La théorie unifiée des champs permettant de comprendre l'antigravité est tellement complexe qu'elle ne peut être expliquée qu'à des physiciens avertis ; l'explication vulgarisée qui suit n'a donc pour but que de donner une intuition juste du problème et ne prétend en aucun cas être un reflet exact du modèle mathématique réel.Toute la matière est contenue dans un espace vide rempli de particules virtuelles appelées gravitons. Des particules virtuelles sont des particules qui n'ont aucune masse apparente ou réelle et par conséquent ne sont pas une énergie manifestée Le graviton se compose d'un photon (grain de lumière) et d'un antiphoton virtuels liés entre eux. L'antiphoton est un photon dont la flèche temporelle est inverse de celle du photon, sa flèche temporelle va du futur vers le passé. Une tension d'énergie permanente (analogiquement comparable à la tension électrique) existe entre le photon et l'antiphoton générant des ondes électromagnétiques stationnaires dans le vide. À chaque onde allant du passé vers le futur est associée une onde strictement identique et superposée dans l'espace à la première mais dont le sens temporel est inverse, c'est-à-dire qu'elle va du futur vers le passé. Pour comprendre ce qu'est un système d'ondes stationnaires il suffit d'imaginer deux voitures se touchant face-à-face et essayant d'avancer avec la même force, il est évident que tout en roulant elles feront du surplace chaque voiture offrant une force inverse à celle de l'autre. Il en est de même avec ces ondes dont les flèches temporelles inverses "annulent" en quelque sorte le mouvement apparent, les rendant ainsi stationnaires dans l'espace alors qu'elles sont en mouvement. Contrairement aux ondes électromagnétiques que nous observons dans la matière et qui ont trois dimensions d'espace et deux dimensions de temps, ces ondes gravitoniques du vide ont deux dimensions d'espace et trois dimensions de temps. Ces ondes ont été découvertes en 1904 par le physicien et mathématicien britannique Whittaker, la théorie unifiée des champs qui en découle ayant été publiée et démontrée expérimentalement en 2001 par Thomas Bearden et Floyd Sweet. Ces couples d'ondes temporellement inverses sont appelées ondes longitudinales scalaires. Ces ondes longitudinales scalaires sont une énergie, mais faite de temps. On peut donc dire, en simplifiant beaucoup, que dans le vide l'énergie c'est le temps et dans la matière c'est l'espace ! Lorsque des ondes longitudinales scalaires perdent une dimension de temps en acquérant une dimension d'espace elles deviennent les ondes électromagnétiques que nous connaissons. Les atomes émettent et reçoivent en permanence des ondes longitudinales scalaires dans le vide, mais dans un rapport inégal. C'est-à-dire que l'atome restitue au vide moins d'énergie qu'il n'en reçoit, la "pression" des ondes scalaires du vide étant plus forte que la "contre pression" des ondes scalaires émises par l'atome celui-ci subi une "pression" du vide. Cette "pression" du vide sur un atome ou une particule est ce qu'on appelle la masse. Si un corps accélère, la "pression" du vide augmente encore plus dans la direction vers laquelle il avance, cette "pression" supplémentaire est ce qu'on appelle l'inertie. Si l'on arrive par un moyen quelconque à renverser le déséquilibre d'énergie scalaire entre l'atome et le vide on pourra diminuer voire annuler sa masse et son inertie. Autrement dit il suffit que l'atome émette plus d'énergie (d'ondes longitudinales scalaires) vers le vide qu'il n'en reçoit du vide pour qu'il soit en anti gravitation. L'énergie des ondes longitudinales scalaires du vide étant du "temps", il suffit donc de donner du "temps" à l'atome pour annuler sa masse. Par chance la nature nous offre un moyen très simple de créer cette énergie scalaire "temporelle" : c'est la rotation, mais pour que l'effet soit significatif il faut que ce mouvement rotatif soit extrêmement rapide. Pour simplifier à l'extrême, on peut dire que tout mouvement rotatif rapide transforme de l'énergie "spatiale" en énergie "temporelle". Ce qu'il faut mettre en rotation peut être indifféremment de la matière ou des champs électromagnétiques ou une combinaison des deux. Dans le cas de la matière cela peut-être des corps solides, liquides, gazeux ou des plasmas. De plus, la matière peut-être mise en rotation au niveau de l'objet entier, de la molécule ou de l'atome. Dans le cas d'un objet entier ce sera par exemple un disque solide ou gazeux que l'on accélérera à des vitesses de rotation de plusieurs dizaines de kilomètres par seconde. À partir d'une certaine vitesse les noyaux atomiques composant l'objet se mettront à tourner sur eux-mêmes tout en alignant de manière parallèle leurs axes (spin) de rotation, cela s'appelle l'effet contrabarique de corotation spinale. L'effet peut être amplifié en appliquant à l'objet en rotation de puissants champs magnétiques tournants ou rayonnants de manière radiale depuis le centre de rotation (disques de Carr ou de Searl). Dans le cas d'un noyau atomique on pourra le mettre en rotation rapide avec des ondes mécaniques, en l'occurence du son, qui en agitant les noyaux atomiques à certaines fréquences de résonance les mettront en rotation synchronisée. Une autre méthode consiste à appliquer un courant à très haute tension qui mettra en rotation les noyaux atomiques à condition qu'ils soient électro rotationnels. Un noyau est électro rotationnel lorsqu'il comprend un nombre impair de protons et un nombre pair de neutrons, plus le noyau électro rotationnel sera lourd plus facile il sera à mettre en rotation. Le meilleur atome électro rotationnel connu de l'auteur est l'atome de bismuth. La coque des prototypes antigravitationnels nazis décrits dans cet article est composée d'un alliage métallique électro rotationnel baptisé par les Allemands "Impervium" (malheureusement l'auteur n'en connaît pas la composition). Lorsqu'on annule la masse d'un corps le vide restitue en retour des quantités énormes d'énergie électromagnétique que l'on peut récupérer facilement afin d'alimenter le moteur antigravitationnel. Un véhicule antigravitationnel n'a donc besoin d'aucune source d'énergie propre pour voler et peut se déplacer éternellement. Il faut savoir enfin, que le champ antigravitationnel créée autour des atomes du véhicule étant une sorte de vrai vide dans le vide, le vaisseau ne subi aucun frottement de l'air extérieur (quelle que soit sa vitesse) et de plus est complètement protégé des radiations extérieures
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From: Lapinmexicain Sent: 3/31/2004 12:35 PM
La tornade implosive de
Shauberger comprend une tornade d'air centrale (ou tout autre gaz ou liquide)
elle-même composée de petites tornades périphériques.
Cette tornade peut-être soit créée par un réacteur
implosif, dans ce cas le gaz ou le liquide accéléré
par la tornade s'échappe par une tuyère, soit créée
par un générateur implosif en circuit fermé, la tornade
restant alors confinée dans une enceinte étanche. Le premier
étage du réacteur implosif de Shauberger se compose d'un
compresseur entraîné par un moteur électrique. Le rotor
du compresseur comprend vingt-quatre ailettes radiales en forme de tire
bouchon (toroïdales). Les forces centrifuges créées
par la rotation rapide du compresseur éjectent l'air en l'accélérant
à travers les ailettes toroïdales en créant vingt-quatre
petites tornades dont l'axe de rotation est horizontal. En suivant la paroi
intérieure de l'enceinte du réacteur, les petites tornades
horizontales forment une tornade verticale mise en rotation par le compresseur.
Une fois accélérée, la tornade s'échappe par
une tuyère à l'extrémité inférieure
conique du réacteur.Si l'on observe une section de la tornade principale
vue de dessus elle se compose de petites tornades tournant suivant un cercle
tout en tournant sur elles-mêmes. La rotation de chaque petite tornade
créée autour d'elle une zone d'air de moindre pression qui
attire les petites tornades entre elles ce qui rétrécit la
tornade. Cet effet est accentué par les collisions mécaniques
des petites tornades les unes par rapport aux autres. De plus le frottement
et les collisions des molécules d'air créent d'importantes
charges électriques, de polarité positive à l'intérieur
de la tornade principale et négative à l'extérieur.
D'autre part, la rotation de la tornade créée en son centre
une zone de basse pression, voire de vide, à basse température.
Enfin, les calories contenues dans l'air extérieur aspiré
par la tornade apportent une énergie supplémentaire à
celle-ci. Tous ces effets cumulés provoquent un rétrécissement
de la tornade ce qui a pour effet d'accélérer de plus en
plus les molécules d'air qui la compose, aussi bien en rotation
qu'en translation vers le bas (vitesse d'éjection dans la tuyère).
Les forces de répulsion mécaniques, aérodynamiques
et électrostatiques provoquent une expansion de la tornade. La tornade
a donc un cycle de contraction et d'expansion pulsées, comparable
aux battements d'un coeur. La dynamique complexe de la tornade de Shauberger
crée en son centre une tornade montante, de même sens de rotation
que la tornade principale, qui restitue son énergie au sommet du
réacteur en participant à l'entraînement du compresseur.
L'injection d'alcool à brûler enflammé à l'entrée
du réacteur fournit une énergie thermique qui entretient
la tornade et la rotation du compresseur sans le moteur électrique.
La quantité d'alcool nécessaire est extrêmement faible,
de l'ordre du centième de litre par heure. Les réacteurs
et les générateurs de Shauberger atteignent des rendements
de 99 %, à comparer aux rendements de l'ordre de 60 % des moteurs
thermiques classiques. En faisant tourner rapidement un bâtonnet
sur le pourtour intérieur d'un verre de thé vous pouvez facilement
créer vous-même une tornade de Shauberger et observer son
comportement. Si, comme l'indique la figure, vous placez un simple disque
lisse (entraîné par un moteur) à la surface du liquide
et que vous recouvrez le tout d'un couvercle vous obtenez un générateur
de Shauberger en circuit fermé. Shauberger développe un moteur,
permettant la propulsion et la lévitation, dérivé
de son générateur implosif en circuit fermé. Lorsque
les molécules de gaz composant la tornade dépassent une vitesse
de huit kilomètres par seconde, les petites tornades tournant suivant
des axes différents de la tornade principale forment un système
gyroscopique complexe générant des vecteurs d'accélération
dont la résultante des forces est plus ou moins perpendiculaire
au plan principal de rotation. Attention, il ne s'agit en aucun cas d'antigravitation
puisque que la masse et l'inertie du système ne sont pas supprimées.
Ces forces sont baptisées "mertioïds" par les Russes et les
anglo-saxons et "vectomasse" (ou vecteurs de masse) par l'auteur. Vous
pouvez observer ces forces en faisant tourner, sur une perçeuse
tenue à bout de bras, un disque de 200 grammes et de 10 cm de diamètre.
En pivotant sur vous-même tout en changeant l'orientation de la perçeuse
dans votre main, vous constaterez l'apparition de forces gyroscopiques
très puissantes qui vous tireront dans des directions inattendues.
Avec l'aide théorique du docteur Schumann, Shauberger conçoit
un moteur antigravitationnel en remplaçant le compresseur d'origine
par des bobines électromagnétiques qui mettent en rotation
rapide de la vapeur de mercure naturellement conductrice de l'électricité.
La vapeur de mercure est accélérée en tornade par
deux bobines annulaires placées contre la paroi intérieure
de l'enceinte cylindrique. La moins puissante des bobines étant
placée au sommet de l'enceinte et la plus puissante près
de sa base. La différence de puissance du champ magnétique
des bobines introduit une accélération électromagnétique
de la tornade plus rapide en bas de l'enceinte qu'en haut. D'autre part,
l'intérieur de l'enceinte est tapissée d'un empilement d'aimants
permanents de forme annulaire dont le pôle positif est tourné
vers le centre de l'enceinte, créant ainsi un champ magnétique
permanent à l'intérieur de celle-ci. L'enceinte cylindrique
est contenue dans une enceinte discoïdale bicônique de grand
diamètre formant résonateur. Par la suite seule la jupe conique
supérieure du résonateur sera conservée. Le résonateur
étend le champ antigravitationnel afin qu'il inclue l'ensemble des
éléments du véhicule entourant le moteur. Dans le
moteur antigravitationnel de Shauberger quatre électroaimants, dont
les pôles positifs (pôle nord) sont orientés vers le
centre de la tornade, sont placés aux quatre points cardinaux de
l'équateur (la mi-hauteur) de l'enceinte. En modulant la puissance
de chacun des électroaimants il est possible de déformer
la tornade, ce qui permet de piloter le véhicule dans les axes horizontaux
et verticaux mais ne permet pas le contrôle de l'inclinaison. Cinq
prototypes différents, chacun étant une légère
évolution du précédent, sont construits suivant ce
principe par l'équipe de Shauberger sous le nom de "Vril". Schumann
crée une enceinte sphérique ce qui améliore les phénomènes
de résonance dans la tornade de Shauberger et baptise son nouveau
moteur Lévitator. Kohler quant à lui perfectionne le moteur
de Schumann en remplaçant les quatre électroaimants équatoriaux
servant au pilotage par trois sphères placées à l'extérieur
de la base inférieure de l'enceinte. Des bobines magnétiques
placées dans chacune des sphères permettent le contrôle
de la charge magnétique de celles-ci. Un contrôle complexe
de la charge magnétique de chacune des sphères permet de
piloter le véhicule sur tous les axes. Kohler baptise son dispositif
Tachyonator et en équipe une série de prototypes baptisés
"Haunebu", à l'exception du premier qui conserve le système
de pilotage de Shauberger. Dans les années 70, l'inventeur canadien
David Hamel refait sans le savoir une version électromécanique
du Levitator de Schumann, le "Spinner", la tornade électromagnétique
du Levitator étant ici remplacée par un empilement de deux
ou trois cônes métalliques. En oscillant dans des champs magnétiques
les cônes créent l'équivalent électromécanique
d'une tornade. Le cône à l'intérieur du cône
oscille à grande vitesse tout en étant maintenu en déséquilibre.
La zone supérieure des cônes est suspendue sur des aimants
pour entretenir la rupture d'équilibre et l'effet d'oscillation,
la pointe du cône inférieur reposant selon les modèles
sur une boule de granit ou un aimant. Sur le schéma de principe
du Spinner les anneaux de couleur rouge représentent les pôles
positifs (pôle nord) des champs magnétiques et les cercles
bleus les pôles négatifs (pôle sud). Le Spinner tend
à se mouvoir sur une trajectoire circulaire sous le plus gros aimant
déstabilisant, le "poids en vitesse" exerce une traction sur les
cônes et sur la boule de granit (ou l'aimant) inférieure.
La boule de granit tombe en quelque sorte perpétuellement dans un
trou noir d'énergie potentielle, sans jamais le trouver. L'aimant
ou la boule de granit inférieur sont entourés de trois petites
boules de granit formant résonateurs. Elles remplissent le même
rôle, mais de façon non contrôlable, que les trois boules
extérieures de pilotage du Levitator de Schumann. Le Spinner génère
par ses oscillations tout un système d'ondes électromagnétiques
stationnaires, elles-mêmes génératrices d'ondes longitudinales
scalaires à l'origine de l'antigravité (voir encadré
numéro un).
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From: Lapinmexicain Sent:
3/31/2004 12:33 PM
Les V7 et les Vril de Shauberger et Miethe
En 1940 l'équipe
de Shauberger et Miethe se voit confier deux programmes différents
: le premier baptisé V7 (arme de vengeance nº 7) est un disque
propulsé par des réacteurs de Shauberger, le deuxième
baptisé Vril est une série de six prototypes antigravitationnels
monoplaces. En 1940 l'équipe de Shauberger construits et fait voler
un démonstrateur à aile circulaire, propulsé par une
fusée au peroxyde d'hydrogène, qui se révélera
décevant et sera vite abandonné. Parallèlement Shauberger
achève la mise au point de ses réacteurs à tornade
qu'il baptise Repulsme. En 1941, Miethe et Shriever commencent la construction
du premier V7 qui effectue ses premiers vols stationnaires près
de Prague en décembre 1942 sous le nom de V7 FlugKreisel. D'une
hauteur de 3 m 20 et d'un diamètre de 14 m 40 l'appareil est propulsé
par cinq réacteurs à tornade de Shauberger, deux d'entre
eux assurant la translation horizontale les trois autres entraînant
un rotor à pas variable permettant le décollage vertical
et la sustentation. Le FlugKreisel n'effectuera que des vols de courte
durée entre 1943 et fin 44 sans jamais dépasser quelques
centaines de km/h. En 1952, Shriever présentera à la presse
allemande le FlugKreisel. Fin 1944 le V7 définitif est construit
et vole le 19 février 1945 sous son nom définitif de V7 Kugelblitz,
il a la même taille que son prédécesseur. Il s'agit
d'une version profondément modifiée du FlugKreisel où
les pales du rotor n'ont plus de dièdre (inclinaison vers le haut)
et les réservoirs ainsi que les deux réacteurs de propulsion
sont fixés dans une structure annuaire entourant l'habitacle. Le
pilote quant à lui est allongé à plat ventre dans
une bulle de plexiglas permettant la vision aussi bien au-dessus de l'appareil
qu'en dessous. En avril 1945 l'appareil effectue au-dessus de la France
et de l'Allemagne quelques attaques réussies contre des formations
de bombardiers américains. Sa tactique consiste à passer
devant les bombardiers à une vitesse de 2200 km/h en lâchant
un nuage d'un mélange de 50 % de butane et de 50 % de propane. Lorsque
les bombardiers traversent ce nuage leurs pots d'échappement enflamment
le mélange, provoquant l'explosion de la formation de bombardier.
Des rapports secrets de l'Army Air Force de 1945 montrent que cette arme
a littéralement affolé le commandement allié. Parallèlement
la série des Vril antigravitationnels est développée.
Le Vril 1 vole en automne 1941, il atteint une vitesse de 2900 km/h pour
une autonomie de 5 h et n'emmène qu'un pilote. D'un diamètre
de 11 m 56 il porte une petite tourelle de mitrailleuse sur sa partie inférieure
est un cockpit en plexiglas sur sa partie supérieure. Ultérieurement,
le cockpit en plexiglas sera remplacé par un habitacle pressurisé
métallique surmonté d'une petite bulle de plexiglas. Une
version plus puissante du Vril 1 vole en automne 42 sous le nom de Vril
2, de même diamètre que le Vril 1 le Vril 2 vole à
plus de 6000 km/h. Le Vril 3 vole en 1943 et n'est qu'une évolution
du Vril 2 muni d'un canon de 7,5 mm sur le cockpit. Le Vril 4 quant à
lui comprend un tube au-dessus du cockpit dont l'auteur ignore complètement
l'utilité et n'est qu'une variante des Vrils 2 et 3. Le Vril 5 est
probablement le prototype le plus abouti de l'équipe de Shauberger.
Dès ses premiers vols en 1944 il atteint la vitesse de 12 000 km/h,
et il semble même qu'il ait quitté l'atmosphère à
plusieurs reprises ! Le Vril 6 ne sera jamais construit, quant au Vril
7 il s'agissait d'un projet de vaisseau géant de 120 mètres
de diamètre qui resta à l'état de plan. Goûtez
pour le plaisir la vue d'artiste qui vous donnera une idée de ce
à quoi il aurait pu ressembler !
From: Lapinmexicain Sent: 3/31/2004 12:31 PM
Historique des techniques d'antigravité nazies
From: Lapinmexicain Sent:
3/31/2004 12:32 PM
Les "Haunebu" de Schumann
et Kohler
Début 1934, Schumann
construit avec Arado un démonstrateur antigravitationnel piloté
utilisant le disque de la Vril gesellshaft. Le prototype est baptisé
Rundflugzeug 1 (machine volante circulaire) ou RFZ 1. Lors de son unique
vol en juin 1934 sur la base d'essai d'Arado à Brandebourg, l'engin
s'élève à 60 mètres puis oscille durant quelques
minutes avant que le pilote d'essai Lothar Waiz, effrayé, ne pose
en catastrophe l'appareil au sol. Le pilote a juste le temps de sauter
de l'appareil avant que celui-ci, qui continue à tourner comme une
toupie, n'éclate en morceaux. Quoi qu'il n'existe aucune photo ou
illustration de cet appareil, celui-ci ressemble énormément
au prototype de Ottis Carr ('un disciple de Nicolas Tesla) conçu
dans les années 60. Après avoir collaboré à
des recherches fondamentales avec l'équipe de Shauberger, l'équipe
de Schumann fait voler en août 1943 le "Haunebu 1". D'une hauteur
de 8 m 50 et d'un diamètre de 25 mètres il peut emmener un
équipage de huit hommes. Dès 1943 il atteint la vitesse de
4800 km/h dans la basse atmosphère et était supposé
pouvoir atteindre 17 000 km/h. Il a une autonomie de 18 heures de vol.
Il est équipé sur sa partie inférieure d'une tourelle
canon dont nul ne sait s'il s'agissait d'un canon double classique de 7,5
mm ou d'un canon électromagnétique. Plusieurs résonateurs
annulaires furent testés avec des diamètres variant de 25
à 32 mètres. Le deuxième prototype, baptisé
Haunebu 2, vole pour la première fois en décembre 1944. D'un
diamètre de 26 m 30 il emmène un équipage de 9 hommes
pour une autonomie de 55 h. Lors de ses 106 vols d'essai il atteint couramment
la vitesse de 6000 km/h dans la basse atmosphère et était
supposé pouvoir atteindre 21 000 km/h. Sa propulsion est assurée
par un Lévitator de Schumann, et pour la première fois le
pilotage est assuré par le Tachyonator de Kohler (les trois boules
sous l'engin). Si l'on en croit les témoignages il semble que la
firme Dornier ait fabriqué sept prototypes Haunebu 2. L'appareil
fut aussi baptisé Dostra (DOrnierSTRAtosphérique). Quoique
l'auteur n'y croie pas vraiment, de nombreuses sources affirment que Schumann
aurait achevé en 1945 le prototype du Haunebu 3 de 71 mètres
de diamètre et capable de voler entre 7000 km/h et 40 000 km/h.
Il aurait eu une autonomie de huit semaines de vol avec un équipage
de 32 hommes. Il aurait effectué 19 vols d'essai avant la capitulation.
S'il est établi que les plans de cet appareil ont bien été
étudiés, rien ne prouve qu'il ait jamais été
construit. En 1945 l'équipe de Schumann avait achevé les
plans d'un prototype en forme de cigare de 139 mètres de long baptisé
Androméda. Il s'agit d'une sorte de porte-avions capable en théorie
d'emmener un Haunebu 2 de Schumann et quatre Vrils de Shauberger. Quoi
qu'on affirme souvent qu'il a volé, l'auteur quant à lui
est persuadé que l'Androméda n'a jamais dépassé
la planche à dessin !
Adresse générale pour la Terre
Creuse :
http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/
Rapport de mes expériences et présentation
des résultats, conclusion et suggestions :
http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/TerreCreusePreuveScientifique.html
Mystère
des marées doubles
et
Principe
et Procédé antigravitationnels :
Livre intéressant :
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******************
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