumériens prétendent qu’elle se produisit à la suite
d’une décision arrêtée des dieux et
inspirée
une fois de plus par Enlil. Le pendant à cela est la célèbre
histoire biblique de la Tour
de
Babel. Craignant manifestement une race humaine unifiée dans sa
culture et ses aspirations,
les
Nefilim adoptèrent une politique impériale : diviser et régner.
Comme
eux-mêmes avaient du mal à maintenir leur unité, et
pour tenter de maintenir la paix
parmi
leurs enfants, au fil du temps ils partagèrent la Terre entre leurs
héritiers. Les dieux se
changèrent
en grands seigneurs chacun gardant son territoire, son industrie ou la
profession
qu’il
avait sous son autorité. Les rois humains étaient leurs intermédiaires
et il ne faut pas
prendre
à la légère les anciens rois qui affirmaient partir
à la guerre pour conquérir de nouvelles
terres
ou mettre sous leur joug un peuple lointain « sur la commandement
de leur
dieu
» (respectif !). L’ancien testament aborde aussi ce problème
de la manière de faire adhérer
le
peuple à leur dieu au lieu de « se prostituer auprès
des autres dieux ». L’époque du
paganisme
commença.
A la
suite du déluge, quatre régions furent créées
sur la Terre. Mésopotamie, Nil et Indus furent
colonisées
par l’homme. La quatrième était « sainte », vouée
au seuls dieux. Elle s’appelait
TIL.MUN
(le lieu des missiles) C’était une zone interdite où les
Nefilim avaient recréé leur base
spatiale
après que celle de Sippar avait été détruite
par le déluge. Elle fut à nouveau placé sous
le
contrôle d’Outou/Shamash.
Le
plus fort désir de Gilgamesh était d’atteindre au moyen d’un
shem (fusée) la Demeure
Céleste
des Dieux pour obtenir la Vie Eternelle.
L’on retrouve cette aspiration au centre de toute les religions de la Terre.
Avons
depuis, rencontré les Nefilim ? Que se passera-t-il quand nous les
rencontrerons ? Si les Nefilim
nous
ont bien créés, qui a créé les Nefilim ?
*****************
Fin du résumé du livre : la Douzième Planète de Sitchin
Ed Traces Oubliées
par le scribe Roland Guétat
*****************
Remarques :
1.
Le livre en français est épuisé. Dans les premiers
chapitres, Sitchin décrit ce qu’est une
civilisation
avec ses multiples aspects : langue, écriture, mathématiques,
astronomie, calendrier,
ressources
minières, commerce, industrie, agriculture, art, spiritualité,
culture, morale etc.. Tout
cela
ne pouvant pas surgir du jour au lendemain. Or c’est bien ce qui s’est
passé à Sumer ce qui
pour
les uns sera incroyable, pour d’autres fantastique de clarté et
pour d’autres encore sera le
début
d’une vaste remise en cause de leur façon de voir notre monde et
notre histoire de terrien.
2.
Le site Internet de Sitchin (en anglais) www.sitchin.com où plusieurs
livres sont disponibles
dans
cette langue qui est loin d’être internationale même pour l’élite,
puisqu’à l’ONU, il faut des
traducteurs
dont le coût de fonctionnement permettrait de supprimer toutes les
famines voire la
faim
dans le monde…
3.
Il est opportun dans le cadre de ce résumé très synthétique,
de le prolonger de quelques
informations
sur la planète X, alias Nibiru ou Mardouk. En 1982, le Satellite
IRAS signala la
course
vers la Terre d’un large astre « inconnu jusqu’alors ». Alors
? Il est évident que des
calculs
ont été faits. Les connaissez-vous ? La presse nous a-t-elle
informés ? Non… La Planète
qui
n’est plus X pour nous, sera au plus près de nous fin juin 2003.
Certains de ses passages
ont
été catastrophiques d’autres non.
4.
La dernière fois, ce fut à l’époque de Moïse.
1603 ans av J.C. Deux faits sont à signaler.
D’abord
la manne céleste. Son explication tient au fait que Nibiru telle
une comète a une queue.
Celle-ci,
outre des particules allant du gravier aux pierres plus grosses, contient
des substances
pétrolifères
qui au contact de notre atmosphère se précipitent telle une
rosée sucrée très riche
en
protéines et comestible. L’autre point est l’ouverture de la Mer
Rouge devant les Hébreux. Il
s’est
agi sous l’effet de l’attraction de Nibiru de remontées de plaques
tectoniques qui ont
momentanément
scindé la mer en deux avant de s’effondrer engloutissant ainsi les
Egyptiens.
5.
Je ne sais où en est la civilisation des Nefilim, mais il est singulier
de noter en ce qui
concerne
l’évolution technologique actuelle qu’un nouveau bon a déjà
été effectué, caractérisé
par
la puce électronique et tout le développement informatique,
le laser, les micro-ondes, le
kevlar
utilisé notamment pour les gilets pare-balles, les lunettes à
vision nocturne. Même s’il
s’agit
effectivement de découvertes qui sont issues du crash d’un vaisseau
spatial à Roswel aux
USA,
il y a une cinquantaine d’années, ainsi que l’a révélé
assez récemment feu le Colonel
Corso,
on peut se poser la question du lien entre ce vaisseau avec le retour de
Nibiru. Il est
vraisemblable
aussi que les habitants de l’espace surveillent de près la Terre
aujourd’hui, vu
l’orientation
désastreuse où nous conduit le mondialisme et le manque de
conscience des
humains
vis-à-vis de leur planète. Il est très probable, pour
ne pas dire certain, que plusieurs
types
d’Extra-terrestres sont présents dans notre environnement et l’on
peut aussi se demander
quelles
sont les intentions des uns et des autres. Les Nefilim d’autrefois ne créèrent-ils
pas une
race
d’esclaves ? Mais n’avons-nous pas déjà assez des esclavagistes
modernes bien
terriens
pour lesquels la vie de leur semblables n’a que bien peu d’importance en
regard de leur
image
de marque, de leur goût du pouvoir ou de leur ivresse de puissance
? Et s’il y avait un
rapport
entre tous ces éléments ?
6.
La mise en évidence d’une énergie illimitée et gratuite,
venant du cosmos, découverte par le
physicien
Tesla, fin du XIXème, début du XXème, - (cette
énergie est appelée tachyons) a
complètement
été occultée. Il s’en servait pour faire fonctionner
sa voiture électrique ou produire
du
courant. La préoccupation de deux firmes qui savent capter les tachyons
aujourd’hui est de
faire
du fric avec mais pas de permettre l’autonomie énergétique
de chacun. Leurs dirigeants y
sont-ils
contraints sous peine de mort ? C’est plus que probable. Le rapport entre
la planète X,
des
extra-terrestres et les tachyons ? La désinformation savamment orchestrée.
Nous sommes
dans
un monde de dupes parce que nous le voulons bien. Ouvrons l’œil et le bon
! Faisons
cheminer
les informations.
7. Quelques sites Internet à fréquenter :
www.sitchin.com (en langue universelle seulement pour les anglophones )
www.zetatalk.com (en français aussi) notamment lire le chapitre « basculement des pôles »
surf.to/heliord
une mine d’informations sur ce que les médias occultent, avec de
nombreux
liens.
Les
éditions Félix sont une bonne source sur les dessous de notre
monde. Leur adresse : Lux
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