Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 384 à 386)
LE PROJET SIDA ! [1/4]
Aurelio Peccei a proposé plusieurs projets, tous secrets. Le projet principal consistait à développer un microbe, qui attaquerait le système immunitaire, et pour lequel un vaccin serait presque impossible à développer. L'ordre a donc été donné de développer ce microbe, sans oublier les moyens prophylactiques et une thérapeutique appropriée. Le microbe devait être dispersé dans le population, les moyens prophylactiques seraient réservés à l'élite. Quand la population aurait suffisamment baissé, on pourrait officiellement annoncer la découverte du médicament pour soigner les survivants. Il est clair que le médicament existait depuis le début de l'opération. Ce projet fait partie intégrante du projet Global 2000. Maintenant c'est à vous de deviner comment s'appelle ce microbe? Évidemment, il s'agit du virus du Sida!!
Le projet a été approuvé par le Congrès en 1969, sous le numéro de code H.B.15090. 10 millions $ ont été versés pour la première tranche. Des témoignages devant la commission de Sénat ont révélé qu'un « agent synthétique et biologique devait être développé, un agent qui n'existe pas dans la nature et contre lequel l'organisme est incapable de produire des anticorps. Il doit être possible de développer ce micro-organisme dans les 5 à 10 ans à venir Il est primordial qu'il soit résistant à tout processus immunologique et thérapeutique connu ». Sir Julian Huxley dit à ce sujet: « La surpopulation est la plus grande menace que notre espèce aura à affronter dans le futur ».
Le projet SIDA, qui porte à ce moment-là le nom de MK-NAOMI, a été élaboré à Fort Dertrick, dans le Maryland. D'après les explications du Dr. Strecker, on a mélangé des rétrovirus mortels, des virus de leucémie, (bovin leikemia) avec des virus « visna » du mouton, et on les a injectés dans du tissu humain.
Comme il fallait agir
sur une
grande partie de la population, on a commencé par les
populations
« indésirables »: les Noirs, les hispaniques et les
homosexuels ont été encouragés d'un côté
à exprimer leur différence, d'un autre côté
ils se sot retrouvés sur la liste des personnes à éliminer.
L'OMS (Organisation Mondiale de la santé) a collaboré à ce projet, aux côtés du National Cancer Institute. Des articles ont été publiés, pour inciter les chercheurs à développer un virus mortel pour l'homme. En 1972, l'OMS publiait ce genre de propos: « Nous faisons des recherches pour savoir si certains virus peuvent agir sur les fonctions immunitaires. Il faut inclure la possibilité que la réaction immunitaire face au virus diminue, si le virus endommageait les processus antiviraux de la cellule ».
Pour l'exprimer plus simplement il faudrait dire: « Développons un virus qui peut détruire les cellules-T quand on l'administre de façon volontaire ».
Le continent africain a été infecté en 1977, à travers la campagne de vaccination contre la variole. La vaccination a été réalisée par l'OMS. Le Dr Strecker assurait qu'en l'espace de 15 ans, toute l'Afrique serait dévastée, si on ne trouvait pas le remède! Certains pays ont dépassé depuis longtemps le stade de l'épidémie!
Le médecin courageux qui a révélé au grand public ce projet s'appelle Théodore A. Strecker. Il aurait dû être récompensé du prix Nobel, mais il peut s'estimer heureux de ne pas avoir été victime d'un suicide (le suicide typique, c'est le célèbre chercheur californien qui s'est ligoté les mains dans le dos, s'est pendu et a sauté ensuite du 20e étage. Aucune trace indiquant une intervention extérieure n'a été retrouvée [...] )
En
1978, une partie de la population
américaine a été contaminée, à travers
le vaccinn contre l'hépatite B. Le Dr Wolf Schmugner,
l'ancien compagnon
de chambre de Jean Paul II, a été l'instigateur de cette
opération, réalisée par le "Center for Disease
Control", de novembre 1978 à octobre 1979, et de
mars
1980 à octobre 1981. Schmugner est né en Pologne, il a fait
ses études en Russie et a ensuite immigré aux États-Unis,
en 1969. Par des chemins détournés, il a été
nommé directeur de la banque du sang new-yorkaise. C'est lui
qui
a dispersé le virus du Sida sur l'Amérique du Nord. Il était
responsable de la campagne de vaccination contre l'hépatite
B, c'est
lui qui a décidé du mode d'application, à commencer
par les homosexuels. Par voie de petites annonces, on
cherchait des homosexuels
mâles de 20 à 40 ans. Ce qui a provoqué le Sida était
contenu dans le vaccin, était fabriqué à Phoenix,
en Arizona et était conditionné en bouteille. Toutes les
données sur cette campagne de vaccination sont entre
les mains
du ministère de la Justice, où elles sont à l'abri
pour longtemps.
Le signal de départ a été donné par le comité des Bilderberger, En Suisse, en même temps que d'autres directives importantes. Celle qui est la plus facile à démontrer est la Haig-Kissinger-Depopulation Policy appliquée par le State Department. La directive précisait que les pays du tiers-monde devaient entreprendre des actions efficaces pour réduire leur population et la contrôler, pour pouvoir continuer à bénéficier des aides des États-Unis. Si un pays devait contrevenir à cet ordre, il verrait bientôt éclater une guerre civile, montée de toute pièce par la CIA. C'est une des raisons qui font qu'au Nicaragua, au Slvador et dans d'autres pays, plus de jeunes femmes que de soldats ont été tuées. Dans les pays catholiques, ce sont les Jésuites qui ont fomenté les guerres civiles. Le Haig-Kissinger-Depopulation Policy a été soutenue par les gouvernements successifs, elle est devenue partie intégrante de la politique extérieure américaine. Tous lles moyens sont bons pour réduire la population du globe, la guerre, la famine, les épidémies, les stérilisations de masse, par l'USAID par exemple. L'organisme de planification ne se trouve pas à l'intérieur des murs de la Maison Blanche. Cette commission s'appelle Ad Hoc Group on Population Policy, elle dépend du National Security Council. L'état-majo est au State Departement's Office of Population Affairs, créé en 1975 par Henry Kissinger, alors ministre des Affaires Étrangères. C'est le même groupe qui a rédigé le rapport Global 2000, remis entre les mains du président d'alors Jimmy Carter.
Thomas Fergusen, chargé
de mission au State Departement's Office of Population Affairs
(OPA) pour
l'Amérique latine a dit la chose suivante: « Il n'y a qu'une
chose qui compte pour nous, nous devons réduire la densité
de population. Soit ils le font comme nous voulons, c'est-à-dire
avec des méthodes propres (Sida, stérilisation),
soit nous assisterons à d'autres boucheries, comme au Salvador
ou
à Beyrouth. La surpopulation est un problème politique. Si
elle échappe au contrôle des autorités, il faut un
pouvoir autoritaire, s'il le faut fasciste, pour y remédier. Les
professionnels ne veulent pas réduire les populations pour des
raisons
humanitaires. C'est louable, mais il ne s'agit en fait que de
matières
premières et de facteurs d'environnement. Nous avons des raisons
stratégiques qui nous poussent dans cette direction. Le Salvador
n,est qu'un exemple parmi d'autres, qui montre que notre échec
dans
la réduction des populations a conduit à une grave crise
nationale. Le gouvernement salvadorien n'a pas réussi, avec nos
méthodes, à réduire la population de façon
significative. C'est pourquoi il a eu droit à une guerre civile.
La guerre civile est l'ultime tentative pour réduire la
population.
Le moyen le plus rapide d'y parvenir reste la famine, comme en
Afrique,
ou une épidémie telle que la peste noire, qui pourrait un
jour s'abattre sur le Salvador ».
(...)
Fergusen nous donne encore plus d'explications: « Nous ciblons un pays et disons, voici votre plan de développement. Jetez-le à la poubelle et occupez-vous de réduire d'abord votre population. Si cela ne vous plaît pas de procéder par planification, vous aurez un autre Salvador ou un 2e Cambodge ».
(...)
Le projet MK-NAOMI a été développé par des chercheurs de la Special Operations Division (SOD), à Ft. Detrick, Maryland, sous l'égide de la CIA. Mais le Sida est trop lent. À l'automne 1994, nous avons rencontré le Dr John Coleman à Honolulu, l'auteur du livre le comité des 300 et ancien agent du MI 6 britannique. Coleman explique que le « nouveau » virus a été testé pendant un an dans un pays d'Amérique du Sud, et qu'il pourrait être lâché dans la nature au printemps 1995. Quand il deviendra vraiment actif, on pourra dire: « infecté le matin, mort le jour même ». Ce virus là est transmissible par la salive.
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