QU'EN EST-IL DES SERBES?

LES SOCIÉTÉS SECRÈTES, ET LEUR POUVOIR AU 20E SIÈCLE, par Jan van Helsing, Éditions EWERTVERLAG.
(Un fil conducteur à travers l'enchevêtrement des loges, de la haute finance et de la politique. Commission trilatérale, Bilderberger, CFR, ONU)

    La campagne de conquête entreprise par les Serbes n'aurai pas été possible si ces derniers n'avaient pas été couverts par Moscou et par l'administration Bush. LAWRENCE EAGLEBURGER, à l'époque adjoint au ministre des Affaires étrangères et partenaire éminent de l'entreprise consultante des "Kissinger Associates", veilla, récemment, avec un autre partenaire Kiss-Ass, LORD CARRINGTON, à ce que Belgrade ait les mains libres pour accomplir les nettoyages ethniques et le génocide actuel. Afin de financer cette campagne, ils créèrent les structures nécessaires pour faciliter illégalement une arrivée massive d'argent à Belgrade, ce qui devait permettre aux Serbes de faire face aux frais d'importations d'armes, de pétrole et d'autres marchandises.

    Dans les derniers dix-huit mois (avant 1995), des banques privées de Belgrade proposèrent, à l'étonnement de tous, un taux d'intérêt mensuel (180 % par année) sur le dépôt de devises et 200% (2400 % par année) sur le dépôt de dinars eu égard au taux d'inflation annuel de 25 000 %. Étant donné le chômage important et le grand nombre de personnes sans revenus, ces prestations d'intérêts furent une manoeuvre politique pour contrecarrer l'insatisfaction croissante du peuple causée par les conditions économiques difficiles entraînées par la guerre. Un observateur déclarait à ce sujet: "Cette tactique sert à financer discrètement un système d'aide sociale."

    On découvrit des aspects de ces stratagèmes lorsque le banquier de Belgrade Jesdomir Vasiljevic, directeur de la "JUGO-SKANDIC-BANK", se retira, en mars 1993, en Israël. Cette banque avait, selon les communiqués de la presse, jusqu'à 4 millions de comptes avec des dépôts d'épargne en devises qui s'élevaient à presque 2 milliards de dollars. D'où sortait cet argent? Certes, la Yougoslavie disposait avant-guerre d'une branche de tourisme florissante et d'une industrie d'armement qui produisait surtout des armes légères pour l'exportation mais après avoir remboursé rapidement 14 milliards de dollars de dettes à l'étranger, il ne restait pas grand-chose. Entre-temps, le tourisme a cessé et la production d'armes a été affectée principalement à la guerre.

    Le gouvernement serbe bénéficie, de surcroît, du butin de guerre pris aux régions conquises mais c'est peu eu égard aux besoins actuels du pays. Des livraisons d'armes et de pétrole russes se font, en règle générale, contre paiement comptant. Sur le marché noir, les prix du pétrole occidental, comme celui de la "Mobil-Oil-Raffinerie" à Thessalinoque en Grèce, s'élèvent jusqu'à 400% du prix courant.

    La source d'argent est à rechercher à Belgrade qui joue un rôle dans le trafic de drogue passant par les Balkans, ce qui lui donne accès au système internationale de blanchiment de l'argent. Les activités croissantes en Europe de l'Ouest de la "MAFIA SERBE" dirigée par Belgrade sont, sûrement, une des sources d'argent. Il y a une école à Belgrade pour vols avec effraction qui jouit, manifestement, de la protection des services de renseignements: ses anciens élèves sont affectés dans toute l'Europe où ils transmettent les biens volés à des réseaux de receleurs bien organisés. Malgré cela, il est difficile de concevoir que ces ressources soient suffisantes pour couvrir les frais de la guerre serbe, même si la mafia serbe prend de plus en plus d'importance sur le marché occidental de la drogue.

    Des commentateurs simplets ont comparé à maintes reprises les stratagèmes de la "JUGOSKANDIC" et de son plus important institut de concurrence, la "DAFIMENT BANK", avec les opérations véreuses de certaines entreprises d'investissement qui soutirent de l'argent à leurs clients en leur promettant qu'ils vont toucher régulièrement des intérêts élevés grâce à des placements dans l'immobilier ou ailleurs.

    Cela se passe, en fait, autrement. Ce n'est pas la petite Serbie qui a soutiré le capital aux grands joueurs sur les marchés financiers "chauds" internationaux. ce sont les mêmes puissances qui donnèrent le feu vert à la Serbie pour déclencher la guerre et qui la financèrent. Ce n'est pas la Serbie qui règle ce flot d'argent, elle n'en est que le bénéficiaire. Il y a, entre autres, des arrangements où certaines banques de Belgrade ou des filières étrangères servirent pour blanchir chaque mois, contre paiement de taxes correspondantes, une partie des revenus en liquide issus du marché international de la drogue. Belgrade n'y était pas perdante. Les intérêts courant pour blanchir l'argent se situent entre 3% et 7% mais en considérant les gains gigantesques réalisés sur le marché mondial des stupédfiants, les trafiquants peuvent payer jusqu'à 30% sans en pâtir.

    Defina Milanovic est directeur de la "DAFIMENT BANK" à Belgrade, Israël Kelman de Tel Aviv détient 25% des actions. Vasiljevic de la Jugoskandic s'est retiré à Tel Aviv, ce qui laisse supposer qu'il a joué un rôle clé dans la technique de financement de guerre inspirée par les intérêts anglo-américains.

    C'est en employant la même tactique que certaines banques des États-Unis ont échappé à la banqueroute lors de la crise causée par les dettes des pays de l'Amérique latine en 1983: grâce à de puissantes injections d'argent procuré par la drogue. Cela n'a pas grand-chose à voir avec l'économie libre de marché. Selon les dires de la police allemande, celle-ci s'est rendu compte en enquêtant sur des mafiosi serbes que la police de Belgrade n'est pas prête à collaborer au niveau international et qu'à Belgrade, l'argent est donc probablement encore plus facilement blanchi qu'en Suisse. C'est à Chypre, centre bancaire très développé, que les banquiers de Belgrade font la plupart de leurs opérations.

    Le succès évident du financement de la guerre, qui fut effectué par EAGLEBURGER et CARRINGTON (Comité des 300) par intérêt financier, n'est pas la conséquence d'un secret bien gardé mais d'une inertie de l'Europe de l'Ouest. Après avoir observé un an et demi les stratagèmes des banques de Belgrade, chacun savait bien, y compris les diplomates, que quelque chose clochait. On savait aussi qu'il y avait des représentants des banques à Chypre. Rien ne fut entrepris, pourtant les sanctions des Nations Unies auraient dû s'appliquer aussi au transfert des finances vers la Serbie tant qu'il n'était pas destiné à des buts médicaux ou humanitaires. Ce n'est qu'en avril 1993 que la commission des sanctions des Nations Unies reconnut qu'on avait oublié de consulter les autorités chypriotes sur les relations bancaires des Serbes. Il y aurait eu "trop peu d'informations concrètes"

    Le banquier Vasiljevic a vécu 15 à 20 ans à l'étranger, surtout en Australie où il fut connu pour ses transactions dans les "pays en guerre d'Extrême-Orient", ainsi que le rapporte l'Observer britanique. Peut-être est-il un ancien ami de "Theodore Shackley"?
 

*************************

LA SITUATION ACTUELLE

LES SOCIÉTÉS SECRÈTES, ET LEUR POUVOIR AU 20E SIÈCLE, par Jan van Helsing, Éditions EWERTVERLAG.
(Un fil conducteur à travers l'enchevêtrement des loges, de la haute finance et de la politique. Commission trilatérale, Bilderberger, CFR, ONU)

    Les Illuminati tiennent le monde dans leur filet par l'intermédiare des banquiers internationaux qui sont en liaison avec les sociétés d'élite déjà mentionnées et par les empires qu'ils ont construits. Ils sont sur le point de renforcer encore plus leur mainmise sur cette planète. Leur contrôle principal s'exerce grâce aux dettes nationales des pays. En outre, il existe une force de police internationale qui maintient "dans les rangs" les États indépendants, tels que la Libye et l'Iran: ce sont les troupes de l'ONU. La Libye qui manifeste son indépendance par rapport au contrôle international représente un défi pour le Nouvel Ordre mondial. Mu'ammar al Kadhafi est présenté dans les médias comme un terroriste, ce qui permet de justifier les agressions contre son pays. Voilà encore ce qui s'appelle un bel exemple de lavage de cerveau.

    GEORGE BUSH fut un des meilleurs partenaires que les Illuminati aient jamais eu, et il devra le rester j'usqu'à son dernier souffle, car il est fortement impliqué dans le trafic illégal de la drogue (#8 des Protocoles).

     George Bush est un ex-chef de la CIA, un ex-chef du CFR, membre de l'Ordre "Skull & Bones", membre de la "Commission trilatérale" et membre du "Comité des 300".

    ...........ETC......

*************************