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01°)
Introduction, tempêtes de décembre 1999
02°)
Les conséquences financières
03°)
Le processus de la tempête de 1999
04°)
VSD du 08 / 14 juin 2000
05°)
Activité du GRIP
06°)
La guerre climatique
07°)
Les installations HAARP
08°)
Chimiotrainées
09°)
PHOTOS METEOSAT
Catastrophes Naturelles ou Guerre Climatique ?
01°) Introduction:
La France et
d'autres pays connaissent des conditions météorologiques
inexplicables. On voit des hivers avec
de la neige
qui tombe en abondance et parfois même à des périodes
imprévues, provoquant la destruction des
réseaux
électriques. A d'autres périodes, des pays sont confrontés
à des inondations inexplicables, on reçoit en
deux jours l'équivalant
de 6 mois de pluie. Quant à la tempête qui a commencé
en France à 05 heure du
matin, elle
a connu son maximum sur Paris à 08h00 le samedi 25 décembre
1999, et elle s'est prolongée le
dimanche 26
décembre. Des forêts entières ont été
entièrement ravagées en l'espace d'une heure dans toute la
France. En île
de France les bois de Marly, de Boulogne, de Versailles et son château,
ont connu des dégâts
très
importants. Les monuments historiques comme le Panthéon, la cathédrale
Notre Dame de Paris et
beaucoup d'autres,
ont été endommagés. Les ornements en pierre de taille
et des clochetons sont tombés ainsi
que pour d'autres
églises ou cathédrales en France. Le moulin de Valmy qui
avait été rénové en 1998 pour un
million de francs,
a été totalement rasé par les vents. Le trafic aérien
des aéroports de Paris a été interrompu,
les autoroutes
et les réseaux TGV ont été coupés. Des grues
et des pylônes haute tension sont tombés, mettant
1,5 millions
d'habitants dans le noir. Des milliers de cheminées et d'antennes,
quand ce n'est pas des toitures,
des tuiles,
se sont envolées et sont tombées sur les voitures, voire
même des passants, ce qui s'est traduit par
au moins 300
blessés sur Paris. Il faut aussi compter une trentaine de morts
dans la France, mais le bilan total
n'est pas connu.
Les alimentations en eau potable ont été interrompues par
endroit, car les pompes des
châteaux
d'eau n'étaient plus alimentées en électricité.
Il en est de même pour les émetteurs fixes des
téléphones
portables qui se sont arrêtés après avoir épuisé
leurs batteries.
Tout le personnel
d'EDF, des télécommunications, de l'équipement, de
la sécurité civile, a été rappelé depuis
dimanche 26/12/1999
pour rétablir la situation. En réalité tout ce beau
monde était prévu pour être mobilisé
pour la date
fatidique du bug de l'an 2000.
Après
Paris, c'était au tour des Landes de subir la tempête, de
Bordeaux à la Rochelle, dont la verrière de la
gare s'est effondrée.
Dès le 27/12 à 21h00 on comptait trois morts, tués
par des arbres, des tuiles ou des
pierres. La
directrice du préfet des Landes a décidé d'interdire
toute circulation routière dès 22h00 dans tout
le département.
La situation
qui commençait à peine à se rétablir pour EDF
et la SNCF, recommençait à se détériorer le
27 à
minuit. C'est
900.000 personnes qui se retrouvèrent privées d'électricité
mais cette fois dans la Gironde, qui
doit en plus
compter avec les inondations. Tous les TGV en direction de Paris se sont
retrouvés bloqués à
Bordeaux, et
l'aéroport avait aussi été fermé.
A la date du
29/12/1999 au soir, il y avait 1,2 million de foyers encore privés
d'électricité. Pour le téléphone
ce n'était
guère mieux. Les centraux et relais GSM qui n'étaient plus
alimentés par EDF fonctionnaient sur
des batteries.
Après épuisement de ces dernières, c'est plus de 1000
relais qui se sont arrêté. Du coup 1
million d'abonnés
se sont retrouvés sans téléphone. Il faut aussi remettre
en route les pompes des châteaux
d'eau. Plusieurs
villes ou villages sont privés d'électricité, et comme
cela ne suffit pas, il faut faire face
maintenant aux
inondations dans certaines régions et aussi à la neige.
A la date du
dimanche 02/01/2000, il y avait encore 530.000 foyers privés d'électricité,
et 500.000 autres
sans téléphone.
Il faudra compter un mois pour tout remettre en état les réseaux
téléphoniques ou EDF.
On a appris seulement
le 05/01/2000, que la centrale du Blayet en Gironde, a faillit être
victime d'un accident
majeur le 28/12/1999,
au plus fort de la tempête. Les responsables du nucléaire
et d'EDF ont essayé de
minimiser l'incident.
Toujours est-il, que deux tranches de la centrale ont été
arrêtées pendant plusieurs
semaines. Le
ridicule de cette affaire, ce sont les locaux qui contiennent les systèmes
de refroidissement des
réacteurs
nucléaires qui ont été inondés, à cause
de la tempête d'une part et de la marée d'autre part. Or
n'importe quel
spécialiste sait, qu'un réacteur nucléaire sans système
de refroidissement présente un risque
sérieux.
Le plus important,
mais personne n'en a parlé, c'est que les coupures de courant ont
aussi affecté les bases
militaires.
Ce que personne ne révèle, c'est que cette tempête
a permis de démontrer les faiblesses de toutes
nos infrastructures
électriques, et de télécommunications mais aussi militaires.
Révélation qui s'est traduite
par un coup
de massue. D'où un certain affolement dans les hautes sphères
en toute confidentialité, pour
commencer à
réfléchir sur l'enterrement de notre réseau électrique.
02°) Les conséquences financières:
A la suite de
toutes ces intempéries, il y a eu 80 morts dans tout le pays.
Les dégâts
se chiffrent pour l'état après 48h00 de tempête de
la façon suivante:
Ponts et chaussées 300 MF
Signalisation
100 MF
Heures sup.
100 MF
Monuments histrq 400 MF
Assurances
500 MF rien que pour les toits de Paris
SNCF
500 MF
Aéroports de Paris 080 MF
Ports
300 MF
France Télécom ?
EDF.
?
Pour ces deux
derniers, si on devait donner un chiffre entre les réparations et
sans parler des pertes
d'exploitation,
on peut déjà parler au bas mot de 2 à 3 milliards,
sinon plus. La totalité des dégâts atteindrait
les 17 milliards
de francs lourds.
03°) Le processus curieux de cette tempête:
La force des
vents atteignait celle d'un cyclone tropical, dont le sens de rotation
s'effectue dans le sens des
aiguilles d'une
montre. Il y a seulement un petit problème, car ici ce n'est pas
un cyclone tropical. Car en effet
dans le cas
présent, celui-ci s'est effectué dans le sens contraire des
aiguilles d'une montre, donc qu'est ce que
c'est. Le président
de Météo France, Jean-Pierre Beysson déclarait 27/12/1999
au journal de 13H00 (01:17) :
Jean-Pierre Beysson:
-- On n'a pas
été surpris par cette tempête. Plus de 24 heures à
l'avance nous avons émis des avis de
tempête
dans nos centres régionaux de Rennes, de Lille, de Paris Ile de
France, en Alsace et en Lorraine.
Nous avons émis
des avis de tempête plus de 24 heures à l'avance. Alors ce
qui est vrai, c'est que nous
prévoyions
des vents qui allaient entre 90 et 130 kilomètres sur les terres
et 150 km sur les côtes, et qu'on a
dépassé
ce niveau là. C'est vrai. Mais même à ce seuil de 130
km sur les terres, c'était susceptible de créer
des risques
énormes pour la population et pour les biens en général.
Journaliste:
-- M. Beysson,
on nous dit qu'on avait prévenu la sécurité civile,
donc en l'occurrence M. Sapin qu'à
03h00 du matin,
est-ce vrai? (sourire de M. Sapin)
Jean-Pierre Beysson:
-- M. Sapin
pourra le dire, moi j'ai ici les éléments. Nous avons prévenu
comme je vous le dit par des
bulletins régionaux
d'alarme, dès le samedi matin à 10h46 par exemple pour la
région Nord...
Journaliste:
-- M. Sapin
vous aviez été prévenu?
M. Michel Sapin:
-- Oui, oui,
on avait été prévenu, effectivement il n'y a que la
force des vents qui nous a réellement posé
problème.
Journaliste:
-- Les tourbillons
en fait, c'est ça, c'est ça que vous ne pouvez pas prévoir
?
Jean-Pierre Beysson:
-- Non on ne
peut pas dire que l'on ne peut pas prévoir. En la circonstance nous
avons pris le risque
d'annoncer un
risque de tempête, alors qu'en effet l'analyse à grande échelle
de la situation, et ça paraît
être une
dépression certe, mais pas une dépression de cette ampleur
là. Et c'est parce que les
prévisionnistes
ont pris le risque d'annoncer malgré tout, une tempête que
nous ne sommes pas passés à
côté
de l'événement. Sa trajectoire, son déroulement et
sa chronologie ont été parfaitement prévus. Ce qui
s'est passé,
c'est que nous avons des vents qui font 350 à 400 km/h à
9000 mètres d'altitude, et que ces
vents de haute
altitude sont entrés en résonance, si vous voulez, avec l'atmosphère
de basse altitude. Et là
ça provoque
des phénomènes, en effet des tourbillons locaux, qui sont
extraordinairement violents et il
suffit de voir
le reportage pour, en constater les effets, mais il n'empêche que
ceci avait été prévu, parce
qu'autrement
aux seules vues de la situation de grande échelle, nous n'aurions
pas émis un avis de
tempête.
Immédiatement
au-dessus du sol, on a la troposphère jusqu'à une altitude
de 10 km, puis on trouve la
stratosphère.
On finit par l'ionosphère fortement ionisé, qui est la cible
actuelle de toutes les recherches en
cours.
(02:28-02:33)
Les tourbillons locaux naissaient et disparaissaient dans des périodes
très courtes. Pour comprendre
d'où
ils viennent, il faut remonter dans la troposphère à 8000
mètres d'altitude. Une très forte disproportion
des températures
provoque des cyclones par la rencontre de deux masses d'air de température
différente. D'un
coté
à une altitude à 1800 mètres on a une masse d'air
polaire froide à -30° qui rencontre de l'autre une masse
d'air chaude
à 14° dans les basses couches de l'atmosphère, qui vient
précisément des Caraïbes, propulsée par
le biais du
Jet Stream. Le renforcement des vitesses aurait été amplifié
avec la rencontre de masses d'air
chaudes et froides.
Des vents violents de 400 km/h se seraient rabattus vers le sol. Ce phénomène
est
considéré
comme très rare par les météorologues, mais il expliquerait
la force et la vitesse de ces vents qui se
rabattent vers
les terres. A Météo France on est perplexe et on reconnaît
que c'est la première fois que l'on
voit cela depuis
sa création, il y a 50 ans. Les vents atteignaient 216 km/h au sommet
de la Tour Eiffel.
Or ce scénario
et ces explications me font penser à une autre affaire. On peut
se poser des questions sur le
naturel de ces
tempêtes, surtout quand on lit le chapitre sur la guerre climatique
qui traite des
expériences
américaines et russes de 77 et 78 dans le livre
" Les Armes
de l'Ombre "- Edition Carnot.
On peut le commander
en direct chez www.amazon.fr
Au mois de juin
2000 on a constaté des températures anormalement basses.
Les informations télévisées du 12
juin ont montré
des grêlons gros comme des oeufs sans parler de la neige qui est
tombée sur une hauteur de
0,4 à
1 mètre. On peut donc se poser des questions sur l'origine réelle
de ces conditions climatiques. Si cet
écart
de 44° explique la force de ces vents, on peut cependant se demander
si on peut manipuler ces masses
d'air pour qu'elles
se rencontrent. La réponse est oui. A travers des publications scientifiques,
on découvre
que les américains
et les russes ont la capacité de manipuler les Jet Stream. Le Dr
Bxxxxxxxx déclarait que
l'on était
capable de provoquer de sévères perturbations atmosphériques.
En octobre 1998, le physicien américain Bxxxxxxxx, invité
comme orateur à un colloque de l’Agence
spatiale européenne à Cagliari, affirmait qu’il était
envisageable de dévier des perturbations
météorologique sévères par l’échauffement
de la troposphère au moyen d’un puissant
rayonnement électromagnétique HF émis à partir
du sol ou d’un satellite. Les travaux du Dr
Bxxx étaient partiellement financés par l’Agence spatiale
européenne (contrat n°xxxxxxxxx).
ESA, Workshop on Space Exploration and
Resources Exploitation (Explospace),
20-22 October 1998, Cagliari, Sardinia, Italy
Source: Extrait du GRIP - Bruxelles.
Le Dr Bxxxxxxxx
est à l'origine d'une quinzaine de descriptifs techniques tous en
rapport avec le système
HAARP. Ils ont
été récupérés depuis par deux entreprises
qui ont des liens évidemment avec les militaires
américains.
Si on reprend les propos de M. Beysson sur la résonance cités
plus haut, il déclare que les masses
d'air ont piqué
vers le sol. Dans ce cas précis, on se retrouve dans une situation
identique à celle d'une
tempête
qui a eu lieu dans le Winsconsin le 04 juillet 1978. A l'époque
les vents
s'étaient
transformés en un ouragan de 250km/h. Or cette vitesse n'est pas
si éloignée de celle annoncée au
sommet de la
tour Eiffel lors de la tempête de décembre. Autre point commun,
c'est l'ampleur des
destructions
que l'on peut qualifier de comparables à celles du Winsconsin. Là
bas aussi, plusieurs villages et
350.000 ha de
forêt avaient été détruits. Pour des spécialistes,
cette vitesse des vents était totalement
anormale. Ils
sont finalement arrivés à une conclusion.
Ils ont accusé
les émetteurs de radiocommunication sous-marine militaires
d'avoir doublé
la vitesse de ces vents, ceux-ci avaient piqué vers le sol à
des
vitesses anormales.
Ce dernier point
est une autre coïncidence troublante avec la déclaration de
M. Beysson. Il faut rappeler que
les émetteurs
fonctionnent en effet en très très basse fréquence,
avec des puissances de plusieurs mégawatts
qui peuvent
même atteindre plusieurs térawatts en émission.
Maintenant devinez
ce qui se passe si vous avez des réseaux d'émetteurs micro-ondes
qui augmentent la
température
de l'air au ras du sol, ou des ondes de très basse fréquence
qui constituent des FOS (fronts
d'ondes stationnaires)
qui font le tour de la planète. Il faut aussi savoir que les FOS
ne progressent pas à la
vitesse de la
lumière, soit 300.000 km/s comme pourraient le croire certains,
mais elles peuvent mettre
plusieurs heures
ou jours pour en faire le tour. Ce qui veut dire que si une installation
haute énergie se met en
route aux USA
ou en Alaska, et utilise des fréquences spécifiques pour
manipuler les masses d'air, les
conséquences
et perturbations climatiques pourraient avoir lieu en Europe dans les 3
à 6 jours qui suivent.
Pour obtenir
une certitude, il faudrait avoir des informations précises sur les
heures de fonctionnement des
sources de rayonnement
électromagnétique artificielles qui émettent des puissances
de plusieurs milliers de
kilowatts quand
ce n'est pas des mégawatts ou térawatts.
Les seuls paramètres
qui sont pris en compte par les ordinateurs de Météo France,
concernent des
informations
purement de type météo. Ils ne tiennent aucun compte des
sources artificielles
électromagnétiques,secret
militaire oblige. Si un relevé du fonctionnement de ces sources
était réalisé, les
météorologues
découvriraient très vite une corrélation entre les
émetteurs de communication sous-marine,
les radars et
autres, et les brusques changements météo. Il faut aussi
parler d'un certain réseau d'émetteurs
répartis
sur le territoire américain, qui a été mis en cause
par des savants atomistes, pour leur influence sur la
météo.
Leur position est mentionnée dans le livre de " Les armes de l'ombre
".
On sait, et les
services secrets ou de renseignement aussi d'ailleurs, que des avions militaires
de ravitaillement
américains
n'ont pas arrêté de larguer dans l'atmosphère des milliers
de tonnes de substances chimiques dans
la haute atmosphère,
dont on ignore l'objectif. Toujours est-il, qu'ils représentaient
parfois des figures
géométriques.
Elles étaient capables de stagner dans l'atmosphère pendant
plusieurs heures sous la forme de
nuages. Pour
des spécialistes américains de l'environnement, on pourrait
très bien les utiliser comme des
réflecteurs
ou des miroirs pour des micro-ondes. Je confirme cette possibilité
ayant des documents techniques
pour le prouver.
Si on utilise des radars de plusieurs dizaines de mégawatts de puissance,
ceux-ci sont
capables de
réchauffer des parties de l'atmosphère. Si le lobe
de rayonnement principal est réfléchi sur des
nuages artificiels,
on peut alors focaliser tous ces lobes vers un seul point très précis,
et augmenter de
plusieurs degrés
la température de l'atmosphère. Il faut penser à ce
que l'on fait avec nos fours à
micro-ondes.
04°) VSD du 08 au 14 juin 2000,
et la possibilité de déclencher des tempêtes. Les services
secrets se posent des
questions:
Un article surprenant
a été publié dans la revue VSD du 08 au 14 juin 2000.
Son titre:
Science Fiction.
Les services secrets fantasment.
Tempêtes
de décembre : phénomène naturel ou attaque terroriste
?
Le journaliste
Jean-Moïse Braitberg a enquêté pour VSD sur les possibilités
qui ont pu provoquer des
tempêtes
aussi dévastatrices en décembre 1999. Comme je l'ai expliqué
la collision entre des masses d'air
froides et chaudes
permettrait de déclencher des vents violents, dont la vitesse pourrait
atteindre plusieurs
centaines de
kilomètres heure. Si en plus on rajoute les phénomènes
d'ionisation des masses nuageuses, deux
masses de signe
contraire s'attirent comme pour les orages, on comprend comment dans ces
conditions on
peut obtenir
en une journée de pluie, ce qui tombe habituellement en six mois.
Cela peut expliquer comment
on a pu avoir
des tempêtes ou catastrophes climatiques aussi importantes, en divers
points du globe. Il ne faut
cependant pas
négliger non plus les effets du cycle solaire de 11 ans, qui peut
être une réponse aussi aux
catastrophes
climatiques et tremblements de terre qui auront lieu durant toute la période
2000 à 2001. Mais
le plus intéressant
c'est que J-M Braitbert en enquêtant de son côté auprès
des divers services spéciaux ou
militaires,
pour vérifier mes propos, a pu constater que tout le monde s'y intéressait
et que le sujet était
sensible.
Déjà
dès 1970 Zbigniew Brzezinski (Directeur fondateur de David Rockefeller's
Trilateral Commission, et il
appartient aussi
au groupe Bilderberg) publiait un livre, " BETWEEN TWO AGES ", sur la possibilité
de
contrôler
le climat, et il écrivait:
" Technology
will make available, to the leaders of major nations, techniques for conducting
secret
warfare, of
which only a bare minimum of the security forces need be appraised...
TECHNIQUES OF
WEATHER MODIFICATION COULD BE EMPLOYED TO PRODUCE PROLONGED
PERIODS OF DROUGHT
OR STORM. "
Traduction:
La technologie
serait utilisable par les dirigeants des principales nations, des techniques
pour conduire une
guerre secrète,
qui nécessiterait seulement l'utilisation d'un minimum de forces
de sécurité. Les techniques de
la Modification
du Climat pourraient être utilisées pour produire des périodes
prolongées de sécheresse ou
d'orage.
Voici une autre
information:
"which is exactly
what has happened in America, following the commencement of the Soviet
Woodpecker
transmissions.
A 1977 official Trilateral Commission publication described increased Trilateral-Communist
-
"cooperation
in the area of WEATHER MODIFICATION."
Zbigniew Brzezinski
a été aussi Directeur de la Sécurité Nationale
(National Security Director) du Président
Jimmy Carter,
et a fondé la FEMA (Federal Emergency Management Agency).
Ce qui veut dire
que nos politiciens, qu'ils soient français ou européens
ont un retard de 20 sinon 30 ans sur
des possibilités
qui ont été imaginées pour des objectifs inavouables.
On comprend mieux pourquoi dans ce
cas personne
ne parle de ces possibilités. Le débat ou la polémique
peut cependant déboucher sur l'existence
de preuves qui
sont elles bien réelles, puisqu'elles font l'objet de descriptifs
techniques très détaillés. En outre
il existe un
projet qui s'appelle U.S. AIR FORCE 2025, qui lui aussi concerne la manipulation
du climat.
Autre question,
les sources de rayonnement artificiel, comme les émetteurs, les
lignes haute tension, les
radars de forte
puissance, sont ils pris en compte par les ordinateurs de la météo?
Il existe aussi trois autres
paramètres,
qu'aucun système de modélisation informatique ne prend en
compte. Si le premier est intégré par
les militaires
américains et services secrets pour la prévision climatique
à des fins militaires, on peut
cependant affirmer
que tout le monde a oublié de prendre en considération le
deuxième, sans parler du
troisième
paramètre.
Si ces techniques
offraient un intérêt pour atténuer les catastrophes
climatiques, on peut affirmer que les
objectifs de
certains autres, sont de les accentuer, pour des motifs purement
mercantiles, à des fin
économiques,
de pouvoir et du contrôle de la planète. A travers la guerre
climatique, c'est la guerre
économique
que l'on vise aussi.
05°) Activité du GRIP à Bruxelles
Il existe une
institution à Bruxelles, le GRIP, qui dispose d'un observatoire
appelé:
« Forces
Armées et Environnement »
Son objectif
est de mettre à jour tous les moyens qui pourraient porter atteinte
à l'environnement. Des
experts du GRIP
ont réalisé en 1992 un livre appelé " Les conflits
Verts ". Les récents conflits ont par
exemple démontré
comment même en interdisant l'utilisation d'armes NBC, il était
possible de contourner
cette interdiction
en bombardant les industries chimiques, comme ce fut le cas en Yougoslavie.
Les pollutions consécutives aux bombardements des complexes pétrochimiques
en Serbie par les frappes
aériennes de l’opération « Force Alliée »,
ou les contaminations provenant de l’utilisation, en Irak et au Kosovo
notamment, de munitions contenant de l’uranium appauvri, sont deux exemples
de ce type de dommages
environnementaux occasionnés par les conflits.
Source: Extrait du GRIP - Bruxelles.
La préoccupation
actuelle concerne l'utilisation de l'uranium appauvri intégré
dans les obus destinés à
détruire
les chars, mais aussi le système radioélectrique HAARP. Les
conflits et les moyens utilisés étant une
source de pollution,
ils contribuent à réduire les zones cultivables par exemple.
Si les cultures n'existent plus
dans un pays
parce que le sol est contaminé, cela contribue à augmenter
les exportations des autres pays et de
certaines multinationales.
C'est là un point qui est peu révélé. On peut
très bien imaginer que des
multinationales
effectuent des pressions sur les militaires ou sur les arbitres des organisations
mondiales,
pour obtenir
l'autorisation de faire bombarde telle ou telle industrie concurrente qui
leur pose problème. Rien
ne dit que des
guerres n'ont pas été faites uniquement dans ce but. Il est
par contre parfaitement reconnu que
des guerres
ont été faites dans le but de s'approprier les richesses
naturelles dans plusieurs pays. Il est aussi
reconnu des
initiés, que certains procèdent dans leurs agissements par
pays et prétextes interposés. Au final le
résultat
est toujours le même. C'est la destruction de l'environnement. Voici
ses missions:
L’Observatoire « Forces Armées et Environnement » établi
par le GRIP en octobre 1998 a pour objectif
d’étudier l’impact des activités militaires sur l’environnement
d’un point de vue politique, économique, légal,
scientifique et éthique.
Interdisciplinaire, l’Observatoire se développe selon trois axes principaux :
l’étude des conséquences écologiques des conflits
;
l’étude des techniques et systèmes, opérationnels,
en phase de recherche et
développement ou à l’état de projet, visant à
modifier l’environnement à des
fins hostiles ;
l’étude de l’adaptation des forces armées aux législations
et procédures
environnementales en temps de paix.
Source: Extrait du GRIP - Bruxelles.
Cela intègre
aussi la manipulation du climat. Il a aussi été étudié
les possibilités pour provoquer des
tremblements
de terre, ou encore des tsunamis (raz de marée). Le Dr Oscar
Arias, Prix Nobel de la Paix et
ex-Président
du Costa-Rica avait inauguré une conférence à Washington
le 10 juin 1998 sur les
"conséquences
environnementales des guerres"
" First International
Conferenceon Addressing Environmental Concequences of War ".
Cette conférence
était organisée par: " Environmental Law Institute". Je serai
plutôt tenté de parler aussi des
guerres environnementales
de l'ombre. Cette méthode est bien pratique pour neutraliser l'économie
d'un pays
ennemi, sans
faire appel à une déclaration de guerre qui nécessiterait
l'expédition coûteuse de troupes sur le
terrain. La
manipulation du climat est un moyen qui permet de se débarrasser
en toute impunité d'un
adversaire,
même économique, comme l'Europe. Les diverses catastrophes
climatiques, même si elles sont
naturelles,
suffisent à prouver qu'elles peuvent paralyser un continent. Voici
une opération de manipulation
du climat volontaire,
prise en référence par le GRIP.
Le projet " Popeye "
En 1966, les Etats-Unis se lancèrent dans une vaste opération
d’ensemencement des nuages
(Cloud Seeding) connue sous le nom de Project Popeye. Des avions de l’U.S.
Air Force ont dispersé
de grande quantité d’iodure d’argent au-dessus des nuages le long
de la piste Ho Chi Minh afin
d’accroître les précipitations. Objectif : inonder et embourber
la piste afin de gêner les
mouvements de l’ennemi. L’accroissement des précipitations qui résulta
de cet ensemencement fut
juger satisfaisant et l’opération poursuivie de 1967 à 1972.
Source: Extrait du GRIP
En 1996 un brevet
dénommé "Méthode de modification du temps" était
déposé. Il était mentionné que
l'utilisateur
était le gouvernement américain. Il avait pour objectif de
produire de la pluie ou de la neige à
partir de nuages
atmosphériques naturels en utilisant des agents d'ensemencement
caractérisés par une haute
solubilité
dans l'eau et par une importante chaleur endothermique dans une solution
en eau. Ce procédé fait
appel à
du nitrate de potassium, nitrite de potassium, et nitrate d'ammonium. Les
laboratoires
d'expérimentation
ont montré qu'il pouvait produire des cristaux de glace dans la
vapeur d'eau d'un nuage
même à
une température supérieur a +6° C. Le GRIP affirme
que les commandements militaires exercent des
actions dans
le but de perturber volontairement l'environnement. Ce n'est pas moi qui
l'affirme, mais des
spécialistes
indépendants de Bruxelles.
Les situations où les dommages environnementaux sont le résultat
d’un acte délibéré du
commandement militaire. Dans ce cas, des moyens sont mis en œuvre pour
modifier volontairement
l’environnement, perturber un écosystème ou affecter un élément
de la biosphère à des fins hostiles :
l’environnement devient une arme, les dommages sont intentionnels, c’est
le concept de «
Environmental Warfare ». Les opérations menées par
l’armée américaine au Vietnam, telles que
l’usage massif de défoliants contenant des dioxines (« Agent
Orange ») et les ensemencements de
nuages (« Cloud Seeding ») avec de l’iodure d’argent, ou encore
l’incendie volontaire des puits de
pétrole par l’armée irakienne en 1991, sont quelques illustrations
de cette forme de guerre
environnementale.
Source: Extrait du GRIP
Le système
HAARP peut être complémentaire à l'ensemencement des
nuages. Il pourrait être utilisé pour
manipuler les
masses d'air et nuages, comme le prouve l'existence de plusieurs descriptifs
techniques. Un
autre type de
nuage artificiel peut être réalisé dans le but de servir
de réflecteur pour les ondes
électromagnétiques
à une altitude de 100 km. Par ce moyen on élimine le problème
de la courbure terrestre,
et on peut reculer
les limites de l'horizon de 300 à 1000 km et même plus, par
la mise en place de plusieurs
nuages miroirs.
06°) La guerre climatique à la télé:
Ce sujet sensible
a été évoqué pour la première fois à
la télé le 30 janvier 2001 dans l'émission " CIEL
MON
MARDI " de Christophe
Dechavanne sur TF1 à 23h30. Cette intervention était peu
facile, car elle se faisait
après
un débat houleux avec les notaires et leurs victimes. La salle était
donc bien chauffée. En plus c'est la
première
fois qu'on parlait de guerre climatique en public, personne n'avait entendu
parler des cette
possibilité.
Il fallait en plus éviter le langage technique, et utiliser ce que
le public connaissait ou utilisait
dans sa vie
courante, gymnastique peu facile. Les informations qui ont été
divulguées reposent sur des
documents et
descriptifs techniques officiels. J'affirmerai de plus que les moyens techniques
nécessaires à la
manipulation
du climat sont également disponibles, comme vont le prouver les
photos à la fin de cette page.
Des liens vers
deux autres sites très bien renseignés permettent de se faire
une opinion des moyens
disponibles.
Voir www.coyote.frsur TF1.
Christophe Dechavanne:
Donc les américains
peuvent-ils déclencher une tempête, un tremblement de terre,
on aura la réponse avec
un ingénieur
électronicien qui s'appelle Marc Filterman. A tout de suite après
la pub, merci 1000 fois.
Christophe Dechavanne:
Stéphane,
votre voisin de droite, bonsoir.
Stéphane
Thébaut:
Marc Filterman
est l'auteur de ce livre qui s'appelle les armes de l'ombre. Dans ce livre
on parle de guerre
chimique, on
parle de guerre bactériologique, mais on parle aussi d'une guerre
dont on ne connaissait
pas, dont je
ne soupçonnais même pas l'existence, ce sont les guerres climatiques.
En clair aujourd'hui on
a la possibilité
technologique de fabriquer des tempêtes et des ouragans.
Marc Filterman:
A l'heure actuelle
oui, il suffit de prendre le principe du four à micro-ondes, et
quand on réchauffe les
aliments c'est
à peu près le même principe.
Christophe Dechavanne:
Attention doucement,
doucement, on ne va pas faire les aux auto-temponneuses non plus. C'était
juste
pour faire un
peu des axes un petit peu meilleur, le réalisateur faisait signe...
Vous avez acquis votre
premier radar
en 1976, en 76, ça veut dire quoi, j'ai acquis mon premier radar.
Il fallait ici
que les personnes présentes sur le plateau se serre un peu, pour
que le caméraman puisse faire des
cadrages corrects.
Marc Filterman:
En 76.
Christophe Dechavanne:
Vous rouliez
vite?
Marc Filterman:
Non là
c'était des radars de détection maritime, donc à l'époque,
bon c'était du matériel qui était difficile
à obtenir
et j'ai réussi à m'en procurer pour faire de la recherche.
A l'époque
ce matériel était encombrant, très coûteux et
donc introuvable. Il n'avait rien à voir avec les
systèmes
miniaturisés que l'on trouve aujourd'hui.
Christophe Dechavanne:
Pourquoi faire.
Marc Filterman:
Pour faire de
la recherche dans la détection aérienne notamment.
Christophe Dechavanne:
Mais pour chercher
quoi.
Marc Filterman:
Recherche parce
qu'à l'époque le matériel pour faire de la détection
aérienne, détecter la distance et
détecter
l'altitude d'un engin n'était pas possible, d'un avion, on ne pouvait
pas obtenir tous les
paramètres
en même temps.
Je cherchais
à l'époque a réaliser un radar de détection
tridimensionnel, avec un système de reconnaissance
automatique
de la signature des cibles. C'est à dire déterminer automatiquement
à partir d'une base données le
type d'avion
que j'avais détecté.
Christophe Dechavanne:
Et vous avez
découvert des choses qu'il ne fallait pas découvrir.
Marc Filterman:
Effectivement
en travaillant sur les radars j'ai trouvé un certain nombre d'éléments
assez compromettants
puisque, les
puissances émises par ces appareils, étaient suffisantes
pour perturber d'une part les
équipements
électroniques, çà c'est sûr, mais également
lorsqu'on utilise de fortes puissances comme dans
un four à
micro-ondes, automatiquement, on va provoquer également des perturbations
atmosphériques,
tout simplement.
J'ai surtout
découvert que cela pouvait avoir des conséquences importantes
au niveau de la santé, et surtout
des migraines
et de la vue. Des fréquences pulsées en ELF provoquent un
rétrécissement du champ visuel en
interférant
sur le cortex visuel du cerveau, mais aussi des cataractes en cas de forte
exposition des yeux à des
micro-ondes.
Les autres aspects concernaient la destruction de composants électroniques
semi-conducteurs.
Lors du mélange
de plusieurs hyperfréquences dans une même cavité,
cela pouvait provoquer d'autres
anomalies curieuses.
Christophe Dechavanne:
Excusez-moi,
je ne vois pas du tout le rapport avec le four à micro-ondes.
Le four à
micro-ondes ça fait quoi en l'occurrence, ça excite les molécules,
c'est çà.
Marc Filterman:
Voilà
on réchauffe...
Christophe Dechavanne:
çà
excite les molécules les micro-ondes ?
Marc Filterman:
ça excite
les molécule d'eau au niveau de l'alimentation puisque déjà
c'est des inversions de polarité que
l'on fait, au
niveau de ces molécules (d'eau) qui sont dans la nourriture.
L'échauffement
de la nourriture s'effectue avec une fréquence pure (non modulée),
par agitation moléculaire
des molécules
d'eau (H2O pour les puristes), dont la polarisation est loin d'être
répartie uniformément.
Nous avons en
effet du coté des deux atomes d'hydrogène une charge positive
et du côté de l'atome d'oxygène
plusieurs charges
négatives. Toutes ces molécules dans un aliment sont orientées
dans n'importe quelle
direction. Mais
par contre, elles s'orienteront toutes 245.107 fois par seconde dans la
même direction que le
champ d'origine
électrique qui lui aussi change de sens 245.107 fois par seconde.
C'est cette agitation qui
produit l'échauffement
d'un aliment mais en surface, et non pas en profondeur sauf en augmentant
la
puissance. Mais
dans ce cas, la surface sera toujours plus cuite que l'intérieur.
Il existe en effet un facteur de
réflexion
qui augmente quand on monte en fréquence et en puissance. Les spécialistes
n'auront donc aucun
mal à
comprendre que ces fréquences sont nocives pour le métabolisme
humain en cas d'exposition direct.
Christophe Dechavanne:
Je vais dire
une énorme, je vais dire une grosse bêtise, mais si on met
une zigounette dans un micro-onde
ça va
exciter les molécules?
Si on se réfère
la norme C73.601, les fuites ne doivent pas dépasser 5 mW/cm²
à 5 cm de la porte, et elle a
évolué
vers la norme NF EN 60335-2-25 du 08/1993. Des constructeurs ont décidé
d'augmenter cette valeur
en passant à
0,15 mW/cm² à la sortie d'usine. Ce qui veut dire que ces M-O
représente un danger pour
l'homme, quoiqu'en
dise certains experts. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si les premiers
magnétrons qui
étaient
utilisés sur les radars ont été abandonnés,
car ils utilisaient la fréquence des fours actuels. Il n'est donc
pas difficile
d'imaginer ce qui s'est passé pour les pilotes qui se posaient sur
les premiers portes-avions dotés
de ces radars.
Marc Filterman:
Ben euh, elle
sera plutôt cuite.
Après
la découverte effectuée dans les années 40, le magnétron
qui utilisait la fréquence de 2450 MHz ont
donné
naissance aux premiers fours à micro-ondes. Mais dans le même
temps il a fallu changer la fréquence
des radars,
on devine pourquoi.
Stéphane
Thébaut:
Une petite merguèze
après.
Marc Filterman:
Elle sera plutôt
cuite parce que, un four à micro-onde fait quand même 800
W. Donc vous imaginez un
engin qui va
faire une puissance faramineuse, bon un four à micro-ondes en quelque
sorte géant,
automatiquement
effectivement vous pouvez avoir une perturbation atmosphérique.
Vous pouvez perturber
l'atmosphère.
En réalité,
pour perturber l'atmosphère ou plus exactement manipuler les masses
d'air, on utilise des
fréquences
beaucoup plus basses, dans la gamme de la HF et des ELF. Il était
seulement plus facile pour se
mettre au niveau
des téléspectateurs qui ne sont pas des physiciens, d'utiliser
le principe du four à
micro-ondes,
pour expliquer que les ondes émises par le magnétron pouvaient
interférer sur le biologique, et
surtout les
molécules d'eau.
Christophe Dechavanne:
çà
veut dire que vous êtes formel quand vous dites qu'aujourd'hui, on
peut et notamment les Etats Unis,
provoquer une
tempête ?
Marc Filterman:
Exact.
Christophe Dechavanne:
Et ça
a été fait ?
Marc Filterman:
Et ça
a été fait d'autant plus qu'il y a des documents qui sont
déposés officiellement, et là également au
niveau du parlement
européen, il y a également des inquiétudes concernant
certaines installations,
notamment en
Alaska.
En clair les
russes dans les années 77 ont été accusés d'avoir
manipuler d'importantes masses d'air et d'avoir
manipuler le
jet stream.
Christophe Dechavanne:
Donc la semaine
dernière, nous avons quand même découvert que les photos
que l'on regardait depuis
une trentaine
d'années et qui concernaient les astronautes sur la lune étaient
probablement bidon, et
maintenant cette
semaine nous découvrons que ces mêmes américains provoquent
des tempêtes et foutent
une merde noire.
Pour complément
d'information sur ce sujet, un studio complet qui devait simuler le sol
lunaire avait été
réalisé.
Mais il avait aussi un autre but totalement ignoré du grand public.
Au cas ou la mission des premiers
pas de l'homme
sur la lune devait se traduire par un échec, un scénario
de remplacement avait été imaginer.
Ce sont les
images de ce studio qui devaient être diffusées. Cette possibilité
fut découverte assez longtemps
après
par les services spéciaux occidentaux. Même aujourd'hui encore,
le public dans sa majorité ignore que
cela avait été
envisagé.
Stéphane
Thébaut:
Mais on a des
photos d'un site qui s'appelle le projet HAARP qui se trouve en Alaska,
c'est un véritable
champ d'antennes,
il y a des antennes un petit peu partout, c'est pas simplement un petit
râteau...
Christophe Dechavanne:
Mais comment
des antennes peuvent faire bouger les nuages et faire du vent?
Jean-Pierre Foucaud:
Il passe des
choses dans les antennes.
Marc Filterman:
Il y a en Alaska
effectivement 180 antennes, à l'heure actuelle, et les puissances,
on parle de puissances
qui sont loin
d'être celle d'un four à micro-ondes, puisque les puissances
sont multipliées par 100.000, par
rapport à
celle d'un four à micro-ondes. Donc automatiquement, les effets
sur l'atmosphère ne sont pas...
Jean-Pierre Foucaud:
ça peut
faire du vent !
Marc Filterman:
Bien ça
peut faire du vent puisque dans les dépôts de brevet qui existent,
on peut même créer des nuages
artificiels,
que l'on va savoir stabiliser en l'air.
En réalité
on n'utilise pas les mêmes fréquences qu'un four à
micro-ondes, mais on reprend un de ses
principes en
utilisant des fréquences beaucoup plus basses. De plus on ne fabrique
pas du vent, mais on
manipule et
dévie des masses d'air. Le principe du four a été
repris, car il permettait d'expliquer que l'on
pouvait interférer
et faire entrer en résonance les molécules d'eau. Il était
donc plus facile ensuite d'expliquer
que l'on pouvait
interférer sur l'atmosphère même si les fréquences
sont différentes.
Il m'a été
rapporté, photo à l'appui, que des avions militaires américains
pulvérisaient des grandes quantités de
substance dans
l'atmosphère. Il existe d'ailleurs un descriptif technique officiel
dont le but est de prolonger la
couverture radio
ou radar, en utilisant un nuage artificiel réflecteur d'ondes, dont
voici le dessin simplifié
d'un des brevets.
On ignore le
but réel, mais la réalisation de nuages artificiels contribuent
inévitablement à réaliser des
couches alternées
d'air chaud et d'air froid dans le ciel. Si on sait contrôler ces
masses d'air, on sait ensuite
déclencher
un cyclone, ce dernier trouvant sa naissance dans le mélange d'un
courant d'air chaud et d'air froid,
ce qui va engendrer
des vents violents ou des tornades.
Christophe Dechavanne:
Et dans le Winsconsin,
alors qu'est ce qui s'est passé en 78 ?
Marc Filterman:
Dans le Winsconsin,
apparemment, les scientifiques sont arrivés à la conclusion
que lorsqu'ils ont mis en
route des émetteurs
pour communiquer avec les sous-marins, ils avaient augmenté la puissance
des vents.
Or ce qui a
été expliqué pour le Winconsin à l'époque,
on retrouve effectivement, les mêmes inconvénients
que l'on a eu
en décembre. C'est à dire que la puissance des vents a été
doublée, également.
Christophe Dechavanne:
En décembre
98.
Marc Filterman:
En décembre
99.
Stéphane
Thébaut:
Il faut quand
même expliquer que dans le Winsconsin il y a eu une tornade qui s'est
finalement déclenchée
suite à
ça avec des vents de 250 km/h qui ont tout détruit sur 200
km de long et 30 km de large. Il y a eu
plus de 50 millions
de dollars de dégâts à l'époque.
Marc Filterman:
Et ont retrouve
les mêmes caractéristiques sur l'île de France à
la tempête de décembre.
Christophe Dechavanne:
Allez y Jean-Pierre.
Jean-Pierre Foucaud:
Non non, je
disais que moi-même j'ai fait chauffer une pizza à Cari le
Rouet dimanche chez moi, il a plus
10 minutes après.
Je vous assure.
Plaisanterie
intéressante, car elle a permis de constater que la salle était
divisée en deux camps. Or dans la
seconde partie
de ce sujet, la salle était plutôt silencieuse. Si au début
le public ne croyait pas à cette
possibilité,
il est évident que vers la fin il était plutôt perplexe.
Quant à ceux qui ont tout perdu lors des
tempêtes,
on peut supposer qu'ils se posaient plus de questions que les autres.
Christophe Dechavanne:
Vous vous rendez-compte.
Est ce que vous vous rendez compte, est que vous, voilà un homme
qui est plutôt
sérieux,
père de famille, après...
Jean-Pierre Foucaud:
Je retire ce
que j'ai dit. Je retire ce que j'ai dit.
Christophe Dechavanne:
Non, non vous
vous rendez compte de ce que vous dites.
Jean-Pierre Foucaud:
Non je retire
ce que j'ai dit, mais ce que dit Monsieur est passionnant, c'est vrai.
Christophe Dechavanne:
Bien sûr,
cela dit faites gaf quand même à la prochaine pizza. Surtout
une pizza aux micro-ondes, ça doit
pas être
top.
Jean-Pierre Foucaud:
Il faut pas
la laisser longtemps.
Christophe Dechavanne:
Donc ceci est
le champ d'antennes Alaska.
Marc Filterman:
A l'heure actuelle
oui. Donc les puissances là aussi sont assez faramineuses et le
lobby militaire voudrait
pousser les
puissances encore beaucoup plus loin, les multiplier par 100 fois encore.
La revue anglaise
Focus de juillet 2000 révélait que les américains
voulaient augmenter la puissance de cette
installation
jusqu'à 100 milliards de Watts. Il est de toute façon impossible
de faire fonctionner une telle
installation
à une puissance élevée, car cela se traduirait par
des accident pour l'aviation civile. Une note
interne chez
Boeing révélait l'existence de risques possibles pour les
instruments de bord de ses avions, mais
c'est valable
aussi pour tous les autres, comme les avions militaires ou même les
missiles.
Christophe Dechavanne:
Je mets là
parce que le réalisateur ne peut pas les montrer, alors voilà
le champ Alaska, mais là je voulais
qu'on le voit
bien.
Christophe Dechavanne montrait les photos des installations HAARP à la caméra.
Stéphane
Thébaut:
Est ce que l'Alaska
on a la faculté de déclencher des tempêtes un petit
peu partout à travers le monde ?
Marc Filterman:
Alors de l'Alaska
apparemment c'est possible, il y a des inquiétudes effectivement
par les scientifiques du
parlement européen
sur ce sujet, ils demandent à quoi sert le système, est-ce
que ça sert de bouclier
antimissile,
est-ce que ça sert pour manipuler le temps, même eux, ils
se posent des questions à l'heure
actuelle.
Dans les années
77, les russes avec leurs installations d'émission ELF de Riga,
Gomel et Moscou ont été
accusés
d'avoir manipulé ce courant d'air chaud appelé le jet stream.
Christophe Dechavanne:
Et çà
alors, qu'est-ce qu'il y a dans ces boites en fer mystérieuses.
Marc Filterman:
Non alors ces
boites en fer, c'est simplement les alimentations électriques justement
pour les émetteurs,
donc ce sont
de simples groupes électrogènes. Mais il y en a quand même
une batterie de 6 si je ne me
trompe pas.
Christophe Dechavanne:
6 Groupes électrogènes
en Alaska, ils sont dingues. ça fout la trouille hein.
Christophe Dechavanne:
Alors est-ce
qu'on pourrait arrêter une tempête avec ces mêmes antennes.
Marc Filterman:
Effectivement,
si on a la possibilité de les provoquer, on peut les arrêter,
il n'y a pas de problème.
Christophe Dechavanne:
Est-ce que vous
êtes formel.
Marc Filterman:
Bien moi je
suis formel si je m'appuie effectivement sur les dépôts de
brevet que j'ai récupéré, parce que ça
fait l'objet
de dépôts de brevet en plus.
Christophe Dechavanne:
Oui mais là
bas en Amérique.
Marc Filterman:
Oui là
bas aux Etats Unis mais de toute façon, quand un brevet est déposé,
un brevet d'invention est
déposé
c'est pour le monde entier. Donc le système HAARP repose également
sur une quinzaine de brevets.
Dans des domaines
aussi sensibles et techniques les brevvets sont déposés pour
le monde entier et non pas au
niveau national.
Christophe Dechavanne:
Qu'est ce que
vous conseillez à celui qui voit des antennes ?
Marc Filterman:
Bien de toute
façon à moins qu'ils veuillent aller en Alaska pour les dégommer,
je ne vois pas comment...
Ma réflexion
mérite une petite explication. Il faut en effet préciser
que les conventions internationales ne
servent à
rien, puisqu'elles sont faites pour ne pas être respectées,
ou dans le meilleure des cas à être
contournées
par le biais d'un artifice juridique, comme on l'a vu pour un essai nucléaire
américain. De plus,
certains pays
et leurs services ne se sont pas gênés pour utiliser eux-mêmes
des méthodes douteuses, que l'on
peut qualifier
de terrorisme d'état. Les manipulations de l'environnement à
des fins militaires ou toutes autres
fins hostiles
sont interdites par une convention internationale ouverte à la signature
à Genève le 18 mai 1977.
Elle est connue
des spécialistes sous le titre « Convention EnMod ».
Elle a été adoptée par la communauté
internationale
en réponse aux tentatives américaines de modifier les conditions
climatiques et aux graves
pollutions volontaires
par l’usage de défoliants contenant des dioxines durant les opérations
menées au
Vietnam et au
Cambodge. Si cette convention constitue bien une avancée positive
dans le droit international
sur le contrôle
des armements, il n'en demeure pas moins qu'il est aujourd'hui impossible
de pouver que tel
ou tel moyen
utilisé à des fins civiles a été utilisé
volontairement à des fins militaires offensives. Or des
preuves multiples
permettent d'affirmer que des actions de manipulation de l'environnement
ont été
effectuées
par les militaires. Comment justifier les largages répétés
de substances dans l'atmosphère par des
avions militaires
divers comme les KC-135, à des altitudes relativement élevées,
et ensuite l'apparition
brutale de tornades
ou précipitations importantes. Le GRIP indique que les recherches
militaires relatives
aux modifications
environnementales n’ont jamais cessées, mais qu’elles suscitent
même un significatif
regain d’intérêt
aux Etats-Unis.
Christophe Dechavanne:
Très
bien, c'est assez étonnant en tout cas, de se dire aujourd'hui qu'on
peut provoquer des tempêtes, ça
n'est pas prouvé,
il y a une supputation !
Stéphane
Thébaut:
Oui, il y a
juste une question que je me pose, voyez-vous, c'est dans le début
des années 40 pratiquement
que l'on a développé
ces brevets.
Marc Filterman:
Alors dans le
début des années 45, effectivement avec l'apparition des
radars on s'est aperçu qu'on
pouvait faire
beaucoup de choses.
Marc Filterman:
D'ailleurs le
four à micro-ondes est un dérivé du radar ni plus
ni moins.
Stéphane
Thébaut:
Si aujourd'hui
Monsieur Filterman on a la possibilité de déclencher des
tempêtes, des ouragans, des
précipitations
de manière générale un peu partout à travers
le monde, comment se fait-il qu'il y a encore
aujourd'hui
des pays qui souffrent de sécheresse.
Remarque très
intéressante, qui aurait permis de comprendre pourquoi la mondialisation
est quelque chose
d'immorale au
service des grandes multinationales, preuve à l'appui, mais il aurait
malheureusement fallu
plus de temps
pour parler des objectifs réels de certaines nations et surtout
certains personnages.
Marc Filterman:
Bien peut-être
qu'on n'a pas intérêt à ce qu'il y a un développement
dans ces pays. Donc il y a un intérêt à
conserver les
intérêts économiques tels qu'ils sont dans certains
pays, et à ce que le développement ne
progresse pas
dans d'autres pays.
Pour comprendre,
il suffit de se référer à un rapport très intéressant
rédigé par M. Henry Kissinger en 1974. Il
a été
déclassifié depuis par la Maison Blanche dans les années
90. Son contenu explosif, explique pourquoi il
faut contrôler
le développement et réduire la démographie des populations
dans certains pays. Il y a dans un
premier temps
la volonté de prendre le contrôle des ressources naturelles,
mais aussi un autre aspect méconnu
du public. Si
la population des pays comme la chine, l'Inde et beaucoup d'autres voient
leur niveau de vie
augmenter, tout
le monde voudra par exemple posséder une voiture. Or cela ne sera
pas sans conséquence sur
la pollution
de l'environnement et l'effet de serre. Imaginez un milliard de chinois
roulant en voiture, qu'est ce
que cela donnera
au niveau des gaz d'échappement. Coïncidence intéressante,
la veille une émission de télé
passait sur
la 5, et expliquait justement ces problèmes d'accès aux richesses
justement liées à la pollution de
l'environnement
et donc de l'air.
Christophe Dechavanne:
Très
bien. Je vous remercie mille fois, les armes de l'ombre, Marc Filterman,
collection Cicéron, chez
Carnot, ULTRASECRET,
inutile de vous le dire.
Il est évident
que ceux qui ont entendu parler de ce sujet sur la guerre climatique pour
la première fois, et qui
n'ont aucune
compétence technique, ont eu du mal à admettre que la manipulation
du climat est possible par
des ondes électromagnétiques.
Les recherches dans ce domaine ont été faites par des physiciens,
ce sujet n'est
donc pas à
la portée du premier venu. Moi même au départ de mes
recherches, j'ai eu du mal à admettre cette
possibilité,
mais par la suite en découvrant un certain nombre de documents techniques,
j'ai découvert les
grands principes
de fonctionnement. Ce sujet n'est donc pas à la portée du
premier néophyte venu, qui de
surcroît
n'a pas une compétence pluridisciplinaire.
07°) Les installations du réseau HAARP
Dans un premier
temps, cette installation comportait 50 antennes. Si on consulte le site
militaire officiel, en
2002, cette
installation devrait comporter 180 antennes dipôles d'une vingtaine
de mètres de hauteur. Elles
sont alignées
sur une zone plane et rectangulaire. L'installation devrait atteindre la
puissance de 3,6 millions
de Watt (3,6
MW). Selon un brevet déposé, la puissance doit atteindre
27 millions de Watt. Pour d'autres
sources, elle
devrait être équivalente à 3 milliards de Watt, soit
3 térawatts, ce qui semble élevé, mais pas
impossible techniquement.
L'ensemble est complété par des dispositifs de mesure et
d'observation de
l'ionosphère
et du sol. Le tout est relié à Internet pour pouvoir communiquer
ou échanger des informations
avec d'autres
centres d'observation de l'ionosphère ou du climat. Cette installation
d'émission est capable
d'émettre
une énergie qui peut atteindre 3 µW/cm² (microwatts par
centimètre carré).
Cette installation
peut être qualifiée de polyvalente, comme le prouve les séries
de brevets déposés. Elle peut
aussi bien être
utilisée pour:
* L'interdiction
de l'espace aérien, utilisation comme bouclier antimissile par exemple.
* La manipulation
du climat, créer des perturbations atmosphériques sur d'autres
continents.
* La manipulation
du comportement humain, puisque ce système admet une modulation
de 0 à 50 KHz, on
est donc capable
d'interférer sur le spectre cérébral.
* Maintenir
en l'air d'une façon stable des nuages artificiels. Cela peut expliquer
le largage par des avions
militaires de
produits dans le ciel à haute altitude. Ils peuvent servir de réflecteur
pour prolonger une
couverture radar
ou de communication.
Les installations
du système HAARP sont visibles sur le site:
http://w3.nrl.navy.mil/projects/haarp/photos.html
http://w3.nrl.navy.mil/projects/haarp/twrview.html
On voit en premier
plan deux groupes d'alimentation électrique chargés d'alimenter
les émetteurs haute
fréquence.
Voici un extrait de la résolution européenne qui concerne
l'installation HAARP, et démontre s'il le
faut les inquiétudes
des institutions européennes envers ce système. Extrait de
la résolution: A4-0005/99
24. considère que le projet HAARP (High Frequency Active
Auroral Research Project), en raison de
son impact général sur l'environnement, est un problème
d'une portée mondiale et demande que ses
implications juridiques, écologiques et éthiques soient examinées
par un organe international
indépendant avant la poursuite des travaux de recherche et la réalisation
d'essais; déplore que le
gouvernement des États-Unis ait à maintes reprises refusé
d'envoyer un représentant pour apporter un
témoignage sur les risques que comporte pour l'environnement et
la population le projet HAARP
financé actuellement en Alaska, durant l'audition publique ou à
l'occasion d'une réunion subséquente
de sa commission compétente;
25. demande à l'organe chargé de l'évaluation
des choix scientifiques et techniques (STOA)
d'accepter d'examiner les preuves scientifiques et techniques fournies
par tous les résultats existants
de la recherche sur le programme HAARP aux fins d'évaluer la nature
et l'ampleur exactes du
danger que HAARP représente pour l'environnement local et mondial
et pour la santé
publique en général;
26. invite la Commission à examiner les incidences éventuelles
sur l"environnement et la santé
publique du programme HAARP pour l"Europe arctique et à lui faire
rapport sur le résultat de ses
investigations;
27. demande que soit établi un accord international visant à
interdire à l'échelle mondiale tout
développement et déploiement d"armes qui pourraient ouvrir
la porte à toute forme de manipulation
de l'homme;
28. demande au Conseil et à la Commission d'oeuvrer
à la conclusion de traités internationaux visant
à protéger l'environnement contre des destructions inutiles
en cas de conflit;
08°) Chimiotrainées
L'accès
à ce deuxième site, http://www.carnicom.com/camera.htm, affiche
de nombreuses photos. Elles
montrent des
avions qui pulvérisent dans le ciel un produit à très
haute altitude. Les inondations à répétition
en Bretagne
du mois de janvier 2001, et les pluies journalières ne sont peut-être
pas sans rapport avec les
ensemencements
du ciel réalisés par des avions militaires américains.
Sur certaines photos on voit
parfaitement
bien que cela n'a rien à voir avec les traînées de
condensation que l'on peut retrouver en bout
d'aile ou à
la sortie des réacteurs. Plus curieux, les traînées
n'apparaissent qu'à la queue de l'appareil sur
certaines, ce
qui est inhabituelle. De plus, les épandages pour des cultures ne
s'effectuent pas avec des
KC-135, et encore
moins à haute altitude. Ces avions procèdent donc à
un ensemencement du ciel, mais pour
faire pleuvoir,
encore faudrait-il qu'il y ait un début de cumulo numbus or ce n'est
pas toujours le cas.
Maintenant il
est possible qu'il existe une technique comme le démontre des dépôts
de brevet, qui
permettraient
de pousser à la rencontre de cumulo numbus par un faisceau radioélectrique
HF, ce qui a été
semé
dans le ciel par ces avions. L'autre solution, c'est que le but de ces
largages est de réaliser un miroir
pour réfléchir
les ondes électromagnétiques d'un système de radiotélécommunication.
Il existe un brevet
depuis 1979
qui explique comment on peut faire tenir en l'air de façon stable
un nuage artificiel, par un
rayonnement
électromagnétique. On y explique qu'un émetteur d'une
puissance de 10 mégawatts exercerait
une poussée
de 6,67 grammes.
09°) PHOTOS METEOSAT:
Un Internaute
m'a communiqué l'adresse d'un site et ces deux photos météo
bizarres prises par un satellite
Météosat,
le 10 octobre 2000 à 12h UTC. Jusqu'à présent, je
n'avais pas les éléments qui me permettaient
d'affirmer si
elles étaient truquées ou non. Or selon une autre personne
qui a laissé un mail sur un forum et
qui s'intéresse
aux phénomènes inhabituels, d'autres satellites auraient
photographié les mêmes anomalies.
Voici ce qu'il
dit:
"Ceci dit il
ne s'agit pas seulement de photos concernant la date du 10 octobre 2000
à 1200 UTC, mais
aussi de photos
prises le jour d'avant et le jour d'après. D'après mes recherches,
ces perturbations ont été
enregistrées
par 3 satellites différents : Meteosat7, Goes10 et Gms5. Ces satellites
se trouvent chacun
placés
à un endroit différent autour de la terre."
On laissera de
côté les autres mails où l'on met les vaisseaux de
petits gris à toutes les sauces, qui sont de peu
d'intérêt
dans le cas présent, et n'ont rien à voir avec le sujet actuel.
Il est vrai que ce moyen est utile et parfait
pour discréditer
les expérimentations confidentielles qui devraient rester inconnues,
mais que des spécialistes
peuvent détecter
par hasard.
Adresse du site:
http://208.151.160.168/CV/
Selon une autre
source, les photos de cette période ne seraient plus disponibles
dans les archives. Elles
démontrent
cependant bien qu'une source a été ou est encore en activité,
ce qui pourrait expliquer les
conditions actuelles.
Il a plu par exemple sans interruption sur la Bretagne qui est sur la côte
Atlantique
depuis le début
du mois janvier 2001 jusqu'à fin mai.
http://www.goes.noaa.gov/
Ce site gouvernemental permet d'accéder à des photos satellites.
http://www.maj.com/sun/index.html
Photos de l'activité solaire.
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TRANSLATE - TRADUIRE.
Nom du site
: Scandales aux armes électromagnétiques.
Adresse du site
: http://membres.lycos.fr/filterman/
Adresse e-mail
: [email protected]
Auteur du site
: Marc FILTERMAN
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