Le Livre Jaune N° 5Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©1997.
Il s'agit de l'ancien livre:
LES SOCIÉTÉS SECRÈTES et leur pouvoir au 20ème siècle -- Un fil conducteur à travers l'enchevêtrement des loges, de la haute finance et de la politique. Commission trilatérale, Bilderberger, CFR, ONU.
Par Jan Van Helsing, Éd. EWERTVERLAG S.L. (1995) 339 P.
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LES SOCIÉTÉS SECRÈTES,
ET
LEUR POUVOIR AU 20E SIÈCLE, par Jan van Helsing, Éditions
EWERTVERLAG.
(Un fil conducteur à travers l'enchevêtrement
des loges, de la haute finance et de la politique. Commission trilatérale,
Bilderberger, CFR, ONU)
Une autre organisation secrète très influente rivalisait de zèle pour exercer un contrôle sur l'Angleterre. Les riches rabbins juifs qui étaient les dirigeants politiques et religieux du peuple juif anéanti unirent leur force dans un groupe connu sous le nom de "SAGES DE SION" (les sionistes se considèrent comme l'élite "messianique" du judaïsme et attendent que tous les juifs du monde soient solidaires de leurs buts). Livre de Manfred Adler "Die Söhne der Finsternis", 2. Teil ("Les fils des ténèbres, 2e partie).
De 1640 à 1689, Les SAGES DE SION projetèrent la "révolution anglaise" en Hollande (la chute des Stuarts du trône britanique) et prêtèrent de l'argent aux différents petits partis. Ils se servirent de leur influence pour que GUILLAUME II, duc allemand de la dynastie Orange-Nassau, devienne le stathouder de l'armée hollandaise et, plus tard, ils firent de lui GUILLAUME PRINCE D'ORANGE.
Ils arrangèrent une recontre entre lui et Marie, la fille aînée du DUKE OF YORK et soeur du roi Charles II d'Angleterre. Le frère de celui-ci, successeur de Jacob II, était également présent. Guillaume II épousa Marie et ils eurent un fils, Guillaume III qui se maria, plus tard, avec Maria II, la fille de Jacob II. Les maisons royales hollandaise et britanique étaient, dès lors, apparentées. Les WHIGS, parti composé d'anglai et d'écossais influents, les aidèrent à destituer les Stuarts de leur trône en 1688, et GUILLAUME iii d'Orange fut nommé ROI D'ANGLETERRE en 1689.
Guillaume III, que l'on dit avoir été franc-maçon, fonda, la même année, l'"ORDRE D'ORANGE" qui s'opposait au catholicisme et visait à consolider le protestantisme en Angleterre. Cet ordre existe encore aujourd'hui, il est surtout représenté en Irlande, où il a environ 100 000 membres et où il attise violemment la guerre des religions.
Le roi Guillaume III enrôla très vite l'Angleterre dans des guerres coûteuses contre la France catholique, ce qui causa de fortes dettes à l'Angleterre. Puis ce fut la revanche de Guillaume envers les SAGES DE SION : il persuada le Trésor britanique, avec l'aide de l'agent william paterson, d'emprunter 1,25 millions de livres britaniques aux banquiers juifs qui l'avaient mis dans cette position. La dette de l'État grandissant très vite, il ne resta plus au gouvernement d'autre possibilité que d'acquiescer aux conditions exigées.
Les conditions de prêt étaient les suivantes:
1- les noms des prêteurs restaient secrets, ils avaient la garantie de pouvoir fonder une "Banque d'Angleterre" (baunque centrale);
2- on garantissait aux directeurs de cette banque de fixer la mesure de l'or par rapport au papier-monaie;
3- il leur était permis de prêter 10 livres de papiers-monnaie par livre d'or déposée;
4- il leur était
permis de consolider les dettes nationales et d'en assurer le montant par
des impôts directs sur le peuple.
C'est ainsi que fut érigée la première BANQUE CENTRALE privée, la "BANQUE D'ANGLETERRE".
Ce genre de transactions permettait à la banque de faire une plus-value de 50% en investissant 5%. Et c'était au peuple anglais de payer. Les prêteurs ne tenaient pas à ce que les prêts soient remboursés, car l'endettement leur permettait d'avoir une influence sur le déroulement de la politique. La dette nationale de l'Angleterre augmenta de 1 250 000 livres en 1694 à 16 000 000 livres en 1698.
Après Guillaume III, la DYNASTIE DE HANOVRE prit en charge la maison royale britanique, ce qui est le cas aujourd'hui encore puisque les WINDSOR descendent en ligne directe de la maison royale de Hanovre. (Jusqu'en 1901, tous les monarques furent issus de la dynastie de Hanovre mais lorsque Édouard VII épousa la princesse danoise Alexandra, le nom de HANOVRE fut remplacé par "SAXE-COBOURG-GOTHA", nom du père allemand d'Édouard. Il fut de nouveau changé en "WINDSOR" le 17 juillet 1917, il est tel quel aujourd'hui encore.) Il est compréhensible que beaucoup d'Anglais ne se réjouissaient pas de la souveraineté allemande. Beaucoup d'organisations se formèrent pour amener de nouveau les STUARTS sur le trône. À cause de ce danger, la dynastie de Hanovre n'autorisa pas d'armée permanente en Angleterre, ils recrutèrent les troupes nécessaires dans leur principauté et parmi leurs amis allemands. Ceux-ci étaient payés, évidemment, par le Trésor britanique, ce qui profitait aux banquiers juifs. Le PRINCE GUILLAUME IX DE HESSE-HANAU qui était aussi un ami de la dynastie de Hanovre mit à leur disposition la plupart des mercenaires.
LES PROTOCOLES DES SAGES DE SION
LES SOCIÉTÉS SECRÈTES,
ET
LEUR POUVOIR AU 20E SIÈCLE, par Jan van Helsing, Éditions
EWERTVERLAG.
(Un fil conducteur à travers l'enchevêtrement
des loges, de la haute finance et de la politique. Commission trilatérale,
Bilderberger, CFR, ONU)©1995.
LA FAMILLE ROTHSCHILD
.......Lorsque le prince Guillaume dut s'enfuir au Danemark à cause des troubles politiques, il déposa à la banque Rothschild le salaire des mercenaires, soit 600 000 livres. NATHAN ROTHSCHILD (le fils aîné de Mayer Amschel) emporta avec lui cet argent à Londres grâce auquel il put ouvrir aussi une banque. L'or qui servit de garantie était issu de la "East India Company". Nathan obtint une plus-value de 400% en prêtant de l'argent au DUKE OF WELLINGTON qui finançait ainsi ses opérations militaires et en vendant aussi, plus tard, de façon illégale l'or qui devait servir de garantie.
Ces transactions furent à l'origine de la fortune gigantesque de la famille Rothschild. C'est alors que débuta le commerce bancaire internationale : chaque fils ouvrit une banque dans un pays différent, Amschel à Berlin, Salomon à Vienne, Jacob à Paris et Kalmann à Naples.
Salomon Rothschild était membre des francs-maçons.
MAYER AMSCHEL ROTHSCHILD écrivit son testament dans lequel il indiquait comment la fortune de famille devait être gérée à l'avenir. La fortune serait administrée par les hommes et ce serait l'aîné qui aurait le pouvoir décisif et trancherait en cas de désaccord. Toutes les tenues de compte devaient rester absolument secrèetes, particulièrement pour le gouvernement.
En 1773, MAYER AMSCHEL ROTHSCHILD aurait rencontré en secret dans sa maison des Rothschild, rue Juive à Francfort, douze bailleurs de fonds juifs aisés et influents (en fait les Sages de Sion) pour mettre à l'étude un projet qui contrôlerait toute la fortune mondiale.
Aux dires de Herbert G. Dorsey, ces bailleurs de fonds auraient souligné, entre autres, le fait que la fondation de la "BANQUE D'ANGLETERRE" avait permis d'exercer une influence considérable sur la fortune anglaise. Ils déclarèrent aussi qu'il serait nécessaire que cette banque exerce un contrôle absolu afin qu'ils puisse créer les bases qui permettraient de contrôler la fortune mondiale. Ils en retinrent les grandes lignes par écrit.
Selon les documents de Dorsey et William Guy Carr "Pawns in the Game", ce plan aurait finalement été connu sous le nom de "PROTOCOLES DES SAGES DE SION". L'origine des Protocoles remonte, en fait, à des siècles en arrière, ils auraient été remaniés par ROTHSCHILD avant d'acquérir leur vraie signification. Ces Protocoles furent gardés secrets jusqu'en 1901, date à laquelle ils tombèrent dans les mains de professeur russe S. Nilus. Celui-ci les publia sous le titre "le danger juif". Victor Marsden les traduisit en anglais en 1921 sous le titre "THE PROTOCOLS OF THE LEARNED ELDERS OF ZION" ("Les Protocoles des Sages de Sion").
Sur les 24 Protocoles
j'en résumerai douze. La traduction de l'anglais s'éloigne,
peut-être, un peu du texte original mais le contenu y reste fidèle.
Le recueil complet des Potocoles dépeint la situation actuelle de
notre monde.
LES PROTOCOLES DES SAGES DE SION
1- Le contrôle de l'argent
(....) "Le contrôle des nations sera assuré par la création de gigantesques monopoles privés qui seront les dépositaires d'immenses richesses dont dépendront même les Gojim (les non-juifs). (....)
(....) C'est ainsi que le jour qui suivra l'effondrement politique verra leur anéantissement en même temps que celui du crédit accordé aux États. (....)
(....) Des crises économiques porteront atteinte aux États ennemis en leur soustrayant l'argent mis en circulation. En accumulant de grands capitaux privés qui sont ainsi soustraits à l'État, ce dernier va être obligé de s'adresser à nous pour emprunter ces mêmes capitaux. Ces emprunts consentis avec des intérêts seront une charge pour les États qui en deviendront les esclaves, sans volonté propre. Ils s'adresseront à nos banquiers pour leur demander l'aumône au lieu d'exiger des impôts du peuple. Des emprunts étrangers sont comme des sangsues, il n'y a aucunne possibilité de les éloigner du corps d'État, car elles ne peuvent que se détacher d'elles-mêmes ou être rejetées par l'État. Cependant, les États Gojim ne les rejetteront pas, ils s'en attireront sans cesse d'autres, ce qui les conduira à une fin inexorable.
Les dettes
de l'État rendront les hommes d'État corruptibles, ce qui
les mettra encore plus à notre merci. (....)"
Remarque sur la situation actuelle (1994-95) :
Les dettes de
l'État, des Länder et des communes en Allemagne se montaient
en 1992 globalement à 1 300 milliards de Marks allemands.
2- Le contrôle de la presse
(....) "Nous procéderons de la façon suivante avec la presse :
Son rôle est d'exciter et d'enflammer les passions chez le peuple (...) et le public est tellement loin de pouvoir imaginer qui est le premier bénéficiaire de la presse (....) Parmi tous les journaux, il y en aura aussi qui nous attaqueront mais comme nous sommes les fondateurs de ces journaux, leurs attaques porteront exclusivement sur des points que nous leur aurons précisés auparavant. (....)
(...) Aucune nouvelle ne sera publiée sans avoir reçu notre accord. C'est déjà le cas maintenant, car toutes les nouvelles du monde sont regroupées dans seulement quelques agences. Ces agences étant sous notre contrôle, elles ne publient que ce que nous avons approuvé. (...)
(...) Nos journaux seront de toutes les tandances, aristocratique, socialiste, républicaine, voire même anarchiste, tant qu'existera la Constitution. (....)
(...) Ces idiots qui croiront que le texte d'un journal reflète leur propre opinion n'auront fait, en réalité, que répéter notre opinion ou celle que nous souhaitons voir exprimée. (...)
Remarque sur la situation actuelle :
Presque toutes
les agences d'information du monde sont déjà contrôlées
par la "Commission trilatérale" et le "CFR", tous deux étroitement
reliés (j'explique plus loin ce que sont ces organismes).
3- L'extension du pouvoir
(....) "Nous serons pour le public l'ami de tous. (...)
(...) Nous
les soutiendrons tous, les anarchistes, les communistes, les fascistes
(...) et particulièrement les ouvriers. Nous gagnerons leur confiance
et ils deviendront ainsi, pour nous, un instrument très approprié.
(...)
4- Le contrôle de la foi
(...) "Nous ôterons aux hommes leur vraie foi. Nous modifierons ou supprimerons les principes des lois spirituelles. (...) L'absence de ces lois affaiblira la foi des hommes puisque les religions ne seront plus capables de donner quelconque explication. (...)
(...) Nous
comblerons ces lacunes en introduisant une pensée matérialiste
et des supputations mathématiques. (...)"
5- Le moyen d'amener la confusion dans les esprits
(...) " Pour avoir la mainmise sur l'opinion publique, il nous faut les amener à un certain niveau de confusion. (...)
(...) La presse nous sera un bon outil pour offrir aux hommes tant d'opinions différentes qu'ils en perdront toute vue globale et s'égareront dans le labyrinthe des informations. (...)
(...) ainsi,
ils en viendront à la conclusion que le mieux est de ne pas avoir
d'Opinion (politique). (...)
6- L'aspiration au luxe
(...) "Pour accélérer la ruine de l'industrie des Gojim (non-juifs), nous susciterons chez eux une soif de luxe. Le commun des mortels n'en aura, cependant, pas jouissance, car nous ferons en sorte que les prix soient toujours en hausse. Ainsi, les travailleurs devront autant travailler qu'auparavant pour satisfaire leurs désirs. (...)
(...) Ils
seront piégés dans le système avant d'avoir pu l'identifier."
7- La politique utilisée comme instrument
(...) "En distillant un souffle de libéralisme dans les organismes d"État, nous modifierons tout leur aspect politique. (...)
(...) Une Constitution n'est rien d'autre qu'une grande école de discordes, de malentendus, de querelles, en un mot une école de tout ce qui sert à fausser les rouages de l'État. (..)
(...) À "l'époque des républiques", nous remplacerons les dirigeants par une caricature de gouvernement avec un président élu par nos marionnettes, nos esclaves que sont le peuple. (...)
(...) Les élections seront, pour nous, un moyen d'accéder au trône du monde tout en faisant croire au modeste citoyen qu'il contribue à façonner l'État par sa participation à des réunions et par son adhésion à des associations. (...)
(...) Dans le même temps, nous réduirons à néant l'Impact de la famille et son pouvoir éducatif. Nous empêcherons aussi l'émergence de personnalités indépendantes. (...)
(...) Il suffit de laisser un peuple se gouverner lui-même un certain temps (la démocratie) pour qu'il se transforme en une populace où règne le chaos.
(...) La puissance de la populace est une force aveugle, absurde, irraisonnée, ballotée sans cesse de droite ou de gauche. Mais un aveugle ne peut pas en conduire un autre sans tomber dans le précipice. Seul celui qui, dès sa naissance, est éduqué pour devenir un souverain indépendant a la compréhension de la politique. (...)
(...) Notre
succès, en traitant avec les hommes dont nous avons besoin, sera
facilité par notre façon de toucher toujours le côté
le plus sensible de la nature humaine, c'est-à-dire la cupidité,
la passion et la soif insatiable de biens humains et matériels.
(...)"
8- Le contrôle de la nourriture
(...) "Notre puissance réside aussi dans la pénurie permanente de nourriture. Le droit du capital, en affamant les travailleurs, permet sur eux une mainmise plus que ne pouvait le faire la noblesse avec son roi. (...)
(...) Nous agirons sur les masses par le manque, l'envie et la haine qui en résulte. (...)
(...) mais
tout propriétaire rural peut être un danger pour nous puisqu'il
peut vivre en autarcie. C'est la raison pour laquelle il nous faut à
tout prix le priver de ses terres. Le moyen le plus sûr pour y arriver
est d'augmenter les charges foncières, (...) d'accabler de dettes
les propriétaires rurales (...)"
9- Le rôle de la guerre
(...) "Nous mettrons en rivalité toutes les forces pour amener ceux qui ont soif de pouvoir à abuser de leur pouvoir. Il nous faut fomenter des dissensions, des inimitiés dans toute l'Europe et par l'intermédiaire de l'Europe dans d'autres parties de la Terre. (...)
(...) Il faut
que nous soyons capables d'anéantir toute opposition provoquant
des guerres avec les pays voisins. Au cas où ces voisins oseraient
nous tenir tête, il nous faut leur répondre par une guerre
mondiale. (...)"
10- Le contrôle au moyen de l'éducation
(...) "On n'incitera pas les Gojim à tirer une application pratique de leur observation impartiale de l'histoire mais on les invitera à des réflexions théoriques, sans faire de relations critiques avec les événements qui vont suivre. (...)
(...) Dans ce jeu, sachez que la chose principale est de les avoir convaincus d'accepter les nécessités de la science. (...)
(...) Tenant compte de ce fait, nous n'aurons de cesse de créer une confiance aveugle en ces théories (scientifiques) et les journaux nous y aideront bien. Les intellectuels parmi les Gojim se vanteront de leurs connaissances. (...)
(...) Le peuple perdra, de plus en plus, l'habitude de penser par lui-même et de se forger sa propre opinion, il en viendra à prononcer les mots que nous désirons entendre prononcer. (...)"
commentaire :
Citation de William
Cooper : "They just tell you, that they want you to know!" (Ils ne vous
disent que ce qu'ils veulent que vous sachiez!)
11- Le contrôle des loges franc-maçonniques
(...) "Nous créerons dans tous les pays de la Terre des loges franc-maçonniques, nous les multiplierons et y attirerons des personnalités qui sortent des rangs. (...)
(...) Nous mettrons toutes ces loges sous la domination de notre administration centrale que nous serons seuls à connaître et que les autres ignoreront complètement.
(...) Qui
ou qu'est-ce qui peut vaincre une puissance invisible? Voilà où
se trouve notre pouvoir. La franc-maçonnerie non juive nous sert
de couverture à leur insu. Mais le plan d'action de notre puissance
reste pour tout le peuple et même pour le reste de la confrérie
un secret. (...)"
12- La mort
(...) "La
mort est la fin inévitable pour tous, par conséquent, il
est préférable d'y conduire tous ceux qui nous font obstacle."
Après
avoir élaboré ce projet pour dominer le monde (le "Nouvel
Ordre mondial" = "Novus Ordo Seclorum"), la banque ROTHSCHILD aurait
chargé le juif bavarois ADAM WEISHAUPT de fonder "L'ordre secret
des illuminés de bavière".
Remarque de l'auteur :
Il y a beaucoup d'écrits positifs ou négatifs sur les "Protocoles des Sages de Sion". Il est interdit de les reproduire ou de les vendre en Allemagne où règne apparemment la liberté de presse et d'opinion. Cela vient aussi vraisemblablement du fait qu'Hitler s'est servi des Protocoles pour justifier son "aversion pour les juifs", que nous étudierons de plus près un peu plus tard. Quant à moi, auteur de ce livre, il m'est indifférent que ce soient les Rothschild et les sionistes qui utilisent les Protocoles de nos jours. Par contre, il s'agit de savoir comment le principe est appliqué. Nous avons un plan sous les yeux qui montre ce qu'il faut faire pour réduire notre monde à l'esclavage. Il faut juste savoir que ce plan est MIS EN APPLICATION MAINTENANT. À la fin de mon livre, j'exposerai avec force détails qu'il n'est pas important de savoir qui se sert de ces Protocoles. Il est, par contre, essentiel d'en connaître le principe moteur et de savoir que ceux qui sont UTILISÉS se laissent faire!
Une autre façon d'atteindre ce but est de partager la Terre eb créant à l'Est une société d'esclaves et à l'Ouest une race de seigneurs. Ainsi que le décrit Rudolf Steiner dans son livre "Die soziale Grundforderung unserer Zeit" (L'exigence sociale fondamentale de notre époque), cela se passe ainsi puisqu'on n'arrive pas à établir une synthèse entre la foi à l'Est et la science à l'Ouest. La conséquence en est la suivante: Les scientifiques athées n'ont aucune envie de se pencher sur les religions de l'Est de même que les croyants de l'Est refusent la science de l'Ouest.
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Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par
un Collectif d'auteurs, ©2000.(page 152
)
Ces protocoles ont été publiés en Russie en 1905. Le British Museum en a obtenu une copie le 10 août 1906.
Il est trop simpliste de penser qu'il s'agit d'une conspiration juive. C'est plutôt une conspiration satanique à laquelle ont participé des Juifs.
Voici d'autres extraits de ces fameux protocoles des Sages de Sion:
Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 155 à 161)
(extrait d'un discours du grand maître de la loge B'nai B'rith, en 1897, au congrès de Bâle, qui a été retrouvé dans une loge maçonnique à Budapest, après la fuite de Bela Kuhn.)
¶ 1- Rien ne serait plus erroné et nocif pour le bien de notre peuple que d'attendre l'élimination de notre ennemi, avant qu'il n'ait été reconnu, qu'il soit célèbre, et que ses paroles puissent influencer la jeunesse. Nous devons surveiller la jeunesse chez nos ennemis. Quand nous voyons le plus infime signe de résistance à notre puissance, nous devons le détruire, avant qu'il ne devienne dangereux pour notre peuple.
¶ 2- Comme nous contrôlons la presse, notre devoir primordial est d'empêcher que des personnes dangereuses aient accès à des postes, d'où ils pourraient exercer une influence favorable à nos ennemis, par la parole ou par les actes. Nous devons garder le silence et être attentifs, quand nous voyons un homme dangereux s'élever parmi nos ennemis. La plupart en seront détournés dès leur plus jeune âge par l'insuccès de leurs entreprises, ils devront gagner leur pain dans un métier qui les empêche de commettre des actes nuisibles à notre peuple élu.
¶ 3- Si un individu devait persister dans son entreprise nuisible, il serait temps d'agir contre lui avec plus de détermination, pour faire échouer ses plans. Nous lui proposerons du travail et un bon salaire, pour qu'il arrête ses actions nuisibles et qu'il travaille pour nous. Quand il aura connu la solitude et la faim, l'or et les belles paroles que nous lui donnerons le détourneront de ses mauvaises pensées. Et quand il connaîtra soudain le succès et la richesse, l'apparat et les honneurs, il oubliera son inimitié et apprendra à paître sur les pâturages que nous tenons à la disposition de ceux qui suivent notre voie et se soumettent au pouvoir du peuple élu.
¶ 4- Si cela ne sert toujours à rien
et qu'il persiste encore dans son opposition rigide, nos hommes veilleront
à ce que le déshonneur le poursuive et à ce que ceux
pour qui il se bat et se sacrifie se détournent de lui dans la haine
et le mépris. Il sera seul et comprendra l'inutilité de ses
actions. Il finira par désespérer de son combat sans fin
contre notre peuple, et il périra.
¶ 5- Si cela ne nous conduit pas à notre objectif, s'il est assez fort pour poursuivre son chemin en poursuivant des buts qui nous sont hostiles, nous disposons toujours d'un moyen efficace de le paralyser et d'anéantir ses projets. Esther n'a-t-elle pas vaincu le roi des Perses, Judith n'a-t-elle pas tranché la tête de l'ennemi de notre peuple? N'y a-t-il pas assez de filles d'Israël qui sont assez intelligentes et séduisantes, pour gagner leur coeur et entendre leurs pensées, afin qu'aucune parole ne puisse être dite, aucun plan mûri, qui ne vienne à temps aux oreilles de notre peuple?
S'il a une position sociale, la confiance de ses amis et de tout un peuple, et que nous lui envoyions une fille d'Israël, pour l'enjôler, son plan nous sera livré et son pouvoir annihilé. Car là où les filles de notre peuple sont les reines de nos ennemis, les entreprises nuisibles seront détruites avant qu'elles ne se réalisent.
¶ 6- S'il découvrait nos stratagèmes et échappait à nos filets, si son esprit mauvais devait trouver des disciples parmi nos ennemis, il doit disparaître définitivement de ce monde. La mort est le passage obligé pour tout le monde. Il vaut mieux l'accélérer pour ceux qui nous sont nuisibles, plutôt que d'attendre qu'ils nous touchent, nous les créateurs de l'Oeuvre.
Dans les loges maçonniques, nous procédons aux punitions de telle façon, que personne, en dehors de nos frères de pensée, ne puisse avoir le moindre soupçon, pas même les victimes elles-mêmes; elles meurent s'il le faut, mais de mort apparemment naturelle. Les membres de la loge le savent, mais ils n'osent rien dire. Ce type de punition sans pitié a permis de tuer dans l'oeuf toute opposition à l'intérieur de nos loges. Tout en continuant à prêcher la libre parole pour ceux qui ne sont pas Juifs, nous tenons notre peuple et ses hommes de confiance en parfaite obéissance.
¶ 7- Comme nous vivons une époque
instable, que le crime et les pillages ont rendu la vie incertaine, il
ne sera pas dur pour nos frères d'éliminer l'ennemi le plus
dangereux, par une attaque à l'improviste par exemple. N'avons-nous
pas à notre disposition une armée d'indigents chez nos ennemis,
qui sont prêts à tout pour de l'or et un secret qu'ils garderont?
Si nous voulons éliminer l'ennemi, répandons des rumeurs
sur l'endroit où il se trouve et là où il réside,
pour qu'il vive dans la peur et le danger, et que sa vie soit menacée
à chaque instant du jour et de la nuit. Si nous voulons sa mort,
organisons des pillages là où il habite, et répandons
des rumeurs de danger permanent dans son entourage. Quand le jour de sa
disparition sera venu, les gens que nous payons travailleront parfaitement,
quand il sera mort, ils le dépouillerontde ses richesseset pilleront
le cadavre. Jamais l'auteur ne sera retrouvé, et le monde entier
pensera qu'il a été victime d'un accident. Nos ennemis ne
sauront jamais que c'est par la volonté de nos frères qu'il
a péri, pour que le nom de notre Dieu ne soit jamais désacralisé
et traîné dans la boue.
¶ 8- Pour que le nom de notre Dieu ne soit pas traîné dans la boue, les sages de notre peuple ont fait ce qu'il fallait, depuis des siècles. Nos frères russes ont trouvé des moyens en interrogeant la science, pour détruire nos ennemis sans que ceux-ci ne s'en rendent compte. N'ont-ils pas trouvé un gaz qui tue instantanément, et un autre que l'on répand juste après, et qui se mélange à lui pour effacer toute trace? Ne connaissons-nous pas les propriétés des courant sans fil, qui mettent en péril l'esprit de la personne dangereuse? Nos médecins n'ont-ils pas découvert les effets des poisons invisibles à travers leur microscope, et le moyen de les dissimuler dans le linge de notre ennemi, afin qu'il agisse sur son cerveau et détruise son esprit? Ne pouvons-nous pas nous charger également de l'autopsie, par la qualité de notre savoir, de sorte que personne ne puisse savoir de quoi il est mort? N'avons-nous pas appris à l'approcher, par un serviteur,par un voisin ou comme invité à sa table? Et ne soummes-nous pas omniprésents et tout-puissants, unis ensemble par le silence, prêts à travailler jusqu'à la destruction complète de l'ennemi? Quand nous venons avec nos paroles douces et un discours inoffensif, un seul des peuples de la Terre a-t-il réussi à découvrir nos réelles intentions et à empêcher nos décisions?
¶ 9- Si toutefois, il arrivait à échapper aux pièges que nous lui tendrons et aux statagèmes de nos frères, et qu'il connaisse et sache déjouer nos plans, vous ne devez pas désespérer et succomber à la peur, devant le regard clair du « méchant ». Car celui qui ose parler dans ce pays de nos actions secrètes et de la destruction imminente, ne trouve-t-il pas sur son chemin des hommes qui connaisent l'art d'espionner tous ceux à qui il parle pour connaître leurs intentions? Avant qu'il ne parle à nos ennemis, nous l'aurons fait. Nous les mettrons en garde, contre son esprit perturbé et le désordre qui règne dans ses sens. Quand il viendra raconter sa souffrance et décrire les dangers qu'il vient de surmonter, ceux que nous aurons mis en garde l'écouteront, souriants et pleins de condescendance et de mépris, et ils seront convaincus de sa folie. Nous travaillerons pas à pas, jusqu'à ce que les portes de l'asile se referment derrière lui. Quand il sortira et qu'il cherchera à mettre en garde le monde contre nous, nous lui aurons ôté la confiance des siens, il sera honni et maudit, ses paroles et ses écrits n'auront plus aucun poids. Ainsi, le peuple élu peut vaincre même le plus dangereux ennemi.
¶ 10- Si tout cela ne sert à rien,
et que l'ennemi déjoue, contre la volonté de notre Dieu,
toute entreprise qui le menace, ne désespérez toujours pas,
enfants d'Israël, d'être sans pouvoir, nous sommes partout pour
détruire ses actions mauvaises et empêcher que les Goyim ne
se libèrent du joug que notre Dieu leur a imposé. N'avons-nous
pas mis tous les moyens de notre côté, pour surprendre notre
adversaire et lui couper la respiration. Si les siens commencent à
croire en lui et à s'approcher de lui, nous l'empêcherons
et couperons les liens qu'il aura tissé dans le monde. Les lettres
qu'il recevra seront lues, pour qu'il n'ait pas d'encouragement et qu'il
ne lui reste que de fausses amitiés et des relations perfides; Les
enfants du peuple élu se dissimuleront derrières ces actes.
S'il veut utiliser le fil qui transmet les messages dans le monde, nous
écouterons ses paroles, quand l'ennemi lui parlera nous ferons avorter
ces projets. Il voudra se défendre, mais ses va-et-vient seront
comme ceux d'une bête sauvage, enfermée derrière les
barreaux de sa cage.
¶ 11-Si malgré tout, la foi en cet homme grandit chez les quelques faibles d'esprit, nous saurons empêcher que son pouvoir n'augmenteet que sa parole ait une portée sur la masse de nos ennemis. Si son nom trouve une bonne résonance, nous enverrons quelqu'un qui prendra son nom et il sera démasqué comme étant l'ennemi de notre ennemi, traître et escroc, quand son nom sera prononcé, nous dirons qu'il est un traître, le peuple nous croira, et ses paroles résonneront dans le vide, grâce à la toute puissance de notre Dieu ...
¶ 12- Il a prédit que notre peuple produira des hommes qui ne sont pas de notre sang et qui ne penseront pas avec notre esprit. Ils mettront en danger la victoire de notre peuple, car ils connaîtront nos ruses, éviteront nos filets et échapperont à tous les dangers. Mais n'ayez crainte, mes frères, de ces damnés, car s'ils sont là maintenant, mais il est trop tard, le pouvoir du monde est solidement entre nos mains. Là où nos ennemis se rencontrent et conspirent contre nous, il y en aura toujours un qui sera de notre côté, par la brillance de notre or et le charme de nos femmes. Si le renégat parle à notre ennemi, notre messager élèvera la voix pour s'indigner. Et quand il viendra avec amour et sacrifice pour sauver les ennemis de notre domination, ils le mettront à l'écart et ne croiront pas à ses paroles, ses actions seront inutiles.
Notre plus grand art et notre premier devoir est d'empêcher que beaucoup ne connaissent les objectifs secrets que nous poursuivons. Quand beaucoup entendront la vraie parole, notre défense sera anéantie et le danger sera grand que les peuples se libèrent de notre joug. C'est pourquoi je vous recommande d'être vigilants, mes frères. Agissez partout, endormez l'ennemi, fermez ses oreilles et rendez ses yeux aveugles, pour que jamais ne vienne le jour de la destruction du royaume de Sion, que nous avons fait croître jusqu'à la perfection, et qui doit nous mener à la victoire et à la vengeance finale sur les peuples asservis du monde entier.
Nous ajoutons à cet
endroit que pour chaque délit il y a une façon appropriée
de mourir. Que ce soit dans une baignoire, dans une voiture, par pendaison
(Calvi), par défenestration, chaque type de punition illustre la
raison pour laquelle la personne devait mourir. « Il est impératif
d'entretenir l'esprit de révolte parmi les travailleurs, car c'est
par eux que nous opérerons les révolutions dans tous les
pays. Les travailleurs ne doivent jamais être à court d'exigences,
parce que nous aurons besoin de leur mécontentement, pour mettre
en pièces la société chrétienne et encourager
l'anarchie.Nous devons en arriver au point où ce sont les chrétiens
qui implorent les Juifs de prendre le pouvoir ». (extrait d'un discours
du grand maître de la loge B'nai B'rith, en 1897, au congrès
de Bâle, qui a été retrouvé dans une loge
maçonnique à Budapest, après la fuite de Bela Kuhn.)
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NOUVEAU TESTAMENT DE SATAN
Nous apprenons quelle était vraiment l'idéologie de Weishaupt par un document qui fut connu sous la désignation "NOUVEAU TESTAMENT DE SATAN", sévèrement gardé par les Illuminés de Bavière. C'est intentionnellement que je présente ici ce document, car il y en a toujours qui doutent de la véracité des Protocoles des Sages de Sion. Peut-être est-il plus facile pour ceux-là d'accepter mon plan et la progression du livre si je n'emploie pas le mot "JUIF". Ce document n'est devenu accessible au grand public qu'en 1875: un messager des Illuminés de Bavière, alors qu'il chevauchait de Francfort à Paris, fut frappé par la foudre; cet incident permit de prendre connaissance d'une partie de ces informations relatives à une conspiration mondiale.
Voici le contenu de ce document:
Le premier secret pour diriger les hommes et être maître de l'opinion publique est de semer la discorde, le doute et de créer des points de vue opposés, le temps nécessaire pour que les hommes, perdus dans cette confusion, ne s'y retrouvent plus et soient persuadés qu'il est préférable de ne pas avoir d'opinion personnelle quand il s'agit des affaires de l'État. Il faut attiser les passions du peuple et créer une litérature insipide, obscène et répugnante. Le devoir de la presse est de prouver l'incapacité des non-Illuminés dans tous les domaines de la vie religieuse et gouvernementale.
Le deuxième secret consiste à exacerber les faiblesses humaines, toutes les mauvaises habitudes, les passions et les défauts jusqu'à ce que règne une totale inconpréhension entre les hommes.
Il faut surtout combattre les fortes personnalités qui sont le plus grand des dangers. Si elles font preuve d'un esprit créatif, elles ont plus d'impact que des millions d'hommes laissés dans l'ignorance.
Envies, haines, disputes et guerres, privations, famines et propagation d'épidémies (par ex. du SIDA, note de l'auteur) doivent épuiser les peuples à un point tel que les hommes ne voient plus d'autre solution que de se soumettre pleinement à la domination des Illuminés.
Un état épuisé par des luttes intestines ou qui tombe au pouvoir d'ennemis extérieurs à la suite d'une guerre civile, est, en tout cas, voué à l'anéantissement et finira par être en leur pouvoir.
Il faudra habituer les peuples à prendre les apparences pour argent comptant, à se satisfaire du superficiel, à ne poursuivre que leur propre plaisir, à s'épuiser dans leur quête éternelle du nouveau et , en fin de compte, à suivre les Illuminés. Ceux-ci parviendront à leur but en rémunérant bien les masses pour leur obéissance et leur écoute. La société une fois dépravée, les hommes perdront toute foi en Dieu.
En ciblant leur travail par la parole et par la plume et en faisant preuve d'adaptation, ils dirigeront le peuple selon leur volonté.
Il faudra déshabituer les hommes à penser par eux-mêmes: on leur donnera un enseignement basé seulement sur du concret et on occupera leur esprit à des joutes oratoires qui ne sont que simulacres. Les orateurs parmi les Illuminés galvauderont les idées libérales des partis jusqu'au moment où les hommes en seront tellement lassés qu'ils prendront en dégoût tous les orateurs, de quelque bord qu'ils soient. Par contre, il faudra rabâcher aux citoyens la doctrine d'État des Illuminés pour qu'ils restent dans leur profonde inconscience.
La masse étant aveugle, insensée et incapable de juger elle-même, elle n'aura pas droit au chapitre dans les affaires de l'État mais devra être régie d'une main de fer, avec justesse mais aussi avec une impitoyable sévérité.
Pour dominer le monde, il faudra emprunter des voies détournées, chercher à démanteler les piliers sur lesquels repose toute vraie liberté - celle de la jurisprudence, des élections, de la presse, la liberté de la personne et surtout de l'éducation et de la formation du peuple - et maintenir le secret le plus strict sur tout ce qui est entrepris.
En minant intentionnellement les pierres angulaires du pouvoir de l'État, les Illuminés feront des gouvernements leurs souffre-douleur jusqu'à ce que, de guerre lasse, ils renoncent à tout leur pouvoir.
Il faudra exacerber en Europe les différences entre les personnes et les peuples, attiser la haine raciale et le mépris de la foi afin que se creuse un fossé infranchissable, si bien qu'aucun État chrétien ne trouve de soutien: tout autre État devra redouter de se liguer avec lui contre les Illuminés, de crainte que cette prise de position le desserve.
Il faudra semer discordes, troubles et inimitiés dans d'autres parties de la Terre pour que les peuples apprennent à connaître la crainte et qu'ils ne soient plus capables d'opposer la moindre résistance.
Toute institution nationale devra remplir une tâche importante dans la vie du pays pour que la machine d'État soit paralysée dès qu'une institution bat de l'aile.
Il faudra choisir les futurs chefs d'État parmi ceux qui sont serviles et soumis inconditionnellement aux Illuminés et aussi parmi ceux dont le passé est entaché d'un coin secret. Ils seront des exécuteurs fidèles des instructions données par les Illuminés. Ainsi, il sera possible à ceux-ci de contourner les lois et de modifier les constitutions.
Les Illuminés auront en main toutes les forces armées si le droit d'ordonner l'état de guerre est conféré au président.
Par contre, les dirigeants "non-initiés" devront être écartés des affaires de l'État. Il suffit de leur faire assumer le cérémonial et l'étiquette en usage dans chaque pays.
La vénalité des hauts fonctionnaires d'État devra pousser les gouvernements à accepter des prêts extérieurs qui les endetteront et les redront esclaves des Illuminati; la conséquence: les dettes de l'État augmenteront sensiblement!
En suscitant des crises économiques et en retirant soudainement de la circulation tout l'argent disponible, il faudra provoquer l'effondrement de l'économie monétaire des "non-Illuminés".
La puissance monétaire doit remporter de haute lutte la suprématie dans le commerce et l'industrie afin que les industriels agrandissent leur pouvoir politique moyennant leurs capitaux. Outre les Illuminés, dont dépendront les millionnaires, la police et les soldats, tous les autres ne devront rien posséder.
L'introduction du suffrage universel doit permettre que seule règne la majorité. Habituer les gens à l'idée de s'autodéterminer contribuera à détruire les sens de la famille et des valeurs éducatives. Une éducation basée sur une doctrine mensongère et sur des enseignements erronés abêtira les jeunes, elle les pervertira et fera d'eux des dépravés.
En se reliant aux loges franc-maçonniques déjà existantes et en créant de-ci de-là de nouvelles loges, les Illuminés atteindront le but souhaité. Personne ne connaît leur existence ni leurs buts, encore moins ces abrutis que sont les non-Illuminés qui sont amenés à prendre part aux loges franc-maçonniques ouvertes où l'on ne fait que jeter de la poudre aux yeux.
Tous ces moyens amèneront les peuples à prier les Illuminés de prendre en main le monde. Le nouveau gouvernement mondiale doit apparaître comme protecteur et bienfaiteur pour tous ceux qui se soumettent librement à lui (L'ONU, note de l'auteur). Si un État se rebelle, il faut inciter ses voisins à lui faire la guerre. Si ces derniers veulent s'allier, il faut déchaîner une guerre mondiale. (...)
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QU'EN EST-IL DES SERBES?
LES SOCIÉTÉS SECRÈTES,
ET
LEUR POUVOIR AU 20E SIÈCLE, par Jan van Helsing, Éditions
EWERTVERLAG.
(Un fil conducteur à travers l'enchevêtrement
des loges, de la haute finance et de la politique. Commission trilatérale,
Bilderberger, CFR, ONU)
La campagne de conquête entreprise par les Serbes n'aurai pas été possible si ces derniers n'avaient pas été couverts par Moscou et par l'administration Bush. LAWRENCE EAGLEBURGER, à l'époque adjoint au ministre des Affaires étrangères et partenaire éminent de l'entreprise consultante des "Kissinger Associates", veilla, récemment, avec un autre partenaire Kiss-Ass, LORD CARRINGTON, à ce que Belgrade ait les mains libres pour accomplir les nettoyages ethniques et le génocide actuel. Afin de financer cette campagne, ils créèrent les structures nécessaires pour faciliter illégalement une arrivée massive d'argent à Belgrade, ce qui devait permettre aux Serbes de faire face aux frais d'importations d'armes, de pétrole et d'autres marchandises.
Dans les derniers dix-huit mois (avant 1995), des banques privées de Belgrade proposèrent, à l'étonnement de tous, un taux d'intérêt mensuel (180 % par année) sur le dépôt de devises et 200% (2400 % par année) sur le dépôt de dinars eu égard au taux d'inflation annuel de 25 000 %. Étant donné le chômage important et le grand nombre de personnes sans revenus, ces prestations d'intérêts furent une manoeuvre politique pour contrecarrer l'insatisfaction croissante du peuple causée par les conditions économiques difficiles entraînées par la guerre. Un observateur déclarait à ce sujet: "Cette tactique sert à financer discrètement un système d'aide sociale."
On découvrit des aspects de ces stratagèmes lorsque le banquier de Belgrade Jesdomir Vasiljevic, directeur de la "JUGO-SKANDIC-BANK", se retira, en mars 1993, en Israël. Cette banque avait, selon les communiqués de la presse, jusqu'à 4 millions de comptes avec des dépôts d'épargne en devises qui s'élevaient à presque 2 milliards de dollars. D'où sortait cet argent? Certes, la Yougoslavie disposait avant-guerre d'une branche de tourisme florissante et d'une industrie d'armement qui produisait surtout des armes légères pour l'exportation mais après avoir remboursé rapidement 14 milliards de dollars de dettes à l'étranger, il ne restait pas grand-chose. Entre-temps, le tourisme a cessé et la production d'armes a été affectée principalement à la guerre.
Le gouvernement serbe bénéficie, de surcroît, du butin de guerre pris aux régions conquises mais c'est peu eu égard aux besoins actuels du pays. Des livraisons d'armes et de pétrole russes se font, en règle générale, contre paiement comptant. Sur le marché noir, les prix du pétrole occidental, comme celui de la "Mobil-Oil-Raffinerie" à Thessalinoque en Grèce, s'élèvent jusqu'à 400% du prix courant.
La source d'argent est à rechercher à Belgrade qui joue un rôle dans le trafic de drogue passant par les Balkans, ce qui lui donne accès au système internationale de blanchiment de l'argent. Les activités croissantes en Europe de l'Ouest de la "MAFIA SERBE" dirigée par Belgrade sont, sûrement, une des sources d'argent. Il y a une école à Belgrade pour vols avec effraction qui jouit, manifestement, de la protection des services de renseignements: ses anciens élèves sont affectés dans toute l'Europe où ils transmettent les biens volés à des réseaux de receleurs bien organisés. Malgré cela, il est difficile de concevoir que ces ressources soient suffisantes pour couvrir les frais de la guerre serbe, même si la mafia serbe prend de plus en plus d'importance sur le marché occidental de la drogue.
Des commentateurs
simplets ont comparé à maintes reprises les stratagèmes
de la "JUGOSKANDIC" et de son plus important institut
de concurrence, la "DAFIMENT BANK",
avec les opérations véreuses de certaines entreprises d'investissement
qui soutirent de l'argent à leurs clients en leur promettant qu'ils
vont toucher régulièrement des intérêts élevés
grâce à des placements dans l'immobilier ou ailleurs.
Cela se passe, en fait, autrement. Ce n'est pas la petite Serbie qui a soutiré le capital aux grands joueurs sur les marchés financiers "chauds" internationaux. ce sont les mêmes puissances qui donnèrent le feu vert à la Serbie pour déclencher la guerre ei qui la financèrent. Ce n'est pas la Serbie qui règle ce flot d'argent, elle n'en est que le bénéficiaire. Il y a, entre autres, des arrangements où certaines banques de Belgrade ou des filières étrangères servirent pour blanchir chaque mois, contre paiement de taxes correspondantes, une partie des revenus en liquide issus du marché international de la drogue. Belgrade n'y était pas perdante. Les intérêts courant pour blanchir l'argent se situent entre 3% et 7% mais en considérant les gains gigantesques réalisés sur le marché mondial des stupédfiants, les trafiquants peuvent payer jusqu'à 30% sans en pâtir.
Defina Milanovic est directeur de la "DAFIMENT BANK" à Belgrade, Israël Kelman de Tel Aviv détient 25% des actions. Vasiljevic de la Jugoskandic s'est retiré à Tel Aviv, ce qui laisse supposer qu'il a joué un rôle clé dans la technique de financement de guerre inspirée par les intérêts anglo-américains.
C'est en employant la même tactique que certaines banques des États-Unis ont échappé à la banqueroute lors de la crise causée par les dettes des pays de l'Amérique latine en 1983: grâce à de puissantes injections d'argent procuré par la drogue. Cela n'a pas grand-chose à voir avec l'économie libre de marché. Selon les dires de la police allemande, celle-ci s'est rendu compte en enquêtant sur des mafiosi serbes que la police de Belgrade n'est pas prête à collaborer au niveau international et qu'à Belgrade, l'argent est donc probablement encore plus facilement blanchi qu'en Suisse. C'est à Chypre, centre bancaire très développé, que les banquiers de Belgrade font la plupart de leurs opérations.
Le succès évident du financement de la guerre, qui fut effectué par EAGLEBURGER et CARRINGTON (Comité des 300) par intérêt financier, n'est pas la conséquence d'un secret bien gardé mais d'une inertie de l'Europe de l'Ouest. Après avoir observé un an et demi les stratagèmes des banques de Belgrade, chacun savait bien, y compris les diplomates, que quelque chose clochait. O savait aussi qu'il y avait des représentants des banques à Chypre. Rien ne fut entrepris, pourtant les sanctions des Nations Unies auraient dû s'appliquer aussi au transfert des finances vers la Serbie tant qu'il n'était pas destiné à des buts médicaux ou humanitaires. Ce n'est qu'en avril 1993 que la commission des sanctions des Nations Unies reconnut qu'on avait oublié de consulter les autorités chypriotes sur les relations bancaires des Serbes. Il y aurait eu "trop peu d'informations concrètes"
Le banquier Vasiljevic
a vécu 15 à 20 ans à l'étranger, surtout en
Australie où il fut connu pour ses transactions dans les "pays en
guerre d'Extrême-Orient", ainsi que le rapporte l'Observer britanique.
Peut-être est-il un ancien ami de "Theodore Shackley"?
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LES SOCIÉTÉS SECRÈTES,
ET
LEUR POUVOIR AU 20E SIÈCLE, par Jan van Helsing, Éditions
EWERTVERLAG.
(Un fil conducteur à travers l'enchevêtrement
des loges, de la haute finance et de la politique. Commission trilatérale,
Bilderberger, CFR, ONU)
Les Illuminati tiennent le monde dans leur filet par l'intermédiare des banquiers internationaux qui sont en liaison avec les sociétés d'élite déjà mentionnées et par les empires qu'ils ont construits. Ils sont sur le point de renforcer encore plus leur mainmise sur cette planète. Leur contrôle principal s'exerce grâce aux dettes nationales des pays. En outre, il existe une force de police internationale qui maintient "dans les rangs" les États indépendants, tels que la Libye et l'Iran: ce sont les troupes de l'ONU. La Libye qui manifeste son indépendance par rapport au contrôle international représente un défi pour le Nouvel Ordre mondial. Mu'ammar al Kadhafi est présenté dans les médias comme un terroriste, ce qui permet de justifier les agressions contre son pays. Voilà encore ce qui s'appelle un bel exemple de lavage de cerveau.
GEORGE BUSH fut un des meilleurs partenaires que les Illuminati aient jamais eu, et il devra le rester j'usqu'à son dernier souffle, car il est fortement impliqué dans le trafic illégal de la drogue (#8 des Protocoles).
George Bush est un ex-chef de la CIA, un ex-chef du CFR, membre de l'Ordre "Skull & Bones", membre de la "Commission trilatérale" et membre du "Comité des 300".
...........ETC......
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L'attentat contre Kennedy (pages 186 à 195) [1/9]
Les motifs de l'attentat contre
J.F.Kennedy sont l'objet de violentes spéculations depuis novenbre
1963. Nous savons que le jeune président se préparait à
choisir sa propre orientation concernant des questions d'une grande importance
stratégique, ce qui l'opposait fortement aux puissants intérêts
politiques et financiers de l'establishment. Il n'était pas bon
partenaire et l'une des causes de son assassinat fut qu'il renvoya, peu
après sa prise de fonction en 1961, le chef tout-puissant de la
CIA, Allen Dulles, qui venait de subir un échec dans l'opération
de la Baie des Cochons ( il s'agissait d'exilés cubains entraînés
aux U.S.A. qui devaient renverser Castro en avril 1961). De plus, il envisageait
le retrait de quelques conseillers aviseurs américains concernant
le Viêt-nam. Il leur donna l'ordre, en effet, de se retirer en octobre
1963. Ce qui gênait aussi énormément les "Illuminati"
fut le fait que Kennedy voulait nettement diminuer les activités
militaires de la CIA dans l'Asie du Sud-Est. Il fit savoir, au Congrès,
le 18 juillet 1963, qu'il avait l'intention de mettre en application toute
une série de dispositions pour renverser le déficit des paiements
des États-Unis. Il voulait relancer l'exportation de marchandises
industrielles et prélever des impôts sur les avoirs des citoyens
américains à l'étranger. Les impôts à
payer sur le capital investi à l'étranger se seraient élevés
jusqu'à 15 % par an. Cela représentait, évidemment,
un handicap de plus pour les banquiers internationaux. Kennedy aurait été
- ô combien - l'homme qu'il fallait pour défendre les droits
du peuple.
Si nous voulons prendre
en compte un autre motif beaucoup plus important, quittons, une fois encore,
mais brièvement, le secteur de la politique. Cela se rapporte à
la découverte de la soucoupe volante qui s'est écrasée
le 2 juillet 1947 à Roswell, au Nouveau Mexique. On découvrit
dans cette soucoupe 4 petits humanoïdes. Il y eut 92 témoins,
35 témoignages de première main (du personnel des forces
armées). Le 13 février, on trouva un autre vaisseau spatial
dans les environs d'Aztec, au Nouveau Mexique. La 2e chute d'un autre vaisseau
dans cette même région eut lieu le 25 mars 1948 dans le Heart
Canyon. Le disque avait 33 m de diamètre, il était fabriqué
avec un métal qu'on n'avait jamais vu et l'on y trouva 16 morts
qui mesuraient environ 1,2 m. En 1949, une autre soucoupe fut trouvée
à Roswell, et l'un des passagers survécut. Un officier d'aviation
reçut l'ordre de l'emmener à Los Alamos où se trouvaient,
à cette époque, les installations les plus sûres des
forces armées des États-Unis. On décrivit le passager
comme un humanoïde reptiloïde avec certaines caractéristiques
propres aux insectes. On le nomma simplement EBE (Entité Biologique
Extraterrestre). EBE relata que ceux de sa race rendaient visite à
la Terre depuis 25 000 ans, qu'il venait d'un système d'une étoile
double, que leur planète était désertique et que leur
soleil menaçait de disparaître. Il dit aussi qu'ils disposaient
de bases souterraines dans différents pays de la Terre. EBE enseigna
au jeune colonel qui lui tenait compagnie, l'existence de la réincarnation
et de la survie de l'âme qui correspondent aux lois de l'Univers.
Tout fut noté et rassemblé sous le code Yellow Book. On esssaya
de prendre contact avec la race d'EBE mais sans succès. Ce projet
portait le nom de SIGMA. Fin 1951, EBE tomba gravement malade. Comme les
fonctions biologiques de son corps dépendaient de l'apport en chlorophylle,
on fit appel à un botaniste pour le traiter, le Dr Guillermo Mendoza.
EBE resta à Los Alamos jusqu'à sa mort le 18 juin 1952. Il
serait mort d'une cause inconnue. Le colonel qui s'occupait de lui aurait
pleuré à sa mort, il l'aurait aimé comme un enfant.
Plus tard, sous le projet Robertson-Panel, on adapta cet événement
à l'écran; le film porta le titre E.T. Ce film de science-fiction
avait pour but de familliariser le public à cette réalité.
Le 6 décembre 1950, une autre soucoupe (de 30 m) tomba près de Laredo, au Texas. On trouva dans les débris un passager calciné de 1,3 m avec une tête extrêmement grosse. Cet incident suscita une vive émotion lors de la parution des photos. Le 20 mai 1953, on récupéra à Kingman, en Arizona, une autre soucoupe qui ne mesurait, cette fois, que 10 m de diamètre. Il y avait 4 morts qui, eux aussi, furent emmenés, comme les autres, à la Wright Patterson Air Force Base (Hangar 18). (Comme le disent si justement les Américains: "La réalité dépasse parfois la fiction ! ")
Dès la première
chute, plusieurs organisations secrètes furent créées,
elles s'occupaient de tout ce qui concernait les ovnis: la plus importante
fut l'opération Majestic 12, fondée le 12 septembre 1947
par le président Truman et dont dépendaient tous les autres
projets ("Majestiy" est le nom de code pour le président).
Parmi les membres, il y avait le Dr Vannevar Bush, conseiller scientifique
du président; le ministre de la Défense, Forrestal et aussi,
plus tard, Nelson Rockefeller, Allen Dulles, chef de la CIA et J. Edgar
Hoover, chef du FBI. Les autres faisaient partie du CFR. Tous les 12 étaient
aussi membres de la Jason Society ou Jason Scholars, de l'élite
de l'ordre Skull & Bones. Le siège du groupe situé à
Maryland, accessible seulement par les airs, est connu sous le nom de Country
Club par les cercles d'initiés.
Les projets conçus sous la direction du Majestic 12 étaient, entre autres, les suivants :
* le projet MAJI, c'est-à-dire Majority Agency for Joint Intelligence. Ce service réunit toutes les informations concernant les services secrets. MAJIC signifie contrôlé par MAJI. Toutes les informations et désinformations à propos des ovnis et des extra-terrestres sont exploitées par MAJI, en collaboration avec la CIA, la NSA, le DIA (service de renseignements de la défense du pays) et le Naval Intelligence (service secret de la marine) ;
* le projet Sign : concerne l'étude des phénomènes ovnis. Plus tard, ce projet prit le nom de :
* le projet Grudge (peut-être à cause des nombreuses parties de corps humains qui furent trouvées dans 2 des vaisseaux) ;
* le projet Blue Book : se rapporte au sauvetage d'objets volants tombés à terre, et, de concert avec le projet Robertson-Panel, il vise à désinformer intentionnellement le public ;
* le projet Sigma : concerne la communication avec la race d'EBE ;
* le projet Snowbird : se rapporte à la technologie d'objets volants extra-terrestres pour tenter de piloter un de ces objets ;
* le projet Aquarius : sert de couverture pour coordonner les programmes de recherche et de contacts avec les extra-terrestres ;
* le projet Garnet : étudie l'influence des extra-terrestres sur l'évolution humaine ;
* le projet Pounce : concerne le dépouillement des vaisseaux spatiaux qui ont chuté et les examens biologiques faits sur les corps des passagers ;
* le projet Redlight : décide des essais à faire en vol avec des vaisseaux spatiaux qui ont été trouvés ou été mis à disposition par des extra-terrestres. ce projet est mené, en ce moment, dans le domaine des AREA 51/ Groom Laka, au Nevada ;
* le projet Luna : nom de code pour la base extra-terrestre sur la lune qui fut observée et filmée par les astronautes d'Appolo. On y exploite une mine, et on y gare les grands astronefs en forme de cigare ;
* les Delta Forces : ce sont des unités spécialement formées pour ces projets.
Selon le rapport de William
Cooper et George Segal, la CIA aurait été créée
spécialement pour dissimuler l'existence des extra-terrestres. D'après
W Cooper et G. Segal, le groupe d'élite secret international "Bilderberger",
que nous étudierons de plus près au cours de ce livre, a
été créé aussi pour cacher les contacts établis
avec les extra-terrestres. Nous ne traterons des Bilderberger, que d'un
point de vue politique.
Qu'attendent-ils donc de nous, le extranéens?
Pourquoi ne sadressent-ils pas aux dirigeants ou au président d'un pays? Ils l'ont fait! Et ils ont été plusieurs à le faire!
Il n'y a pas que George Washington et Abraham Lincoln qui ont affirmé avoir été contactés par des extra-terrestres. Le président Roosevelt aurait eu, en 1934, lors d'une croisière sur le Pennsylvania dans le Pacifique, une rencontre arrangée par Nikola Tesla avec les passagers d'une soucoupe. Le président Truman, lui aussi, aurait eu une entrevue personnelle avec des extra-terrestres le 4 juillet 1945. Quelques enfants Rothschild prétendirent au début de ce siècle que leurs parents auraient rencontré les passagers d'un ovni. Mais les rapports que nous avons n'émanent que de personnes isolées qui ont bien voulu les raconter ou les mettre par écrit.
Il y a, cependant, des preuves concrètes des rencontres du président Dwight D. Eisenhower. Michael Hesemann écrit à ce sujet (Ovnis, les contactés) :
Ainsi qu'il ressort des rapports établis par les personnes en contact avec les extra-terrestres, ceux-ci, depuis leur apparition massive au-dessus de Washington à l'été 1952, ont pris contact avec le gouvernement américain. [...] De plus, ils chargèrent différentes personnes, entre autres George van Tassel, d'envoyer des messages au président. Après les présidentielles de l'automne 1952, ce fut le général Dwight D. Eisenhower qui occupa le poste de président. Auparavant, pendant sa carrière militaire, il avait déjà été informé des chutes d'ovnis à Roswell, Aztec et Laredo qui se produisirent entre 1947 et 1950. Après son élection le 18 novembre 1952, il reçu un rapport sur la situation de la commission gouvernementale "Majestic 12" qui avait été chargé par son prédécesseur Truman d'examiner les épaves d'ovnis récupérées. La commission recommanda au président le secret absolu pour raison de sûreté nationale. [...]
Le lieu choisi pour qu'Eisenhower établisse son contact fut la base de l'armée de l'air Edwards (MUROC) en Californie. Des démonstrations d'ovnis s'étaient déjà déroulées à cet endroit-là depuis des mois, voire des années :
[énumération de plusieurs cas]
Le 20 février 1954 fut
le jour J. Cet événement est confirmé par des prises
de vues cinématographiques et par différents témoins,
dont Geralt Light du puissant groupe médiatique CBS, comte de Clancerty,
membre de la Chambre Haute des Lords en Angleterre, William Cooper, ex-agent
secret, Paul Salomon, membre du personnel de l'armée de l'air et
beaucoup d'autres qui étaient stationnés, à cette
époque-là, à Muroc/ Edwards.
Ce jour-là, tous les officiers, y compris le commandant, accoururent à la tour de contrôle pour y observer un grand disque de 60 m à 100 m de diamètre qui planait au-dessus de la piste de décollage. Ils l'observèrent pendant des heures jusqu'à ce que tous ceux de la base, jusqu'au dernier, soient au courant. Le disque faisait des manoeuvre en vol défiant toutes les règles de la physiques, il se déplaçait de bas en haut, d'un côté à l'autre, en angle droit, etc.
Un peu plus tard, il y eut, au total, 5 objets volants, 3 en forme de disque et 2 en forme de cigare. Eisenhower arriva en avion à la base, il faisait, à ce moment-là, une cure de santé près de Palm Springs. Lui-même ainsi que tout le personnel de la base furent témoins de la descente d'un petit groupe d'occupants qui s'approchèrent d'eux. Ils avaient un aspect humanoïde, leur taille était à peu près celle des êtres humains, ils étaient blonds et parlaient anglais. Ils proposèrent leur aide pour le développement spirituel de l'humanité à la condition, dirent-ils, que nous acceptions de détruire nos armes atomiques. Ils n'étaient pas prêts à mettre à notre disposition leur technologie puisque nous n'étions même pas capables d'utiliser la nôtre en humains responsables. Ils pensaient que n'importe quelle technologie nouvelle ne servirait qu'à nous entre-tuer. Cette race expliqua que nous étions sur une voie d'autodestruction, que nous devions cesser de nous détruire, de polluer la Terre, d'en exploiter les richesses minières. Nous avions à vivre en harmonie avec la création. Il était capital pour nous apprendre à nous considérer comme les citoyens d'une famille planétaire et nous avions le devoir de nous comporter comme tels. Nous devions abandonner au plus vite notre croyance de pouvoir agir à notre guise. Nous ne pouvions entrer en contact avec eux que si nous commencions à nous conduire comme citoyens d'un système planétaire. Ils étaient, eux aussi, une partie de cette famille planétaire, et nous devions les traiter ainsi, eux et tous nos semblables sur cette Terre. Dès que nous aurions appris à avoir des rapports de paix avec les autres nations, nous pourrions accéder à des rapports interplanétaires.
Toutes les personnes présentes
étaient des plus sceptiques face à ce langage, surtout en
ce qui concernait l'exigence impérative du démantèlement
nucléaire. Personne ne pouvait imaginer qu'un désarmement
pût être dans l'intérêt des États-Unis.
Tous craigaient de se trouver sans défense face aux extra-terrestres.
L'offre fut refusée ! Les aliénigènes déclarèrent
alors qu'ils continueraient à avoir des contacts seulement avec
des individus tant que les humains ne les accepteraient pas. C'est alors
que les extra-terrestres firent une démonstration de leurs possibilités
techniques qui imposèrent le respect au président, qui se
tenait là, paralysé, ainsi qu'à son entourage. Ils
montrèrent leurs vaisseaux spatiaux au président et prouvèrent
même leur capacité de se rendre invisibles. Eisenhower en
éprouva un malaise! Personne ne pouvait les voirs mais tous savaient
qu'ils étaient là. Les étrangers montèrent
ensuite dans leurs vaisseaux et décollèrent.
L'astronaute américain Gorden Cooper confirme cet événement en racontant qu'il vit un film pendant son service montrant un atterrissage d'ovnis dans une base de l'armé de l'air en Californie dans les années 50.
Vous trouverez les livres de Michael Hesemann "Ovnis - les preuves" et "Ovnis - les contacts" toute l'histoire dans les moindres détails ainsi que les réponses à tous les comment et pourquoi.Il s'est donné la peine de faire un condensé de plus de 50 livres et spécialement de livres américains et de les documenter avec de nombreuses et d'excellentes photos. "UFOs - Die Beweise" contient les documents secrets de la CIA qui ont été rendus accessibles au public grâce à l'accès à l'information au bout de 30 ans de secret. Il y eut d'autres contacts avec des gouvernements mais il faudrait prendre connaissance de tous ces contacts pour avoir un aperçu de la diversité des thèmes touchant aux ovnis. Il y a, en outre, des vidéos qui contiennent, en particulier, l'atterrissage d'une soucoupe en 1964, dans la base de l'armée de l'air Holloman. Ces vidéos sont consignées dans la littérature complémentaire.
Revenons-en maintenant à Kennedy. Après avoir été élu président et avoir été informé des ovnis récupérés et des projets secrets qui incluaient l'étude des survivants, il voulut rendre ces informations publiques. Forestal, le ministre de la Défense et membre de Majestic 12, avait déjà essayé d'en faire autant, il fut jeté par la fenêtre de l'hôpital avec un drap de lit autour du cou le 22 mai 1949.
Kennedy eut droit à un traitement similaire. Il fut assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas.
Le premier coup de fusil vint effectivement du toit de l'entrepôt mais il n'était pas mortel. Le coup mortel fut donné par le conducteur de sa propre voiture, l'agent de la CIA William Greer qui visa la tête de Kennedy avec une arme propre à la CIA. Quand on regarde au ralenti le film original de l'attentat et qu'on prête attention au chauffeur, il est clair que celui-ci se retourne, l'arme à la main, tire et c'est alors que l'arrière de la tête de Kennedy éclate.
Dans les films projetés
dans la plupart des pays occidentaux, le chauffeur n'apparaît pas.
Dans une émission de l'ARD (première chaîne de télévision
allemande), le Spiegel TV, on essaya, le 21 novembre 93, de convaincre
les spectateurs que l'attentat n'avait rien à voir avec la CIA alors
que la RTL diffusait, presqu'au même moment, un avis contraire. Sans
parler des commentaires, on ne montra sur les 2 chaînes qu'une seule
fois le film en entier; dans les films suivants, il n'y avait pas de chauffeur.
Mais celui qui savait où il devait porter son attention pouvait
dans le film original reconnaître le chauffeur tirant avec son arme.
John Lear, fils de Lear Aircraft (aujourd'hui propriétaire) et autrefois désigné comme le meilleur pilote de l'US Air Force (avec 17 records du monde), trouva 3 films originaux, entre autres au Japon. Il les fit analyser par un ordinateur pour prouver leur véracité. Lui-même et William Cooper, ex-membre des Services Secrets de la Marine et auteur de "Le gouvernement secret", font, de nos jours, des conférences aux États-Unis où l'on peut obtenir les films originaux par leur intermédiaire (voir l'adresse dans la bibliographie). [William Cooper --> Doccumentation vidéo: The Kennedy Assassination Light Technology Publications -> P.O. Box 1495, Sedona AZ 86336]. William Cooper perdit sa jambe droite à cause de ce film : il fut victime d'un attentat en 1973. La télévision japonaise a, par la suite, diffusé plusieurs fois ces films originaux dans les actualités télévisées aux heures de grande écoute. L'analyse par ordinateur permit d'identifier l'arme et la décrivit comme étant d'un calibre spécial employé par la CIA. Quant à la balle, il s'agissait également d'un projectile spécialement conçu par la CIA qui explosa dans le cerveau de Kennedy et provoqua sa désintégration.
Avaient participé à la préparation de l'attentat les membres de la CIA Orlando Bosch, E. Howard Hunt, Frank Sturgis et Jack Rubenstein (alias Jack Ruby). La CIA épongea, en remerciement, les énormes dettes de jeu de Ruby.
Lee Harvey Oswald, qui avait aussi été membre de la CIA pour Jack Ruby, travaillait au moment de l'attentat. Sa mort fut programmée. Jack Ruby le tua avant qu'il ne pût prouver son innocence. Le coupable était trouvé; il ne pouvait plus prouver le contraire.
La CIA haïssait Kennedy.
Il était, d'après elle, responsable de la mauvaise tournure
que prenaient leurs projets concernant le Viêt-nam, Cuba et les ovnis.
Un collaborateur de la CIA, qui avait participé à l'opération
de la Baie des Cochons, dit que toutes les personnes travaillant dans son
secteur se levèrent et applaudirent lorsqu'ils apprirent la nouvelle
de la mort de Kennedy. aux auditions devant le comité spécial
pour attentats, nombre de ces faits furent dévoilés, mais
selon la loi de sûreté de l'État américain,
les archives sont closes jusqu'en 2029. Après ces auditions, la
CIA se vit défendre toute opération secrète à
l'intérieur des États-Unis. (Qui peut croire qu'elle s'y
est tenue?)
Tous les témoins de la conspiration furent tués ou moururent d'un cancert foudroyant qui leur avait été injecté (le chauffeur qui avait tiré, mourut 3 semaines après l'attentat).
D'après la Commission Warren sur le rapport officiel de l'attentat contre Kennedy, Lee Harvey Oswald aurait été l'unique tueur. C'est ce qu'on pouvait lire déjà 9 heures plus tard dans tous les journaux américains. La conspiration de la CIA et du Comité des 300 fut passé sous silence. Pour une bonne raison: les "lIluminati" avaient été très efficaces en contrôlant les agences de presse.
Ceci est un exemple parmi d'autres qui prouve que des nations entières reçoivent pendant des décennies des informations erronées, jusqu'au jour où un chercheur courageux se donne la peine de faire des investigations.
Robert F. Kennedy, le frère de J.F. Kennedy, qui faisait aussi obstacle aux "Illuminati" dut mourir le 5 juin 1968, juste avant de gagner les élections présidentielles. Dans ce cas-là, le tueur unique était Sirhan Sirhan. Celui-ci était sous l'effet d'une drogue préparée par la CIA pour cette circonstance spéciale. Pour être sûr que Sirhan Sirhan ne manquerait pas sa cible, le garde du corps Howard Hughes avait tiré avec la balle supplémentaire que l'on trouva, plus tard, dans la tête de Kennedy. Selon les dires du juge d'instruction s's'appuyant sur les preuves balistiques, la bouche de l'arme a dû être éloignée de 5 à 8 cm de la tête de Kennedy; quant à l'arme de Sirhan , elle était éloignée d'au moins 30 cm. Ceci fut aussi dissimulé au public. Les publications internes du CFR et de l'ordre Skull & Bones contiennent, cependant, ces informations. D'après le N° 12 des Protocoles [des Sages de Sion], il faut supprimer les personnes qui sont une entrave au plan.
(Vous trouverez en particulier dans le livre de William Cooper "Le gouvernement secret" et dans "Opération cheval de Troie", d'un auteur anonyme l'histoire complète de l'attentat avec les noms, les données et des faits concrets ainsi que les relations entretenues par les États-Unis avec les extranéens).
****** FIN *********
« Gouvernements invisibles et sociétés secrètes » par Serge Hutin, Éditions J'ai Lu, A269, ©1971 [Extrait pages 31 et 32]
Quand on passe de la haute finance au domaine plus ténébreux encore de la raison d'État, les constatations étranges se multiplient. Il est patent qu'aujourd'hui encore, il existe certaines affaires politiques sur lesquelles, manifestement, « on » empêche que la lumière soit faite. Il en va ainsi de l'assassinat du président Kennedy. Quatre constatations sont bien troublantes:
1- « Par hasard », seul l'immeuble d'où furent tirées les balles meurtrières n'était pas gardé par la police de Dallas.
2- Plusieurs tueurs avaient été prévus, dont les mouvements étaient synchronisés par les gestes que faisait avec son parapluie un mystérieux «chef d'orchestre », placé sur un lieu suffisamment élevé (des clichés révélateurs en ont même paru dans des magazines, notamment Paris-Match); si Lee Oswald avait manqué le président, un ou deux autres tireurs l'auraient alors suppléé.
3- Arrêté, l'assassin est providentiellement exécuté par un prétendu « justicier », lequel mourra tout aussi providentiellement d'un «cancer généralisé » (la typhoïde, une crise d'asthme ou tout autre maladie auraient été tout aussi convaincantes).
4- Comme par hasard, une quantité impressionnante de témoins du meurtre disparaîtront: chaque fois un accident.
****************
MAJESTIC 12 [1/4]
Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 299 à 303 )
... Nelson Rockefeller avait changé de poste. On lui avait confié le poste de chargé de mission des stratégies psychologiques. Le nom a changé quelque peu pour devenir ensuite chargé de mission des stratégies de la guerre froide. Le poste devait se développer dans les années à venir et Kissinger et Nixon l'ont occupé pendant un temps. Officiellement, il avait un rôle de consultant dans le développement de la compréhension et de la coopération entre les peuples. C'était en fait une couverture. En réalité, c'était un poste de coordinateur de la présidence pour les services secrets. Dans cette nouvelle position, Rockefeller n'avait à rendre des comptes qu'au président, personnellement. Il participait aux réunions du cabinet, du CFR et du Conseil national de sécurité, les organes qui dictent la politique officiele.
On a confié à Rockefeller un autre poste, celui de responsable d'un département secret, le groupe de Planification et de Coordination, qui a vu le jour avec la directive NSC 5412/1 de mars 1955. Ce groupe était constitué de membres non permanent, qui dépendaient de l'ordre du jour. Les membres permanents étaient Rockefeller lui-même, un membre du ministère de la Défense, un membre du ministère des Affaires étrangères et le directeur de la CIA. Cette commission a pris le nom de Commission 5412. La directive NSC 5412/1 prévoyait que les opérations secrètes devaient être validées par une commission exécutive, alors qu'auparavant de telles opérations ne nécessitaient que la signature du directeur de la CIA.
La directive secrète du président, la NSC 5510 avait précédé la NSC 5412/1, elle avait institué MAJESTIC 12. Cette commission devait superviser toutes les activités autour des phénomènes extranéens. La NSC 5412/1 ne faisait que justifier les nombreuses réunions, si jamais la presse ou le Congrès devenaient curieux.
MAJESTIC 12 était composée
de N. Rockefeller, du directeur de la CIA, Allen W. Dulles, du ministre
des Affaires étrangères John F. Dulles, du ministre de la
Défense Charles E. Wilson, de l'amiral arthur W.Radford, responsable
du Joint Chiefs of Staff, du directeur du FBI, Edgar Hoover, du Dr. Teller
etde 6 membres du directoire du CFR, connus comme étant les «
sages » du groupe JASON.
Le groupe JASON est, comme nous l'avons vu dans le chapitre sur les Illuminati, la commission scientifique qui a été formée pendant le Manhattan Project, et qui est administrée par la Mitre-Corporation. Les « sages » sont des hommes-clé du CFR, ils sont membres de la JASON Socyety. La commission MAJESTIC 12 comprenant 19 personnes. Le règlement interne prévoyait qu'une motion était acceptée si elle recueillait au moins 12 voix - d'où le nom Majority 12.
Cette commission était constituée de hauts fonctionnaires et de directeurs du CFR, puis plus tard de la Commission trilatérale. Gordon Dean, George Bush et Zbigniev Brzezinski en ont fait partie. Les « sages » les plus influents, qui ont pris part aux décisions de MAJESTIC 12, sont Jhon Cloy, Robert L. Harriman, Charles Bohlen, Georges Kennan et Dean Acheson. Leur influence politique s'étendra jusque dans les années 70. Il est significatif de constater qu'Eisenhower et les 6 membres du gouvernement qui faisaient partie de MAJESTIC 12 étaient également membres du CFR. Le groupe le plus puissant qui compose le gouvernement est contrôlé par une organisation qui appartient aux Illuminati.
Des chercheurs sérieux
découvriront bientôt que tous les « sages » ne
sortent pas de Harvard ou de Yale, qu'ils n'ont pas été choisis
en fonction de leur appartenance aux Skull & Bones ou aux Scroll &
Key. Certains membres ont été recrutés en fonction
des services qu'ils ont rendus avant leurs études universitaires.
Plus tard, quelques élus ont été admis au sein de
la JASON Society. Ils appartenaient au CFR et étaient connus sous
le nom de : "Eastern Establishment". Cela devrait vous donner des
indices sur l'importance et l'influence qu'ont la plupart de ces sociétés
secrètes universitaires. La JASON Society continue à prospérer
aujourd'hui, elle compte dans ses rangs des membres de la Trilatérale.
Ceux-ci existaient déjà en 1973, mais c'était un secret.
Le nom de Trilatérale a un rapport direct avec le drapeau des extranéens.
La commission MJ12 existe encore aujourd'hui. Sous les présidences Eisenhower et kennedy, cette commission a pris le nom de Commission 5412 ou Groupe spécial, ce qui peut induire en erreur. Sous la présidence Johnson, elle est devenue la Commission 303, car le [but du ?] nom de 5412 avait été atteinte. En réalité, l'existence de 5412 avait été communiquée pour masquer l'existence de la NSC 5410. Sous les présidences de Nixon, Ford et Carter, elle s'appelait Commission 40, sous Reagan c'était la Commission PI 40. Pendant toutes ces années, il n'y a que le nom qui a changé.
En 1955, on s'est aperçu que les aliénigènes avaient trompé Eisenhower, ils avaient enfreint l'accord. Dans plusieurs partie des États-Unis on a retrouvé des cadavres mutilés. On suspectait les aliénigènes de ne pas avoir communiqué à MJ12 toutes les listes des personnes avec lesquelles ils étaient en contact ou qu'ils avaient emmenées avec eux. On craignait que certaines ne réapparaîtraient jamais. On les soupçonnait de collaborer avec l'Union Soviétique, ce qui était vrai.
On a pris conscience du fait que les aliénigènes utilisaient une grande quantité d'êtres humains pour l'observation, qu'ils se sevaient pour cela de sociétés secrètes, de magie, d'occultisme et de religion. Après plusieurs batailles aériennes entre chasseurs de l'US Air Force et vaisseaux extranéens, les Américains ont dû admettre que leurs armes étaient moins performantes que celles de leur adversaire.
En novembre 1955, une nouvelle
directive, la NSC 5412/2, a été adoptée, elle créait
une commission qui devait se consacrer à « tous les
facteurs qui permettent d'établir et d'exécuter des lignes
de conduites dans la politique étrangère de l'ère
atomique ». Ce qui était évidemment une couverture
pour dissimuler le sujet des aliénigènes. En parallèle,
Eisenhower avait édicté en 1954 une directive, la NSC 5411,
qui avait déjà créé une commission d'enquête
sur les agissements des extranéens. NSC5412/2 n'était donc
qu'une couverture, qui devait justifier le fait que des personnes aussi
importantes se réunissaient régulièrement.
Les premières réunions ont lieu dès 1954, on les appelle Quantico Meetings, d'après l'endroit où elles ont lieu, à la base navale de Quantico. La commission était composée des 35 membres du CFR qui étaient dans le secret et ceux de la JASON Society. Edward Teller va être invité à participer. Brzezinski en a été le patron pendant 18 mois, Henry Kissinger lui a succédé, en novembre 1955. N. Rockefeller a participé régulièrement à ces réunions.
Voici la liste des membres de cette commission:
Gordon Dean, président
Dr. Henry Kissinger, vice-président
Dr. Zbigniev Brzezinski
Dr. Edward Teller
Mj. Gen. Richard C. Lindsay
Hanson W. Baldwin
Lloyd V. Berkner
Frank C. Nash
Paul H. Nitze
Charles P. Noyes
Frank Payce jr.
Don K. Pirce
David Rockefeller
Oscar M. Ruebhausen
Lt. Gen. James M. Gavin
Caryl P. Haskins
James T. Hill, jr.
Joseph E. Johnson
Mervin J. Kelly
Frank Altschul
Hamilton Fish Armstrong
Maj. Gen. J. McCormack, jr.
Robert R. Bowie
McGeorge Bundy
William A. M Burden
John C. Campbell
Thomas K. Finletter
George S. Franklin, jr.
I.I. Rabi
Roswell L. Gilpatric
N.E. Halaby
Gen. Walter Bedell Smith
Henry De Wolf Smyth
Shields Warren
Carroll L. Wilson
Arnold Wolfers
Es réunions ont continué à Quantico, le groupe a été baptisé Quantico 2. Nelson Rockefeller a construit pour MJ12 et la mission d'enquête un bâtiment spécial, secret, dans le Maryland. On ne pouvait s'y rendre qu'en avion. Les réunions pouvaient se tenir sans éveiller d'intérêt. L'endroit a pris le nom de Country Club. Les bâtiments étaient équipés pour éberger tout le monde et disposaient du confort nécessaire (ne pas confondre le Aspen Institute et le Country Club). À la fin 1956, on a fait semblant de dissoudre la commission. Kissinger a publié en 1957 les conclusions officieles de l'enqu'ête pour le CFR, chez l'éditeur Harper & Brothers de New York, sous le titre "Les armes atomiques et la politique étrangère".
En réalité, Kissinger avait déjà terminé 80 % de ce manuscrit quand il était étudiant à Harvard. La mission d'ennquête a continué son travail dans le plus grand secret.
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Lénergie libre - Oui ou Non ? Par Nikola Tesla.[1/4]
Le Livre Jaune N° 5 Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©1997. (pages 230 à 234){extraits}
{extrait d'une conférence du 20 mai 1891 à l'American Institute of Electrical Engineers de New York}
Ce dont nous avons besoin, c'est d'une énergie sans problème, d'un combustible bon marché, non polluant. Pouvons-nous même imaginer une forme d'énergie propre, saine, si possible bon marché, qui nous débarrasseraient de la pollution, qui serait disponible en grande quantité et qui pourrait nous donner l'espoir de vivre dans un environnement où l'homme pourrait à nouveau profiter d'un épanouissement, que les progrès technologiques lui ont si souvent fait espérer. Cette énergie existe. Elle a été identifiée à de maintes reprises dans l'histoire de l'humanité, sous plusieurs dénominations différentes.
Certains l'appellent éther, d'autres énergie du champ du vide.
L'espace présent entre les atomes de matière n'est pas vide, mais rempli d'énergie, dont la nature fait encore l'objet de discussions. Sa concentration est extrêmement élevée, de l'ordre de 5000 kWh par cm³. Elle est difficilement perseptible, à moins de la faire agir avec des champs électromagnétiques ou de la matière. Dans ce dernier cas, elle est à l'origine de l'accélération gravitationnelle.
« L'homme a découvert
depuis longtemps que toute matière provient d'une substance primordiale,
un champ subtil et vaste, au delà de toute imagination, l'Akasha
ou éther photophore, sur lequel agit le Prana avec l'énergie
créative, qui donne vie à toutes les choses et tous les phénomènes
dans un cycle éternel. Si on accélère cette matière
primordiale dans d'infinis tourbillons, elle se transforme en matière
brute; si la force diminue, le mouvement disparaît et la matière
retourne à son état original. »
Nikola Tesla prétendait que cette force, appelée éther en Occident, pouvait être utilisée, et il en fit la preuve de façon expérimentale.
Il inventa des générateurs fonctionnant à l'éther, qui ne servaient pas seulement à faire marcher des automobiles, mais qui étaient capables de provoquer des tremblements de terre et des tempêtes; il inventa des moyens pour transmettre l'électricité sans fil et sans ligne à haute tension.
En un mot il utilisa l'Akasha à des fins industrielles.
D'après lui, il était impossible de manquer d'énergie, si on savait exploiter l'énergie cosmique universelle. Pour faire une comparaison, c'est comme si quelqu'un se trouvant assis au fond de la mer, une tasse à la main, se demandait comment la remplir avec de l'eau. Comme cette personne assise au fond de la mer, l'homme ne semble pas être conscient de l'omniprésence de l'énergie cosmique.
Il n'est pas surprenant que
la physique officielle tourne l'oeuvre de Tesla en ridicule, que les monopoles
de l'énergie aient acheté ses brevets et les aient mis dans
un coffre-fort, que les militaires américains et russes aient étudié
ces procédés de manière intensive pour développer
des armes sophistiquées. Malgré toutes les campagnes de désinformation
sur l'énergie libre, la vision des possibilités qu'elle permet
ne s'est jamais arrêtée.
L'éther :
Un autre scientifique occidental supposait que l'espace n'était pas vide, mais rempli d'éther, et qu'il n'y avait en fait pas de différence entre l'espace et l'éther.
Cet homme s'appelait Albert Einstein (1879-1955). Pour lui l'espace représentait « quelque chose », il n'était pas « rien ».
À l'âge de 15 ans Einstein pensait, comme beaucoup de scientifiques de son époque, qu'il existait bel et bien un éther. Il abandonna cette idée plus tard, la réfuta pendant 11 ans, de 1905 à 1916.
C'est à ce moment qu'il développa la théorie de la relativité, qui devait avoir une influence prépondérante sur la physique. Cette théorie s'imposa comme credo officiel; on ignora tout ce qu'il dit plus tard au sujet de l'éther.
Il s'exprimait ainsi en 1934: « L'espace physique et l'éther sont des dénominations différentes pour le même concept; les champs sont les états physiques de l'espace. » Il alla jusqu'à dire que l'espace ne pouvait être vide, que l'espace est un médium dynamique et qu'il produit des particules élémentaires - ce qui le rapproche de la culture ancienne de l'Inde et de sa notion d'Akasha.
Bien que la physique officielle
ne tienne pas compte des suppositions de Einstein, il existe des exceptions.
Johannes Alfven, prix Nobel de physique en 1970, affirma en 1982 à
un congrès de prix Nobel à Constance, que l'espace interstellaire
n'était pas vide, comme on le croyait couramment, mais rempli à
99 % de plasma.
{...}
L'exemple de Nikola Tesla nous montre bien le fonctionnement de ces nouveaux mécanismes de contrôle. Alors qu'il vient à peine d'immigrer aux États-Unis, il réussit rapidement à se faire remarquer dans son entourage par ses connaissances techniques. Il est aidé par des fondations issues de la finance, patriotes et internationales, jusqu'au jour où les banques se rendent compte qu'il travaille dans son laboratoire du Colorado sur des productions d'énergie libre, qui rendent tout système de distribution superflu.
Tesla était à deux doigts de démontrer l'existence d'une physique primaire, dans laquelle le spectre électromagnétique connu ne joue qu'un rôle secondaire. Dès lors, on lui retire tout soutien financier, la presse se déchaîne contre lui et il se retrouve submergé de procès.
En 1920, le plus grand génie technique de l'époque est à genoux, vagabondant dans les rues de Manhattan. Un rideau de fer s'est abattu sur la recherche aux USA. Les chercheurs qui ne travaillent pas dans les domaines souhaités sont étranglés financièrement, ou contraints à l'abandon.
Aujourd'hui, nous commençons à mesurer l'importance de cet homme. Des recherches ont été entreprises pour essayer de comprendre les travaux de Tesla, et les conséquences qu'elles peuvent avoir pour notre devenir. Il est clair que ni le public cultivé, ni les scientifiques n'ont compris le phénomène Nikola Tesla.
C'est lui qui a montré qu'on pouvait utiliser l'énergie de l'éther de façon efficace sur de grandes distances, ce qui a permis de développer les armes, qu'on appelle armes Tesla. Avec des moyens relativement simples, elles permettent d'envisager des stratégies beaucoup plus dissuasives que ne le font les armes nucléaires, supprimant les guerres.
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Le Fonds Monétaire International (FMI) [1/2]
Le Livre Jaune N° 5 Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©1997. (pages 202 et 203)
De nouvelles instances internationales, telles que le FMI, la Banque Mondiale et la Banque de Développement International (Bank of International Settlement), furent créées pour étendre la suprématie de l'économie à la planète entière. Les contributions à payer tous les ans par chaque nation sont de l'ordre de milliards. Si une nation a des problèmes pour régler sa contribution, ce sont les ouvriers et les plus défavorisés qui s'en ressentent. Actuellement, le FMI cherche, sur l'ordre des banquiers internationaux, des moyens pour contrôler toute l'économie mondiale.
Le membre du Comité des 300 Harnold Lever fit une proposition connue sous le nom de plan Ditchley. Selon le plan Ditchley, la politique financière et monétaire des États-Unis passerait, au mépris de la loi, sous le contrôle du FMI. Ce plan permettrait au FMI de réunir dans la Banque Mondiale toutes les banques centrales des différentes nations.
En 1982, les banques les plus éminentes de Wall Street et le gouvernement des États-Unis décidèrent d'un commun accord d'imposer à chaque pays redevable, des conditions de remboursement accablantes qui furent mises en place par les Kissinger associates inc. (le conseil de direction est composé de Robert O. Anderson, magnat du pétrole et président de l'institut Aspen, de lord Carrington ex-secrétaire d'état aux Affaires étrangères de Thatcher, et de lord Roll of Ipsden, directeur de la Banque d'Angleterre et de la Banque S. G. Warburg).
Le FMI, la Federal Reserve
Bank et la Banque d'Angleterre doivent assurer le rôle de police
mondiale pour recouvrer les dettes. L'Amérique a eu l'idée
de placer le FMI connu pour son intransigeance au centre de toutes les
négociations de dettes. Les conditions du FMI furent élaborées
par le représentant du FMI Irving Friedman (cela lui valut une position
élevée dans la Citibank).
Remarque sur la situation actuelle [~1995]:
Rexrodt, actuel ministre de l'économie en Allemagne, fut aussi, pendant quelque temps, chef de la Citibank dans ce pays.
Les capitaux du Fonds Monétaire International représentent pour les pays une sorte d'appât. Une fois les difficultés d'un pays cernées, les experts du FMI lui montraient ce qu'il fallait absolument changer. Ils déclaraient ensuite au pays endetté que s'il voulait obtenir ne serait-ce qu'un crédit minime auprès d'une banque étrangère, il devait réduire ses importation au stric minimum. Il devait aussi faire baisser de façon draconnienne les dépenses de l'État et surtout arrêter toutes les subventions pour la nourriture de base et autres allocations pour les personnes défavorisées. La condition sine qua non était toujours de dévaluer la monnaie. Ceci soi-disant pour que les exportations soient meilleur marché et deviennent compétitives sur le marché mondial. Mais, en vérité, le prix des importations s'élevait et les dettes s'accroissaient. C'était le premier pas. De 2e consistait à obtenir du pays qu'il consente à un vaste programme de conversion des dettes. C'est alors que les banques créditrices s'assuraient de la future mainmise sur le pays endetté. Ils comptaient, de surcroît, des paiements d'intérêts et d'amortissements. Le FMI devint la police économique internationale des grandes banques privés. L'un après l'autres, les pays devaient négocier les conditions de remboursement avec le FMI et les banques du groupe Ditchley.
D'après les informations de la Banque mondiale, des paiements d'intérêts s'élevant à 326 milliards de $ et venant de 109 pays débiteurs allèrent dans des banques créditrices privées de 1980 à 1986. Dans la même période, 332 milliards de $ furent rembourés. C'est ainsi que des dettes de 658 milliards de $ furent payées, alors que le montant originel des dettes n'était que de 430 milliards de $. Malgré cela, les 109 pays devaient encore 882 milliards de $ aux banques créditrices.
Cette action conjointe d'intérêts beaucoup trop élevés et de cours de change oscillants, plonge les pays dans un entrelacs de dettes magnifiquement [orchestré] inextricable qui profite aux banques.
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Pour la version complète, allez à :
LES SOCIÉTÉS SECRÈTES ET LEUR POUVOIR AU 20ÈME SIÈCLE
Un fil conducteur à travers
l'enchevêtrement des loges, de la haute finance et de la politique.
Commission trilatérale,
Bilderberger, CFR, ONU
ISBN 3-89478-816-x
EWERTVERLAG S.L.
http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/Lectures/SociétésSecrètesABC.html
(839 Ko complet)
http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/Lectures/SociétésSecrètesA.html
(240 Ko)
http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/Lectures/SociétésSecrètesB.html
(525 Ko)
http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/Lectures/SociétésSecrètesC.html
(078 Ko -> Index)
Ou LIVRE JAUNE N°5
Et :
LIVRE JAUNE N°6 (voir extraits intéressants et remarques personnelles : )
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