Reproduit
ici :
http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/Lectures/Aspartame.html
[Voir plus bas : Aspartame
: Le mal caché du siècle]
[Voir plus bas : L'aspartame: méchant, méchant ]
Tiré de http://www.vegebionet.com/dossiers/fiches/aspartame.htm et
sommairement révisé pour améliorer la traduction.
On trouvera aussi sur ce site quelques autres documents en français
sur l'aspartame:
Journée
mondiale de sensibilisation aux méfaits de l'aspartame
Transcription
d'une conférence de Betty Martini sur l'aspartame
N'hésitez pas aussi à explorer la section française
de ce site et -
si vous comprenez l'anglais - les centaines de pages d'information et de
correspondances sur une foule de sujets.
On peut aussi sur simple demande à Jean Hudon au [email protected],
faire ajouter son nom soit à la liste d'envoi francophone du Réseau
arc-en-ciel de la Terre,(rarement utilisée) ou bien à la liste
anglaise du même réseau(fréquemment utilisée)
pour recevoir copie de ce qu'il diffuse régulièrement.
Bonne lecture!
Dossier "Edulcorants de Synthèse"
L'amère vérité sur l'aspartame
Les substituts du sucre à base d'aspartame causent des symptômes
inquiétants allant de la perte de mémoire jusqu'à des
tumeurs au cerveau. Mais en dépit de l'approbation par la FDA (Food
& Drug Administration - organisme de certification et de contrôle
des aliments et médicaments aux États-Unis) le plaçant
au tableau des additifs alimentaires "sans danger", l'aspartame est l'une
des substances les plus dangereuses jamais imposées à un public
sans méfiance.
Extrait du Nexus Magazine, Volume 2,
28 (Oct-Nov 95) et Volume 3,
1 (Déc 95-Janv 96) © 1995 par Mark D. Gold, 35 Inman St, Cambridge,
MA 02139, USA Tél: (617) 497 7843, [email protected]
Page principale de Mark Gold sur l'aspartame (en anglais seulement):
http://www.HolisticMed.com/aspartame/
Repris avec la permission de Blazing Tattles, Vol. 4, Nos. 4, 5, 6, Avril-Juin
1995 PO Box 1073, Half Moon Bay, CA 94019 USA. Tél: (415) 712 0772,
Fax: (415) 712 8547; [email protected]
Dans le mensuel “Blazing Tattles”, vous aurez des dossiers sur la pollution
et votre santé, le climat, et les écosystèmes. de l'information
pour les consommateurs, les médias; les séquelles de la Guerre
du Golfe et plus encore... Du travail sérieux!
aspartame est le terme technique pour les marques portant le nom de NutraSweet,
Canderel, Equal, Spoonful et Equal-Measure. L'aspartame fut découvert
accidentellement en 1965, lorsque James Schattler, un chimiste de G.D. Searle
Company, était en train de tester un médicament antiulcère.
L'aspartame fut autorisé pour les aliments secs en 1981 et pour les
boissons gazeuses en 1983. Il fut au début approuvé pour les
aliments secs le 26 juillet 1974, mais en raison d’objections émises
par le Dr. John W. Olney, chercheur en science neurologique, et par l'Avocat
général à la consommation, James Turner, en août
1974, et suite à des enquêtes sur les pratiques de recherche
de G.D. Searle, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a
dû retarder son approbation de l'aspartame (5 décembre 1974).
En 1985, Monsanto a acquis G.D. Searle et sépara Searle Pharmaceuticals
et The NutraSweet Company en filiales distinctes.
L'aspartame est, de loin, la substance la plus dangereuse sur le marché
à être ajoutée aux aliments. L'aspartame est tenu pour
responsable de plus de 75% des réactions défavorables aux additifs
alimentaires dont il a été fait rapport à la FDA. Bon
nombre de ces réactions sont très sérieuses, y compris
des attaques d’apoplexie et la mort ainsi qu'il en a été fait
récemment état dans un rapport de février 1994 du Department
of Health and Human Services. (1) Quelques-uns des 90 symptômes répertoriés
et énumérés dans le rapport comme étant causés
par l'aspartame incluent : Maux de tête/migraines, étourdissements,
crises d’apoplexie, nausées, engourdissements, spasmes musculaires,
gains de poids, irritations cutanées, dépression, fatigue,
irritabilité, tachycardie, insomnie, problèmes visuels, perte
d'ouie, palpitations cardiaques, difficultés respiratoires, crises
d'anxiété, difficultés d'élocution, perte du
goût, goût de fer, vertige, perte de mémoire et douleurs
articulaires.
Selon les chercheurs et les médecins étudiant les effets indésirables
de l'aspartame, les maladies chroniques suivantes peuvent être causée
ou aggravées par l'ingestion d'aspartame: (2) tumeurs au cerveau,
sclérose en plaques, épilepsie, syndrome de fatigue chronique,
maladie de Parkinson, maladie d'Alzheimer, retard mental, lymphome, malformations
congénitales, fibromalgie et diabètes.
L'aspartame est composé de trois produits chimiques : l'acide aspartique,
la phénylalanine et le méthanol. Le livre "Prescription for
Nutritional Healing" de James et Phyllis Balch, range l'aspartame dans la
catégorie des "poisons chimiques". Comme vous allez le voir, c'est
exactement ce qu'il est.
L'ACIDE ASPARTIQUE (40% DE L'ASPARTAME) Le Dr. Russell L. Blaylock, professeur
en neurochirurgie à la Medical University of Mississippi, a récemment
publié un ouvrage détaillant in extenso les dommages causés
par l'ingestion excessive d'acide aspartique issu de l'aspartame. [Quatre
vingt dix neuf pour cent du glutamate de monosodium 9MSG est de l'acide glutamique.
Les dommages qu'il cause sont également documentés dans le
livre de Blaylock.] Blaylock fait mention de près de 500 références
scientifiques afin de démontrer comment un excès d'acides aminés
libres excitateurs tels que l'acide aspartique et l'acide glutamique dans
notre alimentation sont cause de sérieux désordres neurologiques
chroniques et d'une myriade d'autres symptômes aigus. (3)
RÉSUMÉ DE LA FAÇON DONT L'ASPARTAME (ET LE GLUTAMATE)
CAUSE DES DOMMAGES L'aspartame et le glutamate agissent comme neurotransmetteurs
dans le cerveau en facilitant la transmission de l'information entre les
neurones. Trop d'aspartame ou de glutamate dans le cerveau détruit
certains neurones en autorisant l'invasion excessive de calcium dans les
cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de radicaux
libres qui tuent les cellules. La perte en cellules nerveuses qui peut être
causée par le glutamate et l'aspartame en excès est la raison
pour laquelle on les appelle "excitotoxines". Ils "excitent" ou stimulent
la mort des cellules nerveuses.
L'acide aspartique est un acide aminé. Pris sous sa forme libre (non
relié aux protéines), il élève d'une façon
significative le niveau de plasma sanguin en aspartame et glutamate. L'excès
d'aspartame et de glutamate dans le plasma sanguin, peu après l'ingestion
d'aspartame ou de produits contenant de l'acide glutamique libre (précurseurs
du glutamate), provoque une élévation du niveau de ces neurotransmetteurs
dans certaines zones du cerveau.
La barrière sanguine du cerveau (Blood Brain Barrier [BBB]) qui normalement
protège le cerveau d'un excès de glutamate ou d'aspartame,
aussi bien que de toxines, 1) n'est pas complètement développée
pendant l'enfance, 2) ne protège pas complètement toutes les
régions du cerveau, 3) est endommagée par un nombre de conditions
chroniques et aiguës et 4) permet l'infiltration d'un excès de
glutamate et d'aspartame dans le cerveau, même lorsqu'elle est intacte.
L'excès de glutamate et d'aspartame commence lentement à détruire
les neurones. La grande majorité (75%+) des cellules nerveuses d'une
zone particulière du cerveau sont tuées avant même que
les symptômes cliniques d'une maladie chronique ne soient décelés.
Quelques unes des nombreuses maladies chroniques dont il a été
démontré qu'elles sont causées par une exposition à
long terme au dommage des excitotoxines comprennent : la sclérose
en plaques, ALS, perte de mémoire, problème hormonaux, perte
d'audition, crises d'épilepsie, maladie d'Alzheimer, maladie de Parkinson,
hypoglycémie, démence du Sida, lésions du cerveau et
désordres neuroendocrinaux.
Les risques encourus par les nourrissons, enfants, femmes enceintes, personnes
âgées et les personnes avec des problèmes de santé
chroniques causés par les excitotoxines sont grands. Même la
Federation of American Societies For Experimental Biology (FASEB), qui minimise
habituellement les problèmes et se conforme à la ligne de conduite
de la FDA, a déclaré récemment "qu'il était prudent
d'éviter l'utilisation de suppléments diététiques
d'acide L-glutamique chez les femmes enceintes, les nourrissons et les enfants.
L'existence d'une évidence d'effets secondaires potentiels endocrinaux,
tels qu'une prolactine et une cortisolie élevée et des réponses
différentielles entre hommes et femmes, suggéreraient également
un lien neuroendocrinal et qu'un supplément d'acide L-glutamique devrait
être évité par les femmes en âge de procréer
et les individus atteints de désordres affectifs." (4) L'acide aspartique
de l'aspartame possède les même effets délétères
sur le corps que l'acide glutamique.
Le mécanisme exact des réactions aiguës à l'excès
du glutamate et de l'aspartame libre est actuellement débattu. Ainsi
qu'il en est fait état par la FDA, ces réactions incluent:
(5) Maux de tête/migraines, nausées, douleurs abdominales, fatigue
(bloque l'entrée suffisante de glucose dans le cerveau), problèmes
du sommeil, problème de vision, attaque d'anxiété, dépression
et asthme/oppression respiratoire.
Une des plaintes commune chez les personnes souffrant des effets de l'aspartame
est la perte de mémoire. Ironiquement, en 1987, G.D.Searle, le fabricant
de l'aspartame, entreprit une recherche sur un médicament pouvant combattre
les pertes de mémoire causées par les dommages dus aux acides
aminés excitotoxiques. Blaylock est l'un des nombreux scientifiques
et médecins intéressés par les dommages causés
par les excitotoxines dus à l'ingestion d'aspartame et de MSG. Quelques-uns
des nombreux experts qui se sont manifestés contre les dommages causés
par l'aspartame et le glutamate incluent Adrienne Samuels, Ph.D., psychologue
expérimental, spécialisée en recherche conceptuelle.
De même, Olney, professeur dans le département de psychiatrie,
School of Medecine, Washington University, neuroscientifique et chercheur
et l'une des autorités les plus représentatives en matière
d'excitotoxines. (Il informa Searle en 1971 que l'acide aspartique causait
des trous dans le cerveau des souris). Également, Francis J. Waickman,
Docteur en médecine, à qui a été attribué
le Rinkel and Forman Awards et diplômé par le Conseil en pédiatrie,
allergies et immunologie.
D'autres scientifiques concernés sont : John R. Hain, Docteur en
médecine, Diplômé par le Conseil en pathologie de médecine
légale et H.J. Roberts, M.D., FACP, FCCP, spécialiste du diabète
et sélectionné par une publication médicale nationale
comme "Le meilleur docteur aux États-Unis".
De même, John Samuels est concerné. Il compila une liste de
recherches scientifiques suffisante pour montrer les dangers de l'ingestion
excessive d'acide aspartique et glutamique libre. Et il y en a d'autres encore,
nombreux, qui peuvent être ajoutés à cette longue liste.
PHÉNYLALANINE (50% DE L'ASPARTAME) La phénylalanine est un
acide aminé qui est normalement présent dans le cerveau. Les
personnes souffrant du désordre génétique, phenylketonuria
(PKU), ne peuvent pas métaboliser la phénylalanine. Ceci conduit
à des hauts niveaux dangereux de phénylalanine dans le cerveau
(parfois mortels). Il a été démontré que l'ingestion
d'aspartame, particulièrement avec des hydrates de carbones, peut
provoquer des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau,
même chez des personnes ne souffrant pas de PKU. Ceci n'est pas une
simple théorie, car de nombreuses personnes ayant mangé de
grandes quantités d'aspartame au cours d'une longue période
de temps et ne souffrant pas de PKU, ont été reconnues possédant
des niveaux excessifs de phénylalanine dans le sang. Des niveaux excessifs
de phénylalanine dans le cerveau peuvent amener une décroissance
du niveau de sérotonine dans le cerveau, conduisant à des désordres
émotionnels comme la dépression. Il a été démontré
au cours de tests sur l'homme que les niveaux de phénylalanine dans
le sang étaient accrus d'une façon significative chez les sujets
humains ayant utilisé chroniquement l'aspartame. (6) Même une
seule prise d'aspartame fait monter les niveaux de phénylalanine.
Dans son témoignage devant le Congrès américain, le
Dr. Louis J. Elsas démontra qu'une haute teneur en phénylalanine
dans le sang peut se concentrer dans des parties du cerveau et est particulièrement
dangereuse pour les nourrissons et les foetus. Il a également démontré
que la phénylalanine est métabolisée bien plus efficacement
par les rongeurs que par les humains. (7)
La prise en compte d'un cas de niveaux de phénylalanine extrêmement
élevés provoqués par l'aspartame a été
publiée récemment par le "Wednesday Journal" dans un article
intitulé "An aspartame Nightmare" (un cauchemar à l'aspartame).
John Cook commença par boire 6 à 8 boissons light par jour.
Ces symptômes débutèrent par des pertes de mémoire
et de fréquents maux de tête. Il continua par développer
un besoin accru de boissons édulcorées à l'aspartame.
Sa condition physique se détériora tellement qu'il connu des
changements d'humeur importants et de violentes colères. Alors même
qu'il ne souffrait pas de PKU, un examen sanguin révéla un
niveau de phénylalanine de 80 mg/dl. Il dévoila également
une fonction cérébrale anormale et une détérioration
du cerveau. Après avoir interrompu sa consommation d'aspartame, ses
symptômes se sont améliorés radicalement.(8)
Ainsi que Blaylock le souligne dans son ouvrage, les premières études
mesurant l'accumulation de phénylalanine dans le cerveau étaient
défectueuses. Les chercheurs qui la mesurèrent dans des régions
spécifiques du cerveau et non la moyenne dans tout le cerveau notèrent
des hausses significatives des niveaux de phénylalanine. Spécifiquement,
les régions de l'hypothalamus, medulla oblongata et corpus striatum
du cerveau avaient l'augmentation la plus importante en phénylalanine.
Blaylock poursuit en soulignant que l'augmentation excessive de phénylalanine
dans le cerveau peut causer de la schizophrénie ou rendre les personnes
susceptibles de souffrir d'une attaque d'apoplexie.
Ainsi, une utilisation excessive, à long terme, de l'aspartame peut
mener à une accélération des ventes des inhibiteurs
à la sératonine tel que le Prozac et des médicaments
pour contrôler la schizophrénie et les attaques.
MÉTHANOL (ALCOOL DE BOIS D'AKA/POISON) (10% DE L'ASPARTAME) Le Méthanol/alcool
de bois est un poison mortel. Certaines personnes peuvent se rappeler du méthanol
comme étant le poison qui a été à l'origine de
la perte de la vue, ou de la mort, de certains alcooliques "risque-tout".
Le méthanol est graduellement libéré dans l'intestin
grêle lorsque l'aspartame du groupe méthyle rencontre l'enzyme
chymotryspine.
L'absorption du méthanol par l'organisme est accélérée
considérablement lorsque du méthanol libre est ingéré.
Le méthanol libre est créé à partir de l'aspartame
lorsqu'il est chauffé au-dessus de 30° centigrade. Ceci s'opère
lorsque le produit contenant de l'aspartame est incorrectement stocké
ou lorsqu'il est chauffé (par exemple, comme composant d'un produit
"alimentaire" tel que le Jello). Le méthanol se décompose dans
le corps en acide formique et en formaldehyde. Le formaldehyde est une neurotoxine
mortelle. Une évaluation du méthanol établie par l'EPA
déclare que le méthanol "est considéré comme poison
cumulatif compte tenu de la faible proportion qui en est éliminée
une fois qu'il est absorbé. Dans l'organisme, le méthanol s'oxyde
en formaldehyde et en acide formique; chacun de ces deux métabolites
sont toxiques." Il est recommandé une limite de consommation de 7.8
mg/jour. Un litre de boisson édulcorée à l'aspartame
contient environ 56 mg de méthanol. Les gros utilisateurs de produits
contenant de l'aspartame consomment jusqu'à 250 mg de méthanol
quotidiennement ou 32 fois la limite fixée par l'EPA. (9)
Les symptômes d'un empoisonnement au méthanol sont des maux
de tête, bourdonnement d'oreilles, dérangements gastro-intestinaux,
faiblesse, vertige, frissons, trous de mémoire, engourdissement et
douleurs fulgurantes des extrémités, troubles du comportement
et névrite. Les problèmes les plus connus d'un empoisonnement
au méthanol sont les problèmes de la vue comprenant vision
embrumée, rétrécissement progressif du champ visuel,
vision voilée, vision obscurcie, dommages rétiniens et perte
de la vue. Le formaldehyde est un cancérigène connu, il cause
des dommages à la rétine, s'oppose à la reproduction
de l'ADN et cause des malformations congénitales. (10)
Étant donné l'absence de certains enzymes clefs, les humains
sont beaucoup plus sensibles aux effets toxiques du méthanol que les
animaux. Par conséquent, des tests d'aspartame ou de méthanol
sur des animaux ne reflètent pas précisément les dangers
encourus par les humains. Ainsi que le souligne le Dr. Woodrow C. Monte,
Directeur du Food Science and Nutrition Laboratory à l'Université
de l'État de l'Arizona, « Il n'existe aucune étude sur
les humains ou les mammifères pour évaluer les effets mutagène,
tératogène ou cancérigène possibles conséquentes
à l'administration chronique de l'alcool de méthyle. »
(11)
Il se sentit tellement concerné en voyant les conclusions sur la
sécurité demeurer sans solutions qu'il adressa une requête
à la FDA réclamant une audition afin de discuter de ces résultats.
Il demanda à la FDA de « ralentir la publication des conclusions
concernant les boissons sucrées assez longtemps afin qu'il soit possible
de répondre à quelques-unes des questions essentielles. Il
n'est pas juste que vous laissiez tout le poids de l'authentification sur
le petit nombre que nous représentons alors que nous possédons
des ressources tellement limitées. Vous ne devez pas oublier que vous
êtes l'ultime défense du public américain. Une fois que
vous en aurez autorisé l'usage (de l'aspartame), il n'y aura littéralement
plus rien que moi ou mes collègues ne pourrons faire pour inverser
le processus. L'aspartame rejoindra alors la saccharine, les agents sulfites
et Dieu sait encore combien d'autres composants contestables prescrits pour
insulter la constitution humaine avec l'approbation du gouvernement. »
(10) Peu de temps après, le commissaire à la FDA, Arthur Hull
Hayes, Jr. approuva l'utilisation de l'aspartame dans les boissons gazeuses,
puis il fut engagé par une société de relations publiques
de la G.D. Searle. (11)
Il a été souligné que certains des jus de fruits et
des boissons alcoolisées contiennent de petites quantités de
méthanol. Il est important de se rappeler, cependant, que le méthanol
n'apparaît jamais seul. Dans tous les cas, l'éthanol est présent,
usuellement en plus grandes quantités. L'éthanol est un antidote
à la toxicité du méthanol chez l'homme. (9) Les hommes
des troupes de l'opération "Desert Storm" (guerre du Golfe) furent
"régalées" avec de grandes quantités de boissons édulcorées
à l'aspartame qui avaient été chauffées à
plus de 30° centigrades par le soleil de l'Arabie Saoudite. Beaucoup
d'entre eux en revinrent avec de nombreux désordres similaires à
ceux trouvés chez des individus qui avaient été chimiquement
empoisonnés par le formaldehyde. Le méthanol libre dans ces
breuvages peut avoir été un facteur contribuant à ces
maladies. D'autres produits dérivés de l'aspartame tel que
le DKP (voir ci-dessus) peut également avoir été un
facteur. En 1993, dans un acte qui peut être décrit comme "inconscient",
le FDA approuva l'aspartame comme ingrédient dans un certain nombre
d'articles d'alimentaires qui seraient toujours chauffés au-dessus
de 30° centigrades.
DIKETOPIPERAZINE (DKP) La DKP est un produit dérivé de la
métabolisation de l'aspartame. La DKP a été impliquée
dans l'apparition de tumeurs au cerveau. Olney a remarqué que la DKP,
lorsqu'elle était nitroazotée dans l'intestin, produisait un
composant qui était similaire au N-nitrosourea, un composant chimique
puissant causant des tumeurs au cerveau. Certains auteurs ont dit que la
DKP est produite après ingestion de l'aspartame. Je ne suis pas sûr
que ce soit correct. Il est définitivement vrai que la DKP est formée
dans des produits liquides contenant de l'aspartame au cours d'un stockage
prolongé.
G.D. Searle a conduit une expérimentation sur des animaux pour vérifier
la sûreté de la DKP. La FDA releva un certain nombre d'erreurs,
y compris « des erreurs d'écriture, d'animaux mélangés,
d'animaux à qui on n'administrait pas la drogue qu'ils étaient
supposés prendre, de perte de spécimens pathologiques due à
une mauvaise manipulation » et de nombreuses autres erreurs. (12) Ces
procédures de laboratoires négligentes peuvent expliquer pourquoi
les animaux servant aux tests et ceux servant de groupe contrôle avaient
seize fois plus de tumeurs au cerveau que le nombre auquel on pourrait s'attendre
au cours d'expérimentations de cette durée.
Par un tour du sort, très peu de temps après la découverte
de ces erreurs d'expérimentation, la FDA utilisa des protocoles recommandés
par G.D. Searle pour développer les standards industriels de la FDA
pour les pratiques des laboratoires alimentaires. (11) La DKP a également
été impliquée comme ayant causé des polypes utérins
et des modifications du taux de cholestérol par le Dr. Jacqueline
Verrett, toxicologue de la FDA, dans sa déposition devant le Sénat
des États-Unis. (13)
ALIMENTS RÉSULTANT DE L'ASPARTAME
Les composants de l'aspartame peuvent entraîner l’apparition d’une
foule de maladies diverses. Quelques-unes apparaissent graduellement, d'autres
sont immédiates, avec des réactions aiguës.
Il y a une énorme population d'individus qui souffrent de symptômes
attribués à l'aspartame et cependant ils ne comprennent pas
pourquoi les plantes ou les médicaments ne parviennent pas à
les soulager de leurs problèmes. Il y a d'autres utilisateurs d'aspartame
qui paraissent ne pas souffrir de réactions immédiates à
l'aspartame. Mais même ces individus sont susceptibles à long
terme de souffrir des dommages causés par les acides aminés
excitateurs, la phénylalanine, le méthanol et la DKP. Quelques-uns
des nombreux désordres qui m'inquiètent particulièrement
incluent les suivants.
malformations congénitales
Le Dr. Diana Dow Edwards, un chercheur, fut commanditée par Monsanto
afin d'étudier les possibilités de malformations congénitales
causées par l'ingestion d'aspartame. Après qu'une information
préliminaire ait fait état d'informations négatives
au sujet de l'aspartame, les fonds alloués à la recherche furent
retirés. Un pédiatre génétique à Emory
University a attesté que l'aspartame causait des malformations congénitales.
7360-367
Dans le livre "While Waiting" (En attendant) : un guide prénatal
de George R. Verrilli, M.D. et Anne Marie Mueser, il est fait état
que l'aspartame est soupçonné de causer des dommages au cerveau
des individus sensibles. Ces effets peuvent faire courir un risque à
un foetus. Des chercheurs ont suggéré que de grandes doses
d'aspartame peuvent être associées à des problèmes
allant d'étourdissements et de modifications subtiles du cerveau à
des retards mentaux.
Cancer (Cancer du cerveau) En 1981, Satya Dubey, un statisticien du FDA,
déclara que l'information concernant l'aspartame et les tumeurs au
cerveau était si "préoccupante" qu'il pourrait ne pas recommander
l'autorisation du NutraSweet. (14) Au cours d'une étude menée
sur une période de deux ans et conduite par le fabricant de l'aspartame,
douze des 320 rats nourris normalement et à l'aspartame développèrent
des tumeurs au cerveau alors qu'aucun des rats de contrôle n'eurent
de tumeurs. Cinq des douze tumeurs furent trouvées sur des rats nourris
avec de faibles doses d'aspartame. (15) L'autorisation de l'aspartame fut
une violation de l'amendement Delaney (aux États-Unis) qui était
censé prémunir contre l'introduction dans notre alimentation
de substances cancérigènes tel que le méthanol (Formaldehyde)
et la DKP. Feu le Dr. Adrian Gross, un toxicologue de la FDA, affirma dans
son témoignage devant le Congrès américain que l'aspartame
était capable de provoquer des tumeurs au cerveau. Il devint illégal
pour la FDA d'en permettre une prise quotidienne, quelqu'en soit la dose.
Il établit dans sa déposition que les études de la compagnie
Searle étaient « dans une large mesure, sujettes à caution
» et que « au moins, une de ces études avait établi
au-delà de tout doute raisonnable que l'aspartame est capable d'induire
des tumeurs au cerveau des animaux d'expérience... » Il conclut
sa déposition en demandant, « Quelle peut être la
raison de l'apparent refus de la FDA d'invoquer pour cet additif alimentaire
le bien-nommé amendement Delaney sur la loi concernant l'alimentation,
les médicaments et les cosmétiques?... Et si la FDA elle-même
décide de violer la loi, que reste-t-il pour protéger la santé
du public? » (16)
Au cours des années 70, on découvrit que le fabricant de l'aspartame
avait falsifié des études de plusieurs façons. Une des
techniques utilisées était de supprimer les tumeurs apparues
sur les animaux soumis aux tests et de les remettre en circulation dans le
groupe d'étude. Une autre technique employée pour falsifier
ces études étaient de faire figurer sur les listes, des animaux
morts comme ayant survécu aux tests. Ainsi, l'information concernant
les tumeurs du cerveau était encore pire qu'on aurait pu le croire
précédemment. De plus, un ancien employé du fabricant
de l'aspartame, Raymond Schroeder, informa la DPA le 13 juillet 1977 que
les particules de DKP étaient en si grandes quantités que les
rats pouvaient faire la différence entre le DKP et leur alimentation
normale. (12)
Il est intéressant de noter que l'indice des tumeurs au cerveau chez
les personnes de plus de 65 ans s'est accrue de 67% entre les années
1973 et 1990. Les tumeurs au cerveau dans les groupes de tous âges
se sont accrues de 10%. La croissance la plus importante s'opéra au
cours des années 1985-1987. (17)
Dans cet ouvrage « aspartame (NutraSweet). Est-ce sain? », le
Dr. Roberts apporte des preuves selon lesquelles l'aspartame peut causer
une forme particulièrement dangereuse de cancer : le lymphome primaire
du cerveau.
Le diabète
L'American Diabetes Association (ADA) va même jusqu’à recommander
ce poison chimique à des personnes souffrant du diabète. Selon
la recherche menée par H.J. Roberts, diabétologue, membre de
l'ADA et faisant autorité dans l'étude des édulcorants
artificiels, l'aspartame : 1) conduit à une accélération
des diabètes cliniques. 2) est la cause d'une difficulté de
contrôle du diabète chez les diabétiques insulino-dépendants
ou traités par voie orale. 3) conduit à l'aggravation des complications
du diabète telle que la rétinopathie, les cataractes, la neuropathie
et la gastroparésie. 4) cause des convulsions.
Dans une déclaration concernant l'utilisation des produits contenant
de l'aspartame par des personnes souffrant de diabète et d'hypoglycémie,
Robert dit : « Malheureusement, bon nombre de mes patients habituels
et d'autres vus en consultation, développent de sérieuses complications
métaboliques, neurologiques et autres qui pourraient être spécifiquement
attribuées à l'usage des produits contenant de l'aspartame.
Ceci fut mis en évidence par : la perte du contrôle du diabète,
l'intensification de l'hypoglycémie, l'apparition de soi-disant "réactions
à l'insuline" (y compris des convulsions) qui en fait furent reconnues
comme des réactions à l'aspartame et la précipitation,
l'aggravation ou la simulation de complications diabétiques (spécialement
une diminution de la vue et de la neuropathie) pendant l'utilisation de ces
produits. Une amélioration frappante de ces symptômes se révéla
après l'éviction de l'aspartame et la prompte et prévisible
récurrence de ces problèmes lorsque le patient reprenait des
produits à l'aspartame, consciemment ou par inadvertance. »
Roberts poursuit ainsi : « Je regrette l’omission des autres médecins
et de l'American Diabetes Association (ADA) d’émettre les avertissements
appropriés aux patients et aux utilisateurs basés sur ces découvertes
répétées qui ont été décrites dans
mes études exemptes de toute influence corporative et dans mes publications.
»
Baylock déclara que des excitotoxines telles que celles trouvées
dans l'aspartame peuvent accélérer le diabète chez des
sujets qui sont génétiquement susceptibles de souffrir de cette
maladie. (5)
Désordres émotionnels
Une étude “en double aveugle” sur les effets de l'aspartame sur des
sujets souffrant de désordres émotionnels fut récemment
menée par le Dr. Ralph G. Walton. Étant donné que l'étude
ne fut pas commanditée/contrôlée par les fabricants d'aspartame,
la compagnie NutraSweet refusa de lui vendre de l'aspartame. Walton fut obligé
de s'en procurer et de le faire certifier par une source extérieure.
L'étude démontra une croissance importante de graves symptômes
chez les personnes prenant de l'aspartame. Certains de ces symptômes
étaient si graves que l'Institutional Review Bord se trouva dans l'obligation
d'arrêter l'étude. Trois des participants avaient dit qu'ils
avaient été "empoisonnés" par l'aspartame. Walton conclut
que « des individus sujets à des désordres émotionnels
sont particulièrement sensibles à cet édulcorant artificiel;
son utilisation par cette population devrait être découragée.
» (18) Conscient que l'expérimentation ne pourrait pas être
répétée compte tenu du danger encouru par les sujets
soumis aux tests, Walton fut cité récemment comme disant :
« Je sais que cela provoque des crises d'apoplexie. Je suis convaincu
également que cela provoque avec certitude des modifications comportementales.
Je suis très en colère de voir cette substance sur le marché.
Je mets personnellement en cause la validité et la véracité
de n'importe laquelle des études commanditées par NutraSweet
Company. » (19)
Il est fait état de nombreux cas de faibles niveaux de sérotonine
cervicale, de dépressions et autres désordres émotionnels
qui ont été reliés à l'aspartame et qui sont
souvent soulagés en arrêtant la consommation d'aspartame. Des
chercheurs ont souligné que l'augmentation des niveaux de phénylalanine
dans le cerveau, qui peut arriver et arrive chez des sujets ne souffrant
pas de PKU, provoque une baisse du niveau de ce neuro-transmetteur (sérotonine)
qui mène à une foule de désordres émotionnels
différents. Le Dr. William M. Pardrige de l'UCLA déclara dans
son témoignage devant le Sénat américain qu'un adolescent
buvant quatre bouteilles de 16 onces (487 grs) de boisson gazeuse (soda)
Diète (sans sucre) par jour subit une énorme hausse du niveau
de phénylalanine.
Épilepsie/Apoplexie
Avec le nombre important et croissant d'apoplexies causées par l'aspartame,
il est triste de constater que l'Epilepsy Foundation fait la promotion de
la "sécurité" de l'aspartame. Au Massachusetts Institute of
Technology (MIT), 80 personnes qui avaient souffert de crises d'apoplexie
après ingestion d'aspartame avaient été mises en observation.
Le Community Nutrition Institute apporta les conclusions suivantes de cette
observation : « Ces 80 cas correspondent à la définition
même de la FDA d'un risque imminent encouru pour la santé publique
et qui entraîne normalement le retrait expéditif d'un produit
par la FDA. »
Le magazine de l'Air Force "Flying Safety" et celui de la Navy "Navy Physiology"
ont publié des articles mettant en garde contre les nombreux dangers
de l'aspartame incluant les effets nocifs cumulatifs du méthanol et
les plus grandes possibilités de malformations congénitales.
Les articles notaient que l'ingestion de l'aspartame pouvaient rendre les
pilotes plus susceptibles à des crises d'apoplexie et de vertige.
Vingt articles émettant des avertissements au sujet de l'ingestion
d'aspartame pendant un vol ont pu être lus dans le National Business
Aircraft Association Digest (NBAA Digest 1993), Aviation Medical Bulletin
(1988), The Aviation Consumer (1988), Canadian General Aviation News (1990),
Pacific Flyer (1988), General Aviation News (1989), Aviation Safety Digest
(1989) et Plane & Pilot (1990) et un article avertissant des dangers
de l'aspartame fut présenté au 57ème Congrès
Annuel de l'Aerospace Medical Association (Gaffney 1986).
Récemment, une ligne ouverte accessible 24 heures sur 24 fut mise
en place pour répondre aux pilotes souffrant de réactions aiguës
à l'ingestion d'aspartame. Plus de 600 pilotes ont déclaré
avoir eu des symptômes incluant ceux qui mentionnés dans le
rapport à propos de crises d'épilepsie dans leur cockpit dues
à l'aspartame. (21)
Une des premières études sur l'aspartame fut réalisée
en 1969 par un scientifique indépendant, le Dr. Harry Waisman. Il
étudia les effets de l'aspartame sur des bébés primates.
Sur les sept bébés singes, l'un mourut au bout de 300 jours
et cinq autres eurent des crises d'épilepsie. Bien entendu, ces découvertes
négatives ne furent pas soumises à la FDA au cours de la procédure
d'approbation. (22)
Pourquoi n'entendons-nous pas parler de ces choses-là? La raison
pour laquelle les gens n'entendent pas parler des sérieuses réactions
à l'aspartame est double : 1) Manque d'information de la population
générale. Il n'est pas fait mention dans les journaux des maladies
causées par l'aspartame comme le sont les accidents d'avion. Ceci
parce que ces incidents arrivent isolément dans des milliers d'endroits
différents des États-Unis (et du monde). 2) La plupart des
gens n'associent pas leurs symptômes à un emploi à long
terme de l'aspartame. Pour les gens qui ont ainsi détruit un pourcentage
important des cellules de leur cerveau et ainsi causé une maladie
chronique, il leur est impossible de pouvoir associer cette maladie à
la consommation d'aspartame. La façon dont l'aspartame a été
approuvé est une leçon démontrant comment les industries
chimiques et pharmaceutiques peuvent manipuler les organismes gouvernementaux
telle la FDA, les organisations "corrompues" telle l'American Dietetic Association
et l’ensemble de la communauté scientifique avec des études
mal réalisées et frauduleuses soutenues par les industriels
et financées par les fabricants d'aspartame.
Erik Millstone, un chercheur au Science Policy Research de l'Université
du Sussex a compilé des milliers de pages de preuves, certaines ayant
été obtenues par l'usage de la loi 23 sur la liberté
de l'information, démontrant que : 1. des tests en laboratoires étaient
falsifiés et les dangers dissimulés; 2. des tumeurs furent
enlevés d'animaux et des animaux qui étaient morts furent “ressuscités”
dans les rapports de laboratoire; 3. des déclarations fausses et trompeuses
ont été faites à la FDA; 4. les deux juges d'instruction
fédéraux missionnés pour réunir des charges de
fraudes contre le fabricant d'aspartame furent engagés par le cabinet
d'avocat du fabricant, laissant dépasser le terme du délai
légal de prescription; 5. le Commissaire de la FDA ne tint pas compte
des objections émises par le propre bureau d’études de la FDA.
Peu de temps après cette décision, ce commissaire accepta un
poste chez Burson-Marsteller, la société chargée des
relations publiques de G.D. Searle.
Une commission d'enquête publique (Public Board of Inquiry, PBOI)
fut mise en place en 1980. Elle comprenait trois scientifiques qui étudièrent
les objections d'Olney et Turner contre l'autorisation de l'aspartame. Ils
votèrent unanimement contre l'approbation de l'aspartame. Le Commissaire
de la FDA, le Dr. Arthur Hull Hayes, Jr. nomma alors une commission scientifique
de 5 personnes pour étudier les découvertes de la PBOI. Après
qu'il fut clair que la commission confirmerait la décision de la PBOI
par un vote de 3 contre 2, une autre personne fut adjointe à la commission,
créant de ce fait une impasse par un vote de 3 contre 3. Ceci permit
au Commissaire de la FDA de briser l’impasse et d'approuver l'aspartame pour
les aliments secs en 1981. Le Dr. Jacqueline Verrett, doyenne scientifique
d'une commission d'étude d'un Bureau of Foods de la FDA mise en place
en août 1977 afin d'étudier le rapport Bressler (un rapport
qui décrivait les procédures douteuses de la compagnie G.D.
Searle au cours des tests probatoires) explique : « Il était
particulièrement évident que quelque part le long de la chaîne,
les officiels du bureau travaillaient à une exonération. »
En 1987, le Dr. Verrett dans une déposition devant le Sénat
Américain, déclara que les expérimentations menées
par Searle étaient "désastreuses". Elle déclara que
son équipe fut instruite de ne pas émettre de commentaires
sur la validité des études ni de s’en préoccuper. Elle
déclara qu'il n'avait pas été apporté réponse
à des questions concernant les malformations congénitales.
Elle poursuivit sa déposition en exposant le fait qu'il avait été
démontré que la DKP accroissait la formation de polypes utérins
et augmentait le taux de cholestérol dans le sang et que l'augmentation
de la température du produit mène à un accroissement
de la production de la DKP. (13)
Les "portes tournantes"
La FDA et les fabricants d'aspartame eurent un mouvement de personnel important
pendant de nombreuses années. A part le Commissaire de la FDA et les
deux juges d'instruction fédéraux démissionnant pour
être engagés par des sociétés en relation avec
G.D. Searle, quatre autres officiels de la FDA en relation avec l'approbation
de l'aspartame acceptèrent des emplois en relation avec l'industrie
du NutraSweet entre 1979 et 1982, y compris le Commissaire Délégué
de la FDA, l'Assistant Spécial au Commissaire de la FDA, le Directeur
adjoint du Bureau of Foods and Toxicology et le Procureur impliqué
dans le Bureau d'Enquête Publique (Public Board of Inquiry). (24)
Il est important de réaliser que ce phénomène dit des
"portes tournantes" s'est répété durant des décennies.
La Townsend Letter for Doctors (11/92) rend compte d'une étude révélant
que 37 des 49 responsables les plus importants de la FDA ont accepté
des postes dans des compagnies au sujet desquelles ils avaient rendu des
décisions durant leur mandat à la FDA. Elle fit également
état du fait que plus de 150 fonctionnaires hauts placés de
la FDA possédaient des actions de compagnies qu'ils avaient la responsabilité
de surveiller. De nombreuses organisations et universités reçurent
des sommes très importantes de compagnies reliées à
la NutraSweet Association, un groupe de compagnies promouvant l'utilisation
de l'aspartame. En janvier 1993, l'American Dietetic Association reçu
un don de 75 000 US$ de la NutraSweet Company. L'American Dietetic Association
a déclaré que la NutraSweet Company rédigeait ses pages
intitulées "Des Faits". (25)
Plusieurs autres organisations et chercheurs soi-disant "indépendants"
reçoivent des sommes importantes des fabricants d'aspartame. L'American
Diabetes Association a reçu un montant très important de NutraSweet,
dont notamment une somme pour le fonctionnement d'une école culinaire
à Chicago (vraisemblablement pour enseigner aux diabétiques
comment utiliser NutraSweet dans leur cuisine).
Un chercheur d’un état de la Nouvelle-Angleterre qui avait souligné
par le passé les dangers de l'aspartame est maintenant un consultant
à l’emploi de Monsanto. Un autre chercheur du sud-est des États-Unis
avait témoigné des dangers de l'aspartame pour les foetus.
Un journaliste d'enquête a révélé qu'on lui a
demandé de « la fermer » afin d'éviter la perte
d'un don important en provenance d'un fabricant de cola diététique
appartenant à la NutraSweet Association.
Que fait la FDA pour protéger le consommateur des dangers de l'aspartame?
Moins que rien.
En 1992, la FDA autorisa l'utilisation de l'aspartame dans les boissons maltées,
les céréales pour petit déjeuner et les garnitures et
gâteaux glacés. En 1993, la FDA autorisa l'utilisation de l'aspartame
dans les bonbons durs et mous, les boissons non-alcoolisées en vogue,
les boissons au thé, les jus de fruits et les concentrés, les
viennoiseries et les préparations à pâtisserie, les gelées,
les crèmes et nappages pour les pâtisseries.
En 1991, la FDA a interdit l'importation du stevia. La poudre de cette feuille
a été utilisée pendant des centaines d'années
comme édulcorant. Elle est largement utilisée au Japon sans
aucun effet contraire. Des scientifiques engagés pour étudier
le stevia l'ont déclaré propre à la consommation humaine,
ce qui a été tout à fait reconnu dans de nombreuses
régions du monde où il n'est pas interdit. Toutes les personnes
à qui j'ai parlé de cette question croient que le stevia a
été interdit afin qu'il ne puisse s'implanter aux USA et réduire
ainsi les ventes de l'aspartame. (26)
Que fait le Congrès américain pour protéger le consommateur
des dangers de l'aspartame? Rien.
Que fait l'Administration américaine (Président) pour protéger
le consommateur des dangers de l'aspartame? Rien.
La consommation d'aspartame n'est pas seulement un problème aux USA.
Il est en vente dans plus de 70 pays dans le monde.
L'ASPARTAME PEUT ÊTRE TROUVÉ DANS : - les petits-déjeuners
instantanés - les rafraîchisseurs d'haleine (rice-bouche) -
les céréales - les gommes à mâcher sans sucre
- les mélanges au cacao - les boissons au café - les desserts
réfrigérés - les desserts gélatineux - les boissons
à base de jus de fruits - les laxatifs - les multivitamines pour adulter
et pour enfants - les boissons au lait - les médicaments et suppléments
nutritifs - les mélanges mixés - les boissons non alcoolisées
- les édulcorants de table - les boissons au thé - les thés
et cafés instantanés - les mousses et crèmes décoratives
- les glaçages - les yaourts (yogourts)
Il m'a été dit que de l'aspartame a été trouvé
dans des produits alors qu'il n'était pas mentionné sur la
liste des ingrédients figurant sur l'emballage. On doit faire particulièrement
attention aux produits pharmaceutiques et aux suppléments nutritionnels.
J'ai été informé que même quelques suppléments
fabriqués par des fabricants connus tel que Twinlabs contiennent de
l'aspartame.
L'information présentée ici n'est que la pointe de l'iceberg
car il y a énormément d’information négative au sujet
l'aspartame. Afin que le lecteur puisse obtenir de plus amples informations,
j'ai inclus quelques sources ci-après.
OUVRAGES *Blaylock, Russell L., Excitotoxins : The Taste That Kills (Health
Press, Santa Fe, New Mexico, |1994). Un des meilleurs ouvrages disponibles
sur les excitotoxines. Vaut le coup d'être lu ! *H.J. Roberts, M.D.,
aspartame (NutraSweet), Is it Safe? Disponible par le réseau de l'aspartame
Consumer Safety. *Sweet'ner Dearest, disponible par le réseau de l'aspartame
Consumer Safety. *Mary Nash Stoddard, The Deadly Deception, disponible par
le réseau de l'aspartame Consumer Safety. *Barbara Mullarkey, Editeur,
Bittersweet aspartame - A Diet Delusion, disponible par le réseau
de l'aspartame Consumer Safety. *The aspartame Consumer Safety Network, The
aspartame consumer Safety Network Synopsis. *Dennis Remington, M.D. et Barbara
Huga, R.D., The Bitter Truth About Artificial Sweetners, disponible par le
réseau de l'aspartame Consumer Safety.
ASPARTAME CONSUMER SAFETY NETWORK P.O. Box 780634 Dallas, Texas 75378, USA
Tél.: (214) 352-4268
Pour obtenir plus de renseignements (disponible en anglais seulement), mettez
juste dans la ligne "sujet" de votre courriel : Please send me help et envoyez-le
à Betty Martini <[email protected]> la fondatrice
de Mission Possible International.
Mais surtout visitez http://www.dorway.com
qui contient plus de 500 pages web sur l’aspartame. Vous y découvrirez
aussi des hyperliens avec 29 autres sites touchant le sujet. Visitez aussi
le FAQ
------------------------------------------------------------------------
REFERENCES (1) Department of Health and Human Services, Rapport sur les
effets contraires du système de surveillance des effets contraires,
( 25 et 28 février 1994).
(2) Compilé par des chercheurs, docteurs et experts des édulcorants
artificiels pour Mission Possible, un groupe dédié à
la mise en garde des consommateurs quant à l'usage de l'aspartame.
(3) Excitotoxines : The Taste That Kills, par Russell L. Blaylock, M.D.
(4) Safety of Amino Acids, Life Sciences Research Office, FASEB, FDA Contract
n° 223-88-2124, Task Order N° 8.
(5) Département de la FDA chargé de la surveillance des réactions
adverses.
(6) Wurtman et Walker, "Dietary Phenylalanine and Brain Function", réunions
du premier meeting international sur la Phénylalanine diététique
et la fonction du cerveau, Washington, D.C., 8 mai 1987.
(7) Audition devant le Committee On Labor and Human Resources du Sénat
des Etats-Unis, première session sur l'examen des problèmes
de santé et de sécurité du NutraSweet (aspartame).
(8) Compte-rendu de John Cook publié dans Informed Consent Magazine.
"How Safe Is Your Artificial Sweetener" par Barbara Mullarkey, Septembre/octobre
1994.
(9) Woodrow C. Monte, PhD., R.D., "aspartame : Methanol and the Public Health",
Journal of Applied Nutrition, 36 (1):42-53.
(10) Cour d'appel des USA du Circuit du District de Columbia, N° 84-1153
Community Nutrition Institute et le Dr. Woodrow Monte contre le Dr. Mark Novitch,
Acting Commissioner de la FDA des USA (24/9/85)
(11) Main courante sur l'aspartame par Barbara Mullarkey, publiée
dans Informed Consent Magazine, Mai/juin 1994.
(12) Brigade d'inspection de la FDA "Final Report of Investigation of G.D.
Searle Company" (24 mars 1976)
(13) Déposition du Dr. Jacqueline Verrett, toxicologue de la FDA,
devant la commission sénatoriale des USA sur le travail et les Ressources
Humaines, (3 novembre 1987)
(14) Mémorandum interne de la FDA
(15) Analyse préparée par le Dr. John Olney en tant que déclaration
devant le bureau d'investigation de la FDA. Also Excitotoxins par Russell
Blaylock, M.D.
(16) Rapport d'audience au Congrès SID835:131 (1er août 1985)
(17) Information sur le Programme de l'Institut National sur le Cancer SEER
(18) Walton, Ralph G., Robert Hudak, Ruth Green-Waite " Adverse Reactions
to aspartame : Double Blind Challenge in Patients from a Vulnerable Population";
Biological Psychiatry, 1993:34:13-17
(19) Barbara Mullarkey, "How Safe Is Your Artificial Sweetner?" numéro
de Septembre/octobre 1994 de Informed Consent Magazine.
(20) US Air Force. "aspartame Alert". Flying Safety, 48 (5) :20-21 (Mai
1992)
(21) Rapport de l'Aspartam Consumer Safety Network.
(22) Barbara Mullarkey, "Bittersweet aspartame, A Diet Delusion".
(23) Millstone, Eric "Sweet and Sour". The Ecologist, 25 (mars/avril 1994)
(24) Mary Nash Stoddard, éditeur, "The Deadly Deception", aspartame
Consumer Safety Network.
(25) ADA Courier, Janvier 1993, Volume 32, Numéro 1.
(26) "FDA Rejects AHPA Stevia Petition" par Mark Blumenthal, Whole Foods,
Avril 1994
*****************************************
Aspartame :
Le mal caché du siècle
http://www.earthrainbownetwork.com/AspartaMalcache.htm
par Julie Brière
Parce que vous vous préoccupez de votre poids, vous pensez que les succédannés, tel que l'aspartame, sont meilleurs que le sucre pour votre santé? Grave erreur...
À première vue, c'est génial: se sucrer le bec sans subir l'inconvénients des calories! Cependant, La liste des plaintes reliées à ce succédané du sucre ne cesse de s'allonger, particulièrement aux États-Unis, où on observe une importante consommation de produits "diète". Pire, on sait maintenant que la consommation d'aspartame entraîne des effets secondaires allant du simple mal de tête à des tumeurs au cerveau.
En effet, les statistiques américaines provenant du National Cancer Institute révèlent une hausse alarmante du nombre de tumeurs au cerveau: en 1983, 2,1 % des cancers chez les hommes se situaient au cerveau; en 1987, l'incidence était passée à 8,1 % pour ces messieurs, grimpant même à 11,7 % chez les femmes! En creusant la question, les chercheurs ont constaté que cette forte hausse coïncide justement avec l'apparition, en 1983, des boissons gazeuses édulcorées à l'aspartame. Le débat pour son retrait du marché n'a pas cessé depuis.
L'aspartame a été découvert par hasard en 1965 au laboratoire Searle, aux États-Unis, par un scientifique qui cherchait à mettre au point un médicament contre les ulcères. En goûtant une pincée de sa poudre, il se serait rendu compte qu'elle avait un goût étonnamment sucré. Cette découverte était une bénédiction pour l'industrie alimentaire, qui cherchait une solution de rechange aux cyclamates et à la saccharine, interdits dans les aliments par le gouvernement depuis que des études chez les animaux ont révlé qu'ils enétraînaient des cancers. Au Canada, ces deux édulcorants sont tout de même disponibles en sachets dans les épiceries, les pharmacies et les restaurants. L'aspartame a été autorisé dans les aliments secs en 1981, puis dans les boissons gazeuses en 1983.
Commercialisé sous le nom de NutraSweet et d'Égal, l'aspartame est un édulcorant synthétique modifié génétiquement et composé de deux acides aminés (composants des protéines), la phénylalanine et l'acide aspartique. Son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé que celui du sucrose. Pourtant, le cheminement de l'aspartame laisse plutôt un goût amer dans la bouche. Il a même des allures de conspiration, puisque le Pentagone a déjà nommé l'aspartame dans un inventaire d'armes chimiques! En fait, tant G.D. Searle, la compagnie de produits chimiques et pharmaceutiques mentionnée précédemment, que Monsato, maintenant propriétaire et fabricant d'aspartame, ont des liens tangibles avec la fabrication d'armes chimiques.
C'est en 1974 que l'aspartame est approuvé pour la première fois. À la suite de deux études démontrant que cette substance cause des tumeurs chez les animaux de laboratoire, l'autorisation est abrogée. Ces études n'ont jamais été réfutées depuis. En septembre 1980, après délibération, un comité de la Food and Drug Administration (FDA) se prononce contre l'aspartame. Quatre mois plus tard, G.D. Searle soumet dix nouvelles études "bidons", qui feront pencher la balance du côté de l'aspartame par un vote: celui du commissaire Arthur Hayes... qui sera plus tard engagé par Searle! Selon le Dr Adrian Gross, ancien toxicologiste de la FDA, ces études sont de la foutaise. Il a noté que des décès d'animaux ont été cachés, que des tumeurs n'ont pas été rapportées et, dans certains cas, qu'elles ont même été extraites de l'animal qui, lui, a été remis dans l'étude!
En 1996, le médecin et professeur Ralph G. Walton, du collège de médecine de la Northeastern Ohio Universities, décide d'analyser l'ensemble des études scientifiques reliées à la consommation d'aspartame. Ses observations parlent d'elles-mêmes: parmi les 174 études analysées, 74 étaient financées par l'industrie de l'aspartame, et 100 % d'entre elles concluaient qu'il n'y avait aucun problème avec ce produit! Cependant, sur 90 études indépendantes (non financées), 83 (92 %) ont plutôt relevé un ou plusieurs problèmes reliés à l'usage de cet édulcorant. L'aspartame est l'objet de controverse depuis son apparition; même son approbation relève d'une décision plus politique que scientifique. Mais avec des revenus se chiffrant dans les milliards de dollars par année, la compagnie Monsato n'est pas prête de lâcher le morceau.
La liste des effets secondaires liés à la consommation d'aspartame est très longue. De plus, selon la revue Headache de novembre 1997, des personnes particulièrement sensibles peuvent ressentir des effets avec de très faibles doses: une gomme à mâcher, par exemple, peut causer un mal de tête! En 1994, la FDA avait déjà accumulé près de 7000 plaintes d'effets secondaires reliés à l'aspartame (l'organisme ne veut d'ailleurs plus compiler les plaintes). Les plus fréquentes sont: maux de tête (ce qui a été confirmé par plusieurs études), vertiges, vision embrouillée, changements d'humeur, douleurs au ventre et crampes musculaires. Aux États-Unis, des pilotes d'avion ont même perdu leur permis pour avoir manifesté ces symptômes dans les heures suivant l'ingestion de boissons à l'aspartame. Des communiqués à cet effet ont d'ailleurs été émis dans les bulletins du U.S. Air Force et du U.S. Navy afin de prévenir le personnel de ce risque.
Parmi les autres symptômes figurent les dépressions, les pertes de mémoire, les douleurs aux jointures, les troubles menstruels, les crises d'épilepsie et même quelques décès! Et il ne s'agit là que d'une fraction des effets actuellement associs à la éconsommation d'aspartame, puisque la majorité des gens n'ont pas encore fait le lien entre leurs problèmes de santé et ce produit. Même s'ils le font, seul un léger pourcentage des gens et des professionnels de la santé prendront le temps de le rapporter aux autorités gouvernementales.
En 1991, le National Institute of Health a publié une bibliographie, Adverse Effects of Aspartame, énumérant pas moins de 167 raisons d'éviter l'aspartame. Une étude récente a également démontré que l'aspartame, tout comme le sucre, entraîne une calciurie, c'est-à-dire une perte de calcium dans les urines.
Puisque l'aspartame contient le même nombre de calories que le sucre, mais que son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé, comment le pancréas réagit-il lorsque la langue le détecte? Se pourrait-il qu'il envoie une dose massive d'insuline pour contrebalancer cette sensation trompeuse? Est-ce que la chute de sucre qui en résulterait donnerait à nouveau le désir de manger? Selon le neuroscientifique Richard Wurtman, la consommation de doses élevées d'édulcorants comme l'aspartame provoquerait effectivement des "crises" de sucre. L'American Cancer Society a confirmé cette ironie après avoir suivi 80 000 femmes durant six ans. Parmi celles qui ont pris du poids durant cette période, les femmes qui utilisaient des édulcorants artificiels en ont pris davantage que celles qui n'en consommaient pas.
Une autre étude effectuée chez un petit groupe de femmes à la diète dmontre équ'elles ont tendance à manger davantage durant les jours qui suivent l'ingestion de boissons sucrées à l'aspartame, comparativement à l'ingestion de boissons sucrées naturellement (étude effectuée par J.H. Lavin et ses collaborateurs, parue en janvier 1997 dans une revue scientifique internationale sur l'obésité). Même le simple fait de mâcher de la gomme sucrée à l'aspartame augmenterait l'appétit. Quelques autres études, toutefois, n'ont pu démontrer ces effets.
On suppose par ailleurs que les gens qui consomment des produits diètes auraient tendance à être moins vigilants: un faux sentiment de sécurité pourrait les porter à manger des gâteries, ici et là, puisqu'ils ont déjà "économisé"... Dans toute cette controverse, une chose est sûre: les édulcorants comme l'aspartame entretiennent le goût du sucre et ne permettent pas de modifier ses habitudes alimentaires, seul gage d'une perte de poids durable.
Selon le Dr H. J. Roberts, un endocrinologiste qui en a vu des "vertes et des pas mûres" avec l'aspartame, ce substitut de sucre compliquerait le contrôle de la glycémie chez les diabétiques, entraînant des crises plus fréquentes d'hypoglycémie et aggravant les complications diabétiques (cataractes, rétinopathies, neuropathies, etc.). De plus, chez un certain nombre de ses patients, on a incorrectement diagnostiqué qu'ils étaient atteints de la sclérose en plaques; les médecins dans l'erreur ignoraient que l'ingestion d'aspartame sur une base régulière entraîne des symptômes semblables.
· Près de 2 % de la population est porteuse, sans le savoir, d'un des deux gènes qui causent la phénylcétonurie. Or, l'aspartame contient de la phénylalanine, un acide aminé que ces personnes ne peuvent utiliser par manque d'une enzyme spécifique. Ces gens doivent éviter tous les produits qui en contiennent - dont l'aspartame - au risque de subir des crises d'épilepsie et des troubles mentaux sévères. Dans le doute, évitez de consommer de l'aspartame.
· Si vous souffrez d'un problème de santé persistant et que vous utilisez des produits édulcorés à l'aspartame (boissons diète, gommes à mâcher, sachets, yogourts, etc.), cessez complètement d'en consommer durant un mois afin de voir si vos symptômes diminuent.
· Vous devrez lire attentivement les étiquettes de tous les produits que vous achetez, car l'aspartame s'est infiltré un peu partout (voir ci-bas). À mon avis, plus vous vous tiendrez loin de cet additif, mieux vous vous porterez.
En 1992, l'aspartame apparaissait dans plus de 4200 produits alimentaires aux États-Unis: certaines marques de crème glacée, yogourts, puddings, confitures, desserts prparés, cééréales à déjeuner, vinaigrettes et dîners surgelés en contiennent. Les pires: les boissons gazeuses "diète", les sachets de sucre Égal et la gomme à mâcher sans sucre. Les médicaments peuvent aussi en contenir, de même que le psyllium sucré "sans sucre" et les suppléments de vitamines croquables pour enfants. Surveillez les étiquettes.
L'aspartame est peu stable dans les liquides et se décompose après une exposition à des températures élevées - ce qui se produit lorsqu'on fait chauffer l'aspartame, qu'on l'ajoute à des liquides chauds (café) ou lorsqu'il est entreposé durant de longues périodes à la température de la pièce. La dégradation du produit entraîne, entre autres, la formation de méthanol, qui se décompose par la suite en formaldéhyde (carcinogène connu), en acide formique et en diketopiperazine (DKP), tous responsables de tumeurs au cerveau.
Plusieurs groupes de pressions,
dont Mission Possible International, tentent depuis plusieurs
années de faire interdire l'aspartame, dont ils dénoncent
la nocivité. Cet organisme possède un site Internet
rempli de données et de témoignages de médecins
et de victimes. L'adresse: http://www.dorway.com
Le site de NutraSweet, filiale de Monsanto http://www.nutrasweet.com/html/index.html
Ce texte a été publié originellement dans le magazine Guide Ressources de janvier 1999.