Sujet: (nenki: Rio Tinto) et esoterisme-exp.com (expliquant la synarchie) | De: beate | Date: Mon, 16 Jul 2007 17:13:37 -0400 (EDT) |
Devinez qui est le plus gros
actionnaire privé de Rio Tinto ?
C’est sa majesté la reine EL-Isa-beth II.
Les médias nous disent qu'Alcan, avec le coeur dans la gorge, sont heureux d'avoir trouvé un partenaire comme Rio Tinto. Quel partenaire ? Ils viennent d'acheter la compagnie pour 40 milliards. Il ne faut pas oublier qu'Alcan est le 2e producteur d'électricité au Québec. Elle possède plusieurs barrages pour produire l'électricité dont elle a besoin pour les fonderies.
Pour vous donner une petite vision de Rio Tinto, cette firme fut fonfée il y a plus d'un siècle grâce aux profits réalisés avec le commerce de l'opium de Jardine Matheson, par un membre de la famille prestigieuse des Matheson. Cette famille possèdent de nombreuses actions dans la HongShang Banking Corporation. Les héritiers de cette famille furent les Keswick, qui possèdent encore leur siège sur le commité administratif de la HongShang (Hong Kong et Shangaï) Banking Corporation. http://www.solidariteetprogres.org/spip/sp_article-breve.php3?id_article=1496
Voici deux articles qui vous éclaireront sur
Extrait : http://www.larouchepac.com/pages/youth_movement_files/articles_
lym/2007/0411_australia.shtml
Australia was the first country to which Blair traveled after setting up his Climate Change Project (CCP) in the U.S., to set one up there and personally brainwash 85 global warming "presenters" to go around Australia giving his slide show. His CCP in Australia is in "partnership" with the Australian Conservation Foundation, founded by Prince Philip personally in 1963, most of whose early funding came from raw materials giant Rio Tinto (whose largest private stockholder is the Queen).
The pillars of the Synarchy, such firms as Rio Tinto, Royal Dutch Shell, and Felix Rohatyn's Lazard, have systematically looted Australia, as well as the U.S. Our April 2004 New Citizen "named the names" of the entire Synarchist apparatus in Australia, from its early 1930s sponsorship of mass fascist armies in Sydney and Melbourne through its establishment of the Liberal Party, into the activities of those firms and families today. You will see, for instance, that the pro-Hitler Robert Menzies represented Shell in Australia in the mid-1930s, whose boss Sir Henri Deterding, was a key funder of Hitler and a key figure in the Synarchy. In fact, the Synarchy tried to install Menzies as prime minister of Britain during World War II, to replace the Rooseveltallied Churchill in order to make a deal with Hitler. And from that 2004 New Citizen, as well as this one, you will see that the family of Prime Minister John Howard have always been toadies for the Synarchy. Nor is it surprising that the infrastructure-looting Macquarie Bank, whose activities are also exposed in that earlier New Citizen, is partners with Lazard, the Synarchy's flagship.
According to the "American Almanac," the bankers are part of a network called the "Club of the Isles" which is an informal association of predominantly European-based royal households including the Queen. The Club of the Isles commands an estimated $10 trillion in assets. It lords over such corporate giants as Royal Dutch Shell, Imperial Chemical Industries, Lloyds of London, Unilever, Lonrho, Rio Tinto Zinc, and Anglo American DeBeers. It dominates the world supply of petroleum, gold, diamonds, and many other vital raw materials; and deploys these assets at the disposal of its geopolitical agenda.
http://www.solidariteetprogres.org/spip/sp_article-breve.php3?id_article=183
Le 12 octobre, le Premier ministre malaisien Mahathir bin Mohamed a accusé l’Occident d’oeuvrer à la désintégration de l’Indonésie : « Il est bien connu que l’Occident aimerait que l’Indonésie soit divisée en des pays plus petits (...). C’est ainsi que lorsque la crise monétaire a plongé l’Indonésie dans le chaos politique et économique et que Suharto a été renversé, l’Occident a saisi l’occasion pour diviser une fois de plus l’Indonésie. (...) Le principal bénéficiaire d’une Indonésie éclatée sera l’Australie. Il n’est pas surprenant que les forces australiennes se soient rendues les premières au Timor-Oriental (...). Cela pourrait devenir le Vietnam de l’Australie. »
L’île du Timor et la mer l’entourant possèdent d’importantes ressources énergétiques et minérales. Mais celles-ci ne représentent qu’une petite partie de la richesse minérale du vaste archipel indonésien. La plus grande compagnie minière dans la région est Rio Tinto Zinc, dont l’un des anciens directeurs, lord Simon de Highbury, est l’actuel ministre du Commerce et de l’Industrie du gouvernement Blair. Or ce gouvernement est, de son propre aveu, le principal parrain des groupes indépendantistes anti-indonésiens au Timor-Oriental et il défend avec le plus grand zèle une intervention militaire dans l’île.
Rio Tinto Zinc a confié des efforts de lobby à la société de consultants Prima, fondée par lord Holme et Roger Liddle, ce dernier étant l’un des plus influents « conseillers en communication » de Blair. Par-delà ses liens au gouvernement Blair, Rio Tinto est, selon l’hebdomadaire australien The Bulletin du 19 octobre, proche de la famille royale britannique. Dans un article intitulé « Les diamants sont pour ER » (Elisabeth Regina), ce magazine, qui appartient au magnat des médias australiens Kerry Packer, passe en revue les avoirs personnels de la famille royale britannique dans Rio Tinto. Celle-ci détient notamment des investissements dans diverses mines de diamants australiennes et l’Australie produit actuellement un tiers de la production mondiale de diamants.
Le 23 mars, le Financial Times de Londres a rapporté que Kissinger Associates et une organisation privée britannique, Hakluyt & Company, avaient formé un partenariat, correctement qualifié de « nouvelle relation spéciale [anglo-américaine] privée ».
Kissinger Associates représente une opération de renseignement privé fondée par Henry Kissinger dans les années 80. Hakluyt & Company a été fondée en 1995 par Christopher James, ancien agent important du renseignement britannique (MI 6) et ancien membre des Special Air Services (SAS). La compagnie qui fournit des renseignements à vingt-six grandes sociétés britanniques et qui est active dans cinquante-sept pays, doit son nom à Richard Hakluyt, l’un des premiers architectes de l’Empire britannique au XVIème siècle.
On peut lire dans le Financial Times que cette compagnie essaie de « retrouver une grandeur impériale disparue » et que le soutien à Hakluyt « provient d’une liste de personnalités prestigieuses de l’establishment - ce qui donne une indication des contacts sur lesquels Hakluyt peut compter ». Parmi ceux qui ont soutenu cette compagnie, on trouve l’ancien ministre anglais des Affaires étrangères Malcolm Rifkind, feu le général sir Fitzroy Maclean et le comte Jellicoe, président de l’Association SAS.
La Fondation Hakluyt qui tient lieu de conseil d’administration pour la compagnie, comprend : sir Peter Holmes, président de la fondation et ancien P-DG du Royal Dutch Shell Group ; sir Brian Cubbon, ancien secrétaire d’Etat permanent du ministère de l’Intérieur ; sir Peter Cazalet, P-DG de la compagnie et de la fondation, ancien P-DG adjoint de la British Petroleum (BP) ; sir William Purves, ancien président de la Hongshang Banking Corporation (HSBC) ; lord Inge, ancien chef de l’état-major de la Défense et lord Trotman, l’un des directeurs du New York Stock Exchange. Le « conseiller spécial » de la fondation est lord Renwick, ancien ambassadeur britannique aux États-Unis et actuellement P-DG de la banque de placement Robert Fleming. L’initiative d’avoir réuni ces deux sociétés revient à lord Carrington, un proche de la baronne Thatcher et partenaire de Kissinger Associates.
Interviewé par le Financial Times, Kissinger a fait des commentaires qui rappellent le discours révélateur qu’il prononça en 1982 à la Chatham House, dans lequel il disait avoir toujours été plus proche du Foreign Office britannique que de son propre département d’État étataunien. Kissinger s’est dit attiré par Hakluyt, parce que « la manière dont les Britanniques font les choses sont très pragmatiques. Il n’y a pas de gros documents (...). Nous jugeons sans présenter de preuves détaillées, Hakluyt est très bonne dans l’analyse et l’obtention d’informations. Nous connaissons des personnes clés aux niveaux les plus élevés. Hakluyt a un réseau beaucoup plus diversifié. »
En octobre dernier, Kissinger Associates a signé un accord avec American International Group (AIG), une compagnie d’assurances détentrice d’une grande partie des actions de Kroll Associates, le bureau de renseignement privé de Wall Street. Kissinger Associates est également lié au Blackstone Group, la banque d’investissement fondée par Peter Peterson, le P-DG du Conseil des relations étrangères de New York.
Le 12 octobre, le Premier ministre malaisien Mahathir bin Mohamed a accusé l’Occident d’oeuvrer à la désintégration de l’Indonésie : « Il est bien connu que l’Occident aimerait que l’Indonésie soit divisée en des pays plus petits (...). C’est ainsi que lorsque la crise monétaire a plongé l’Indonésie dans le chaos politique et économique et que Suharto a été renversé, l’Occident a saisi l’occasion pour diviser une fois de plus l’Indonésie. (...) Le principal bénéficiaire d’une Indonésie éclatée sera l’Australie. Il n’est pas surprenant que les forces australiennes se soient rendues les premières au Timor-Oriental (...). Cela pourrait devenir le Vietnam de l’Australie. »
L’île du Timor et la mer l’entourant possèdent d’importantes ressources énergétiques et minérales. Mais celles-ci ne représentent qu’une petite partie de la richesse minérale du vaste archipel indonésien. La plus grande compagnie minière dans la région est Rio Tinto Zinc, dont l’un des anciens directeurs, lord Simon de Highbury, est l’actuel ministre du Commerce et de l’Industrie du gouvernement Blair. Or ce gouvernement est, de son propre aveu, le principal parrain des groupes indépendantistes anti-indonésiens au Timor-Oriental et il défend avec le plus grand zèle une intervention militaire dans l’île.
Rio Tinto Zinc a confié des efforts de lobby à la société de consultants Prima, fondée par lord Holme et Roger Liddle, ce dernier étant l’un des plus influents « conseillers en communication » de Blair. Par-delà ses liens au gouvernement Blair, Rio Tinto est, selon l’hebdomadaire australien The Bulletin du 19 octobre, proche de la famille royale britannique. Dans un article intitulé « Les diamants sont pour ER » (Elisabeth Regina), ce magazine, qui appartient au magnat des médias australiens Kerry Packer, passe en revue les avoirs personnels de la famille royale britannique dans Rio Tinto. Celle-ci détient notamment des investissements dans diverses mines de diamants australiennes et l’Australie produit actuellement un tiers de la production mondiale de diamants.