Cette article est parue dans TOP SECRET N°9
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Les secret de l'antigravité
La théorie unifiée des champs permetant de comprendre l'antigravité est tellement complexe qu'elle ne peut être expliquée qu'à des physicien avertis ; l'explication vulgarisée qui suit n'a donc pour but que de donner une intuition juste du problème et ne prétend en aucun cas être un reflet exact du modèle mathématique réel.
Ci-dessus, un condensateur asymétrique de Jean-louis Naudin fonctionnant sur l'antigravité(http://jlnlabs.imars.com/lifters/act/html/2dacapfr.htm)
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Toutes matière est contenue dans un espace rempli de particules virtuelles appelées graviton. Des particules virtuelles sont des particules qui n'ont aucune masse apparente ou réelle et par conséquent ne sont pas une énergie manifestée. Le graviton se compose d'un photon (grain de lumière) et d'un antiphoton virtuels liés entre eux. L'antiphoton est un photon dont la flèche temporelle est inverse de celle du photon, sa flèche temporelle va du futur vers le passé. Une tension dénergie existe entre le photon et l'antiphoton générant des ondes électromagnétiques stationnaires dans le vide. A chaque onde strictement identique et superposée dans l'espace à la première mais dont le sens temporel est inverse, c'est-à-dire qu'elle va du futur vers le passé.
Pour comprendre ce qu'est un système d'ondes stationnaires, il suffit d'imaginer deux voitures se touchant face-à-face et esseyant d'avancer avec la même force, il est evident que tout en roulant, elles feront du surplace, chaque voiture offrant une force inverse à celles de l'autre. Il en est de même avec ces ondes dont les flèches temporelles inverses "annulent" en quelque sorte le mouvement apparent, les rendant ainsi stationnaires dans l'espace alors qu'elles sont en mouvement. Contrairement aux ondes électromagnétiques, que nous observons dans la matière et qui ont trois dimensions d'espace et deux dimensions de temps, ces ondes gravitationiques du vide ont deux dimensions d'espace et trois de temps. Ces ondes ont été découvertes en 1904 par le physicien et mathématicien britannique, Whittaker, la théorie unifiée des champs qui en découle ayant été publié et démontrée expérimentalement en 2001par Thomas Bearden et Floyd Sweet. Ces couples d'ondes temporellement inverses sont appelées ondes longitudinales scalaires.
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Ces ondes longitudinales scalaires sont une énergie, mais faite de temps. On peut donc dire, e, simplifiant beaucoups, que le temps et dans la matières, c'est l'espace ! Lorsque des ondes longitudinales scalaires perdent une dimension de temps en acquérant une dimension d'espace, elles deviennent les ondes électromagnétiques que nous connaissons. Les Atomes émetent et reçoivent en permanence des ondes longitudinales scalaires dans le vide, mais dans un rapport inégal. C'est-à-dire que l'atome restitue au vide moins d'énergie qu'il n'en reçoit, la "pression" des ondes scalaires du vide étant plus forte que la "contre préssion" des ondes scalaires émises par l'atome, celui-ci subit une "pression du vide". Cette "pression du vide" sur un atome ou une particule est ce que qu'on apelle la masse.
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Si un corps accélère, la "pression du vide" augmente encore plus dans la direction vers laquelle il avance, cette "pression" supplémentaire est ce qu'on apelle l'inertie. Si l'on arrive par un moyen quelconque à renverser le déséquilibre d'énergie scalaire entre l'atome et le vide, on pourra diminuer voire annuler sa masse et son inertie. Autrment dit, il suffit que l'atome émette plus d'énergie (d'ondes longitudinales scalaires) vers le vide qu'il n'en reçoit du vide pour qu'il soit en antigravitation. L'énergie des ondes longitudinales scalires du vide étant du "temps", il suffit donc de donner du "temps" a l'atome pour annuler sa masse. Par chance, la nature nous offre un moyen très simple de créer cette énergie scalaire "temporelle" : c'est la rotation , mais pour que l'effet soit significatif, il faut que ce mouvement rotatif soit extremement rapide. Pour simplifier à l'extreme, on peut dire que tout mouvement rotatif rapide transforme l'énergie "spatiale" en énergie "temporelle". Ce qu'il faut mettre en rotation peut-être indifférement de la matière ou des champs électromagnétiques ou une combinaison des deux. Dans le cas de la matière cela peut-être des corps solides, liquides, gazeux ou des plasmas.
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De plus, la matière peut-être mise en rotation au niveau de l'objet entier, de la molécule ou de l'atome. Dans le cas d'un objet eniter, ce sera par exemple un disque solide ou gazeux que l'on accélérera à des vitesses de rotation de plusieurs dizaines de km/s. A partir d'une certaine vitesse, les noyaux atomiques composant l'objet se mettront à tourner sur eux-mêmes tout en alignant de manière parallèle leurs axes (spin) de rotation, cela s'appelle, l'effet contrabarique de corotation spinale. L'effet peut être amplifié en apliquantà l'objet en rotation de puissants champs magnétiques tournants ou rayonnants de manière radiale depuis le centre de rotation (disque de Carr ou de Searl). Dans le cas d'un noyau atomique on pourra le mettre en rotation rapide avec des ondes mécaniques, en l'occurence du son, qui en agitant les noyaux atomiques à certaines fréquences de résonance les metteront en rotation synchronisée. Une autre méthode consiste à appliquer un courant à très haute tension qui mettra en rotation les noyaux atomiques à condition qu'ils soient électro rotationnels. Un noyau est électo rotationnel lorqu'il comprend un nombre impair de protons et un nombre pair de neutrons, plus le noyau électro rotationnel sera lourd, plus facile il sera à mettre ne rotation. Le meilleur atome électro rotationnel connu de l'auteur est l'atome de bismuth. La coque des prototypes antigravitionnels nazis décrit sur ce site est composée d'un alliage métallique électro rotationnel baptisé par les Allemand "Impervium" (malheureusement, l'auteur n'en connait pas la composition). Lorsque qu'on annule la masse d'un corps, le vide restitue en retour des quantités énormes d'énergie électromagnétique que l'on peut récupérer facilement afin d'alimenter le moteur antigravitationnel. Un véhicule antigravitationnel, n'a donc besion d'aucune source d'énergie propre pour voler et peut se déplacer éternellement. Il faut savoir enfin que le moteur antigravitationnel crée autour des atomes du véhicule étant une sorte de vrai vide dans le vide, le vaisseau ne subit aucun frottement de l'air extérieur (quelle que soit sa vitesse) et de plus, est complétement protégé des radiations extérieures.
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La tornade implosive de Shauberger et le levitator de Schumann
A gauche, la Vril 1 de Shauberger ; A droite, le Haunebu II de Schumann
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La tornade implosive de Shauberger comprend une tornade d'air centrale (ou tout autre gaz ou liquide) elle-même composée de petites tornades périphériques. Cette tornade peut-être soit créee par un réacteur implosif, dans ce cas, la gaz ou le liquide accéléré par la tornade s'échape par une tuyère, soit créee par un générateur implosif en circuit fermé, la tornade restant alors confinée dans une enceinte étanche. Le premier étage du réacteur implosif de Shauberger se compose d'un compresseur centrainé par un moteur électrique. Le rotor du compresseur comprend 24 ailettes (toroïdales). Les forces centrifuges créees par la rotation rapide du compresseur éjectent l'ai en l'accélérent à traver les ailettes toroïdales en créant 24 petites tornades donc l'axe de rotation est horizontale. En suivant les paroi intérieure de l'enceinte du réacteur, les petites tornades horizontales forment une tornade verticale mise ne rotation par le compresseur. Une fois accélérée, la tornade s'échappe par une tuyère à l'extremité inférieur conique du réacteur.
À gauche, Viktor Schauberger ; À droite, plan provenant des archive de Viktor Schauberger
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Si l'on observe une section de la tornade principale vue de dessus, elle se compose de petits tronades tournant sur elles-mêmes. La rotation de chaque petite tornade crée autour d'elle une zone d'air de moindre pression qui attire les petites tornades entre elles ce qui rétrécit la tornade. Cet effet est accentué par les collisions mécaniques des petites tornades les unes par rapport au autres. De plus, le frottement et les collisions des molécules d'air créent d'importantes charges éléctriques, de polarité positive à l'intérieur de la tornade principale et négative à l'extérieur. D'autre part, la rotation de la tornade crée en son centre une zone de basse pression, voire de vide, à basse température. Enfin, les calories contenues dans l'air extérieure aspiré par la tornade apportent une énergie supplémentaire à celle-ci. Tous ces effets cumulés provoquent un rétrécissement de la tornade ce qui a pour effet d'accélérer de plus en plus les molécules d'air qui la compose, aussi bien en rotation qu'en translation vers le bas (vitesse d'éjection de la tuyère). Les forces de répulsion mécanique, aérodynamiques et électrostatiques provoquent une expansion de la tornade. La tornade a donc une cycle de contraction et d'expension pulsées, comparable au batement d'un coeur.
Ci-dessus, une section de la tornade observer a la verticale
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La dynamique complexe de la tornade de Shuaberger crée en son centre une tornade montante, de même sens de rotation que la tornade principale, qui restitue son énergie au sommet du réacteur en participant à l'entraînement du compresseur. L'injection d'alcool à bruler enflammé à l'entrée du réacteur fournit un thermique qui entretient la tornade et la rotation du compresseur sans le moteur électrique. La quantité d'alcool nécécsaire est éxtremement faible, de l'ordre du centimètre de litre par heure. Les réacteurs et les générateurs de Shauberger atteignent des rendements de 99%, à comparer aux rendements de l'ordre de 60% des moteurs thermiques classiques.
En fesant tourner rapidement un bâtonnet sur le pourtour intérieur d'un verre de thé, vous pouvez facilement créer vous-même une tornade de Shauberger et observer son comportement. Si vous placez un simple disque lisse (entrainé par un moteur) à la surface du liquide et que vous recouvrez le tout d'un couvercle, vous obtenez un générateur de Shauberger en circuit fermé.
Ci-dessus, la première soucoupe imaginée par Shauberger utilisant la tornade implosive
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Shauberger développe un moteur permettant la propulsion et la lévitation, dérivé de son générateur implosif en circuit fermé. Lorsque les molécules de gaz composant la tornade dépassent une vitesse de 8km/sec, les petites tornades tournant suivant des axes différents de la tornade principale forment un système gyroscopique complexe générant des vecteurs d'accélération dont la résultante des forces est plus ou moins perpendiculaires au plan principale de rotation. Attention, il ne s'agit en aucun cas d'antigravitation puisque la masse et l'inertie du système ne sont pas supprimées. Ces forces sont baptisées "mertioïds" par les Russes et les anglo-saxons et "vectomasse" (ou vecteur masse) par les Français.
Vous pouvez observer ces forces en faisant tourner, sur une perçeuse tenue à bout de bras, un disque de 200g et de 10cm de diamètre. En pivotant sur vous même en changeant l'orientation de la perçeuse dans votre main, vous constaterez l'apparition de forces gyroscopiques très puissantes qui vous tireront dans des directions inattendues.
Avec l'aide théorique du docteur Schumann, Shauberger conçoit un moteur antigravitationnel en remplaçant le compresseur d'origine par bobines électromagnétiques qui mettent en rotation rapide de la vapeur de mercure naturellement conductrice d'électricité. La vapeur de mercure est accélérée en tornade par deux bobines annulaires placées contre la paroi intérieure de l'enceinte cylindrique. La moins puissante des bobines étant placée au sommet de l'enceinte et la plus puissante du champs magnétique des bobines introduit une accélération électromagnétique de la tornade plus rapide en bas de l'enceinte qu'en haut. D'autre part, l'intérieur de l'enceinte est tapissée d'un empilement d'aimants permanents de force annulaire dont le pôle positif est tourné vers le centre de l'enceinte, créant ainsi un champ magnétique permanent à l'intérieur de celle-ci. L'enceinte cylindrique est contenue dans une enceinte discoïdale bicônique de grand diametre formant le résonateur.
Ci-dessus, le dr. Schumann et sa soucoupe
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Par la suite, seul la jupe conique supérieure du résonateur sera conservée. Le résonateur étend le champs antigravitationnel afin qu'il inclut l'ensemble des éléments du véhicule entourant le moteur. Dans le moteur antigravitationnel de Shauberger, quatre électroaimants, dont les pôles positifs (pole nord) sont orientés au centre de la tornade, sont placés aux quatre points cardinaux de l'équateur (la mi-hauteur) de l'enceinte. En modulant la puissance de chacun des électroaimants il est possible de déformer la tornade. Ce qui permet de piloter le véhicule dans les axes horizontaux. et vertcaux mais ne permet pas le contrôle de l'inclinaison.
5 prototypes différents chacun étant en légere évolution sur le précedent, sont construit suivant le principe par l'équipe de Shauberger sous le noms de "Vril". Schumann crée une enceinte sphérique ce qui améliore les phénomènes de résonance dans la tornade et baptise son nouveau moteur Lévitator. Kohler quand à lui perfectionne le moteur de Schumann en remplaçant les 4 électroaimants équatoriaux servent au pilotage par trois sphères placées à l'extérieur de la base inférieure de l'enceinte. Des bobines magnétique placées dans chacune des sphères permettent le contrôle de la charge magnétique de celle-ci. Un contrôle complexe de chacune des sphère permet de piloter le véhicule sur tout les axes. Kohler baptise son dispositif Tachyonator et en équipe une série de prototypes baptisé Haunebu, à l'exception de la Haunebu I qui conserve le système de pilotage de Shauberger.
Ci-dessus, la Haunebu I
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Dans les années 70, l'inventeur Canadien David Hamel refait sans le savoir une version électromagnétique du lévitator de Schumann, le "spinner", la tornade électromagnétique du levitator étant ici remplacée par un empilement de deux, trois cônes métalliques.
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En oscillant dans des champs magnétiques, les cônes créent l'équivalent électromagnétique d'une tornade. Le cône à l'intérieur du cône oscille à grande vitesse tout en étant maintenu en déséquilibre. La zone supérieur des cônes est suspendue sur des aimants pour entretenir la rupture d'équilibre et l'effet d'oscillation, la pointe du cône inféreur reposant selon les modèles sur une boule de granit ou un aimant.
Ci-dessus, plan de l'inventeur Canadien David Hamel
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