GreenPeace n'a même pas la courtoisie de répondre aux mails qu'on lui envoi.
En l'occurrence celui sur les essais nucléaire français souterrain.
Pour ce qui concerne cette guerre que je désapprouve totalement, j'ai du mal à imaginer
L'utilité de GreenPeace.
Le problème avec cette guerre
c'est que personne ne semble comprendre que les resources
pétrolières des États-Unis
seront épuisés d'ici 10 ans et que ça fait depuis
longtemps qu'elle est
prévu. Et ça bien
sûr, on ne le dit pas à la télé.
Donc c'est sous couvert d'une soi-disante
guerre contre le terrorisme international que des
irakiens vont mourir. Sachant qu'aucun
lien n'a été établi entre les atentats du 11 septembre
et
le regime irakien.
Bref les américains n'en ont rien à foutre de l'ONU et ils l'ont bien fait comprendre.
Résultat la seul façon
de s'opposer à cette guerre serait de défendre l'irak et
donc le régime de
Sadam (régime au combien
abominable je le rappel), et ça c'est impossible.
Les atentats sont une divine providence
pour le gouvernement amÉricain, tellement divine que je me
demande si ce n'était pas
prévue de longue date.
Si Sadam n'a pas été
renversé la première fois c'est certainement pour une raison
qui arrange les
USA.
L'US
Army échoue à élaborer une simulation crédible
de l'attentat du Pentagone
Scientifiquement impossible
L'US
Army et la National Science Foundation ont financé une simulation
en trois dimensions
de l'attentat survenu au Pentagone
le 11 septembre 2001.
Des
chercheurs d'une équipe pluridisciplinaire de l'université
d'État de Purdue (Indiana)
ont produit une séquence
3D dont l'apparent réalisme pallie à l'absence d'images vidéos
authentiques de l'événement.
Ce résultat a été largement médiatisé,
à l'occasion du 1er
anniversaire de l'attaque, et interprété
par des médias complaisants comme prouvant l'inanité de
la polémique que nous avons
soulevé sur les modalités de l'attentat.
Malheurement,
après six mois de recherches et malgré l'importance des moyens
techniques et
humains mobilisés, les scientifiques
de Purdue n'ont pas été en mesure d'établir un scénario
à la
fois conforme à la version
officielle et compatible avec les éléments matériels.
Incapables
d'expliquer comment le prétendu
avion avait pu ne frapper que le rez-de-chaussée et le premier
étage, ils ont postulé
qu'il volait au raz du sol bien que n'ayant pas d'espace d'approche dégagé
; ne parvenant pas à rendre
compte de l'absence d'impact sur le Pentagone, ils ont soustrait la
façade d'une partie de la
simulation ; incapables d'élucider comment les réacteurs
en acier trempé
avaient pu disparaître, ils
ont postulé que le prétendu Boeing n'en avait pas ; incapables
d'élucider comment cent
tonnes de matière avaient disparu, ils ont éludé la
question.
L'incapacité
dans laquelle les scientifiques, mandatés par l'US Army, ont été
de
reconstituer virtuellement la version
officielle de l'attentat du Pentagone démontre a contrario
que cette version est scientifiquement
impossible.
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6
décembre 2002
Postulat
n°1 : « l'avion » volait à l'horizontale en rasant
le sol
Pour voler à l'horizontale en rasant le sol, il aurait fallu à
l'avion un terrain
dégagé sur plusieurs
centaines de mètres.
Les
scientifiques ont observé que l'impact sur la façade se trouve
entre le rez-de-chaussée
et le premier étage du bâtiment.
Ils ont constaté que seuls ces deux premiers niveaux ont été
endommagés à l'intérieur
de l'immeuble (les étages supérieurs sont intacts et le sol
n'a pas été
creusé). Comme le montre
l'image ci-dessus qu'ils ont diffusé à la presse, les chercheurs
ont donc
pris pour postulat que «
le Boeing » était arrivé à l'horizontale en
rasant le sol [1].
Il est possible qu'un tel avion rase le sol de cette manière, c'est
ce qu'on appelle
l'atterrissage. Mais pour cela,
il lui faut un terrain dégagé sur une distance de plusieurs
centaines de mètres (Une
piste d'atterrissage mesure entre 2000 et 2500 mètres. Selon le
constructeur, il faut 1500 mètres
à un Boeing 757-200 pour atterrir dans ces conditions [2]). «
L'avion » ne disposait pas
d'une telle piste d'atterrissage devant le Pentagone. Le bâtiment
se
trouve en effet dans une zone vallonnée,
construite d'immeubles d'habitation et traversée par des
autoroutes et des échangeurs.
Postulat n°2 : « l'avion » n'avait pas de réacteurs
Les scientifiques ont oublié deux détails qui permettent
à un avion de voler et qui
sont les éléments
les plus solides de l'appareil : les réacteurs.
L'étude
a été centrée sur la destruction des ailes du «
Boeing 757-200 ». Il était en effet
paru surprenant qu'un avion de
38 mètres d'envergure pénètre dans un bâtiment
par un orifice de 5
à 6 mètres de largeur.
Une théorie avait été avancée par plusieurs
« spécialistes » qui avaient affirmé que les
ailes s'étaient «
rétractées » sous l'effet du choc. Les universitaires
de Purdue expliquent,
quant à eux, que ces ailes
étaient surtout composées du kérosène et que
celui-ci s'est déversé
dans le bâtiment sans vraiment
l'endommager.
Les uns et les autres oublient deux petits détails qui se trouvent
sur ces ailes et
permettent à un avion de
voler : les réacteurs. Ces deux pièces sont les plus résistantes
de
l'appareil. Elles n'ont tout simplement
pas été prises en compte dans l'étude de Purdue (image
ci-dessus).
Postulat
n°3 : le Pentagone n'a pas de façade
Les scientifiques n'ont pris en considération que les piliers du
bâtiment et ont
oublié que la façade
n'a été trouée que sur 5 à 6 mètres
de largeur.
Dans
leur recherche, les scientifiques ont étudié la collision
de « l'avion » avec les
piliers de soutien du bâtiment.
Le directeur de la recherche, Mete Sozen, a particulièrement
insisté sur la spécificité
de ces piliers, renforcés par une barre métallique en spirale,
une
technique utilisée dans
les années 40. « Le cercle d'acier, explique-t-il, a renforcé
la solidité
des colonnes et a probablement
permis de sauver beaucoup de vies » [3].
Dans leurs recherches, les scientifiques n'ont pas pris en considération
le fait que «
l'avion » devait auparavant
percuter la façade, puis défoncer plusieurs murs internes.
Ils ont
fait comme si la collision avec
la façade n'avait endommagé ni celle-ci ni l'appareil. Ils
ont
totalement évacué
le fait qu'un Boeing 757-200, d'une envergure de 38 mètres et d'une
hauteur de
12 mètres, ne peut entrer
par un orifice de 5 à 6 mètres de large sans que ni les ailes,
ni les
réacteurs, ni la queue ne
provoquent la moindre trace d'impact.
Postulat n°4 : l'antimatière existe
« L'avion » se serait « écrabouillé ».
Mais les scientifiques ont oublié de préciser
comment 100 tonnes de matière
« écrabouillée » ont bien pu disparaître.
Pourquoi
y a-t-il eu si peu de dégâts sur l'immeuble du Pentagone ?
L'étude de Purdue donne
une réponse à cette
question : le « Boeing » a été réduit
en poussière. « Á cette vitesse, l'avion
lui-même est comme une peau
de saucisse [a sausage skin] », a expliqué Mete Sozen à
la presse. «
Il n'était pas assez résistant
et s'est virtuellement écrabouillé [crumbles] lors de l'impact
»
[3].
Si les scientifiques expliquent de cette manière l'absence de dégâts
importants sur
l'immeuble, ils n'expliquent pas
pour autant la disparition du prétendu « Boeing ». Ils
oublient
que 100 tonnes de matière
« écrabouillée » restent toujours 100 tonnes
de matière. Qu'est devenue
cette matière ? En cherchant
un Boeing, nos universitaires semblent avoir fait une grande
découverte scientifique
: l'antimatière existe.
L'équipe
pluridisciplinaire de l'université de Purdue a échoué.
Elle n'est pas parvenue à
élaborer une simulation
de la version officielle des événements compatible avec les
éléments
matériels. Pour satisfaire
la commande de l'US Army (ARO, Contrat 39136-MA), elle a été
contrainte
d'escamoter les questions posées
par l'absence d'impact sur la façade et par la dématérialisation
de l'engin. À ce jour, la
seule explication techniquement plausible de l'attentat reste donc celle
énoncée par Thierry
Meyssan : le tir d'un missile et non le crash d'un Boeing 757-200.
*****************
Date : Sat, 25 Jan 2003 11:51:53
+0100
De
: "mathieu callejon" <[email protected]>
Objet : Re: Dites non
a la guerre en Irak - Cyberaction Greenpeace
Attentats
du 11 septembre
Quand Donald Rumsfeld déclarait qu'un « missile »
a frappé le Pentagone.
Un mois après les attentats du 11 septembre 2001, le secrétaire
à la Défense des États-Unis,
Donald H. Rumsfeld, s'est laissé
allé à des confidences lors d'un entretien réalisé
au Pentagone
par Lyric Wallwork Winik pour Parade
Magazine. Évoquant l'impossibilité des services de
renseignement de déjouer
tous les types d'attaques terroristes envisageables, il avait précisé
qu'il avait été fait
usage d'un « missile pour endommager ce bâtiment ».
24 janvier 2003
« Il est évident, avait déclaré Donald Rumsfeld,
qu'un terroriste peut attaquer à tout
moment, à tout endroit,
utilisant une technique d'attaque spécifique, et il est physiquement
impossible de défendre à
tout moment chaque endroit contre tout type d'attaque imaginable. Nous
parlons ici de couteaux en plastique
et de l'utilisation d'un vol d'American Airlines rempli de
nos concitoyens, et du missile
pour endommager ce bâtiment et d'autres (inaudible) qui ont
endommagé le World Trade
Center. »
En
octobre 2001, si des témoins avaient décrit un missile frappant
le Pentagone, tous les
officiels avaient, au contraire,
unanimement évoqué un Boeing 757. Le livre de Thierry Meyssan,
L'Effroyable imposture, publié
en France le 11 mars 2002, avait été le premier à
démonter la
version officielle et à
expliquer que l'attaque n'avait pas été réalisée
avec un avion de ligne.
C'est lors de sa conférence
au Centre Zayed, devant les ambassadeurs de la Ligue arabe, le 8 avril
2002, que Thierry Meyssan avait
révélé que l'attentat contre le Pentagone avait été
perpétré au
moyen d'un missile à charge
creuse. Des informations complémentaires avaient été
dévoilées dans un
second ouvrage, Le Pentagate, le
24 juin 2002.
Par
trois fois, le département de la Défense avait dénoncé
l'enquête de Thierry Meyssan. Une
partie de la presse française,
préférant se rallier au mot d'ordre « Nous sommes tous
Américains
», avait négligé
la recherche de la vérité. Mais, avec le temps et compte-tenu
de l'évolution des
rapports de forces internationaux,
cette enquête a bénéficié d'une reconnaissance
internationale
et sa diffusion a été
soutenue par une douzaine de gouvernements.
Le texte intégral de l'entretien est disponible sur le site internet
du département de la
Défense des États-Unis
:
www.defenselink.mil/news/Nov2001/t11182001_t1012pm.html
Par mesure de précaution, une copie est disponible sur notre propre
site au format HTML :
www.reseauvoltaire.net/image/pages/rumsfeld.htm
Une seconde copie est disponible au format PDF sur le site de L'Effroyable
imposture et du
Pentagate :
www.effroyable-imposture.net/docs/IMG/pdf/doc-1073.pdf
Sur le même sujet, lire notre article : « L'US Army échoue
à élaborer une simulation
crédible de l'attentat du
Pentagone » : www.reseauvoltaire.net/article8737.html
Article suivant
: Rumsfeld cible la France et l'Allemagne
Extrait de l'entretien
Question : Il y a une question que se posent de nombreux Américains,
mais surtout les
veuves du 11 septembre. Comment
avons-nous pu rester si assoupis face à cette menace ? Comment une
guerre visant des civils a-t-elle
pu arriver sur notre territoire national sans avertissement
apparent ?
Rumsfeld : Il y a eu des avertissements. L'information en provenance des
services de
renseignement que nous obtenons,
elle provient parfois de l'analyse de centaines d'alertes ou de
renseignements confidentiels par
semaine. Si l'on veut s'intéresser aux affaires internationales,
cela concerne des milliers de documents.
Et le travail consiste à recenser tous ces documents pour
voir ce qu'on peut en tirer. Et
au fur et à mesure que vous trouvez des éléments d'information,
les autorités chargées
de faire respecter la loi, qui ont la responsabilité de s'occuper
de ce
genre de choses - le FBI au niveau
fédéral, même si, comme vous le savez, c'est plus un
service
d'enquête qu'une véritable
force de police fédérale. Mais les autorités chargées
de faire
respecter la loi au niveau fédéral
et au niveau local sont chargées de s'occuper de ce type de
questions.
Elles trouvent beaucoup de choses et de nombreux efforts terroristes ont
été déjoués,
dissuadés ou arrêtés
grâce à une bonne collecte d'information par les services
de renseignement et
un bon travail préventif.
Il est évident qu'un terroriste peut attaquer à tout moment,
à tout
endroit, utilisant une technique
d'attaque spécifique, et il est physiquement impossible de
défendre à tout moment
chaque endroit contre tout type d'attaque imaginable. Nous parlons ici
de
couteaux en plastique et de l'utilisation
d'un vol d'American Airlines rempli de nos concitoyens,
et du missile pour endommager ce
bâtiment et d'autres (inaudible) qui ont endommagé le World
Trade
Center. La seule manière
de régler ce problème, c'est de livrer une guerre aux terroristes,
là où
ils se trouvent, et de s'occuper
d'eux.
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