Objet: info
la date: Tue, 07 Dec 1999
12:22:51 -0500
De: Jo******
À: [email protected]
Bonjour, c'est pour t'informer que
moi-même ayant consommé du beurre de
peanut en quantité industrielle
pendant l'adolescence et que ce produit
n'a pas eu aucun impact négatif
quel qui soit sur moi . J'ai dévorai 4
lbs de ce produit par semaine pendant
10 ans et je suis sûr que les
aliments n'ont aucun impact sur
les neuros pour les programmés dans un
sens ou dans l'autre. Lorsque les
gens vivent à ces niveaux inférieures
cela est dû en partie au
mauvais usage de l'ordinateur central qui est
le cerveau qui est influencé
lui par la partie karmique de notre
psychique. Il est certain que la
nourriture peu influencer notre corps
mais au point de nous mettre dans
la tête de se suicider. Je suis
interressé par ce que tu
écris étant moi-même astro-métaphysicien, il
me
ferait plaisir d'échanger
avec toi dans l'espace-temporel déjà inscris.
À tantôt.
************
Objet: Re: info
la date: Tue, 07 Dec 1999
17:28:09 -0500
De: vision_globale <[email protected]>
À:
Bonjour Jo****** !
Ton expérience
personnelle ne me surprends pas. Moi-même j'ai beaucoup mangé
de beurre d'arrachides quand j'étais
jeune, adolescent et jusqu'à
environ 27 ans.
Je me suis rendu
compte de l'effet que j'ai décrit seulement après ce que
l'on pourrait appeler un jeûne prolongé, à un
moment où je pouvait être
hypersensible à l'effet de la nourriture sur nous, ce qui n'est
pas le cas en temps ordinaire. Je l'ai constaté pour moi-même
et je soupçonce que cela s'applique aussi à d'autres individus;
pas nécessairement à tout le monde...
Quant à aller jusqu'au suicide, il est évident que beaucoup n'y sucombe pas aussi facilement que d'autres. Mais qu'est une goutte d'eau qui fait déborder le vase... Quand quelqu'un est en déséquilibre, une petite poussée peut facilement le faire tomber...
Mais je sais
que la discussion sur ce sujet n'est qu'à ses premiers balbutiements...
Il y a de la place pour beaucoup de
témoignages et d'explications...
Merci pour votre intérêt pour mes écrits...
Jacques Fortier
*****************