Pour
ceux que cela intéresse :
http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/TerreCreusePreuveScientifique.html
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Témoignages de Faits et
d'Engins Extraterrestres
Contrôleurs Radar et Pilotes
Introduction
Cette partie de témoignages traite spécifiquement de rencontres
avec des
pilotes, des cas radars et de cas similaires. On devrait souligner que
pendant
des décennies, les gens qui étaient sceptiques par rapport
au sujet OVNI ont
déclaré que si ces objets étaient réels, ils
auraient été suivis sur radar. Nous
n'avons pas moins de 20 témoins de l'Air Force, des Marines, de
la Navy, de
l'Army et des autorités civiles des Etats-Unis et de l'étranger
et qui sont des
contrôleurs aériens qualifiés et des pilotes qui ont
vu et suivis ces objets sur
radar. Notez s'il vous plaît que ces personnes soulignent bien que
ces objets
n'étaient pas des ballons météos; ce n'était
pas des inversions; ce n'était pas des
gaz des marais. C'était des engins structurés volant souvent
à des milliers de
kilomètres/heure, s'arrêtant soudainement, volant d'une manière
non linéaire.
Ces objets ont été suivis (au radar, Ndt), parcourant d'un
point à l'autre des
centaines de kilomètres ou plus durant le temps d'un balayage radar.
Ce sont
des objets solides. Ils sont métalliques et ils donnent des retours
radar forts et
non ambigus.
Ce n'est pas une situation où nous avons juste un ou deux témoins,
et vous
devez considérer cela très sérieusement lorsque vous
évaluez l'évidence des
faits: avoir plus d'une douzaine de ces témoins sur bande magnétique
témoignant que ces objets ont été suivis sur radar,
et certaines fois par une
douzaine de radars les suivant en même temps, signifie que nous traitons
d'engins actuels, réels, physiques et technologiques, pas de quelque-chose
d'imaginaire, pas de quelque-chose qui soit une hallucination de masse
et pas de
quelque-chose qui puisse être décrit comme une sorte d'anomalie.
Comme l'a
souligné le Colonel de l'Air Force Charles Brown, le projet Grudge
("rancoeur",
Ndt) de l'Air Force, depuis 1950 déjà, comportait des confirmations
radar de
ces objets par des radars au sol, des observateurs au sol, des radars aéroportés
et des observateurs en vol, et,"rien de mieux que ça." Beaucoup
de ces témoins
ont aussi observé ces objets retournant plusieurs nuits de suite
sur des zones
similaires et ont vérifié leur équipement rigoureusement
pour être sûr que ce
n'était pas des défauts techniques dans le logiciel ou le
matériel.
Ces faits sont bien-sûr explosifs. Le témoignage de ces témoins
balaye
l'argument que ces objets n'existent pas parce-que nous avons, en plus
de leur
déposition, les relevés radars; nous avons de la documentation
sur ces
événements; et nous avons des personnes qui ont participé
à de tels
événements allant des années 1940 jusqu'au années
1990.
John Callahan
Chef de Division de la FAA, octobre 2000
Pendant 6 ans M. John Callahan était le Chef de Division de la Branche
Accidents et Investigations de la FAA (Federal Aviation Administration,
Ndt) à
Washington DC. Dans son témoignage, il parle du vol d'un 747 de
la Japan
Airlines en 1986 qui a été suivi par un OVNI pendant 31 minutes
dans le ciel de
l'Alaska. L'OVNI a aussi suivi un vol d'United Airlines jusqu'à
ce que l'avion
atterrisse. Il y a eu confirmation visuelle aussi bien que confirmation
radar
depuis l'avion et depuis le sol. Cet événement a été
assez significatif pour que
l'Administrateur de la FAA, l'Amiral Engen, tienne un briefing le jour
suivant
auquel le FBI, la CIA, l'équipe d'étude scientifique du Président
Reagan et
d'autres ont participé. L'évidence de la bande magnétique
radar, les
communications du trafic aérien et des rapports papiers ont été
rassemblés et
présentés. En conclusion de ce meeting, les membres de la
CIA ont informé
tout le monde présent que"ce meeting n'avait jamais eu lieu" et
que"cet incident
n'avait jamais été enregistré". Ne réalisant
pas qu'il existait d'autres évidences,
ils ont confisqué seulement les évidences présentées,
mais M. Callahan a pu
sécuriser les évidences audio et vidéo de l'événement.
John Callahan: ...Maintenant dans les 747 ils existe un radar dans le nez
qui
signale le mauvais temps au-dehors. Donc son radar accroche une cible.
Il voit
cette cible avec ses yeux. Et la cible, d'après la manière
dont il l'a décrite, était
une gigantesque boule avec des lumières tout autour. Et je crois
qu'il a dit que
c'était quatre fois plus gros qu'un 747 !
Et le militaire a dit quelque-chose comme, oui, je l'ai vu à 35
miles au nord
d'Anchorage...
L'OVNI rebondissait autour du 747. Et lorsqu'il disait cela, le militaire
le coupait
et disait, il est maintenant à 2:00 ou 3:00 et il confirmait la
position. Le
contrôleur militaire a ce qu'ils appellent un radar sachant l'altitude,
et ils ont des
radars à longue et courte portée. Donc s'ils ne l'accrochent
pas avec un
système, ils l'accrochent avec un autre. Et si vous écoutez
le militaire, à un
moment il dit, je l'ai sur le radar d'altitude ou le radar de distance,
ce qui indique
qu'ils avaient une cible sur leur système. Ils répètent
cela pendant la majeure
partie des 31 minutes...
Ensuite le jour suivant, j'ai reçu un appel téléphonique
de quelqu'un du Groupe
d'Etude Scientifique [du Président Reagan], ou de la CIA, je ne
suis pas sûr de
qui il s'agissait lors du premier appel. Ils avaient des questions sur
l'incident.
J'ai dit:"je ne sais pas de quoi vous parlez, vous voulez probablement
appeler
l'Amiral" [l'Administrateur de la FAA Engen]. Quelques minutes plus tard,
l'Amiral m'appella et me dit qu'il a fixé un briefing le lendemain
matin à
9:00."Apporte tout ce que tu as. Amène tout le monde là-bas
et donne-leur tout
ce qu'ils veulent. Nous voulons sortir de cela. Laisse-les juste faire
ce qu'ils
veulent". Donc je suis venu avec tous les gens du Centre Technique. Nous
avions toutes sortes de boîtes pleines de données que nous
avions imprimées;
ça remplissait la pièce. Ils ont fait entrer trois personnes
du FBI, trois
personnes de la CIA, et trois personnes de l'Equipe d'Etude Scientifique
du
Président Reagan, je ne sais pas qui étaient les autres gens
mais ils étaient tous
excités...
A la fin, ils ont fait jurer toutes les autres personnes dans la pièce
que ce n'était
jamais arrivé. Nous n'avions jamais assisté à cette
réunion. Et ça n'a jamais été
enregistré.
Steven Greer: Qui a dit cela ? Qui disait cela ?
John Callahan: C'était un des gars de la CIA. Ok ? Qu'ils n'avaient
jamais été là
et que cela ne s'était jamais passé. A ce moment j'ai dit,
bon je ne sais pas
pourquoi vous dites cela. Je veux dire, il y avait quelque-chose là-bas
et si ce
n'était pas le bombardier furtif, alors vous savez, c'est un OVNI.
Et si c'est un
OVNI, pourquoi ne voudriez-vous pas que les gens le sachent ? Oh, ils sont
tous devenus excité là-dessus. Tu ne veux même pas
dire ces mots. Il a dit que
c'était la première fois qu'ils avaient 30 minutes de données
radar sur un OVNI.
Et ça les démange d'y mettre leurs mains et de découvrir
ce que c'est et ce qui
se passe réellement. Il dit que s'ils disent au public américain
qu'ils sont tombés
sur un OVNI là-bas, cela causerait la panique dans le pays. Donc
de ce fait, tu
ne peux pas en parler. Et ils sont en train de prendre toutes ces données...
Lorsqu'ils ont lu les rapports qui sont arrivés, la FAA a décidé
qu'elle devait se
protéger elle-même,"tu ne peux pas dire que tu as vu une cible",
même si c'est
ce qu'il a dit. Donc ils lui ont fait changer son rapport pour dire"symboles
de
position", ce qui ne fait pas penser à une cible. Bon si ce n'est
pas une cible,
alors beaucoup d'autres symboles de position que nous repérons [sur
radar] ne
sont pas non plus des cibles. Et lorsque j'ai lu cela, j'ai pensé"oh,
il y a
quelque-chose de louche ici, quelqu'un s'inquiète de quelque-chose
et ils sont
en train d'essayer de dissimuler tout cela".
Lorsque la CIA nous a dit que ce n'était jamais arrivé et
que nous n'avions
jamais assisté à cette réunion, je pense que c'était
parce-qu'ils ne voulaient pas
que le public sache que cela continuait. Normalement, nous sortirions une
sorte
d'annonce comme quoi telle ou telle chose était arrivée...
Les seuls qui voient un OVNI dans les programmes TV sont les"rednecks"
qui
vont chasser les alligators la nuit. Tu ne trouves pas d'initiés
ou de
professionnels qui disent"hey, laisse-moi te raconter ce que j'ai vu la
nuit
dernière". Ils ne montrent pas ça aux Etats-Unis. Donc si
tu dis que tu as vu un
OVNI, tu te mets toi-même dans la catégorie des simples d'esprit.
C'est
probablement une des raisons pour laquelle tu n'en entends pas parler.
Mais
aussi loin que je suis concerné, j'ai vu un OVNI chasser un 747
japonais à
travers le ciel pendant plus d'une demi-heure sur radar. Et c'est plus
rapide,
d'après ce que je connais, que n'importe quel appareil que nous
possédons.
Bon j'ai été impliqué dans beaucoup de camouflages
avec la FAA. Lorsque nous
avons fait le rapport au staff Reagan, j'étais derrière le
groupe qui était là-bas.
Et lorsqu'ils parlaient aux gens présents dans la salle, ils ont
fait jurer à tous ces
gens que cela n'était jamais arrivé. Mais ils ne m'ont jamais
fait jurer que ce
n'était jamais arrivé. Et cela m'ennuie toujours que nous
ayons ces choses qui
continuent et, lorsque tu vois quelque-chose à la TV ou que tu entends
quelque-chose à la radio, les news, c'est dénigré
comme si ce n'était pas là.
Cela a été dur de ne rien dire.
Cela m'ennuie encore d'avoir vu tout cela, je sais tout cela, et je traîne
cela, et
personne ne veut poser la question pour avoir la réponse. Et cela
m'irrite
quelque peu. Et je ne pense pas que notre gouvernement devrait être
établi de
cette manière. Je pense que lorsque nous avons quelque-chose comme
cela,
nous pouvons probablement découvrir plus sur ce qu'il se passe dans
le monde
[mais pas le dissimuler]. S'ils [les OVNI] peuvent voyager aussi loin,
cette
distance avec ce type de machines, qui sait ce qu'ils pourraient faire
ici pour la
santé de la nation, des gens, la nourriture qu'ils pourraient leur
donner, les
cancers qu'ils pourraient guérir. Ils doivent savoir plus de choses
que nous
pour voyager à cette vitesse.
Pour les gens qui disent que si ces OVNI existaient, ils seraient un jour
sur les
radars et il y aurait des professionnels qui les verraient, je peux leur
dire qu'en
1986 il y avait assez de professionnels qui l'ont vu. Cela a été
apporté aux
quartiers généraux, les quartiers généraux
de la FAA, à Washington D.C.
L'administrateur a vu la cassette de cela. Les gens qui ont été
débriefés, ils ont
tous vu. L'Equipe d'Etude Scientifique du Président Reagan, trois
de ces
professeurs, docteurs, ils l'ont vu. Ce sont eux qui ont vérifié
mes propres
pensées au sujet de cela. Ils étaient très, très
excités au sujet des données. Ils
ont dit que c'était la seule fois qu'un OVNI avait été
enregistré sur radar
pendant une durée de quelques 30 minutes. Et ils avaient toutes
ces données à
regarder...
Ce que je peux vous dire, c'est ce que j'ai vu de mes propres yeux. J'ai
une
cassette vidéo. J'ai la cassette des enregistrements radio. J'ai
les rapports qui
ont été remplis qui confirmeront ce que je vous dis. Et je
suis un de ceux que
vous appelez les"hauts officiels du gouvernement" dans la FAA. J'étais
Chef de
Division. J'étais seulement trois ou quatre rangs après Amiral...
Document
Observation d’un trafic non-identifié par le vol
1628 de Japan Airlines
le 18 novembre 1986
BROUILLON
ANC ARTCC
Annexe 1 Index
Annexe 2 Chronologie des Evènements
Annexe 3 Transcription
Annexe 4 Graphique du plan de vol
Annexe 5 Rapports du personnel
Annexe 6 Rapport opérationnel quotidien
Formulaire de la FAA 7230-4
Annexe 7 Enregistrements de position, Formulaire FAA
7230-10
Annexe 8 Enregistrement Continu de Données ZAN EARTS
(données de suivi radar)
Document
Departement du Transport des USA
Administration Fédérale de l’Aviation
Memorandum
Anchorage ARTCC, Alaska
Date: 9 janvier 19??
Sujet: INFORMATION - Transcription concernant un
incident impliquant le vol 1628 de Japan Airlines le 18
novembre 1986 à approximativement 0218 UTC
Quentin J. Gates,
Air Traffic Manager
ANC ARTCC
Cette transcription couvre la période entre le 18
novembre 1986 0214 UTC et le 18 novembre 1986 0259 UTC
(soit 45 minutes).
Entités ayant effectué des transmissions:
- Vol 1628 de Japan Airlines (JL1628)
- Secteur Combiné R/D15 de l’ARTCC d’Anchorage, Alaska
(R/D15)
- Secteur D15 de l’ARTCC d’Anchorage (D15)
- Secteur R15 de l’ARTCC d’Anchorage (R15)
- Centre de Commande des Opérations Régionales (ROCC)
- Vol 69 de United Airlines (UA69)
- TOTEM71 (TOTEM71)
- Contrôle d’Approche de Fairbanks (APCH)
Je certifie par le présent memorandum que ce qui suit
est une transcription exacte des conversations entendues
sur le présent sujet.
Signé Anthony M. Wylie
"Quality Assurance Specialis"
ARTCC d’Anchorage
Document
Departement du Transport des USA
Administration Fédérale de l’Aviation
Memorandum
Date: 18 décembre 1986
Sujet: INFORMATION - Observation d’un trafic
non-identifié par Japan Airlines
De: Responsable du Trafic Aérien de l’ARTCC d’Anchorage,
ZAN-1
A: Directeur - Division du Trafic Aérien, AAL-500
A l’attention de: Spécialiste de l’Evaluation, AAL-514
La chronologie ci-jointe résume les communications et
actions du vol 1628 de Japan Airlines le 18 novembre
1986.
Les données radar enregistrées par le Centre d’Anchorage
ne confirment pas la présence d’un trafic tel que celui
mentionné par le vol 1628. Aucune autre information n’a
été reçue de sources militaires ou civiles depuis
ces
observations.
Le Major Johnson du Centre de Commande des Opérations
Régionales d’Elmendorf (ROCC) vérifie les
enregistrements et se renseigne auprès des membres du
personnel opérationnel pour de plus amples détails. Il
nous fera parvenir, dès que possible, toute information
supplémentaire en provenance du centre d’Anchorage.
N’hésitez pas à contacter Tony Wylie, spécialiste
assurance qualité, au 169-1162 si vous avez des
questions ou désirez de plus amples informations.
Original signé par Quentin J. Gates
Document
Ce qui suit est un résumé chronologique des prétendues
observations d’un avion (plutôt un objet volant) par le
vol 1628 de Japan Airlines le 18 novembre 1986.
Toutes les heures mentionnées sont des heures UTC
approximatives, sauf mention contraire.
0219 - Le pilote du JL1628 demanda une information sur
le trafic aérien au contrôleur du secteur ZAN-15. Quand
le contrôleur lui renseigna qu’il n’y avait pas de
trafic dans les alentours, JL1628 répondit qu’il y avait
un trafic dans la même direction à approximativement 1
mile en face de lui, et qu’il semblait être à leur
altitude. Quand on lui a demandé de donner des
identifications de l’objet, le pilote a répondu qu’il ne
pouvait voir que des lumières blanches et jaunes.
0225 - ZAN contacta le ROCC et leur demanda si ils
avaient reçu des retours radars près de la position de
JL1628. Le ROCC répondit qu’il recevait un retour radar
faible à la position 10 heures de JL1628 à 8 miles.
0227 - Le ROCC contacta ZAN pour lui signifier qu’il ne
recevait plus de retour radar dans le voisinage de
JL1628.
0231 - JL1628 mentionna que "l’avion" était "assez
grand", au moment-même où le contrôleur de ZAN approuva
les changements direction nécessaires afin d’éviter le
trafic.
0232 - JL1628 demanda et obtenu l’autorisation de
descendre de palier FL350 à FL310. Quand on a demandé au
pilote si l’objet volant descendait aussi, le pilote
répondit qu’il descendait "en formation".
0235 - JL1628 demanda et obtenu un changement de cap au
deux un zéro (210). L’avion était alors dans le
voisinage de Fairbanks et le ZAN contacta le Contrôle
d’Approche de Fairbanks et leur demanda si ils avaient
un retour radar autour de JL1628. Le Contrôle de
Fairbanks répondit qu’il n’avait rien.
0236 - On demanda à JL1628 de faire un 360° et de dire
si l'objet était toujours avec lui.
0238 - Le ROCC appela ZAN et le renseigna qu’il avait
confirmé un "vol de deux" à la position de JL1628. Il
mentionna qu’il avait "d’autres équipements en train de
voir ça", et que c'était seulement une cible banale.
0239 - JL1628 dit à ZAN qu’il n’a plus l'objet en vue.
0242 - Le ROCC mentionne que c’est comme si l'objet
avait basculé du côté arrière droit de JL1628,
bien
qu’il ne puisse plus le suivre sur écran.
0244 - JL1628 avise que l'objet est maintenant à 9
heures.
0245 - Le ZAN demanda à un vol United Airlines situé
plus au nord, et après avoir discuté avec le pilote, de
faire un virage de 10° afin de confirmer l'objet.
0248 - JL1628 dit au ZAN que l'objet est maintenant à 7
heures, à une distance de 8 miles.
0250 - Le vol United Airlines situé au nord, mentionna
qu’il avait le vol Japan Airlines en vue, à contre-jour,
et ne pouvait voir aucun autre trafic.
0253 - JL1628 mentionna qu’il n’avait plus de contact
visuel avec l'objet.
Une profonde analyse des données de suivi radar de l’ANC
ARTCC ne révéla aucune cible dans le voisinage proche de
JL1628.
Document
RAPPORT DU PERSONNEL
ADMINISTRATION FEDERALE DE L’AVIATION
Centre de Contrôle du Trafic Aérien de la Route
d’Anchorage
Ce qui suit est un rapport sur l’incident impliquant
l’avion JL1628 le 18 novembre 1986 à 0230 UTC.
Mon nom est Carl E. Henley (HC), je suis employé par
l’Administration Fédérale de l’Aviation en tant que
Spécialiste du Contrôle du Trafic Aérien au Centre
de
Contrôle du Trafic Aérien de la Route d’Anchorage
(ARTCC), Alaska.
Durant la période entre le 17 novembre 1986 à 2030 UTC
et le 18 novembre 1986 à 0430 UTC j’étais de service à
l’ARTCC d’Anchorage. J’ai travaillé à la position D15 du
18 novembre 1986 à 0156 UTC au 18 novembre 1986 à 0230
UTC.
A approximativement 0225Z, alors que je suivais JL1628
sur le radar du secteur D15, l’appareil nous a demandé
une information sur l'objet. Je lui ai répondu qu’il n’y
avait aucun objet dans ce voisinage. L’avion mentionna
qu’il y avait du trafic à 12 heures à la même altitude.
J’ai demandé à JL1628 si il voulait une altitude plus
élevée ou plus basse et le pilote a répondu
négativement. J’ai vérifié avec le ROCC pour voir
si ils
avaient du trafic militaire dans la zone et pour voir si
ils avaient des cibles radar dans cette zone. ROCC avait
des cibles dans cette zone à la même position rapportée
par JL1628. Plusieurs fois, j’ai eu de brefs retour
radars quand JL1628 me mentionnait qu’il avait du
trafic. JL1628 me demanda plus tard pour pouvoir
descendre à 210°, j’ai accepté les déviations
nécessaires de JL1628 afin de pouvoir éviter l'objet.
L'objet est resté avec JL1628 tout au long du virage et
est descendu dans la zone de FAI, j’ai demandé à JL1628
de faire un 360° pour voir si il pouvait identifier
l’appareil, il perdit le contact momentanément, à ce
moment-là j’ai observé un contact radar à la position
6
heures 5 miles. J’ai alors dirigé le vol UA69 situé plus
au nord, et après avoir reçu leur accord, vers Anchorage
afin de vérifier si ils pouvaient identifier l’appareil,
mais il ne mentionèrent aucun autre objet, à ce moment
JL1628 avait perdu le contact avec l'objet. De plus, un
C-130 militaire situé plus au sud mentionna qu’il avait
le plein de carburant et qu’il pouvait aller jeter un
coup d’oeil, je l’ai dirigé vers le vol et l’ai fait
monter à FL240, lui non plus n’avait pas de contact.
Note : j’ai demandé à JL1628 de renseigner le type ou
marquages l’appareil. Il ne pouvait pas l’identifier
mais rapporta qu’il voyait des lumières blanches et
jaunes. J’ai demandé à JL1628 de me donner les
conditions de vol et me répondit qu’il faisait clair et
sans nuage.
Signé : Carl Henley
19 novembre 1986
Document
RAPPORT DU PERSONNEL
ADMINISTRATION FEDERALE DE L’AVIATION
Centre de Contrôle du Trafic Aérien de la Route
d’Anchorage
9 janvier 1987
Ce qui suit est un rapport sur l’incident impliquant
l’avion JL1628 le 18 novembre 1986 à 0218 UTC.
Mon nom est Samuel J. Rich (SR), je suis employé par
l’Administration Fédérale de l’Aviation en tant que
Spécialiste du Contrôle du Trafic Aérien au Centre
de
Contrôle du Trafic Aérien de la Route d’Anchorage
(ARTCC), Alaska.
Durant la période entre le 18 novembre 1986 à 0035 UTC
et le 18 novembre 1986 à 0835 UTC j’étais de service à
l’ARTCC d’Anchorage. J’ai travaillé à la position D15 du
18 novembre 1986 à 0230 UTC au 18 novembre 1986 à 0530
UTC.
Je suis revenu de ma pause vers 0218 UTC pour relever
Mr. Henley au secteur R/D15. Durant la procédure pour
relever Mr. Henley j’ai entendu le pilote du JL1628
demander si nous avions du trafic près de sa position.
J’ai continué à suivre sur radar JL1628 pendant que Mr.
Henley me donnait un rapide briefing de la situation.
J’ai suivi sur écran la situation pendant
approximativement 12 minutes pendant lesquelles j’ai
supposé que la position D15 et Mr. Henley avait bougé
pour la position R15. Pendant la période de 12 minutes,
j’ai entendu le pilote de JL1628 rapporter que les
lumières étaient blanches et jaunes. Après que l’échelle
du radar ait été réduite à approximativement
20 miles
j’ai observé un retour radar à la position que le pilote
avait mentionnée.
Après avoir déduit la position D15, j’ai appelé le
ROCC
à approximativement 0230 UTC pour demander si ils
avaient du trafic aérien militaire en opération près
de
JL1628. Le ROCC répondit qu’ils n’avaient aucune
opération militaire dans cette zone. Je leur ai alors
demandé si ils pouvaient voir du trafic près de JL1628.
Le ROCC mentionna qu’ils n’avaient aucun trafic près de
JL1628 à la position où nous l’avions eu.
J’ai demandé au ROCC si ils avaient un appareil qui
pouvait aller à la rencontre de JL1628, ils me
répondirent qu’ils me rappelleraient. Je n’ai reçu
aucune réponse à ma demande de vérification.
Signé Samuel J. Rich
Spécialiste du Contrôle du Trafic Aérien
à l’ARTCC d’Anchorage
Document
RAPPORT DU PERSONNEL
ADMINISTRATION FEDERALE DE L’AVIATION
Centre de Contrôle du Trafic Aérien de la Route
d’Anchorage
9 janvier 1986 (??)
Ce qui suit est un rapport sur l’incident concernant le
vol Japan Airlines 1628 (JL1628), au nord de Fairbanks,
Alaska le 18 novembre 1986 à 0218 UTC.
Mon nom est John L. Aarnink (AA), je suis employé par
l’Administration Fédérale de l’Aviation en tant que
Spécialiste du Contrôle du Trafic Aérien au Centre
de
Contrôle du Trafic Aérien de la Route d’Anchorage
(ARTCC), Alaska. Durant la période entre le 17 novembre
1986 à 2230 UTC et le 18 novembre 1986 à 0630 UTC,
j’étais de service à l’ARTCC d’Anchorage. J’ai travaillé
à la position C15 du 18 novembre 1986 à 0218 UTC au 18
novembre 1986 à 0250 UTC, approximativement.
J’étais en chemin pour prendre ma pause quand j’ai
remarqué une activité inhabituelle sur les positions du
secteur 15. Je me suis branché sur la position C15 et
les ai assisté en répondant au téléphone avec
le système
"mains libres" et en prenant les actions nécessaires. En
ce qui concerne spécifiquement l’incident, j’ai suivi
sur écran les transmissions des appareils et observé sur
le radar que les informations coïncidaient avec les
informations que le pilote du JL1628 avaient rapportées.
J’ai coordonné avec le ROCC sur les lignes BRAVO et
CHARLIE. Ils confirmèrent qu’ils avaient aussi eu des
données à la même position. Aux alentours de
l’intersection CAWIN, je n’ai plus eu les informations
et le pilote mentionna qu’il ne voyait plus le trafic.
J’ai appelé le ROCC et ils rapportèrent qu’ils avaient
perdu la cible. Je me suis ensuite débranché de la
position et suis parti en pause.
Signé John L. Aarnink
Spécialiste du Contrôle du Trafic Aérien
à l’ARTCC d’Anchorage
Sgt. Chuck Sorrells
US Air Force (retraité), décembre 2000
Chuck Sorrells était militaire de carrière de l'Air Force
en poste à la base de
l'Air Force d'Edwards en 1965 lorsque non pas un, mais au moins sept OVNI
sont apparus au-dessus de celle-ci, bougeant de manière extraordinaire
à des
vitesses énormes, faisant des virages à angle droit et d'autres
manoeuvres
qu'aucun avion connu ne pouvait faire à l'époque. Ils sont
apparus sur de
multiples radars, ont été observés visuellement par
plusieurs personnes, et un
officier spécial OVNI a autorisé un jet à aller intercepter
ces objets. Cet
événement a duré cinq ou six heures. Une transcription
éditée de la cassette
audio de cet événement suit son témoignage.
M. Michael W. Smith
US Air Force, novembre 2000
Michael Smith était contrôleur aérien de l'Air Force
dans l'Oregon et, de ce fait,
au Michigan. Sur ces deux installations, lui et d'autres ont été
témoins d'OVNI
pistés sur radar et bougeant à des vitesses extraordinaires.
Il confirme aussi
que le personnel devait maintenir le secret concernant ces observations,
et que
le NORAD, le North American Air Defense Command, était parfaitement
au
courant de ces événements. En fait, lors d'un événement
au Michigan, le
NORAD était pleinement engagé, et dirigeait des B-52 retournant
à la base
entourés d'OVNI.
Commandant Graham Bethune
US Navy (retraité), novembre 2000
Le Commandant Graham Bethune est un commandant pilote en retraite de la
Navy avec une autorisation top-secret. Il a été commandant
d'un avion VIP qui
transportait des officiers et des civils de hauts rangs de Washington D.C.
Dans
son témoignage il explique qu'il transportait un groupe de VIP et
d'autres pilotes
jusqu'à Argentia, Terre-Neuve, lorsqu'ils ont tous été
témoins d'un OVNI de
300 pieds (100m, Ndt) qui a parcouru 10'000 pieds (3'000m, Ndt) tout droit
en
une fraction de seconde en direction de leur avion et il était sur
le radar. Il a
abondamment documenté cet événement.
M. Enrique Kolbeck
Contrôleur aérien senior, octobre 2000
M. Enrique Kolbeck est contrôleur aérien à l'aéroport
international de Mexico
City. Dans son témoignage, il parle des fréquentes observations
d'OVNI qui
sont observés visuellement sur radar. Ils sont chronométrés
à des vitesses
énormes et ils font des virages en épingle à cheveux
presque instantanément.
Sur les 140 contrôleurs aériens de l'aéroport, il estime
que plus de 50 ont vu
ces phénomènes. Lors d'une observation, 32 contrôleurs
ont simultanément vu
la même lumière rouge et blanche volant autour d'un avion
conventionnel qui
atterrissait. Il y a eu des rapports des quatre centres de contrôle
aérien à
Mexico sur ces OVNI.
Dr Richard Haines
novembre 2000
Le Dr Haines a été chercheur scientifique de la NASA depuis
le milieu des
années 60. Il a travaillé sur les programmes Gemini, Apollo
et Skylab ainsi que
sur d'autres. Pendant ces 30 dernières années, le Dr Haines
a compilé plus de
3'000 cas d'observations visuelles et radars inhabituelles de phénomènes
aériens
inexpliqués. Il note que beaucoup de cas étrangers apparaissent
aussi dans la
littérature et sont très similaire dans leur nature aux rapports
américains. Dans
un cas ici en Amérique, un capitaine de B-52 lui a dit que lui et
son équipage
avaient vu cinq sphères apparaître juste à côté
de chaque bout d'aile, derrière
leur avion, au-dessus et en dessous de celui-ci et elles l'ont accompagné
à son
altitude et à sa vitesse de croisière. Le capitaine a essayé
de faire fuir les
sphères avec des manoeuvres évasives mais chaque sphère
a gardé sa position
exacte. Il y a d'autres cas où des pilotes ont regardé à
travers la coupole
transparente de certains OVNI et des détails ont été
vu à l'intérieur.
M. Franklin Carter
US Navy, décembre 2000
M. Carter a été entraîné comme technicien radar
électronique de la Navy dans
les années 50 et 60. Il parle d'un incident où il a été
témoin d'un contact radar
clair et non ambigu se déplaçant à la vitesse de 3'400
miles par heure (5'500
km/h, Ndt). Il y avait d'autres opérateurs radars qui, plusieurs
fois en 1957 et
1958, ont aussi été témoins de ces objets inhabituels
volant vite. A cette
époque, l'avion terrestre le plus rapide atteignait 1'100 miles
par heure (1'700
km/h, Ndt). Lors d'un cas, un opérateur de l'Air Force a pisté
un de ces OVNI
jusqu'à 300 ou 400 miles dans l'espace (500 à 600 km, Ndt).
Lorsque ces
rapports ont été connus de General Electric qui a construit
le radar, leurs
techniciens sont arrivés et ont modifiés l'électronique
de telle sorte que le radar
ne porte plus qu'à 12 ou 15 miles dans l'espace (20 à 25
km, Ndt).
Neil Daniels
Pilote de ligne, novembre 2000
M. Daniels est pilote avec plus de 30.000 heures de vol en 59 ans. Il a
rejoint
l'Air Force et est devenu pilote de B-17, réalisant 29 missions
de combat. Après
avoir quitté l'Air Force, il travailla pour United Airlines pendant
35 ans. Il parle
de mars 1977, lorsqu'il volait sur un vol commercial de San Francisco à
Boston. L'avion était sur pilote automatique lorsque par lui-même
il a
commencé à virer à gauche. Il a regardé à
travers le hublot et a remarqué une
lumière brillante. Le premier et le second officier l'ont vue aussi.
Ils étaient
perplexes car les trois compas affichaient des indications différentes.
Sgt. Robert Blazina
Retraité, août 2000
M. Robert Blazina est militaire retraité avec une autorisation top-secret.
Il
transportait des armes nucléaires tout autour du monde. Il a personnellement
observé un OVNI manoeuvrant dans la nuit claire à une vitesse
incroyable. Une
autre fois lui et un avion civil 747 ont tous les deux vu sur leurs écrans
radars
un objet volant à environ 10'000 miles par heure (16.000 km/h, Ndt)
directement sur eux.
Lieutenant Frederick Marshall Fox
US Navy (retraité), septembre 2000
Le Lieutenant Fox était dans la Navy dans les années 60,
pilotant des avions
d'attaque. Il avait une autorisation top-secret et a servi au Vietnam.
Il est pilote
retraité avec 33 ans de vol avec American Airlines. Dans son témoignage,
il
révèle qu'il y a une publication appelée JANAP 146
E contenant une section
stipulant que personne ne doit partager des informations sur le phénomène
OVNI sous peine de 10'000 dollars d'amende et 10 ans de prison. Lors d'un
incident fin 1964, alors qu'il volait un A4 Skyhawk, il raconte que soudain
un
objet sombre en forme de soucoupe d'environ 30 pieds (10m, Ndt) de diamètre
est apparu sur son côté gauche. Il y avait beaucoup d'autres
événements
pendant sa carrière où il a observé des OVNI en forme
de soucoupe et de
cigare au-dessus d'installations militaires, et une fois il a vu deux lumières
rouges traverser le ciel nocturne d'horizon à horizon en trois secondes.
Il avait
peur de rapporter ces événements à cause du ridicule
inhérent au sujet.
Capitaine Massimo Poggi
septembre 2000
Le Capitaine Poggi est capitaine senior de 747 pour Alitalia. Il raconte
un
événement où, lorsqu'il volait de Rome à Sao
Paolo en juillet 1999, il a été
témoin d'un halo vert éclatant montant dans les airs juste
500 pieds (150m,
Ndt) en dessous de son 747. L'avion a fait un saut lorsque l'OVNI est passé
en
dessous. Beaucoup de bruit statique a résonné dans son casque
durant cette
expérience. Une autre fois, lorsqu'il volait au-dessus de Turin
en 1992, il a vu
une sphère elliptique maintenant une position statique par rapport
aux nuages
comme si elle était stationnaire. Il a vu cet OVNI sur son scope
(radar, Ndt).
Après avoir regardé ailleurs pour parler brièvement
à son copilote, il a de
nouveau regardé et c'était parti.
Lt. Bob Walker
US Army, septembre 2000
Le Lieutenant Walker était second Lieutenant dans l'Army. Après
la Seconde
Guerre mondiale, lors d'une journée "portes ouvertes" à la
NASA (alors
NACA), il a vu un engin en forme de soucoupe de 30 pieds (10m, Ndt) de
diamètre qui avait été ramené d'Allemagne pour
étude. Lors d'une autre
occasion, il pilotait un avion pour une station TV lorsqu'un objet en forme
de
disque est arrivé de l'ouest. Il avait sa caméra et a grimpé
à 12'000 pieds
(4'000m, Ndt) pour prendre des photos de celui-ci. Après avoir atterri,
il a
immédiatement fait développer et élargir les photos.
L'objet s'est révélé être
argenté en forme de ballon de football avec des points à
chaque extrémité. Son
film a ensuite été pris dans des circonstances inhabituelles.
Dans son
témoignage il parle aussi d'un dîner tard la nuit près
de Fort Campbell dans le
Kentucky où il a entendu des conversations de MP (membres de la
police
militaire, Ndt) faisant référence à une soucoupe volante
qui avait atterri près
d'une ferme et les MP étaient là-bas sécurisant la
zone. Des créatures étaient
présentes et elles ont été abattues par le fermier
apeuré.
M. Don Bockelman
US Army, septembre 2000
M. Bockelman était technicien électronique sur zone de lancement
pour l'US
Army. Il a aussi été entraîné comme analyste
de systèmes et a travaillé sur les
missiles Nike Hercules. Pendant deux ans il a travaillé pour Honeywell
en
fabriquant des torpilles à charge nucléaire. M. Bockelman
a entendu de
nombreux témoignages de première main de la part d'opérateurs
radars disant
qu'ils voyaient des cibles extrêmement rapides volant à 3'500
miles par heure
(5'600 km/h, Ndt). Certaines de ces cibles faisaient des virages impossibles.
Une fois, il a été témoin d'une tentative de destruction
d'une cible avec un
missile sol-air près de Mont Vernon, WA.
Vous avez des questions à poser, des erreurs à corriger,
des remarques à faire, des idées à suggérer...?
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Témoignages de Faits et
d'Engins Extraterrestres
Contrôle Stratégique Aérien et Installations
Nucléaires
Introduction
Cette section traite d'événements impliquant les OVNI et
le "Strategic Air
Command" (Commandement Stratégique de l'Air, Ndt) au-dessus ou à
proximité d'installations nucléaires. J'aimerais souligner
encore une fois que les
témoins que nous avons ici sont diversifiés. Cela va de gens
de l'Atomic Energy
Commission (Commission à l'Energie Atomique, Ndt) à des gens
qui ont
travaillé sur des installations du "Strategic Air Command" et sur
des installations
de contrôle de lancement de missiles aux Etats-Unis et au Canada.
Ces témoins
nous donnent des témoignages très clairs sur le fait que
ces véhicules
extraterrestres semblent être assez concernés au sujet de
nos armes de
destruction massive. Et en fait, plus d'un m'ont déclaré
qu'ils pensaient que ces
véhicules extraterrestres étaient là parce-qu'ils
étaient très concernés sur le fait
que nous pouvions nous détruire nous-mêmes, ou que nous pouvions
commencer à aller dans l'espace et ainsi être une menace un
jour pour d'autres
civilisations.
Je pense que c'est très important parce-que, bien qu'aucun de ces
témoins ait
déclaré qu'il y avait eu des actions hostiles de la part
de ces objets, il est bien
clair qu'ils sont concernés par ce que nous pourrions faire avec
ces armes de
destructions massives. Et ceci signifie quelque-chose de très profond:
nous
avons atteint le point où le seul futur possible est celui de la
paix. Ces armes
sont trop puissantes et les enjeux sont trop grands pour aller plus loin
et
envisager l'utilisation de ces armes. Nous devons aller dans l'espace sans
utiliser ces armes de notre arsenal contre n'importe quelle forme de vie.
Les
civilisations extraterrestres, qui semblent surveiller notre activité
et l'avoir fait
depuis des décennies, pourraient voir cela comme une de leur inquiétude
majeure. Et il est très probable que l'entrée dans la société
interplanétaire exige
la capacité d'un peuple à avancer dans l'espace pacifiquement.
Nous ne
sommes pas en train de parler de mousquets, canons et sabres mais d'armes
thermonucléaires, d'armes laser pulsées et de technologies
exotiques qui
peuvent déchirer le tissu de l'espace-temps. Cela doit être
clair pour tous que le
seul futur vivable est un futur pacifique. Cette paix est le signe de la
maturation
de la race humaine.
Il est aussi possible que des personnes à l'intérieur de
la structure nationale de
commandement militaire, aussi bien que l'appareil national de sécurité
des
Etats-Unis et d'autres pays, aient interprété certaines actions
de ces véhicules
extraterrestres comme une violation de notre espace ou de notre souveraineté.
Je pense que nous devons élargir notre champ de vision et considérer
le fait
que si nous découvrions une planète qui, en l'espace de cent
ans, était passée
de la civilisation agraire à une civilisation capable de faire ses
premiers pas dans
l'espace et qui avait des milliers d'engins thermonucléaires capables
de détruire
des mondes, peut-être que nous serions aussi inquiets. Je pense que
nous
devons commencer à nous regarder dans le miroir comme un peuple
et nous
demander ce que nous devons faire pour assurer un futur pacifique à
notre
planète et aussi garantir de conserver ces armes hors de l'espace
pour toujours.
En discutant de ce sujet en relation avec les installations du "Strategic
Air
Command" et les événements nucléaires, vous allez
apprendre qu'à certaines
occasions ces objets, qui ont stationné au-dessus des installations
de contrôle
de lancement ou au-dessus des silos des missiles, ont été
capables de rendre
inerte ces engins. Ils ont été capables de rendre inerte
des missiles balistiques
intercontinentaux. Je ne pense pas que c'est un signe d'une quelconque
hostilité
de leur part, mais une manière de dire: "S'il vous plait, ne détruisez
pas cette
belle planète; et sachez cela: nous ne vous laisserons pas détruire
la nôtre." Je
pense qu'il est très important pour les gens de comprendre que de
telles actions
ont cependant pu être mal interprétées par certaines
autorités à l'intérieur de la
"bouteille du secret" et c'est quelque-chose auquel nous devons faire très
attention en tant que civilisation. Que se passe-t-il à l'intérieur
de l'obscurité du
secret? Le secret grossit sur lui-même, et cela crée un vide
de l'information où
il n'y a pas d'échange avec des gens d'opinion différente
ou avec des gens qui
ont une autre manière de vivre. Dans ce milieu, il est très
facile d'accéder à la
paranoïa et c'est un des grands dangers inhérents au secret
obsessif, le type de
secret contre lequel le Président Eisenhower nous a avertis en janvier
1961.
Capitaine Robert Salas
décembre 2000
Le capitaine Salas est diplômé de l'Air Force Academy et a
passé sept ans en
service actif de 1964 à 1971. Il a aussi travaillé à
Martin Marietta et Rockwell
et a passé 21 ans à la FAA (Federal Aviation Administration,
Ndt). Dans l'Air
Force, il était contrôleur du trafic aérien et officier
de lancement de missiles
aussi bien qu'ingénieur sur les missiles Titan 3. Il témoigne
au sujet d'un
incident OVNI le matin du 16 mars 1967 où 16 missiles nucléaires
sont
simultanément devenus non-opérationnels à deux installations
de lancement
différentes immédiatement après que les gardes aient
vu des OVNI stationnant
au-dessus. Les gardes ne pouvaient pas identifier ces objets bien qu'ils
étaient à
seulement 30 pieds (10m, Ndt) d'eux. L'Air Force fit une recherche
approfondie sur les incidents et ne put trouver de cause probable. A un
débriefing sur l'incident, un officier de l'"Air Force Office of
Special
Investigations" (Bureau des Investigations Spéciales de l'Air Force,
Ndt) lui
demanda de signer un formulaire de non-divulgation et lui dit qu'il ne
devait pas
en parler à d'autres y compris sa famille ou d'autres militaires.
A un moment de
Guerre Froide, lorsque des anomalies techniques mineures étaient
ouvertement
communiquées parmi le staff, cet incident ne l'était pas
et à partir de ce jour le
Capitaine Salas pensait que c'était très inhabituel.
...L'incident OVNI se passa le matin du 16 mars 1967. J'étais en
service avec
mon commandant Fred Mywald. Nous étions les deux en service à
"Oscar
Flight" (les sites de lancement de missiles étant divisés
en plusieurs secteurs,
Ndt) comme partie de la 490ème équipe de missile stratégique
et il y avait cinq
installations de contrôle de lancement assignées à
ce squadron (équipe, Ndt).
Nous étions à "Oscar Flight".
Il faisait encore nuit dehors et nous étions enterrés à
60 pieds (20m, Ndt) sous
terre [à l'installation de contrôle de lancement des ICBM].
C'était tôt le matin et
j'ai reçu un appel téléphonique de mon garde de sécurité
qui était le contrôleur
de sécurité du "flight" (secteur Oscar, Ndt) et il m'a dit
que lui et d'autres
gardes étaient en train d'observer des étranges lumières
volant autour du site et
des installations de contrôle de lancement. Il a dit qu'elles se
comportaient très
bizarrement en volant juste autour, et j'ai dit: "tu veux dire OVNI?".
Il a dit,
bon, il ne savait pas ce qu'elles étaient mais c'était des
lumières et elles volaient
par-là. Elles n'étaient pas des avions ; elles ne faisaient
aucun bruit. Elles
n'étaient pas des hélicoptères ; elles faisaient de
très étranges manoeuvres et il
ne pouvait pas l'expliquer...
Quelques minutes plus tard, peut-être une demi-heure, il a rappelé
et cette fois il
était très effrayé ; je pouvais dire par le ton de
sa voix qu'il était très secoué. Il
a dit: "Sir, il y a un objet rougeoyant qui stationne à droite de
la porte de devant,
je suis en train de le regarder juste maintenant. Il y a tous les hommes
ici
dehors avec leurs armes sorties..."
J'ai immédiatement rapporté cela à mon commandant
qui faisait un petit
somme, nous avions un petit lit de camp pour les périodes de repos,
et je lui
parlais de l'appel téléphonique que nous avions juste reçu.
Pendant que je lui
relatais cela, nos missiles ont commencé à devenir hors-service
un par un. Par
hors-service, cela signifie qu'ils sont entrés en condition "no-go",
signifiant
qu'ils ne pouvaient pas être lancés. Alors il y a eu des sonneries
et alertes, une
lampe rouge de condition "no-go"...
Ces armes étaient des missiles "Minuteman One" et c'était
bien-sûr des missiles
à têtes nucléaires.
Pendant qu'ils devenaient hors-service, il s'est immédiatement levé
et nous
avons commencé à regarder le tableau d'état. Nous
avions le pouvoir de
chercher et de déterminer quelle était la cause de ces pannes.
A ce que je me
rappelle, la plupart des pannes venaient de dysfonctions dans le système
de
guidage et de contrôle. Et alors il a commencé à rapporter
cela au poste de
commandement. Pendant ce temps, j'ai appelé en-haut (à la
surface, Ndt) pour
savoir ce qu'il en était de cet objet et le garde a dit que l'objet
était parti, il était
juste parti à grande vitesse...
L'Air Force fit une enquète minutieuse sur l'incident dans son ensemble
mais ne
put arriver à trouver une cause probable à ces pannes. J'ai
plusieurs témoins
qui l'attesteront, nous avons deux personnes qui ont travaillé dans
l'équipe
d'investigation, et j'ai une correspondance avec l'homme qui a organisé
l'équipe
d'investigation. Il n'y avait pas d'explication viable pour cela [pannes
de
multiples ICBM]. Chaque missile est fondamentalement autonome. La plupart
d'entre eux sont alimentés par de la puissance commerciale mais
chaque missile
a son propre générateur d'énergie...
Sur notre site, six à dix sont tombés en panne mais ils sont
tombés en panne en
succession rapide, ce qui de nouveau est extrêmement rare. Nous avions
rarement plus d'un missile qui tombait en panne pour quelque raison que
ce
soit...
Après que j'ai parlé avec mon supérieur, mon commandant
a parlé au poste de
commandement. Lorsqu'il eut fini de parler au poste de commandement, il
s'est
tourné vers moi et a dit: "La même chose s'est passée
à "ECHO Flight". Echo
Flight est un autre "squadron", je dirais à 50-60 miles (75 km,
Ndt) de notre
installation et il s'était passé le même genre de chose.
Ils avaient eu des OVNI
stationnant, pas sur l'installation de contrôle de lancement mais
sur les
installations où les missiles étaient situés. Ils
avaient des gens de la maintenance
et de la sécurité là-bas et ils avaient observé
les OVNI sur ces sites. Ils avaient
perdu leurs dix missiles, tous les dix...
C'était la même matinée. Donc cette matinée
nous avons perdu de 16 à 18
ICBM au moment où les OVNI étaient dans la zone et étaient
observés par des
gens de l'Air Force. Ces missiles étaient hors-service toute la
journée car nous
avons le témoignage du Colonel Don Crawford, qui a tranquillisé
les gens à
ECHO Flight, et il était là-bas lorsque les missiles se sont
mis en état d'alerte et
il a dit que cela avait pris toute la journée. Donc je certifie
que cela a pris toute
une journée pour les remettre en état de marche...
J'ai écrit un rapport sur cet incident ; c'était dans mon
carnet et je l'ai rapporté.
Lorsque nous sommes revenus à la base nous devions tout de suite
rapporter
cela à notre commandant de squadron. Et dans cette pièce
avec mon
commandant de squadron, il y avait un type de l'AFOSI (nous avions un bureau
des Investigations Spéciales de l'Air Force à la base). Il
était là avec le
commandant. Il m'a demandé mon carnet et il voulait un rapide briefing
bien
qu'il semblait pour ma part être au courant de ce qu'il s'était
passé. Nous lui
avons donné un rapide briefing et il nous a alors demandé
de signer un accord
de non-divulgation disant que c'était une information classifiée,
nous ne
pouvions dévoiler cela à n'importe qui, et c'était
comme ça. Nous ne devions
pas parler ; il nous a dit que nous ne pouvions en parler à personne,
y compris
à d'autres militaires, à nos épouses, notre famille,
etc...
J'ai une copie d'un télex que nous avons reçu grâce
au FOIA (Freedom of
Information Act, Ndt) venant des quartiers généraux du SAC
(Strategic Air
Command, Ndt) pour Malstrom et d'autres bases juste après la matinée
où les
faits se sont produits, disant que cet incident était pris très
au sérieux par les
quartiers généraux du SAC parce qu'ils ne pouvaient pas l'expliquer.
Personne
ne pouvait expliquer ce qu'il s'était passé. Et nous n'avons
pas encore été
débriefé. Et nous étions habilités pour de
très hautes classifications car c'était
sur des sites nucléaires que nous travaillions.
Les alarmes de sécurité se sont déclenchées
sur ces sites lorsque les missiles
sont tombés en panne. C'est très inhabituel car d'habitude
lorsqu'un missile
tombe en panne pour quelque-chose comme une dysfonction du système
de
guidage, nous n'avions pas d'alarmes, qui indiquent qu'un périmètre
est violé,
un objet a traversé la clôture ou quelque-chose a enclenché
le système d'alarme
que nous avions sur le périmètre de l'installation de lancement.
J'ai envoyé des
gardes à quelques installations pour enquêter là-dessus.
La raison pour laquelle je pense que cette histoire est très significative
est
parce-que, en revenant à août 1966 à Minot, ND (Dakota
du Nord, Ndt), une
chose très similaire s'est produite sur une des installations de
contrôle de
lancement à Minot Air Force Base. Ils avaient la même sorte
de système d'arme
que nous avions, ils avaient des missiles M-1. Cela [OVNI] a été
observé au
radar, il y avait des dysfonctionnements de communication et l'objet a
été
observé sur l'installation de lancement.
Cela s'est passé en août 1966 et c'est un incident très
bien documenté. Environ
une semaine avant mon incident, en mars 1967, j'ai l'enregistrement d'un
coup
de téléphone d'un des gardes de sécurité qui
était dehors regardant les
installations de lancement et voyait un objet très similaire à
ce que j'ai décrit sur
l'installation de lancement...
Bob Kominski dirigeait l'organisation devant inspecter tous les aspects
de ces
pannes. Kominski m'a dit qu'à certains points son patron lui avait
dit que l'Air
Force lui avait dit: "Arrêtez l'enquête ; ne faites plus rien
là-dessus et ne faites
pas non plus de rapport final." De nouveau, c'est très inhabituel,
spécialement
dû au fait que les quartiers généraux du CINC-SAC disaient
que c'était
extrêmement important de découvrir exactement ce qu'il s'était
passé là-bas. Et
de nouveau, on a dit au chef de l'équipe d'investigation durant
celle-ci de
l'arrêter et de ne pas écrire de rapport final...
Document
PRIORITE NON CLASSIFIEE
24 mars 1967
Belt, Montana
Cette note est envoyée depuis Malmstrom à plusieurs
destinataires dont la base de Wright-Patterson,
Washington (deux différents bureau de l'Air Force)
Entre les heures 2100 et 0400 MST de nombreux rapports
ont été reçus par les Agences de l'Air Force Base
de
Malmstrom concernant des observations d'OVNI près des
Great Falls, zone du Montana.
Des rapports d'atterrissage d'OVNI près de Belt, Montana
ont été faits par plusieurs sources dont des adjoints du
Bureau du Shérif du Conté de Cascade. Une enquête est
menée par le Lieutenant Colonel Lewis Chase, téléphone:
lieu de travail extension 215, domicile 452-1135.
Document
PRIORITE NON CLASSIFIEE
Officier des Opérations de la Base. Le site supposé de
l'atterrissage est sous surveillance bien que la lumière
du jours soit nécessaire pour de plus amples recherches.
Le Bureau du Shérif mènera une enquête sur le terrain
et
un hélicoptère de l'Air Force Base de Malmstrom se
chargera de la recherche aérienne. Un rapport de suivi
sera soumis dès que les détails seront disponibles.
Document
Déclassé le 16 janvier 1996
Sujet: Perte d'une alerte stratégique, vol ECHO, Base de
l'Air Force de Malmstrom
Référence: mon message secret DM7B 02751, 17 mars 1967,
même sujet.
Tous les dix missiles du vol ECHO à Malmstrom ont chacun
perdu leur alerte stratégique dix secondes l'un après
l'autre. Cet incident s'est produit à 0845L le 16 mars
1967. Depuis cette date, tous les missiles ont été remis
en stratégie.
PAGE 2 RUCSAAA0196 SECRET
Alerte sans difficulté apparente. Une enquête quant à
savoir la cause de l'incident est mené par Malmstrom.
Deux FITTS ont été passés jusqu'à présent
sur les
missiles. Aucune conclusion n'a été tirée. Il y a
des
indications comme quoi les ordinateurs des deux "G&C"
ont été indisponibles momentanément. La cause de
l'indisponibilité est inconnu à ce jour. Toutes les
informations significatives sont indiquées dans le
message mentionné ci-dessus (message du 17 mars 1967).
Pour OOAMA: le fait qu'aucune raison apparente pour la
perte de dix missiles ne soit rapidement identifiée est
la cause d'une grave préoccupation pour le quartier
général. Nous devons mener une analyse en profondeur
afin de déterminer la cause et l'action à entreprendre,
et devons savoir le plus vite possible l'impact sur la
flotte , s'il existe. Nous demandons une réponse urgente
concernant le problème. Nous vous fournirons en retour
notre complète collaboration et support.
Pour OOAMA et ISAF: Nous avons décidé de demander à
Boeing d'envoyer deux ingénieurs, Mr. R.E. Rigert et Mr
W.M. Dutton, à Malmstrom afin de collecter des
connaissances de première main sur le problème pour une
possible assistance dans une analyse ultérieure. Nous
demandons la coopération de tous ceux concernés afin de
leur fournir les informations disponibles, à savoir
Commandements d'équipes, entrées dans les systèmes,
formulaires de maintenance, interrogatoire de personnes
potentiellement au courant, etc.
RUCSAAA0196 SECRET
Des autorisations de sécurité et la date/heure de
l'arrivée seront envoyées de la part de l'AFFRO par
message séparé.
Pour ISAF: OOAMA a indiqué lors d'une conversation
téléphonique qu'ils envoient du matériel d'ingéniorat
en
support. Nous demandons votre coopération pour assurer
qu'un maximum de résultats soit obtenu de ces enquêtes.
GP74
Groupe-4
Dégradé à des intervalles de 3 ans
Déclassé après 12 ans
Professeur Robert Jacobs
Lt. US Air Force, novembre 2000
Le professeur Jacobs est un professeur respecté dans une université
américaine
importante. Dans les années 60, il était dans l'Air Force.
Il était officier en
charge de l'instrumentation optique et son travail était de filmer
les tests de
missiles balistiques lancés de Vandenberg Air Force Base en Californie.
En
1964, lors du test du premier missile qu'ils filmaient, ils ont filmé
un OVNI
volant juste à droite du missile. Il dit que ça avait l'air
de deux soucoupes
renversées l'une contre l'autre avec une balle de ping-pong ronde
comme
surface au sommet. Le film montrait que depuis cette balle, un rayon de
lumière a été dirigé sur le missile. C'est
arrivé quatre fois, de quatre angles
différents, lorsque le missile était à une altitude
d'environ 60 miles (37 km, Ndt)
et volait à une vitesse de 11'000 à 14'000 mph (17'500 à
22'500 km/h, Ndt). Le
missile est tombé dans l'espace et l'OVNI est parti. Le jour suivant
son officier
commandant lui montra le film et lui dit de ne jamais en parler à
personne. Il
disait, "si jamais ça vient sur le tapis tu dois dire que c'était
des tirs laser de
l'OVNI". Le professeur Jacobs a pensé que c'était très
inhabituel parce qu'en
1964 les lasers en étaient à leurs premiers balbutiements
dans les laboratoires
mais il n'était jamais d'accord et n'en avait pas parlé pendant
18 années. Des
années plus tard, après qu'un article ait parlé du
film, le professeur Jacobs a
commencé à recevoir des appels téléphoniques
harcelant tôt le matin. Sa boîte à
lettre a même été détruite en face de sa maison.
Nous avons renvoyé le film à la base et, je ne sais pas exactement
combien de
temps après l'événement, peut-être un jour ou
deux, j'ai été appelé au bureau du
Major Mansmann au "First Strategic Aerospace Division Headquarters". Je
suis
allé à son bureau et ils avaient un écran et un projecteur
16mm. Il y avait un
canapé et le Major Mansmann m'a dit de m'asseoir. Et il y avait
deux personnes
en costume gris, habits civils, ce qui était très inhabituel.
Le Major Mansmann a
dit de regarder cela et a allumé le projecteur. Je regardais le
film et c'était le
lancement datant d'un jour ou deux...
Nous regardions le troisième étage brûler. Et donc
sur ce télescope nous
pouvions voir la tête factice. Elle volait et sur cet écran
vint quelque-chose
d'autre. Ca volait sur l'écran et ça a lancé un rayon
de lumière sur la tête.
Maintenant souvenez-vous, tout cela vole à plusieurs milliers de
kilomètres par
heure. Donc cette chose [OVNI] lance un rayon de lumière sur la
tête, la
touche et ensuite ça [OVNI] bouge de l'autre côté et
lance un autre rayon de
lumière, bouge encore et lance un autre rayon de lumière,
puis descend et lance
un autre rayon de lumière, et ensuite repars d'où cela est
venu. Et la tête
disparut dans l'espace. L'objet, les points de lumières que nous
avons vu, la tête
et tout cela, volaient à travers l'espace inférieure à
une altitude d'environ 60
miles (37 km, Ndt). Et cela volait au voisinage de 11'000 à 14'000
mph (17'500
à 22'500 km/h, Ndt) lorsque cet OVNI l'a rattrapée, a volé
avec et autour d'elle
(la tête, Ndt), et est reparti.
Maintenant, j'ai vu cela ! Je me fous de ce que les autres en disent. J'ai
vu ça
sur le film ! J'étais là-bas ! Maintenant lorsque les lumières
ont été rallumées, le
Major Mansmann s'est tourné vers moi et a dit: "Est-ce que vos hommes
traînaient par là-bas?" Et j'ai dit, "Non, sir." Et il a dit,
"Qu'est-ce que c'était?"
Et j'ai dit, "Il me semble que nous avons observé un OVNI." Maintenant
la
chose que nous avons vue, cet objet qui volait, était circulaire,
avait la forme de
deux soucoupes renversées l'une contre l'autre avec une balle de
ping-pong au
sommet. Le rayon de lumière est sorti de la balle de ping-pong.
C'est ce que j'ai
vu sur le film.
Le Major Mansmann m'a dit après une discussion à ce sujet
que je ne devais
jamais en reparler. En ce qui concernait ma participation, cela n'était
jamais
arrivé. Et il a dit, "Je n'ai pas besoin de souligner les affreuses
conséquences
d'une violation de sécurité, le dois-je?" J'ai dit, "Non,
sir." Et il a dit, "Bien. Cela
n'est jamais arrivé." En me dirigeant vers la porte, il a dit, "Attendez
une
minute." Il a dit, "Si vous êtes un jour forcé par quelqu'un
de parler de cela,
vous direz que c'était des tirs lasers, des tirs lasers de pistage..."
Ce n'est pas un récit de seconde main. Ca m'est arrivé. Et
j'ai assuré une partie
la couverture de l'US Air Force pendant 18 ans.
Après un article [parlant de l'incident], les ennuis ont commencé
! J'ai
commencé à être harcelé au travail. J'ai commencé
à recevoir d'odieux appels
téléphoniques qui arrivaient pendant la journée. La
nuit, chez moi je recevais
des coups de téléphones, toute la nuit, quelques fois à
3:00 du matin, 4:00 du
matin, minuit, 10:00, des gens appelaient et commençaient à
me crier dessus.
Tu vas couler enculé ! Tu vas couler enculé ! Et c'était
tout ce qu'ils disaient.
Et ils continuaient à crier cela jusqu'à ce que je raccroche
le téléphone.
Une nuit quelqu'un a fait sauter ma boîte à lettre en mettant
une grosse charge
d'explosifs dedans. La boîte à lettre est partie en flammes.
Et cette nuit à 1:00
du matin le téléphone sonna. Je l'ai décroché
et quelqu'un a dit, "des explosifs
dans ta boîte la nuit, oh quelle vision magnifique, enculé!"
Et des choses comme ça se sont produites depuis 1982...
Je crois que cette frange autour des OVNI fait partie d'un effort concerté
pour
empêcher leur étude sérieuse. Chaque fois que quelqu'un
essaie d'étudier ce
sujet sérieusement, il est sujet à ridicule. Je suis professeur
à temps complet
dans une université relativement importante. Et je suis certain
que mes
collègues à l'université rient de moi et se moquent
derrière mon dos lorsqu'ils
entendent que je m'intéresse à l'étude des objets
volants non identifiés, et c'est
juste une chose avec quoi on doit vivre...
Ce qui est arrivé au film est une histoire intéressante en
elle-même, comme l'a
relaté le Major Mansmann à moi-même et à d'autres.
Quelques instants après
que je sois sorti, les types en habits civils, j'ai pensé que c'était
la CIA mais il a
dit non, ce n'était pas la CIA, c'était quelqu'un d'autre,
ont pris le film et ils ont
embobiné la partie où l'on voyait l'OVNI et ils ont pris
une paire de ciseau et
l'ont coupée. Ils l'ont mise dans une bobine séparée.
Ils l'ont mise dans leur
attaché case. Ils ont redonné le reste du film au Major Mansmann
et ont dit, "Je
n'ai pas besoin, Major, de vous rappeler la sévérité
d'une violation de sécurité ;
nous considérons donc cet incident clos." Et ils sont partis avec
le film. Le
Major Mansmann ne l'a jamais plus revu...
Donc, deux d'entre-nous étaient des officiers de l'Air Force, et
nous avions vu
quelque-chose et nous nous sommes confirmés mutuellement que nous
l'avions
vu. Et ce que je dois dire aux sceptiques ou aux gens qui ne croient pas
ce que
je dis est, pourquoi l'inventerais-je? Pourquoi le Major (et Docteur) Mansmann
l'inventerai-t-il? Qu'est-ce que nous avons à gagner? Je n'ai rien
obtenu si ce
n'est douleur et souffrance en ayant parlé de cela. J'ai été
harcelé à la maison.
Cela a été utilisé contre moi, partiellement en perdant
un travail une fois dans
l'enseignement. J'ai eu des moments difficiles après avoir parlé
de cette histoire
mais je continue à en parler parce-que je pense que c'est important
pour les
gens de comprendre que ces choses continuent dans le Gouvernement. Que
le
Gouvernement dissimule l'information que nous sommes en droit de connaître
comme citoyens de ce pays. C'est pourquoi je raconte mon histoire. C'est
pourquoi je vous la raconte...
La chose qui est importante pour moi au sujet de toute cette opération,
c'est
très simplement cela: le plus grand événement dans
l'histoire de l'humanité est la
découverte que nous ne sommes pas seuls, qu'il y a d'autres entités
vivantes,
des entités intelligentes, dans cet univers et que nous ne sommes
pas seuls ici.
C'est une gigantesque, énorme découverte. C'est la découverte
la plus
importante de l'humanité, n'est-ce pas, de découvrir que
nous ne sommes pas
seuls ici? C'est pourquoi je pense que c'est important de parler de ces
choses...
Car ce que j'ai vu ce jour-là, c'était quelque-chose détruisant
une tête nucléaire
factice. Quel message j'y ai vu? Ne vous amusez pas avec des têtes
nucléaires.
C'est probablement le message que j'aurais interprété. Peut-être
que quelqu'un
ne voulait pas que nous annihilions Moscou; peut-être devrions-nous
arrêter de
faire cela.
Ronald Reagan est passé une nuit à la télévision
et a fait une chose très
étonnante. Il était debout devant l'Amérique et a
dit que nous allions construire
un bouclier défensif, nous allions l'appeler IDS, l'Initiative de
Défense
Stratégique, et sa mission sera de nous protéger, de tous
nous protéger. Ronald
Reagan a dit que nous partagerions cela avec tout le monde. Nous allions
le
partager avec les Russes, nos ennemis, les types que seulement quelques
années auparavant nous prétendions vouloir annihiler. Maintenant
tout d'un
coup nous allions les protéger avec un bouclier. De qui allions
nous les
protéger?
Peut-être que c'était la première tentative d'inclination,
le premier avertissement
de quelqu'un disant, laissez tomber cela les enfants, c'est le moment de
grandir.
Vous ne voulez pas annihiler cette planète, n'est-ce pas? Ca se
pourrait...
L'information que je viens juste de vous donner au sujet de la signification
de ce
qui s'est passé là-bas ne se base pas seulement sur ma propre
spéculation mais
sur d'autres choses et sur des conversations avec d'autres personnes pendant
ces années écoulées. Peut-être que notre paranoïa
est non fondée et si nous
rencontrons des êtres supérieurs technologiquement peut-être
devrions nous les
embrasser et être gentils avec eux car ils pourraient nous montrer
comment
survivre.
Document
Mansmann Ranch
5716 E.Jensen Avenue
Fresno, CA 93725
Le 6 mai 1987
Très Cher,
Un recrudescence du cancer, une très mauvaise situation
dans l'agriculture et les problèmes financiers
résultants ayant eu besoin de mon attention immédiate,
ont écarté la possibilité de mon engagement, mais
des
devoirs de priorité. Donc, votre lettre du 30 juillet
1986 est dans une boîte avec beaucoup d'autres afin
d'être référencée, étudiée, répondue
et envoyée.
Je suis toujours au milieu de cette bataille, donc ma
réponse sera courte.
Les événements avec lesquels vous êtes familiers ont
dû
arriver comme exposé, et par Bob Jacobs et moi-même
parce que les déclarations faite par chacun de nous
correspondent après 17 ans. Le film a été vu seulement
deux fois par Bob Jacobs, une fois pour le contrôle de
qualité du film et une fois dans mon bureau à la CIA. Je
l'ai vu personnelement quatre fois. Une fois dans ma
propre qualité de contrôleur pour le Général
et son
personnel; une fois lors d'un examen avec le responsable
scientifique et son assistant, les trois hommes du
gouvernement et Bob Jacobs. J'ai ordonné au Lieutenant
Jacobs de ne pas discuter de ce qu'il avait vu avec
quiconque à cause de la nature du lancement, l'échec de
la mission de lancement et la probabilité que
l'instrumentation optique (le film) ait pu montrer une
interferance avec des modèles de lancement normaux.
Maintenant pour vos questions:
1. L'objet était en forme de saucisse (Dôme ? je ne m'en
souviens pas).
2. Je ne connais pas les noms des personnes de la CIA.
3. Seulement des suppositions à propos du sérieux de la
situation.
4. On m'a ordonné de discuter avec personne de ce que
j'avais vu, même pendant les projections. Je seulement
donné des ordres, comme l'officier d'instrumentation
optique, au Lieutenant Jacobs. Personne d'autre n'a été
impliqué.
5. Aucun film n'est même sorti de nos archives sans une
signature. J'ai même signé le registre en partant de
projections de films de lancement aux VIP dans le bureau
du Général. Cependant, j'ai sorti le film pour le
responsable scientifique avec SA signature, puis ils
sont partis.
6. Les articles des enquêteurs sur moi-même et les
déclarations faites et par le docteur Jacobs et par
moi-même étaient effectifs. Les déclarations que vous
... une personne de l'armée de l'air attestant qu'"il
n'y a rien sur le film et que le missile a atteint sa
cible" n'a pas de sens. ... le film est disponible et
les rapports de lancement et ... sont aussi disponibles.
Si cette personne de l'armée de l'air a passé en revue
... a perpétué une action de sécurité si rapide.
7. Ensuite? Si le gouvernement souhaite dissimuler une
telle information vitale en relation certaine avec les
projets de recherche Star Wars, alors cette information
doit être protégée.
Travaillant dans des projets particuliers durant toute
ma carrière militaire à l'Air Force depuis le radar
embarqué de la deuxième guerre mondiale, des systèmes
de
défense aériens durant la guerre de Corée, des systèmes
embarqués de reconnaissance pendant la guerre froide,
des systèmes de traitements numériques des images
engendrant des utilisations sans précédent durant la
guerre du Viet-nam (et donc un vétéran de quatre guerres
avec une plus grande expérience des combats aériens que
la plupart des gens), je me dois d'être le garant de
notre sécurité.
Je peux seulement dire qu'à la vue de vos recherches sur
ces activités, que ces indications pointent un fait...
les informations recueillies de l'espace nous sont très
favorables.
Sincèrement
F. J. Mansmann, ScD.
Lt. Colonel Dwynne Arneson
Retraité de US Air Force, septembre 2000
Le Lt. Col. Arneson a passé 26 ans dans l'USAF. Il avait une
acréditation top-secret SCI-TK (Special Compartmented
Tango Kilo). Il a travaillé comme analyste des systèmes
d'ordinateur pour Boeing et a été le Directeur de la Logistique
à Wright-Patterson AFB. A un certain moment il a été
l'officier en cryptographie pour la base entière de l'US Air
Force de Ramstein en Allemagne et là-bas un jour il a reçu
un
message classifié qui disait qu'un OVNI s'était crashé
au
Spitsberg, en Norvège. Lorsqu'il était à Malmstrom
AFB dans
le Montana il a de nouveau vu un message qui disait qu'un
OVNI circulaire métallique avait été vu stationnant
près des
silos à missiles et que tous les missiles sont tombés en
panne,
de telle sorte qu'ils ne pouvaient pas être lancés.
Colonel Ross Dedrickson
Retraité de l'US Air Force/AEC (Atomic Energy Commission,
Ndt), septembre 2000
Le Colonel Dedrickson est un Colonel retraité de l'USAF. Il
est allé à la "Stanford Business School" où il a étudié
le
management. Dans les années 50, une partie de ses
responsabilités incluait l'inventaire du stock des armes
nucléaires pour l'AEC et il devait accompagner les équipes
de
sécurité pour vérifier la sécurité des
armes. Beaucoup de
rapports sont arrivés dans lesquels il était dit que des
OVNI
avaient été vus à proximité de plusieurs installations
de
stockage d'armes nucléaires et au dessus de centrales. Ils les a
vus lui-même et était présent lors du fameux carrousel
au-dessus de la Capitale qui s'est produit en juillet 1952. Lors
de cet incident il se souvient avoir vu neuf disques illuminés.
Il
témoigne aussi qu'à au moins deux reprises les extraterrestres
ont détruit des armes nucléaires dirigées sur l'espace,
dont une
se dirigeant vers la lune pour exploser comme test. Le missile
a été détruit car "des armes nucléaires dans
l'espace… ce
n'était pas acceptable pour les extraterrestres…"
Harry Allen Jordan
US Navy, novembre 2000
M. Jordan a passé 6 ans et demi dans l'US Navy et a été
opérateur radar sur l'USS Roosevelt en 1962. Entraîné
dans
les opérations de renseignement, il avait une autorisation
classifiée et a aussi travaillé dans les contre-mesures
électroniques. Il témoigne que comme opérateur radar
sur le
Roosevelt, il a eu un contact radar avec un énorme objet
au-dessus de 65'000 pieds (20'000 mètres, Ndt) volant à
environ 1000 noeuds (1850 km/h, Ndt). Le capitaine a envoyé
deux intercepteurs Phantom-2 pour enquêter. Lorsque les
Phantoms ont approché l'OVNI, il a disparu et environ une
demi-heure plus tard il a réapparu mais cette fois plus proche
du navire. Il a décrit l'intimidation qui a suivi l'événement.
Il a
découvert plus tard que l'année précédente,
le Roosevelt avait
subit un énorme événement OVNI qui a été
photographié
lorsque les marins ont vu une soucoupe descendre des nuages.
Cela s'est produit plus fréquemment après que le Roosevelt
ait
embarqué des armes nucléaires. Plusieurs années après
que
M. Jordan ait été réformé de la Navy, il dit
qu'il était en train
d'écouter sur sa radio HAM les communications du "Space
Shuttle STS 48" lorsqu'il les a entendu parler d'un vaisseau
extraterrestre qu'ils voyaient. Il décrit le harcèlement
qui a
suivi après qu'on ait découvert ce qu'il avait entendu.
M. James Kopf
US Navy/Agence Nationale de Sécurité, octobre 2000
M. Kopf a rejoint la Navy en 1969 et a travaillé dans les
communications une partie du temps sur l'USS JFK, qui
transportait des armes nucléaires. Il a travaillé pour la
NSA de
1980 à 1997. Dans son témoignage, il raconte comment
durant l'été 1979 toute l'électronique et les communications
à
bord de l'USS JFK ont arrêté de fonctionner lorsqu'un
gigantesque OVNI rayonnant jaune-orange a stationné
au-dessus. Il a personnellement vu cet OVNI pulsant, tout
comme d'autres. Toutes les huit machines télétype
imprimaient au hasard et le navire a été mis en alerte
"battle-station" pendant deux heures. Un ami à lui qui était
opérateur radar lui a dit que les écrans radar rayonnaient
et
ensuite ils sont devenus tout noirs - ils ne pouvaient plus rien
détecter. Quelques jours après cet incident, l'officier
commandant et l'officier de l'exécutif sont apparus sur le
circuit TV interne du navire et ont rappelé à l'équipage
que
certains événements qui s'étaient passés à
bord du navire
étaient considérés classifiés et que personne
ne devait en
parler à quiconque. Lorsque le navire est finalement retourné
à Norfolk, VA, des hommes en costume sont arrivés pour
interviewer différents membres d'équipage.
Lieutenant Colonel Joe Wojtecki
US Air Force, octobre 2000
Le Lt. Colonel Wojtecki a passé 20 ans dans l'Air Force et
s'est retiré en 1988. Il a passé la plupart de son temps
avec le
"Strategic Air Command" et le "Tactical Air Command". Une
nuit d'avril 1969 lorsqu'il était stationné à Loring
AFB dans le
Maine, lui et son instructeur de vol ont tous les deux vus trois
lumières très brillantes en triangle équilatéral
parfait volant
silencieusement à travers le ciel. Ils ont estimé que cet
OVNI
était plus bas que 3'000 pieds (1'000m, Ndt). Il a découvert
le
matin suivant que pendant six heures, un OVNI avait été vu
stationnant au-dessus d'un groupe de B-52 contenant des
armes nucléaires. Chaque fois qu'un avion s'approchait des
lumières, elles partaient et volaient d'une manière totalement
non-conventionnelle. Lorsque les avions partaient, les lumières
revenaient de nouveau ensemble et se concentraient au-dessus
du groupe de B-52. Plusieurs années plus tard, le Lt. Col.
Wojtecki assista à une conférence donnée par SG (Steven
Greer, Ndt) et vit une photographie d'un OVNI qui avait
exactement la même configuration qu'il avait vu des années
auparavant.
Staff Sergent Stoney Campbell
US Air Force, octobre 1999
Le Sergent Campbell est entré dans l'Air Force en 1966.
Pendant l'été 1967, il gardait un B-52 sur une base du SAC
dans l'Oklahoma lorsque tout d'un coup, directement
au-dessus d'un B-52, une gigantesque brume bleue est
apparue. Cela avait la forme d'une aile de boomerang et c'était
brillant et pas solide. Cela a été relevé sur le radar
et vu par de
nombreuses personnes.
Document
Bureau
CIC, FAO #8, P.O.Box 379, Knoxville, Tennessee
Sujet
Objets au dessus de Oak Ridge.
Résumé de l'information
Le 13 octobre 1950 un homme soldat appartenant à
la Commission de Sécurité des Energies Nucléaires
(Atomic Energy Commission Security Patrol), Edward
D. Ryner, et un gardien, John Moneymaker, de
l'université de recherche agricole du Tennessee,
ont observé un objet entre 12.000 et 15.000 pieds
(env. 3.500m à 4.500m, Ndt) au dessus de la zone
de contrôle de Soloway Gate. Cet objet parut être
un aéronef commencant à effectuer une boucle
inversée et laisant échapper une fumée derrière
lui. Ces deux hommes réalisèrent vite que cette
sorte de fumée était en fait une queue. Cet objet
a continué de descendre en plongée contrôlée,
bien
plus lentement qu'un avion traditionnel aurait pu
le faire, puis s'approcha du sol et vola
lentement, parralèlle au sol. L'objet s'est
approché à environ 210 pieds (env. 65m, Ndt) des
observateurs et se déplacait parralellement au sol
à la vitesse de marche d'un homme et à une hauteur
d'environ 6 pieds (env. 2m, Ndt). Mr Ryner a tenté
de s'approcher de l'objet mais à ce moment l'objet
est devenu plus petit et a commencé à se déplacer
en direction du sud-ouest. Cet objet se serait
approché d'un centre de contrôle météorologique
d'étude des cyclones de neuf pieds de haut (env.
2m75, Ndt), aurait ensuite esquissé un mouvement
en vue de franchir cet obstacle, puis un saule,
puis un pylône de télécommunications, après
quoi,
il aurait pris de l'altitude et franchi une
colline à environ un mile de là (env. 1.600m,
Ndt). L'objet avait l'apparence d'une poire. Au
moment ou l'objet fut au dessus de la colline il
paraissait de la mçeme taille qu'au moment ou il
avait été observé de 50 pieds (env. 15m, Ndt)
(l'explication donnée est que l'objet paraissait
grossir au fur et à mesure qu'il gagnait en
altitude et en vitesse).
Environ cinq minutes plus tard l'objet réapparu
approximativement au mçeme endroit qu'il avait
disparu. L'objet a encore été observé cinq minutes
plus tard durant environ 10 secondes.
Durant les évennements décrits ci-dessus, Mr John
Moneymaker eut un contact visuel avec l'objet
durant la première observation pendant environ
sept minutes. Le soldat Rymer s'interrompit par
deux fois pour contacter son quartier général afin
de récupérer d'autres témoignages. Ainsi, pendant
le vol fabuleux de cet objet, il arrêta Mr EW
Hightower qui roulait sur l'autoroute afin de
confirmer ce qu'il observait. La déclaration de Mr
Hightower confirme la description donnée
ci-dessus.
Au moment ou l'objet est apparu pour la seconde
fois, Joe Zarzecki, capitaine à la Commission de
Sécurité des Energies Nucléaires, était présent
et
témoigna aussi de ce phénomène.
Chacun des observateurs ont décrit l'objet comme
ceci:
a. Lorsque l'objet a été aperçu pour la première
fois il fut considéré comme un avion, laissant
s'echapper de la fumée, mieux décrite comme des
"écritures de fumée".
b. Lorsque l'objet s'approcha du sol durant sa
descente, il prit la forme d'une balle de fusil
avec une grande queue.
c. Lorsque l'objet a été aperçu au sol depuis une
distance d'environ 210 pieds (env. 65m, Ndt) il
parut avoir la taille d'une carte de 2x5 (?) muni
d'une queue en forme de ruban d'une longueur de 20
pieds (env. 6m, Ndt). L'objet et la queue
suivaient alternativement un mouvement allant de
haut en bas et le ruban paraissait osciller dans
la brise. La couleur était d'un gris metallique.
d. Lorsque le soldat Rymer s'approcha à une
cinquantaine de pieds (env. 15m, Ndt) de l'objet,
il le décrivit comme mentionné ci-dessus à
l'exception des deux premiers pieds et demi (env.
75cm, Ndt) de la queue qui paraissait être solide,
mais les autres 17 pieds et demi (env. 5m25, Ndt)
de la queue paraissaient quasiment transparents et
rayonnaient de manière intermittente, par section.
La queue apparue posséder quatre ou cinq sections
qui pouvaient rayonner d'une manière
intermittente.
Le rapport du soldat Rymer fait partie des
meilleurs témoignages que possède la Commission de
Sécurité des Energies Nucléaires. Mr John
Moneymaker possède le badge No UT-1817 et est
employé par la ferme universitaire de recherche
agricole du Tennessee en tant que gardien de
petits animaux. Mr EW Hightower possède le badge
No 6633 et est employé dans l'entreprise de
construction Maxon.
Le controleur, le capitaine W. Akin du détachement
No 2, équipe 662 AC et W, aéroport McGee-Tyson, PO
Box 202, Maryville, Tennessee, du site radar de
Knoxville, émis un rapport décrivant qu'il avait
observé des lectures particulières sur les écrans
radar à environ 15h20. Apparement, l'image sur le
radar était indéfinissable, intermitente et
imprécise parce que les objets affichés par le
radar n'étaient que de simples "coups de pinceau"
et pouvaient disparaitre pour réapparaitre à une
autre position.
Le 16 octobre 1950, à environ 15h20, cinq
personnes pour le moment encore inconnues ont
aperçu des objets survolant l'usine K25 de Oak
Ridke, Tennessee. Un complément d'information et
de description est attendu de ces sources.
Cependant, les écrans radar de l'aéroport de
Knoxville ont rapporté des images inexplicables.
Apparement, l'officier était peu disposé à donner
des observations concernant ces images en raison
du doute qu'avait le quartier général ces derniers
jours à ce sujet.
Néanmoins, un chasseur de la 5ème équipe de chasse
fut envoyé afin d'identifier un objet qui avait
été repéré au dessus de K25. Durant l'approche
de
la zone, le radar embarqué à bord du chasseur reçu
un echo et le pilote poursuivi cette image et
l'identifia comme un appareil lumineux.
Document
RESUME D'INFORMATION
13 juin 1949
EMISSION: Bureau de l'AC de S, G-2, Quartier
Général, Quatrième Armée, Fort Sam, Houston
-
Texas
SUJET: Objet Volant Non Conventionnel
(No de Contrôle A-1917)
RESUME D'INFORMATION
(Note G-2: Ce rapport est un supplément au rapport
du 3 janvier 1949 de ce même quartier général,
sujet cité ci-dessus)
1. Ce qui suit est la liste d'observations de
lumières non identifiées au dessus du Nouveau
Mexique qui ont suivi le 3 janvier 1949.
a. Los Alamos, 20 décembre 1948, 20h54.
Lumière chutant depuis un angle de 45 degrés,
décroissant jusqu'à 20 degrés. Observé par
quatre
inspecteurs de la sécurité du projet AEC à Los
Alamos.
b. Los Alamos, 28 décembre 1948, 04h31.
Descente verticale d'une lumière à une vitesse de
loin inférieure à nue étoile filante. Désagrégée
dans un espace nuageux à l'apparence lumineuse
verdâtre et étincelant entre la lumière et
l'observateur. Observé par un inspecteur de la
sécurité du projet ABC à Los Alamos.
c. Los Alamos, 30 décembre 1948, 20h10 et
21h00. Bruit d'un moteur à grande vitesse au
dessus de Los Alamos et au dessus de ???. Entendu
pendant une durée de 7 secondes (chronométré) et
répété 10 minutes plus tard. Entendu une nouvelle
fois à 21h00 pendant 8.2 secondes (chronométré).
Il a été défini de façon positive qu'aucun
véhicule ne circulait sur l'autoroute et qu'aucun
avion ne passait au dessus de la zone. Observé par
des inspecteurs de la sécurité de Los Alamos.
d. Sandia Base, 6 janvier 1949, 17h30. Objet
avec une lumière vive depuis le sud-est jusqu'au
nord-ouest. En forme de diamand, longueur 2 pieds
(env. 60cm, Ndt). Altitude 1.500 à 2.000 pieds
(env. 450m à 600m, Ndt). Vitesse plus rapide qu'un
avion à réaction. Aucune trace de fumée ou de
vapeur. Aucun bruit. Observé par Sandia Base se
réclamant avoir une certaine expérience dans
l'observation d'engins volants.
2. Le Docteur La Paz, météorologiste à
l'université du Nouveau Mexique, a personnellement
interrogé toutes les personnes qui ont observé ces
faits. Il a effectué des comparaisons afin de
déterminer les altitudes et angles de vol. Il a
fait un rapport à l'OSI de l'USAF, avec cette
remarque, "Je peux témoigner sans hésitations que
l'objet observé possédait une véritable
trajectoire et autres particularités observés par
mesure. WILSON, TRUETI, STRONS et SKIPPER ne sont
pas une météorite".
Distribution: D/I; C/S; G-3; 14ème AF; FBI; OSI,
AMC
Document
EXTRAITS
Notes du Commandant en Chef du NORAD (1975)
29 Oct 75/0630Z
Le commandant en chef a été appelé par le Centre
des Opérations de l'Air Force au sujet de
l'attérissage d'un hélicoptère non identifié
dans
le camp de stockage de munitions de la base de
l'Air Force de Loring, Maine. Apparement, ce fût
la deuxième fois de suite que cet évennement se
produisait. Il y avait aussi une indication,
toutefois non confirmée, que les bases canadiennes
avaient été survolées par un hélicoptère.
31 Oct 75/0445Z
Rapport de la base de l'Air Force de Wurtsmith via
le Centre des Opérations de l'Air Force - incident
à 0355Z. Un hélicoptère survola l'aire de stockage
des armes et de contrôle aérien (SAC) puis l'aire
de lancement. Un bombardier volant à 2700 pieds
(820m env, Ndt) reçu un contact visuel ainsi qu'un
contact radar. Il poursuivit l'objet jusqu'au
dessus du lac Huron où le contact fut perdu.
1 Nov 75/0920Z
Un message a été reçu pour information de la base
de l'Air Force de Loring, Maine, citant le survol
probable d'un hélicoptère.
8 Nov 1975/0735Z
Cible inconnue J330 sur la 24ème région du NORAD,
direction sud-sud-ouest, 12.000 pieds (env 3.600m,
Ndt). 1 à 7 objets, 46.46 nord x 109.23 ouest.
Deux F-106 se sont dirigés vers Great Falls à
0745Z. Le système de contrôle aérien (SAC)
rapporta un contact visuel des équipes
anti-sabotage (SAT) K1, K3, L1 et L6 (lumières et
sons). La section météorologique n'a rapporté
aucune propagation anormale ou autre aurore
boréale. A 0835Z les rapports visuels des équipes
SAC SAT K3 et L4, K3 rapportant une cible à une
altitude de 300 pieds (env. 100m, Ndt) et L4 une
cible à 5 miles (env. 8km, Ndt). Contact perdu à
0820Z. Les F-106 sont rentrés à la base à 0850Z
avec des résultats négatifs. à 0905Z le radar
Great Falls reçu un contact intermittent. A 0910Z
les équipes du SAC ont eu un nouveau contact
visuel (site C-1, à 10 miles (env. 16km, Ndt) au
sud-est de Stanford, Montana). A 0920Z le poste de
comandement du SAC rapporta qu'au moment ou les
F-106 étaient sur la zone les cibles
s'éteignaient, et qu'au moment ou les F-106
quittaient la zone, les cibles se rallumaient. Les
F-106 n'ont eu à aucun moment un contact visuel ou
radar en raison de la configuration du terrain. Ce
même genre d'activité a été rapporté
dans la zone
de Malmstrom pendant plusieurs jours bien qu'aucun
objet inconnu n'ait été déclaré jusqu'à
cette
nuit.
10 nov 75
Apparement, la base de l'Air Force de Minot
rapporta un "bourdonnement" émis depuis un objet
brillant. La taille de l'objet équivalait à celle
d'une automobile. Il volait à une altitude de
1.000 à 2.000 pieds (env. 300 à 600m, Ndt) d'une
manière silencieuse. Aucune autre information ou
description n'a été reçue depuis par cette base.
16 nov 75/0644Z
Le poste de commandement a reçu un rapport de XXX.
A 4h30, couduisant pour rentrer chez lui il
traversa la ville de Esko. Il vit alors un objet
en forme de cigare avec des lumières clignotantes
variables rouges, vertes et blanches. Il observa
ce phénomène pendant deux heures. Les conditions
météo étaient parfaites.
18 nov 75/1255Z
Le poste de commande a annoncé que des boules de
feu avaient été observées à proximité
de
Mendicino, Californie. Aucune autre information
comme l'heure, le lieu, la duree, etc... ne fût
disponible.
25 nov 75/1245Z
XXX, Petersburg, Virginie, a rapporté qu'à environ
6h elle observa un objet à 1/2 mile (env. 800m,
Ndt) volant au dessus de la cime des arbres dans
une zone dégagée à proximité de lignes à
haute-tension. Elle a pu observer 4 lumières
rouges en forme de diamant et deux lumières
clignotantes blanches. Il n'y avait aucun bruit,
aucun mouvement, et il n'était pas possible de
distinguer des couleurs. Elle était à ce moment
dans sa voiture et roulait à 10 mph (env 16km/h,
Ndt) sans s'arrêter. à 13h40 le poste de
commandement a été informé qu'elle avait été
à
nouveau interviewée par les autorités locales.
Elle établit que l'objet avait une forme de
diamant avec une lumière rouge à chaque point sans
observer aucune aile. La localisation de
l'observation était à 1 mile (env. 1.6km, Ndt) à
l'Ouest-Sud-Ouest de Petersburg, dans un endroit
boisé ou passaient des lignes à haute tension.
12 nov 75/0715Z
La station canadienne Falconbridge relaya un
rapport de Mr XXX, Sudbury, Ontario. Il observa
deux objets qui apparement étaient constitués de
lumières artificielles s'allumant et s'éteignant
par saccades.
14 nov 75/0530Z
Une personne non identifiée, située à proximité
de
la station canadienne, observa un objet en forme
de point lumineux pendant une heure et quart. Il
tournait, montait en altitude et redescendait, et
disposait de lumières blanches, bleues et rouges.
15 nov 75/0742Z
Un homme, Mr XXX, Sudbury, Ontario, regardait le
sud. Il observa un objet lumineux jaune allant et
revenant, et laissant une trainée. Cela se passait
à haute altitude mais sans changer de position par
rapport aux autres étoiles.
15 nov 75/1229Z
Mr XXX, marié, de l'université de Laurentian,
Sudbury, Ontario, rapporta qu'il regardait à
l'est. Dans un ciel partiellement nuageux, il vit
un objet lumineux à 70° en haut, ressemblant à une
coupe dans une boule. Il l'observa à l'aide de ses
jumelles. Il observa l'objet pendant 20 minutes,
témoignage appuyé par sa femme.
17 nov 75/1705Z
Un appel téléphonique anonyme rapporta qu'une
grande boule orange avait été observée à un
azimut
de 45° depuis River Court, Ontario. Il était
immobile et était composé de deux lumières rouges.
23 nov 75/1700Z
Mme XXX, Chelmsford, rapporta qu'elle voyageait
avec des amis en voiture de Sudbury à Chelmsford.
Ils furent suivis par un grand objet oval composé
de lumières blanches clignotantes. L'objet est
resté sous les nuages pendant tout le temps en
suivant la voiture.
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des remarques à faire, des idées à suggérer...?
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http://disclosure.free.fr/rapport/temoins_ovnis_gouvernement_nasa.htm
Témoignages de Faits et
d'Engins Extraterrestres
Hauts Membres du Gouvernement et de la NASA
Introduction
Dans cette partie, vous entendrez des personnes qui ont été
impliquées dans
des évènements où des objets d'origine extraterrestre
ont atterri - librement ou
de force - ou se sont écrasés, avant d'être récupérés.
Ce sont, évidemment, des
témoignages explosifs. Ils établissent la réalité
des phénomènes et justifient le
fait que nous les ayons étudié durant des années.
Beaucoup de personnes
peuvent penser que ce genre d'événement se limite à
Roswell, dans les années
40 ; cela ne pourrait pas être plus éloigné de la réalité.
En fait, il y a eu de
multiples événements de ce genre, au moins deux douzaines,
où des objets
d'origine extraterrestre ont été descendus, récupérés
puis étudiés.
Nous pensons que ces activités sont d'une extrême importance
car on ne peut
pas considérer que des programmes secrets - ayant coûté
des centaines de
milliards de dollars, sur plusieurs décennies, en recherches et
développements,
nommés aussi " ingénierie inverse " ou " ingénierie
induite ", sur les
technologies extraterrestres - n'aient pas résulté en des
percées technologiques
significatives. Et c'est ce que l'on voit tous les jours : des découvertes
qui
surgissent sous forme d'avancées en électronique, en sciences,
l'apparition de
nouveaux matériaux. Cependant, la découverte physique principale,
se
rapportant au " quantum du vide spatial " (quantum vacuum space, Ndt) -
appelé aussi " phénomène du point zéro d'énergie
", comme l'anti-gravité, la
propulsion électrogravitationnelle - a été cachée
à notre société. Les
programmes d'étude des technologies et formes de vie extraterrestres
ont
toujours cours maintenant. Ce serait quelque chose qui serait d'une grande
importance pour le monde et la communauté scientifique, mais bien
plus encore
pour les officiels qui, nous le savons, n'ont pas été briefés
correctement sur ce
sujet.
Astronaute Gordon Cooper
1999
Gordon Cooper était un des astronautes du programme original Mercury
Seven
et le dernier américain à voler seul dans l'espace. Dans
son témoignage, il
raconte comment il observa des OVNI volant dans la même formation
que son
groupe de chasseurs dans le ciel d'Allemagne. Ces OVNI faisaient des
manœuvres qui ne pouvaient pas être effectuées par des chasseurs
conventionnels. Il dit avoir senti qu'ils devaient être sous contrôle
intelligent
pour pouvoir communiquer les uns avec les autres et effectuer ces types
de
manœuvres. Une autre fois, tandis qu'ils filmaient un avion conventionnel
effectuant un atterrissage de précision, une soucoupe passa juste
au-dessus
d'eux et se posa devant eux, sur le fond asséché d'un lac.
L'événement a été
entièrement filmé, en plans larges et gros plans. Il a été
envoyé à Washington
mais n'a jamais été retourné.
Brigadier General Steven Lovekin, Esq.
Army National Guard Reserve, octobre 2000
Le Brigadier Général Lovekin est entré dans le militaire
en 1958. En 1959, il a
rejoint la "White House Army Signaling Agency" et a servi sous le Président
Eisenhower et ensuite sous le Président Kennedy avec une autorisation
"au-dessus de top-secret". Il était familier avec le projet Blue-Book
et explique
comment ce projet traitait de cas OVNI spécifiques et hautement
scientifiques,
dont les sources étaient hautement crédibles. Ils ont analysé
des photos prises
par des pilotes de l'Air Force, des pilotes du Marine Air Corps, de quelques
pilotes étrangers et de multiples rapports sur des détections
radar. On lui a
aussi montré des débris métalliques provenant du crash
de Roswell. Lorsqu'il
travaillait sous le Président Eisenhower, il a découvert
qu'Eisenhower avait un
intérêt tout particulier pour les OVNI, mais qu'Eisenhower
réalisa qu'il avait
perdu le contrôle sur ce sujet.
...Ce qu'ils essayaient de dire c'était, "Regardez, nous avons cette
évidence
physique pour avancer avec ce que vous avez vu dans Blue-Book ; nous avons
maintenant pu mettre la main sur cela et pouvons vous montrer ce matériel"
et
c'est ce qu'il fit. Il continua son explication comme quoi ce matériel
venait d'un
crash d'un engin extraterrestre au Nouveau-Mexique en 1947 et on a discuté
de
cela un bon moment... Il n'a pas décrit à quoi ressemblaient
les corps, bien
qu'ils aient discuté le fait que c'était des corps, des corps
extraterrestres...
Si vous voulez ruiner votre carrière, nous a-t-on expliqué,
la chose qui fera cela
le plus rapidement, c'est de parler d'OVNI...
Nous avons vu beaucoup de photos d'OVNI. Certaines images que j'ai vues
étaient peut-être un peu meilleures que celles qu'on peut
voir aujourd'hui. Ces
photos d'OVNI avaient été prises par des pilotes de l'Air
Force...
J'estimerai qu'il y avait probablement entre deux et trois cent cas de
détection
radar. C'est pourquoi ces cas étaient ici - parce-qu'ils étaient
authentiques...
Mais ce qu'il se passa, c'est qu'Eisenhower, sans s'en rendre compte, a
perdu
le contrôle sur ce qui se passait au sujet de la situation OVNI.
Dans son dernier
discours à la nation, je pense qu'il nous a dit que le Complexe
Militaro-Industriel
nous "planterait dans le dos" si nous n'étions pas totalement vigilants.
Et je
pense qu'il sentait qu'il n'avait pas été assez vigilant.
Je pense qu'il avait
l'impression d'avoir fait confiance à trop de personnes. Et Eisenhower
était un
homme de confiance. C'était un grand homme. Et je pense qu'il a
réalisé que
tout d'un coup ce sujet est tombé sous le contrôle de corporations
qui
pouvaient très bien agir au détriment de sa nation.
Cette frustration, d'après mes souvenirs, a continué pendant
des mois. Il a
réalisé qu'il avait perdu le contrôle du sujet OVNI.
Il a réalisé que le phénomène
auquel nous devions faire face ne serait pas dans les meilleures mains.
D'après
ce que je me souviens, c'était l'expression qu'il a utilisée,
"cela ne va pas dans
les meilleures mains." C'était une réelle préoccupation.
Cela a été discuté de nombreuses fois, ce qu'il pourrait
m'arriver si je discutais
de cela. Je dirais que le gouvernement a fait du bon travail en renforçant
le
secret à travers la mise en place d'une terreur abjecte, la plus
importante de
mémoire de l'homme moderne. Je pense vraiment qu'ils ont fait un
travail.
Un vieil officier a discuté avec moi de ce qu'il pouvait se passer
s'il y avait une
révélation. Il parlait d'être effacé et j'ai
dit, "Qu'est-ce que tu veux dire effacé ?"
Et il a dit, "Oui, tu seras effacé - disparu." Et j'ai dit, "Comment
savez-vous
tout cela ?" Et il a dit, "Je sais. Ces menaces ont été faites
et exécutées. Ces
menaces ont commencé en 1947. L'Army Air Force avait un contrôle
absolu
sur la manière de gérer cela. Ce fut la plus grande situation
de sécurité auquelle
ce pays a dû faire face et il y a eu plusieurs effacements..."
Je ne veux pas savoir quel genre de personne vous êtes. Je ne veux
pas savoir
si vous êtes fort ou courageux. Ce serait une situation pleine de
peur car
d'après ce que m'avait dit Matt [ce vieil officier], "Ils ne s'en
prendront pas
seulement à vous. Ils s'en prendront à votre famille." C'était
ses mots. Et, de ce
fait, je peux seulement dire que c'est par la terreur qu'ils ont réussi
à dissimuler
cela pendant si longtemps. Ils sont très sélectifs sur les
personnes qu'ils
choisissent d'effacer. Et je sais que cela a été réalisé...
Et je le vois, lorsque vous propagez un mensonge et que vous propagez une
peur de la vérité, vous vous mettez vous-même dans
une position très
vulnérable...
Et vous ne pouvez rien créer de positif à travers la peur.
La peur dégénère
seulement l'âme humaine et la psyché, l'esprit humain si vous
voulez.
Je pense que le secret a été renforcé car ce qui serait
révélé détruirait
totalement l'économie qui a été élaborée
par certains capitalistes dans ce pays il
y a longtemps pour les maintenir, eux et leurs corporations, d'ici à
l'éternité. Je
pense que l'industrie pétrolière a des intérêts
spéciaux à maintenir sa position
(prédominante, Ndt), sans se soucier de la pollution et des effets
désastreux
qu'elle a pu produire et continue de produire.
Je pense que ce avec quoi nous sommes en train de traiter, c'est avec certains
dispositifs électromagnétiques qui sont alimentés
par des sources que nous ne
comprenons pas encore très bien - bon, nous n'en faisons certainement
pas une
grande publicité. Mais, ces dispositifs généreraient
une énergie gratuite. Et
l'énergie gratuite ferait paniquer les corporations. Je pense que
le gouvernement
panique au sujet de cela...
Mais à un moment donné on devra partager cette information
qui nous
permettra d'avoir de l'énergie gratuite. Le gouvernement sait tout
cela. C'est de
la folie de leur part d'essayer de nous faire passer pour des imbéciles
et de dire
que cela ne peut pas se passer. Cela peut se passer.
La question était, "Est-ce que j'avais entendu que nous avions certaines
fois
détecté des signaux qui ne pouvaient pas être identifiés
ou que, s'il pouvaient
être identifiés, ils provenaient d'étranges engins
qui, peut-être, nous avaient mis
sous surveillance ?" Oui, j'ai entendu cela. J'ai entendu cela de la part
d'au
moins cinq ou six rapports qui provenaient de Bluebook. En fait, plusieurs
rapports provenaient des radios des pilotes...
Merle Shane McDow
US Navy Altlantic Command, octobre 2000
M. McDow est entré dans la Navy en 1978 et a obtenu une autorisation
top-secret, Special Compartmented Intelligence (SCI) avec une "Zebra Stripes".
Il fut assigné au "Atlantic Operational Support Facility, Atlantic
Command, puis
sous les ordres de l'Amiral Trane. M. McDow était présent
lorsqu'un OVNI fut
détecté sur radar et vu visuellement par des pilotes, remontant
et descendant à
grande vitesse la côte Atlantique. Le Centre de Commandement fut
mis en
alerte Zebra et l'Amiral Trane a donné l'ordre de forcer l'OVNI
à atterrir. M.
McDow a raconté les menaces, les intimidations et la confiscation
du journal de
rapports qui ont suivi l'événement.
...Et le système d'alerte avancée - je crois que cela provenait
d'une base de l'Air
Force au Groenland ou à Nova Scotia à ce moment - a dit que
nous avions un
contact avec un objet volant non-identifié qui était entré
dans notre espace
aérien...
Et en l'espace de quelques minutes l'Amiral Trane s'est précipité
au Centre de
Commandement, dans sa baraque qu'il avait juste sous la Mezzanine là-bas
et la
première chose que l'Amiral Trane voulut savoir, c'était
combien de contacts
nous avions, où ils se situaient, dans quelle direction ils allaient
et est-ce que les
Soviétiques répondaient. Parce-que nous savions que ce n'était
pas les
Soviétiques qui pénétraient notre espace aérien.
Cela avait été vérifié depuis le
début.
À ce moment, lorsque l'Amiral Trane a découvert que ce n'était
pas les
Soviétiques et qu'il voulait savoir si les Soviétiques répondaient
aussi à cette
menace, ce fut à ce moment qu'il donna l'autorisation à deux
avions d'aller voir
ce que c'était. Et c'est alors qu'a commencé la chasse le
long de la côte est de
l'Atlantique. On a envoyé des avions depuis le Groenland jusqu'à
la NAS (Naval
Air Station) Oceana. Cet objet, nous l'avions sur radar - cet événement
a duré
presque une heure. Vous pouviez entendre les voix des pilotes en direct
depuis
le Centre de Commandement. Ils avaient une confirmation visuelle de l'objet
et
ils ont fait des descriptions de l'objet. Les pilotes ont pu à certains
moments
s'approcher et ont pu constater que l'objet n'était pas un avion
auquel nous
étions familiers - c'était rien de ce que nous ni les Soviétiques
nous avions. Cela
a été déterminé très rapidement. Ce
véhicule ou ce je ne sais quoi qu' ils
chassaient avait un vol très erratique, il montait et redescendait
la côte, volant
très rapidement...
Une minute il était ici et la minute suivante, bam, il était
plusieurs centaines de
miles plus bas sur la côte, jouant au chat et à la souris...
Les photographies que nous avons reçues plus tard au Centre de
Commandement provenaient des premières rencontres que les avions
avaient eu
avec l'objet au nord de la côte Nord Américaine. Ils ont pu
s'approcher d'assez
près pour prendre quelques photographies qui ont été
amenées plus tard au
Centre de Commandement...
Ce qui a réellement embêté l'Amiral Trane, ce qui l'a
rendu perplexe, c'était que
cette chose avait le contrôle absolu de la situation et qu'elle pouvait
être
n'importe où en l'espace de quelques secondes. Une minute on était
proche de
lui au large de la côte du Maine, et la minute suivante c'était
à Norfolk, cap au
sud en direction de la Floride. Et c'était tout ce que nous pouvions
faire,
regarder cette chose au radar [avec le système d'alerte avancée,
Ndt] montant
et descendant la côte, pendant toute la journée.
L'Amiral Trane et son staff étaient très concernés
au sujet de cela, ils en
disaient le moins possible. Ils étaient très impliqués,
spécialement après avoir
découvert que ce n'étaient ni les Russes ni nous et que personne
d'autre,
d'après ses connaissances, n'avait la technologie pour construire
un tel engin
pouvant bouger si facilement et si rapidement. Je me souviens distinctement
regardant la mezzanine et voyant juste le chaos complet du fait de leur
incapacité à garder un œil sur cette chose, peu importe ce
que c'était.
L'OVNI bougeait si erratiquement et si rapidement le long de la côte...
Ils
essayaient d'alerter le plus de commandements possibles le long de la côte
pour
pister cette chose ou faire décoller un avion. L'Amiral Trane ordonnait
le
décollage d'avions le long de toute la côte est pour essayer
d'intercepter cette
chose et la forcer à atterrir. C'était clair qu'ils voulaient
la récupérer, la forcer à
atterrir, par tous les moyens possibles.
L'ordre a été donné par l'Amiral Trane de forcer cet
objet à atterrir, par
n'importe quel moyen...
Lorsque cet événement fut terminé, celui que je viens
de vous expliquer, l'objet
que nous avions chassé tout le long de la côte est a mis le
cap au-dessus de
l'Atlantique, au-dessus des Açores. Je me souviens de les avoir
entendu dire
qu'il était monté selon un angle de 66 degrés lorsqu'il
s'était approché des
Açores, il est juste monté selon un angle de 66 degrés,
sans ralentir, quitta
l'atmosphère et partit dans l'espace. C'est juste parti dans l'espace
et c'est parti
comme ça [claquement de doigts]. Je veux dire, cela a quitté
totalement
l'atmosphère. On parle de quelque-chose ayant parcouru des milliers
de miles
en l'espace d'un clignement d'œil et c'est parti comme ça, laissant
les gens
stupéfaits. "Gee whiz, qu'est-ce que c'était ?"
C'était en quelque sorte comique de voir comment la grande puissance
militaire
des Etats-Unis fut mise à genoux par quelque-chose dont ils n'avaient
aucune
idée de quoi il s'agissait, d'où cela provenait et où
cela allait. La seule chose
qu'ils tenaient pour certaine, c'était que ce n'était pas
les Russes et ils étaient
très inflexibles sur cette découverte...
"Ces deux messieurs ont commencé à me questionner sur cet
événement. Ils
étaient assez brutaux au sujet de cela, pour être honnête
avec vous. Je me
souviens levant les mains et disant, "Attendez une minute, messieurs. Je
suis de
votre côté. Juste une minute." Parce-qu'ils n'étaient
pas très sympathiques, ils
étaient très intimidant et ont été très
clairs sur le fait que rien n'avait été vu ou
entendu, rien ne devait quitter ce building. "Vous ne devez rien dire au
sujet de
cela à vos collègues. Et à l'extérieur de la
base, vous devez juste oublier tout ce
que vous avez vu ou entendu concernant cela. Cela ne s'est jamais produit..."
Vous avez l'impression qu'ils pourraient vous faire mal physiquement si
vous
parlez, bien qu'à ce moment ils ne le montraient pas encore et ne
me
menaçaient pas directement. Vous pouvez juste dire par le ton de
leur voix
qu'ils sont en fait en train de vous dire, "Hey mon pote, fait ce que je
dis ou
sinon..."
Si cet objet avait été hostile et s'il avait voulut lâcher
des armes ou nous lancer
des missiles ou n'importe quoi d'autre, cela aurait été très
facile pour eux de le
faire. Il n'y avait aucune ambiguïté là-dessus. Nous
n'avions rien à l'époque qui
pouvait rivaliser avec cet objet. Car il pouvait se promener dans notre
espace
aérien librement et il pouvait faire ce qu'il voulait. Nous ne représentions
aucune
menace pour lui. C'était absolument évident. Je pense que
l'Amiral Trane était
conscient de cela et il était effrayé. En un mot je dirais
même qu'il était
complètement terrifié...
Je dirais que les installations qui avaient cet OVNI sur le radar - il
y en a cinq
dont je suis sûr, allant du Groenland jusqu'en Floride, et peut-être
y en avait-il
d'autres que je ne savais pas. Je sais cela car l'Amiral Trane donnait
des ordres
à la NAS Oceana, "Lançons des avions de là-bas, envoyez
des chasseurs." Il en
a envoyé depuis la base de l'Air Force de Dover, depuis Patuxent
River, au
Maryland et depuis le terrain de Cecil en Floride...
Lieutenant Colonel Charles Brown
US Air Force (retraité), octobre 2000
Après être revenu de la Seconde Guerre mondiale comme héros
de l'Air Force,
le Col. Brown a travaillé au Bureau des Investigations Spéciales
de l'Air Force
(AFOSI, Ndt). Il a travaillé sur le Projet Grudge (Projet Rancœur,
Ndt) comme
responsable des investigations OVNI et a dû reconnaître que
certains cas
n'avaient aucune explication conventionnelle viable. Plus tard il réalisa
que le
Projet Bluebook était un étouffement délibéré
destiné au public. Parmi d'autres il
était au courant de rapports où quatre radars indépendants
suivaient des objets
qui volaient à 5'000 miles à l'heure (8'000 km/h, Ndt).
Docteur Carol Rosin
décembre 2000
Le Dr Carol Rosin était la première femme directrice de la
Corporation des
Industries Fairchild et fut la porte-parole de Wernher Von Braun pendant
les
dernières années de sa vie. Elle a fondé l'Institute
for Security and Cooperation
in Outer Space à Washington DC et elle a témoigné
à plusieurs occasions
devant le Congrès au sujet des armes basées dans l'espace.
Von Braun lui a
révélé un plan pour justifier les armes dans l'espace
basé sur la mystification
d'une menace extraterrestre. Elle fut également présente
lors de rencontres
dans les années 70 lorsque le scénario de la Guerre du Golfe
des années 90 fut
planifié.
"Dr B."
décembre 2000
Le "Dr B." est un scientifique et un ingénieur qui a travaillé
sur des projets
top-secret presque toute sa vie. Pendant plusieurs années, il a
directement
travaillé ou a été impliqué sur des projets
concernant l'anti-gravité, la guerre
chimique, les communications et la télémétrie sécurisées,
les systèmes laser de
haute-énergie basés dans l'espace et la technologie électromagnétique
pulsée. Le
"Dr B." est au courant sur le fait que certains groupes ont utilisé
ces systèmes
basés dans l'espace pour détruire avec succès des
vaisseaux extraterrestres et
leurs occupants. À au moins une occasion il a vu personnellement
un vaisseau
extraterrestre.
Lance Corporal John Weygandt
U.S. Marine Corps, octobre 2000
Le Lance Corporal John Weygandt a été enrôlé
dans le Marine Corp en 1994.
Stationnant au Pérou pour fournir un périmètre de
sécurité pour une supposée
installation radar "anti-drogue", une nuit lui et deux sergents ont été
réquisitionnés pour sécuriser un site possible de
crash dans la forêt. Lorsqu'ils
sont arrivés sur place, ils ont vu un OVNI de 20 mètres en
forme d'œuf
enfoncé du côté d'une gorge. Il a été
rappelé de l'engin, arrêté, menotté,
menacé et abusivement interrogé. Un des messieurs lui a dit
que les
interrogateurs faisaient ce qu'ils voulaient et qu'ils n'étaient
pas sous la loi de la
Constitution. Weygandt pense que cet OVNI avait été descendu
par un missile
HAWK.
Major George A. Filer III
U.S. Air Force, novembre 2000
Le Major George Filer fut un officier de renseignements de l'Air Force
qui n'a
pas vécu seulement une extraordinaire rencontre avec un énorme
OVNI vu sur
radar au-dessus du Royaume-Uni. Plus tard, dans les années 70, lorsqu'il
était
stationné à McGuire Air Force Base dans le New-Jersey, il
a découvert qu'une
entité biologique extraterrestre avait été abattue
à Fort Dix. L'extraterrestre avait
fui à la base adjacente de McGuire, où elle est morte sur
le tarmac. Il témoigne
que cette forme de vie a été ensuite ramassée et emmenée
à la base de l'Air
Force de Wright-Patterson. Plus tard, beaucoup de personnes clés
de la base
qui avaient eu une connexion avec cet événement ont été
rapidement
transférées. Le Major Filer souligne aussi que le facteur
ridicule a été très
efficace pour faire taire les témoins qui avaient vu des extraterrestres
ou des
OVNI, et cela a aidé à garder le secret.
Nick Pope
Ministre de la Défense Britanique, septembre 2000
Nick Pope est un officiel du Ministère britannique de la Défense,
encore
aujourd'hui employé au Ministère de la Défense, qui
dirigea le bureau Ministériel
pour la recherche et l'investigation sur le phénomène OVNI
pendant quelques
années dans les années 90. Dans son témoignage, nous
avons des preuves
incontestables à travers plusieurs événements mettant
en cause des énormes
objets bougeant à des vitesses extraordinaires, vus par du personnel
militaire
hautement crédible, et pistés sur radar - des objets qui
ne sont pas construits
sur cette Terre. Il confirme le cas de Bentwaters et d'autres cas à
l'intérieur du
Royaume Uni, et reconnaît l'existence des beaucoup de documents
gouvernementaux sur le phénomène OVNI. M. Pope est en faveur
d'une
ouverture totale et honnête sur le sujet OVNI, et il pense qu'il
devrait y avoir
une révélation complète de toutes les informations
sur les OVNI détenues par
les gouvernements de toute la planète.
Amiral Lord Hill-Norton
Amiral 5 Etoiles, Ancien Chef du Ministère Britanique de la Défense,
juillet 2000
Lord Hill-Norton est Amiral cinq-étoile et ancien Ministre de la
Défense
britannique ayant été mis à l'écart du sujet
OVNI durant ses fonctions
officielles. Dans ce court interview, il déclare que ce sujet a
une grande
importance et ne devrait pas être dénigré et maintenu
secret. Il souligne
particulièrement, "...qu'il y a une sérieuse possibilité
que nous soyons visités -
et que nous ayons été visités pendant beaucoup d'années
- par des gens d'outre
espace, par d'autres civilisations ; qu'il nous appartient de découvrir
qui ils sont,
d'où ils viennent et ce qu'ils veulent. Cela devrait faire l'objet
d'investigations
scientifiques rigoureuses, et non le sujet de tabloïds."
Officier de Sécurité Larry Warren
United States Air Force, septembre 2000
Larry Warren était Officier de la Sécurité à
la base de l'Air Force de Bentwaters
au Royaume-Uni. Il était présent lors d'un événement
en 1980, lorsqu'un
véhicule extraterrestre a atterri, stationné et interagit
avec le personnel de l'Air
Force sur la base. Plus tard, la plupart du personnel ayant été
témoins des
événements ont été intimidés, débriefés
et forcés à signer des documents
racontant une fausse version des événements. Le témoignage
de Warren est
corroboré par de multiples autres témoins militaires qui
ont été identifiés. Il
existe des documents officiels en rapport avec ces événements
; il y a
notamment une photographie en rapport à cet événement
; et il y a des preuves
sous forme de traces physiques de l'atterrissage. L'événement
entier est aussi
corroboré par l'officiel du Ministère de la Défense
Nick Pope, par l'Amiral
cinq-étoiles, ancien Ministre de la Défense britannique Lord
Hill-Norton, ainsi
que par le sergent Clifford Stone.
Capitaine Lori Rehfeldt
octobre 2000
Lori Rehfeldt faisait partie du 81ème Security Police Squadron à
la RAF
Bentwaters en Angleterre pendant les événements OVNI qui
se sont déroulés en
décembre 1980. Elle et un collègue étaient en service
tard cette nuit, lorsqu'ils
ont vu à quelque distance un objet qu'ils pensaient être un
avion s'apprêtant à
atterrir sur la piste - venant de la direction de la Mer du Nord. Ils l'ont
aussi vu
exploser silencieusement, se diviser en trois parties, et accélérer
au travers de la
piste ; ensuite il est monté verticalement et a disparu.
Sergent Clifford Stone
United States Army, septembre 2000
Le sergent Clifford Stone relate une histoire stupéfiante au sujet
de l'histoire des
OVNI et des extraterrestres remontant aux années 40 et probablement
avant.
Le Général Douglas MacArthur organisa un groupe appelé
l'Interplanetary
Phenomena Research Unit (Unité de Recherche sur le Phénomène
Interplanétaire, Ndt) en 1943 pour étudier ce sujet et cela
continue aujourd'hui.
Leur but est de récupérer des objets d'origine inconnue,
particulièrement ceux
ayant une origine non-terrestre. Ils obtiennent des informations de la
part des
Renseignements et les transmettent à ceux qui sont les "gardeurs
de ces
informations". Stone dit que même le Projet Blue-Book avait une unité
d'investigation d'élite, qui ne faisait pas partie de Blue-Book.
Cette unité faisait
semblant de travailler en coordination avec Blue-Book, mais en fait ce
n'était
pas le cas. Stone a vu des extraterrestres vivants et morts lors de son
service
officiel, car il faisait partie d'une équipe de l'Army qui récupérait
des engins
extraterrestres crashés. Il pense que les extraterrestres ne nous
permettront pas
d'explorer les profondeurs de l'espace avant d'avoir grandi spirituellement
et
qu'ils vont se faire connaître bientôt si nous-mêmes
nous ne reconnaissons pas
leur présence.
Général Major Vasily Alexeyev
Armée de l'Air Russe, mars 1997
Le Général Alexeyev, du centre de communication spatiale
russe, est considéré
comme l'un des généraux russes les mieux informés.
Il établit que si les
extraterrestres sont capables de franchir des tres vastes distances, alors
ils
possèdent un niveau de civilisation bien supérieur au notre.
Et dans ce cas ils
doivent développer leurs relations avec d'autres civilisations dans
le sens du
progrès, pas dans le sens de la destruction. Si nous regardons l'histoire
de notre
planète la Terre, nous observons un conte d'auto-destruction, de
meurtre et de
mort de civilisations entières. Des civilisations avancées
ne devraient pas tolérer
un tel comportement car leur vie aurait une signification différente
et pourrait
être comprise dans un plus large contexte.
Le Général Alexyev a eu connaissance de beaucoup de rapports
de témoins
oculaires peu diffusés dans les journaux soviétiques. Les
divers départements
du gouvernement comprenant le ministère de la Défense et
l'académie des
Sciences ont commencé l'étude de ces phénomènes.
Ils disposent de beaucoup
de rapports d'OVNI observés à proximité d'installations
technologiquement
avancées comme des installations nucléaires. Dans certains
cas ils ont apris le
moyen de forcer l'apparition d'OVNI tout comme le contact. Par exemple,
ils
dirigerait leurs bras dans diverses directions et les OVNI répondaient
en se
déplacant dans la même direction. Il existe un cas a l'extérieur
de Moscou où
un officier s'est retrouvé sur le site d'atterissage d'un OVNI,
que l'extraterrestre
est entré en contact télépathique et a demandé
à l'officier s'il souhaitait visiter
leur vaisseau.
Sergeant Major Dan Morris
US Air Force/ NRO Operative (retraité), septembre 2000
Dan Morris est retraité de l'Air Force après une carrière
de Sergeant Major ou il
a été impliqué dans les projets extraterrestres pendant
de nombreuses années.
Après avoir quitté l'Air Force, il fût recruté
dans l'organisation très secrète
NRO (National Reconnaissance Organization) où il travailla particulièrement
sur
des opérations de contact extraterrestre. Il possédait un
accès aux dossiers
top-secrets (niveau 38) qu'aucun président des Etats-Unis d'après
lui n'a jamais
possédé. Dans son témoignage, il parle de meurtres
commis par la NSA; il parle
de la manière utilisé par notre armée pour causer
l'accident d'un OVNI a
Roswell en 1947 et la capture d'un ET qu'ils ont conservé à
Los Alamos
pendant 3 ans jusqu'à sa mort. Il parle des services de renseignement
chargés
de l'intimidation, la discréditation et l'élimination de
témoins de phénomènes
extraterrestres. Il parle de l'ingénierie OVNI allemande, même
avant la
deuxième guerre mondiale. Il parle de notre crise de l'énergie
actuelle, et le fait
que nous n'avons plus besoin de carburants fossiles depuis les années
40,
lorsque les énergies gratuites ont été développées,
mais ont été conservés à
l'écart de l'humanité. Ceci est la réelle cause du
maintien du secret sur le sujet
extraterrestre. "Ce que les dirigeants ne souhaitent pas que nous sachions
est
que cette énergie gratuite soit disponible pour tous". En conclusion,
il nous
averti sur l'armement de l'espace et la destruction d'OVNI, ces actes pourraient
entraîner finalement des représailles, qui entraînerait
notre destruction.
Don Phillips
Entrepreneur chez Lockheed Skunkworks, à l'USAF et la CIA, décembre
2000
Don Phillips travaillait à la base de l'Air Force de Las Vegas pendant
l'évennement durant lequel des OVNI ont été observés
à des vitesses fabuleuses
à proximité du mont Charleston, au nord-ouest de Las Vegas.
Il travailla aussi à
la Lockheed Skunkworks avec Kelly Johnson sur la conception et la fabrication
des Blackbird U-2 et SR-71. Il atteste que nous ne possédons non
seulement
des dispositifs extraterrestres, mais aussi le résultat de projets
technologiques
énormes depuis leur étude. Il témoigne qu'en 1950
et 1960, l'OTAN a effectué
des recherches sur les origines des races ET distribué des rapports
aux leaders
de différents pays. Mr Phillips atteste aussi qu'il existe des enregistrements
audio et video de rencontres en Californie en 1954 entre des extraterrestres
et
des dirigeants des USA. Il donna une courte liste des technologies que
nous
avons développé grâce aux extraterrestres: microprocesseurs,
lasers, visions de
nuit, gilets pare-balles, et conclut "Ces ET nous sont-ils hostiles ? S'ils
le sont
effectivement, avec leur armement ils auraient pu nous détruire
depuis déjà bien
longtemps ou nous causer de sérieux domages". Mr Phillips développe
aujourd'hui des technologies visant à supprimer les polluants et
réduire notre
besoin d'énergie fossile, comme des systèmes de génération
d'énergie utilisant
une les énergies naturelles de notre planète Terre.
Capitaine Bill Uhouse
US Marine Corps (retraité), octobre 2000
Bill Uhouse a servi 10 ans dans la Marine comme pilote de chasse, et 4
ans
avec l'Air Force à Wright-Patterson AFB en tant que civil effectuant
des tests
en vol d'appareils expérimentaux exotiques. Ensuite, pendant les
30 années qui
ont suivi, il a travaillé comme ingénieur entrepreneur pour
la
Défense sur des
systèmes à propulsion antigravitationnelle: sur des simulateurs
de vol d'engins
exotiques et sur les soucoupes actuelles. Il témoigne que le premier
test de
soucoupe fut effectué grâce à la réparation
d'un appareil accidenté à Kingman,
Arizona en 1958. Il témoigne aussi qu'a été présenté
au gouvernement
américain un appareil OVNI; cet appareil avait été
pris sur l'Aire 51 qui était
alors toute récente, et les 4 extraterrestres qui étaient
dans l'appareil ont été
envoyés à Los Alamos. La spécialité de Mr Uhouse
était le tableau de bord et
les instruments qui le composent, il connait les techniques de champ
gravitationnel et les méthodes d'entraînement de personnes
afin de subir une
expérience d'anti-gravitation. Il a réellement rencontré
plusieurs fois un
extraterrestre qui a aidé les physiciens et les ingénieurs
à comprendre les
technologies.
Lieutenant Colonel John Williams
US Air Force (retraité), septembre 2000
Le Colonel Williams est entré à l'Air Force en 1954 et est
devenu pilote
d'hélicoptère de secours au Vietnam. Il a un diplôme
d'ingénieur en électricité et
a été en charge de tous les projets de construction pour
le commandement de
l'armée de l'Air. Durant cette période dans l'armée
il appris qu'un complexe
existait à l'intérieur de la base Norton de l'Air Force en
Californie dont personne
ne connaissait l'existence. Il appris qu'un vaisseau spatial extraterrestre
y était
stationné et que certains dirigeants américans comme Bob
Dole avaient visité ce
complexe. Le Colonel Williams relate une autre histoire que son père
lui a
raconté: lors d'une soirée en attendant le début du
repas il eu une conversation
avec un officiel de haut rang qui lui a dit que le gouvernement dépensait
plus
d'argent pour la recherche antigravitationelle que pour n'importe quel
autre
projet dans l'histoire de ce pays.
Don Johnson
décembre 2000
En 1971/1972, Monsieur Johnson payait ses études universitaires
en travaillant
pour le compte de Century Graphics. Une partie de son travail consistait
à tirer
des plans sur une grosse machine à imprimer. Century Graphics comptait
parmi ses clients différentes sociétés spécialisées
dans l'électronique à des fins
militaires, telles que Lockheed, Litton, Hughes ou RCA. A l'époque
où il était en
contact étroit avec ces clients, il arrivait qu'on lui demande d'intervenir
sur des
documents classifiés top secret. C'est ainsi qu'il fut amené
à travailler sur un
négatif litho qui représentait des itinéraires empruntés
par des sous-marins
russes et américains. Dans sa déclaration sous serment, il
affirme avoir
également travaillé sur un gigantesque diagramme électronique
pour le compte
de la société Hughes-Suma co. Au centre du diagramme il découvrit
un jour un
rectangle encadrant la mention : "chambre antigravitationnelle." Lorsqu'il
acheva
son travail et rendit compte à son chef de service de cette découverte,
ce
dernier lui déclara qu'il n'était pas sensé avoir
travaillé sur ce sujet, et que le
mieux était de remettre le tirage à son client et d'oublier
ce qu'il avait découvert.
A.H.
Boeing Aerospace, décembre 2000
A.H. a obtenu des informations significatives des groupes d'étude
des
phénomènes extraterrestres au sein de notre gouvernement,
militaires, et
compagnies civiles. Il a des amis à la NSA, CIA, NASA, JPL, ONI,
NRO, sur
l'aire 51, dans l'Armée de l'Air, Northrup, Boeing, et d'autres
encore. Il
travaillait chez Boeing en tant que technicien. Il a été
présenté au Général
quatre-étoiles Curtis Lemay et un jour est allé chez lui
à Newport Beach
Californie et a discuté avec lui du sujet OVNI. Lemay a confirmé
l'accident de
Roswell. Le contact NSA d'AH lui a indiqué qu'Henri Kissinger, George
Buisson comme Ronald Reagan et Mikhail Gorbachov se rendaient tous compte
du sujet extraterrestre. Son contact de la CIA lui a indiqué que
l'U.S. Air Force
avait détruit certains de ces vaisseaux spatiaux. Un ami d'AH qui
a travaillé chez
Boeing faisait partie de la mission de récupération et a
porté personnelement des
corps extraterrestres. AH dit qu'un groupe au FBI a découvert que
des tests
radar causaient des interférences avec les OVNI et que c'était
ce qui avait
causé tant d'accidents. Il dit également qu'il y a les bases
souterraines
examinant et maintenant la technologie extraterrestre dans l'Utah (accessible
seulement par avion), Enzo Californie, Lancaster/Palmdale Californie, dans
les
bases de l'Air Force d'Edwards Californie, March, Eglan Floride, à
Londres en
Angleterre, et dans beaucoup d'autres endroits encore.
Alan Godfrey
Officier de la police britanique, septembre 2000
L'officier Alan Godfrey est un officier de police retraité qui a
servi dans la
police urbaine de West Yorkshire en Angleterre de 1975 à 1984. Le
28
novembre 1980, lui et cinq autres officiers furent témoins d'un
OVNI. Il a vu
un objet en forme de diamant à environ 75 pieds (23m environ, Ndt)
planer
cinq pieds (1.5m environ, Ndt) au-dessus du sol qu'il a estimé à
20 pieds (6m
environ, Ndt) de large et 14 pieds (4.3m environ, Ndt) de haut. La moitié
inférieure semblait tourner tandis que le dessus parraissait être
fixe, le tout sans
aucun bruit. Des mois après le reportage de cet incident, il a commencé
à être
harcelé. Il a été transféré à
50 milles (80km environ, Ndt) et a été par la suite
empêché d'entrer dans son propre commissariat de police. Des
drogues avaient
été placées dans son casier.
Gordon Creighton
Ancien fonctionnaire au ministère des affaires étrangères
britaniques,
septembre 2000
M. Creighton a passé de nombreuses années au ministère
des affaires
étrangères britanique. Il a passé 10 ans en Chine
et en 1941 a observé un OVNI
tandis qu'il était à l'ambassade. En contre-jour il a vu
un OVNI circulaire et
silencieux avec une lumière blanche/bleue sur le dessus et se déplacant
très
rapidement. En 1953 il a travaillé avec la défense militaire
de Whitehall et a
travaillé dans un département, Air Technical, traitant des
phénomènes
aéronautiques non identifiés. Il témoigne qu'un OVNI
a débarqué sur le
domaine de Lord Mountbatten dans le sud de l'Angleterre près de
Southampton.
Sergent Karl Wolfe
US Air Force, septembre 2000
Karl Wolfe a travaillé dans l'Armée de l'Air pendant plus
de 4 ans et demi à
compter de janvier 1964. Il avait un niveau d'accès top-secret et
a travaillé au
commandement tactique aérien à la base de l'Air Force Langley
en Virginie.
Tout en travaillant dans un service de la NSA, il a vu des photographies
prises
de la lune depuis la navette spatiale lunaire qui a montré des structures
artificielles détaillées. Ces photos ont été
prises avant l'atterrissage d'Apollo en
1969.
Donna Hare
Former NASA Employee, novembre 2000
Donna Hare a possédé un niveau d'accès aux dossiers
secrets pendant qu'elle
travaillait pour un entrepreneur de la NASA, Philco Ford. Elle témoigne
qu'elle a
vu une photo bien évidente d'un OVNI. Son collègue lui a
expliqué que c'était
son travail d'effacer des photographies de telles évidences d'OVNI
avant qu'elle
aient été données au public. Elle a également
entendu d'autres employés du
centre spatial de Johnson que quelques astronautes avaient vu des engins
extraterrestres et que, lorsque certains d'entre eux avaient voulu parler
au
public de ce sujet, ils avaient été menacés.
John Maynard
Defense Intelligence Agency (retraité), octobre 2000
John Maynard était un analyste militaire pour la DIA, (l'agence
de
renseignements de la Défense américaine, Ndt). Au cours de
21 ans de carrière
il a pu observer l'intérêt évident de l'armée
pour le sujet OVNI sur différents
sujets: des communications électroniques ne provenant pas de la
Terre; des
photos militaires d'OVNI. Pendant qu'il travaillait à la DIA, il
s'est familiarisé
avec le processus de fragmentation afin de maintenir le secret. Il a vu
les
photos d'OVNI tout à fait claires provenant d'avions espion.
Harland Bentley
US Army, août 2000
M. Bentley a été impliqué dans des projets classifiés
de plusieurs organismes
gouvernementaux comprenant la NASA et le DOE (Département de l'Energie).
Il a un diplôme BS-EE et une formation avancée en génie
atomique. M. Bentley
relate l'histoire d'une personne témoin d'un accident d'OVNI au
centre de
missiles d'Ajax Nike dans le Maryland et ayant observé un groupe
d'OVNI sur
radar décollant de terre à des vitesses de 17.000 miles à
l'heure (plus de
27.000km/h, Ndt). Il parle également d'un incident en 1967/68 où
il a surpris
une conversation entre le commandement de Houston et les astronautes en
vol
pour éviter une collision avec un vaisseau spatial non identifié,
nos astronautes
voyaient réellement des êtres vivants se déplacer par
des portes de l'OVNI.
Docteur Robert Wood
Ingénieur chez McDonnell Douglas Aerospace, septembre 2000
Dr. Robert Wood a travaillé en tant qu'ingénieur supérieur
en technologies
aérospatiales chez McDonald Douglas durant une carrière de
43 années. Dans
son témoignage, il déclare qu'il a été impliqué
dans un projet spécifique chez
McDonald Douglas pour étudier les systèmes de propulsion
des OVNI. En
outre, il confirme l'existence d'autres projets dans l'industrie aérospatiale,
et
donne son évaluation du fait que ce sujet est non seulement vrai,
mais est de
nature extraterrestre. Il confirme également le secret extrême
entourant le sujet.
Docteur Alfred Webre
Analyste Politique de l'Institut de Recherche de Stanford, août 2000
Dr. Alfred Webre a obtenu des diplômes BS et de droit à l'université
de Yale et
un Masters of Education in Counseling de l'université du Texas.
Il était analyste
chevronné de politique au centre d'étude de politique sociale
(Center for the
Study of Social Policy) à l'institut de recherche de Stanford. En
1977 il a
travaillé sur le projet de communication extraterrestre de la Maison
Blanche
(Carter White House Extraterrestrial Communication Project) par l'intermédiaire
d'SRI. Sa mission était de prendre connaissance du sujet puis d'établir
des
recommandations politiques. Le directeur de la NASA James Fletcher et la
National Science Foundation étaient impliqués. Le projet
fut prématurément et
illégalement suspendu par le Pentagone peu après qu'il ait
commencé malgrès
avoir été obtenu l'accord de l'équipe de la politique
interne de la Maison
Blanche.
Denise McKenzie
Ancienne employée chez SAIC, mars 2001
Mme McKenzie a été employée par la société
SAIC (Société Internationale
d'Applications Scientifiques) à San Diego, un sous-traitant de l'armée
américaine. Durant son travail, elle s'est rendue compte qu'il y
avait des millions
de dollars dans les contrats attribués à la SAIC et dans
presque tous les cas
aucun de ces contrats n'ont semblé avoir une quelconque activité
associée avec
la copagnie. Elle élucide comment ces budgets "noirs" sont cachés
dans des
projets apparemment légitimes. Une espèce de harcèlement
sexuel a débuté
après qu'elle ait parlé de cette observation devant un des
cadres superviseurs de
l'entreprise.
Paul H. Utz
2000
Paul H. Utz parle de son père Paul A. Utz qui a travaillé
en tant qu'ingénieur
supérieur dans le Secteur 51 et avait une autorisation de niveau
"Q". Son père
prétendait toujours qu'il étudiait des systèmes optiques
dans Le secteur 51 mais
lors d'une rencontre hors des Etats-Unis il a dit à son fils qu'il
travaillait en
réalité sur une nouvelle sorte d'énergie. Ce témoignage
a été inclus pour
démontrer entre autres les effets dévastateurs du maintien
d'un tel secret sur les
individus et leurs familles.
Colonel Phillip J. Corso, Sr.
US Army (retraité)
Le Colonel Phillip Corso était un officier des services secrets
de l'armée qui a
servi au Conseil National de Sécurité Eisenhower. Après
21 années de carrière
militaire il s'est reconverti comme analyste militaire. Le Colonel Corso
a
personnellement vu des extraterrestres décédés lors
de l'accident de Roswell en
1947 et un OVNI dans une base aérienne. Il a aussi constaté
le déplacement
d'un OVNI à 4,000 milles à l'heure au radar (env. 6.500 km/h
Ndt). Lorsqu'il a
travaillé dans les services de recherche et développement,
des fragments
extraterrestres provenant d'accidents divers lui ont été
donnés et son travail
consistait à utiliser ces technologies en faisant état que
ces technologies
provenaient de sources terrestres étrangères.
Glen Dennis
septembre 2000
M. Dennis était entrepreneur de pompes funèbres à
Roswell, Nouveau
Mexique. En juillet 1947, au moment de l'accident célèbre
de Roswell, l'officier
de la base de Roswell chargé des opérations mortuaires l'a
appelé en lui
demandant de fabriquer des cercueils d'enfants en bas âge hermétiquement
scellées, sans jamais expliquer pourquoi. Un autre jour où
il se rendait en
urgence à la base il vît des débris d'origine inconnue.
Une infirmière, qu'il
connaissait, lui décrivit les corps d'extraterrestres qu'elle venait
de traiter à la
base.
Lieutenant Walter Haut
US Navy, septembre 2000
Le premier lieutenant Haut était un officier chargé de l'information
au public à la
base de Roswell au Nouveau Mexique lorsqu'un engin extraterrestre s'est
écrasé à proximité de Corona. Ce fût
lui qui écrivit l'histoire originale selon
laquelle une soucoupe volante s'était écrasée sur
les lieux. L'armée s'est
rétractée le lendemain au sujet de cette histoire.
Buck Sergeant Leonard Pretko
US Air Force, novembre 2000
Le sergent Pretko a été formé aux communications et
a servi à Hickham Fiels,
Hawaii. Au début des années 1950, plus de 250 personnes assistant
à une
représentation théatrale en plein air ont observé
neuf disques d'argent se
déplaçant aléatoirement au dessus de l'entrée
de Pearl Harbor. L'événement a
duré environ 10 minutes. À un autre moment il explique qu'il
a rencontré un
des gardes chargé de la sécurité personnelle du général
Douglas MacArthur qui
lui a expliqué que le Général Mac Arthur avait vu
un engin et des corps
extraterrestres suite à l'accident de Roswell.
Dan Willis
US Navy, mars 2001
M. Dan Willis fût militaire dans la Marine de 1968 à 1971
avec une autorisation
ultra-secrete de niveau 14. Plus tard, il a travaillé pendant 13
ans au Centre
d'Ingénierie Navale de Communication Électronique à
San Diego. Il parle d'un
temps où il a reçu une communication peu commune d'un bateau
de marine
marchande près de la côte de l'Alaska. Le message disait qu'il
y avait une
espèce d'objet elliptique rouge orangé d'environ 70 pieds
de diamètre (env.
22m, Ndt) qui est sorti de l'océan pour se diriger dans l'espace.
Il a été suivi à
la trace sur le radar allant à 7,000 milles à l'heure (env.
11.300 km/h, Ndt). Bien
des années plus tard, M. Willis a rapproché cette histoire
avec celle d'une
personne qu'il connaissait qui avait précédemment travaillé
au NORAD. Il lui
avait dit qu'existaient des observations où des objets étaient
suivis à la trace sur
le radar NORAD allant si vite qu'ils étaient au delà de toute
échelle connue et
lors d'une observation de ce phénomène un des surveillants
plus vieux lui avait
dit que "c'était juste une visite d'un de nos petits amis."
Docteur Roberto Pinotti
septembre 2000
Dans son témoignage, M. Pinotti parle des 215 événements
inexplicables
d'OVNI dans les fichiers de l'armée de l'air italienne. Il a obtenu
des documents
officiels italiens qui datent des années 30, spécifiquement
1936 où le
gouvernement fasciste traitait et documentait les observations d'OVNI.
Mussolini fû très concerné par ces engins inexpliqués
à cause de l'effet qu'ils
pourraient avoir sur l'armée de l'air italienne. Les documents parlent
d'engins
allongés expulsant des soucoupes volantes plus petites. Un de ces
évennements
a été observé dans le ciel de Venise. L'Armée
de l'air a essayé d'intercepter cet
engin, sans succès vu la rapidité de déplacement de
ce dernier. Récemment le
chef des services secrets de l'armée de l'air italienne, le Général
Olivero, a parlé
de ce sujet en disant que le problème OVNI existe et que l'armée
de l'air étudie
ce dossier depuis 1978. Il a même été observé
deux traces d'attérissage à
Campagna près de Naples où le sol a été bombardé
avec des micro-ondes à
haute intensité. Il existe un autre événement important
datant de 1976 et
documenté par le Général Salvatore Marcholetti de
la force aérienne où, à
Lechi, il volait et a rencontré par hasard un énorme objet
vert qui est apparu au
dessus de son avion. Ensuite, l'OVNI est parti à la vitesse fabuleuse.
Document
000112
DEC 10, 1952
NOTE DE SERVICE
DESTINATAIRE: Directeur de la CIA
INTERMÉDIAIRE : Directeur-adjoint (Service de
renseignements)
OBJET : Objets Volants Non Identifiés
RÉFÉRENCE : Requête du directeur du 10 décembre
1952
1. Ce sommaire fait état d'une enquête en cours
concernant des objets volants non identifiés. De récents
incidents comprennent :
a. Le visionnement de 10 films montrant des objets
volants non identifiés (inexpliqués en raison de
phénomènes naturels ou de types connus d'aéronefs),
près
de Trementon, au Utah, le 2 juillet 1952.
b. Une source de lumière intense non identifiée
observée au-dessus du littoral de l'état du Maine
pendant quatre heures environ la nuit du 10-11 octobre,
dont l'altitude fut évaluée à plus de deux ou trois
fois
la capacité normale de tout engin connu.
c. Présumé contact d'un dispositif abandonné sur un
terrain en Floride vers la fin de l'été qui aurait
laissé des traces toujours inexpliquées.
d. Plusieurs autres observations de lumières ou
d'objets qui, soit par leur configuration ou leur
rendement, ne ressemblent à aucun véhicule aérien
ni à
aucun phénomène naturel explicable.
2. Pour servir le décret I/C du 4 décembre, le
département O/SI a collaboré avec le Dr. H.P. Robertson,
consultant (ancien Directeur de la recherche du WESG)
vers l'élaboration d'un groupe de travail formé des
meilleurs scientifiques et ingénieurs dans les domaines
de l'astrophysique, de l'énergie nucléaire, de
l'électronique, etc., afin d'étudier cette situation. Un
soutien sans réserve nous a été assuré par
les
départements du DI/USAF et de l'ATIC, et une visite
conjointe de l'AD/SI, du Dr. Robertson et de M. Durant
de la SI-ATIC est prévue pour vendredi. Il est espéré
que cette rencontre mènera d'ici à deux ou trois
semaines à la formation d'un groupe de travail en vue
d'une étude scientifique approfondie du sujet.
H. MARSHALL CHADWELL
Directeur adjoint
Service de renseignements scientifiques
Diffusion :
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http://disclosure.free.fr/rapport/temoins_ovnis_science.htm
Témoignages de Faits et d'Engins Extraterrestres
Technologie et Science
Introduction
La question ultime de la sécurité nationale est intimement
liée à la crise
environnementale dont le monde doit faire face aujourd'hui. Ce problème
soulève la question de savoir si l'humanité peut continuer
comme civilisation
technologiquement avancée. Les carburants fossiles et le moteur
à combustion
interne sont tous les deux "non-supportables" du point de vue environnemental
et économique, et un remplacement pour les deux existe déjà.
Si de telles technologies étaient rendues publiques, cela prendrait
au moins 10 à
20 ans pour qu'elles se répandent. C'est approximativement le temps
que nous
avons avant que le chaos économique global ne commence, dû
à la demande
dépassant largement les réserves de pétrole brut,
et avant que le délabrement de
l'environnement devienne exponentiel et catastrophique.
Ces technologies entrent dans les diverses categories suivantes:
- Vide quantique/systèmes d'accès à l'énergie
de champ zéro et relative à la
théorie élèctromagnétique et ses applications;
- Energie et propulsion électrogravitique et magnétogravitique;
- Effets nucléaire de confinement de température;
- Electrochimie et systèmes avancés afférents de combustion
interne
approchant des émissions zéro et à très haut
rendement.
Nombre d'applications pratiques utilisant de telles technologies ont été
développées pendant les décennies passées,
mais de telles percées
technologiques ont été ignorées à cause de
leur nature non-conventionnelle, ou
ont été classifiées et dissimulées à
cause de la sécurité nationale, des intérêts
militaires, ou d'autres plus "spéciaux".
En effet, le grand danger est l'ignorance de nos dirigeants sur ces percées
scientifiques, et l'ignorance sur la manière de gérer leur
divulgation. Les nations
avancées de cette planète doivent être préparées
à mettre des systèmes en place
pour assurer l'utilisation exclusivement pacifique de telles énergies
et de telles
propulsions avancées. Les intérêts économiques
et industriels devraient être
préparés, de telle sorte que ces aspects de notre économie
qui seront durement
affectés (produits, pétrole, gaz, charbon, service public,
construction de
moteur, etc.) puissent être protégés d'un renversement
soudain et soient
"entourés" économiquement en investissant et en supportant
la nouvelle
infrastructure énergétique.
Une vision créative du futur, sans peur et suppression de telles
technologies,
est nécessaire. Et c'est urgent. Si nous attendons encore 10 ou
20 ans, il sera
trop tard pour faire les changements nécessaires avant que l'épuisement
des
réserves pétrolières, les coûts exorbitants
et la compétition économique pour
ces ressources ne provoquent un effondrement de l'économie mondiale
et des
structures économiques.
Soyons clairs: la question n'est pas de savoir si de tels systèmes
existent et s'ils
peuvent être un remplacement viable des carburants fossiles. La question
est:
avons-nous le courage de permettre une telle transformation dans la société
mondiale?
Mark McCandlish
US Air Force, décembre 2000
Mark McCandlish est un expert illustrateur de l'industrie aérospatiale
et a
travaillé pour beaucoup de grandes compagnies aérospatiales
aux Etats-Unis.
Son collègue, Brad Sorensen, avec qui il a étudié,
est allé à l'intérieur d'une
installation à la base de l'Air Force de Norton, où il a
vu des reproductions de
véhicules extraterrestres, ou ARV (Alien Reproduction Vehicule,
Ndt), qui
étaient pleinement opérationnels et volaient. Dans son témoignage,
vous
apprendrez que les Etats-Unis ne disposent pas seulement d'engins
opérationnels à propulsion antigravitationnelle, mais que
c'est le cas depuis très,
très longtemps, et qu'ils ont été développés
en partie à travers l'étude de
véhicules extraterrestres pendant les cinquante dernières
années. En plus, nous
avons les dessins des engins que l'inventeur en aérospatiale Brad
Sorensen a vu,
aussi bien que le schéma d'une de ces reproductions de véhicules
extraterrestres, avec des détails remarquables.
Professeur Paul Czysz
novembre 2000
Le Dr Paul Czysz est professeur d'ingénierie aéronautique
au Collège Parks à
St. Louis. Il a passé 8 ans dans l'Air Force à la base de
Wright-Patterson, et a
travaillé 30 autres années pour McDonnell-Douglas sur les
technologies
exotiques. Lorsqu'il fut à la base de l'Air Force de Wright-Patterson,
il a été
impliqué dans le pistage d'OVNI au-dessus du Missouri, de l'Ohio
et du
Michigan. Ces OVNI ont été vus par beaucoup de gens: militaires,
police locale,
civils, et ont été chronométrés à des
vitesses avoisinant 20'000 MPH (30'000
km/h, Ndt) en faisant des manoeuvres inhabituelles, silencieuses. Le Dr
Czysz
a passé plus de la moitié de sa carrière chez McDonnell-Douglas,
travaillant sur
des projets classifiés et fragmentés, et il témoigne
du secret maintenu autour de
ces projets. Il dénonce la tendance humaine à faire de chaque
nouvelle
technologie une arme, soulignant que la mise en place d'armements dans
l'espace ne vise pas la menace des terroristes, et l'idée d'utiliser
ces armes
contre des cibles extraterrestres serait suicidaire.
Docteur Hal Puthoff
novembre 2000
Le Dr Hal Puthoff, un scientifique en physique théorique et expérimentale,
est
diplômé de l'Université de Stanford. Il a publié
plus de quarante documents
techniques dans les domaines des appareils à rayons d'électrons,
des lasers, des
effets quantiques de l'énergie du point-zéro, et possède
des brevets dans les
technologies lasers, les communications, et les champs d'énergie.
Le Dr
Puthoff a passé plus de trente années chez General Electric,
Sperry, l'Agence
Nationale de Sécurité (NSA), l'Université de Stanford,
SRI International, et,
depuis 1985, est directeur de l'Institut des Etudes Avancées à
Austin, Texas, et
président de EarthTech International, Inc. Dans son témoignage,
le Dr Puthoff
souligne que nous avons découvert les technologies rendant le voyage
spatial
possible, nous devons considérer la possibilité qu'il y ait
d'autres civilisations
qui ont suivi le même chemin que nous, avant nous. Cela rend crédible
la
possibilité de visites extraterrestres. Considérant que notre
technologie
électromagnétique est vieille d'un siècle, nous devons
réaliser qu'il pourrait y
avoir des civilisations avancées qui seraient des millénaires
en avance sur nous,
et que leurs technologies pourrait dépasser totalement notre imagination;
de ce
fait, le sujet Extraterrestre/OVNI devrait être pris au sérieux
par les
scientifiques modernes.
David Hamilton
Département de l'Energie, octobre 2000
David Hamilton travaille pour le Département de l'Energie dans le
domaine des
systèmes de propulsion de nouvelle génération. Il
explique que nous avons
presque épuisé les réserves mondiales de carburants
fossiles, juste au moment
où l'Asie et la Chine subissent une "révolution industrielle"
et deviennent de plus
grands consommateurs de ces carburants que les pays occidentaux ne le sont.
Pour alléger les crises courantes de pollution environnementale,
réchauffement
global, etc. et avancer comme une société technologique soutenable,
nous
devons développer des technologies qui ne causent pas les mêmes
problèmes.
Lieutenant Colonel Thomas E. Bearden
US Army (retraité), octobre 2000
Le Colonel Bearden est conceptualiste dans les technologies d'énergie
alternée,
les effets biologiques électromagnétiques, les concepts dans
la théorie des
champs unifiés, et dans d'autres domaines parallèles. Il
est Lieutenant Colonel à
la retraite de l'US Army et possède un doctorat de physique et un
M.S. en
ingénierie nucléaire de l'Institut de Technologie de Géorgie.
Il est en ce moment
CEO du CTEC, Inc, Directeur de l'Association des Scientifiques Distingués
de
l'Amérique, et "Fellow Emeritus" de l'Alpha Foundation's Institute
for Advanced
Study. Dans le témoignage du Colonel Bearden, il parle largement
sur la
manière de tirer de l'énergie utilisable du vide sans violer
aucune loi physique
connue. Lui et d'autres ont construit des appareils électromécaniques
qui
démontrent actuellement cette technologie. Il explique aussi comment
certaines
puissances préfèrent garder cette technologie secrète
au lieu qu'elle se répande
en dehors des petits cercles ésotériques. Le temps tourne
cependant car notre
Terre n'a pas assez de réserves de pétrole et de charbon,
même pour cette
génération. Il explique comment nos meilleurs cerveaux doivent
d'abord
reconnaître le problème avant de se rallier pour résoudre
ce problème
énergétique pour 2004.
Docteur Eugene Mallove
octobre 2000
Le Dr Eugene Mallove est en ce moment rédacteur en chef du magazine
"Infinite Energy" et directeur du Laboratoire de Recherche sur la Nouvelle
Energie au New Hampshire. Il possède deux diplômes du MIT
en Ingénierie
Aéronautique-Astronautique et un doctorat à Harvard sur les
Sciences de la
Santé de l'Environnement (Ingénierie de Contrôle de
la Pollution de l'Air). Il a
acquis une large expérience en ingénierie de haute-technologie
dans des
compagnies comme Hughes Research Labs, TASC (The Analytic Science
Corporation), et le MIT Lincoln Laboratory. Le Dr Mallove fut le "Chef
écrivain science" au MIT lorsque l'histoire de la fusion froide
est apparue en
mars 1989, et il a démissionné en 1991 après que sa
demande d'investigation
sur les données de la fusion froide au MIT (ce qui a aidé
à discréditer le sujet
entier) n'ait pas été faite correctement. La marginalisation
par l'establishment
scientifique du sujet de la fusion froide offre une forte ressemblance
avec la
marginalisation similaire du sujet extraterrestre/OVNI: les deux ont été
ridiculisés parce qu'ils rompaient les paradigmes établis.
Comme le fait état le
Dr Mallove dans son interview, "Il n'y a rien de pire… que suggérer
aux
physiciens académiques en particulier, et aux académiciens
en général, qu'ils
n'ont pas seulement faux; qu'ils sont totalement dans le faux, qu'ils ont
catastrophiquement torts." Dans son magazine, le Dr Mallove nous demande
de
nous souvenir des sentiments de Michael Faraday: "Rien n'est plus magnifique
que d'avoir raison."
Docteur Paul La Violette
octobre 2000
Le Dr Paul La Violette a écrit quatre livres et a publié
beaucoup d'études
originales de physique, d'astronomie, de climatologie, de théorie
des systèmes
et de psychologie. Il a reçu son BA de physique de Johns Hopkins,
son MBA de
l'Université de Chicago, et son doctorat de physique de l'Université
d'Etat de
Portland, et il est en ce moment président de la Fondation Starburst,
un institut
de recherche scientifique interdisciplinaire. Il est le développeur
de la cinétique
subquantique, une nouvelle approche de la microphysique qui rend compte
d'électricité, de magnétisme, de gravitation et de
forces nucléaires d'une
manière unique et qui résout beaucoup de problèmes
physiques de longue date.
Basée sur les prédictions de cette théorie, il a développé
une cosmologie
alternative qui remplace effectivement la théorie du big-bang.
Le Dr La Violette a aussi développé une nouvelle théorie
de gravité qui remplace
la théorie profondément imparfaite de la relativité
générale. Prédit de la cinétique
subquantique, cela rend compte du phénomène de couplage électrogravifique
découvert par Townsend Brown et pourrait expliquer la technologie
de
propulsion avancée utilisée dans le bombardier B-2. En plus
de sa
compréhension des systèmes de propulsion des OVNI et des
engins issus des
"projets noirs", incluant la matérialisation et la dématérialisation,
il a un profond
savoir des travaux réalisés à l'intérieur de
l'U.S. Patent Office.
Il déclare dans son interview que, en ce moment, si une invention
ne "colle" pas
avec le paradigme physique accepté, les examinateurs patentés
la rejettent
immédiatement en pensant que cela viole le paradigme et que cela
doit être une
erreur. En effet, les nouvelles technologies de l'énergie sont les
perdantes. Elles
ne "collent" pas avec le paradigme, de telle sorte qu'elles sont laissées
de côté,
ou leurs brevets sont refusés, même jusqu'au point où
le Patent Office viole la
loi. Pour alléger les actuelles crises environnementales de pollution,
le
réchauffement global, etc. et avancer en tant que société
technologique, nous
avons besoin de technologies qui ne "collent" pas avec le vieux paradigme.
Fred Threlfell
Royal Canadian Air Force, septembre 2000
M. Threlfell était instructeur en communications dans la Royal Canadian
Air
Force à la RCAF Station de Toronto en 1953, lorsqu'il a été
témoin d'une
expérience impliquant le succès d'une dématérialisation
et d'une
rematérialisation d'un objet. À cause de son autorisation
élevée, il a pu vérifier,
grâce à la librairie de la base, des films originaux pris
depuis les caméras
accrochées aux canons des avions de la Seconde Guerre mondiale.
A plusieurs
reprises, en regardant ces films, il a vu des OVNI, dans différentes
positions,
de différentes formes, mais définitivement non identifiés.
Il a aussi vu lui-même
des OVNI manoeuvrant dans le ciel.
Ted Loder
octobre 2000
Le Dr Ted Loder est un scientifique respecté et professeur d'océanographie
à
l'Université du New Hampshire. Après avoir appris de son
cousin, le Brigadier
Général Stephen Lovekin, que le sujet extraterrestre/OVNI
n'était pas seulement
réel mais était aussi la clé pour les technologies
qui permettraient de préserver
l'environnement de la Terre, en même temps qu'il permettrait l'avancement
de
l'humanité dans une société planétaire supportable,
il est devenu un franc
avocat de la fin du secret entourant ce sujet. Durant les quatre dernières
années, il a expérimenté ses propres interactions
avec des engins extraterrestres
comme membre des équipes de recherche sur le terrain du CSETI et
il a
travaillé à sensibiliser des étudiants, d'autres scientifiques
et des législateurs au
fait que les humains ne sont pas seuls dans l'univers et qu'une interaction
pacifique avec les extraterrestres est nécessaire à la survie
de notre planète et
de nos habitants.
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Le rôle de la presse dans cet effort de révélation
est critique pour son succès et
l'accteptation des faits par le public américain et les institutions
universitaires
d'une manière non agressive, intelligente et interressante. Il devient
évident à
tout un chacun étudiant ce domaine que la presse américaine
à joué un rôle
important depuis la dernière moitié du siècle dernier
en aidant à étendre la
désinformation et en développant les vues du public sur les
sujets
extraterrestres (voir T.Hanson, The Missing Times: News Media Complicity
in
the UFO Cover-up. 2001). La presse a souvent été un partenaire
ignorant pour
la diffusion de fausses informations ou de désinformation ou un
partenaire
reconnu dans le fait de refuser de rapporter des faits réels. Il
est excessivement
rare que des observations majeures soient rapportées au niveau national.
Quand
les rapports sont effectués, ils sont souvent relatés d'une
façon minimisée,
détournée, "en ajoutant un facteur de rire bête" souhaitant
laisser l'audience
confuse et renfermée. Les deux exceptions récentes ont été
l'histoire "Phoenix
Lights" dans USA Today de Richard Price et le compte-rendu francais
COMETA effectué par Leslie Kean. Des enquètes sérieuses
ont été effectuées
pour la réalisation de ces deux articles qui ont été
présentés d'une façon
équilibrée et sans parti-pris.
Nous recommandons à la presse d'entreprendre les actions suivantes:
- Nous recommandons que les journalistes travaillant sur ce thème
soient
eux-même familiarisés aux implications évidentes de
ces faits. Il est évident
pour nombre de personnes ayant travaillé sur le sujet extraterrestre
qu'il est le
thème majeur se présentant au monde aujourd'hui. Cette importance
doit être
transmise aux écrivains d'une manière sérieuse et
responsable;
- Nous recommandons que ces organisations médiatiques assignent
ces thèmes
à des journalistes expérimentés, respectés
et reconnus sur un plan national. Ces
thèmes ne doivent plus être confinés dans des articles
de remplissage et
assignés à des équipes débutantes ou reléguées
à des programmes divertissants;
- Nous recommandons que les présents clichés portant sur
ces thèmes, qui
sont peut-être destinés à les rendre de plus en plus
stupides en utilisant un ton
non sérieux et idiot, soient éliminés. Ceci inclut
l'utilisation d'expressions de
type "les petits hommes verts" et les techniques cinématographiques
pour
interviewer des personnes avec des angles de caméra, des lumières
colorées,
des générateurs de brouillard ou autres trucages du même
genre. Toutes ces
techniques, utilisées de manière satisfaisante depuis des
décennies pour
"masquer" l'importance de ces thèmes, doivent être éliminées
afin que le public
puisse croire au sérieux des reportages réalisés.
Nous recommandons au public d'entreprendre les actions suivantes:
- Nous recommandons que le public s'ouvre l'esprit aux thèmes extraterrestres
en étudiant avec prévenance les résultats eux-même;
- Nous recommandons que le public, ayant d'abord reconnu les implications
de
cette révélation, encourage la presse et les offices publics
afin qu'ils effectuent
des enquêtes et des rapports sur celles-ci et de plus prendre part
à un dialogue
adressant une vue transformée des humains sur cette planète
et leur place
future dans une plus grande part en tant qu'êtres créateurs
et intelligents;
- Nous recommandons que le public écrive au Président de
la République en lui
demandant d'établir des ordonnances permettant aux temoins de se
présenter
sans risques (voir la section sur les recommandations d'actions au Président)
et
qu'il écrive à leurs sénateurs et représentants
en leur demandant qu'ils
supportent des réunions auquelles des témoins pourront participer;
- Nous recommandons aux anciens membres de gouvernements, militaires ou
anciens membres de compagnies ayant une certaine connaissance de ce sujet
et
une bonne volonté de devenir des témoins en contactant le
Disclosure Project
afin de les aider à diffuser leur connaissance au public d'une manière
patriotique
et honorable. Nous avons des mesures de protection en place pour la plupart
des témoins que nous connaissons, et une grande marge de sureté
pour toutes
les personnes concernées;
- Finalement, si la population dirige, les dirigeants suivront. Le courage,
l'imagination et la persévérence sont nécessaires
pour transformer cette
situation, et créer un temps de franchise et de confiance. Si nos
dirigeants
manquent actuellement de courage et de franchise, nous devons alors les
manifester pour eux afin que finalement le public aide à conduire
cet effort de
révélation.
Recommandations d'Actions Congressionnelles
En considérant les incroyables importance et implications de ce
sujet, le
Congrès américain a joué un rôle non négligeable
dans les quatre à cinq
dernières décennies. Finalement, seulement deux réunions
officielles ont été
organisées durant cette période. La première a été
organisée par le House
Armed Services Committee le 5 avril 1966 à cause d'une réaction
et d'une
critique fortes du public au sujet du programme Air Force Project Blue
Book
UFO. Le représentant du Michigan Gérald Ford a été
un grand supporter de
cette réunion, en partie avec l'aboutissement d'une observation
majeure qui s'est
présentée en mars de cette même année dans son
état et vue par des centaines
de personnes et largement reportée dans la presse. Le résultat
de ces débats a
été la recommandation d'enquètes scientifiques indépendantes
à propos du sujet
OVNI, devenu l'université du Colorado Scientific Study of UFOs dirigée
par le
Dr Edward Condon.
Ainsi en 1968, le House Science and Astronautics Committee a organisé
le
"Symposium on Unidentified Flying Objects" pour examiner leur évidence
scientifique. Sur les six scientifiques ayant déclaré quelque
chose, cinq ont
confirmé qu'il existait une anomalie scientifique sur laquelle il
serait bon de
travailler. En fait, un des scientifiques, le Dr James McDonald, un physicien
important et professeur à l'université d'Arizona, a conclut
ceci: "Mon étude
personnelle sur le problème extraterrestre m'a persuadé qu'il
nous faut apporter
une attention scientifique de plus en plus sérieuse sur cet extraordinaire
puzzle
intriguant". Un an plus tard le Condon Committee conclut qu'il n'y avait
pas
d'évidence scientifique convaincante au sujet des OVNI et recommanda
que ce
Project Blue Book soit terminé, ce qui est arrivé en cette
même année le 17
décembre. Cette conclusion surprenante est survenue en dépit
du fait que 30%
des cas sur lesquels le comité avait enquété furent
demeurés inexpliqués. Dans
les années 1990, le refus de l'Air Force de continuer à ne
pas commenter la
grandissante évidence d'un crash à proximité de Roswell
Nouveau Mexique,
ont mené le représentant Steven Schiff à demander
que le General Accounting
Office conduise une recherche sur les documents portant sur ce sujet. En
1995, le GAO a réalisé un rapport faisant état qu'il
n'était pas possible de
trouver de documents dans la base militaire de Roswell car ils avaient
été
malencontreusement détruits.
Alors au début d'avril 1997 l'organisation CSETI a organisé
une réunion privée
entre membres du Congrès américain et témoins civils
dans l'espoir qu'un
membre du Congrès aurait le courage d'organiser des débats
sur ce sujet.
Personne jusqu'à aujourd'hui n'a eu le courage de demander de tels
débats,
pourtant même avec la déclaration de Gerald Ford en 1966 "Nous
devons au
public d'établir une crédibilité au regard du sujet
extraterrestre" qui est aussi
vraie aujourd'hui qu'elle a été. Il est interressant de noter
que les membres du
Sénat n'ont jamais organisé de débat sur ce sujet
bien que des individus en privé
aient signifié l'interêt de ce sujet.
Nous recommandons que le Congrès prenne les résolutions suivantes
pour poursuivre cette affaire:
- Constituer des enquètes dirigées vers les contacts et les
Présidents des House
and Senate Intelligence Committees;
- Contacter les autres personnes connues au Congrès, qui ont la
possibilité
d'assister le contrôle de ces opérations;
- Poursuivre plus loin en organisant des débats congressionnels
dans lequels
des témoins directs de ces projets pourraient témoigner.
Nous croyons que
plus d'un membre du Congrès devrait être désigné
comme co-responsable de
telles recherches;
- De créer une loi interdisant les armes dans l'espace et d'encourager
nos alliés
et les Nations Unies à faire de même.
Notez qu'une fois que les issues portant sur la validité des serments
et de
l'amnistie de la sécurité nationale seront définies
par les commandements
congressionnels et/ou présidentiels, des centaines de témoins
potentiels ayant le
souhait de témoigner sur la réalité des OVNI et des
formes de vie
extraterrestres se dévoileront tout comme les implications pour
l'avenir de notre
pays.
Ce n'est qu'à travers l'ouverture de débats congressionnels
qu'une
compréhension de la compléxité de ces conclusions
pourra être réalisée et que
notre pays pourra avancer.
A cause des interconnexions entre les sujets extraterrestres et les états
énergétiques et technologiques mondiaux, il sera aussi nécessaire
d'organiser
des débats congressionnels sur ces solutions énergétiques,
simplement comme
une suite logique mais avec un processus légèrement différent.
Une fois que la réalité des solutions extraterrestres seront
acceptées par
le Congrès, nous recommandons alors:
- D'enquéter d'une manière approfondie sur ces nouvelles
technologies gràce à
des sources civiles aussi bien qu'à des projets fragmentés
entre l'armée, les
services secrets et les compagnies privées en relation avec ces
entités;
- D'autoriser la déclassification et la libéralisation de
l'information conservée
dans ces projets en relation avec ce sujet;
- De spécifiquement interdire le contrôle ou la suppression
de telles
technologies;
- D'accorder un financement réel pour les recherches fondamentales
et le
développement par des scientifiques et ingénieurs civils
afin de rendre la
recherche disponible au public et à la communauté scientifique;
- De développer des projets de distribution de telles technologies
et de transition
vers une économie sans utilisation de carburants fossiles. Ces projets
devront
en inclure d'autres: une planification militaire et de sécurité
nationale; une
planification et une préparation stratégique économique;
un secteur privé de
support et de coopération; une planification géopolitique,
spécialement en ce qui
concerne les pays de l'OPEP et les régions où l'économie
est très dépendante
des exportations et du prix du pétrole; une coopération et
une sécurité
internationales.
Le Disclosure Project se tient prêt pour assister le Congrès
partout où il sera
possible de faciliter l'utilisation de telles sources d'énergie.
Nous pouvons
recommander un certain nombre de personnes pouvant être convoquées
pour
fournir des témoignages sur de telles technologies, aussi bien que
des
personnes possèdant certaines informations au sujet des ces projets
spéciaux
non reconnus dans le cadre d'opérations gouvernementales secrètes
qui ont
déjà oeuvrées sur ces solutions.
Recommandations d'Actions Militaires
Depuis le début des années 1990, le directeur et des membres
du Disclosure
Project ont entendu différents militaires de haut rang incluant
le chef du
Intelligence Joint Staff (J-2), le directeur de la Defense Intelligence
Agency, le
Directeur de la Central Intelligence Agency, Wright Patterson directeur
du
National Air Intelligence Center ainsi que d'autres personalités.
Il est devenu
clair à leurs yeux durant ces réunions que les hauts fonctionnaires
de l'Etat
n'aient pas été informés de ces sujets. Ceci constitue
une sérieuse menace pour
la sécurité nationale et l'empressement militaire.
Pour citer l'Amiral Roscoe Hillenkoetter, "J'encourage une action
congressionnelle immédiate pour réduire les dangers du secret
placé sur les
sujets extraterrestres". Notez que ceci accentue les dangers de tels secrets,
pas
les dangers surgissant des sujets extraterrestres (Hillenkoeter, Roscoe:
Aliens
from Space, Major Donald E. Keyhoe, 1975).
Nous recomandons aux hauts fonctionnaires militaires et aux chefs de la
sécurité nationale d'entreprendre les actions suivantes:
- Recevoir un rapport minutieux sur le sujet des témoins, chefs
militaires et
civils du Disclosure Project;
- Informer les commandeurs en chef et définir des régles
spécifiques
d'engagement au sujet des confrontations extraterrestres;
- D'enquéter d'une façon indépendante le sujet et
de percer les projets spéciaux
non reconnus en relation avec ce sujet;
- De devenir complètement impliqué dans les projets secrets
en relation avec le
sujet pour assurer que de tels projets soient supervisés d'une manière
adéquate
et qu'ils soient sous le contrôle direct et continu d'une chaîne
constitutionnelle
de commandement;
- Corriger et/ou abandonner certains mauvais projets secrets à propos
de
systèmes technologiques avancés en relation avec les OVNI;
- Tenter un engagement pacifique et coopératif avec ces formes de
vie en
excluant réellement un engagement militaire violent;
- Reconsidérer prudement le développement des objectifs militaires
spaciaux à
la lumière de l'information donnée ci-dessus et exclure des
actions pouvant être
considérées comme belliqueuses par des formes de vie extraterrestres.
Recommandations d'Actions aux Communautés Scientifiques
Comme les observations du phénomène OVNI rapportées
par des milliers de
témoins sont validés, une nouvelle définition des
modèles scientifiques sera
nécessaire pour réussir à expliquer ce qui est observé.
Les théories
scientifiques du vingtième siècle ont juste frôlé
la surface en expliquant ce que
ces nombreux témoins scientifiques, militaires et civils ont observé
et rapporté.
Toutefois, dans certains cas, des programmes secrets de recherche militaire
paraissent avoir progressé plus en avant en comprenant les phénomènes
observés que nos scientifiques privés et universitaires.
De récentes
découvertes, comme celui de la possibilité de se déplacer
plus vite que la
lumière (Wang, L.J., A. Kuzmich, and A. Dogariu. 2000. Gain-assisted
superluminal light propagation. Nature. 406:277-279), ont suggéré
qu'en effet il
y aurait un type entièrement nouveau de phénomène
scientifique que les
chercheurs examineront pour expliquer ce qui a été déclaré
"impossible" par les
chercheurs du siècle dernier.
Il persiste un problème d'acceptation majeur à propos des
solutions
extraterrestres avec la plupart des chercheurs scientifiques. Le Docteur
Peter
Sturrock, un physicien hautement respecté dans les recherches sur
le soleil et
aujourd'hui professeur émérite de l'université de
Stanford, résuma le problème
comme ceci:
La résolution définitive à l'énigme extraterrestre
ne viendra pas à moins que et
jusqu'à ce que le problème ne soit soumis à une étude
scientifique ouverte et
vaste par les procédures établies par la science. Ceci requiert
un changement
dans l'attitude première de la part des scientifiques et des fonctionnaires
des
universités (Sturrock, P. A., Report on a Survey of the American
Astronomical
Society concerning the UFO Phenomenon, Stanford University Report SUIPR
68IR, 1977).
Une vue encourageante du Docteur Sturrock sur le rôle des chercheurs
et des
journaux scientifiques est cité à la section 3.2.1. Cependant
aussi étonnant que
cela puisse paraître aux profanes, les scientifiques ont souvent
des problèmes
pour changer leur compréhension des processus et du phénomène
naturel
quand ils sont placés face à l'évidence que leurs
théories puissent ne pas être
correctes. L'histoire de la science est remplie d'exemples de proclamations
déclarées impossibles par des scientifiques et seulement
démontrées bien plus
tard après que les hypothèses de ces chercheurs soient déclarées
elles-même
incorrectes. Cette tendance humaine ordinaire n'est certainement pas limitée
au
monde de la science (par exemple, un bon nombre d'années après
que les
aéronefs des frères Wright aient été observés
par des milliers de personnes, des
articles populaires continuaient de proclamer que le vol comme impossible).
En
outre, la plupart des recherches scientifiques aux Etats-Unis, spécialement
dans
les collèges et les universités, est conduite par des confrères
à travers les
procédés observés pour la promotion et la titularisation
aussi bien des bourses
d'études que des publications de journaux. Outrepasser les points
acceptables
de la recherche est une chose toujours difficile à entreprendre
pour les
scientifiques, même s'ils sont établis dans une sphère
scientifique plus
conventionnelement acceptable. Par conséquent, la plus grande majorité
des
membres des universités ne sont pas disposés à prendre
un tel risque, depuis
qu'il est plus sûre de se cantonner dans les points de vue admises
aujourd'hui.
Durant le dernier siècle, les scientifiques ont joué un rôle
autant actif que
passif, souvent sans le savoir, en développant des attitudes du
public "confiant"
sur le sujet extraterrestre à travers la divulgation de fausses
informations et de
désinformation. Depuis les années 1950, les scientifiques
ont été utilisés pour
persuader le public qu'il n'existait pas d'évidence scientifique
sur le phénomène
OVNI. De grands chercheurs continuent à jouer ce rôle aujourd'hui,
comme l'a
fait un des chefs du programme SETI qui donna lors d'une réunion
publique à
l'université d'Harvard que "il n'y a pas d'évidence scientifique
sur le sujet
extraterrestre". Il existe plusieurs explications possibles à cette
déclaration. Soit
cette personne était ignorante de la profondeur de l'évidence
de ce sujet, dans
quel cas elle n'aurait pas pu qualifier sa déclaration comme officielle,
ou elle
savait que le sujet était réel mais qu'il existait des motivations
qui induirait par
inadvertance le public pour obtenir un plus grand support afin d'étendre
les
recherches de la SETI. Dans l'une où l'autre des voies, les scientifiques
doivent
être plus honêtes vis à vis du public, qui pour la plupart
croient en eux et en
leurs déclarations.
En résumé, sans enquêtes et recherches, il ne peut
être communiquée de
déclaration sensée à propos du phénomène.
Ceci a aussi été recommandé par
une équipe de scientifiques dans le rapport Sturrock/Rockefeller
et par des
personnels scientifiques et militaires dans le rapport français
COMETA résumé
en section 8.
Nous recommandons aux scientifiques d'entreprendre les actions
suivantes:
- Les scientifiques doivent ouvrir leurs esprits à la possibilité
d'existence du
phénomène extraterrestre et ne plus préjuger les personnes
effectuant des
recherches dans ce domaine. Ceci demandera à chacun d'effectuer
ses propres
recherches sur ce thème;
- Les scientifiques existent qui connaissent le thème extraterrestre
(comme
ceux qui ont participé aux projets de recherche secrèts)
et pourraient partager
la réalité et leur connaissance avec d'autres collègues
scientifiques pour les
amener à ce sujet plus rapidement. Beaucoup de choses seront difficiles
à
prendre en considération à cause des réputations et
des issues financières;
- Les scientifiques universitaires devraient partager leurs connaissances
avec
leurs étudiants et le public, pour que la prochaine génération
d'étudiants et les
étudiants diplômés ouvrent une brèche dans la
recherche afin d'expliquer de qui
a été observé depuis plusieurs générations;
- Il est essentiel que les scientifiques participent à des projets
visant la
réalisation des énigmes extraterrestres et encouragent des
enquêtes
scientifiques pour les futurs étudiants diplomés et les jeunes
scientifiques
professionnels;
Les scientifiques et directeurs qui dirigent les programmes fédéraux
universitaires de recherche devraient mettre de côté un petit
pourcentage de
leur budget pour des recherches sur le sujet extraterrestre, et aidant
des projets
à devenir légitimes;
En fin de compte, les scientifiques devraient comprendre que ces avancées
dans la science et la technologie qui pourraient apparaître gràce
au phénomène
extraterrestre aura des effets énormes pour l'avenir de l'humanité
et de
l'écologie de notre planète. Les opportunités d'une
nouvelle brèche dans la
recherche scientifique n'a jamais été meilleure (tout comme
l'opportunité de
ré-écrire certains manuels).
Recommandations d'Actions au Président des Etats-Unis d'Amérique
Bien que des présidents ont depuis la deuxième guerre mondiale
pris
connaissance de la réalité des solutions extraterrestres,
leur connaissance et
leur capacité ont été limitées durant les dernières
décennies. Il est temps pour le
Président de prendre part au processus de révélation
de façon active, parce que
lors de telles révélations importantes présentées
sans appui présidentiel, le
Président pourrait être vu par le public américain
et par le monde d'une façon
domageable.
- Si le Président et la branche exécutive du gouvernement
américain
maintiennent qu'ils ne sont au courant de rien concernant un sujet de cette
importance, la stature et la crédibilité du Président
pourraît être lésée d'une
manière significante.
- Si le Président et la branche exécutive du gouvernement
américain
maintiennent après de telles révélation qu'ils connaissaient
le sujet et son
incroyable signification nationale, mais qu'ils n'aient pas proposé
la révélation, le
Président pourrait être accusé d'appuyer la mise au
secret, même si cette
accusation peut paraître injuste à la lumière des faits
actuels montrant comment
ce sujet a été maintenu secret.
Une autre raison définissant qu'il incombe au Président de
déclencher le
processus de révélation avec les étapes définies
ci-dessous ou les options
ci-dessus domageables pourrait devenir un point de vue dominant.
Nous recommandons d'entreprendre les actions suivantes au Président
des Etats-Unis:
- Nous recommandons au Président d'instaurer un décret libérant
les témoins
de leur obligation de témoigner sous le sceau du secret d'état,
car même si c'est
le cas, leurs témoignages peuvent très bien avoir été
obtenus de manière
illégale.;
- Nous recommandons que le Président convoque une commission
indépendante, juste et ouverte pour enquêter sur ce sujet,
sur les projets non
reconnus à accès spéciaux (USAP), et sur les technologies
qui sont
actuellement élucidées et dont pourrait bénéficier
toute l'humanité s'ils étaient
librement publiés;
- Nous recommandons dans le même temps que le décret soutienne
la
déclassification des documents gouvernementaux en relation avec
le sujet
extraterrestre, un processus qui a déjà démarré
avec le Freedom of Information
Act (FOIA).
- Nous recommandons aussi, durant la progression de ces processus, que
le
Président publie un décret prévoyant l'amnestie pour
les membres et les
personnels des groupes suspectés de contrôler les sujets extraterrestres,
à
condition que ces groupes coopèrent et n'interfèrent pas
avec les processus en
cours;
- Nous recommandons que le Président présente lors d'une
émission télévisée
nationale ces solutions et le processus pour restaurer la confiance du
public
dans le gouvernement et les principes démocratiques;
- En définitive, nous recommandons de créer par décret
un nouvel organisme
de recherche scientifique chargé de développer les technologies
secrètes qui
pourront être utilisées pour résoudre nos problèmes
énergétiques, et d'intégrer
ces technologies au cadre normal de nos institutions courantes.
Ces décrets utiliseraient totalement les pouvoirs de la présidence
pour aider à
clore certains "projets sombres" apparaissant être dirigées
en dehors de la
chaîne de commande constitutionnelle. Tandis que certains aspects
des
technologies extraterrestres (et d'autres choses) pourraient être
accessible
totalement par ce processus de création de décret, il autorisera
la révélation de
témoignages clairs. Ceci devrait entamer un processus de neutralisation
des
présents efforts employés par les groupes secrets pour garder
le Président et la
branche exécutive, le Congrès, la presse et les contribuables
à l'écart de leurs
investigations.
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des remarques à faire, des idées à suggérer...?
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http://disclosure.free.fr/rapport/remerciements.htm
Remerciements
Il y a tellement de personnes depuis les dix dernières années
qui ont contribuées
à ce travail que seule une liste partielle pourrait elle-même
constituer un livre. Je
voudrais remercier les milliers de supporters de part le monde pour leur
aide,
leur ouvrage et consecration, sans lesquels ce projet n'aurait jamais pu
être créé
et achevé.
Je voudrais particulièrement remercier ma femme Emily et nos quatre
filles
pour leur amour, leur dédicace et leur support durant toutes ces
années. Emily
à travaillé inlassablement en arrière de la scène
pendant des années dans la
forme la plus effacée et la plus chaleureuse. Il n'existe personne
comme elle sur
cette planète. Merci, merci.
Ma famille a aussi été sacrifiée sur d'autres plans:
ils ont renoncé à quelques
millions de dollars de revenu depuis que j'ai entrepris cette tâche
et ils en ont,
dans bon nombre de cas, sacrifié la plupart. J'ai commencé
ce projet, pas eux.
Combien de femmes de médecin pourraient patiement supporter un tel
effort ?
Mais sachant que les investissements etaient destinés à l'ensemble
de
l'humanité, comment aurait-il pu en être autrement ? Sans
l'amour et le support
inconditionnels de ma famille cet engagement n'aurait pas pu être
envisagé.
La liste suivante n'est que partielle. Elle témoigne du travail
difficile de tant de
monde et nous en sommes tous redevables. Je voudrais remercier
particulièrement les témoins militaires ou membres de gouvernements
et à mes
chef-assistantes, Linda Willitts pour la côte Ouest et Debbie Foch
pour la
région de Washington DC.
Steven M. Greer, M.D.
Shari Adamiak
ARS NOVA
Major-General Vasily Alexeyev
Eric Anderson
Lt. Col. Dwynne Arneson (ret.)
Colin Anderson
Maurizio Baiata
Msgr. Corrado Balducci
Stephen Bassett
Dr. Tom Bearden, Lt. Col. (ret.)
Dr. Fred Bell
Harland Bentley
Cmd. Graham Bethune (ret.)
Don Bockelman
Gildas Bourdais
Shell Boyd
Dr. Jan Bravo
Bob and Teri Brown
Lt. Col. Charles Brown (ret.)
Sgt. Robert Blazina
David Browning
John Callahan
Sgt. Stoney Campbell
Franklin Carter
Astronaut Gordon Cooper
Col. Philip Corso, Sr. (ret.)
Philip Corso, Jr.
Anthony and Patricia Craddock
Gordon Creighton
Prof. Paul Czysz
Don Daniels
Col. Ross Dedrickson (ret.)
Glen Dennis
Janet Donovan
Gerry Eitner
Maj. George Filer, III (ret.)
Deborah Foch
Lt. Frederick Fox
James Fox
Stanton Friedman
Alan Godfrey
Emily Greer
A.H.
Dr. Richard Haines
David Hamilton
Donna Hare
Paola Harris
Lt. Walter Haut
Michael Hesemann
Joe Heilig
Lord Hill-Norton
Jean Houston
Joel Howard
Dorothy and Burl Ives
Prof. Robert Jacobs
Don Johnson
Miles Johnston
Harry A. Jordan
Kevin Kachikian
Miki Kaipaka
Enrique Kolbeck
James Kolbeck
Marian Kramer
Alice Ladas
Kelly and Peter Lakin
Dr. Paul LaViolette
Prof. Ted Loder
Brig. Gen. Stephen Lovekin, Esq.
Ted Mallon
Rosemary May
John Maynard
Mark McCandlish
Denise McKenzie
Astronaut Edgar Mitchell
Dr. Eugene Mallove
Jaime Mausson
Merle Shane McDow
Cmdr. Will Miller (ret.)
Robert Mitchell
Sgt. Dan Morris (ret.)
Jordan Pease
Donald Phillips
Dr. Roberto Pinotti
Antonio Pinto
Capt. Massimo Poggi
Nick Pope
Sgt. Leonard Pretko
Rhiannon Pruett
Dr. H. E. Puthoff
Nick Redfern
Capt. Lori Rehfeldt
Lawrence Rockefeller
Dr. Carol Rosin
Ron Russell
Capt. Robert Salas
Daniel Sheehan, Esq.
Gary Shrieves
Fred Smith
Michael Smith
Peter Sorenson
Sgt. Chuck Sorrells
Ralph Steiner
Sgt. Clifford Stone (ret.)
Jeff Thill
Fred Threlfell
Daniel Monoz Tovar
Capt. Bill Uhouse
Paul Utz
Lt. Robert Walker
Larry Warren
Dr. Alfred Webre
Dotha Welbourne
LC Jonathan Wygandt
Lt. Col. John Williams (ret.)
Dan Willis
Linda Willitts
Karl Wolfe
Lt. Col. Joe Wojtecki (ret.)
Dr. Robert Wood
Sandra Wright
Pour terminer, le site Disclosure.free.fr voudrait remercier Christophe
Dri,
Annie Durand, Alexandre Jeanneret, Laurent Léonard et Olivier de
Rouvroy qui ont aimablement décidé de passer une partie de
leur temps libre à
faire évoluer ce site et le rendre tel qu'il est aujourd'hui.
Gebo, Webmaster
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